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[Joutes Gascogne 1463] Campement

Hoeldetrajan
Sharlen a écrit:


Sha savait où le trouver.. du moins à peu près, elle
Hoel…

elle s'approcha... s'accroupi et glisse délicatement le revère de sa main sur son épaule pour ne pas le faire sursauter


Une voie des plus agréable dans la tante chauffée par les rayons du soleil... Une main se pose sur le chevalier qui n'en demande pas plus pour se réveiller en douceur. Un soupir pour reprendre pied avec la réalité, sa main se pose aussi sur la sienne. Hoel ouvre les yeux, et sourit en coin.

Bonjour ma Shasha... Quel plaisir de te voir ici !

Puis d'un mouvement sur, pour ne pas faire tomber sa serviette, notre homme laisse de la place sur le lit pour la Dame. D'un geste, il l'invite à prendre place.


Assis toi avec moi, raconte-moi... La route n'a pas était trop longue ? Tu veux boire ou manger ? Tu n'es pas trop fatigué ?

Puis il attend les réponses la dévorant des yeux.
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Sharlen


Elle l'avait à peine effleuré, que la main du dormeur avait prit la sienne..ses joues avait prit une légère coloration rosée!
Le voilà assit.., toujours aussi peu vêtu, sa main toujours dans la sienne, il l'attira vers lui pour lui proposé de s’asseoir sur un bout de sa couche.
Elle prit place sans un mot, près de lui.. troublé par sa tenu ou tout simplement par le contact de sa main ..Il l'a harcelé de questions, elle esquissa un sourire à l'idée de devoir répondre à toutes en même temps...
Le regard d'Hoel, était pénétrant, elle en aurait bafouillé si elle n'avait pas prit le temps de lui répondre calmement ..
Elle lui sourit tendrement...

je suis là... et je n'ai besoin de rien Hoel..

Elle pensa :..Rien si ce n'est....
La voyageuse avait peur d'être trahi par le battement de son cœur qui s'était emballé quand il lui avait prit la main. Pour ne pas laisser paraître son émotion, elle reprit..

j'ai assisté et acclamé ta victoire joli chevalier...que d'émotions......

Elle sourit toujours et baissa le regard de peur de croiser le sien....

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N'utilise jamais deux mots quand un seul suffit!
Lily.es



après la victoire du premier duel, les rencontres s'enchainent et à peine reposé, son cher parrain doit affronter un autre adversaire : le Duc de Champagne

En espérant que celui -ci aurait un peu abuser du vin à bulles qui fait la renommée de la région et permettre ainsi au Duc de Guiche de gagner facilement, Lily accompagnée d'Anne et du petit Hadrien, se dirige de nouveau vers les lices.

la foule est dense et les réactions des Seigneurs et des Dames à chaque assauts lui indique que le combat précedent celui de Toto n'est pas achevé, mais il n' y a pas de temps à perdre, s'il veut se préparer tranquillement.


Nous sommes avec toi Toto, on t'encourage, mais soit prudent.

Elle ne veux qu'il pense qu'elle craint quelque chose car ca pourrait le déstabiliser et lui faire prendre des risques inutiles

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June
- [ Campement Sidjéno ] -


De nouvelles joutes, encore. Décidément, depuis Montréal, il ne s'arrêtait plus ! Il aimait bien cela, déjà pour le sport, mais aussi pour les paysages qui s'offraient à lui lors des voyages et le monde qu'il rencontrait à chaque occasion. Certes, si les paysages étaient plus plaisants et sauvages les uns que les autres, ce n'était pas le cas du public concerné par ce genre de compétitions : loin de la pécore attitude, les chevaliers et dames faisaient plutôt partie du gratin, ou du moins essayaient de le faire croire, même si personne n'était dupe. Pendant que les uns visitaient les autres en remuant froufrous dégingandés et armures trop brillantes, lui s'était affairé à monter son campement tranquillement. On l'avait installé dans un coin qui lui allait bien, un peu à l'écart sans être trop loin de la lice. Le brouhaha ambiant venait jusqu'à lui sans le déranger outre mesure. Bref.

Il était temps de grimper jusqu'au panneau d'affichage afin de savoir à quelle sauce il allait être mangé. Ou à laquelle il allait manger. Un coup d’œil à l'annonce de la Juge, et il soupira. Il n'allait pas être mangé, il allait être dévoré. Actarius d'Euphor serait son adversaire.
Allez, en route.

...

Après s'être fait défoncer la tronche aussi simplement que loyalement - ce qui était encore plus énervant que si c'était à l'arrache, faut dire -, le grand blond, d'humeur maussade, se dirigea vers son campement, accompagné du hongre blanc qui lui paraissait content. Enfin, il paraît toujours content, ce bête cheval. June avait presque envie de lui mettre une tarte rien que pour le punir d'être trop content, rien que par méchanceté. Mais il aimait bien Orion, et une petite voix dans sa tête le menaça de lui faire rater ses prochaines joutes. A croire que cet animal à moitié barge lui parlait dans sa cervelle. Gnarf. Il secoua la tête et n'y pensa plus.

Il commença par attacher le cheval et entreprit de se faire enlever son armure par un page qu'il avait loué pour le quart d'heure, le temps de le débarrasser de sa boîte de conserve de combat. Une fois cela fait, il congédia le page avec une piécette - -oui, il était homme de générosité - et se mit à débarrasser Orion de sa selle. Il n'avait aucune envie de rester, d'autres joutes l'attendaient sûrement, et il décida de mettre tente à terre. Il commença par rassembler et ranger les affaires qu'elle abritait, puis à en,lever la toile et les piquets, il plaça sur le chemin devant le campement, en attendant de mieux les ranger pour les charger sur les chevaux. C'était une belle tente, de qualité, toute neuve en plus, et il y faisait bien attention pour éviter de l'abîmer. Juste avant de partir, il avait lustré le bois et lavé une énième fois la toile, histoire d'avoir du plus blanc que blanc, comme le nouvel Omo. Enfin, même si le tissu n'était pas blanc.

Sur le chemin, donc, il déposa tout l'attirail ; de toute façon, cela n'allait pas gêner, personne ne passait par là ; il était le dernier campement de la rangée et il n'y avait pas grand-chose à faire au bout du chemin, à part regarder le paysage, peut-être.

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Lucieanne
- [ Campement Sidjéno & alentours ] -


« J’ai besoin de prendre un peu l’air Alice » Déclare Lucie, pressant le pas en tenant les pans de sa robe de façon suffisamment habile pour ne pas dévoiler les bottes de cuir qu’elle a revêtu en dessous, de façon à être plus à l’aise.
« Mais dame Lucie, nous sommes déjà dehors ! » Grommellement de la part de la blonde « Merci de ta perspicacité Alice, mais je parlais loin de toute cette foutue agitation ! » Que renchéri la Castelviray sur un ton passablement agacé, en levant les yeux au ciel. Elle maugréa quelques paroles d’excuses absolument tout sauf sincères en se frayant un passage parmi l’agitation ambiante quand finalement, elle arriva en bout du campement, ou presque, sa libération à perte de vue. Le campement étant légèrement surélevé, tout au bout de l’allée, on pouvait se délecter d’une vue panoramique sur les paysages Gascon. Tandis que les yeux bleus de la blonde se mettent à pétiller, à l’image de ce ciel bleu parfait qui se dessine droit devant elle, elle ne prend pas garde aux diverses mésaventures qu’elle pourrait rencontrer sur le chemin, pourtant bien court, qui la sépare de son idyllique destination.

Elle n’entend donc pas Alice s’adresser à elle
« Dame Lucie attenti… » Mais déjà, le drame se produit, l’impeccable croc en jambe d’un piquet de tente posé contre une malle, qui, presque au ralenti, la fait trébucher pour s’étendre sur le sol dans un « Aaaaah ! » Sonore. Alice grince des dents, grimace, avant d’accourir vers sa maîtresse, encore allongée face contre terre. Les secondes semblent être des heures tandis que Lucie mord la poussière du sol de terre à cette saison bien sèche. Alice s’agite, relevant sa maîtresse tant bien que mal, mais Lucie est étonnement silencieux. « Dame Lucie tout va bien ? » s’enquiert Alice, redoutant la latente réaction. Lucie rive ses yeux clairs sur sa suivante et en instant « Mais quel est l’immense connard qui a foutu ça ici ?! »

Se dégageant de l’emprise d’Alice, Lucie se redresse avec une hâte et une colère non dissimulée. Elle agite les mains sur sa robe, afin de faire disparaître la poussière qui jonche le tissu de grande facture, tout en pestiférant diverses insultes censurées dans ce récit. Finalement, elle s’interrompt et balance un coup de pied rageur dans le piquet de tente qui tombe au sol dans un bruit sourd, faisant voltigé un peu de poussière. Alice aide sa maîtresse à s’épousseter tant bien que mal, l’air penaud et désolé, même si elle n’y est pour rien. Alice se met d’ailleurs à balbutier quelques paroles « Mais ne… ne vous inquiétez pas Dame Lucie, vous avez… vous avez pris assez de robes pour pouvoir vous changer » Maigre consolation, mais Lucie n’adresse même pas un regard à sa suivante, bien trop occupée à chercher des yeux le coupable de tout ce bazar empiétant sur l’allée. Sur son allée. Celle qu’elle comptait traverser sans encombre.
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“On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal.”

Nique la milice.
June
- [ Campement Sidjéno ] -


Il avait eu le temps de plier soigneusement la toile, de la rouler et de la ranger dans un sac de toile propre. Ce n'était pas une mince affaire que de faire cela tout seul mais le grand blond, loin de se balader avec une équipe complète de suivants et d'écuyers, aimait savoir se débrouiller seul. Et puis, avoir des esclaves, c'était pratique, mais ça faisait un peu trop ronflant à son goût. Et un peu trop cher, aussi... Bon, d'accord. Surtout trop cher. Le sac de toile fermé, il le mit de côté. Le programme pour les heures à venir était de tout démonter, de tout ranger petit à petit, de tout mettre ensemble. Ne resterait que les chevaux à seller et équiper, puis à charger le matériel, et enfin il pourrait s'en retourner dans son petit coin forestier paisible.

C'était sans compter la visite impromptue d'une nouvelle grognasse dans sa vie. Le grand blond venait à peine de poser le sac et de se diriger vers les piquets de bois qu'une jeune femme se prenait les pieds dedans, trop aveuglée par la beauté du paysage, ou quoi que ce soit d'autre. Elle crie, trouble le calme chéri de June et s'affaisse dans un tourbillon de poussière sur le sol dur du chemin. Le Seigneur de Cussy espère pour elle qu'elle a de quoi alléger le choc dans son corset. Oui, des gros nibards, c'est ce qu'il voulait dire. Elle se fait relever par une servante qui paraît dans tous ses états, et les voilà toutes les deux face à June qui les regarde d'un air blasé, un piquet dans les mains. Pis l'autre qui demande si dame Sidonie ou Valérie ou Je-ne-sais-qui va bien, et voilà qu'outrepassant toute la noblesse de sa tenue et de son éducation, la gourde se met à gueuler comme un putois :


"Mais quel est l’immense connard qui a foutu ça ici ?!"

Cela tout de suite accompagné d'un lever de sourcil de la part du concerné, immense certes, mais connard faut ptête pas déconner. V'là qu'une fois levée, elle s'enlève toute la poussière récoltée un instant plus tôt, tout en continuant de jurer comme un charretier. June en serait presque choqué, s'il ne gardait pas à l'esprit qu'il venait de se faire qualifier de connard par la donzelle. Pourtant, il garde son calme et attend qu'elle aille se faire voir ailleurs, dans son armoire remplie de froufrous, par exemple. Tout en espérant qu'elle s'étouffe avec. Sauf qu'elle commet l'irréparable, l'irrémédiable, le MAL : elle donne un coup de bottine des Galeries Lafayotte dans le bois lustré des piquets de tente tout neufs. Et alors là, alors là ! Il parcourt rapidement la distance qui les sépare, accompagné de ses grandes jambes, et il lève son bâton, jusqu'à le pointer sur le nez de la morue nouvelle génération. Et tout ça avec un air menaçant, sinon c'est pô rigolo.

"L'immense connard, autrement dit moi-même, vous conseille très vivement d'aller vous faire voir dans une autre partie du paysage. Ces piquets de tente étaient là avant vous, bien empilés avant d'être dérangés par votre présence, et si vous ne savez pas relever l'espèce de vieux rideau qui vous sert de toilette pour regarder où vous mettez les pieds, je vous enjoins à aller essayer les braies. Cela soulignera davantage les deux poteaux disgracieux qui vous servent de jambes et vous aidera à mieux savoir où les mettre pour vous déplacer convenablement. Compris ?"

Genre il allait se laisser faire par une gonzesse, si grande gueule soit-elle. T'façon, les gonzesses, en ce moment, elles commençaient sérieusement à lui courir sur le haricot.
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Spagnolo


Des fois quand un ancien souvenir vous revient en tête, un ancien désir revient vous hanté vous vous trouvez démunie et sans aucun moyen de le comblé, surtout parce que vous avez changer, vous avez surement grandit et ces "jeux ne sont plus de votre age" ce qui disons-le clairement n'était pas le genre du blond ou du brun ou peu importe quelqu'autre couleur de cheveux qu'on puisse lui donner, on lui en donnait tellement. Bref le monmouth (ca au moins c'était clair) avait retrouvé gout à un désir insatisfait par le passé, les joutes, sa situation ayant peu changer depuis le temps l'avait convaincu de s'engager en temps d'écuyer chez un noble, un de ceux qui eux pouvaient participer. Il avait su de son ouie fine ou plutôt de quelques de ses sentinelles qu'au loin en terre Francoyse lui qui était d'Empire qu'une baronne cherchait écuyer aussitôt s'était-il mis en route sur son destrier têmpete pour rejoindre celle qu'il espérait être sa maîtresse (sans arrières pensées biensur) dans un futur proche.

Les joutes de Gascogne 1463 se trouvaient être une bonne occasion pour marquer le coup aussi s'y était-il présenter après plusieurs jours de voyage et avait chercher longuement le campement indiquer, ce qui n'avait pas été tache simple pour être ce qu'il y'a de plus sincère, premièrement parce qu'étant étranger au terres francoyses et encore pus à celles ...gascons? il ne s'y retrouvait pas il avait du ainsi se faire indiquer le trajet par un paysan. Disons-le quoiqu'il apprécie le franc parlé des paysans et leur étrange argot qui lui permet d'amuser son esprit lorsqu'il n'a rien d'autre d'important à faire, quand au contraire quelque chose de plus important l'attends il supporte peu de devoir perdre du temps à essayer de les comprendre ne pourrait-il pas prendre le temps d'avoir une éducation misère.. se disait-il intérieurement. Après avoir déchiffrer l'étrange langage du paysan il s'était ensuite rendue à l'endroit ou se déroulait les joutes mais la encore trouver le campement n'était pas une tache des plus simple, nombreux étaient les participants à ces joutes et au moins autant étaient les campements présent sur place.

Aussi après avoir tourner un peu sur place et demander renseignement dans d'autres campements, il arriva finalement sur place un campement à l'ombrage un peu esseulé du reste et près du rivière avant toutes choses, bien avant même d’apercevoir qui que se soit il voulu prévenir de sa présence aux hôtes.

Y'a-t-il quelqu'un? Je me nomme Spagnolo de Monmouth
il fit une pause afin de savoir si quelqu'un répondrait à son appel puis ajouta J'ai entendu dire que l'on cherchait un écuyer d’où la raison de mon arrivée ici-même, je souhaiterai me mettre au service de cette personne et lui offrir toute l'aide qu'un écuyer puissent offrir à son seigneur.
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Hersent


Y'a-t-il quelqu'un? Je me nomme Spagnolo de Monmouth (...) J'ai entendu dire que l'on cherchait un écuyer d’où la raison de mon arrivée ici-même, je souhaiterai me mettre au service de cette personne et lui offrir toute l'aide qu'un écuyer puissent offrir à son seigneur.

Hersent ne reconnut pas la voix qui n'était pas celle de l'homme qu'elle attendait, mais elle lui disait malgré tout quelque chose.
Elle envoya Jehan accueillir le visiteur.


Il y a la Baronne Hersent qui doit se préparer pour son prochain duel, celui des 32è. Il n'en revenait pas que son écriteau ait été lu. La délivrance était à portée de main. Votre proposition tombe on ne peut mieux, j'avertis la Baronne de votre présence.

Il se retint de courir annoncer la bonne nouvelle à sa maîtresse, il souleva un pan de toile et dit:

Dame Hersent, un certain sieur Spagnolo souhaite se mettre à votre service. Puis-je le faire entrer?

D'un signe de tête, Hersent fit comprendre qu'il pouvait introduire le postulant aux fonctions d'écuyer.

De retour auprès de l'homme, Jehan dit, très pompeux:


La Baronne vous attend dans sa tente et est impatiente de vous rencontrer.

Il s'effaça pour laisser le passage à l'homme.

Hersent attendait, éventail en main, masquant sa joie derrière un sourire de bienvenue:


Le bonjour Sieur Spagnolo, Jehan vient de m'apprendre que j'ai sans doute trouver un écuyer! Je vous en prie, prenez place sur ce siège et devisons un peu avant de passer aux choses sérieuses: me préparer pour mon prochain duel.

Elle détailla l'homme et son allure lui rappela un client des Doigts d'Or: voilà pourquoi sa voix lui rappelait quelque chose! Le monde était vraiment petit.

Connaissez-vous un peu le monde des joutes? Ainsi que le rôle d'un écuyer... efficace. Regard en coin vers Jehan qui devait prier le Très Haut pour qu'elle embauche l'impétrant.
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Chevalier du Guet Royal
Spagnolo
Un jeune-homme sorti de la tente, un air embêter, déranger presque par le visiteur que le blond faisait du moins dans un premier temps car une fois qu'il eu écouter son teint eu l'air de s'illuminer. Cela eu comme moyen de rassurer le blond dont l'agitation controlé faisais rage dans son moi intérieur. Faut dire que le blond pour étant noble et travailleur ou plutot studieux et ayant cette arrogance que l'on identifie que chez les hommes de bonnes naissance se sentais toute meme intimidé par ce genre d'entrevue. Celles-ci étaient loin de faire partir de ses habitudes, pour sur il avait pris l'habitude lui de recevoir les visistes mais ne voulant pas montrer tout signe de fablesse il restait toujours sous-controle.

Celui-ci rentra dans la tente pour revenir quelques minutes ou sécondes qui sait? lui qui ne comptait que les heures à l'aide du soleil ou de son sablier, ne tenait pas compte de ces quelques sécondes qui pouvaient exicter dans quelconques évenements.


La Baronne vous attend dans sa tente et est impatiente de vous rencontrer.



Soupire de soulagement, il s'introduit dans la tênte puis saluant la baronne de la maniere la plus respectuese qu'il pouvait. Il s'installa face à la baronne suite à son invitation à discuter.

Connaissez-vous un peu le monde des joutes? Ainsi que le rôle d'un écuyer... efficace.

Madame, je vous mentirai si je disais que j'ai une quelconque expérience en tant qu'écuyer neanmoins je connais le monde des joutes mon oncle en organisa une une fois au domaine de sellières, je failli poser une candidature en tant que Héraut es Joutes dans ma region tant le monde des joutes m'intéresse. J'ai par ailleurs été militaire par le passé dans le corps d'arme de la cavalerie et... j'ai une éducation noble. il fit une petite pause pour reprendre de l'air Je ne sait pas ce que puis être le rôle d'un écuyer éfficace, mais je fu efficace dans tous mes roles par le passé et je gage que je pourrai finir par être un ecuyer efficace s'il m'est biensur donner des instructions claire sur mon role

il en avait trop dis? pas assez? avait il été violent? ou pas? il serait tout par la suite
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Albin.


Mission accomplie, l'appelle de la boisson avait fait sortir Ellesya de sa tente comme quoi le surnom donner par Fool de débauchée éthylique se vérifie donc.

Non ma Soeur, la sieste est sacrée et puis si l'on pouvait descendre quelques bouteilles dans ton dos..

Un petit rire, autant en profiter de ce moment convivial et à la suite de tous...

A la Licorne, santé et réussite à tous pour ces joutes et à Gauvin qui nous aide en permanence, et à Malwyn présent lui aussi.

[Pendant ce temps, le page d'Albin avec Clemence]

Les paroles de Podrick ne semblait pas plaire à la Des Charmilles visiblement. Logique à vrai dire.
Stoppé dans sa marche par un petit tirage sur la main comme si l'on tirait sur les rennes d'un cheval pour qu'il s'arrête sauf que Podrick lui n'est pas un canasson mais le message était clair : STOP !.

Le page écouta le petit sermon
.

Oui c'est bien Podrick.

Et même s'il s'en moquait un peu de ce que pouvait dire celle qu'Albin surnomme "la divine", le jeune page s'amusait à jouait au "oui oui".

Bien ma Dame comme il vous plaira.

Un peu d'arrogance au passage dans ses paroles et le duo reprit la route jusqu'au campement licorneux qui était désormais non loin.

Nous arrivons, c'est à la prochaine allée à droite.

Le petit tournant à droite justement et les voila arrivés. Podrick lâcha la main de Clemence et parti rejoindre Albin qui était en train de finir son verre.

Messire, Demoiselle Clemence des Charmilles est arrivée.

Albin jeta un regard puis un sourire en apercevant Clemence devant le campement. L'Ar Sparfel s'excusa auprès de ses frères d'armes.

Je vous prie de m'excuser mais je reviens.

Le brun alla retrouver sa divine blonde mais toujours très pudique en public il n'allait pas l'embrasser devant tout ce monde alors il se contenta.

Bonjour ma divine, tu as fait bonne route? Podrick a été bienveillant envers toi sur le chemin te menant ici?
En tout cas soit la bienvenue au campement de l'Ordre Royal de la Licorne.


Albin s'empara du bras de la blonde Charmillesque et de lui glisser à l'oreille tout en marchant vers le reste du groupe.

Tu m'as manqué grandement. On va rejoindre un instant les autres, ils ne mordent pas ils ont jamais mangés de divine. Et si tu veux il y a du vin. Après on profitera pour être tous les deux les premiers tours ne vont pas tardé.
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Hersent


Hersent écoutait le jeune homme avec attention. Il semblait de bonne volonté et s'y connaître un minimum dans le domaine des armes. Il devait faire la différence entre une rapière, une épée et une hallebarde.

Pendant qu'il parlait, elle l'observait: un peu nerveux, mais juste un peu ce qui était compréhensible. Sa mine lu revenait et comme elle avait accepté la venue d'un autre jeune homme, en mal d'aventure, elle se disait que deux écuyers à son service lui convenait au plus haut point.


Sieur Spagnolo, j'entends que vous connaissez le monde des armes et des joutes, que vous êtes intéressé par tout ce qui s'y rapporte de près ou de loin.
Pour faire plaisir à mon actuel écuyer qui n'en peut plus d'être sur les routes, se languissant de mes domaines qu'il préfère administrer, je vous engage à l'essai.


Elle lui sourit:

Demain auront lieu les 16ème de finale, je dois être prête à affronter mon adversaire qui n'est qu'autre que la Baronne Maylis Do Urden, une grande jouteuse.

Elle lui montra une partie de la tente où étaient rangées les pièces de son armure.

Avec Jehan, vous vérifierez l'état de mon armure. Comme je suis coquette, j'aime qu'elle rutile de tous ses feux au moment d'entrer en lice.
Ensuite, il y aura Korrigan à entraîner. Un peu de détente dans les environs ne lui fera pas de mal et ainsi il s'habituera à vous.


Avait-elle oublié quelque chose? Les émoluments?

Sachez que je ne suis point avare et que je partage aussi bien mes repas que mes gains, glanés en tournoi, avec mes gens. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, n'hésitez à pas à me le faire savoir.

Elle se leva et lui prit le bras pour l'entraîner à l'extérieur afin de le présenter à Jehan, aux petites mains qui la suivaient depuis toujours et à son frison, son cher Korrigan.
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Chevalier du Guet Royal
Spagnolo
"Je vous engage à l'essaie"

Ces mots seuls avaient transformer le stress initiale du blond de monmouth en une immense joie. Le voila qui intégrait finalement le monde des joutes, certes il ne joutait pas lui meme mais qu importe c était un debut. Sa palabre lui avait souvent bien aider par le passé et il etait olud qu'heureux d avoir reussi a convaincre cette dame de le prendre a son service .Quel debut il savait pouvoir apprendre beaucoup en se mettant au service de la baronne . Il la suivit lorsqu elle l entraina hors de la tentebien qu il ne savait pour qu elle raison, concentrer sur ce qu elle lui avait dis avant, lorsqu'il vit la monture dehors, il s exprima

Merci madame je m'en souviendrais indiquant la monture qui n etais pas a lui et qui n etait pas trop loin d eux il continua Je suppose que cette monture doit être le korrigan dont vous me parliez vous préférez que je m'en occupe toute suite ensuite je m emploierai a polir et nettoyer vos armes ou je fais d abord ces derniers et m occupe de votre destriers après ?

Remarquant ensuite l homme qui l avait acceuilli tout a l heure, il lui tendit la main dans un salut qui se voulais oasser par une poignée de main

Vous devez etre Jehan , Je me permet de me representer Spagnolo de Monmouth, j ose esperer que nous nous entendrons bien et que vous m apprendrez toutes les ficelles pour être un bon ecuyer, vous connaissez sûrement tres bien ce qui plaît a madame
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Lucieanne
- [ Campement Sidjéno & alentours ] -


Alice essaye de me consoler, Lucie lui lance un regard exaspéré. « J’ai toujours assez de robes t’façon » Ce qui est totalement vrai. Sortez couvert, qu’il disait. Où soyez prévoyant. Dans les deux cas, ça marche. Frottant encore un peu sa robe en maugréant des insultes plus ou moins censurées en vu des standards actuels, Lucie ne se rend pas compte que le propriétaire du dis équipement est en train de se ramener vers elle à grandes enjambées. Tirée de sa tirade grossière par un bâton se pointant sous le bout de son nez, Lucie tourne la tête vers le responsable de cette agression. Où disons presque agression. Mais elle n’a pas le temps d’avoir ne serai-se que la pulsion de l’insulter que l’homme s’adresse à elle d’un ton menaçant et passablement énervé. En plus de ça, il est immense, ce qui accentue son côté intimidant, bien qu’il en faille plus à la Castelviray pour se sentir menacer. Elle est plutôt du genre grande gueule, mais qui sait se tenir en société. Un visage qui passe de la joie et d’une attitude parfaite aux pires grossièretés. Elle manie habillement le jeu des expressions et de la comédie, pour paraître parfaite en toute situation. Une vraie dame en somme, éduquée pour en être une en tout cas.

Elle écoute, le propriétaire du bordel sans pouvoir en placer une, l’air surprit et vraisemblablement choquée. Alice se cache toujours un peu plus, semblant rapetisser, admettant une dure réalité, elle va subir l’humeur massacrante de sa maîtresse, qui sera de rigueur une fois l’houleux échange terminé. Les insultes fusent tandis que la mine de Lucie s’assombrit. Ses sourcils se froncent et ses poings viennent se placer sur ses hanches. C’est finalement à son tour de parler, et elle ne se fait pas prier pour réagir. Montant sur le coffre, juste devant elle, tenant les pans de sa robe, elle se met à niveau de l’odieux personnage qui lui fait face, prête à répliquer et à balancer elle aussi, une tirade plus que poétique. « De quel droit me parlez vous sur ce ton infâme personnage ! Je… » Mais Lucie est interrompue dans son élan subtil et lyrique par Alice, qui, la prenant par le bras, la fait descendre sur coffre pour l’entraîner à nouveau vers les tentes. « Alice lâche moi ! J’étais très occupée !! Aaah mais à quoi joues-tu juste ciel !! » Mais elle n’a pas le temps de se débattre, de se retourner, qu’Alice s’adresse à elle « Dame Lucie votre frère ! Fred ! Il vous somme de le rejoindre, regardez ! » Et en un instant, le visage angélique de la Castelviray se tourne vers les tentes et son expression se transforme, s’étirant en un sourire sincère vers son grand frère qu’elle aime tant, qui lui fait signe. Elle en oubli l’immonde bâtard qui se tient derrière elle, encore énervé et semble-t-il outré de la voir se barrer de la sorte. Encore guidée par Alice, Lucie tourne la tête vers l’arrière, distinguant encore une fois le grand blond qui la regarde partir, l’air méprisant. Elle lui adresse, elle aussi, un regard lourd de sens, avant de penser, presque à haute voix « Je l’aurais un jour ! Je l’aurais ! ».
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“On s'attire la haine en faisant le bien comme en faisant le mal.”

Nique la milice.
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