[RP- A Boissières-en-Vaunage] Ivre de vie

Goery.

Une femme, faible ? Non. Seulement croyez que l'homme ne saurait pas se défendre ? il est vrai que nous sommes plutôt faibles et idiots pour la plupart lorsqu'une femme se met à nue, mais certains d'entre nous on aussi, un minimum de jugeote.

Non pas qu'il dirait non à voir une femme nue, mais de la à se faire violer par le sexe opposé.. Il avait tout de même une fierté! Ne relevant le fait qu'elle le torturait pour son simple plaisir, le Lisreux ne broncha pas lorsqu'a son tour elle s’avança. Lorgnant la main sur son épaule, il haussa les sourcils en la voyant disparaître.

Ne vous rappelez vous pas de mon arrivée hier ? Je n'ai guère trouver d'autre chemise. Autant dire que je suis aussi sale qu'hier, et que les marques d'une violente altercation avec un homme est encore imprégné sur le tissu.

Et il avait eu de la chance encore une fois de s'en sortir.. Il n'est pas compliqué de profiter de la faiblesse d'un homme lorsqu'il est ivre. Fallait-il savoir si l'homme en face ne l'était pas tout autant à ce moment la.
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Jenifaelr

Elle secoua la tête.

"- Vous ne vous seriez pas défendu ... Déjà vous étiez saoul, alors votre esprit été moins ... présent, ensuite notez, que je vous aurez attacher, je ne suis pas totalement idiote non plus ... et enfin, comme vous le dite, les hommes deviennent stupide devant une femme nue. "

Où comment signaler en trois raisons, qu'elle avait raison ...

"- Je cesse de vous importunez, vous ne me devez rien, partez et bon vent. "

Et voilà qu'elle donne congé au Lisreux, comme à un domestique presque ... Elle tourna les talons et quitta la pièce, pour se diriger vers l'aile réserver aux bains, elle ne c'était pas baigner encore de la journée et cette conversation semblait prendre une tournure déplaisante, qu'elle irait oublier dans l'eau chaude de ces grands bassins.
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Goery.

Partez et bon vent ? Le Lisreux resta sur place lorsqu'elle tourna les tallons. Le caractère de son hôte était bien pire que celui de sa cousine, bien pire que celui de sa soeur. Et des deux réunit. Alors entêté qu'il est, il se fait discret en tentant de suivre l'italienne dans les couloirs. Pour lui dire quoi ? Sans doute rien d’intéressant. Un jeu ? Peut-être plus oui, à savoir lequel serait d'avantage déstabilisé par la présence de l'autre. Les mains croisées dans le dos alors qu'il parcourait les couloirs, un flash du passé lui sonna l'esprit. Secouant la tête, il continua le chemin qui le mènerait à Jenifael.
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Jenifaelr

Où était-elle? Dans cette fameuse aile. L'eau avait été chauffer grâce au système qu'elle avait fait crée, ingénieux et révolutionnaire, soigneusement garder par la Corleone. Elle avait retirer ses vêtements, pour se retrouver dans le même vêtement que celui dans lequel elle était née, la nudité. Dévoilant son dos musclé, son derrière rebondi et filant sur ses côtes à gauche, son tatouage d'une rose et d'une plume de corbeau, elle se plongea avec délice dans l'eau, ignorant royalement toute présence, ayant pour habitude de se faire épier par les deux domestiques gloussante, qui adoraient les ragots sur leurs dame.

"- Les filles, si vous êtes là, dégagez illico, où je sort et vous chasse moi-même. "

C'était bien à l'adresse des gloussantes. Le blond devait être loin et voilà que la Corleone se laissa aller à se détendre, sur le sol traîner ses vêtements, rouge sang, ainsi que son chainse et sa dague, qu'elle avait cacher sur elle, ainsi que les lanières de cuire, lui ayant permis de faire cela.

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Goery.

Les bains. Ainsi la Corleone avait quitter le Lisreux pour se rendre dans les eaux chaudes de son domaine. Se faisant moins discret à cause de la résonance de l'eau, le blond arriva devant la salle où la chaleur se voulait étouffante et pourtant quelque peu intime. Sans aucune indiscrétion, il resta planté là, à regarder les formes de la vénitienne se plonger dans l'eau. Les bras à présent croisé contre son torse, il souria en coin lorsque la maîtresse des lieux était persuader de congédier ses domestiques. S'approchant alors sans plus se cacher, il mit alors le pied sur la dague au sol alors qu'il avait soigneusement éviter les autres vêtements.

Vraiment ? Vous sortiriez me chasser vous même ?

Se mettant accroupi, il dégagea au loin derrière lui l'arme. Il ne souhaitait pas non plus risquer de se faire éventrer.
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Jenifaelr

Elle eu un sursaut. C'est pour dire, elle s'attendait à un claquement de porte et à des gloussements de dindes. Non pas à une voix masculine, son premier réflexe, fût donc de se retourner pour avoir ses affaires en vu et de vouloir attraper sa dague, elle trouva un pied à la place de celui-ci. Coller contre la parois en mosaïque du bassin elle n'en mener pas large.

"- Partez d'ici. Je ne vous est pas invité dans mon bain, encore moins pendant que j'y suis. "

Elle envoya de l'eau sur le Lisreux, pour le chasser, comme l'on chasse une bestiole encombrante et vibrante de vie.

"- Aller oust. "

Autrement dit, pas décidée à bouger de contre le mur, pour l'instant la vénitienne aux cheveux court.

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Goery.

Un sourire en coin, le jeune homme narguait ouvertement son hôte, qui à cet heure, ne devait plus l'être. Collée contre la paroi de son bain, l'italienne envoya de l'eau au visage du Lisreux, ce qui eu le don de le faire rire. S’essuyant le visage il émit un claquement de langue.

Non, vous ne m'avez pas invité, il est vrai. Mais vous avez invité ma curiosité à être satisfait. Ou non d'ailleurs.

Non pas qu'il était du genre à chercher des histoires, la vénitienne avait entre autre réveillé une part de lui qui dormait depuis bien longtemps. Le jeu du chat et de la souris. Lequel des deux était le plus imposant, ayant le plus de corde à son arc.

Vous me semblez très certaine de vous, dans chacune de vos paroles. Mais finalement je ne crois que ce que je vois.

A nouveau, il plaqua ses doigts sous le menton de la Corleone, lui faisant lever le menton. Comme s'il observait une bête.
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Jenifaelr

L'Italienne est joueuse, avec qui sait jouer et la voilà en mauvaise position, ce qui l'a sort de ce genre de situation est généralement la surprise et le jeu, un jeu qu'elle connait en parti. Elle fixe le Lisreux avant de se dresser et de prendre les lèvres de celui-ci un très bref instant, gardant l'inférieur mordu un instant après le baiser et de retourner dans son bain.

"- Ne jouer pas, partez. Vous n'êtes pas à la hauteur. "

Et la voilà qui s'éloigne de la parois, prenant sur elle et se mettant au milieu du bassin, observant se blond-ci de loin. Intriguée de la suite des événements. Elle à lancer ses paroles comme un défi, le prendra-t-il? Là est la question ...

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Goery.

L'effet de surprise. Jenifael semblait en être adepte. Depuis son arrivé en ses terres, il avait vu la plus ou moins gentille, l'attentive, puis la mystérieuse. Alors qu'il lui tenait le menton il resta de marbre quand elle se redressa, s'attendant à tout. Sauf à cela. Râlant sous la morsure de sa lèvre. Fronçant le regard, il se redressa à son tour.

Vous ne faites pas peur, Jenifael.

L'air de défit se plaqua sur le minois du Lisreux, alors qu'il enlevait pour la seconde fois devant l'italienne, sa chemise. Puis il envoya balader ses bottes après les avoir délassée ; et toujours l'air grave, il finit par faire tomber ses braies à ses pieds. Non pas qu'il souhaitait prendre du plaisir avec l'hôte, mais ainsi ils étaient à armes égale. Avec pour seul moyen de pression autour d'eux, l'eau. Se glissant dans le bain, gardant toujours ses émeraudes sur le minois de l'Italienne, le Lisreux ne songea pas instant à se demander, si cela était une bonne idée.
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Jenifaelr

La jeune femme fût surprise. Cela ne dura pas.

"- Je vous est dit que vous n'étiez pas invité ! "

Nullement intimidée par la nudité masculine, elle continua

"- Je devrais trouver un poison qui se mêle à l'eau et au contacte de la peau agit ... cela m'évitera les nuisibles de votre genre. "

A ces paroles, l'air est hautain, le buste droit et le menton haut, les bras croiser sur sa poitrine, la cachant en partie, alors que son ventre est laisser dévoiler. L'eau lui arrive jusqu'au nombril elle reste plantée, là.

"- Ayez peur, je ne vous ferez pas de cadeau. "

A aucun jeu, non ... Le Lisreux n'aura aucun cadeau de Boissières.

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Goery.

Non, cependant vous avez clairement lancer une invitation au défit.

Se disant, il passa le revers de sa main contre ses lèvres vérifiant qu'elle ne l'avait pas saigner. Puis dans un sourire amusé il la regarda.

Ce poison qui vous verseriez dans cette même eau où vous êtes ? C'est aussi dangereux pour l'un comme pour l'autre.

Haussant légèrement le sourcil en la voyant croiser les bras, il ne pouvait que remarquer l'écart qu'il avait entre eux deux. Nullement gêné par la nudité non plus, ayant de toute façon l'habitude de se promener dans les bordels, le blond avança de quelques pas dans l'eau qui ne lui arrivait qu'aux cuisses.

Bien. Montrez moi.
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Jenifaelr

La Corleone observa le Lisreux. Il était devant elle et balança de l'eau sur celui-ci. L'eau était bien sûr chaude, il était hors de question pour l'italienne d'avoir de l'eau froide, elle détester le froid.

"- M'enfin vous n'allez pas me lâcher? Que je vous montre quoi? Que vous n'êtes pas le bienvenu ici? Cela me paraissait évident ! "

Et la voilà qui s'éloigne, avant de se baisser dans l'eau, laissant celle-ci la couvrir jusqu'au menton pratiquement, appuyer contre la parois opposer à la première. Elle se permet de détailler se blond, sans gêne, puisqu'il est là, se laissant aller à quelques commentaires silencieux ici ou là. Avant d'attraper sur le bords une fiole d'huile légèrement coloré et l'éponge marine qu'elle utilise pour se laver.

"- Vous comptez rester à me regarder me laver et dormir dans mon bain? J'peux vous faire préparer un endroit où dormir aussi ... mais dans les écuries cette fois-ci. "

L’amabilité façon vénitienne.

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Goery.

De l'eau. La Corleone lançait à nouveau de l'eau sur le Lisreux. Ce qui l'amusait plus qu'autre chose. Bien sur, un jour il la lâcherait, mais le jeune homme était obstiné, têtu. Sans rien dire, il la regarda s'éloigner de l'autre côté du bain, contre la parois. Plissant doucement le regard, Goery se demanda alors si l'italienne avait donc fait des menaces dans le vide, où si elle était réellement.. Dangereuse. Et quel jeu risqué que de prendre les lèvres d'un Lisreux par surprise. Une femme de l'armée en avait déjà fait les frais, presque autant joueuse.

J'attend de voir, ce à quoi vous laissiez entendre ; votre grande force, la menace à l'italienne..

Alors qu'elle prenait l'huile pour se laver, Goery rebroussa chemin. Oui, mais pour s'asseoir contre la parois ou se trouvait la vénitienne plus tôt.

Si je n'étais pas le bienvenu dans votre bain, vous auriez sans doute demander à vos hommes de me sortir d'ici par la peau du cou. Plutôt que de me lancer de l'eau. Pour l'instant je dois avouer que je suis déçu de la tournure des choses.

Provocateur ? Oui.
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Jenifaelr

Elle observe le Geory et répondit.

"- J'agit lorsque je me sent en danger, et je ne vais pas vous dire comment, ou quels sont mes modes d'actions, cela serait trop facile pour vous sinon. "

En disant cela, la Corleone se frotte, elle détester puer et prends plusieurs bains dans la semaine, qui lui permettent de dégager l'agréable odeur de lavande et de pêche. Puis elle pris un autre flacon qu'elle versa au creux de sa main, avant de l'appliquer dans la soie vénitienne de ses cheveux, laissant le Lisreux sur sa faim, quand au reste de la réponse. Une fois les cheveux rincer, elle continua.

"- Pas à mes hommes, non. A mes deux domestiques oui par contre, je ne laisserais pas les gardes me reluquer pendant que je prends un bain, alors même que je fou dehors mes domestiques. "

Elle termina, cassante.

"- A vous entendre, je vous fait du charme, pourtant nous sommes d'un bout à l'autre ce bassin, me suis-je coller à vous? Non, alors n'imaginez rien. Vous n'êtes pas la bienvenu, mais entre laisser mes domestiques me voir dans mon bain, ou vous traîner nu autant que moi, en dehors de ce château, je préfère encore ne pas me fatiguée pour vous. "

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Goery.

Assit à l'autre bout du bain, les bras posé sur les rebords, le blond observait la vénitienne devant lui. Sans complexe, il se demanda alors à quand remontait la dernière fois qu'il avait vu une jeune femme nue. Sans doute depuis bien trop longtemps. Secouant la tête, retenant un rire aux mots de l'italienne, il resta cependant muet. Que pouvait-il lui dire de plus ? Elle avait évoquée son agressivité dont elle était capable, et la voilà en train de se frotter le corps après avoir volontairement mordu la lèvre Lisreuse.

Plissant le regard, le jeune homme se redressa à nouveau dans l'eau. Mais cette fois-ci pour en sortir. Attrapant ses bas, il les enfila bien qu'il était encore mouillé. Vu le chemin qu'il avait à faire pour retourner chez lui, il aurait le temps de sécher sur la route.. Puis rapidement il mit ses bottes, appuyé contre le mur des bains, un léger sourire aux lèvres.

Nous nous reverrons.

Tournant les talons, il se pencha pour attraper sa chemise et au passage, la dague de la Corleone comme si de rien était.
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[RP- A Boissières-en-Vaunage] Ivre de vie

Goery.

La bouteille d'hypocras en main, le Lisreux avançait comme l'alcool lui permettait. Encore une fois, il avait abusé de ce nectar qu'il confectionnait lui même ; et encore une fois, il s'était perdu. Ses souvenirs refaisaient surface violement. L'image de la ferme en feu, les personnes du village le retenant pour qu'il ne périsse pas à son tour dans les flammes, et les hurlements. Ces images lui faisaient violence, depuis quelques jours. Et pourtant, aujourd'hui il avait replongé. Parce qu'il avait retrouvé sa soeur, celle qui avait vécu loin de lui. Celle qui durant des années avait couru après son passé.. Et qui ne retrouvait son frère que bien années plus tard, littéralement changé par la vie.

L'alcool avait été son seul réconfort ces dernières années. Et aujourd'hui il ne pouvait s'en défaire. Alors il marchait, ivre, mais encore conscient de ce qu'il se passait et ce qu'il faisait. Legio était ivre, et pourtant il souhaitait s'en sortir. C'était d'ailleurs une des raisons qui l'avait pousser à monter son propre commerce d'hypocras. Le vendre lui permettait de se noyer dans l'argent qu'on lui donnait pour son travail. L'argent devenait peu à peu une autre addiction, mais qu'il pouvait contrôler.

Encore une beuverie pour Legio..
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Jenifaelr

La jeune femme était arrivée dans la journée à Boissières. Elle avait souhaiter faire un tour au village et la voilà, au château éloigner du village. Entre les champs et la forêt, le petit château de Boissières était carré, un peu massif et posséder des pierres dorée. La jeune femme c'était mit sur le chemin de ronde et observer les alentours lorsqu'elle vit une silhouette titubante arrivant droit vers le château, elle soupira puis descendit dans la cours, fit ouvrir les portes et s'approcha de la silhouette. A son approche, elle remarqua que c'était un homme, bouteille en main encore. Habillée de crème des galons lui soulignant la taille et ses cheveux couper aux épaules étaient laisser libre, la belle avait repris son masque noble et lisse.

"- Messire? Puis-je vous aider? "

Elle s'en approcha, lui pris le bras, grimaçante car elle ne savait où le mener, ni qu'en faire.

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Goery.

Un château se dessina à l'horizon. Titubant vers celui-ci, Legio s’efforçait de rester aussi humble que possible. Seulement ce n'était pas chose aisée. Habillé de ses braies noirs, une ceinture tombante sur les reines, la blond n'avait pas prit grand soin de sa chemise crème. Une bagarre avait éclatée, entre ivrogne. Et bien entendu, il n'avait pas pu se retenir de plonger dedans. Acte désespéré pour oublier certaines fragments de sa vie passée. La bouche très légèrement fendue, le Lisreux avançait, ne prêtant guère attention à son apparence. Cela ne lui importait plus tellement à vrai dire, pour l'heure en tout cas.

Puis les portes du château s'ouvrir, sur une femme. Celle-ci ne semblait pas le craindre, ce qui lui tira un sourire.

Madame. Oui, peut-être. Je ne sais pas. Où est-ce que je suis ?
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Jenifaelr

La Corleone soupira, encore un paumée qui avait voulut les coqs en taverne, de plus en plus, elle songeais à ouvrir un poulailler ... Elle avait déjà les coqs, ne manquerais que les poules - de luxe - elle soutint l'homme, avant de répondre.

"- Vous êtes à Boissières en Vaunage, je ne sait pas ce que vous fichez ici, mais vous êtes salement amoché. "

Et elle passa le bras masculin sur ses épaules, pour mieux le soutenir et le guider, jusqu'au château de Boissières.

"- Je vous conduit au château, pour vous faire soigner. "

En espérant qu'il salope pas sa robe, mais ça, il ne faut pas trop compter là-dessus vu l'animal qu'elle as, il risque peut-être même de lui gerber dessus.

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Goery.

Un rire s'échappa de la gorge du blond. Salement amoché. Si ce n'était que physiquement qu'il l'était, cela aurait été bien plus simple. Il n'y aurait que peu de chose à changer, ou améliorer. Mais la.. Tout était à refaire. A remodeler. Puis le rire se dissipa lorsque la vénitienne fit passer son bras autour de ses épaules. Comment une jeune femme pouvait soutenir un homme ivre de la sorte ?

C'est votre château ?

Tournant ses prunelles vers le minois de la femme, Legio haussa les sourcils, tentant de se faire moins lourd à supporter, bien que le monde semblait tourner d'une étrange façon.

Je me suis.. Égaré. Je crois.

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Jenifaelr

A l'italienne de répondre.

"- Si signore ! C'est chez moi, je suis la dame des lieux. "

Elle parvenait à l'aider, ces derniers temps, la jeune femme avait pris du muscle, elle soupira.

"- Venez vous reposer alors, je m'occuperais de vous trouver quelqu'un pour vous soigner et vous repartirais lorsque vous serez en état. "

Elle termina, presque pour l'achever :

"- On dirait presque un clochard de luxe là. "

Arhem, elle parvient à distinguer les vêtements de bonne facture mine de rien.

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Goery.

Il la suivait, presque sans broncher. La seule noble qu’il côtoyait au quotidien ; s'était sa cousine. Les autres n'était que de passage dans sa boutique, allant du simple seigneur à l'Empereur du pays voisin. Alors il ne releva pas l'espèce de petite arrogance, du moins il tentait. L'alcool ne cessait de vouloir parler à sa place.

C'est très. Gentil ! Mais, en d'autres conditions, je vous montrerais que je ne suis pas un clochard. Le luxe est là, par contre..

Trébuchant sur un de ses propres pieds, Goery se reprit comme il pu. Vous parlez d'un luxe, d'être ivre !
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Jenifaelr

Elle leva les yeux au ciel, seigneur, un vrai poulet qu'elle avait là !

"- Oui, oui, vous me montrerez, quand vous marcherez droit. "

Ils étaient arrivés aux portes su château de Boissières et les deux gardes la surveillant l'ouvrir, avant de se faire hurler dessus par la jeune dame. Elle le guida dans le petit château de Boissières peinant à l'aider à monder jusqu'aux chambre où elle le laissa lourdement sur le lit.

"- Là ! Maintenant, une domestique va venir vous aider à vous rincer la figure et vous pourrez manger un peu, puis vous dessaoulerez en dormant hein ! "

Elle sortie de la pièce et revint deux minutes plus tard, avec une des occitannes s'occupant de Boissières.

"- Non parce que pour l'instant, le luxe, vous en avez autant que les chiffonniers de l'Encre rouge. "

Mais si, vous savez, ces gamins qui hurle en parcourant les rues à la recherche de vieux chiffons, pour faire de la pâte à papier.

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Goery.

Traversant avec l'aide de la dame le château, le blond ne prêta pas attention au luxe de l'endroit. Les marches étaient sa priorité, tout comme les mots de son hôte. Une fois en haut, il se laissa aller sur le lit, grimaçant sous l'impact. Sa tête ne suivit visiblement plus énormément.

Oui Madame, bien Madame.

Au moins, elle avait du caractère. Et avec un homme ivre, il valait mieux. Mais Goery n'était plus comme il avait pu l'être il fut un temps. L'alcool le rendait malade, mais il tâchait de se souvenirs de ses faits et gestes. Enlevant sa chemise alors qu'il la pensait parti pour de bon, le Lisreux se retrouva torse nu lorsqu'elle débarqua avec une de ses femmes de maison.

Hum. Nous verrons cela, Madame. D'ailleurs, vous avez bien un prénom ?

Plantant ses émeraudes sur le minois de la vénitienne, essaya tant bien que mal d'afficher un visage des plus sérieux.
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Jenifaelr

Charmant. Elle soupira la vénitienne, non mais ils en avaient pas marre tous de se désaper? Certes, la silhouette était relativement correcte, mais mince ! La domestique avait émit un petit cris de souris en entrant, alors que la Dame, elle avait grogner. La brune détala comme un lapin, faire chauffer de l'eau.

"- Jenifael Lisbeth. Si vous vous trompez dans mon prénom, croyez-moi, je vous le ferait payer. "

C'était un peu comme une punition pour s'être laisser aller à l'alcool si facilement. L'occitane revint avec un peu d'eau tiède et un chiffon qu'elle tendit à l'homme.

"- Per vous. "

Un mélange d'italien et de français sorti des lèvres de celle-ci, le rouge aux joues, ne sachant si il comprenait l'oc et puisque la Dame parlait autant français qu'Italie, la femme avait eu le temps de mémorisé quelques mots et de comprendre leurs sens.

"- Bon, elle s'occupera correctement de vous, vous voulez autre chose? "

L'italienne venait de croiser les bras, pendant ce temps, l'eau avait été poser sur la table d'appoint à côté du lit et elle avait disparut de nouveau, pour revenir presque aussi rapidement avec quelques fruits sec, de la charcuterie et un pichet d'eau froide avec un godet.

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Goery.

Un sourire étira le coins des lèvres du blond. C'est qu'elle était autoritaire la noblionne ! Loin d'être complexer devant ces dames, il resta ainsi peu vêtu alors que la brune parti à la recherche de l'eau.

Jenifael.. Je m’arrêterais juste à cela. Mais.. Comment me le feriez vous payer ?

Ivre ou non.. Goery avait l'esprit taquin, on ne pouvait le lui enlever. Mais il détourna le regard, prenant le chiffon tendu.

Merci.

Le trempant dans l'eau, le Lisreux reporta son attention à Jenifael.

Que vous m’appeliez par mon prénom, soit Goery Legio. Et ne pas manger seul, cela pourrait être une bonne chose.

Pourquoi mentir ? Elle lui avait poser une question.. Il répondait !
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Jenifaelr

Un grognement fût émit, puis elle récupéra le tabouret présent devant la table de travail et vint s'installer près du blond.

"- Les hommes ivres, non seigneur de ces lieux ne donne point d'ordre. De plus, j'aurais préférée que vous soyez habillé. Entièrement. "

Elle avait envie de taper des pieds et de bouder, mais il fallait se tenir, il fallait être une bonne hôte et surtout rester polie.

"- Quand à vous faire payer, j'ai bien en tête votre réflexion et sachez que je m'arrangerais pour vous faire payer de la pire des façons que je puisse trouver. Et pas de la façon dont vous semblez penser ! "

Parce que pour elle, la remarque sous-entendez de lui faire payer d'une façon bien trop agréable, alors elle mit les choses à plat, avant de prendre du bout des doigts un morceau de chiffonnade de jambon sec et d'en manger un peu, avec délice.

"- Profitez, j'essaye d'être bonne hôte aujourd'hui. "

La brune avait fini son travail et demanda une dernière fois.

"- Vous avez encore besoin d'moi? "

L'accent du sud était fort dans les paroles de la domestique, Jenifael ne répondit pas, la question s'adressant à Geory.

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Goery.

Ne m'avez vous pas demander de me rincer ?

Passant à la suite de sa phrase le chiffon sur son visage, Legio dissimula un sourire lorsqu'elle prit place près de lui. Le sang séché sur son minois fut enlever, puis il frotta son coup ainsi que le haut de son torse. Autant faire les choses biens, et profiter d'un brun de toilette. Surtout lorsque l'alcool avait couler.

Ce n'était pas un ordre, simplement une suggestion. Sachez aussi, que je ne pense rien ! Je ne suis pas de ces hommes qui attendent les faveurs de votre corps, Madame.

Lui adressant un sourire, il envoya les quelques gouttes d'eau de ses doigts en direction de la vénitienne. Puis en regarda sa chemise, encrassée, et tâchée. Tant pis. Il trouverait une autre chemise de cette couleur quelque part. Prenant à la suite de Jenifael de la charcuterie, le blond dégusta.

Aujourd'hui ? Les autres jours vous êtes désagréable, vraiment ?

Au fond, il savait qu'il avait eu de la chance, véritablement.
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Jenifaelr

"- Vous auriez pu le faire, une fois que j'était partie et j'ai parler du visage. "

Elle ne fit aucun commentaire sur ce qu'il pouvait attendre ou non, c'était tant mieux qu'il ne s'imagine rien, au moins il pourrait dormir en paix et repartir chez lui aussi sec. Elle ne fût pas plus gênée que ça par l'eau, au point où elle en était de manger avec un poivrot, c'est trois gouttes d'eau qui irait la traumatisée.

"- Disons que je ne vous aurez pas forcément aider ni accueillie. Je suis dans un bon jour, comme on dit. "

Impatiente, la Corleone se mit à faire trembler sa jambe, une main sur celle-ci. Si il pouvait finir de manger rapidement et s'endormir, c'est pas que ça l'arrangerais, mais un peu, même si visiblement il ne semblait pas vouloir tant que ça, l'arranger.

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Goery.

Vous étiez sorti de la pièce, je ne pensais pas que vous alliez revenir. Et les sang coule vous savez.

Remarquant la jambe tremblante de la jeune femme, Goery posa sa charcuterie dans un coin du plat. Comment devait-il prendre ce geste ?

Avez-vous un problème, Jenifael ?

Enfilant sa chemise, le jeune homme songea à s'il allait dormir ici ou non. Après tout, malgré le fait qu'il faisait le crétin infini, il comprenait bien que la vénitienne pouvait en avoir marre.

Pourquoi cet élan alors aujourd'hui ?
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Jenifaelr

L'impatience se calma et elle se leva pour la faire cesser totalement. Elle répondit au blond, une fois debout.

"- Je n'est pas le choix, c'est ainsi, ce sont les devoirs ... de la noblesse qui oblige cela. "

Elle l'observe.

"- Vous souhaiter autre chose, où je peux m'en aller, ainsi que ma pauvre domestique, qui est visiblement tétanisée de peur, même si j'ignore pourquoi. "

La blonde semblant soudainement fatiguée, incomprise. Elle s'assit de nouveau, cette fois-ci sur le lit et dans un soupire termina.

"- Dormez, demain vous aurez fini avec l'alcool, vous mangerez ici le matin et partirais. "

La vénitienne se releva, lissa la soie sauvage de la robe pâle et salua Georgy, s'attendant à une réponse positive, pour pouvoir s'en aller.

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Goery.

Non, merci. Vous avez déjà fait beaucoup.

La regardant, Goery glissa son regard sur la domestique. Il n'était pourtant pas effrayant. Ivre, certes, mais toujours fidèle à lui même : gentil, et mystérieux. Haussant les épaules, il se leva au devant de son hôte.

Merci de votre temps.

En bon homme qu'il était, il lui prit la main, Legio y déposa un baiser.
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Jenifaelr

Elle partie se coucher, après avoir saluer l'invité de la nuit.

[Le lendemain]

Lors du lever de la jeune femme, le repas du matin était servit. Des fruits et des fruits secs, du fromage, du lait et même du lait et du miel. Il y avait également du beurre et un enfant assis là. Quatre ans, brun et les yeux vert il semblait apprécier le repas, pour preuve il avait plusieurs morceaux de pain et de beurre devant lui, accompagner de fruits sec et d'un lait au miel. La jeune femme avait envoyer la domestique brune chercher l'invité du jour, pour que celui-ci se joigne à eux. Aujourd'hui, elle porter du rouge sang une robe simple et flamboyante.

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Goery.

Le matin, Goery fixait le plafond. Il se remémorait son arrivée en ces murs, et les quelques mots échangés avec l'hôte de ces lieux. Fermant les yeux en soupirant, le Lisreux se trouvait sombrement ridicule. Mais pas le temps de cogiter. Quelques coups à la porte le sortirent de ses pensées. Ronchonnant, il se leva le se frottant le visage. Il avait durant la nuit de nouveau enlever sa chemise tâchée. Histoire de laisser l'endroit le plus propre possible, et de ne pas sentir l'alcool et la transpiration à des kilomètres à la ronde. Ouvrant la porte, il tomba sur la brune d'hier qui lui fit savoir que la maîtresse des lieux l'attendait pour le déjeuné.

Alors il prit un brin de toilette, soignant au minimum son apparence. Les cheveux blonds en bataille étaient tiré en arrière, sa barbe de quelques jours le vieillissait quelques peu, mais cela le laissait fidèle à lui même. C'est ainsi qu'il rejoignit Jenifael et l'enfant.

Le bonjour Dame Jenifael.
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Jenifaelr

La vénitienne leva les yeux vers l'invité, le nez se fronça, il était un peu plus charmant moins bourré, mais à peine.

"- Vous marchez enfin droit ... c'est bien, venez vous asseoir. Voici Lowe Corleone, mon fils. "

C'était la réponse pour qui était le bambin dévorant sans faim les morceaux de pains avec beurre, fruits sec et lait en prime. La Vitalis elle, c'était contentée d'un morceau de fromage sec, s'émiettant, le genre de fromage au goût prononcer que l'on ne trouve pas dans les régions française, ainsi que d'un peu de pain.

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Goery.

Le blond posa son regard sur l'enfant, un sourire étirant le coin de ses lèvres. Jamais il n'avait imaginé un seul instant que Jenifael pouvait avoir un fils. Un fils au yeux vert comme ceux de Goery. Presque aussi beau que les siens. La question de savoir où était le père lui brûla les lèvres, mais il la garda pour lui. Il y a certaines choses que les gens préféraient garder pour eux.
Prenant une place en inclinant le chef en direction de son hôte, le blond jeta un rapide coup d'oeil à la table.

Merci ma dame. Corleone ? J'ai déjà entendu ce nom il y a quelques temps. Vous en êtes donc ?

A vrai dire, Goery n'était que rarement sorti. Ou bien ne s'en souvenait pas.
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Jenifaelr

Boissières sourit à l'invité, avant de répondre.

"- Je fait partie du clan Corleone, oui. "

Elle l'invita à s’asseoir et poussa vers lui un morceau de pain ainsi que la petite motte de beurre et le fromage.

"- Et vous? Qui êtes-vous Goery Legio? Nous avons parler de moi, très peu de vous en revanche. "

Et l'Italienne croqua dans un morceau de pain plein de fromage italien. Puis Lowe se leva et après avoir saluer Geory et sa mère, il s'enfuit à toute jambes, la belle vénitienne n'avait même pas eu le temps de dire trois mots à celui-ci, elle avait ouvert la bouche et semblait éberluée.

"- Vous devez lui faire peur. "

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Goery.

Prenant un morceau de pain, il le tartina de beurre, y posant un fin bout de fromage. La question de son hôte lui tira un nouveau sourire. Il y avait si peu de choses à dire sur cet homme, qu'il hésita un instant.

Que voudriez vous savoir ma dame ? Goery Legio Lisreux-Delasges, fils aîné de mon côté de famille, producteur et vendeur d'hypocras. Je compte m'engager au sein du Comté dans lequel je vis. Une vie faite d'erreur que je compte racheter, si le temps me le permet. Un homme sans honneur n'en est pas un.

Levant le regard vers l'enfant, le blond le salua à son tour, intrigué.

Je suis navré, je ne voulais pas. Si vous souhaitez rejoindre votre fils, je vous en prie. Je m'en irais.
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Jenifaelr

Il est gentil, la Vitalis apprécie cela, chez son invité. Poli aussi.

"- Une femme sans honneur n'est guère mieux. Je suis dame de Boissière, mais avant cela, j'ai été mère, sans mariage, j'ai été aimante et roturière, avant d'être celle que je suis aujourd'hui. "

Voilà une leçon, pour le Lisreux.

"- Vous voulez vous racheter auprès de qui? Si c'est le paradis, alors faite repentance auprès du Très-Haut et offrez-vous le luxe d'une femme qui vous donnera des enfants à aimer et enseignez-leurs vos erreurs, pour qu'ils ne les reproduisent pas. Faite d'eux des gens bons et proche du Très-Haut. "

C'était presque Jehanne qui parlait, et non pas elle.

"- Si vous voulez vous racheter auprès de votre famille, faite de même, rangez-vous. Si c'est auprès de vous, alors c'est à vous de vous pardonner. "

Voilà.

"- Vous ne m'effrayez en aucun cas, mon fils est facilement impressionnable, il voit peu de monde, je préfère le voir correctement éduquer ici. "

Et elle laissa un jugement venir.

"- Pour vous racheter, commençait par arrêter de boire. C'est complexe, ça vous fera peut-être souffrir, mais c'est une chose néfaste, si vous voulez réellement vous rachetez. "

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Goery.

Les erreurs font avancer, et visiblement, Goery n'était pas le seul à en avoir fait. Le regardant, la blond se mit au fond de la chaise.

Me racheter auprès d'une personne, qui à été victime d'un de mes écarts, il y a bien longtemps. Ma famille n'a que faire de ce que j'ai pu faire avant, tant que cela ne vint pas entacher encore une fois les Lisreux. Les hommes de la famille semblent avoir besoin de se prouver les choses les uns aux autres, mais je crois bien que je suis le plus ridicule d'entre nous.

Entre l'un qui vole la ville du Mans, et l'autre qui viole une jeune femme.. Les Lisreux ont visiblement un soucis avec l'ordre.

C'est tout à votre honneur, pour votre fils.

Mais la question de savoir où était le père lui trottait encore en tête. Bien qu'elle ai signalée ne jamais avoir été mariée, le blond ne pouvait se résoudre à se poser des questions. Puis le jugement de la noblionne arriva. Souriant doucement en coin, Legio hocha la tête.

Boire m'a permit de survivre des années. Sans cela, je serais mort, depuis longtemps. Mais pour compenser, je me contente de vendre l'alcool. Hier soir était.. un soir a part.
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Jenifaelr

La blonde se leva et s'approcha de son invité, les yeux sombre. Elle glissa deux deux sous le menton de celui-ci, lui fit relever le regard et garder celui-ci dans ses aigue-marine.

"- J'ai connut ce genre de chose, mais cessez, vous vous détruisez. "

Puis elle le relâcha, toujours debout.

"- Il ne faut plus de soir autre ! Cessez, c'est tout, vous tomberez pas toujours sur une débile naïve comme moi, qui vous fera entrer chez elle et vous logera, peut-être pourriez-vous vous faire tuer. "

Elle n'y tenais pas, mais sait-on jamais ... Si un homme mourrai sur les terres de sa suzeraine, elle s'en voudrais, d'avoir héberger celui-ci ... et un qui porter des chemises qui ne sortais pas du tisserande du coin, avait étrangement plus de chance d'être mis à mort et dépouiller, que les autres ...

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Goery.

Le Lisreux suivit la noblionne du regard, puis se ravisa en baissant le nez en direction de son godet. Deux doigts sous son menton lui fit trouver le minois de son hôte à sa plus grande surprise. Lui faisait-elle la morale, ou était-ce de la bienveillance froide ? L'un ou l'autre, cela l'étonnait. Très peu de personne se souciaient de lui, même de sa propre famille.

Je ne pense pas que vous soyez naïve, ou débile.

Se levant pour lui faire face, Goery plissa légèrement les yeux en la dévisageant sans aucune haine ou rancœur.

Vous aussi vous auriez pu me tuer, par méfiance, ou pour protéger votre fils. Et pourtant j'étais avec vous au déjeuner, vous m'avez offert une chambre. A un inconnu. Surtout si vous êtes une Corleone. Non pas que j'insulte votre Clan, mais leur réputation les précédent et font beaucoup de bruit.

Inclinant le buste, le blond se redressa ensuite, souriant doucement à Jenifael.

Je vous remercie, pour votre hospitalité. Et je tâcherais de mettre en oeuvre vos bons conseils, bien que je pense que vous savez à quel point cela peut-être compliqué.
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Jenifaelr

Ivre de vie ... Ivre de conneries ouai ! Boissières annonce avec nonchalance à son invité.

"- Vous tuer aurait été trop simple, je vous aurez attacher ... peut-être violé, qui sait, j'ai parfois mes moments fous ... "

Un sourire malsain et malin se dessine sur ses lèvres, elle continu ensuite.

"- Puis je vous aurez torturer, jusqu'à que vous ne me suppliez de cesser et là, j'aurais continuer, bien sûr, de la façon la plus sanglante qui me serait venu à l'esprit ... "

Et elle acheva.

"- Pour finir par vous laisser à demi-mort, entièrement recouvert de sang, j'aurais laisser vos plaies se résorber et enfin je vous aurez libérer ... ou alors je vous aurez en effet tuer, mais pas avant le reste. "

Et toc ! Toujours se méfier de l'eau qui dort, surtout chez une femme Corleone.

"- Non je ne sait pas à quel point cela peut-être difficile d'aller contre sa nature ... ses envies, ou ses penchants ... "

C'est sûr, que lorsqu'on sait, que Boissières va se saouler de temps à autre, au milieu de la nuit sur le chemin de ronde, ou dans la bibliothèque ...

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Goery.

Faisant face à son hôte, le Lisreux la regarde de sa hauteur, les prunelles toujours légèrement plissées. Que devait-il comprendre de ces paroles ? Était-ce de la haine ? Il n'avait rien fait pour la mériter. Un avertissement ? Peut-être, mais envers quoi ? Se rapprochant d'un pas, le blond la toisa de sa carrure. A son tour, il glissa sa mains sous le menton féminin, sans pour autant de tendresse. Affichant à son tour un sourire dés plus mystérieux, il entra dans ce qui lui paraissait être un manège d'intimidation de la vénitienne.

Belle. Et cruelle. Je ne crains que vos envies contre moi ne puisse voir le jour. Bien que je sois flatté qu'une Corleone ai en effet penser à faire moi son objet de torture.

Lâchant le menton de la belle, Goery remit le col de sa chemise tâchée de sang.

Quant à ce qui est de violer un homme..

Un sourire en coin fendit ses lèvres, sans qu'il ne finisse sa phrase.

Vous ai-je déjà remercier pour votre hospitalité ?
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Jenifaelr

La jolie dame de Boissières ne se vexa pas autre mesure et répondit directement au Lisreux.

"- Ne sous-estimez pas les Italiennes. Quand au viol, allez-y, parler, vous pensez que je n'en serait pas capable? Qu'une femme est faible? "

Et aussi, qu'il sache. La Lisbeth voyait rouge néanmoins.

"- Vous torturez serait pour mon simple plaisir, non pas pour de la haine quelconque. "

Jenifael s'approcha de celui-ci et posa une main sur l'épaule du Lisreux, elle voulut appuyer et lui faire remarquer sa force nouvelle, mais au lieu de cela, elle remarqua le sang sur la chemise.

"- Pourquoi votre chemise porte-elle du sang? "

Et elle retira sa main. Ne prenant même pas soin de répondre à la dernière question.

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Goery.

Jenifaelr

Goery.

Jenifaelr

"- Les filles, si vous êtes là, dégagez illico, où je sort et vous chasse moi-même. "

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Goery.

Jenifaelr

"- Partez d'ici. Je ne vous est pas invité dans mon bain, encore moins pendant que j'y suis. "

Elle envoya de l'eau sur le Lisreux, pour le chasser, comme l'on chasse une bestiole encombrante et vibrante de vie.

"- Aller oust. "

Autrement dit, pas décidée à bouger de contre le mur, pour l'instant la vénitienne aux cheveux court.

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Goery.

Jenifaelr

"- Ne jouer pas, partez. Vous n'êtes pas à la hauteur. "

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Goery.

Jenifaelr

La jeune femme fût surprise. Cela ne dura pas.

"- Je vous est dit que vous n'étiez pas invité ! "

Nullement intimidée par la nudité masculine, elle continua

"- Je devrais trouver un poison qui se mêle à l'eau et au contacte de la peau agit ... cela m'évitera les nuisibles de votre genre. "

"- Ayez peur, je ne vous ferez pas de cadeau. "

A aucun jeu, non ... Le Lisreux n'aura aucun cadeau de Boissières.

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Goery.

Jenifaelr

"- M'enfin vous n'allez pas me lâcher? Que je vous montre quoi? Que vous n'êtes pas le bienvenu ici? Cela me paraissait évident ! "

"- Vous comptez rester à me regarder me laver et dormir dans mon bain? J'peux vous faire préparer un endroit où dormir aussi ... mais dans les écuries cette fois-ci. "

L’amabilité façon vénitienne.

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Goery.

Jenifaelr

Elle observe le Geory et répondit.

"- J'agit lorsque je me sent en danger, et je ne vais pas vous dire comment, ou quels sont mes modes d'actions, cela serait trop facile pour vous sinon. "

"- Pas à mes hommes, non. A mes deux domestiques oui par contre, je ne laisserais pas les gardes me reluquer pendant que je prends un bain, alors même que je fou dehors mes domestiques. "

Elle termina, cassante.

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Goery.

Jenifaelr

Vu? Oui.
Elle se déplaça rapidement jusqu'à l'autre bout du petit bassin, agitant l'eau sans se gêner, elle sortie et attrapa le Lisreux. Une main attrape le poignet, l'autre à attraper la tignasse blonde masculine. Menaçante, sa voix se fait plus sombre, plus grave.

"- Pas ma dague. "

Elle est coller à Geory, or de question de le laisser s'enfuir avec sa précieuse, avec cette dague.

"- Restez, restez autant que vous voulez, mais laissez ma dague en paix.

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Goery.

Le dos tourné à la blonde, ses lèvres s'étire dans un sourire alors que l'eau est battue derrière lui. En prenant la dague sur laquelle elle s'était jeter, il avait vu juste. Conscient que ce n'est pas une chose très maline que de tourner le dos à une personne qui semble arriver en furie, il se retrouve rapidement face à la vénitienne. Un poignet maintenu avec plus de force qu'il n'avait imaginé, le blond retient une légère grimace de surprise alors que la jeune femme l'attrape par les cheveux. Passant sa langue sur ses dents en retenant un sourire, les yeux fermé, il pousse la Corleone contre le mur le plus proche, l'écrasant de son poids.

Voilà donc.. La Corleone.

Ouvrant les yeux, il attrape le visage féminin entre ses doigts. La tête ridiculement penché sur le coté, la faute à la différence de taille entre les deux énergumènes, il lâche la prise de la dague de son autre main, alors que ses lèvres rendent un baiser énervé à la blonde, la mordant en retour. Oeil pour oeil..
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Jenifaelr

Surprise? A peine ! C'est ce qu'elle aimerais faire croire, en réalité, elle est très surprise, se retrouver ainsi face au blond, acculée contre le mur, avant que ses lèvres ne soient prisent et mordu. Elle garda la bouche un instant entre ouverte toujours surprise. Puis elle la referma pinça les lèvres et annonça.

"- C'était pas si mal, vous devez pouvoir faire mieux. "

Le baiser ... réfléchissez ! La Corleone sait apprécier un baiser, énervé ou non. Sa main à relâcher celle du Geory, l'autre à lâcher la tignasse également et reste poser sur l'épaule. Elle se fait une réflexion rapide. Avant de laisser entendre.

"- Restez. Enfin ... imaginez que vous vous remettiez à boire comme hier soir, si vous êtes ici, je pourrait vous aider à ne pas que cela se reproduise. J'ai enfin ... j'aimerais vous aider à ne plus vous retrouver dans ce genre de sale état. "

Avant de reprendre son air hautain et sec.

"- C'est à faire pitié, votre état d'hier. "

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Goery.

Sans que le blond ne se rende compte, un de ses sourcils se leva. Pas si mal ? Bien sur il aurait pu la tirer par les cheveux à son tour, peut-être même l'étrangler pour la lever à sa hauteur. Mais il n'était pas encore entrer dans un excès de colère tel. Planté contre l'italienne, il laissa un rire s'échapper.

Que je reste ? Tenez vous vraiment à aider un sombre crétin dans mon genre, ou est-ce une ruse pour mieux m'étrangler dans mon sommeil ?

Cette femme avait le don de passé d'un semblant de douceur, à cet air hautain qui ne lui allait pas si mal, il fallait l'avouer. Baissant le regard vers le corps féminin prit en otage, il laissa un claquement de langue s'envoler.

Avant toute chose, il serait plus sage de vous rhabiller.
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Jenifaelr

Elle soupira.

"- Je vous propose mon aide, simplement. "

Mordillement de la lèvre, elle reste silencieuse, alors qu'il baissa les yeux sur les courbes.

"- Je n'est pas honte de mon corps, vous trouvez que j'ai à avoir honte? "

Non, elle n'a pas à avoir honte, elle se sait attirante. Elle relâche Lisreux, puis le repousse, se libérant de cette mauvaise position, dans laquelle elle se trouver. Puis elle alla récupérer ses affaires, laissant sa dague là ou Geory l'avait laisser. Elle récupéra donc sa chainse, la relaça, silencieusement, ainsi que sa robe. Pas celle avec laquelle elle était entrée, mais une autre, entièrement noir, broder de fils d'or et d'argent, en forme de roses, courant sur sa silhouette, lui donnant les allures de veuves noir qu'elle apprécier.

"- Qu'en pensez-vous? "
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Goery.

Poussé par l'italienne, il pencha la tête sur le côté, regardant le corps dont visiblement, il avait le droit de donner son avis.

En avoir honte ? Non !

Se recevant sa chemise au visage, il secoua la tête. Il était hors de question qu'il remette à nouveau ce morceau de tissu complètement taché. Fronçant le nez en gardant en main sa chemise, il tourna le regard vers son hôte. Était-ce un jeu que de lui demander sans cesse son avis sur son corps et ses avantages ? Détaillant la robe de ses prunelles, il afficha une moue satisfaite.

Sombre. Mais élégante.

Se penchant, il ramassa la dague de la Corleone, la lui tendant. Il avait retenu la leçon. Pas la dague..

J'accepte votre aide.
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Jenifaelr

Elle hocha la tête.

"- Alors vous resterez avec moi, jusqu'à que vous sachiez vous tenir. "

Elle lui fit signe de la suivre, après avoir récupérer sa dague.

"- Vous serez mon apprenti, apprenti intendant. Pour justifier votre présence ici. Je m'entoure jamais de gardes collant, j'assure ma propre sécurité lorsque je voyage. "

Elle posa les yeux aigue-marine sur le Lisreux.

"- On va vous trouver des vêtements aussi, histoire de ne pas trop ressembler à un clochard, hein ... "

Et la voilà qui quitta la salle, le guidant dans les couloirs de Boissières, pour le mener dans l'aile où se trouvait les chambres, le conduisant ... dans la sienne ! Que les esprits ne s'emballe pas, elle ouvrit une malle poussiérieuse et en sortie des chemises masculine sombre et en excellent état.

"- Ce sont des chemises que je gardais ici ... prenez les, elles ne me servent plus. "

Et pour bien faire, elles sentent la lavande, car la Corleone en met dans toutes ses malles.
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[RP- A Boissières-en-Vaunage] Ivre de vie