RPartage - [RP] LES THERMES - LES ETUVES

[RP] LES THERMES - LES ETUVES - LES BAINS

La_brunette

Elle répète à la dame Brune qui rit le chemin
C'est la deusièmE alcOvE sur la gOchE, le MalEfait, il vous apportera vos boissons dans un instant. IlE pourra aussi vous masser, à moinS que vous préfériez la BertrandE

Elle se tourne et appelle :
BertrandE !

chui là, c'est pourquoi ?

Errance.

C'est presque incrédule qu'elle regarda le Kro chanceler, comme si l'instinct hostile avait parlé avant son intime entendement...
Vrai aussi qu'entre ces deux têtes de mules là, le conflit commençait à dater..Et si d'ouvert il tendait à s’atténuer, sage garde alternée de baudet oblige, il n'en demeurait pas moins larvé...

Le Malfait avait failli sauver sa pulsion, mais en fait, non, car l’évêque faisait maintenant bel et bien trempette...
Et elle sent bien, la roussette, qu'elle a poussé l'bouchon un peu trop loin, appelez la Maurice, mais la vision en était si délectable qu'elle en finit hilare...

La riposte du poisson rouge n'arrangea en rien les choses car quel crédit donner à cet être si ridiculement ruisselant et soudain si inquiet de ses autres pulsions..l'attaque était si basse....

Voici ce que nous allons faire. Nous allons écumer la Provence jusqu'à ce que vous trouviez l'homme idéal. Selon les critères que vous aurez choisi, nous ferons défiler des candidats. Comme nous l'avons fait avec Xanthi. Et ne dites pas non. Je risquerais de m'entêter

Oh mais allez ! Faites donc ! Prévenez juste les prétendants qu'il leur faudra m'vaincre en lice avant !
On m'passe pas sur l'corps si facilement té !
Quand entêtement rime avec entrainement elle n'allait pas s'priver la belleteigne !

Puis d'un sourire aussi étonné que ravi de leurs soudaines présences saluer Xanthi, son si fidéle garde arrière train et sa Cyrzereine...Juste un hochement de tête amusé puis poli pour la gamine et le vieillard qu'elle découvrait aussi....

Hum…des humeurs libertines mon chéri ?
J'crois surtout des humeurs Belticides !, ne put t'elle s'empêcher de rétorquer à Cyrinea
La routine quoi...

Mais fallait p'têt-ben-pô-d'trop s'attarder dans l'coin maintenant...On ne sait jamais si l'estoc verbal du Duc virait à plus ardu, ça anéantirait sacrement ses envies de détente...

Alors à la Brunette
Bon un soupçon de lavande en plus de l'ambre pour moué, j'va pas mourir idiote, paraît que c'est l'pays...

Déjà disparaissaient en une alcôve, comme empressés, l'apprentie maricide et le neuve popâ ..
Elle se doutait de la suite....

Possible de ne pas être trop prés ..d'eux ? En pointant le couple du menton d'un air qu'on n'aurait su dire s'il était répugné ou envieux...

Et...
un massage ?

Aventurines se rivent à Charlotine qui, décidant pour elle, lui épargne d'en avouer l'envie

Pourquoi pas...
…..

C'est la deusièmE alcOvE sur la gOchE, le MalEfait, il vous apportera vos boissons dans un instant. IlE pourra aussi vous masser, à moinS que vous préfériez la BertrandE

La deuxième... Les "autres enamarouchés" à la quatrième... Pourvu que ça fonctionne linéaire et pas binaire dans les coins !

Et pour l'massage... ben le Malfait *mais pas tant* té ! Il paraît que j'dois m’entraîner aux présences masculines !

Maudit esprit frondeur quant tu nous tiens...
Seule, bien sur qu'elle aurait choisit la soubrette, pudeur maladive oblige...mais après tout, le fait de payer la rassurait, la bourse induit une salvatrice distance.....souvenirs d'un courtisan de maison close sans doute.....
Ah ça elle pourrait en causer avec la Charlotine de son idéal masculin !
Jusqu'à sa mort d'ennui même!

Mais elle lui épargnera ça...Ce qui n'empêcha pas, bien au contraire, un bras complice de s'arrimer au sien pour l’entraîner vers le lieu indiqué...

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Beltaine dicte Errance....

Tanatloc

C'est la deuxième alcôve sur la gauche, le MalEfait, il vous apportera vos boissons dans un instant. Il pourra aussi vous masser, à moins que vous préfériez la Bertrande.

Tanatloc suivit les indications et répondit que peut lui importait que ce soit un homme ou une femme qui lui masse ses pauvres articulations fatiguées.

Il faisait une chaleur suffocante à l'intérieur des termes, et Tanatloc s'assit bientôt dans la deuxième alcôve. Il enleva quelques vêtements, sa cape de voyage, sa chemise et ses bottes, qui posa dans un coin, au dessus de son sac.

Puis, profitant de la chaleur et des vapeurs, attendit les rafraîchissements promis.
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La_brunette

ho là messire voyageur !

La Brunette court derrière le barbu, voilà un avantage de la jeunesse, lui donne une clochette et le conduit à son alcôve.

Vous messirE, c'est la premièrE alcOvE à droitE.
Elle toussote et soufle :
C'estE occupé parE deux damEs la deuxièmE surE la gOchE
un baquet, unE boisson et vouzEs agitez la clochettE pourE le massagE

Par tous les saints, ça se bouscule ce jour. Elle retourne au comptoir, regarde le grand bassin toujours fort animé et note sur le grand livre.

le Ybi : 1 baquet, 2 deniers 3 sous (3 ème à gauche)
la dite Marilou : 25 deniers 17 sous (grand bassin)
la gamine : 3 sous (dieu sait où)
la Charlotine et la Errance. : 2 baquets, 2 massages : 14 deniers, 6 sous (2 ème à gauche)
la Xanthi et le Aristode : baquet pour deux : 4 deniers (4 ème à droite)
le fumeur d'herbes : en attente
la dite Cyrinea : en attente
le voyageur : 1 baquet, 1 massage : 7 deniers, 3 sous (1ère à droite)

attention, le jd du ps la Brunette bientôt en partance pour d'autres lieux, il faudra trouver un autre PS à l’accueil.
je vous laisse le Malfait : [ img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/69/79/99/th/nichol10.jpg[/img]
et la Bertrande : [ img]http://i58.servimg.com/u/f58/13/69/79/99/th/bertra10.jpg[/img]

pour utiliser les images enlever l'espace ici : [ img]

Charlotine

Et pour l'massage... ben le Malfait *mais pas tant* té ! Il paraît que j'dois m’entraîner aux présences masculines !

voilà qui promettait un bon moment à venir!

et bien vu que Belt choisi judicieusement les mains du Malfait, je me ferais masser par la Bertrande.

Oui pour les mains masculines, pas besoin de se rendre aux termes, elle avait ce qu'il lui fallait! En attendant, direction leur alcove guidée par la rousse. L'endroit était soudain bien plus calme, de là à dire qu'il allait le rester, c'était autre chose.

Charlotine trempa un doigt dans l'eau. Température idéale.

Et bien je crois qu'il est temps de faire trempette Belt! Et puis on pourrait peut être se tutoyer? qu'en pensez vous?

Tout en discutant, et après avoir veillé à ce qu'elles soient bien seules - ne pas être pudique ne voulant pas dire pour autant être exhibitionniste - elle fit glisser sa robe au sol et entra délicatement dans l'eau, dont l'odeur de lavande lui procurait déjà l'effet escompté. En quelques secondes, seule sa tête dépassait.

Elle réalisa soudain que "peut être" sa voisine aurait besoin d'un peu plus d'intimité pour rentrer dans l'eau

vous voulez peut être que je ferme les yeux, le temps que vous rentriez dans l'eau à votre tour?
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Kronembourg

La situation en réalité ne l'amusait pas forcément. Car autant le Duc pouvait apprécier la compagnie féminine, autant les vassales de son épouse, exceptée Xanthi, avaient le don de provoquer en lui une forme d'agacement qu'il maîtrisait assez mal. Tout l'inverse de ce qu'il pouvait concevoir en matière de classe et de féminité, et toujours des réclamations plein la bouche, comme s'il était plus important d'être l'égale de l'homme plutôt que d'assumer son positionnement différent.

Eh bien. Il y a du travail à faire ... Lâcha-t-il, toujours dégoulinant, vers la rouquine qu'il vit peut-être belle pour la première fois.

Car l'idée venait de germer en entendant les " Moué " , les " Té " , les " J'crois " tonitruants de la Montalbanaise.

FAIRE D'ELLE UNE FEMME.

Regard effaré devant l'ampleur du défi.
Difficile, mais pas impossible.
Il aurait besoin d'aide. Et de beauuuucoup de patience.

Peut-être Charlotine serait-elle une alliée précieuse puisque cette dernière se proposait d'emblée de mettre au clair les critères de la rousse en vue de lui dégotter l'Homme idéal. Un regard amical lui fut adressé avant que toutes deux s'éloignent vers l'alcôve qui les attendait.

Cyrinea venait d'arriver.

Hum…des humeurs libertines mon chéri ? Votre missive laissait entendre un lieu plus intime…

Le barbu posa les yeux sur elle, complice.

Vous ne croyez pas si bien dire. Que diriez-vous de vous abandonner au délice d'un massage entre les mains d'un autre ? Au moins le temps que j'aille me changer.

N'ayant pas vraiment réfléchi à ce qu'il pourrait éprouver devant pareille scène, il se pencha vers elle, le murmure intime.

Au salon de thé Al-Sultan, ils vendent des tenues Libanaises qui vous feront littéralement tomber.

Après tout, n'étaient-ils pas partis pour vivre de l'exotisme ?
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Aristode

[ Un bain et puis s'en va ]

Pas de grande bataille navale cette fois , ni de déclaration qui fracasse, juste un moment de paix dans ce monde de violant, un répit, une halte salvatrice à côté de sa brune, le plaisir simple d'entendre les "' plouf plouf des amis réunis '" .
Il ne releva même pas les intentions de vouloir marier Errance.
Rien que la caresse de ses doigts sur sa peau, le contact de l'eau et enfin sombrer, mais pas se noyer dans la solitude de ses pensées .
Bientôt ils reprendront la route, mais pour le moment c'est paresse et baquet partagé...
Le temps simple d'aimer ,ne rien écouter ,de faire l'enfant, lui qui est devenue parent .
Il change et le blond qui l’accompagne s’efface , Totote égaré ,totote disparait ,il laissera le souvenir de celui qui loupe souvent les escaliers ,toujours en retard ,jamais au courant ,toujours à courir ,lui qui n'est jamais pressé .
Il sombre et se laisse emporter .
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Xanthi

[Un bain et puis s'en vient ...]

Ils s'étaient retrouvés, enfin. Elle attendait d'être reconquise et lui à peine dans l'eau chaude, se laissa couler, s’endormant, ronronnant. Il est là alangui, les bras passés hors du baquet, ses jambes, allongées, elle sent ses pieds de chaque côté de ses hanches.

Aris ! vous dormez ! Sa voix offusquée monte en tonalité.
Elle l'éclabousse de la main, il ouvre à peine un oeil:
J'ai accepté vos explications, vous connaissez mes revendications, et ....
nouveaux éclaboussements ....
Vous dormez !

Elle se lève va pour sortir, la main rapide de son époux la retient et elle retombe dans ses bras qu'ils referment sur elle. Elle lutte, le repousse, ses mains à plat sur son torse. Il la libère, sa chemise flotte autour d'elle, elle sent les mains de son époux caressantes sous l'eau.
Ma Mie, venez plus près. murmure-t-il.
Elle plonge son regard dans le sien, il sourit, se rapproche doucement et l'embrasse avec fougue et amour.
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LES THERMES - LES ETUVES - LES BAINS

Hoax

Lieu de détente et de convivialité, ouvert à toutes et à tous.

Pour les baquets, plus intimes, c'est à droite après le bassin.

Errance.

[Les hommes le plus souvent se querellent pour des mots. C'est pour des mots qu'ils tuent et se font tuer le plus volontiers. ]
Anatole France

Maux fissurent et crevassent...
Avalanche de mots...
ça roule, gronde et emporte... et l'écho amplifie et déforme... jusqu'à l'assourdissement...
ça entraîne des pavés de passé, des jeux de sceaux et de sots...
ça blesse ou ça ricoche, ça éveille ou assomme...
Bienvenue en Provence, le climat est charmant, vraiment …

Mais la langue faite ferraille, pas son truc à elle la roussette, y'en a de bien plus douée qu'elle en cette affaire, alors elle les laisse faire...
Pas qu'elle n'ait pas d'avis, bien au contraire, mais ses certitudes lui suffisent, sa confiance en quelque uns aussi...
Elle sert et en est fière... ça lui suffit... L'ombre est depuis toujours son territoire...
Alors puisqu'on s'attarde, autant savourer la chaleur printanière, ce petit truc dans l'air, cette brise insoumise qui se fait presque sentir comme chez soi....
Bienvenue en Provence, le climat est charmant, vraiment …

Et la tignasse de cuivre de promener ses bouclettes de ci, de là, au rythme lent d'une âme simple et intègre, savourant la pelisse enfin oubliée en la chambrée, juste le bruit de ses pas ricochant sur les torchis, juste le froissement du messer à sa cuisse
Et le chant de ses pensées...où d'autres mots... bien plus intimes...ne résonnent que pour elle....

Ma damisèla, ma Princesse d'ambre, ma maîtresse débilitante, ma tzigane épouse, ma chère Nomade

Comment peut on à ce point détester et aimer ?
Vertige du clair obscur.
Comment arriver à l'oublier ? Même ici son nom franchit les plus hargneuses lèvres....
...
Dame Raison ricane, pointe du doigt des passages, étale ses cartes, ressort les vieux dossiers...
Mais le Maître des sens tient tout autre langage...
...
Et le vent enchante ses narines, et le soleil caresse sa peau, et des étoiles attisent ses vertes aventurines....
Diantre... cette envie de simple plaisir...
...
Les aurait t'elle vu sans cela ?
Peut être que oui, peut être que non, en tout cas sûrement que son sourire n'aurait pas été aussi rayonnant en découvrant, au hasard d'une ruelle, l'établissement des thermes provençales...
Quel meilleur endroit pour savourer l'instant, pour offrir à son corps, soudainement avide, un peu de bien être, pour réfléchir à la réponse à donner à cette missive qu'elle n'attendait plus....
...
La fraîcheur de la pierre, un frisson humide accueillirent ses pas...
Le temple des ablutions n'offrait que du silence, à peine la litanie de ses clapotis ….
Rapidement un bassin s'offrit à sa vue..... vide de vie...
Là bas, un autre porche ouvrait sur sans doute d'autres salles, sur sans doute elle ne savait quoi...

Hola ?
Y'a quelqu'un ???

La voix résonna, amplifiée, déformée...

Serait t'elle vraiment seule ? Ce serait trop beau ….
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Beltaine dicte Errance....

La_brunette

Elle voyageait léger, elle trouvait toujours emploi bien payé aux thermes des villages qu'elle visitait.
La brunette arriva, les bras chargés de linges et d'éponges et salua gaiement :

Té, mais bien surE qu'ilE y a quelEqu'un.
Le bonjourE Ma DamE, je suis la BrunettE

Elle posa sur le comptoir les effets et tout sourire, attendit la question.

Charlotine

Les bains. son ancien terrain de jeu. Là où la nudité rend tout Homme extrêmement vulnérable. Là où l'on pense que les oreilles indiscrètes ne peuvent pas trainer et où les langues se délient. Là où meurent ceux qui ne sont pas assez méfiants.

Les bains. pur moment de délice que l'eau chaude qui vient accueillir les corps nus. pur moment de délice que les mains à la fois douces et exigeantes du masseur qui viennent dénouer les corps souvent trop tendus. pur moment de délice quand il sait être partagé!

Enfin, pour le coup, aujourd'hui, les bains, ce sera juste trempette et papotage si elle y trouve de la compagnie. Les conspirations, elle avait arrêté. Les bouches qui se délient, elle ne se faisait pas d'illusions, celles qui l'intéressaient ne traineraient surement pas par ici. Quant à partager le baquet, elle soumettrait l'idée, à l'occasion, mais ça ne serait pas non plus pour aujourd'hui!

Et hop, la voilà qui se retrouve à l'intérieur et d'y voir la rousse en compagnie ... d'une brune.

Bonjour mesdames,

je vois que vous n'avez pas perdu de temps Belt!
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Ybi_de_dibi

Ybi aimait se sentir propre et élégant. Il fréquentait les bains régulièrement partout où il allait. Il avait même un temps, aider la belle Aphykit au sein de ses étuves ambulantes. Il connaissait les huiles, les massages, les épilations et les savons et les poudres lavantes et les parfums.
Il profitera d'ailleurs de son séjour pour lui rapporter lavande, romarin et thym. Il essayera aussi de trouver des huiles de jasmin et de mimosa.
C'est de tres bonne et belle humeur qu'il entra aux thermes.

Le bonjour à to .... à vous mes toutes Belles !

Il aimait les belles femmes et elles le lui rendaient plaisamment, même s'il ne promettait jamais rien. Il fut donc ravie de voir si beaux visages en ces lieux. C'est avec un grand sourire qu'il se présenta :

Je suis Ybi de Dibi, et je suis enchanté de voir que ces bains soient si bien fréquentés.

Il s'incline, vraiment heureux. Ce n'est pas ici que les fous politiques vont venir saper leur bien-être.
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Cordialement,
Brennos
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Errance.

Tip Tap Tip Tap
ça semble bouger à son appel
Sons de pas se rapprochent, la foulée semble aussi courte que vive, et d'une porte apparaît une jeunette au sourire avenant posé sur une pile de linge.

Té, mais bien surE qu'ilE y a quelEqu'un.
Le bonjourE Ma DamE, je suis la BrunettE

L'accent sonnait d'un sud aux bien humbles origines, à peine un prénom. Mais la servante du lieu avait tenue proprette, joues roses et rebondies, on devait bien la traiter ici. Il est vrai aussi qu'il y avait bien pire lieu et besogne pour gagner quelques écus...elle en savait quelque chose son enfance ne lui ayant pas épargné les plus durs labeurs... elle lui répondit donc d'un ton des plus aimable

Le bonjorn m'zelle
j'ai cru un instant c'lieu vide de toute âme mais j'vois que je n'aurais pas besoin de m'essuyer en ma chemise.
Le regard se reporte vers le porche s'ouvrant derrière le bassin auprès duquel elles se tenaient ; trop prés de l'entrée, et, à l'absence de vapeur qui s'en échappait, pas le délice qu'elle était venue chercher...
Pourriez vous me montrer où ….

Une autre voix soudain derrière elle qui s’élève, féminine et connaissant son nom. Elle se retourne s'attendant à voir une de ses compatriote et découvre une toute autre brunette ce qui n'entama en rien son sourire bien au contraire. Elles avaient eu mainte fois l'occasion de se croiser autour d'un verre, et elle la trouvait de bien agréable compagnie.

Dona Charlotine !
Et bien je visite, je visite et avouez que l'endroit est attirant.
Vous aussi venez prendre un peu de bon temps ? J'allais d'mander à la Brunette s'il y avait ici une salle des bains chauds, d'ceux qui vous liquéfie corps et pensées...
Peut être pourrions nous aller s'y tremper ensemble ?
à moins que vous ne préfériez la vigueur d'un frigidarium* mais en ce cas ce sera sans moué !

Elle en eu d'ailleurs un frisson à la seule pensée....
Et étrangement un autre alors que sa question demeura encore une fois en suspend, les prunelles féminines se tournant de concert vers un nouvel arrivant. Le silence d'église qui l'avait accueillit ici était réellement un leurre ! Ce lieu grouillait de vie.
Elle détailla l'homme effrontément. De bonne mise elle en avait croisé de bien plus déplaisant à regarder, il ne semblait ni soldat, ni soudard certes cependant

VOS toutes belles ? Diantre je ne crois pas vous appartenir Sieur !

Le ton était plus cassant qu'elle ne l'aurait voulu, sa défiance des hommes reprenait le dessus....
En plus à entendre son nom, elle se mordit la lèvre, il faudrait vraiment, un jour, qu'elle prenne quelques cours de diplomatie..

On me surnomme Errance...on ne s'est croisés encore mais ... votre tante m'a parlé d'vous ....

(*salle des bains froids )
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Beltaine dicte Errance....

Ybi_de_dibi

Ybi attendait son tour et laissa donc les dames demander leur baquet. Cependant, il ne perdit un seul mot de leur conversation. On l'a dit l'homme aime les belles et c'est en écoutant que l'on peut les comprendre. Elle sont tellement incompréhensibles et si surprenantes que ce sont elles qui mènent les danses, toujours, lui ne fait, comme beaucoup d'hommes, que d'essayer de les suivre.
Alors quand la rousse flamboyante s'adresse à lui, il répond aimable :
Oh ma chère, point ne voulez vous manquez à ce point de respect, je qualifiais ce que je voyais. Seule, ma vue m'appartient, et la vue que j'ai là de vous, mes Dames, est des plus charmantes. Personne n'appartient à personne ou à quelque chose, à moins de le faire librement et sereinement.
Il leur sourit à toutes trois et explique sa tantine :
Ah, oui Dame Errance, Dame Xanthi m'a parlée de vous, en grand bien d'ailleurs. Notre parentelle est très lointaine, une histoire de soeurs qui épousèrent des frères. Je suis un descendant de la cadette et du cadet. Ce qui explique que je taquine ma très jeune tante par alliance.
Puis se tournant, vers la soubrette :
Le bonjour La Brunette. Un baquet chaud, à l'huile de néroli si vous avez, sinon à la bergamote, pour moi. Y-a-il une lavandière dans le village, j'ai du linge à laver ?
Il connaissait certaines huiles et leur vertu, la route l'avait fourbu, de la détente et du calme seront bienvenus.
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Brennos
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Marilou

La dernière fois que j'étais allée aux bains, j'étais toute intimidée, toute discrète, presque invisible.
De nature à ne pas me faire remarquer, je m'étais faufilée sans gêner personne.
Il va de soi que lorsque je suis passée devant l'enseigne non lumineuse annonçant "Thermes, étuves et bains", mon esprit d'illuminée chronique s'est soudainement éclairé.
Mais attention, je venais d'arriver dans la cité.
Je me devais donc d'être correcte.
D'être correcte, encore plus que la dernière fois.

C'est pour cela, que j'ai un peu modéré mon élan, laissant mon cheval dehors.

C'est pour cela que j'ai un peu moins éclaboussé tout le monde.

- YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH !!!

SPLAAAAAAAASHHHHHh !

Toute habillée - il est des invariables à chaque "aquation" - je me retrouvais dans un baquet mousseux à souhait. Les bras posés sur les rebords et le sourire jusqu'aux oreilles, je profitais du bien-être de cette balnéo-habillo-dingo dont je rafolais.

- Ahhhh on est bien là... Détendus du gland...

Oui, dans ma valse de conneries, j'aimais à penser que je valais bien un "Gérard" de la comédie.
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Pynedur, cheval de Marig Louise de Montfort, Princesse de Bretagne.

Kronembourg

Lui, il ne jouera du violon à personne.
Pas même à son épouse puisque de toute façon il est venu sans elle. Et qu'il déteste la seule idée de complimenter une femme pour le plaisir du compliment. Non, c'est vrai quoi. Qu'elles aillent au diable avec leurs désirs de galanterie et leurs rêveries de princesses. Au Moyen-âge c'est l'homme qui se sert. Et lorsque Stanislas s'aventure sur le terrain du compliment envers une femme, c'est toujours qu'il veut en obtenir quelque chose. Ou qu'il est transi d'amour. Mais ça, c'est une autre histoire.
Aussi, lorsqu'il entre dans les thermes et entend les propos de Ybi qu'il ne connait pas encore, son poil se hérisse. La rouquine Beltaine méritait-elle un quelconque compliment ?
Pouarf.
Il ne s'était jamais posé la question, en fait. Tout ce qu'il savait d'elle, c'est qu'elle avait du goût pour choisir les ânes.

Bien le bonjorn , dit-il en s'annonçant. Je cherche l'herboristerie qui jouxte les thermes. L'on m'a dit qu'en fumant quelques herbes de Provence bien choisies, on pouvait s'offrir le plus beau des voyages.

Pas question de ficher un pied dans l'eau pour le Duc. Bien plus amusant de s'imaginer dix Cyrinea lui sauter dessus. Le visage se fit amical en direction de l'homme.

Stanislas Kronembourg.

Il salue également Xanthi, Errance, Charlotine et ...

YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH !!!

SPLAAAAAAAASHHHHHh !

... Et merrde.
Voilà exactement pourquoi il voulait éviter l'eau.
Et puis le paradis artificiel, il n'a encore jamais tenté.
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La_brunette

Les étuves ? vidE, PeuchèrE, que nenni. IlE me restE des alcovEs. AlorE un baquet chaud pourE deux DamEsellEs. Tonifiant ou relaxant ?

La soubrette prépare des linges, tend des éponges et va vers l'étagère des huiles.
Laissant les jeunes femmes à leur choix, elle zieute le grand brun.

Je notE que le sieurE est connaisseurE.
Elle prend un linge, une éponge et une fiole de néroli.
Je vous verserai 2 gouttEs de néroli dés que vous serez installé. Je peux prévenir la femmE PrunellE vous verrez avecE ellE, ce qu'il vous faut.
Elle lui tend les linges avec un grand sourire.
Ça vous fera 2 deniers et 3 sous.
La Brunette prend l'argent et indique au sieur Ybi :
Vous passez le bassin, c'est la troisièmE alcovE sur votrE gochE.

Pendant ce temps un autre quidam est entré. Elle le salue :
Le bonjourE MessirE,
oulaaa, ben le mieux c'est d'y demander à l'herboristE. Ici j'ai que des huilEs essentiellEs.

A peine, le temps de terminer sa phrase, qu'une forme féminine entre en courant et se jette dans le grand bassin.
YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH !!!

SPLAAAAAAAASHHHHHh !
La Brunette court vers le bain, les mains sur les hanches. Elle calcule, le montant du bain, les linges, le nettoyage, le ménage, et ce qu'elle aurait pu oublier ... et réprimande gentillement la baigneuse pressée :
Hola Dame, ça vous coutera un écu, vintEcinqE deniers et dizEsept sous. Et ne venez pas me dirE que l'eau est froidE, c'est normalE.

Elle revient au comptoir, agite une clochette et presque immédiatement arrive l'eunuque Malfait.

VeillE à ce qu'ellE payE.

Puis souriante toujours, elle demande :
AlorE les damEs ont choisi ?

Ybi_de_dibi

Ybi sourit à la Brunette.
Oui, j'ai quelques connaissances.
Il sort de sa bourse de quoi payer son bain et prend les linges et va remercier quand ...

YAAAAAAAAAAAAAAAAAAAOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUHHHHHHHH !!!

SPLAAAAAAAASHHHHHh !

S'approchant du bassin au côté de l'homme, il regarde la Bretonne et s'exclame :
Foutre Dieu, Damoiselle Marilou, vous pourriez dire bonjour !
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Cordialement,
Brennos
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Marilou

Et tandis que je fouille dans mes poches à la recherche de ma bourse...

- Combien pour la trempette ? Et... j'peux avoir une bière dans la foulée ? Et... Z'auriez pas vu mon pote Ybi ?

... Tout s'enchaîne comme par magie ! Un homme à la voix de fille me réclame un écu et une poignée de deniers, messire Kro arrive et ...

- Ah ben ça m'aurait étonné de ne pas te trouver là Ybi ! Mais j'ai dit bonjour ! Hein que j'ai dit bonjour ?

J'prends mon air d'innocente maculée dans son bain - c'est une nouvelle conception - qui me fait davantage ressembler à un poussin mouillé qu'à autre chose.

- J'ai pas dit ?

Pas biennnnnnnnn....

- Même pas tout bas ? C'est que je suis une grande timide moi... Je n'aime pas créer de la pollution sonore...

Pas bien, pas bien...

- Oh ben... oh ben... faut réparer ça alors !

Alors j'attrape une brosse et tout en me frottant le dos - ou plutôt la chemise - je me mets à chanter comme une casserole sur un air populaire que bien entendu personne ne reconnaîtra.

BOOooonnnnJooouur ! BOOOooonnnnJJJooouurrr ! BOnnnnjouuuur !
Marilou vous pâââââââââssssssssse le Bôôôôôôôôôôôônjorn !
Il fait bôôôôôôôô, il fait encore jouuuuuuuuuuuuuuuur
C'est l'heure de s'brosser les contourrrrrrrrrrs !
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Pynedur, cheval de Marig Louise de Montfort, Princesse de Bretagne.

Charlotine

C'est qu'elle avait envisagé de répondre à Beltaine quand ça se succéda tour à tour sans qu'elle ne put en placer une. Si ce n'était pas le comble de la Provençale de pas pouvoir parler!

Elle salua poliment le dénommé Ybi, sans plus d'attention, l'homme étant un peu trop présomptueux à son gout. Le contraste fut de mise quand Stanislas arriva à son tour.

A ce moment là, elle envisageait un bonjour, mais c'était sans compter sur Marilou et son plongeon. Et hop, une brune mouillée qui laisse échapper un soupir destiné éventuellement à dégager une mèche venue se coller sur son œil et qui lache avec un certain désespoir dans la voix

Et bonjour Marilou!

avant de s'adresser à ces messieurs.

Désolée, je n'ai pas eu le temps de vous dire bonjour messieurs. C'est que tout est allé extrêmement vite d'un coup. Ybi, je suis Charlotine et si Belt "ne croit pas vous appartenir" moi je vous le confirme! Si je suis la belle de quelqu'un autant vous dire que ce n'est pas de vous!

Ton cordial mais sec, que ce soit clair pour lui.

Bonjour à vous Stanislas, je vous demanderais bien comment vous allez mais je crains que vous ne me répondiez que vous êtes trempé

Et de sourire, parce que la situation s'y prêtait.

Et bien, Belt, je suis partante pour un bain chaud oui! ça nous changera de la taverne. enfin, vous préférez peut être vous baignez en compagnie de messire Ybi. Je le comprendrais si c'était le cas et je ne m'en offusquerais pas

Comment ça, elle jouait les entremetteuses?!
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Errance.

Ca afflue et ça cause d'herboriste et d'huiles
Ca déboule et ça splashhh inondant le trouDuc

AlorE les damEs ont choisi ?
Voilà le regard qui dérape sur le docile chien de garde, note le coup de la clochette pour le faire apparaître..
Il fait massage aussi ?
Mais même pas le temps à Dame Raison d'arracher son regard qu'une ritournelle de sirène éthylique envahit tout l'espace....

Elle était venue chercher le calme.... le désordre la rattrape...
Un rire éclaire son visage, les hiers, les demains chassés par le seul présent...

Et bien, Belt, je suis partante pour un bain chaud oui! ça nous changera de la taverne. enfin, vous préférez peut être vous baignez en compagnie de messire Ybi. Je le comprendrais si c'était le cas et je ne m'en offusquerais pas

Un bain avec l'ybi ? Namé elle va pas bien celle là, elle la prend pour qui ? déjà que rien que l'évocation d'un seul baquet pour elles deux l'avait fait tiquer, croire qu'elle allait s'foutre à poil comme ça direct avec un inconnu de type mâle mielleux ! C'est elle qui devrait s'offusquer !

Les yeux se portent brièvement au ciel, le sourire s'étire en regardant Charlotine
Reste diplomate Belt, Di-Plo-ma-te...

Aucun risque dona

Puis à la Brunette
Ce sera donc DEUX baquets chauds en la même alcôve, brûlant et parfumé d'ambre gris pour moi...

Main se porte à la bourse et glisse quelques écus
La bière de la naïade c'est pour moi
Pis amenez nous en aussi té !

Et l'Kro est là, le regard baissé sur ses braies détrempée, incrédule encore de s'être trompé d'adresse...
Et l'Kro est là...
juste au bord du bassin....

S'approcher de lui le minoi mutin et le chuchotis conspirateur...
Hhéé psiissst ...
Index pointe et fléchit invitant à la proximité des confidences
pour ce que vous cherchez...
Lévres se tendent vers son oreille
Enfin quand vous serez sec...
Doigts effleurent l'épaule, voix baisse encore d'un ton
Faut allez voir Ahed

A... sous la noire pelisse l'autre main remonte
hed ...il suffit de pousser..
Pas pu résister...

Et Plouf l'trouDuc …

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Beltaine dicte Errance....

Misty

Un mois de ballade et les cheveux en pétard. Personne pour la coiffer, et elle, s'en foutait. Sauf que ... la chef a dit "va t'laver" .

Gnagnagna... chui propre d'abord !

Elle pensait être contrainte à aller se les geler dans la mer, quand elle tomba sur des bains publics. Tient ! pourquoi pas ! M'enfin à tous les coups, c'est interdit aux gosses ...
Rien à battre, elle tente ! Puis ça tombe plutôt bien, y'a pas mal de monde, avec un peu de chance, on ne la remarquera même pas !

Elle se faufile jusqu'à l'entrée, observent les grands quelques secondes, histoire de repérer si on l'a choppe par le col, là, se fait tremper par une dame qui se lave toute habillée. Quelle idée !
Le soucis, c'est qu'elle attrape un fou rire, du coup, pour la discrétion, raté !

Elle fait un grand sourire en espérant encore s'en sortir en avançant sur la pointe des pieds vers un baquet déjà rempli, sûrement déjà destiné à quelqu'un mais tant pis !

Xanthi

[Elle l'aime ... il doit la reconquérir, pis c'est tout !]

Elle avait été si surprise quand il l'avait soulevée et prise dans ses bras, qu'elle en était restée sans voix.
Soyons comme avant , comme au temps de la chasse aux croisés, comme au temps de Dijon ...!
La reconquête avait donc commencé.
Ne la portait-il pas, dés qu'il en avait l'occasion ?
Ses prunelles s'étaient perdues dans son regard si clair, comme elle devait lutter pour ne pas le couvrir de baisers.
Hoax les avait suivi, sa queue se balançant. Lui ne cachant pas qu'il était heureux de les revoir ainsi.

C'est donc bras dessus, bras dessous qu'ils étaient entrés aux thermes. A l'entrée, ils entendaient des cris, des voix, des ruissellements. Ces bains étaient fréquentés.

Son coeur battait si vite qu'elle devait surveiller sa respiration. Le sentir si prés d'elle et ne pas le lui montrer, faire l'insensible alors qu'elle était si heureuse. Cela lui demander de gros efforts de concentration. C'est que son époux l'émouvait toujours autant sinon plus. Elle le trouvait un peu changé et cela lui allait si bien, qu'elle en était encore plus bouleversée.
Demander un baquet pour deux, des linges et des huiles allait lui permettre de retrouver un semblant de contenance, mais sa voix quand elle parla, semblait essoufflée :

Le bon jour, .... nous voudrions .... un baquet....

Elle le regarda à nouveau, cet homme était son démon et son ange, son jour et sa nuit quand son regard fut attiré vers le grand bassin, la damoiselle Marilou baignait toute vêtue dans l'eau, Belt était à deux doigts de frère Kro qui perdait l'équilibre et un apollon veillait.
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La_brunette

La Brunette n'en revenait pas. Ces clients connaissaient les bains, les fréquentaient et cela lui faisait plaisir. La recette sera bonne ce soir. Rien à voir avec les tristes arlésiens qui préférent se déchirer et s'externaliser.
Mais ... que ...
Elle remarque le fumeur d'herbes particulières, déjà trempé par le SPLAAAAAAAASHHHHHh , qui va glisser à son tour dans le bassin.

MalEfait, rattrapE lE messirE StanisElasE !
Elle pose les mains sur ses joues et prie le ciel et tous les saints.

L'eunuque a du réflex et attrape au vol le duc par le col en prenant garde de se prendre un coup de poing. C'est que l'homme mouline ses bras dans l'espoir de ne tomber en arrière.
Faites un pas en avant Monseigneur.
La voix est grave, eunuque ? vraiment ?

Une voix lui fait tourner la tête.

Xanthi a écrit:

Le bon jour, .... nous voudrions .... un baquet....

Elle voit un couple, l'homme est plutôt bien de sa personne et la dame est tout aussi jolie et si petite qu'elle ne lui arrive même pas à l'épaule. Sa voix est saccadée, comme si elle avait couru.

Le bonjourE, pourE deux le baquet ?
Elle sourit, les affaires continuent equand elle aperçoit l'animal ...
DidiouE, c'est quoi ça ?!

Aristode

[ Je vois la citadelle, mets troupes sont prêtes et en avant la reconquête ! ]

Ils arrivèrent, entrèrent et sa dame fait sa demande, lui il regarde l'endroit mais aussi les gens .
Les gens ?
À foutre Dieu, ils sont presque tous là, c'est la Guyenne recomposée, c'est le baquet de l'amitié, y des amis de longue date , des plus récents, des inconnus mais on s'en fou , il y a du poilu, du tout joufflu, des seins connus, il y de belles têtes .
Si le baquet est bien pour deux, il aimerait les voir regrouper, t'en qu'à vivre heureux, vivons mouillé et discutons .
Il incline la tête saluant d'un coup toute l'assemblée , sourire aux lèvres et souvenir plein la tête, il y a bien longtemps qu'il n'a connu d'aussi belle réjouissance , on se lavera, on n'aimera ; peut-être ; on discutera, mais avant tout et pour une fois on rigolera .

Oui baquet pour deux...; puis il regarde sa femme ; Si vous le désirez nous pouvons nous regrouper ?...baquet séparé il va de soi, je n'oublie pas que " regarder c'est tromper'" ...mais nous pourrions être dans le même endroit ? ; reprise de respiration, fait chaud dans le quartier ;Nous aurions comme cela tout le loisir pour discuter .

En fait s'il doit la reconquérir il veut aussi prendre des nouvelles, car le monde bouge et certaines de ces affaires l'on conduit loin de ce qu'il aime, savoir ce qui l'entoure est un gage de sécurité, comprendre ce que l'on murmure est une chance supplémentaire de voir le lendemain .
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Marilou

Et pendant que je me prélasse, me relaxe, me décrasse, je vois que ça chancelle pas mal au bord du bassin.
Tombera ? Tombera pas ? Qui le saura ?
Lui, peut être...

Mais en ce qui me concerne, j'ai pas envie.

- HEYYYY, j'ai dit une bière, pas un Kro !
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Pynedur, cheval de Marig Louise de Montfort, Princesse de Bretagne.

Charlotine

Que d'agitations! Elle qui avait besoin de se détendre, ça partait mal. Et la brunette qui semblait ne pas avoir entendu Belt. Comment ça, la charlotte perdait patience?

Hum, n'oubliez pas nos deux baquets s'il vous plait et dans le mien, j'aimerais de l'huile essentielle de lavande, cela sera parfait. Mais pas trop brûlant non plus, je n'aime pas spécialement ressembler à une écrevisse. vous n'avez jamais essayé un bain aux huiles essentielles de lavande Belt? je vous le conseille, très relaxant.

Mais Belt pour se relaxer venait de trouver bien mieux ... tenter de faire tomber Kro dans l'eau ... et voilà tout le monde focalisé sur la situation, un peu comme si tout se déroulait au ralenti, parce que oui quoi, tombera ou tombera pas ... rirons nous un peu ou beaucoup?
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Kronembourg

Le féminin et ses fantasmes. D'humilier un (trou)Duc, comme s'il avait pu un seul instant lui faire confiance et la laisser s'approcher de lui, murmurer, se pencher, effleurer son épaule, et la laisser faire tout le manège sans se méfier. Comme si elle avait pu, par la force du bras, tirer un géant complet dans l'eau.

PLOUF !

Ah bon ? Si ?
Bon !
De toute façon, trempé pour trempé, autant profiter de l'instant. Les herbes attendront - Pas longtemps - Et l'intérêt du lieu n'est-il pas de faire trempette ?

Il vous faut absolument un homme sur qui vous défouler, Belt. Ca relève de l'aide humanitaire, à votre niveau.

L'eau est chaude, agréable, il s'y sent bien mais ne souhaite pas s'attarder.

Voici ce que nous allons faire. Nous allons écumer la Provence jusqu'à ce que vous trouviez l'homme idéal. Selon les critères que vous aurez choisi, nous ferons défiler des candidats. Comme nous l'avons fait avec Xanthi. Et ne dites pas non. Je risquerais de m'entêter.

Un rapide sourire en coin fut adressé à la rousse avant qu'il se hisse hors de l'eau. Dégoulinant de partout, les longs cheveux tirés en arrière. Il remarque l'arrivée d'une petite fille qui ne semble pas accompagnée.

- HEYYYY, j'ai dit une bière, pas un Kro !

Ummmpf, manquerait plus qu'on le prenne pour un bien consommable.
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La_brunette

Avec tout ça la Brunette en avait presque oublié ses premières baigneuses.
Parfait ma DamE, alOrE lavandE pour vous, ambrE gris pour vOtre amiE.
Voulez-vous un massagE par la suitE ?

Elle tend les linges, les huiles, leur sourit, ajoute :

C'est la deusièmE alcOvE sur la gOchE, le MalEfait, il vous apportera vos boissons dans un instant.
Elle aperçoit une gamine et demande à l'eunuque :

MalEfait veillE à ce que la ninE payE ses 3 sous pourE le bain et mets-là dehOrE. C'est pas un lieu pourE les miochEs.

Cyrinea

Tu ne bouuuuuuuuuuuuuuuges pas ! Tu attends !

Ça c’était du dressage ! Le seul hic étant qu’elle ne savait pas si à son retour le chien serait encore là ou pas. Au pire, son instinct le reconduirait à l’auberge. Elle lui lança tout de même un dernier regard convaincu avant de pénétrer dans les étuves.

Dans lesquelles semblait régner un joyeux bordel.

Forcément ! C’est qu’il y avait du beau monde.

Elle salua la préposée aux bains.

Ne vous dérangez pas, je suis attendue.

- HEYYYY, j'ai dit une bière, pas un Kro !

Humpf….

Elle se précipita. Dans quelle galère s’était-il encore fourré ?

C’est donc les mains sur les hanches qu’elle avisa le spectacle.

Une Marilou immergée, possiblement nue et le Duc, à côté de son baquet, trempé de la tête aux pieds, Belt hilare, de l’eau partout…Aris et Xanthi au milieu, Charlotine l’air impatient…

Hum…des humeurs libertines mon chéri ?

Et de saluer tout ce beau monde d’un sourire amusé.

Votre missive laissait entendre un lieu plus intime…
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Tanatloc

Le vieil homme, revenant d'un voyage des plus longs et des plus fatigants, cherchait un moyen de se détendre de se périple, tout en attendant la suite de son aventure. Il se promenait avec sa vieil chienne, sa canne à la main. Bien sur, l'air sec et chaud de la mer Méditerranée lui avait rendu un peu de sa jeunesse et de sa vigueur et il se sentait jeune d'au moins dix ans !

Il passa devant les thermes et, ravit de pouvoir s'y baigner et - peut-être grâce à cela - de perdre encore quelques années en se glissant dans un bain bouillant, entra. Il ordonna à Misère de rester dehors de vagabonder comme elle l'entendait pendant qu'il était à l'intérieur. La vieil chienne, ravit de ne plus avoir de roulis incessant sous ses pieds, ne se fit pas prier, et en trouvant un coin à l'ombre, se roula en boule et s'endormi paisiblement.

Excusez moi, est-ce qu'il y a quelqu'un ?
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La_brunette

Mais bien sûrE qu'ilE y a quelEqu'un.

La Brunette, lassait les baigneurs à leur bains et conversations. Elle revenait derrière le comptoir, les bras à nouveau chargés de linges et d'éponges. Un grand sourire sur le visage, elle salue le vieil homme.

Le bon jourE SieurE, je suis la BrunettE. Je travaillE ici ainsi que le MalEfait

et pis d'autrEs qui se présenteront eux-mêmEs.
Elle pose dans les étagères les draps et regarde à nouveau l'homme et demande :
Que puis-je pourE vous ?

Aristode

[ Aux thermes de cette bataille seront nous victorieux ? ]

Si vous désirez rencontrer la fine fleur de notre Guyenne bien-aimée et des amis qui lui son pour la circonstance rattaché et vous n'avez qu'à pousser les portes .
Pour sûr du beau monde il y en a, cela commence à devenir tout riquiqui, difficile se trouve un endroit pour pouvoir se mettre en tenue ; ce qui revient à dire qu'il va falloir se mettre le poil presque à l'air avant de retrouver son baquet ; justement en même temps que l'apparition de sa grâce voilà que l'on dépose le leur .
Soit il n'y a plus qu'à s'y fourrer les jarrets, plus facile à dire qu'à faire, faut zigzaguer, éviter le Kro mouillé, saluer les formes efféminées ne pas plonger dans celui qui ne vous est pas destiné et enfin voir dans un coin de la pièce l'endroit qui vous a été alloué pour vous déballer .
Il incline la tête

Intimité votre grâce ?...vous l'aurez une fois que vous serez immergée, voyez-vous le plus dur c'est de pouvoir quitter ses haillons, sans trop laisser apparaitre de peau et tout en n'ayant pris soin d'en retirer assez pour ne pas sombrer .

Énorme sourire sur son visage de jouvenceaux .

Une question de pratique ...

Retour vers sa reconquête, bah mouais ils sont ici pour cela , ou aise pour une rencontre mondaine ?
Les deux mon capitaine !

Ma dame si vous voulez bien vous donner la peine de me suivre , je crois que nous avons une place pour nous désaper et votre baquet est avancé ...

Salut au vieil homme qui montre moustache et barbe blanche, les anciens ne sont-ils pas la sagesse que nous n'avons point encore ?
allez il est temps que dame murène retrouve l'eau, pour la grotte long est encore le chemin de la rédemption ...
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Tanatloc

Que puis-je pour vous ?

Heureux de voir que les thermes étaient ouverts et qu'il y avait quelqu'un pour l'y accueillir, il répondit à la brunette.

Et bien, je voudrais me baigner afin de me délasser des fatigues et de la poussière d'un long voyage en mer.

De plus, j'ai entendu dire que dans certains établissement de ce genre, des massages pouvaient être fait si le client le désirait. Proposez vous ce genre de service ici ?

Il soupesa sa bourse qui pendait accroché à sa ceinture.

Et puis, si vous aviez la bonté de m'indiquer le prix pour profiter d'un bon bain dans de l'eau bouillante, vous me combleriez...
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Hoax

DidiouE, c'est quoi ça ?!

Hoax avait senti et avait compris la voix de la deux pattes aux senteurs. Il avait également senti une odeur de chien, celle d'Alex, l'afgan des Dudus.
Il lécha la main de sa maitresse, même si elle n'aimait pas ça. Ils n'avaient pas besoin de lui et pour une fois qu'il avait un pote dans le coin, il se faufila joyeusement vers la sortie :

Hoax !

Xanthi

[La reconquête est si facile, elle ne veut lutter .... ]

Vilain chien chien ...

Xanthi fit une drôle de grimace et expliqua :
C'est notre chien. Comme vous le voyez, il a compris qu'il sera mieux dehors.
Elle essuya le dessus de sa main avec sa manche, puis prit les linges, laissa Aris payer et écouta les explications de la brunette :

QuatrièmE alcOvE surE la doitE, 'y un baquet pourE deux.

Merci bien.

Elle suivit son époux, ils aperçurent un grand chambardement, dans le bassin principal qu'ils passèrent lentement saluant les amis d'ici et d'ailleurs. Ils sourirent, qu'il était agréable de voir des bains fréquentés.

Aris ? Je me déshabille et si vous tendez un linge, je pourrai me plonger dans le baquet prestement. Je ferai de même pour vous et vous pourriez m'y rejoindre.

Il va pour tendre un drap, mais Xanthi lui tourne à cet instant le dos. Il sourit, il comprend qu'il doit dénouer les lacets de la robe de son épouse. Il s’exécute puis lentement, il remonte ses mains vers son cou, elle frisonne quand elles soulèvent ses longs cheveux et les tressent.
Vous serez mieux ainsi ma Dame. lui souffle-t-il à l'oreille.
Ses mains sur ses épaules, il fait glisser la robe et en profite pour embrasser doucement sa nuque. Elle se raidit, sa respiration a nouveau s'emballe, cet homme la connait trop bien. Ses mains sur le haut de son corps se font caressantes, elles sont douces et délicates, elle croise les bras, retient le vêtement, s'appuie contre lui.

Aris, je peux continuer seule.

Sa voix est enrouée, son souffle court soulève sa poitrine. Il n'a pas revu son corps depuis la naissance de leur fils. Si sa silhouette est à nouveau mince, son corps est maintenant celui d'une mère : ses hanches se sont écartées et ses seins sont plus lourds. Elle retire tous ses vêtements à l'exception sa chemise. Elle se retourne, le regarde. Il tend le drap, nul ne peut la voir et elle prend place dans le baquet, reste debout et attrape les drap qu'il lui tend.

A vous mon Aimé.
dit-elle rougissante comme une pucelle.
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Charlotine

Et ce fut un fou rire ... il était trempé. Et c'était marrant, ouais! Et de rire encore plus quand il soumit l'idée de trouver un prétendant pour Belt.

Je me charge de faire la liste des critères avec elle. Nous allons mettre ainsi à profit le temps que nous allons passer ensemble!

Un grand sourire à la rousse. Oui oui, elle se cherchait une nouvelle occupation et celle là serait des plus attractives

Pas le temps de la laisser répondre que la Brunette s'adressa à elles

Parfait ma DamE, alOrE lavandE pour vous, ambrE gris pour vOtre amiE.
Voulez-vous un massagE par la suitE ?

Un massage? oui pourquoi pas? Belt vous aussi? oui elle aussi! Elle doit être détendue pour ce qui l'attend!

Salut amical à Cyrinea qui avait fait son entrée entre temps et puis regard vers la Brunette pour qu'elle indique l’alcôve qui leur était destinée
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La_brunette

Errance.

Tanatloc

La_brunette

Charlotine

Kronembourg

Aristode

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