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[Anoblissement] Wallichou au Pays de Brassenx

Wallerand
J'entends !

L'exclamation enrouée précéda de peu un coup d'oeil à Bella (comme il aurait voulu partager avec elle, à cet instant, l'image du bonheur qui se profilait à l'évocation de la Duranxie !) et un raclement de gorge alors qu'il se retournait vers Alvira. Si la Baronne était au bord de la larmichette, à coup sûr, le Beauharnais était sensiblement ému. Pareille déclaration d'amitié, ça n'arrivait pas tous les jours, surtout si éloquemment tournée. Aussi garda-t-il un court instant le silence. A vrai dire, le jeune homme, tout loquace qu'il pouvait se révéler, se muait souvent en carpe (muette ! Aha !) quand il s'agissait d'exprimer des sentiments. Rendu frileux par son ancienne compagne en la matière au terme de sa première relation de plus de trois semaines - miracle ! -, il ne se résolvait plus à exprimer son attachement que dans des circonstances extrêmes : quand la femme qu'il aimait risquait de prendre le voile, pour ne citer qu'un exemple. Aussi usa-t-il d'une pirouette qui lui était assez familière, à savoir un trait d'humour plus ou moins foireux, qui se traduisit par un encore enroué (l'émotion, ça noue la gorge) mais enjoué :

Marraine, ma p'tite marraine à moi... Alvira, avoue, tu as voulu me tirer une larme ! C'est cruel ! Ca se paiera, même.

Définitivement, ce genre de choses le remettait en selle. Aussi, d'une voix cette fois assurée, reprit-il :

Si tu me vois presque comme un fils, je te vois plutôt comme une grande soeur... Si tu étais ma mère, tu serais quand même fichtrement plus vieille ! Un sourire rieur vint atténuer l'assertion. C'était le premier retour de bâton pour l'avoir émotionné en si grand comité. Depuis que tu nous as pris sous ton aile à Bayonne, Acrisius et moi, c'est sûr, tu es quelqu'un à part. La marraine de ma vie, ça, c'est sûr ! Tu m'as montré toutes tes qualités. Tu as accepté que je te signale tous mes désaccords sans m'en vouloir, même quand j'ai été brusque - et ça, ça m'arrive largement. Tu m'as montré combien je peux avoir confiance en toi et trouver un soutien - sauf quand il s'agit de danser - (oh la vilaine allusion au bal de la Saint Valentin !) à chaque instant auprès de toi. La relation de confiance est profonde, durable, et tu as fait un pas supplémentaire pour l'affermir encore.

Tu sais que quand tu m'as demandé, ce soir-là, si j'accepterais de devenir ton vassal, j'ai eu l'impression, un instant, que tu me tirerais les oreilles avec toute la cruauté - aheum - dont tu es capable si jamais je m'avisais de te dire non ? Il faut dire qu'on en a traversé, ensemble... C'est ironique, mais en février, on s'est quand même retrouvés mis dehors par nos compagne et compagnon respectifs le même jour... Ah, celui-là, il aura même trouvé le moyen de nous rapprocher encore ! Si seulement tu m'avais écouté, hein ? Je n'aurais pas boité un bon paquet de semaines et tu n'aurais pas pleuré pendant plus d'un mois, ni pensé que tous les hommes étaient des connards finis pendant plus de temps encore... Crois bien que maintenant, je m'en vais te tympaniser avec tous les avis et conseils que je penserai adéquats ! Et même si je te dois beaucoup, y compris mon bonheur, pas question que je me traine un autre Anthy pour toi !


Le clin d'oeil destiné à la future suzeraine ne pouvait laisser aucun doute quant à la véhémence factice du discours. Les heures sombres, il y en avait eu... Et il y avait surtout eu le retour à la lumière à Peyrehorade, quand elle avait lancé une invitation pour le dérider. A coup sûr, elle avait réussi au-delà de toute espérance ! Aussi, sans plus tarder, Wallerand s'avança jusqu'à deux ou trois pas du trône de la maîtresse des lieux, posa un genou en terre et acheva, le regard posé sur elle, sourire aux lèvres :

Puisque tu me veux pour ton vassal, je te veux pour ma suzeraine, en vertu de tout ce qui nous lie. Je t'offre mon arme, ma plume et mon coeur d'ami. En ce jour, moi, Wallerand de Beauharnais, je te promets à toi, Alvira Messonnier de la Duranxie, aide et service armé, fidélité et respect, et conseil... Pour ça, tu me connais : je suis tellement bavard que tu n'y couperas pas de toute façon !
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Malcomx01
Malcomx suivait avec la Dame de Sainte Eulalie la cérémonie d'anoblissement, ayant failli exploser de rire a voir les deux zozos filer en cuisine.. avec leurs verres ! Et sourit en entendant Chrsitabella parler de prendre soin de la tête de Wallerand.

La, l'éloge d'Alvira à son futur vassal lui avait tirer une larme de l’œil, Raaa que c'était beau, plein de sincérité, d'amour ; Comme une mère envers son fils, ou celui de frère et sa sœur...Le futur Gascon en apprenait plus sur leurs relation.

Le temps qu'intervienne à son tour son nouvel ami, Les yeux de Malcomx se tournaient vers la rectrice, se rappelant leurs derniers courriers échangés, Regard plus appuyé…

Ils se remettent à écouter la suite. La encore c'était… à rester sans voix. La première fois qu'il entendais si joli discours. Le seigneur de Saint-Étienne des Sorts en aurait presque applaudi de deux mains ; Et le confortait à vouloir s'installer à Labrit. Être vassal de la noursette cela allait être quelque chose pour Wallerand et juste récompense….

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Christabella
Bella sourit lorsqu'il glissa un regard à son intention. Visiblement, il était ému, et sachant qu'il pouvait être prolixe lorsque la situation l'exigeait, c'est sans surprise qu'elle écouta religieusement son discours, aussi drôle que celui de la Vivinoursette. Aussi drôle qu'il était, il devait être sacrément ému, le Wallichou! Décidément, la suzeraine-marraine ( et ça rime!) et le vassal-fillot ( là, ça ne rime plus du tout, ça ne rime même à rien. Un lien de cause à effet? Vous allez vite le savoir! ) s'étaient bien trouvés. Pour un éloge, c'était un sacré éloge! Soudain dégrisée, la Bella ouvrit de grand yeux, bien grand.
Anoblissement, soit. A la mode Duranxie. Ce qui voulait dire... Bon sang! Elle allait rouler une galoche à Wallerand. Bella n'était pas sûre de vouloir voir ça. Euh ... Coupez, on la refait? Non, pas moyen? Zut, flûte, crotte de bique. Voilà qu'il parle d'affermir quelque chose! Ah mais non! Pas d'accord! Ah, c'était juste leur relation, ouf.
Puis, elle entendit Wallerand envisager de refuser - pour rire, sans blague!- elle eut un presque sourire amusé.


Tu parles Charles, tu ne vas pas refuser... On ne refuse rien à la Monstralvinette !

Elle ne put retenir un rire en entendant le mot "connard", ça oui, Vivi méritait mieux que ceux qui avaient traversé sa vie amoureuse. Et enfin ...
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Alvira
Pendant que tu bavasses,
Moi, je me trainasse,
Le fessard dans le Trône,
Je ne suis pas nonne.
Je t'écoute et t'entends,
devant l'expression de tes sentiments.

Le poême resta en tête de la Monstralvinette.

Observant son filleul qui faisait état de leur passé commun. Cuisant on pouvait le constater. Défaite amoureuse, malentendus, refus, contrariétés, tout cela avaient jalonné le couple Surgères-Duranxie occasionnant des dégâts colatéraux, cela va sans dire... Elle, refusant de partir de Gascogne, passant un temps fou pour le Duché. Et lui, insatisfait de cette situation, les bottes qui le démangeaient et la difficulté de supporter Wallichou et Anton. De cela, avait débouché un accident notoire et terrible qui avait handicapé le jeune Beauharnais. Alvira à l'époque avait du faire tampon (non pas en user !), entre les trois hommes. Bien compliqué.

Tous étant assez furibonds, et la Baronne qui n'était alors que Dame, essayant de concilier tout le monde, amoureuse qui plus est, jonglant pour éviter le mot de trop. Se pliant souvent, cédant parfois, mais restant inflexible quant à sa situation en Gascogne.

Son regard posé sur son futur vassale, la jeune femme écoutait, la mâchoires serrée par l'émotion. Lentement, elle se leva - après avoir pris une enveloppe dans sa dextre - réduisant la distance qui les séparait par quelques foulées.


Nos vies se complètent chaque jours depuis maintenant quelques temps.
Je suis heureuse de pouvoir te compter dans ma vie. Comme tu le fais si bien remarquer...
Aheum, aheum, petit regard à Goddefroy, puis retour sur les iris du Beauharnais. Si je t'avais écouté, et si tu en avais fait de même - ne l'oublie pas ! - nous n'aurions pas souffert, ou peut-être moins... Mais cette souffrance, nous l'avons partagé, et ce vécu nous a soudé bien plus encore, ce qui m'amène aujourd'hui et cela avec certitude, à t'affirmer et te promettre avec sincérité, Protection, Justice et Subsistance. Regard entendu à son filleul, puis tendre, elle reprit. Car, malgré tout ça, Wallerand de Beauharnais, nous restions là, ensemble, uni. Je te souhaite le meilleur, dans ta vie, dans tes rêves, dans tes espoirs, dans tes réalisations. Mon regard sera tourné vers toi quand bien même je puisse ne plus être à tes côtés. Allusion potentiellement maladroite de la part d'Alvira pour faire comprendre que peut-être, un jour, elle s'en irait pour des raisons personnelles, auprès d'un brun qui est devenu important à son coeur, même si pour l'instant, elle n'était pas prête. D'ailleurs, le moment étant solennel, j'ai quelquechose à te remettre.

Oui, le tour de Wallichou au Pays de Brassenx allait toucher à sa fin, alors il fallait - et dans les faits c'était le passage obligatoire à toute bonne allégeance et anoblissement - "The Kiss" de fin de scène. Vous languissiez, et bien ce moment tant attendu, arrive mes agneaux !


*Cliquez sur l'enveloppe pour découvrir le message


Le courrier fut remis. Pinçant ses lèvres pour ne pas rire, Alvira usait de toutes ses capacités de concentration pour rester le plus neutre possible, ne pouvant faire autrement que de scruter son filleul. A ce moment là, elle voulait capter chacune de ses réactions, rictus, sourire, rire. Tout !
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Wallerand
Le serment avait été prononcé, accepté... Tout semblait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles. Semblait seulement, parce que manifestement Alvira avait eu des idées atypiques. Au lieu de se trouver relevé, le Beauharnais se trouva avec un feuillet dans les mains. Rien que l'intitulé du pli révélait combien sa marraine-suzeraine avait laissé parler son style pour le moins exubérant. Après un regard interrogateur à la Maréchale et à la Duranxie, il était toujours suffisamment perplexifié pour rester à genou pour regarder le contenu...

Et étouffa un rire, ce qui donna un gloussement assez peu élégant. A vrai dire, quand il releva les yeux, il était à la limite du fou rire. Ce papier-là, il le garderait toujours. Mais il aurait été injuste de priver le monde de cette démonstration de l'imagination délirante de la Monstralvinette - premier surnom sous lequel il l'avait connue. Wallerand tendit donc, d'un air d'excuse, le feuillet à Cleopatre, avant de se relever et d'articuler à voix basse, assez haut cependant pour qu'il soit audible du témoin héraldique :


Je sais que je ne suis pas censé me relever sans qu'elle m'y invite, mais... Je crois que c'est ce qu'elle veut. Si ça ne vous gêne pas, je récupérerai ça ensuite.

Un léger sourire ponctua la fin. A coup sûr, quand elle aurait vu ce qu'Alvira avait pondu, Rouergue lui pardonnerait ce léger écart. Elle comprendrait même sans doute qu'il avait essayé d'échapper à ce qu'il pressentait comme un danger imminent, à savoir le baiser vassalique. Face à Alvira, donc, le Beauharnais ouvrit les bras pour les refermer sur elle, le prétexte étant tout trouvé pour glisser à l'oreille de la Baronne :

Marraine, rassure-moi... Tu ne vas quand même pas me l'infliger façon Duranxie ?

Si l'accolade, parmi les rares gestes affectueux auxquels s'adonnait Wallerand en public, était en l'occurrence sincère, elle était tout aussi nécessaire à ses yeux. Il se souvenait de ce qu'avait subi Alvira, sous ses yeux ébahis de Chevaucheur, quand le Duc de Tartas lui avait octroyé Carcarès-Sainte-Croix... Et si par chance Alvira se satisfaisait de cette accolade et la lui rendait, il échapperait à la pelle duranxienne. Il allait y échapper, hein ? Surtout, ne pas trop relâcher le fauve, des fois qu'elle ait des envies e perpétuer les traditions familiales...
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Ruby10
Ailleurs la Rebecca? Meuh non, meuh non voyons!
Elle était concentré sur les deux stars du jours. Wall et Alvi.

Elle guète chaque geste de l'un et l'autre.
Personne se trompe bon.. tampis. mais il y avait de quoi sourire même rire parfois dans leurs échanges; quand on connaît bien les lascars mais Rebecca restait sage dans son coin.

Elle se demandait ce que pouvait bien tenir l'enveloppe mais après la réaction de Wall, pas surprenant que ca pue le coup fourré.
Aurait t'elle prit Wall comme vassale que pour son bon plaisir? Elle rit de l'intérieur en imaginant ca. Sacrée Alvi va!

Elle attendait cette fois la réaction de Alvira. Sera t'elle satisfaite de cet échange affectueux que sont vassale lui proposait?

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Alvira
Tout fut perçut par la Baronne, de son étonnement à son envie grandissante de rire. Elle ne le quittait pas des yeux, ses regards étaient complices. Le moment approchait, toutefois, la Duranxie ne savait pas véritablement comment elle allait exactement s'y prendre. L'exercice n'était pas évident en soit, vu que tout deux avaient le plaisir de pouvoir jouir de la présence de leur compagnons respectifs. Complication possible, mais qu'importe la tradition était la tradition. De plus, ayant elle même vécu un anoblissement avec un baiser vassalique goulu par son propre frère, elle n'allait pas se torcher avec son filleul, Bella or not Bella, idem pour Goddefroy. Certains disaient même : "A la bonne franquette !" ou "A la guerre comme à la guerre !'.

Sauf que...

Alvira était une femme, et n'avait absolument pas envie de faire la grosse brutasse de base, surtout que Riwenn l'avait ainsi anobli. Venant d'un vioc, l'on peut aisément comprendre qu'il se soit jeté sur elle comme un affamé sans chercher à fignoler la prestance de la chose. A contrario, la Baronne, elle, voulait que se soit élégant, équilibré, itou, itou...

Quand, son filleul s'adressa à Cléopâtre sur le fait qu'il se relevait sans demande expresse de sa part, elle affirma par un hochement de tête rapide et bien marqué.


Ah oui oui oui oui oui. Oui, oui !
Wouais, wouais, wouuaiis ! Waaoouuuaiiis !


Genre, oui, faut qu'il se relève, je veux oui, qu'il se relève, va bien falloir que je le galoche, pour ça faut qu'il soit tout tout tout débout.
Encore une fois, Wallerand l'étonna par une étreinte affectueuse mais non moins dénuée d'intérêt. La Gasconne, qui avait tenté de commencer à échafauder le fil conducteur du futur moment, fut prise de court et ses pensées s'envolèrent.
Le fourbe !
Voilà qu'elle était toute attendrie, presque béate. L'émotion si présente, par les paroles échangées.


Marraine, rassure-moi... Tu ne vas quand même pas me l'infliger façon Duranxie ?
Oh mais n... mon filliot...
Chéri d'amour à sa marraine adorée, mais ça on ne le dira pas !

Son visage se tourna vers lui, oscillant entre sagesse et amour, Monstralvinette était en pleine expression de sentiments divers et variés, ayant l'effet de laissez à penser qu'elle serait donc raisonnable et classique. Quand soudain, alors qu'elle s'était ramolli dans ses bras pour lui paraitre inoffensive, l'éclair d'espièglerie se mit à l'oeuvre dans sa caboche et elle se hissa rapidement sur la pointe de pieds pour venir l'embrasser à pleine bouche de façon très baveuse. Ses mains allèrent sur le visage de Wallerand, tenant ses joues alors que maintenant, sa langue lui lippait tout le bord des lèvres. Tant et si bien qu'il en devenait visqueux (elle aussi par la même). Pour sur, Bella n'allait pas franchement apprécier qu'il lui revienne ainsi. Mais entre eux, leur First Kiss (et avec assurance, je vous le confirme, le seul baiser qu'ils échangeront à tout jamais), serait i-nou-bli-a-ble !

Et comme tout les bons moments avaient une fin, elle le relâcha d'un seul coup, avec le regard malicieux de celle qui l'a bien eu. Héhé, je t'ai Bip "i", bip "é" !


Te voici, cher filleul, si Rouergue te le permet, Seigneur d'Arengosse !
Que mes terres soient tiennes !


La Baronne s'essuya le menton pastiché de bave comme elle pouvait avec le plat de sa main, engluant cette dernière de salive, puis tapota de la même dextre, le bras du jeune homme, cherchant à le rasséréner tout en asséchant sa main sur son joli vêtement. D'aussi loin que je sois, je vous entends penser qu'elle le fait exprès, et bien non ! Bande de malotru, c'est inconscient. Voyons, qui peut penser cela alors que notre Monstralvinette est adorable, c'est bien connu !

Méfait accompli, et tout comme l'aurait fait Harry Potter, Alvira se tourna vers le Maréchal d'Armes à ses mots, en espérant que ce dernier, en l’occurrence, cette dernière ne prendrait pas mal, la version du baiser vassalique à la Duranxie. Car promis, même pas elle en avait profité autrement que pour le traumatiser.

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Cleopatre2
D'écouter les deux protagonistes... et le parchemin donné au futur vassal, lui causa un gloussement. Un regard de sa part.. se demandant si cela était du lard ou du cochon... Eh oui.. fallait y passer. La suzeraine en ce moment avait tous les droits sur son vassal, et elle en profitait bien.

De garder le parchemin, pendant que Wallerand se relevait sans autorisation de la Baronne. Mais elle était d'accord.

Puis le baiser vassalique.. ca ce n'était pas un baiser chaste.. mais un bien baveux, gluant.. tout collant. De manquer d'éclater de rire, mais de se retenir, tellement cela était comique. Elle en avait vu des anoblissements, de toutes sortes, mais un baiser comme ca... wouahh certes non.

Les participants devaient en ressortir tout mou...

Sourire héraldique.


Oui, Rouergue permet... vous voici Seigneur d'Arengosse. Félicitations
Je pense que vous n'oublierez pas de si tot votre anoblissement.

Voici tout d'abord vos nouvelles couleurs.
en lui tendant une soie qui se déroule sous ses doigts.



Et votre titre de noblesse...

Citation:
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P ar la présente,
    Nous, Cleopatre dePayns, Baronne de Villeneuve la Crémade, Dame de Bourghelles, d'Enfruts, de Salmiech et de La Bastide Pradines, Maréchal d'Armes Royal dicte Rouergue

    Faisons acte de la demande de Alvira Messonnier de la Duranxie, Baronne de Brassenx, Dame de Peyrehorade et Carcarès Sainte-Croix
    • quand à l'octroi de la seigneurie de Arangosse sise sur les terres de sa Baronnie à Sieur Wallerand de Beauharnais**

    Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Arangosse est bien seigneurie vassale de la Baronnie
    Après consultation d'armoriaux, les armes se référant à la dite seigneurie sont: "De gueules, à un chevron accompagné en chef de 2 haches affrontées et en pointe d'une chapelle, le tout d'or."




    Ci-joint une lettre patente du dûment authentifiée attestant de sa volonté d'octroi d'une seigneurie.

    Citation:


    De Nous, Alvira Messonnier de la Duranxie, Baronne de Brassenx, Dame de Peyrehorade et de Carcarès Sainte-Croix
    À Vous, Ulyne de Varneuil dicte Gascogne, Héraut d'Armes de Gascogne

      Mes respects Gascogne.

      Ce jour ma plume a parcouru le vélin que vous détenez désormais entre vos mains afin de vous faire part de mon souhait d'anoblir mon filleul si cher à mon cœur, j'ai nommé Wallerand de Beauharnais.

      J'aimerai donc lui octroyer la seigneurie de Arangosse pour le temps, la patience et l'énergie qu'il développe à œuvrer pour notre Duché, et ce depuis de longs mois désormais.

      Que ses mérites soient enfin récompensé par des terres qui lui permettront de vivre plus confortablement.
      Qu'il soit remercié dignement de son investissement à faire rayonner notre Province au travers du Royaume, tant par son rôle de Chancelier que par les services rendus auprès de la Couronne de France.

      Mon attachement personnel à ce jeune homme prometteur n'est donc pas la seule motivation de cet anoblissement mais bel et bien pour le mérite qu'il suscite tant par son caractère remarquable, que son implication remarquée.

      Vous remerciant d'avance, je vous espère bonne réception de la présente, et vous souhaite une agréable journée.

            Bien à vous,

            Rédigé et scellé au Castel de Brassenx, le quinzième jour du mois de juin de l'an de grâce Mil quatre cent soixante trois.

            Alvira Messonnier de la Duranxie
            Baronne de Brassenx
            Dame de Peyrehorade et de Carcarès Sainte-Croix





    Par notre scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements héraldiques et attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

    Fait le XXVIe jour du mois de aout de l'an 1463 sous le règne de Sa Majesté Zelha.
    Cleopatre dePayns.
    Maréchal d'Armes dicte Rouergue.





* IG - Alvira
** IG - Wallerand








Senhèr, Soyez juste et bon avec vos gens et faites fructifier les terres qui vous sont confiées !

Un arret

Nous rentrons à Paris dans les prochains jours, nous publierons à la bibliothèque le contreseing que je viens de vous remettre, et vous pourrez alors porter armes et couronne avec fierté. Il vous sera alors loisible d'aller commander un jeu de scels en la Chapelle Saint Antoine. D'autre part, nous vous invitons, à relire les codes qui régissent la noblesse de France dans le codex héraldique qui compile tout ce qui traite de la noblesse en terres royales.

Un arret et précise.

Vous avez un mois à partir de ce jour pour vous mettre en règle avec vos armoiries.

Un regard vers la Baronne... elle aurait le mot de la fin pour cloturer la cérémonie.. avant que tout ce joli monde ne se jette sur le buffet.
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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite
Christabella
L'instant fatidique... Celui où le vassal et le suzerain échangent un baiser sur la bouche en signe de fraternité et de fidélité. Mais voilà ...Le baiser vassalique à la mode duranxienne n'est pas le chaste baiser gentillet sur les lèvres à peine effleuré. Il ressemblait plus au bon gros patin, avec supplément de bave. Elle même n'y avait pas eu droit, même si elle n'était pas passé loin. Titoan avait essayé de faire en sorte qu'elle prenne sa place pour cela– ouioui, essayé, comme je vous dis- et d'imaginer la langue de Riwenn cabrioler dans sa bouche, une langue de vieux, baveuse, molle... Et même pas pour son fief en plus! Elle en avait des hauts le cœur rien que d'y repenser. De toute manière, elle l'avait prévenu, le Riri. Fait moi ça, et je te l'arrache avec les dents. La langue, hein, chenapans ! Et voilà que Wallerand avait emprisonné Alvi dans une étreinte vassalique protocolaire visant à l'immobiliser, le temps de la supplier. Bien joué, Wallichou ! Face aux paroles du Beauharnais, une supplique digne des plus grands dramaturges Grecs, la Vivinoursette semblait ramollir. Céder. Impossible . C'était même décevant, de la voir renoncer. Ou alors...

C'était un piège ! Oui, un piège, un immonde piège, la vilaine ! Et Wallerand qui relâchait l'étreinte, nononononon ! C'est un piège ! . Mais Bella ne pouvait pas interrompre la cérémonie et dire « je m'y oppose », car ce n'était pas un mariage. Elle regarda Goddefroy, un poil effrayée, et l'espace d'un instant elle s'imagina qu'ils étaient à la place des deux protagonistes. Yeurk. Et en plus, il en avait sur le menton, Wallerand. Non, mais elle s'essuie sur lui la Vivi ! Et qui va nettoyer sa superbe tenue, hein ??? C'est Môrie Thérèse** ! Le pire, c'est qu'elle devait faire bonne figure. Elle déglutit, et sourit à l'intention de Wallerand. Après tout, il avait été piégé. Puis, elle se souvint. Bon sang ! Elle aussi avait une vassale, Sestias, et elle lui avait roulé la pelle vassalique... Un sourire, puis un petit rire discret s'échappa des lèvres de la blondissime. Rouergue lui décerna sa récompense : la patente de son fief. Champagne !


    ** Un clin d'oeil à la vie est un long fleuve tranquille. avec l'accent ch'ti, un a bien caverneux tirant sur le « ô ». Avec de la pratique on y arrive bien à écraser ses A.

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Wallerand
Allait-il y couper ? Vu qu'Alvira s'amollissait dans ses bras, Wallerand crut, bien à tort, qu'il fallait y voir le signe qu'elle ne ferait rien de duranxien pour conclure l'allégeance. Fatalement, il la relâcha quelque peu... Mais peu, c'était encore trop, et tel fut pris qui croyait prendre ! En moins de temps qu'il n'en fallut pour qu'il réalise qu'il sautait à pieds joints dans un piège à loup, Wallerand se retrouva barbouillé du nez au menton par la vassalique galoche que lui infligea avec conscience et application sa marraine.

Beurk.
Oh mon Dieu.
Elle le faisait vraiment !

Comme quoi, il ne fallait pas attendre de pitié de la cruelle Duranxie ! Au nez et à la barbe de la Dame de son coeur, au nez et à la barbe du promis de la maîtresse des lieux, elle lui infligeait cette dégoulinade bisouilleuse qui lui raidissait l'échine (et rien d'autre, petits chenapans). Et elle le maintenait des deux mains en plus ! Pas moyen de s'échapper, il fallait encaisser. Pas le choix, de toute façon... Mais pour une première et dernière fois où il y aurait pareil baiser entre eux, l'ancien coureur de jupons se surprit à penser que même Acrisius aurait sans doute plus réagi que lui. A croire qu'il s'était rangé.

Vinrent les rappels héraldiques, la remise de l'oriflamme et du contreseing... Wallerand mit un moment à réagir, à revenir à son état normal. Aussi avait-il sans doute un peu son regard inoubliable de poisson mort quand
Rouergue reprit la parole - l'état de choc, sans doute -, regard qui reprit cependant son éclat normal à mesure que le Beauharnais reprenait pied. Un peu comme remonter à la surface après avoir eu l'impression de se noyer. Ayant machinalement essuyé les dégâts occasionnés par Alvira, donc, et ayant totalement occulté le fait qu'elle l'avait pris pour une serviette (l'état de choc, on vous dit !), il écouta avec une attention non feinte la Maréchale, accueillant soie et contreseing, hochant la tête avec détermination à son injonction d'être bon seigneur... Et l'anobli répondit en ces termes :

Merci, Rouergue. Pour tous ces rappels, pour votre présence, et pour cet acte. Et vous avez raison, je ne suis pas prêt d'oublier ce jour. Il me reste d'ailleurs encore une chose à faire, si vous permettez.

Une chose qu'il remettait à un moment propice depuis des mois déjà. Avec un sourire amusé, le jeune homme se tourna vers Alvira et lui glissa, sur le ton de la confidence :

Et ne râle pas une deuxième fois sur la formulation, hmm ?

Ou l'art d'annoncer de manière subliminale ce qu'il avait l'intention de faire à l'unique témoin de certaine demande, que chaque protagoniste n'aurait aucun mal à qualifier de "la plus pourrie du siècle", Wallerand en tête. Il fallait bien l'admettre, il avait été un brin impulsif ce jour-là... Mais depuis, il y avait réfléchi, avait tourné et retourné la chose sous toutes les coutures, et avait fini par s'arrêter sur une idée à peu près précise de ce qu'il s'apprêtait à faire. Sauf qu'évidemment, alors qu'il se retournait vers Bella, couic ! Noir total, pause mentale.

"Tu peux le faire !", hurla une petite voix pour briser ce silence intellectuel et réenclencher la mécanique beauharnaise. Avec un sourire, dans un geste qui n'était pas machinal pour un sou mais bien une allusion à un geste de sa marraine au cours de sa déclaration foireuse, il redressa son col et l'ajusta. Bien propre sur lui, qu'il fallait être ! Est-ce que c'était une pointe d'appréhension qui serrait sa main lorsqu'il récupéra, avec un sourire, son couvre-chef de la main de Bella, qui crispait le sourire qu'il lui adressa en remerciement ? Peut-être, allez savoir. Ce serait la première fois qu'il s'engagerait autant pour une femme, alors... C'était en quelque sorte une grande première pour Wallerand, et, prenant la main de la jeune fille, ce fut presque avec timidité qu'il entama, avant que sa voix ne reprenne de la fermeté :


Bella... Il y a quelques mois, vous avez rencontré quelqu'un. Chez Alvira, d'ailleurs. Et cet homme, enfin, je suis tombé sous votre charme, puis j'ai réalisé que je vous aime. Vous m'avez réappris à sourire. Vous m'avez fait découvrir des sentiments et des bonheurs dont je n'avais même pas idée. Vous m'avez aussi fait des peurs terribles. Jour après jour, j'ai réalisé que la seule femme avec qui je voudrai jamais passer ma vie, c'est vous. Alors... Bis repetita placent : le genou retrouva le sol alors que le regard sombre du Beauharnais, souligné par un sourire du plus grand sérieux, se relevait sur sa maîtresse. Christabella Jauzac, voulez-vous faire de quelqu'un qui hier n'avait pas le droit de rêver à vous le plus heureux des hommes et m'accorder votre main ?
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Christabella
Choqué par le baiser, voilà le Wallerand qui parut aux yeux de tous. Avec le fameux regard de poisson crevé, l'air absent, comme s'il avait été mis hors combat d'un seul uppercut par une Alvira hilare. Il faut souffrir pour être noble, à croire ! Surtout avec les Duranxies... Encore un coup d'oeil à Goddefroy, se demandant comme lui avait pris la chose. Vu la tête de Wallerand, Bella avait décidé qu'elle ne le prendrait pas mal. Après tout, c'était son filleul...

Wallerand semblait enfin refaire surface – comme s'il s'éveillait d'un cauchemar, et se tourna vers elle, peut être pour s'excuser pensa t-elle, sur le coup. Son sourire était crispé, comme s'il redoutait une crise ? Mais …


Bella... Il y a quelques mois, vous avez rencontré quelqu'un. Chez Alvira, d'ailleurs. Et cet homme, enfin, je suis tombé sous votre charme, puis j'ai réalisé que je vous aime. Vous m'avez réappris à sourire. Vous m'avez fait découvrir des sentiments et des bonheurs dont je n'avais même pas idée. Vous m'avez aussi fait des peurs terribles. Jour après jour, j'ai réalisé que la seule femme avec qui je voudrai jamais passer ma vie, c'est vous. Alors... Christabella Jauzac, voulez-vous faire de quelqu'un qui hier n'avait pas le droit de rêver à vous le plus heureux des hommes et m'accorder votre main ?

Et là c'est le drame. Bella voulait répondre, mais l'image du baiser vassalique tourne en boucle dans son esprit. Il lui avait posé une question, là ? Ben oui … Et à genoux, s'il vous plaît ! Que répondre.... Euh... vous avez encore un peu de bave, là ? Non, c'est pas ça que tu dois dire ! Bouge toi, dis quelque chose !



Allez ! Ne me dis pas que ce baiser duranxien t'a troublée ? Un peu quand même ? Essaye, desserre les lèvres et sort nous un son.

Euh

Mieux que ça ! Un mot !

Oui !

Ah quand même ! Continue !

Oui, j'accepte de vous accorder ma main, mon cœur, de construire mon avenir avec vous, et créer un foyer.

Mais avant, on va boire un coup pour se rincer le gosier. Non ? Je ne peux pas dire ça non plus ? Et si Alvira avait mangé du roquefort, ou de l'ail, hein ? Oh et puis zut ! Elle le releva, et l'attira à elle pour un long baiser, plus amoureux que duranxien cette fois.

Je vous aime, et je vous accepte, Wallerand de Beauharnais. Même avec l'épaule mouillé de bave de monstralvinette.
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Alvira
L'étreinte était relâché, comme si elle l'avait presque bousculé pour qu'il s'éloigne, ce qui était, dans les faits, totalement faux. Un regard au filliot, l'oeil qui parcoure le col, un sourire amusée à Rouergue, d'un air entendu : "Voilà je l'ai eu !". Puis, elle vint à observer le Beauharnais empli de prestance qui déclame une demande ravissante, un début de serment. N'importe quelle femme aurait souhaitée une demande aussi pleine d'émotion et de sincérité.

Ils sont pas choupinouxxx ?!

Le coeur de la tantine/marraine, battait la chamade ne détachant pas les yeux de sa famille, quand alors, une fois que l'une vint gober l'autre ses iris allèrent en direction de Goddefroy, profitant qu'il ne la regardait pas pour détailler le jeune homme. Elle n'eut pas le temps de se faire une remarque du style : "Ma qué lé cro meugnon", cro beau, je va le bouffeeeeer", qu'il lui sembla alors que le Vicomte avait tourné le visage vers elle. Elle en fit tout autant - on tourne la face à babord toute, à babord toute j'ai diit ! - pour ne pas être prise la mains dans le sac, en pleine béatitude. Histoire de s'occuper, et vu que les deux futurs époux l'étaient déjà, elle s'avança auprès de Cléopâtre.


Merci pour tout, sincèrement.
Nous avons été tous heureux de partagé ces moments ensemble.

J'apprécie votre gentillesse et... Votre humour, ainsi que le temps que vous nous avez consacré, j'ose espérer que vous resterez avec nous pour le reste de la cérémonie, le buffet se doit aussi d'être honoré par votre présence. Et je suis sure qu'après telle Cérémonie votre ventre crie famine.


C'est donc avec le sourire que la Duranxie fit de même avec les convives et lança les hostilités, soit, le pillage en règle du buffet. N'oubliant pas de remercier tout ceux qui avait rendu ces instants plus que jamais unique. Ainsi les amoureux se voyaient enfin seul au monde, il faudrait quand même croiser les doigts et espérer qu'ils ne feraient pas un petit à deux pas de la troupe.

Pour ce qui était des félicitations, elle les effectuerait plus tard, lorsqu'ils auront à nouveau touché terre.

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Cleopatre2
Elle allait de surprises en surprise, chaque anoblissement était pareil et jamais pareil en fait. Toujours quelque chose pour modifier le rituel ancestral. Mais c'était vraiment bien, car on pouvait s'attendre à des retournement de situations assez cocasses.. Comme celui qui était en train de se passer à la fin de la cérémonie.

Une baronne qui demande à un homme d'etre son homme, et le meme homme qui demande à une autre femme d'etre la sienne... PPffiou, on allait plus s'y retrouver la dedans.

Mais une demande en mariage, et à genoux devant tout le monde, comme c'était romantique à souhait. Elle, se souvenait de la sienne... sur une plage en Normandie... le vent dans les cheveux.. aaahh nostalgie quand tu nous tiens.

Un sourire en se demandant si la future mariée embrasserait le nouveau noble plein de bave.. Bon ca , cela les regardait.. elle se retourna quand la baronne s'adressa à elle.


Merci Baronne pour votre invitation. Ce serait un plaisir non feint que je resterais pour la suite de cette jolie cérémonie. Et je n'ai fait que mon devoir. J'ai été ravie également d'etre parmi vous ce jour. Et effectivement ventre crie famine... dans quelques jours je repars sur les chemins direction les Flandres ou on m'attend déjà de pieds ferme. Mais si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition. N'hésitez pas à demander.


Et de suivre Alvira en direction du buffet ou déjà les invités s'étaient rués.

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"Si tu n'espères pas l'inespéré, tu ne parviendras pas à le trouver" Héraclite
Malcomx01
La cérémonie se terminait dans la joie et la bonne tumeur heu humeur ! La Malcomx était resté bouche bée devant la demande en mariage de Wallerand, Une déclaration « Wallinesque » empreint  "d' Alvinoursette". Pas pour rien qu'il devenait son « va pas propre », enfin vassal…
Pour sure faudrait en prendre de la graine pensa t'il en jetant un regard gourmand vers Rebecca.

La Duranxie venait de lancer le départ pour une attaque en règle du buffet façon élection ducale; Ni une ni deux il attrapa la main de la rectrice et se ruèrent tout les deux en souriant devant la cochonnaille et les boissons.

Malcomx se demandant un instant si les deux zozos dans la cuisine allaient eux aussi revenir à la charge piquer cette fois les plateaux. Dans se cas il se serait rattraper sur autre chose avec bien plus de gourmandise dans un endroit approprié. Et c'est joyeusement qu'ils prirent leurs verres et de trinquer au nouveau vassal. et de saluer de la tête Rouergue qui devait surement connaitre Languedoc et Deedit dicte Minerve..


vu avec JD Ruby10

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