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[RP]La casa Al Andalus et l'atelier Al Alcazar

Automne.
Alors que la cérémonie du thé se poursuivait. Je découvrais grâce à mon hôte les trois règles fondamentales du rituel et reprit mon verre une fois plein du breuvage fumant. Sidhi avait dans la voix de la tranquillité et une quiétude certaine qui se mariait si bien avec le lieu.
Avant de boire je rajoutai.


Oui, celui qui nous libère de la duperie. Qui est ni illusion ou vertige ni excitation et qui ouvre nos âmes en dépit de nos jugements et nos craintes.

Je bus lentement.

C’est délicieux j’ai hâte de connaitre le troisième. Pouvez-vous me parlez de Grenade ?
Sidhi
"Petites ruelles étroites, petites maisons blanchies à la chaux, petites places et parfums de jasmin, quartier de l’Albaicin... le vieux quartier des nasrides. La Puerta Elvira, au centre de Grenade, par laquelle on longe les murailles de l’Alcazaba Cadima et déboucher sur la charmante Plaza Larga. Pentes raides en haut desquelles on peut contempler le mirador de San Cristobal, à côté de l’église, la mosquée et son patio, le mirador San Nicolas et sa vue somptueuse sur l’Alhambra et la Sierra Nevada en arrière plan, et en redescendant, aux abords de la Plaza Nueva, l’église de Santa Ana et ses façades mudéjares des plus spectaculaires..."

"Ô Grenade ma bien aimée! Aujourd'hui réduite en cendre! Ainsi soit!"

Je servais un troisième verre de thé...

"Suave comme la mort!"
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Automne.
J'écoutais la description de Sidhi sur son pays. Un perceptible détachement dans sa voix probablement dû à la douleur encore vive qu'il ressentait me faisait me questionner en posant mon regard sur lui.

Le visage de Grenade est en vous , votre patrie y demeure à jamais. Ces images que vous décrivez si bien le prouve.

Je lui souriais et prit le troisième verre de thé en l'écoutant. * Pinaise, ma vessie est prête à exploser, si il m'offre un quatrième verre je cours aux latrines ou à la catastrophe. *

Suave comme la mort, dites vous ! Mais si mon cœur parle, il y aurait il un moyen de changer l'ordre des choses pour que la mort ne soit pas une fin ?
Sidhi
"En est-elle une vraiment?"

*sourire en coin

"Grenade fût ma patrie. Pour autant je n'y ai point vécu longtemps mais possiblement que cette Cité; coeur d'ultimes métissages et où la tolérance n'était point un vain mot a pénétré mon être. Mon âme "d'entre deux cultures" a très vite vibré au même diapason que Grenade l'Envoutante. Cette Cité, je l'avoue est pareil à mon coeur..."

L'Ôde du Grand Sage Ibn Arabi me revint en mémoire...


"Mon coeur est devenu capable
D'accueillir toute forme.
Il est pâturage pour gazelles
Et abbaye pour moines !
Il est un temple pour idoles
et la Kaaba pour qui en fait le tour,
Il est le Livre des Vertus
Et aussi les feuillets du Kitab El Nour!
Je crois en la religion de l'amour
Où que se dirigent ses caravanes
Car l'amour est ma religion et ma foi."*


*tiré d'un texte d'Ibn Arabi et mis à la sauce RR

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Rbaty
Le Rbaty était enfin de retour en Arles. Il avait apporté plusieurs herbes de son voyage, on aurait dit du Narguilé avec différentes saveurs mais son herbe était magique.
Il était devant l'entrée de la casa dont il avait tant entendu parlé, il se permit de pousser la porte puis entra, Il observa le coin, surpris par la beauté et l'harmonie de l'endroit. Son ami Sidhi s'occupait de cette casa qui avait le gout le Grenade. Sidhi l'avait bien arrangé presque parfaitement, cette casa lui rappelait le salon de thé du palais de Grenade.
Il aperçut son ami avec une femme puis s’avança vers eux. La pipe à la main, il aspirait plusieurs bouffées se disant que la Casa était l'endroit idéal pour bien apprécier sa fumette avec un verre de thé.
Il salua Sidhi ainsi que la dame en inclinant légèrement la tête puis s'adressa à eux.


Salam !! Hania ? koulshi bikhir ?? Hamdollah !

Moi c'est Rbaty gente dame, je vois que Sidhi s'occupe bien de ses invités.
Je me joins à vous si vous voulez bien. Je serai ravi de partager quelques moments en votre compagnie, et quelques bouffées si vous le désirez.


Il souri à Sidhi et Automne, puis attendit un moment avant de s'installer
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Automne.
"En est-elle une vraiment?"

La question ne manquait pas d’audace et je pris un moment de réflexion afin de lui répondre en toute sincérité.

A l’orphelinat du couvent ou j’ai grandi, de nombreuses gravures sur bois représentants la mort et la souffrance du deuil ornaient les salles ou les sœurs priaient. Une estampe en particulier représentant un corps de femme debout, enveloppé dans un linceul, la tête magnifiquement coiffée, ses entrailles rongées de vers, hantait inlassablement mes nuits d’enfant. Au fil des années dans ma contemplation je m’étais peu à peu accoutumer à n’y voir aucun espoir d'immortalité. En conclusion ma peur avait enfin cessée quand mon regard se posait dessus.

Je me tue le temps de prendre une gorgée de thé. Ce souvenir survenu à la surface me glaça d’un frisson. Et le breuvage brulant fut salvateur, il me permit de continuer.

Par contre je ne sais précisément répondre à votre question Sidhi, la seule réaction qui me vient à l’esprit est aussi une question, puisque la mort et la vie sont intimement liés.
Serait-ce là le secret de la vie ?



Un pas résonna dans le patio. Un homme apparu et après quelque mots que je ne compris pas, se présenta. Je répondis d’un sourire en modifiant ma posture afin de lui faire face.

Enchantée de faire votre connaissance, je me nomme Automne et je profite depuis un moment de l’accueil chaleureux qu’a bien voulu m’accorder votre ami Sidhi.

Un sourire vers mon hôte ponctua mes mots.
Sidhi
Citation:
Par contre je ne sais précisément répondre à votre question Sidhi, la seule réaction qui me vient à l’esprit est aussi une question, puisque la mort et la vie sont intimement liés.
Serait-ce là le secret de la vie ?


Il y avait quelque chose d'attendrissant chez elle. C'est en souriant que je continuai.

"Il est parfois des questions sans réponses!"

C'est l'instant que choisit Rbaty pour apparaître.

Citation:
Salam !! Hania ? koulshi bikhir ?? Hamdollah !


"Salam! Bikhir! Hamdollah! Sois le bienvenue mon ami! Je commençais à me demander quand les grenadins se décideraient à pousser la porte de la Casa!

Je laissais Automne se présenter et invitais Rbaty à prendre place.
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Sidhi
De retour d'escorte...

Plusieurs lunes s'étaient succédées quand je repoussais enfin la porte de la Casa. Amazzal avait dû s'absenter car je trouvais la maison vide mais pas dénuée de vie.

L'escorte s'était prolongée du fait d'une affaire intéressante sur des petites voiles. L'insécurité des chemins aux abords de Nîmes n'avait pas arrangé les choses. Aussi avions nous fait le choix d'effectuer les dernières étapes par voie fluviale pour plus de sureté. Il faut dire que nous ne passions pas inaperçus avec nos chariottes remplies.

Il n'y avait rien de meilleur que de retrouver son port d'attache après une longue d'abscence...

La vie allait reprendre son court et le moulin tourner... tourner...

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Hildegardeii
Chaque matin, je profitais des quelques heures encore fraiches des ruelles d'Arles pour faire une promenade. C'était toujours à peu près la même. Je descendais vers la place du village et achetais quelques fruits, réservais un emploi à la mairie, lorsque j'en trouvais un qui ne soit pas trop pénible, puis longeais la halle pour prendre la gazette et aller la lire au salon de thé maure tout proche.

Peu de gens y entraient, l'atmosphère y était reposante et comme le propriétaire n'étais jamais là, j'avais pris la liberté d'utiliser les lieux à ma convenance et m'y sentais presque comme chez moi.

Ce matin là, je pénétrais par l'étroite porte comme à l'accoutumée et j'eus la surprise d'y trouver deux hommes.
Le premier était plutot volubile et se présenta comme Pegas le Parfait, ce qui me fit sourire car j'avais justement gardé une lettre que m'avait envoyé cet homme lorsque j'avais contacté les capitaines de navires pour notre projet de voyage pour Alexandrie. Je mettais ainsi un visage sur ses mots.
Le second était plus réservé et laissait le premier faire la conversation, patientant calmement pour poursuivre les échanges de marchandises que les hommes négociaient juste lorsque j'étais entrée.

Le ton se voulait badin et je m'en amusais, surtout lorsque la malicieuse Lilli entra, prit l'affaire en main et qu'il finit par nous inviter à passer à sa demeure, à deux pas de là.
J'ignorais s'il avait lancé l'invitation parce que Lilli l'avait séduit mais je me dis qu'un homme qui était capable d'évoquer le poète Rumi et les danses de l'ordre soufi ne pouvait pas être totalement mauvais.

C'est donc avec curiosité qu'un moment plus tard, je m'arrêtais devant l'entrée ouvragée de ce qui devait être sa maison.

En voilà une jolie porte ! dis-je à voix haute avant de cogner contre le bois ouvragé.

Monsieur Sidhi ? Vous êtes là ?

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Poema_lilli
L 'air innocent aux mains pleines je suis entrée dans la taverne des maures ce matin. Je ne vous dis pas l 'effet que ça m 'a fait quand j 'ai entendu le mot Maure. Je me suis même demandé si je n 'étais pas dans la " Taverne du maure qui trompe ", certainement en référence au soldat qui dort debout lors de sa garde, pour tromper l 'ennemi envahisseur.

Pour ne pas les déranger, car voyez vous deux hommes palabraient à leur convenance bien entendu. Je me suis affalée sur les coussins qui s 'offraient à ma vue, étalée comme une carpette à me frotter le dos, un oeil ouvert, afin de saluer la chère Hilde qui se trouvait ma foi dans un coin de la taverne à méditer sur leur façon de compter. Ah ben..... pour des arabes croyez moi l 'affaire n 'était pas simple.

Moqueuses, ironiques Hilde et moi avons chatouillé sur le ton de la plaisanterie les deux hommes, voilà le comment d 'une invitation à passer dire " Bonjouir " à celui qui se faisait avenant afin de nous recevoir dans sa cas.

Eclats de rires sonores quand l 'un deux se leva pour se mouvoir, bouche bée que je suis restée à le voir se dandiner comme une femme. Surprise par ce bassin ondulant identique à un séant d 'albatros, je ne pus que crier à l 'homme :

- Gaffe à votre séant, si un grec se promène dans les parages, ce jour sera la fête à votre rondelle.

Non non, point insolente, juste spontanée dans ma façon d 'être, parfois cela m 'apporte quelques problèmes relationnels. Et me voilà devant la porte du maure, aimable empli de convivialité.

Oh...qui vois je....Hilde qui s 'époumonne à vouloir se présenter, devant une porte close. Bizarerie du moment je me suis approchée pour la surprendre.

- JE SUIS LA HILDE !!!!!

Qelle nouille je crie encore.

- Pardon je crie

Lestement mon bras passe sous celui de ma chère brune, puis agita le second bras pour nous annoncer.

- HOOOOOOUUUUUUU.......HOUUUUUUUUUU..... nous sommes là.


Fière d 'avoir répondu à l 'invitation, je me tenais droite comme une duchesse à l 'air gracieux, fallait bien que je commence à apprendre à vivre en société
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Point voleuse ni menteuse, seulement joueuse
Amazzal


Les volatiles avaient volé à pleines ailes entre Arles et Uzès où étaient stoppée l'escorte de sidi Sidhi.
Je me réjouissais de son retour d'autant que j'avais une très bonne nouvelle à lui apprendre. Afaw se trouvait à seulement quelques lieux d'Arles.

C'est donc le coeur léger que j'arpentais les ruelles de la ville. J'y avais pris mes habitudes et avais retrouver avec plaisir le quotidien de la vie citadine après mes longs mois dans la solitude de la vallée de Bethmale où s'élevait Al Alcazar.
Je retrouvais en Arles, une Grenade en miniature, toute proportion gardée. Il régnais sur le marché une effervescence similaire où l'on pouvait trouver de nombreux article d'Orient via la Méditerranée toute proche.

Ayant eu vent du retour prochain de sidi Sidhi, je m'étais mis en recherche de quelques légumes frais, de volaille et d'épices savoureuses afin de préparer un tagine en signe de bon retour.
Une fois les emplettes faîtes, je repris le chemin de la Casa. A l'approche de la demeure, je perçus des cris... Je demandais au commis qui m'accompagnait de rester en arrière.
En m'approchant je découvrais deux dames hélant à voix plus ou moins douce, en direction de la Casa Al Andalus.
La main jamais bien loin de la poignée de mon cimeterre, c'est malgré tout tout sourire que je vins m'enquérir du pourquoi de ces présences.


"Bijour Mesdames! Chercheriez vous quelqu'un? Je me nomme Amazzal dict le Dévoué, gardien de la Casa Andalus!"

Hildegardeii
C'est à peine si j'avais cogné à l'huis qu'un cri me fit sursauter et je me retournai vivement. Lilli, l'impétueuse comme aimait à la nommer son fiancé Khonsou, venait de surgir juste derrière moi.

- JE SUIS LA HILDE !!!!!

Diantre, je crois que j'avais trouvé pire que ma fille, Poum, en matière de discrétion. Si tout le quartier n'étais pas réveillé après ça, il s'en faudrait de peu.
La brune Lilli, était sujette aux excès de voix parfois, ce qui l'amenait à crier des choses avec une force étonnante. Un peu comme un syndrome de la Tourette, mais sans les gros mots...

Elle s'excusa aussitôt cependant, toute génée de son éclat.

J'allais pour lui répondre quand elle me prit le bras et se remit à crier de plus belle.

HOOOOOOUUUUUUU.......HOUUUUUUUUUU..... nous sommes là.

Bon sang Lilli ! Vous allez ameuter la ville !

Je mis mon doigt contre mes lèvres pour lui intimer l'ordre de se taire lorsqu'un homme surgit soudain derrière nous.

Bijour Mesdames! Chercheriez vous quelqu'un?

Je sursautais pour la deuxième fois, surprise par la soudaineté de l'apparition. L'homme était richement vêtu, à l'instar de tous ces sarrasins que j'avais croisé les jours précédents. Il arborait un vêtement ample et coloré et portait fièrement un turban sur le sommet de sa tête.

Je levai ma main, la paume vers lui, pour lui signifier que nos intentions n'étaient pas mauvaises. J'espérais juste que Lilli n'allait pas se mettre à crier à nouveau.

Je me nomme Amazzal dict le Dévoué, gardien de la Casa Andalus!


Le surnom me fit sourire. Il devait être le gardien des lieux.

Je suis Hildegarde pour ma part, dicte....heu... rien du tout.

Je n'allais tout de même pas lui dire que certains m'appelaient la Vipère tout de même. Sa main était posée sur une dague, on ne sait jamais, un réflexe stupide....
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Khonsou
Comme presque tous les jours, Khonsou c'était rendu au salon de thé maure qui se trouvait dans une petite ruelle de sa ville d'adoption, Arles. Il c'était dirigé tranquillement vers ce lieu, avait salué d'un signe de tête le portier endormit, puis poussé la porte. Quelle ne fût pas sa surprise, lorsqu'à peine le pas de la porte franchit, un homme d'allure orientale engagea avec lui une conversation au sujet d'un "cul d'albatros" ! En voyant que le dit oriental était en compagnie d'Hidle et de sa petite excitée de Lilli, Khonsou avait immédiatement compris quel tour la conversation avait prise et s'en amusa.

La conversation avec l'homme, qui se faisait appelé Sidhi, avait été très agréable. D'ailleurs, cela l'avait été avec tous les Grenadins, qu'il avait eu l'occasion de croiser dernièrement dans la ville d'Arles. C'était à croire qu'ils rentraient tous au bercail. Parfait c'était dit Khonsou, cela apporterait un dynamisme de plus qui ne pourrait être que bénéfique pour la ville.

L'homme avait quitté la taverne en les saluant poliment et les avait invités à venir lui rendre visite chez lui s'ils le désiraient. Il n'était pas nécessaire de dire que Lilli et Hilde c'étaient empressées de dire oui, curieuses et fantasques de nature. Pour ça part, Khonsou avait été aussi intrigué par cet homme et sa communauté et avait donc également décidé de lui rendre visite.

Le voilà donc là, arpentant les rues dans la direction de cette fameuse "Casa Al Andalus". Arrivé devant la demeure, il eut la surprise de voir que trois autres personnes se trouvaient devant la porte, dont sa petite femme et Hilde. Rapides et intenables se dit-il en souriant.


Bien le bonjour tout le monde ! Je vois qu'il y a "foule" ici.

Khonsou aimable et décontracté, fit un salut de la tête à l'homme, mais était qu'en même méfiant à son égard en raison du long sabre courbe qu'il portait à la ceinture.

Vous êtes là les filles ? Merci d'être venues, j'ai presque pu me guider uniquement au bruit que vous faites !
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" L'or véritable ne craint pas le feu. "

Amazzal


Citation:
Je suis Hildegarde pour ma part, dicte....heu... rien du tout.


Mon sourire se fit plus large... même si je remarquais sa main se poser à la ceinture où devait se trouver une dague. Cimeterre et djambia suffisamment visible pouvait pousser le rencontré à la méfiance. D"un geste ample, je les occultais des regards avec un pan de mon habit, en signe d'apaisement.

"Et bien Dame heu... rien du tout, qu'est qui vous amène devant la Casa?"

La seconde femme était étrangement resté muette. C'est alors qu'un homme s'approcha.

Citation:
Bien le bonjour tout le monde ! Je vois qu'il y a "foule" ici.

Vous êtes là les filles ? Merci d'être venues, j'ai presque pu me guider uniquement au bruit que vous faites
!


Le ton était des plus enjoué et le verbe plaisantin, ce qui finit d'ôter tout doute quant aux intentions de cette joyeuse troupe.

"Salam messire, je dois comprendre que vous accompagnez ces dames!"

Main sur le coeur je continuais...

"Amazzal dict le Dévoué, gardien d ela Casa Al Andalus!"

Hildegardeii
L'enturbanné se fit rassurant, masquant les armes qu'il portait au coté et je me relâchais moi aussi la pression de ma main sur ma dague. Il faut dire que depuis mon escapade dans les ruelles parisiennes, j'étais sur le qui-vive constamment, m'attendant à devoir me défendre à chaque détour de ruelle.

Khonsou arriva ensuite...

Se guider au bruit qu'on fait... Il est gentil le Khonsou ! M'associer au tapage de sa nana, il manquait pas de culot !

Le brun se la jouait flex, décontracté et souriant mais la pique était lancée... Et Lilli qui ne mouftait pas, ça c'était fort de cas fée... Incroyable !

J'ignorais si c'était de voir arriver son homme ou si c'était ce maure qui l'impressionnait mais c'est avec amusement que je la surveillais, m'attendant au pire...
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