Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

[RP] Mariage d'Ade et Ouranos

Nodo
Nodo avait reçu un courrier....Ouranos se mariait...Quelqu'une avait réussit à le détourner de ses sacro-saintes choppes.
Ne voulant rien rater de cette événement, il se mit en route, cela faisait bien longtemps qu'il ne l'avait fait...ses différentes charges le clouant à Mortagne.
Le voyage paru court, tellement il aimait le faire avec son Amande.

Ils arrivèrent donc à Rouen, se dirigèrent vers la Taverne, mais point d'Ouranos en ces lieux...ils se précipitèrent donc vers la Cathédrale, espérant ne pas être en retard.

_________________
Oliver_debonnaire
Oliver avait fait un long voyage depuis Castelnaudary affin de repondre a l invitation de son ami Ouranos. Ils avaient servit dans le même regiments.
A peine le temps d etre nommé lancier de Castel officiellement et il avait aussitôt enfourché monture pour rejoindre Rouen.
Une fois le logis trouvé il se rendit a la cérémonie
Bermude_de_shanley
[Mardi 16 septembre 1462, après avoir déchargé]

la soirée fut courte, la fatigue du voyage ce faisant, apres quelques chopines partagées avec ca loutre il décidât de rejoindre ca paillasse, Morphée l'appelait au prêt de lui


[Mercredi 17 septembre 1462, une journée avant la cérémonie]

enfin une nuit passée sans problèmes pas de caillasse venant ce loger entre ces cotes et surtout pas les ronflement d'Ouranos, il ce demanda comment un être humain pouvait sortir de tel bruits.

Apres ce petit déjeuné simple, pas d'excès il serait dommage d'être malade la veille d'un grand jours, Ouranos le tira de ca léthargie matinale pour aller faire des emplettes, mais par le plus prompte des hasard au coin d'un rue un Renard apparu enfin une éclaircie dans cette journée brumeuse avec Ouranos qui venait de lui faire acheter un couvre chef d'une couleur innommable pour son mariage, a en voire la tête du vendeur il compris que le commerçant devait ce le trainer depuis un bon bout de temps et qu'il était bien content d'avoir trouvé un abruti pour l'acheter
Pour oublier ces déboires de chapeau berm et ces deux compéres partir boire quelque chopes jusqu'à une heure avancé du matin .



[Jeudi 18 septembre 1462, Jour J !]


après une nuit courte et houleuse, c'est l'estomac au bord des lèvres qui décida de ce préparer pour la cérémonie, il n'osait pas ouvrir la bouche de peur de laisser le petit déjeuné sortir sans prévenir, il jeta quelque coup d'œil à ours pour prendre la température, il était stressé qui ne le serait pas, un condamné qui serait serein ca n'existe pas, ca ce saurait.

les voila prêt, Berm un mal de crane à damné un saint, mais l'estomac avait compris qui était le chef lorsqu'il s'était payé une dernière chopine avant d'aller à le cathédrale, et là une certitude lui arriva aux oreilles , gueule de bois et cloches ne font pas bon ménage, il échangea des regards avec son ami pour essayer de lui faire comprendre qu'il avait les neurones en ébullition, mais ce ravisa et lui sourit comme pour le soutenir, c'était son jours .

il suivit Ouranos pour saluer le Prélat


Bonjour Monseigneur,



Ours lui tends un courrier, il le regarda avec les yeux rond d'étonnement

.


tu me prends pour ton secrétaire,

il sourit pour le détendre un peux mais en regardant l'assemblé il ne reconnu que très mais très peux de personnes

tu as invité combien de personnes


il resta planté a coté d'Ouranos en bon témoin, mais surtout ne sachant pas trop quoi faire, pourtant il n'était pas le marié mais il était surement plus stressé que lui

_________________
Sabaude
[Devant la taverne - Valois qui passe - eux ( Sofio, son époux, Aure, Jason, lui) qui ne trépassent pas. Et si j'ai oublié quelqu'un: se plaindre au narrateur! ]

Appliqué à retenir visages et noms sans trop paraître les étudier, il laissera passer l'homme pressé puis reviendra non pas à ses moutons mais ses complices de pieds de grue devant l'auberge.

Aure.. Aure.... comme un certain avocat du Dragon? de demander sourire en coin, persuadé d'avoir déjà rencontré l'homme.

De saluer le dit Bekeet en se présentant à son tour et de revenir aux....spécialités de l'Université

Gageons qu'il ne faudra qu'une session à notre futur marié pour combler l'épousée et lui donner descendance.

La finesse des mariages....
_________________
Valois
Un peu de repos, un peu de répit.
Il goutait à la tranquillité toute relative de l'auberge, avant d'aller baigner dans le grand bain des invités au mariage. Il se faisait assez discret, préférant rester à l'écart du tumulte régnant, saluant par-ci par-là les quelques personnes qu'il connaissait, ou du moins qu'il avait déjà eu l'occasion de côtoyer, même brièvement.


[Jeudi 18 septembre 1462, Jour J ]

Le jour étant venu, Il s'habilla, assez simplement, le seul luxe dans sa tenue étant son mantelet de velours, doublé de brocard et rehaussé de fourrure. Il se rendit ensuite à la cathédrale, l'édifice, majestueux, s'imposant tant par la taille que par la solennité. Il s'avançait à pas lent en direction du parvis, des invités étaient déjà présent, ainsi que le futur époux. Il ne s'approcha pas de suite, après tout il n'était qu'un étudiant comme tant d'autre, le Vicomte ayant déjà fort à faire pour accueillir ses plus proches invités.
_________________
Simeon.charles
Il n'était pas vraiment à sa place le réformé. Avec ses cheveux mal-coiffés, sa barbe mal-semée, ses habits de maraudeur et sa petite croix poissonnée. Cela aurait pu être pire s'il n'avait pas pensé à laisser son épée à un écuyer sur le parvis. Il n'était pas trop à sa place, il ne l'était même pas du tout, mais pour presque rien au monde il n'aurait été ailleurs à ce moment précis.

La raison était simple : Ouranos se mariait et Ouranos c'était un frère. Ils avaient bu les mêmes vins, chanté les mêmes chansons, tenu l'épée côte à côte, obéissaient tous deux à leur Reine, ils faisaient de la politique en semble et ils étaient très souvent d'accord sur tout... mis à part sur la religion. Mais comme le disait le proverbe ; chacun ses défauts et cela s'appliquait surtout Rome.

Il était donc à "Leur Dame de Rouen", lui n'en avait plus et se tenait dans le fond, prêt de la sortie afin de s'éclipser dès la fin des salamalecs romains. En attendant la libération, l'oeil non bandé était sur le couple et le Roux de Secours qui semble tout à son aise.

_________________
Amandiere
Mercredi 17 septembre

L'Amande avait mis du temps à choisir les effets qu'elle souhaitait emporter. Assise sur son lit, ses toilettes éparpillées, elle se demandait si elle ne devait pas en acheter quelques autres sur la route qui la mènerait à Rouen ... Elle soupira et reporta son regard sur la malle encore vide puis sur le lit et du se rendre à l'évidence ... elle allait arriver en retard d'autant plus qu'il lui faudrait également trier les affaires de son compagnon. Elle comprenait à présent tous ces nobles qui étaient accompagnés de femme de chambre, la facilité avant tout mais surtout la tranquillité.

Sur un dernier sentiment fataliste, elle secoua sa crinière et se mit au travail. Pour midi elle avait terminé, elle troca sa tenue pour une amazone et partie sceller les chevaux. Leurs effets suivraient par chariot.

Nodo était rentré et se préparait. Ils se retrouvèrent quelques instant plus tard et se hissèrent en selle, puis sur un regard complice, se mirent en route.

Ils arrivèrent à l'auberge quelques heures plus tard :


- Tu crois que c'est ici ?
- Ma Foi on dirait bien
- Alors dépêchons de prendre une chambre, tel que je connais Ouranos, il y aura foule à son mariage et il est hors de question que je dorme à la belle étoile.


Jour J

La nuit passa et c'est à l'heure dite que le couple se présenta devant la cathédrale après être passés par la taverne ... et oui ...les bonnes habitudes ne se perdaient pas. Nombres de convives étaient déjà présent. Ils aperçurent le couple, Berm et d'autre convives croisés pour certains au hasard des rencontres.
Calico
Il n'était pas une Sauterelle qui fut un jour en avance et ce n'était pas aujourd'hui que cela changerait. On dirait qu'elle prenait un malin plaisir à faire les choses au dernier moment et ensuite courait pour rattraper le temps perdu. Mariage ou pas mariage, la brunette fit comme d'habitude.

Elle devait partir le jeudi de la semaine dernière à moins que ce ne soit le mercredi pour être au jour dit à l'église pour le mariage de son frère d'armes. Jeudi, mercredi c'est du pareil au même. La Bouillon était tout de même là, le bon jour et c'était tout ce qui comptait.

Habillée en femme, une fois n'était pas coutume, elle arriva au milieu d'une foule bigarrée dont les visages lui étaient inconnus. Il faut dire que son caractère méfiant et sauvage n'aidait pas franchement. Le marié, Bermude, le nain Bekeet, et bien sûr son Borgne, LE borgne, c'était tout ceux qui lui étaient familiers.
Elle s'approcha de Siméon discrètement, comme elle savait si bien le faire.

Bonjour Siméon. Quelle belle journée pour se mettre la corde au cou.

La phrase fut dite à voix basse et elle sourit malicieusement. Il fallait bien rire de temps à autre et surtout quand on ne croyait en rien. La brunette salua Bekeet le nain et Bermude le roux. Ouranos avait l'air un peu tendu.

Bonjour Bekeet, bonjour Bermude. On dirait que Toulouse est en voyage dans le nord.

Un coup d'oeil circulaire vers les trois hommes et elle lança un...

Vous avez des bonnes combines pour dormir pas cher dans le coin?

Très terre à terre, Calico ne roulait pas sur l'or et ne voulait flamber sa bourse dans une auberge bien trop dispendieuse.
_________________
Asphodelle
Un détour par Paris, pour des charges au Louvre qui sonnait la routine. Elle connaissait Rouen, et sans doute ce coup du destin, à ce moment de sa vie, marquait-il quelque chose, un clin d’œil, une résolution.

Rouen, là où jadis, il n'y à pas si longtemps, elle officiait, placée par Eusaias, dans une fière et bravache tourmente, l'oeil rempli de panache et de courage. Là où, bien avant encore, elle a fini de grandir avant d'entrer au service des Saintes Armées...Cicoli, Raphoul, Estoile, Miragouil, Keur, Peter le Grand qu'elle n'a jamais oublié, Scelet, bien sûr...Nanoues, Nico...Lerina...une époque tranquille, bercé par le vent dans ses champs de blé, un temps où les moulins tournaient à plein régime. Elle n'était alors, pas encore une DiCésarini. Elle n'était qu'"Asphodelle". Elle pensait dans ces moments que lorsqu'un garçon vous invitait à danser c'était qu'il voulait vous épouser. Des rubans dans les cheveux, et rien qui ne troublait ni des désirs modestes, ni un cœur pur encore préservé.

Avant d'entrer dans le grand édifice, elle revit aussi le jour de son retour de Notre Dame, dans sa robe de mariée, tâchée et sale. Salim, et sa mère. Elle revit cette chambre louée à la semaine, qu'elle occupa après son retour d'Orient.

Bien trop de choses aujourd'hui, se mettaient entre elle et ces temps anciens, où d'ailleurs, la majorité de ses amis étaient morts.
Elle avait fait un effort de toilette, comme lorsqu'on donne son dernier bal. Elle avait accroché ses cheveux, comme lorsqu'on souhaite plaire, une dernière fois. Elle ne prit le risque de bouleverser le mariage d'Ouranos, qu'elle considérait comme un ami, en refaisant une scène non si lointaine d'un Cardinal infâme, de la trempe de ceux qui donnent du bâton, plutôt que de ceux qui donnent envie de voir le monde autrement que ce qu'il est : laid, menteur, et faux, et parfois, percé par une lumière aux prismes parfaits, comme celle de l'astre qui joue entre les feuilles des arbres.

Elle laissa aller sans entrer le long de la nef, son regard abîmé d'un vert las, d'une menthe à l'eau usée, et, en sage apostate, bien que voyant des amis, ne s'approcha pas, visant un pilier bien connu : dans l'angle gauche de sa base, un bout est cassé, en fond de vaisseau, non loin du portail.

Elle posa son dos droit, et vit le Dracul. Il ne l'avait pas amenée avec lui, finalement. Il jouait avec elle, comme le chat, avec la souris, avant de, droit et le regard perçant, le coeur froid, annoncer la mise à mort, et pour finir, l'administrer. Son regard, c'était un peu comme ce cache : leurre s'il en est, il ne la voyait pas des deux yeux, un seul seulement se tournait vers elle, et l'autre, déjà, partait ailleurs. Le tourment, c'était ce qu'il aimait voir dans ses iris, l'inquiétude, c'était sa muse, son chant d'Olympe. Il n'y avait pas de vision autre possible qu'un amour dans la décharge des entrailles de Dante, entre Siméon, et Asphodelle.
Et pourtant...pour elle, si ce sentiment n'est pas de l'amour, alors il n'y à pas d'amour en ce monde.

Un sourire s'éternise un instant sur sa lippe, tandis qu'elle songe à l'inclination réalisée et inscrite, d'Ouranos et d'Ade. Une autre sphère, une autre dimension.

Et c'était bien comme cela, Ouranos et sa douce, ils étaient bien tous les deux, ils suivaient le cours tranquille de la vie, ils ne méritaient rien d'autres que ce mieux, et ce soleil sur les jours d'hiver, et sûrement, au printemps, une fleur éclose.

_________________
Ade
[Jour J]

Elle n'avait pas réussi à fermer l’œil de la nuit. Aujourd'hui, ils se diraient oui pour la vie, elle en était heureuse. Elle soupira profondément: pffff une cathédrale!!

Cela ne lui ressemblait pas, ce n'était pas elle: trop grand, trop de monde, trop de tout... mais elle n'avait pas eu trop le choix. Elle se leva tranquillement et alla réveiller son amie Sgamine:

Coucou toi,
aller aide moi à me préparer il ne faut pas qu'on soit en retard.


Elle s'habilla, se maquilla, se coiffa, se remaquilla et se recoiffa. Voilà, tout parfaite!


Elle regarda Sgamine:

bon bah là c'est bon? on n'a rien oublié?

Elle fit un gros bisou à son amie : merci d’être là.

Allons y



Une calèche les attendait déjà devant la porte elles montèrent dedans. En arrivant devant la cathédrale, elle vit tout ce monde devant la porte et se nia à descendre.

non non non...

Elle sentit ses larmes montées, paniquée. Elle ne connaissait personne, s’étant montrée jusque là discrète aux côtés d’Ouranos. Elle ne vit pas non plus son parrain qui aurait pu être un soutien pour elle. Elle ne pouvait descendre de son refuge dans cette calèche...
Sgamine
Sgamine fut réveillée par son amie, elle se leva, se lava, s'habilla et se coiffa.

Sgamine etait presque plus nerveuse que son amie Ade, elle tournait et retournait partout dans la maison, elle vérifiais que rien n'avait été oublié.


Ade lui parlait et l'entendait mais ne l’écoutait pas, pis elle vit son amie lui bisé la joue elle revint a l'instant présent, le mariage de son amie.

Elle souriait son amie était ravissante


Merci a toi de m'avoir invité, j'aurai raté ca pour rien au monde.
Combien d'invités as tu dis qu'il y aurai déjà ?


Mais elle voyait son amie la tête occupé a d'autres pensées, elle la suivi dans la calèche.
Ouranos avait vue les choses en grands.
Jusoor
En une Bourgogne politique troublée et par des temps tout aussi maussades, Jusoor avait parcouru le vélin qui lui était parvenu. La surprise s'était d'abord emparée de ses traits, puis l'apparence de la réflexion. Il s'agissait là d'une bonne nouvelle, le Bouillonnant frère d'armes se noçait. Elle ne pouvait lui répondre que par l'affirmative et s'en réjouissait.
Elle finit de parcourir l'invitation. L'épousée, elle n'avait l'heur de la connaître, tout comme Rouen la touristique d'ailleurs, lointaine de ses terres. Pourtant l'idée de ce déplacement n'était pas désagréable, et pour celle qui avait prévu de s'éloigner du marasme bourguignon, cela tombait à pic.

Elle devrait partager avec Etienne de cette invitation, voir avec lui la suite qu'il souhaiterait y donner, l'homme n'étant guère friand de cérémonies. Son regard tomba à nouveau sur l'invitation
. "Cathédrale de Rouen, Monseigneur David blablabla..." Un soupir de déplaisir franchit ses lèvres. La messe serait donc romaine. Après une seconde elle convint de s'en accommoder, son frère d'armes méritait bien ça et c'était là son choix, qu'elle respectait. Même s'il fallait se cogner toute l'hypocrisie romaine.

Des jours plus tard sur un parvis rouennais

Quoique la houppelande fut longue, la mignonne cheville s'exposa brièvement lorsque la Corbelette descendit du coche frappé à ses armes. D'un regard circulaire elle fit le tour de la masse des invités, stagnante devant la cathédrale ombrageuse jusqu'à ce que l'heure d'entrer soit venue. Sur leurs flancs, quelques mendigots et autres pauvres gens s'étaient rassemblés, comme une évidence. L'évidence Jusoor s'en contrefoutait, "aide-toi et le Ciel t'aidera" disait-on, et traversa donc les groupes d'invités sans s'arrêter aux mains tendues, ratant le futur marié pris au milieu d'un de ces groupes. Bientôt, elle avait rejoint la pénombre fraîche de la cathédrale.

Le temps que ses yeux s'acclimatent à l'obscurité, la fraîcheur s'était déjà emparée de sa peau qui s'était soulevée en une chair de poule digne de ce nom
. "Bordellerie... Rome est aussi glaciale dans ses édifices qu'elle l'est dans ses pardons". Fouillant des yeux les premiers bancs une question lui parvint et la fit sourire largement :

Vous avez des bonnes combines pour dormir pas cher dans le coin?

La voix lui était familière, tout autant que le ton emprunté et le pragmatisme de la réflexion. Elle se tourna vers là d'où provenait la question et reconnut Calico, quoiqu'elle marqua un temps d'arrêt devant la tenue féminine de celle-ci, et à ses côtés, le Borgne. Bermude aussi. Et... ah non lui, le nain, elle ne le connaissait pas. Elle s'approcha, attributs de Bouillon ornant son col.

Le bon jour vous va gens de Bouillon !
Que voila une paisible occasion de voir les toulousains, si différente des autres. Espérons que celle-ci ne se termine pas dans le fer et les larmes
. Elle leur sourit, car il était encore permis de douter de cela dans un tel endroit et se glissa parmi eux.
_________________
Evenice06
Elle est rouge de colère...Forcément elle n'aime pas être en retard et pourtant là elle va l'être c'est sûr...
Mais tout s'est détraqué avant de partir...
La robe commandée pourtant à l'avance pas prête parce que la couturière malade, pas tous les accessoires non plus, motif "Pigeons restés au nid en réclamation pour obtenir plus de grains de maïs", le carrosse inutilisable, forcément ça roule très mal avec une roue en moins, bref devant tous ces aléas de la vie on ne peut être qu'en colère..

C'est donc à cheval tout simplement et "Venez comme vous êtes" qu'elle arrive sur les lieux du mariage et cherche des visages connus.
Le premier groupe qu'elle voit c'est Belrupt en déplacement...
Alors ça c'est une aubaine, ils sont venus ils sont tous là dès qu'ils ont entendu ce cri...

Mais non ça c'est autre chose, elle salue tout le monde, bisous par ci, bisous par là, vérifie que Sofio n'a pas amené ses doonuts moisis, et finit par son frère de coeur, le beau Jason.


- Coucou mon Jason...j'ai cru que je n'arriverais jamais ..
Je ne suis pas trop en retard? Les futurs mariés ne sont pas encore là?

_________________
Kaos
la Normandie ?

Quand il avait demande à Louise ou c'etait , il avait eu comme reponse

Au nord !

heureusement que le padre savait ou c'etait ,un peu apres Paris !
kaos n'y avait jamais ete ,l'invitation d'Ouranos tombait bien !


et hop quelques bagages et ses medailles il enfourcha son cheval et c'est parti !
Etonne mais flatté de l'invitation ,il chevaucha pendant plusieurs jours ,tua quelques brigands,quelques sangliers et apercut les faubourgs de la ville !


De grandes fleches ,tu peux pas les louper ! lui avait dit le padre !

Apres avoir laisser son cheval à l'auberge il se dirigeat vers le lieu de la ceremonie,flanque de son beau mantel rouge et de ses medailles qui brillaient ,une du roi jean et une autre du Comté !
Arrivé ,il vit que la foule se pressait,et il apercut beaucoup de tetes inconnues mais soudain ,il en vit une qu'il connaissait que trop bien,Oliver,ben ca alors invite lui aussi ,il se dirigeat vers lui et lui flanqua une bonne bourrade

Alors ,Ami,toujours le premier à faire bombance !

autour d'eux des gens du comte dont la Comtesse,des"burnes " enfin des amis à Ouranos ,quoi ,c'est ainsi qu'ils se nomment !
Il attendit la suite de la ceremonie ,pas fache qu'il soit pas trop arrive en retard !
Etienne_lahire
A peine étaient-ils arrivés à Rouen qu'Etienne avait décidé d'explorer les rues de la ville. En vérité, c'est plutôt le port qu'il vise, port célèbre par l'intense trafic marchand qui, de ses quais à Paris ou à ceux d'Angleterre, irriguait tout l'âme de la région.

Trouver le port n'a pas été bien long évidemment. Il suffit de remonter le flux des charrettes bondées que l'on entend de loin craquer sur les pavés. De là-bas viennent aussi par grappes concentrées des porte-faix courbés transpirant sous la charge et cette bruine froide qui suinte depuis tôt ce matin sur le pays normand.



L'eau, voile de gouttelettes, estompe les lointains, les arêtes des murs et même le haut des mâts qu'Etienne a pu enfin trouver.

La déception a été à la mesure de son erreur. Etienne voulait respirer l'air marin, il trouve un vaste port bouillonnant sur la Seine.
Le vent d'ouest atteste d'une gifle glacée, qui porte l'odeur des algues, que la mer n'est pas loin.

Pas loin, certes, mais pas là.

Etienne a observé une heure le trafic sur les quais. Une main en visière pour protéger ses yeux de l'eau grise qui ruisselle, en suspension dans l'air, il a compté les sacs, observé les denrées que, de ce bateau récemment accosté, des marins en haillons débarquent en silence. Sel, vin, du fer qui s'embarquait et du bois, l'Angleterre avait toujours besoin de bois. Poissons séchés, tissus, remontaient à Paris. Des ballots de fourrures, qui venaient sans doute de la lointaine Skandie, peut-être de Latavia, ou bien d'Hyperborée, avec des caisses entières où Etienne avait vu marqué le mot "ambre", débarquaient en grand nombre. On les emporte dans la ville où des marchands les valoriseront.

Point de mer... Etienne n'aime pas les fleuves.
Ne s'attardant pas plus il tourne les talons.

La cathédrale griffe de loin le ciel gris. Ses clochers sont si hauts qu'elle se croit capitale. Rouen est grande ville, presque autant que Paris.

Un peu plus tard, le Bourguignon remonte les flancs de l'édifice : il l'a abordé par derrière et par curiosité, pour examiner en silence les différents portails. Ci celui des boursiers, que l'on appellera plus tard le portail des libraires. Etienne se promet de visiter, dedans, les chapelles des métiers. Les forgerons en sont, il veut en voir les armes.



La façade ouvre à l'ouest comme souvent. Là se presse une foule qui a formé des grappes. Etienne reconnait les couleurs de Jusoor sur la porte de la voiture qui s'éloigne. La Corbelette, peu fascinée par tout ce qui a trait à l'eau, n'a pas souhaité l'accompagner dans son exploration du port et il est convenu qu'il se retrouvent là.

Ses yeux habitués reconnaissent rapidement la silhouette longiligne de la Princesse qui, ayant fendu la foule avec son regard froid pour toute et dure étrave, s'engage à présent dans l'ombre de l'édifice.

Il lui faut peu de pas pour rejoindre la jeune femme, occupée maintenant à saluer un groupe. Etienne en reconnait sans peine et les voix, et l'accent. Il se dirige là pour rejoindre la brune.


- Bouillon, le salut !
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)