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[RP- A Boissières-en-Vaunage] Ivre de vie

Jenifaelr
    L'impatience se calma et elle se leva pour la faire cesser totalement. Elle répondit au blond, une fois debout.

    "- Je n'est pas le choix, c'est ainsi, ce sont les devoirs ... de la noblesse qui oblige cela. "

    Elle l'observe.

    "- Vous souhaiter autre chose, où je peux m'en aller, ainsi que ma pauvre domestique, qui est visiblement tétanisée de peur, même si j'ignore pourquoi. "

    La blonde semblant soudainement fatiguée, incomprise. Elle s'assit de nouveau, cette fois-ci sur le lit et dans un soupire termina.

    "- Dormez, demain vous aurez fini avec l'alcool, vous mangerez ici le matin et partirais. "

    La vénitienne se releva, lissa la soie sauvage de la robe pâle et salua Georgy, s'attendant à une réponse positive, pour pouvoir s'en aller.

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Goery.
Non, merci. Vous avez déjà fait beaucoup.

La regardant, Goery glissa son regard sur la domestique. Il n'était pourtant pas effrayant. Ivre, certes, mais toujours fidèle à lui même : gentil, et mystérieux. Haussant les épaules, il se leva au devant de son hôte.

Merci de votre temps.

En bon homme qu'il était, il lui prit la main, Legio y déposa un baiser.
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Jenifaelr
    Elle partie se coucher, après avoir saluer l'invité de la nuit.

    [Le lendemain]

    Lors du lever de la jeune femme, le repas du matin était servit. Des fruits et des fruits secs, du fromage, du lait et même du lait et du miel. Il y avait également du beurre et un enfant assis là. Quatre ans, brun et les yeux vert il semblait apprécier le repas, pour preuve il avait plusieurs morceaux de pain et de beurre devant lui, accompagner de fruits sec et d'un lait au miel. La jeune femme avait envoyer la domestique brune chercher l'invité du jour, pour que celui-ci se joigne à eux. Aujourd'hui, elle porter du rouge sang une robe simple et flamboyante.

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Goery.
Le matin, Goery fixait le plafond. Il se remémorait son arrivée en ces murs, et les quelques mots échangés avec l'hôte de ces lieux. Fermant les yeux en soupirant, le Lisreux se trouvait sombrement ridicule. Mais pas le temps de cogiter. Quelques coups à la porte le sortirent de ses pensées. Ronchonnant, il se leva le se frottant le visage. Il avait durant la nuit de nouveau enlever sa chemise tâchée. Histoire de laisser l'endroit le plus propre possible, et de ne pas sentir l'alcool et la transpiration à des kilomètres à la ronde. Ouvrant la porte, il tomba sur la brune d'hier qui lui fit savoir que la maîtresse des lieux l'attendait pour le déjeuné.

Alors il prit un brin de toilette, soignant au minimum son apparence. Les cheveux blonds en bataille étaient tiré en arrière, sa barbe de quelques jours le vieillissait quelques peu, mais cela le laissait fidèle à lui même. C'est ainsi qu'il rejoignit Jenifael et l'enfant.


Le bonjour Dame Jenifael.
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Jenifaelr
    La vénitienne leva les yeux vers l'invité, le nez se fronça, il était un peu plus charmant moins bourré, mais à peine.

    "- Vous marchez enfin droit ... c'est bien, venez vous asseoir. Voici Lowe Corleone, mon fils. "

    C'était la réponse pour qui était le bambin dévorant sans faim les morceaux de pains avec beurre, fruits sec et lait en prime. La Vitalis elle, c'était contentée d'un morceau de fromage sec, s'émiettant, le genre de fromage au goût prononcer que l'on ne trouve pas dans les régions française, ainsi que d'un peu de pain.

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Goery.
Le blond posa son regard sur l'enfant, un sourire étirant le coin de ses lèvres. Jamais il n'avait imaginé un seul instant que Jenifael pouvait avoir un fils. Un fils au yeux vert comme ceux de Goery. Presque aussi beau que les siens. La question de savoir où était le père lui brûla les lèvres, mais il la garda pour lui. Il y a certaines choses que les gens préféraient garder pour eux.
Prenant une place en inclinant le chef en direction de son hôte, le blond jeta un rapide coup d'oeil à la table.


Merci ma dame. Corleone ? J'ai déjà entendu ce nom il y a quelques temps. Vous en êtes donc ?

A vrai dire, Goery n'était que rarement sorti. Ou bien ne s'en souvenait pas.
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Jenifaelr
    Boissières sourit à l'invité, avant de répondre.

    "- Je fait partie du clan Corleone, oui. "

    Elle l'invita à s’asseoir et poussa vers lui un morceau de pain ainsi que la petite motte de beurre et le fromage.

    "- Et vous? Qui êtes-vous Goery Legio? Nous avons parler de moi, très peu de vous en revanche. "

    Et l'Italienne croqua dans un morceau de pain plein de fromage italien. Puis Lowe se leva et après avoir saluer Geory et sa mère, il s'enfuit à toute jambes, la belle vénitienne n'avait même pas eu le temps de dire trois mots à celui-ci, elle avait ouvert la bouche et semblait éberluée.

    "- Vous devez lui faire peur. "

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Goery.
Prenant un morceau de pain, il le tartina de beurre, y posant un fin bout de fromage. La question de son hôte lui tira un nouveau sourire. Il y avait si peu de choses à dire sur cet homme, qu'il hésita un instant.

Que voudriez vous savoir ma dame ? Goery Legio Lisreux-Delasges, fils aîné de mon côté de famille, producteur et vendeur d'hypocras. Je compte m'engager au sein du Comté dans lequel je vis. Une vie faite d'erreur que je compte racheter, si le temps me le permet. Un homme sans honneur n'en est pas un.

Levant le regard vers l'enfant, le blond le salua à son tour, intrigué.

Je suis navré, je ne voulais pas. Si vous souhaitez rejoindre votre fils, je vous en prie. Je m'en irais.
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Jenifaelr
    Il est gentil, la Vitalis apprécie cela, chez son invité. Poli aussi.

    "- Une femme sans honneur n'est guère mieux. Je suis dame de Boissière, mais avant cela, j'ai été mère, sans mariage, j'ai été aimante et roturière, avant d'être celle que je suis aujourd'hui. "

    Voilà une leçon, pour le Lisreux.

    "- Vous voulez vous racheter auprès de qui? Si c'est le paradis, alors faite repentance auprès du Très-Haut et offrez-vous le luxe d'une femme qui vous donnera des enfants à aimer et enseignez-leurs vos erreurs, pour qu'ils ne les reproduisent pas. Faite d'eux des gens bons et proche du Très-Haut. "

    C'était presque Jehanne qui parlait, et non pas elle.

    "- Si vous voulez vous racheter auprès de votre famille, faite de même, rangez-vous. Si c'est auprès de vous, alors c'est à vous de vous pardonner. "

    Voilà.

    "- Vous ne m'effrayez en aucun cas, mon fils est facilement impressionnable, il voit peu de monde, je préfère le voir correctement éduquer ici. "

    Et elle laissa un jugement venir.

    "- Pour vous racheter, commençait par arrêter de boire. C'est complexe, ça vous fera peut-être souffrir, mais c'est une chose néfaste, si vous voulez réellement vous rachetez. "

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Goery.
Les erreurs font avancer, et visiblement, Goery n'était pas le seul à en avoir fait. Le regardant, la blond se mit au fond de la chaise.

Me racheter auprès d'une personne, qui à été victime d'un de mes écarts, il y a bien longtemps. Ma famille n'a que faire de ce que j'ai pu faire avant, tant que cela ne vint pas entacher encore une fois les Lisreux. Les hommes de la famille semblent avoir besoin de se prouver les choses les uns aux autres, mais je crois bien que je suis le plus ridicule d'entre nous.

Entre l'un qui vole la ville du Mans, et l'autre qui viole une jeune femme.. Les Lisreux ont visiblement un soucis avec l'ordre.

C'est tout à votre honneur, pour votre fils.

Mais la question de savoir où était le père lui trottait encore en tête. Bien qu'elle ai signalée ne jamais avoir été mariée, le blond ne pouvait se résoudre à se poser des questions. Puis le jugement de la noblionne arriva. Souriant doucement en coin, Legio hocha la tête.

Boire m'a permit de survivre des années. Sans cela, je serais mort, depuis longtemps. Mais pour compenser, je me contente de vendre l'alcool. Hier soir était.. un soir a part.
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Jenifaelr
    La blonde se leva et s'approcha de son invité, les yeux sombre. Elle glissa deux deux sous le menton de celui-ci, lui fit relever le regard et garder celui-ci dans ses aigue-marine.

    "- J'ai connut ce genre de chose, mais cessez, vous vous détruisez. "

    Puis elle le relâcha, toujours debout.

    "- Il ne faut plus de soir autre ! Cessez, c'est tout, vous tomberez pas toujours sur une débile naïve comme moi, qui vous fera entrer chez elle et vous logera, peut-être pourriez-vous vous faire tuer. "

    Elle n'y tenais pas, mais sait-on jamais ... Si un homme mourrai sur les terres de sa suzeraine, elle s'en voudrais, d'avoir héberger celui-ci ... et un qui porter des chemises qui ne sortais pas du tisserande du coin, avait étrangement plus de chance d'être mis à mort et dépouiller, que les autres ...

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Goery.
Le Lisreux suivit la noblionne du regard, puis se ravisa en baissant le nez en direction de son godet. Deux doigts sous son menton lui fit trouver le minois de son hôte à sa plus grande surprise. Lui faisait-elle la morale, ou était-ce de la bienveillance froide ? L'un ou l'autre, cela l'étonnait. Très peu de personne se souciaient de lui, même de sa propre famille.

Je ne pense pas que vous soyez naïve, ou débile.

Se levant pour lui faire face, Goery plissa légèrement les yeux en la dévisageant sans aucune haine ou rancœur.

Vous aussi vous auriez pu me tuer, par méfiance, ou pour protéger votre fils. Et pourtant j'étais avec vous au déjeuner, vous m'avez offert une chambre. A un inconnu. Surtout si vous êtes une Corleone. Non pas que j'insulte votre Clan, mais leur réputation les précédent et font beaucoup de bruit.

Inclinant le buste, le blond se redressa ensuite, souriant doucement à Jenifael.

Je vous remercie, pour votre hospitalité. Et je tâcherais de mettre en oeuvre vos bons conseils, bien que je pense que vous savez à quel point cela peut-être compliqué.
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Jenifaelr
    Ivre de vie ... Ivre de conneries ouai ! Boissières annonce avec nonchalance à son invité.

    "- Vous tuer aurait été trop simple, je vous aurez attacher ... peut-être violé, qui sait, j'ai parfois mes moments fous ... "

    Un sourire malsain et malin se dessine sur ses lèvres, elle continu ensuite.

    "- Puis je vous aurez torturer, jusqu'à que vous ne me suppliez de cesser et là, j'aurais continuer, bien sûr, de la façon la plus sanglante qui me serait venu à l'esprit ... "

    Et elle acheva.

    "- Pour finir par vous laisser à demi-mort, entièrement recouvert de sang, j'aurais laisser vos plaies se résorber et enfin je vous aurez libérer ... ou alors je vous aurez en effet tuer, mais pas avant le reste. "

    Et toc ! Toujours se méfier de l'eau qui dort, surtout chez une femme Corleone.

    "- Non je ne sait pas à quel point cela peut-être difficile d'aller contre sa nature ... ses envies, ou ses penchants ... "

    C'est sûr, que lorsqu'on sait, que Boissières va se saouler de temps à autre, au milieu de la nuit sur le chemin de ronde, ou dans la bibliothèque ...

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Goery.
Faisant face à son hôte, le Lisreux la regarde de sa hauteur, les prunelles toujours légèrement plissées. Que devait-il comprendre de ces paroles ? Était-ce de la haine ? Il n'avait rien fait pour la mériter. Un avertissement ? Peut-être, mais envers quoi ? Se rapprochant d'un pas, le blond la toisa de sa carrure. A son tour, il glissa sa mains sous le menton féminin, sans pour autant de tendresse. Affichant à son tour un sourire dés plus mystérieux, il entra dans ce qui lui paraissait être un manège d'intimidation de la vénitienne.

Belle. Et cruelle. Je ne crains que vos envies contre moi ne puisse voir le jour. Bien que je sois flatté qu'une Corleone ai en effet penser à faire moi son objet de torture.

Lâchant le menton de la belle, Goery remit le col de sa chemise tâchée de sang.

Quant à ce qui est de violer un homme..

Un sourire en coin fendit ses lèvres, sans qu'il ne finisse sa phrase.

Vous ai-je déjà remercier pour votre hospitalité ?
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Jenifaelr
    La jolie dame de Boissières ne se vexa pas autre mesure et répondit directement au Lisreux.

    "- Ne sous-estimez pas les Italiennes. Quand au viol, allez-y, parler, vous pensez que je n'en serait pas capable? Qu'une femme est faible? "

    Et aussi, qu'il sache. La Lisbeth voyait rouge néanmoins.

    "- Vous torturez serait pour mon simple plaisir, non pas pour de la haine quelconque. "

    Jenifael s'approcha de celui-ci et posa une main sur l'épaule du Lisreux, elle voulut appuyer et lui faire remarquer sa force nouvelle, mais au lieu de cela, elle remarqua le sang sur la chemise.

    "- Pourquoi votre chemise porte-elle du sang? "

    Et elle retira sa main. Ne prenant même pas soin de répondre à la dernière question.

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