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[RP] La femme peut pardonner celui qui brusque l'occassion..

Michalak
Michalak avait ouvert les hostilités de la coquinerie. Les armes étaient sortie et prête à l'emploi. Baisé, main quelque peu baladeuse, Caresse en tout genre l'arsenal du parfait coquin était de sortie lorsqu'elle lui dit cela alors qu'il passait à l'action.

Citation:
Vous vous prenez monsieur pour un félin sauvage
Mais vous n'avez du lion que le soyeux pelage
Et vos crocs acérés de jeune prédateur
Nous inspirent le rire plutôt que la frayeur


Je crois bien que oui et malheureusement ma douce vous êtes mon plus délicieux repas depuis des lustres alors laissez moi vous savourez doucement. Oh et bien au moins je suis un félin bien propre pas comme certains qui sont indigne de la noblesse des félins. Mais n'en doutez pas mes crocs sont acérés et ne manqueront pas de venir tuer toutes personnes qui s'en prendraient à vous ma douce.

Michalak sourit en entant qu'il faisait plutôt rire la Vicomtesse qu'autre chose.

C'est cela ma petite chatte vous allez voir le Grand félin en action et vous allez moins rire mais plutôt soupirer que j'achève de vous donner du plaisir.

Le fougueux Gascon réussi malgré la difficile tâche de dé-corseté sa bien aimé à enfin tenir ses deux mains venant lui caresser doucement. Le brun ne fût pas surprit de trouver des seins assez doux et ferme à la fois. C'est vrai qu'elle avait déjà été marier la Vicomtesse mais elle n'en demeurait pas moins aussi jeune que lui finalement. Et elle était encore dans la fleur de l'âge. Il ne fallut pas longtemps pour que michalak commence à venir suçoter ses seins lui malaxer doucement ses tétons pour les faire pointer. En résumé l'exciter doucement en s'occupant de sa si douce poitrine qui n'attendait que lui pour être pétrit ou presque. Michalak se demanda si elle allait résister après des années de chasteté avec les hommes depuis la perte de son précédent mari.

Citation:
Si vous n'avez pas peur, entrez donc dans ma cage
Et laissez mon ardeur dévorer vos plumages


Je ne pense pas avoir eut peur ma chère voyez vous. Je m'occupe de vous déjà sans attendre. Il le faut bien c'est ainsi que je dois être si je deviens votre futur mari.

Michalak sourit et l'embrasse une nouvelle fois mêlant sa langue à la sienne encore une fois.

Citation:
Rentrez vos griffes, bel escogriffe
On vous voit comme un chien savant pour le beau linge
Faire de grands numéros digne d'un petit singe.
Vos proies ne sont en fait que femmes qui roucoulent
Et vos festins nocturnes se résument à des poules*


Didont didont que me chantez vous là ? je ne suis pas un mangeur de poules ni de femmes qui roucoulent. Quoique vous n'avez sans doute pas tord j'aime cela que les femmes roucoules dans mes bras mais aujourd'hui c'est vous qui allez finir par roucouler dans mes bras ma douce aimé.

La laisse le dévêtir de sa chemise doucement sans rien dire lui souriant pendant qu'il continue ses caresses tel une plume caressant la peau pour la 1ère fois.

Mais je crois que nous avons oublier une chose essentiel ma chère.

Michalak lui sourit et arrêta ses caresses. Puis laissa Sofja sur le sofa avant de venir mettre un pied à Terre avant de la regarder dans les yeux et lui dire.

Sofja de Jagellon voulez vous de Moi comme époux. Mon coeur me pousse à vous avouer mon amour pour vous et à vous demander aujourd'hui en mariage.
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Sofja
Les tourtereaux dansaient au rythme de leur désir.

La danse de l'amour est un langage universel, et de mouvements naissent des mots, et de ces mots naît un dialogue, et de ce dialogue naît une relation qui ne connaît pas de barrières. Car le corps ignore les tabous, seul le mental érige des obstacles.

Peu à peu le mental s’efface, car la confiance en soi augmente, ce qui permet de vivre le lâcher prise dans sa forme la plus poétique.
Quelle joie d’avoir une totale confiance en son partenaire et de se laisser guider dans l’élégance, la subtilité et la sensibilité. C’est un voyage, un partage intense et intimiste.
Un partage des moments intenses d’échanges, de plaisirs et de joies. Cela crée une intimité, une complicité éphémère mais forte, et surtout authentique. Les corps ne mentent pas. L’alchimie n’opère que dans la sincérité et la générosité.

Ses échanges se font aussi dans le respect, le respect de l’autre et de soi même. Faire confiance et respecter son partenaire, tout en exigeant la même chose venant de lui, c’est aussi important aux yeux de la blonde. Cela permet de garder sa liberté d’expression, son propre jeu, son essence originelle dans son art.

Alors je savoure la vie et danse pour mieux aimer…


    Aimer ? Aimer la vie, aimer l’autre, aimer chaque seconde…
    Aimer c’est honorer la vie et avoir de la gratitude envers elle, quelle que soit sa nature…
    Aimer c’est accepter ce qui est, même si ça ne répond pas à ses désirs où à ses attentes…
    Aimer c’est pardonner quoiqu’il arrive, à soi, aux autres, et à la vie elle même…
    Aimer c’est célébrer, savourer, partager, le meilleur qui vibre en son fort intérieur…
    Aimer c’est tout simplement être là, ici et maintenant… Voilà pourquoi je danse…


Tandis que Sofja s'abandonnait aux mains de son tendre ce dernier la délaissa un instant. Son corps frissonna sous la fraicheur de la tente puis se tordit pour rappeler son amant. Mais il en avait décidé autrement.

Ses prunelles se posèrent sur lui alors qu'il s'agenouillait vers elle. Son sang ne fit qu'un tour, son excitation s'envola et son regard afficha toute la surprise. Sofja se redressa sur sa banquette toute en recouvrant ses épaules dénudées.


Je... je...

Comment dire ? Elle ne s'attendait pas à cela, n'avait pas encore évoqué l'idée d'un mariage mesme si ils souhaitaient se rapprocher l'un de l'autre. Les choses allaient extrêmement vite, elle qui n'avait connu que lenteur dans son précédent mariage. Après tout, elle avait décidé de croquer à la vie, autant le faire en toute légitimité. Car elle n'avait point envie de mettre au monde des bâtards. Et les accidents arrivaient tellement vite.
En quelques secondes, fractions de secondes, elle prit sa décision.

Sofja bondit dans les bras de Michalak et le colla à terre.


Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je veux !!

A peine eut elle finit sa phrase qu'elle l'embrassa follement.
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Michalak
Michalak n'avait point quitté sa position de preu chevalier attendant la réponse de sa bien aimé. Les ménestrels qui allaient pouvoir ainsi conter leur histoire un peu partout pourrait sans doute dire qu'il n'avait jamais vu si rapide réponse de la part d'une noble Dame. Un oui se fit rapidement entendre dans la tante faisant envoler tous les oiseaux présent autour de la tente fuir à moitié les petites bêtes proches de la tente sans oublier faire hénir quelques chevaux temps la puissance du oui était sans conteste d'une puissance à faire trembler une tente bien monté.

C'est en souriant que le preux Chevalier ou Seigneur diront certains qu'il se releva et ne manqua pas le sourire au lèvre de venir non seulement l'entourer de ses bras puissant mais aussi l'embrasser avec fougue sur ses lèvres l'entrainant sur le divan d'une façon assez chevaleresque. Ses lèvres glissaient sur les siennes sans arrêt. Leur langue s'entremêlaient dans un ballait incessant représentation de leur amour si profond l'un pour l'autre.

Le damoiseau ne demeura pas moins entreprenant aussi il commença à jouer à la petite bête qui monte qui monte tout en embrassant le cou si doux de sa futur épouse continuant son entreprise par mont et par vaux !!! selon la formule consacré. Il commença doucement à faire sortir de son corsage ses deux jolies globes pour venir doucement les lui caresser tel une plume. Il souhaitait éveillé en elle le doux plaisir d'un amour mutuel non sans savoir qu'il n'irait pas jusqu'à consommer le mariage. Ils n'étaient pas marié. Le plaisir et l'amour peut se vivre d'une multitude de manière. L'important c'est de prendre soin de l'autre d'accord de l'importance à l'autre quelque soit le moment de sa vie, facile, difficile etc.

Le coquin était à l'œuvre puisqu'il commença doucement à venir poser ses lèvres sur ses petites pointes venant lui suçoter avec douceur comme s'il aspirait tel un enfant au sein de sa mère. A ceci près qu'il n'était plus tellement un enfant et que Sofja serait sa femme. Lilye aurait sans doute dit que tout cela était beurk mais pour son papa c'était quelque chose de très plaisant.

Ses mains libres vinrent petit à petit caresser ses bras, ses jambes remontant doucement vers l'entrecuisse haut lieu de la création. Lieu de l'enfantement par excellence. Lieu de vie, de plaisir et parfois de drames. Mais ce jour là c'était un jour où le plaisir et l'amour seraient les vainqueurs.

Ainsi sa main devenait de plus en plus coquine remontant doucement ses jupons venant finalement caresser le petit bouton d'or bien caché pourvoyeur de plaisante sensation et de plaisir amoureux.

L'ex officier Royal regardait sa bien aimé prendre du plaisir restant attentif à ses moindres réactions ne voulant pas la brusqué.

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Sofja
Nous sommes tendresse. Il avait pris ma main pour m’attirer contre lui. Dieu comme son corps est fort… Je m’étais approchée de lui, plus près que je ne l’avais jamais été, à part dans mes rêves. Je crois que chacun de nous aurait aimé dire quelque chose, mais nous en étions incapables. Je l’avais alors tiré contre moi, il fallait que je le sente, que je réalise que tout ceci n’était pas qu’une illusion. Dans mes bras, je l’avais serré avec force. J’avais alors émis un très léger gémissement, comme si j’avais attendu cette étreinte avec impatience. J’ai relevé son visage vers le mien, l’ai regardée quelques instants… Ses lèvres avaient le goût du miel, avec une petite note relevée que je ne pouvais identifier. Mes doigts glissaient maintenant dans ses cheveux, que je regroupais dans mon poing pour mieux le saisir. Nos bouches s’étaient ouvertes et nos langues, avides l’une de l’autre, avaient entamé leur ballet langoureux. Plus nous nous embrassions, plus nos corps se serraient, se rapprochaient, s’appelaient à s’unir.

Et…

Nous sommes passion. Micha m’avait tiré contre lui et plaqué contre le sol. Sans quitter mes lèvres un seul instant, il avait fait tomber ma petite robe sur le sol, avant de défaire un à un les boutons de sa chemise. Ses baisers, tout à l’heure tendres, devenaient gourmands. Sa langue, autrefois timide, trouvait un nouvel élan. Le plaisir me submergeait, chaque recoin de mon être était à l’écoute de tout ce qu’il avait décidé de me faire. J’ai senti ses lèvres glisser dans mon cou. J’ai senti ses dents venir mordiller mes lobes. J’ai senti ses mains parcourir mon ventre, éprouver mon dos, appuyer contre mes reins.

Et...

Nous sommes union. Il l’avait remise debout avec force et plaquée contre le lit. Il était temps maintenant de défaire ses liens, derniers remparts à mon ivresse. La soie des draps avait glissé lentement, comme si elle avait su qu’elle ouvrait le bal à quelque chose de magique. Totalement nue, le visage appuyé contre le lit, Sofja attendait la suite. Chacun de nous avait l’envie de l’autre, plus forte et vivace que jamais.
Elle était le Désir, Lui la Passion.

Le jour se lève à peine, les mouvements à l’extérieur se firent entendre. Il y avait ici une odeur particulière, un mélange fort et subtil à la fois… Sofja était allongée, un drap recouvrant à peine son corps nu. Le soleil lui-même semblait avoir saisi la beauté de cet instant en offrant ses premiers rayons à ce tableau idyllique.

Les amants s’étaient enfin retrouvés et une nouvelle histoire s’ouvrait.

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