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[RP] Vilaine en procès ? Panpan cul nu aux baudets nanifiés

Nessty_la_vilaine
[Quand la Vilaine manque de dire : je vous aime tous ! Enfin presque...]


A son très cher Dormeur des Tavernes qui vint lui souffler quelques questions dans l'oreille, oui souffler et non brailler, la Vilaine sourit amicalement et lui répondit en murmurant malicieusement :

Suis revenue car j'ai fait un trou dans ma cape et que j'avais besoin de quelques peaux de rats pour réparer cela... Puis j'sais que j'vous manque à tous ici, hein... et j'avais une promesse à tenir : m'arrêter à Niort pour trinquer avec toi.

Quand il revint après sa présentation au procureur, elle ne put qu'éclater de rire en l'entendant. C'est qu'il la connaissait bien ! Même si elle ne lui avait jamais montré ses fesses rosées et dodues.
Au tour de son fillot par procuration de passer la saluer.
Quelle joie pour la Vilaine de voir ces gaillards qu'elle avait tant martyrisés en taverne à Niort venir la soutenir. Faut dire qu'elle les aimait bien aussi, et ce depuis des années, même s'ils ne partageaient pas toujours la même vision.



Soutenant le regard du juge lorsqu'il tenta de la sermonner, elle lui balança sans hésitation :

Vi, vi, votre zhonneur... on va appeler cela la faute de Totographe... sauf que lorsque votre ptiot d'la cure cause, rappelez lui de se tailler la langue et de la tremper dans un encrier avant !

Puis pas la peine d'engueuler les gens qui se présentent poliment... pas à vous qu'il parlait en plus.... Tssss !


Si le jugelot commençait à avoir des hallucinations en devinant les pensées ou en s'imaginant que l'auditoire de plus en plus étoffé s'adressait à lui seul, une main pour la fessée n'allait pas suffire. La Vilaine regretta d'un coup de ne pas avoir emporté son fouet. Haussement d'épaules.

Tournant son regard vers la salle pour surveiller où Orobas et Fayom allaient s'installer, Nessty vit sieur Lord se lever pour demander la parole. Curieuse comme un pou, un pou pas forcément du Poitou, elle ne le lâcha pas des yeux jusqu'à ce qu'un froissement de papier détourna son attention. Un billet sous son nez ! Une écriture qui ne lui était pas inconnue ! Un mot toujours aussi anonyme ! Nessty grogna de ne point pouvoir remercier l'expéditeur et opina de la tête pour acquiescer silencieusement en espérant qu'il comprenne. Elle se tordit quand même le cou pour chercher une nouvelle fois parmi les badauds duquel cela pouvait venir. Mais comme en Cour d'Appel, ce fut en vain. Quel salopiaud de ne pas se dévoiler. Des trognes connues et d'autres parfaitement insignifiantes mais aucune ne coïncidait avec un visage scanné à Paris par ces mêmes Vilaines akènes pourtant bien affutées.



C'est à ce moment là que Nessty découvrit sa ptiote Abeille en train de tenter de se frayer un chemin et s'écria en pointant la donzelle du doigt :

La vlà !

Ma nanavocate est là ! J'vous l'avais dit qu'elle en tarderait pas !


La frimousse effrontée se tourna spontanément vers le juge.

Que vos gardes la laisse passer, tudieu !

Et maintenant faites venir les témoins de l'accusation qu'on s'marre encore plus... hop, hop, hop !


C'est également à ce moment là que la Vilaine se rendit compte qu'elle s'était trompée de porte d'entrée pour accéder dans la salle d'audience... Pas de gardes à la porte réservée aux magistrats mais à la porte principale, chose logique malgré une vieille habitude dont cette ancienne magistrate poitevine n'arrivait pas à se défaire. En tout cas, il y eu de quoi gonfler un peu plus son égo déjà peu commun : des gardes, cela signifiait qu'on avait toujours autant peur d'elle ici, youhouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu ! Comme elle se la pétait en regardant Louise arriver, rassurée pour sa propre réputation de chieuse impétueuse, contente comme une gamine de retrouver sa belle complice, gâtée par la présence de tant de personnes qu'elle portant en sa Vilaine estime et surtout pressée de coller la plus belle des fessées en public à une sacrée bande de baudets nanifiés. Pour témoigner de son euphorie, Nessty leva son séant. Ouais, ouais : elle ne se bougeait pas le cul pour n'importe qui. Debout et tournant carrément le dos au jugelot, elle attendit que sa nanavocate s'avance jusqu'à elle, avec un énorme sourire sur le visage. Pour les bras... comment dire... elle tentait d'en garder le contrôle en les rivant sur ses hanches, sans quoi elle risquait de se perdre et de les coller autour de la ptiote pour la serrer contre elle. Nan mais, pas d'effusions sentimentalistes chez cette chiasse de 1ère classe, surtout pas devant tant de monde. Mais le coeur y était... Déjà qu'elle avait collé une bise à Cali en pleine taverne. Pouark ! Donc pas les bras, pas les bras !


PNJ annoncé et accepté : Donald Duck le plongeur ! Ah non... erratum... c'est Ronald_le_jongleur

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--------------------------------> Collectionneuse de procès débiles : Touraine, Poitou
Alexans
Alexans remarque la présence de Lord_mnack, c'était plutôt facile puisqu'il est probablement le seul à se plier aux règles et sourit allant lui accorder le droit de parole mais entend Nessty et lui fait signe d'attendre une petite minute.

Vous n'avez pas à dicter comment je contrôle le tribunal, vous pouvez chuchoter cela passe mais quand votre ami parle d'un bout à l'autre du tribunal au procureur, désolé j'entends, j'aime pas qu'on parle par-dessus moi.

Regarde de nouveau Lord_mnack et lui sourit.

J'espère que cela est pertinent, que voulez-vous? Ensuite nous allons commencer à faire entrer les témoins de la procure.

Alexans écoute ce qu'a à dire Lord_mnack.
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Nessty_la_vilaine
La Vilaine, toujours debout, les mains sur les hanches à attendre sa nanavocate, laissa les gémissements du jugelot lui entrer dans une oreille et ressortir par l'autre. Il ne fallait pas être doté d'un grand entendement pour se souvenir qu'Orobas était venu lui souffler dans l'oreille alors qu'elle était assise sur le banc des accusés donc non loin du juge, qu'ensuite il s'était présenté au procureur installé lui aussi non loin du juge avant de revenir vers la Vilaine. Ce n'était qu'après avoir fini de papoter avec la bougresse qu'il avait rejoint le fond de la salle.
Toute le monde en était témoin, sauf ce jugelot qui se donnait corps et âme pour se discréditer toujours un peu plus.

Peut être qu'aux prochaines festivités de la nativité la Vilaine lui offrirait avec des culs de jacqueline bien épais pour lui servir de lorgnon devant chaque oeil ? A moins qu'elle ne décide d'avoir sa peau d'ici là. Cape à réparer oblige.


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--------------------------------> Collectionneuse de procès débiles : Touraine, Poitou
Louise.....
Ah ben le voyage fut long et frais. Elle s'était un peu perdu en route mais finalement était arrivée. Elle priait le ciel que Ness s'était trouvé une nounou pour le vermisseau.
Evidemment pendant le voyage elle avait eu tout lieu de prendre connaissance non seulement de l'acte d'accusation mais aussi des lois du Poitou. Si ça continuait elle saurait sur le bout des ongles les codex de chaque région.
Le cheval remisé à l'auberge la plus proche et la voilà entrant dans le tribunal.


La vlà !

Ma nanavocate est là ! J'vous l'avais dit qu'elle en tarderait pas !


Sourire de Louise. Sa cliente préférée ne changeait pas. Et de se frayer un chemin vers le juge. Salut poli au juge et petit sourire au coin des lèvres. Il ne savait pas encore ce qu'elle lui préparait mais ça risquait d'être encore joyeux. Décidément les cour de justice des provinces se suivaient et se ressemblaient.

Bonjour messire Juge. je me présente, Louise, avocate des Dragons. Je suis ici pour défendre la dame ci nommée Nessty.

Et de regagner sa place et disposer les parchemins devant elle attendant poliment que le procès démarre.
Sventovit
Le procureur Sventovit vit l'avocate des dragons arrivée. Il se dit que cela n'allait pas être facile. Comme l'avait grossièrement deviné Lord Mnack c'était bien la première fois qu'il exerçait dans un tribunal civil. Et oui il avait plutôt l'habitude de la justice militaire. A l'origine Svenotivit Simia était lieutenant dans l'Ost Poitevin. Contrairement au charismatique érudit il était un roturier et n'avait pas fait de hautes études. Ce poste lui avait été confié après la démission de Motep au Conseil du Poitou. Il espérait que son coeur de briscard saurait démêler le juste de l'injuste. Une vision quelque peu manichéenne mais pas irréaliste non plus.
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Lord_mnack
Remercia le juge d'un signe de tête.

Je pense en effet que c'est pertinent, avant de prendre une profonde inspiration et de commencer.

Comme certains le savent j'aspire à rendre justice. Aussi j'aimerai comprendre ce que vous avez dit et fait pour ma culture personnelle.

Vous avez dit à l'accusé ici présente que tant qu'on lui annonçait ses droits avant sa première plaidoirie cela était recevable, en l’occurrence ici, l'assistance d'un avocat.
Vous avez également dit plus tôt que le procès se déroulera de la façon suivante. On aurait d'abord l'acte d'accusation, puis les témoins de l'accusation et enfin la première plaidoirie de la défense.
Si le défense ne se voit notifier ses droits que juste avant sa plaidoirie, alors si un avocat est appelé il aura déjà manqué des témoignages. Et je doute qu'une retranscription remplace le fait de voir un témoin en face de soi, sa gestuelle, sa façon de parler.
Selon moi ça handicaperait toutes défenses.
Si vous vouliez parler de la première intervention du procès, n'y en a-t-il pas déjà eu une selon vos dires ?


Reprenant sa respiration un peu essoufflé.

Découlant de ça, j'aimerai savoir tout ce que l'on peut autoriser comme modification avant la première intervention de la défense ?
On a déjà vu un changement de l'acte d'accusation, j'aurai eu tendance à croire que ça aurait nécessité l'ouverture d'un nouveau procès. Quand est il des témoignages de l'accusation ? Tout cela semblant intervenir avant la première plaidoirie.

Veuillez me pardonner ma longueur mais quand quelque chose m'intéresse, je suis assez curieux.


Attendant debout calmement en reprenant son souffle.
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Alexans
Alexans n'en croit pas ses oreilles, comme s'il ne connaissait pas son droit, du moins les procédures, il s'était quand même informé chez un juge de la cours d'appel pour la procédure et l'intervention de la demande d'un avocat... Il se prenait pour qui.

Messire, commencez donc par vous informer, tant que je serai juge, je déciderai de ce qui est acceptable ou non dans mon tribunal, s'il y a faute, la défense ou la procure, en cas de relaxe, pourront aller en cours d'appel, d'ici là, je gère comme je l'entends. De plus messire, si vous voulez un débat sur la justice, ici ce n'est pas la place, on est dans un procès et non dans un barreau en plein débat de juristes, donc non, votre intervention n'est pas pertinente au procès. C'est simple, dans une procédure normal ingratibus, si le procureur fait une erreur dans son acte d'accusation, il peut écrire à la défense dictant ses erreurs dans sa lettre et corrigeant. Il doit noter la date que celle-ci a été fait, si cela a été fait avant que la défense fait sa première plaidoirie, la cours peut en prendre note, autant la première instance que la cours d'appel, le procureur doit en faire mention durant son réquisitoire. En ce moment, il l'a fait ici, non dans son réquisitoire mais a mis au courant la cours qui en a pris note. Maintenant, je ne veux plus de questions à ce sujet et plus d'interventions inutiles. Je le répète une dernière fois, la cours a compris que la procure a informer la défense de ses erreurs, a informé la défense de ses droits avant la prochaine étape, la cours prend note que la défense à amener un avocat.

Puis voit enfin l'avocate de la défense et sourit.

Bienvenue à vous maître Louise, j'espère que le voyage c'est bien passé pour vous. Je vous invite au château de Poitier si vous voulez un logis, il est fort agréable d'accueillir les gens du dragon.

Ceci étant dit, nous pouvons enfin continuer ce procès. Nous allons d'abord écouter les témoins de la procure. Comme c'est une procédure un peu différente de la première instance, je permettrai quelques questions en contre interrogatoire, je me dis que les questions peuvent éclaircir les choses et moi-même pourra poser des questions pour éclaircir l'histoire.

Se retourne vers le procureur.

Alors procureur, je vous invite à appeler votre premier témoin et dites moi combien de témoins avez-vous en même temps.
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Lord_mnack
Je vous remercie de m'avoir informé monsieur le juge.

Il se rassit donc pendant que le juge accueillait l'avocate et sortit son carnet pour y noter la réponse, "Le juge décide de tout", avant de le ranger à nouveau et de se concentrer sur ce qu'il entendrait.
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Philorca
La rochelaise avait reçu invitation en direct lors d'une soirée en taverne et s'était dit qu'après tout le spectacle pouvait valoir le coup.

Ni une ni deux, elle se rendit en salle du tribunal qu'elle connaissait assez bien pour y avoir été accusée jadis, voir une ancienne, mais alors très ancienne poitevine, être amenée à comparaitre comme accusée.
Comment ne pouvait on pas la connaitre? Elle faisait pourtant en sorte que partout où elle passe on la connaisse ou la reconnaisse en laissant des traces et des mots de ses passages.

Elle l'avait rencontré peu de temps après son arrivée en Poitou, il y a de ça déjà quelques années et aujourd'hui que celle-ci faisait son retour, pas des plus calme, comme à son habitude, Phil ne pu s'empêcher d'aller voir.

Comme on dit, le ridicule ne tue pas, fort heureusement pour certains, la population poitevine se serait vue privé de tels divertissements.

A l'occasion, la rouquine délavée, comme elle aimait l'appeler, passa chez un boulanger du coin pour y prendre quelques chouquettes, ni trop peu, pour ne pas en manquer, car l'affaire s'annonçait longue et pas trop, pour ne pas se rendre malade et manquer la fin de l'audience.

A son arrivée dans la salle, elle aperçut des têtes connues et alla s'assoir prêt d'elles pour assister au début des débats.

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Lord_mnack
Alors qu'il griffonnait il entendait une voix qui semblait venir d'outre tombe. Un juge mort ? Le juge lui même ? Il leva discrètement les yeux, non il accueillait bien l'avocate. Ça aurait été un problème qu'elle vienne de lui, ça aurait pu lui valoir un bûché, mais alors d'où venait elle ? Qui aurait pu ajouter ces explications ?
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Brunehaut_
[Chouette de l'animation!]

Les rumeurs couraient à folle allure dans le Comté, aussi l'oreille du Secrétaire d'Etat fut attirée par celle du procès public opposant une visiteuse, qui s'était portée candidate de manière illégale, au Comté du Poitou.
Une foule se pressait aux portes et Brunehaut se demanda si elle aurait l'heur de trouver une place, un strapontin où elle pourrait poser son séant afin de prendre des notes.
Elle souriait car un des chefs de Cabinet du SE connaissait bien les frasques de l'accusée. Au moins, pourrait-elle remplir le chapitre "animation" de son rapport et égayer ainsi les bureaux de la zone Nord.

Elle salua le sergent Wotek, toujours au taquet:


Bonjour sergent, vous n'aurez pas assez de vos yeux et oreilles pour gérer la sécurité icelieu!

Puis elle aperçut Philorca, la salua de loin car elle venait de repérer un bout de banc libre qu'elle s'empressa d'investir.

Elle sortit un parchemin et son nécessaire à écrire, observa l'assemblée, s'attarda sur le juge qui en gonflait son jabot, à coup sûr il risquait de se transformer en paon. Quant à l'accusée, il était indéniable qu'elle avait l'habitude de ce genre d'attraction et son assurance tout comme sa faconde promettait d'excellents moments.

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Ronald_le_jongleur
Place ! Place ! Ça se bousculait au portillon, l'entrée de du tribunal s'engorgeait devant l'affluence exceptionnelle que suscitait le procès de cette Vilaine qu'on disait pas si vilaine. Comme toujours, tout était question de point de vue.
Le jongleur avait reçu il y a peu une missive d'un marin-poitevin-lorrain-au-loin, qui lui même avait reçu une missive d'une Vilaine-niortaise-candidate-qu'il-ne-connaissait-point. Dans toutes ces missives on parlait élections, nain, ouin-ouin et autres amusements, ce qui avait valu au jongleur de se faire missionner pour jeter un œil sur l'affaire.

Point de problèmes pour lui, ses doigts le démangeaient ces derniers temps. Un procès serait le prétexte rêvé pour se remettre au dessin. Croquer quelques scènes croustillantes, moquer quelques postiches agités, garder une trace dessinée de ce qui s’annonçait comme un morceau d’anthologie de la justice poitevine.

Une planche de bois comme écritoire, quelques parchemins vierges, charbons et fusains et voilà le peinturluré qui ne quittait jamais son maquillage, entrant à son tour dans la salle. Le gratin était déjà là, gratiné comme à son habitude. A pas de loup, aussi discret que son apparence riche en couleur le permettait, il gagna une place depuis laquelle il aurait une belle vue sur la scène.

Parchemin glissé sur la planche, les yeux aux aguets, ne lui restait plus qu'à croquer.

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Orobas
Assis tranquilement au fond aux cotes de Fayom, Orobas tendait l'oreille aux different propos sur la vailidte de la procedure.
Bien que peu habitue aux tribunaux, les procedures et les codes de lois lui sont bien connus car il les enseigne regulierement.

Il chuchote a l'oreille de son voisin.


J'ai pas souvenir d'avoir jamais croise le juge a l'universite. Tu crois qu'il a appris le droit ailleurs ?

Apres une courte pause il ajoutat

Tu penses qu'on teste leurs connaissances en droit avant de les nommer ?
Janus.
Il humait l'aire ça soudain très bon, sa tête se tourna dans la direction et oui quelqu’un avait eu la bonne idée d'apporter de quoi manger pour profiter du spectacle...

Il marmonna pour lui même :
mais pourquoi j'y ai pas pensais moi...

Il avait soudain faim et son ventre se mis a crier famine dans tout le tribunal, tant pis il se leva et alla rejoindre la dame, sortant sont plus beau sourire.

Hum... excusez moi... je n'ai pas pu empêcher mes narines des respirer le doux parfum de vos chouquettes... et mon ventre lui... a décidé d'en réclamer... par hasard n'en auriez vous pas une en reste ?
Sventovit
Le procureur Sventovit Simia attendit que le silence se fasse.

Merci Monsieur le juge. Il est vrai que les points de droit que soulèvent Lord Mnack méritent réflexion mais ils n'ont pas leur place au cours d'un procès déjà enclenché.

Le premier témoin de l'accusation est le maire actuel de Niort qui n'est autre que l'auteur de la plainte : sirjeffersson.


Monsieur le maire, vous êtes appelé à la barre.

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