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[RP] L'homme a reçu de la nature une clef....

Kronembourg
« Il n'est rien de plus urgent que d'apprendre la patience, le plaisir de se perdre, la ruse et le détour, la danse et le jeu, pour se retrouver capable de façonner sa vie comme une ironique oeuvre d'art. »
Jacques Attali


Jouer.
Tous les deux ne savait faire que ça. Jouer. Jouer et se jouer, l'un de l'autre autant que l'un avec l'autre, abattre leurs cartes, miser sur leurs atouts, tenter parfois le bluff et espérer remporter le pot in extremis sur la dernière mise.
C'est ainsi que leur relation avait commencé. Jeu dangereux, liaison dangereuse, flirt et badinage les ayant conduits Elle contre le mur d'une taverne Bordelaise, et Lui immergé sous sa robe. Par jeu. Jeu de séduction, de surenchère qui vous entraîne dans l'audace.

Et à chaque moment de jeu, les cartes et les ruses se voyaient redistribuées dans une nouvelle donne déconcertante. Lorsque la Sirène se renversa au sol, bouche entrouverte et main sur son visage, son coeur chavira et il faillit céder à la facilité terriblement tentante de la recouvrir et de faire céder peut-être trop rapidement le verrou de cette robe qui, de par sa position allongée, laissait maintenant entrevoir une jambe pleine et une cuisse ferme, dont il arpenta la peau jusqu'au genou, avant que sa paume recouvre l'articulation puis remonte vers l'intérieur en traçant quelques sillons du bout des ongles.
Auprès de Cyrinea, rien n'était jamais conquis d'avance. On pouvait la croire en position de capituler au moment même où elle reprenait le dessus.
Il n'échancra donc pas la robe davantage qu'elle ne l'avait laissée au naturel, mais les sillons de ses mains atteignirent rapidement une peau plus fine et ô combien plus sensible dont il se joua, évidemment et indécemment sous l'étoffe, avec le plat du doigt.
L'autre main qui avait capturé son poignet l'amena à hauteur de son entrejambe. Son regard s'ancra définitivement dans le sien.


Montrez-moi ... Souffla-t-il pendant que déjà le doigt profanait à outrance l'intimité sacrée.

Ne pas voir la cause mais en voir les effets, voilà qui lui semblait tout à fait jouable, comme mise en bouche.

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Cyrinea
« Le domaine de l'érotisme est voué sans échappatoire à la ruse. »
Georges Bataille



Elle eut voulu qu’il plonge, sa main seule effleura sa jambe.

Elle eut voulu qu’il pèse de tout son poids sur elle, il se joua d’elle en jouant de ses doigts.

Elle eut voulu qu’il la veuille délivrée de ce désir torride, son outrance ne fit que l’embraser davantage.

Si bien qu'elle ne voulut rien d’autre que ce souffle sur son visage qui, par ruse aussi bien pour elle-même qu’à son égard à lui, affichait toute l’impassibilité que son corps démentait déjà lorsque la main posée sur sa joue se referma sur ses cheveux. La passion veut tout mais trouve son point d’orgue dans ce tout qu’on lui ôte. Provisoirement.

Main emprisonnée à hauteur de son entrejambe.

Doigt qui se libère pour s’aller rejoindre le sien, par-dessus la robe, deux doigts séparés par un morceau de tissus mais qui jouent à l’unisson.

Regard qui se voile et perd de son impassibilité. Le temps s’arrête et se dilate, comme les verbes de ne plus se conjuguer.

Plaisir. Yeux troubles. Pensées en berne. Mains indociles.
Renflement sourd à effleurer, chevelure dès lors libérée, mèche sur le front, séduction.

Regard vers la ceinture encore nouée.

Tandis que les reins de la Sirène dialoguent avec le Duc, les mots jaillissent, faibles, mais impérieux de ce regard qui cherche :


A vous de me montrer...
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Image trop lourde.
Enlevée par Mouchette admin forum.
Kronembourg
"Près d'une femme qui possède le génie de son sexe, l'amour n'est jamais une habitude."
Honoré de Balzac.


Ne pas voir, mais deviner.
Ne pas ressentir, mais imaginer.
Ne pas se hâter, mais savourer.
Se fier aux sens les plus inattendus, contourner, ruser, contourner encore, que délice et supplice mêlent leurs émois jusqu'à se fondre, se confondre l'un à l'autre.

Aux doigts, l'un masculin, l'autre féminin, de se rencontrer sans se toucher et de joindre leurs audaces et leurs danses autour du point sacré. Duel auquel tous deux s'adonnent pour le plaisir de s'extirper quelques soupirs, légers, qui s'évanouissent dans l'air et troublent à peine le silence de leur petit coin de verdure.
Le corps de la femme répond, se livre, confession fluide d'une impatience encore fébrile qui se nappe autour de lui, l'embrasant à son tour.

Il voudrait ne plus deviner, mais voir.
Il voudrait ne plus imaginer, mais ressentir.
Il voudrait ne plus savourer, mais se hâter.

Mais ne serait-ce pas là transgresser les règles du jeu ?
La robe se voit ainsi remontée jusqu'à hauteur de son intimité, le corps se dévoilant au regard du Duc qui prend position à genoux et égare son doigt en un point, puis en un autre, frôlant encore la perle et imprégné de la douce rosée de sa partenaire, jusqu'à se frayer un chemin à travers l'étroit interdit de son antre.

Elle le ramène à la raison. Leur jeu se joue à deux. Et au trouble de son regard de se faire insolent tandis que le cliquetis de son ceinturon se fait entendre et que le cuir s'écarte délicatement de ses braies. Son vit orgueilleux s'en libère et se voit saisi d'une main ferme. Le soleil cogne et c'est tout son corps qui s'embrase au moment où ses doigts se referment le long de Lui, de caresse en retour, lui arrachant un premier soupir .


Je vous laisse le choix des armes , lui souffle la voix rocailleuse et provocatrice pendant qu'il s'avance à mi-chemin entre sa main et sa bouche.

Si ses lèvres s'ourlent encore d'une courbe amusée, il sait que bientôt il ne sourira plus.
On ne peut plus feindre lorsque l'on désire vraiment.
C'est pourquoi l'homme reprend d'une voix légère laissant à supposer qu'il se maîtrise encore parfaitement.


Alors ... Vous jouez ?
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Cyrinea
Comment résister à ce que l’homme que l’on aime a de plus orgueilleux quand cet orgueil vous est insolemment offert ?

Un cliquetis.
Le bruit du cuir qui frotte.
Un doigt qui la chavire.
Annonce de ce qui se dévoile.
Un chemin qui se prend.
Dont elle sait qu'il va s’emplir de cet orgueil et lui arracher des râles.

La scène est hypnotique. La Sirène hypnotisée. Ses yeux fixes incapables de se détacher de cette main virile qui s’empare de la seule virilité qu’elle désire au monde.

Quand il soupire, elle brûle d’envie de se jeter contre lui, ou plutôt qu’il se jette sur elle, elle ne sait plus. Elle veut tout. Tout de lui, d’eux, et d’elle tout lui donner.

Et de sourire quand il redevient provocation :


Il me semble que nous avons là une belle arme.

Dit-elle, souffle-t-elle, alors que sa main effilée rejoint la sienne, comme elle l’avait fait précédemment, incapable de résister à l’accompagnement du ballet de son doigt. Son doigt…le plat de son doigt…Depuis une certaine missive qui avait valu à une armoire entière de verres de se briser, il suffisait qu’elle pense à ce « plat » pour que tous ses sens chavirent.

Sa main prend peu à peu toute la place ; chasse celle du Duc ; elle veut voir son visage, sur lequel se dessine encore un sourire, devenir grave, grave de ce désir qui donne à l’acte d’amour le sentiment que vous allez vivre la chose au monde la plus importante de toutes, presque la plus tragique et que de la mort qui va s’ensuivre les larmes vont être celles d’un bonheur inouï mais tellement profond que vous désireriez presque que les corps fussent statufiés dans le dernier soupir.

La fin d’un monde à toujours renouveler dans la même urgence. Qui s’invente et se réinvente parce que vous connaissez la fin et que de cette fin vous ne pouvez vous passer et la voulez toujours même. Ou mieux. Mais de ce mieux dont l’étincelle vous laisse chaque fois haletants et sans force. Emerveillés.

Alors que sa bouche à lui se trouve en un point où partout elle pourrait s’égarer, que sa main à elle se repaît et cherche à le repaître en mouvements alternativement suggestifs ou plus fermes, que son pouce s’égare, se replie pour s’égarer encore en découvrant et caressant une extrémité à la douceur bouleversante :


Je joue…, tarda-t-elle à lui répondre. Et veux vous voir danser.

Conclut-elle dans un murmure à peine audible.
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Image trop lourde.
Enlevée par Mouchette admin forum.
Kronembourg
Il y eut le Juste avant.
Le moment où elle posa les yeux sur lui. Le moment où le sifflement de leurs souffles ne rompait pas encore tout à fait le silence de l'herbe couchée par le soupir du vent. Le moment où l'esprit et le corps se maintenaient en attente. Otages d'un trouble où le jeu perdait peu à peu sa place.
Et pourtant.
Le ballet de ses doigts n'était que jeu.
Le souffle de sa voix n'était que jeu.
Son pouce égaré dont il ressentait chaque caresse jusqu'à l'intérieur de lui n'était que jeu.

Puis il y eut la déflagration. Fulgurante, intense. Le moment où le corps commanda à l'esprit de cesser le jeu. Où l'esprit supplia le corps de céder au désir. Le moment où l'aveu s'extirpa tout contre ses lèvres. Le moment où la moite torpeur irradia tout son être.


Je vais vous faire une petite fille , affirma la voix grave avec une foi si intense qu'elle se fit vérité.

Une vérité juste conçue pour eux, rien que pour eux, rien que l'espace d'un moment. Car peu importait que l'union de leurs corps soit féconde. Seul comptait sur l'instant l'arrondi de ses lèvres en lequel il plongea. Seule comptait l'inclinaison de son buste qu'il fit chavirer. Seul comptait l'écarté de ses jambes en lequel il prit place. Avant de céder au plus sublime des plaisirs lorsque sa bouche s'éloigna de la sienne et que la robe remonta. Pour se rabattre par dessus un visage avide de lui composer de longs, de puissants, cris d'euphorie. Il la voulait hurlante, délirante, jusqu'à l'infini.

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Cyrinea
Promise land…Sexy girl…Electric man…♫


Promise land…Sexy girl…Electric man…

C’est ce qui se dessina dans son paysage mental dès lors que cessa le ballet de leurs doigts et que la Sirène se sentit submergée, renversée, et que plus rien ne compta que cette masse de désir qui plongea sur elle. A l’évocation de cette « petite fille », au ton impérieux et grave, elle substitua à l’idée de fécondation celle d’une création tout en jaillissement, qui lui fit voir des étoiles avant même que son corps ne les concentre en son ventre pour faire de tout son être le réceptacle électrique de cette offrande à venir.

Si bien que quand le Duc disparut sous le tissu de sa robe, ses mains impérieuses le pressèrent contre elle en même temps que son bassin lui échappa pour se tendre vers lui. Double mouvement qui se fit dans un cri étouffé, tête renversée vers un ciel limpide et elle appréhenda un monde à l’envers nourri de cette seule sève qui naissait, s’écoulait, et la rendait vivante et palpitante.

Elle ferma les yeux. Ses mains se firent plus légères, son souffle se raccourcit, sa conscience se focalisa, émerveillée qu’un seul point en elle puisse faire perdre raison à son entièreté, et raison elle perdit.

Ils étaient le monde et Sa langue, telle un rayon qui darde de sa brûlure une nature assoiffée de soleil, lui arracha ces cris qui conjurent et supplient.

Alors, elle supplia.

Alors, elle l’attira.

Dans un «
Viens » dont l’écho veut mourir, lèvre contre lèvre, en un seul souffle.

Promise land…Sexy girl…Electric man.
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Enlevée par Mouchette admin forum.
Kronembourg
Elle ne pouvait pas le voir, car le visage du Duc se faisait ombre mouvante sous les plis de sa robe, mais il souriait. Largesse étirée au fur et à mesure que les jambes tremblaient, que le corps vibrait, s'abandonnait sous les arabesques mutines dessinées en son creux, que le brasier se propageait, d'arbre en arbre, indubitablement, embrasant lentement la forêt toute entière.

Elle ne pouvait pas l'entendre, car il froissait le tissu dans l'ardeur, mais il exprimait le plaisir autant qu'il le délivrait. L'homme se satisferait de tout ce qu'il pourrait lui consacrer en délices bruts et solitaires au sein même de l'acte d'amour, pourvu qu'elle l'implore, le conjure d'exprimer cette brutalité avec elle, en elle, insoutenable aussi longtemps qu'elle restait contenue.

Et elle l'implora.

Et elle l'attira.


Je veux sentir le plaisir jusqu'au fond de tes entrailles.


Volonté impérieuse et haletante coulant à son oreille comme lentement coulaient les perles sur son torse qu'un geste brutal venait de délivrer de sa chemise.
Et peu importait que la robe soit encore là, troussée jusqu'à ses hanches, peut importait qu'il en arrache la partie haute en vue d'en faire jaillir deux monts surpris et arrogants sous le soleil, il peinait déjà à modérer son emprise pendant que leurs bassins se confrontaient dans un premier assaut, une première rencontre, un premier voyage.

Les quelques secondes qui suivirent lui parurent si intenses qu'il en lâcha un soupir, retenu trop tard. Le jeu n'était plus, le voyage s'annonçait long et agité. De détours en escales, l'on dit souvent que l'important n'est pas la destination. Mais le chemin.



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Cyrinea
Elle l’attira.

Et il la submergea pour la couvrir, la découvrir, l’emplir de sa voix, l’emplir en trouvant la voie.

Et elle fut submergée par ce qui lui était toujours une redécouverte.

Par ce que son corps offert avait d’impudique et de passionné. De soumis et de volontaire.

Par cet instinct qui s’empara d’elle pour se tendre vers lui.

Par ce sentiment qui la poussait sans cesse vers une audace désespérée de ne jamais savoir ce dont demain serait fait.

Si bien qu’elle se fit ferme dans ses mains, ferme dans ses jambes, qu’elle fit de lui un prisonnier, lui, qui était déjà son geôlier.

Dès lors, elle ne fut plus que soupirs, déhanchements impérieux, gestes qui lacèrent presque dans leurs caresses, regards qui implorent une déchirure lumineuse dans le ciel en réponse à celle de tout son être.

La lame de fond qu’elle sentait déjà poindre dans une brûlure diffuse, dont elle savait qu’elle allait transformer son corps entier en vagues incandescentes, la fit cogner vers lui, implorer sa rencontre, et le bonheur le disputa au tragique.

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Kronembourg
~~ Temps suspendu, temps d'un regard ~~


Cyrinea.
Il fut un temps où nous ne vivions que pour nous. Un temps où le temps volait en éclats. Un temps de hauts vols et de hautes envolées. De sueurs et de cris. Au bord d'une table. Derrière un comptoir. Contre un verrier. A l'arrière d'un coche. Dans l'eau glaciale du Tarn. Sur le pavé d'une taverne. Jamais dans le confort. Jamais dans un lit. Un temps où nos odyssées nous submergeaient d'angoisses, de troubles et d'euphories. Où l'on se foutait des autres en ce que seule comptait la violence de nos corps fusionnés. Où nous comptions les heures interminables jusqu'à ce que nos langues, nos mains et nos corps se retrouvent enfin. Haletants et pressés. Plus fébriles encore que nos esprits qui ne pouvaient plus réfléchir.
Il fut fréquent que vous soyez la première à déboucler ma ceinture et m'attirer contre vous. Me soufflant un « Viens » brûlant comme vous venez de le faire. Un « Viens » qui me faisait perdre tout contrôle. Un « Viens » qui m'envahit encore pendant que je vous envahis, dans l'herbe, maintenant.

C'est indécent. C'est vertigineux. C'est indescriptible.
Et pendant que nos regards se touchent et que mon corps vous transperce, que vos jambes me font prisonnier et que je vous écroue au sol, je sens surgir en moi l'urgence d'aller plus loin, plus grand, plus violent, comme si je vous prenais aujourd'hui pour la dernière fois.
Nous ne serons jamais deux être sages. Nous ne devons jamais l'être, pour subsister. C'est à cette condition que nous saurons nous jouer du temps. Soyons-le encore moins aujourd'hui. Choquons-nous, surprenons-nous encore. Baisons comme nous ne l'avons jamais fait. Nous serons beaux dans la violence, dans de nouveaux débordements, dans l'incandescente indécence de ce que nous n'avons pas encore osés. Que la déchirure lumineuse nous arrache des cris. Que les vôtres soient toujours plus forts. Plus longs. Jusqu'à ce que mon nom s'arrache de vos lèvres. Jusqu'à ce que vous rougissiez. Enfin.



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Cyrinea
Elle s’était perdue si longtemps dans son regard qu’elle fut un instant incapable de penser ou même de ressentir. Car l’absolu ne se ressent pas : il s’appréhende tel un tout qui vous emporte dans un tourbillon désincarné et vous savez alors que vous pouvez mourir.

Tout la vie de la Sirène n’avait été que la recherche de cet absolu, de cette transcendance, jusqu’à celle du mal qu’elle avait deux années durant poursuivie dans l’idée presque naïve que si l’on va plus loin, toujours plus loin que cette souffrance qui vous étripe, elle y trouvera son apaisement et vous foutra enfin la paix.

Le temps n’avait pas suspendu son vol et c’est ce temps-là même qui avait fait son office, jusqu’à LA rencontre.

Et c’est ce que pouvait lire Stanislas dans ses yeux alors qu’en elle il la dardait de gris et qu’elle ne s’en défendait pas : « Franchir la limite, non celle de la provocation qui nous rapproche et nous éloigne, mais celle de l’éblouissement quant tes yeux et Esperanza me brûlent, et cet espoir qui me fait te dire, toujours, plus loin, plus vite, plus fort ».

Et c’est en criant son nom avec autant de violence que ce temps qui s’était tu, qu’elle perdit le contrôle, se laissa posséder par le plaisir, et que cette peur de ce que l’on appelle de ses vœux s’évanouit pour Lui dire, qu’à jamais, elle était Sienne.

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Image trop lourde.
Enlevée par Mouchette admin forum.
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