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[RP] - L'Auberge des Cavaliers Illuminés.

Mini.biscuit
La mini biscuit faisant un sourire charmant comme à son habitude, décidément ce notaire avait de la ressource.

Ravie de vous rencontrer Monseuh Julien, je suis Neyco de Fronsac, Baronne de Hautpoul et de Bruyère le Châtel. J'espère que vous la traiterez avec grand intérêt elle est une très bonne amie, une amie intime j'ajouterai. Je serai bien fâchée qu'elle le soit elle même.


Non pas chieuse, en gros touche à ma Charly, tu touche à mini nom d'un biscuit. Ecoutant Charlyelle, rha elle voulait un lopin de terre en Périgord, ça sentait l'emménagement nom d'un biscuit. Jetant un regard vers Cookie, elle voyait ce dernier faire des aller et retour avec le notaire et son amie. Il avait comprit lui aussi, elle voyait déjà le gamin grandir et demander à s'introduire dans le domaine de la fille des Balkans. Note à soit même dès qu'elle a son chez elle voir si elle peut lui prêter un petit espace pour son monstre.

Enfin en famille, rho c'était trop mignon, la mini pu profiter pour déballer les premiers paquets qui constituerai le goûter et surtout lancer le début de la conversation.


Et ma foi nous avons des tartelettes aux pommes, des massepains, des oublies, des biscuits, quelques gâteaux au safran et bien entendu des rissoles aux fruits encore tiède.


Qui veut quoi?


Maxi sourire, la mini biscuit en profitait pour ouvrir chacun des petits paquets et autres sachets, le gamin commençant.


Des rissoles, des rissoles pour mouaaaaaaaaaa.


Cookie n'en mange pas trop mon chéri.


Mais vi, dis lui allez dit lui sur Tolosa ce que tu as fais hein vi.


Faisant un geste pour apaiser son fils la mini souriait complice avec son petit bout.
Claude_julien
L'affaire était entendue. Notre notaire n'avait besoin de nul autre précision. Cela devait être une affaire toute simple de transaction immobilière. Le julien ne s'enquit nullement des formalités de paiement. Quand on lui dit que l'argent n'est pas un problème, si vous faites partie de la liste du premier tiroir, alors cela signifie qu'il n'y avait aucune crainte de non-paiement...et que le montant de ses honoraires ne souffriraient jamais d'être négociées.

- Excellence, je crois que je vais me retirer. J'ai les premiers éléments en main pour commencer mon travail.

Et le premier endroit où il comptait aller, c'était la Hérauderie du Périgord-Angoumois car enfin si ces terres appartenaient à quelqu'un, cela devait être à un quelconque seigneur du comté...à condition que celles-ci soient attribuées. Après tout, n'est-ce pas là l'un de volets important de tout héraut ou chevaucheur? Connaître l'attribution des terres de la noblesse périgourdine? Ensuite, il lui suffirait d'aller demander audience au propriétaire et d'évaluer la propension dudit seigneur à céder à sa cliente cette parcelle de terre ou à l'autoriser à y rebâtir...quoi au fait? Le notaire ne s'en était même pas inquiété: une chose à la fois. Dans son métier il fallait aussi parfois se montrer discret, ne pas trop poser de questions.

- Baronne, bon séjour en Périgord! Et si un jour, vous avez besoin d'un notaire pour enregistrer votre testament, faire certifier une transaction commerciale, immobilière ou autre, n'hésitez pas à faire appel à moi. J'officie également en dehors du comté.

Il avait volontairement omis de lui déclarer que son accréditation périgourdine était engluée quelque part dans l'affreuse machine administrative du comté. Sans doute qu'un fonctionnaire devait recopier deux fois de plus un quelconque parchemin...ou que la comtesse devait mettre son estampe quelque part. Des bruits de couloir disaient qu'elle en avait d'ailleurs mal au poignet afin de devoir signer et estampiller le moindre petit document sans importance qui sortait de l'administration périgourdine. L'homme se fendit d'une révérence à son Excellence et à la baronne et s'éclipsa discrètement laissant les dames parler d'affaires de dames.
Charlyelle
Je salue poliment le notaire qui se retire après m'avoir assuré qu'il s'occupait de l'affaire que je venais de lui confier.
Puis je jette un oeil gourmand sur les délices apportés par la Baronne et je ris de bon coeur en écoutant Cookie.
Mais le regard complice qu'il échange alors avec sa mère ne fait qu'attiser ma curiosité. Et je viens m'asseoir auprès de Neyco.


" - Je goûterai bien à une tartelette aux pommes. Alors, vous m'avez mise en appétit et pas que de sucreries ! Qu'avez-vous donc fait à Tolosa et racontez-moi, je veux tout savoir !"

Un petit clin d'oeil à Cookie au passage alors que je savoure ces pommes et ce biscuit fondant dans ma bouche.
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Mini.biscuit
La mini biscuit installée faisait le service pour Charlyelle et Cookie. Des petites assiettes disposés, des fourchettes et cuillères déposés et la mini servit en premier les tartelettes aux pommes puis les rissoles. Pour elle même, elle prit des oublies et des gâteaux au safran.

Etant de bonne éducation, dans un sourire elle salua le notaire.


Je n'y manquerais pas.


Même si bon niveau notaire au vu de ses responsabilités elle s'en occupait autrement.
Revenant à Charlyelle un peu mystérieuse mais pas trop non plus.


Bah disons que j'ai réglé quelque chose qui me tenait à cœur et me dérangeait vous concernant. Une injustice.


Ah vi pas juste ah nan hein maman.


Prenant un oubli, elle le croqua et lâchant le morceau.


J'ai fais en sorte avec le Comte de Tolosa de régler ce petit soucis de liste de manière définitive. Aussi désormais vous pourrez aller et venir sur le Comtat sans avoir la moindre appréhension. J'ose espérer que cette histoire sera totalement oublié.


Finissant son oubli, un oubli de finit, une histoire oublié trop fort.


Et l'autre allezzzzzzzzzzzzzzz.


Cookie nom d'un biscuit.
Charlyelle
Je me suis installée auprès de la baronne et de son fils, en toute simplicité, bien décidé à profiter de ces moments de complicité entre nous. Et bien évidemment je compte bien savourer les biscuits disposés avec goût sur la table et ce que j'entends alors me prend aux tripes.

Je lui avais en effet écrit pour lui raconter ce qui s'était passé lors de mon arrivée en la chancellerie Toulousaine. Nous étions passés tout près d'un incident diplomatique, nous avions fait même plus que le frôler.
De plus j'étais bien placée pour savoir combien ces listes peuvent être erronées et auraient besoin d'un bon dépoussiérage et une remise à jour correcte.

J'ai alors envie d'éclater de rire, parce que j'ai découvert tout récemment que j'ai beau être chancelière du Périgord-Angoûmois et avoir quitté la forteresse hydrique depuis deux années bien passées, mon nom figure toujours sur les listes du PA.
Alors que la Baronne qui a ses terres en Tolosa, fasse elle le nécessaire de son côté pour faire en sorte de remédier à cette erreur me laisse pantoise sur le moment.

C'est une goutte d'eau dans un océan que la Baronne a réussi à faire, en somme un petit exploit dans ce royaume, car c'est bel et bien tout le royaume qui devrait revoir et tenir à jour les listes.

Je la fixe longuement. C'est un tout petit brin de femme mais je crois bien que de caractère elle et moi, nous avons bien en commun.
Je n'ai pas été habitué aux familiarités mais néanmoins je tends une main sur son avant-bras. Parce que je suis réellement touchée par ce que je viens d'apprendre.


" - Je vous en remercie Baronne ! Je ne sais de quelle manière vous avez réalisé ce petit exploit ! Au niveau de la Diplomatie, l'incident était clos mais je ne pensais vraiment pas que vous feriez cela !
Avouez que c'est pour que je vienne vous voir plus souvent sur vos terres maintenant que je suis dans le Périgord !"


Il semblerait que ce ne soit pas la fin des surprises. Cookie semble toujours aussi excité et demande à sa mère de continuer.
Je tourne mon regard vers l'un et l'autre, me demandant ce que la Baronne va m'annoncer en sus.


" - Parce que vous avez encore quelque chose à me raconter ?"
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Mini.biscuit
Une cuillère en main le Cookie grignotait les rissoles en tentant d'éviter les tâches autant dire que cela tenait du miracle ou presque. De son coté mini se retenait de rire même si niveau incident diplomatique elle en avait entendu parler et avait trouvé cela honteux. O oui, le pire le régnant du Comté n'avait même pas levé le petit doigt pour présenter des excuses au Périgord. Mais bon hélas le régnant actuel n'ayant absolument rien à voir avec cette histoire et s'étant excusé à titre personnel auprès de la mini biscuit forcément elle avait rien dit même si c'était limite.

Regardant le geste, être touché était si rare en dehors de son fils que le geste certes le lui paru pas grossier, juste étrange.


Honnêtement ce n'est pas grand chose, j'avais profité de ma position en Limousin pour le faire donc si je ne pouvais réussir la même chose sur le sol Tolosan où va t'on? De vous a moi il serait grand temps que le Provinces fassent le nécessaire concernant les listes surtout les vieilles.

Un regard vers Charlyelle et de sourire de ses mini dents.


Oui d'ailleurs en parlant de venir ça serait bien que vous ayez votre ptit chez vous tout ça mignon tout plein. Et puis Cookie pourrait venir comme ça à l'improviste et ça serai votre chez vous mais dans le sud tiens. Pour l'hiver c'est pratique car il fait moins froid et niveau prix du bois de chauffe c'est économique.

Comment elle vend trop son truc la mini biscuit et l'autre qui va exploser à force d'attendre.

Ah mais en fait du coup on s'est dit avec ptit Cookie que vous aviez fait bien des choses pour nous il ne faut pas croire. Aussi non pas pour vous garder tout le temps à nos cotés mais quand même, accepteriez vous ma chère d'être ma vassale.


Et bam sentence.


Je l'avais dans l'idée depuis quelques temps, et Cookie me l'a demandé ce qui me conforte dans cette optique. Bien entendu vous n'êtes obligé de résider sur place, vous aurez un foyer en plus si jamais vous souhaitez rester quelques temps, recevoir des amis ce genre de choses.


Un Cookie, une mini genre dit pas nannnnnnnnnnn.
Charlyelle
Elle est douée mon amie pour m'en faire des surprises, ça c'est certain. Et celle-ci, je ne m'y attendais pas.
Je reste silencieuse un long moment, tout en la regardant. Et puis me voilà à lui répondre. Mais sur un tout autre sujet.


" - Je me suis mariée récemment. Mariage druidique et dans l'intimité. Avec un Danois. Je souhaiterai vous le présenter."

Vous voyez. Moi aussi je sais ménager mes effets de surprise. D'ailleurs je me tourne soudainement vers l'un de mes Condottières. Enfin l'un de ceux de mon père qui continuent de veiller sur ma personne.

" - Pourriez-vous aller prévenir mon époux s'il vous plait que j'ai besoin de lui ici ? Vous le trouverez sûrement dans l'une des tavernes de la ville occupé à sa campagne municipale."

Puis je fais de nouveau silence, avant de finir par l'interrompre.

" - Je suis surprise Baronne, je ne m'attendais pas du tout à une telle demande de votre part. Vous me parlez plus précisément de quelle terre dans le Sud ? Et qu'est-ce que cela implique ici, sur les terres de France de devenir votre vassale ? J'aurai souhaité le savoir précisément avant de vous octroyer une réponse."

Néanmoins je fais un sourire à Cookie qui semble suspendu à mes lèvres. Pas que je souhaite vraiment les faire attendre, mais j'ai besoin de savoir ce que cela implique afin d'être certaine que si j'accepte, cela n'entrerait pas en conflit avec mes autres projets.
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Soren
- Tiens ton épée plus plus haut! Ta garde est trop basse. Tu ne protèges rien là!

Dans la région, Bergerac est réputé pour son silex. D’ailleurs ce n’est pas pour rien qu’il y a une carrière de pierres comtale dans la région. Ici, il y a plusieurs types de pierres, toutes de belle qualité. Une pièce de fer à la main, un morceau de silex de l’autre, il me suffit de quelques étincelles pour consumer un peu d’amadou. Vous savez ce qu’est de l’amadou? Un parasite. Il pousse sur les arbres. Si vous en trouvez sur un végétal, ne vous posez plus aucune question sur celui-ci : il est bien mort. Mais l’amadou a une vertu extraordinaire : il est extrêmement inflammable.

J’ai un oeil sur le gamin en face de moi, l’autre traine entre mes jambes où les feuilles sur l’amadou commencent à s’enflammer. La fine baguette pin que je passe au dessus prend feu elle aussi et je puis alors la porter à ma pipe pour allumer ce mélange de sauge et de lavande. Depuis que j’ai découvert le plaisir de la pipe, j’aime ces odeurs qui se mélangent, qui s’engouffrent par le nez et qui imprègnent ma cavité buccale.


- Pourquoi vous n’portez pas d’épée? C’te bizarre pour quelqu’un qui donne des l’çons d’maniement des armes?

- Tu es trop curieux. Sois plus souple sur tes pieds si tu veux danser avec la lame. Même une dame ne voudrait pas de toi si tu es aussi lourdeau!

- Ouais, j’suis ptet lourdeau mais vous, vous n’répondez pas à mes questions.

Avez-vous déjà essayé de faire des ronds de fumée? Ça semble facile en apparence et pourtant je n’ai jamais réussi à faire le moindre petit cercle, même mal formé. Visiblement, ce n’est pas encore aujourd’hui que je vais réussir on dirait.

- C’est une trop longue histoire! En plus, tu es encore trop jeune pour comprendre. Sois plus souple for fanden! On doit te sentir léger, comme si tu survolais le sol...Et travaille ton esquive plutôt que la parade. Il faut que tu considères la parade comme étant une réplique de dernier recours, celle que tu utilises lorsque tu as été pris en défaut. L’esquive va te permettre de déstabiliser ton adversaire pour...

- Je sais...j’sais! Pour l’frapper et l’blessé! On n’tue un adversaire que si on y est vraiment contraint.

- ... car à la guerre, un blessé influe sur le moral des vivants. Un blessé doit être soigné. Il doit être nourri, il ralentit les mouvements du reste de la troupe. Un mort, ça se laisse sur le champ de bataille. Compris?

- Oui Mestre!

- Sieur! Sieur!

Tiens! En voilà un autre! Depuis que j’avais proposé à l’un des gamins de Bergerac de lui donner quelques leçons de maniement d’épée en échange de menus services qu’il pourrait me rendre, on dirait que tous les garçons se sont donnés le mot. Lucas est le troisième qui est venu me demander de lui donner un cours. Et là, on dirait bien qu’un quatrième vient se rajouter.

- Tiens? Toi aussi tu viens pour prendre un cours de maniement d’épée? Tu ne vois pas que je suis déjà occupé? Repasse plus tard! Demain matin si tu veux.

- Moi? Demain? Oh merci m’sieur! J’s’rais ben là, n’vous inquiétez pas! Mais à part çà, j’étions v’nu vous dire qu’vot’ dame, la brune avec un drôle d’accent pas d’ici, elle vous d’mande de v’nir la r’trouver à vot’auberge! Et tout d’suite!

- C’est elle qui t’a demandé de venir me chercher?

- Nan m’sieur! C’te l’un d’ceusses qui gardent son corps! Mais j’l’avions entendu. Alors j’suis sur que si c’te moi qui vous amène, lui, y m’donnera un écu!

Eh bien! Il y a au moins une personne à Bergerac qui avait le sens des affaires! Sans un seul contrat en poche, le mioche vient de se récupérer un cours sur le maniement des armes et un écu. Le tout, pour un travail qui n'est pas très forçant! Quelques instants plus tard, je mets fin à la séance de formation et j'ouvre la grinçante porte des cavaliers illuminés. La porte a portant été changée depuis que Charlyelle et moi avons effectué la réfection de cette taverne qui avait entièrement brulé...ou presque. Mais il faut croire que cela n'est pas suffisant, qu’elle nécessite encore des ajustements. L’avantage de la situation au moins, c’est qu’on est toujours averti quand quelqu’un entre. Difficile pour l’assemblée de se faire surprendre! L’endroit est visiblement occupé. On dirait que l’escote a reçu la visite qu’elle attendait: une dame qui manifestement n’a rien d’une paysanne et un jeune homme qui est en âge de recevoir des cours d’escrime. Le baiser virevolte entre les mèches de cheveux de la princesse de Valahia avant de se déposer dans la nuque.

- Hej! Il parait que tu m’as fait mandé?

Puis au creux de l’oreille, un chuchot qui pour le quidam pourrait facilement passer pour un mot incendiaire échangé entre amoureux...

- Je crois que l’un de tes condottières vient de se faire délester de quelques écus...

Il aurait été mal poli de ma part d’en rester là. J’aurais pu aussi laisser Charlyelle faire les présentations. Oui , j’aurais pu mais...

- Mes respects dame, sieur.... Je crois qu’on ne se connait. Je suis Seurn MacFadyen Eriksen, propriétaire de cette taverne et garde du corps à temps complet de son Excellence la chancelière du Périgord-Angoumois.
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Mini.biscuit
Ouinnnnnnnnnn elle s'est mariée sans nous la chipie. Et le gâteau, criminel, sans invitation pas de boustifaille. Horreur pour les sucrés, ils avaient loupés un repas gratis l'arnaque.

Mais, mais druidique ou pas quand même.


Et le mini de la mini


Ben et nous.

Yeux presque larmoyant, forcément, il aimait énormément Charlyelle, aussi cela devait lui faire bien du chagrin.


Aucun soucis, mais je ne vous cache pas être surprise, vous savez ma mère Irlandaise aussi les anciennes tradition nous les connaissons. Enfin si cela était intime et votre souhait personnel vous m'en voyez heureuse pour vous.


Du coup se dit que finalement avec un époux jamais Charlyelle ne pourra être sa vassale. Ou cela risquait d'être compliqué.


J'ai la possibilité de plusieurs terres, assez modeste certes sans doute, nous avons Aussilon et Caucalières, les deux fiefs sont proches l'un de l'autre. Deux terres qui sont disponible en octroi. Je ne vous cache pas que je préférerai vous avoir attribué la terre d'Aussilon, ainsi vous aurez par la même la défense de Hautpoul en cas de nécessité. C'est donc une terre sur le Comtat de Tolosa, en sachant que vous n'aurez à rendre compte à qu'à moi même et à personne d'autre.

Etre ma vassale, n'a pas trop d'incidence au quotidien. Mais si j'ai besoin de vous en cas de soucis sur Tolosa il vous faudra être disponible. Bien entendu quoi qu'il arrive je tiens souvent aux faits mes vassaux de ce qui se déroule sur le Comtat, danger ou non. Et en cas de nécessite je fourni toujours les armes, et le repas afin que mes vassaux ne manquent de rien.
C'est la seule vrai prérogative, le reste travailler pour la France et faire ce que vous aimez tant que vous êtes fières de ce que vous réalisez. Bien entendu en cas de festivités organisée sur le Comté suffisamment grande vous serez confiée à y participer. Tout comme sur mes terres mais ça c'était déjà le cas avant.


Sourit quand même, et regarde son fils, en gros là c'est pas dit qu'on l'ai à nos cotés mais on aura essayé.
Et le mari arriva, le regardant, bon il était pas si mal, au moins et surtout avait une pointe d'humour. Choix A convaincre le mari, choix B à voir comment il est sinon ben tant pis.


Salutation biscuitale à vous Monseuh, Neyco de Fronsac, Baronne de Hautpoul et de Bruyère le châtel, et voici mon fils Riccardo. Ravie.

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