[rp ouvert] mariage de Cassandre et Edward

Edward

Le jeune homme fit les quelques pas qui les séparaient du groupe avec la marraine de Cassie en remarquant alors sa sœur arriver et vint la plonger dans ses deux bras après s'être accroupie doucement, veillant à ne pas salir de la poussière du sol son chlamyde ni même le froisser. Il ferma les yeux un instant pour évacuer toute sa tendresse dans l'étreinte qu'il offre à sa sœur puis se redressa pour la laisser filer vers Niri.

Le jeune homme se tourna alors vers la princesse et inclina légèrement le buste. Cassie lui avait fait une vive description la veille et ses opales n'ayant point vu semblable, il n'avait quasiment aucun doute sur son identité et qui plus est, les mots "Altesse Royale" avaient été entendu par Edward.

Votre Altesse. Merci pour vos félicitations et permettez-moi de vous remercier d'être présente et vous souhaiter la bienvenue pour le bonheur de Cassandre et moi-même.

Puis, le jeune homme se tourna vers la mère de Cassandre pour lui réserver, avant qu'elle ne s'en aille, le même accueil, il n'avait pu que la côtoyer qu'une fois et malheureusement peu de temps pour demander la main de sa fille, mais il fut dit que Cassandre avait su étaler des éloges à son égard bien qu'il ignorait quelles louanges furent chantées.

Dame d'Aubessagne et mère de notre Cassandre, ravie de vous revoir et dans l'espoir que du temps me soit accorder pour que je puisse vous en donner avec votre fille à mon bras en ce merveilleux jour.

Le jeune homme ponctua sa phrase d'un sourire et il aperçut Etoiles qui lui fit signe de faire entrer tout le monde. Il était temps que tout le monde prenne place et c'est à cet instant que le jeune homme sentit l'angoisse poindre plus violemment que précédemment. Il tenta de ne rien faire paraître aux invités et s'approcha de l'édifice pour le pénétrer après avoir fait savoir au convive respectueusement qu'il était temps de prendre place bien qu'il regrettait de ne pas avoir vu tout le monde avant le début de la cérémonie, car qui dit pas de salutations après la cérémonie.

[Ding dong]

Il marcha longuement dans la nef que sa Douce allait remonter dans quelques minutes. L'angoisse du jeune homme se fit plus intense à chaque pas qui raccourcissait son chemin de l'autel. Il balaya ses souvenirs depuis sa naissance mais ne vinrent aisément que ceux des huit derniers mois. Perdu dans ses songes, il arriva bien plus vite que prévu devant l'autel et regarda autour de lui en réémergeant progressivement, cherchant ses témoins des yeux et ceux de Cassie bien que un des siens ne pouvait être près de l'autel avant l'arrivée de sa Belle.

Edward et Cassie s'étaient mis d'accord pour n'avoir qu'un seul témoin mais les circonstances post-mariage notamment l'annulation de l'Affirmation du baptême d'Edward avait fait longuement réfléchir le jeune homme et prit quelques jours avant de demander à Ali d'être son second témoin avec Colin, ces deux Orléanais étaient, avec le témoin Orléanais de Cassie, les personnes qui comptaient le plus pour lui dans cette province qu'il détestait de nos jours, enfin il détestait surtout les dirigeants mais l'un deux avait dit "je suis l'Orléanais" alors autant englober la province dans ce cas.
Il avait déjà avoué à Val ce qu'elle était avec Ali pour lui depuis le jour où il a déposé un pied sur le sol Orléanais et Colin savait combien Edward le considérait. Son départ allait certainement faire un vide dans les vies de chacun, mais le temps n'était pas propice pour penser à cela mais bien à cette nouvelle porte d'avenir qu'il avait ouverte il y quelques mois et qu'il avait choisi.

Il joint alors ses mains pour contenir sa nervosité et remarqua que ses mains n'étaient point si moites comme elles avaient l'habitude de l'être sous l'angoisse. Devant cette constatation, il ne fit que sourire furtivement et laissa son regard se perdre sur ses mains presque tremblantes. Le moment le plus long allait bien sûr être celui où il verrait sa promise à la porte et la longue allée qu'elle allait à remonter jouerai certainement avec sa patience plus que l'absence de sa Cassie ne jouait avec elle à cet instant.

Il fit abstraction de tout ce qui l'entourait même du silence qui s'installait peu à peu dès l'instant où les invités furent assis. Puis lorsque des sabots se firent entendre sur le parvis, Edward posa son regard sur la porte de l'église, ouverte...

Navré de cette non-compréhension en fait la main est sur l'épaule de Actarusia pas celle de la princesse, pour les précisions de cette erreur vous pourrez demander en MP
Suppression de la ligne HRP dans 24h

Fred109

Fred était impressionné par le nombre de nobles qui arrivaient...
Il prît Eulalie par la main et l'entraîna vers le fond de l'église, là d'où ils pourraient voir sans être trop vus...

Be dis-donc, je ne m'attendais pas à un tel aréopage... En plus t'as vu, on n'était pas trop en retard, finalement...

Chuchota-t'il à son oreille... puis il avisa les visages familiers de Valéria et d'Alienor...
Deux orléanaises qu'il avait côtoyé dans une autre vie au Château d'Orléans...
Il entraîna sa promise pour les saluer ....Ils firent le grand tour pour ne pas déranger puis ils s'arrêtèrent.

Le bonjour Duchesses, heureux de vous revoir depuis le temps,
permettez moi de vous présentez ma fiancée Eulalie Black, Eulalie, voici la Duchesse Valéria de Gambiani, qui est mon chef aux mines d'Orléans, et la Duchesse Alienor de la Neustrie, qui fut mon gouverneur...

Il chuchotait toujours... Fit un baise-main à chacune des Deux Duchesses...Puis sourit...Cela le rassurait un peu de voir deux personnes connues parmi les innombrables invités... Surtout qu'il avait entendu des "Altesse", des Princesses, il n'avait pas l'habitude de ce Grand Monde et se sentait un peu mal à l'aise...
A vrai dire, il était corsaire et son monde à lui était plutôt la mer et les pirates turcs ...
Il salua respectueusement les deux Duchesses Orléanaises, regrettant que sa Suzeraine Ninouchka ne soit pas de la fête...
Il serra la main d'Eulalie dans la sienne, pour la rassurer et ne laissa pas transparaître son désarroi... Il lui sourit de plus belle et se retint de l'embrasser... ce n'était pas le lieu ....

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Vanduc

Colin avait pris pas mal de retard et quand il arriva sur les lieux, il y avait déjà pas mal de monde.
Il vit d'ailleurs pas mal de monde qu'il connaissait et d'autre qu'il n'avais encore jamais vu.
Décidément, je n'arriverais jamais à être à l'heure se dit-il.
Il se dirigea vers sa mère et Ali qu'il salua d'un signe de tête puis il vit Fred et se dirigea vers lui.

Bonjour mon ami, comment te portes tu? Cela fessait longtemps dit moi.

Il allait continuer quand il fut interrompu par le début de la cérémonie.
Il tourna dans tous les sens à la recherche de Edward, il fallait mieux pas arrivé en retard là par contre.
Il le vit déjà devant l'autel et se dépêcha de la rejoindre. Il se mit devant l'autel un peu en recul là ou devait se trouver les témoins.

Il était à la fois ravi et triste, ravi de les voir heureux. Ils le méritaient bien cependant il était triste de voir partir deux amis proche avec qui il avait partagé de nombreuse choses.
Oui, il était bien difficile de voir partir les gens qu'on apprécie et cela avait quelque répercussion puisqu'il pensait lui même à partir maintenant.

Hadrien

A la bourre? Hadrien? Non c'était impossible et pourtant si c'était bien arrivé.
Le jeune fin plus très jeune maintenant breton-Poitevin arriva avec pas mal de retard. Il avait beau ce dire que c'était pas sa faute mais celui des autres rien à faire, il était quand même en retard. Bon bien sur, il arriva avant que le mariage soit terminé, c'était déjà cela..
En plus, c'était pas la porte à coté le mariage et pour couronner le tout, Hadrien s'était perdu. Cela lui apprendra de faire confiance au gens sur la route pour lui donner la bonne direction. Il s'était retrouver en Normandie.
Fin Bref, il était arrivé et c'était l'essentiel.
Bien entendu, il avait du ce changer car bon rentré dans l'église avec des vêtements plein de boue cela n'allait pas le faire.
Après un changement, il tenta de retrouver Plume.

Bon dieu, ou est ce qu'elle était ?
Il lui fallu une bonne demi heure pour la retrouver non loin de l'église.
Elle aurait pas pu dire qu'elle était partie en avance à la cérémonie, cela lui aurait éviter de faire 3 non 4 fois le tour de la ville.
Comment perdre du temps inutilement franchement..

Une fois qu'il l'est rejointe, il rentra dans l'église au moment où le mariage commença. Gros coup de chance franchement.
Il chercha Cassandre des yeux mais impossible de la trouver.
Il était content de revoir son amie mais également de voir qu'elle était heureuse.
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Cassandre_

Son parrain presque étouffé, la filleule décida de le relâcher et de lui prit le bras. Un dernier regard à sa mère qui se plaça devant eux afin d'ouvrir la marche. Elle avança donc lentement, légèrement crispée au bras de son parrain, alors que leurs pas résonnaient enfin dans l'église.

Elle essayait de garder un léger sourire aux lèvres malgré la tension de l'instant. Elle avait choisi un pari de taille. Celui que son tendre retombe amoureux au moment où il la découvrirait dans sa robe. Le moment de vérité était venu. Et même si elle s'était persuadée du contraire, si ce n'était pas le cas, elle serait déçue. Alors pour se changer les idées et s'enfuir en courant, elle commença à regarder brièvement les invités, faisant des petits signes de tête de temps à autres.

Dans quelques jours, avec le recul, Cassie se rendrait compte qu'en réalité dans les invités, il y avait beaucoup de nobles. Cela pouvait paraître étonnant dans un mariage qualifié de roturier. Mais lorsqu'on connaissait le parcours des mariés, cela ne l'était plus. La jeune femme était née dans un château, avait vécu la majeure partie de sa vie dans un château et elle mourrait sans doute dans le château familial. Alors autant dire qu'elle a été élevé « à la noble » à quelques détails près, sa mère lui laissant des libertés, comme celle de se marier par amour. Parce que même si elle le vivait mal parfois, elle avait fini par accepter l'évidence qu'elle serait toujours pour certains "la fille de".

Pourtant, la jeune femme avait essayé de s'en défaire de cette étiquette. C'était pour cela que dans un premier temps, elle s'était mis au service de Gailen. Celui qui deviendrait son complice et son premier amour. Et puis ensuite Orléans où l'homme de sa vie, son âme sœur l'attendait sagement. Tout cela pour dire que les nobles qui – à une exception près, ou deux – avaient reçus une invitation parce qu'ils savaient être simples, ne prenaient pas les gens de haut et c'est de loin ce que la blonde préférait. Du coup, elle ne s'était pas posée la question lors de l'établissement de la liste des invités avec Edward, tout le monde s'entendrait parce qu'il n'y avait pas de raison que ça soit autrement. Le mariage serait à leur image.

Et lorsque la moitié de la nef fut traversé, un arrêt eu lieu. Il était temps de changer de bras masculin. Son parrain laissant place au papounet. Elle déposa un bisou sur sa joue avant de finir la remontée à son bras, une émotion toute particulière. Devant l'autel, elle prit le temps de saluer, bien que brièvement, Val, Colin et Ali. Sa sénestre trouvant la main d'Edward, tandis qu'elle laissait ses émeraudes le scruter avec une infinie tendresse.
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Plume.

Les nombreux détours en Normandie n'étant pas le chemin le plus court pour rejoindre l'Alençon depuis la Guyenne , le voyage avait été plus que long ,,,
Bien que confortablement installée dans sa voiture à cheval , son garde du corps chevauchant à ses côté , la Dame de Saint Bonnet en Médoc avait eu tout le loisir de se remémorer les circonstances et autres raisons qui l'avait poussée à accepter cette invitation de la part du Bourgmestre de Thouars et nouvellement ami , mais aussi de se demander ce qui avait bien pu lui passer par la tête ce jour là.
Un voyage facile et agréable qui vous changera les idées avait-il dit … bah voyons !
Non contente d'être une parfaite inconnue à cette cérémonie, ils allaient en plus y arriver en retard .

Détestant se faire remarquer, elle prit sur elle de se préparer en un temps records à défaut d'être juste acceptable et se dirigea, parée d'une robe bleu pâle, garde du corps sur les talons vers le lieu de la cérémonie, persuadée d'y retrouver son cavalier , aussi pressé qu'elle sinon plus, d'être ponctuel aux futures épousailles.
Loin s'en faut, ce sont d'interminables minutes plus tard qu'il la rejoignit ! Qui a dit que les femmes étaient les plus lentes à se préparer ?

Invitation en bonne et du forme donnée à qui de droit et salutations respectueuses d'une légère inclination du buste faites aux diverses personnes présentes non loin , ils rejoignirent l'édifice juste à temps pour le début de la cérémonie. Ouf

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Tomrone

Doucement, chacun avait pris place dans l'édifice et il était resté sur le parvis à attendre sa filleule, quand enfin, elle arriva. Il la regarda se diriger vers lui, elle était magnifique, rayonnante, une vraie femme à présent.

Elle le serra dans ses bras et il en fit de même, ne voulant presque plus la lâcher, voulant la garder pour elle. Un égoïsme de parrain surement.

Doucement, il approcha ses lèvres de son oreille et lui chuchota.

Tu es magnifique ma filleule, magnifique... Le grand jour est enfin arrivé. Comment te sens-tu ?

Comment te sens-tu ? Voilà une question des plus ridicule dans une journée comme celle-ci, mais bon, pourquoi pas.

C'est un honneur pour moi de te faire entrer dans l'église et de traverser la première partie de la Nef à mon bras. Tu es la Reine aujourd'hui, il n'y a pas d'autre Reine que toi aujourd'hui.

Il lui sourit, lui déposa une bise sur la joue, histoire de la rassurer, lui qui devait être encore moi rassuré qu'elle.

Allez, il est temps, en route.

Il posa sa main droite sur sa main qui venait de prendre son bras écoutant le raisonnement des cloches qui pouvait encore se faire entendre et entrant dans l'église avec Cassandre.

Essayant de bien regarder devant lui, ne pensant plus à rien qu'à la mission qu'il avait d'arriver jusqu'au papa de sa filleule au milieu de la Nef, et cela, sans accident, il marcha doucement, et arriva enfin à la hauteur du papa.

Un petit sourire timide, il déposa un dernier bisou sur la joue de sa filleule avant de libérer son bras pour que son papa puisse continuer et de lui chuchoter une dernière fois.

Va mon ange, ton plus beau des bonheurs et devant toi à présent.

Et s'adressant doucement à son papounet en lui souriant.

Elle est à vous Messire...

Aussi discrètement que possible, il alla trouver place sur un banc, pour suivre à présent avec hâte le début de la cérémonie.
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Edward

Les oreilles de Edward n'avaient pas trompé leur porteur lorsque le doute s'installa à l'entente des sabots du destrier e de sa Douce. Son regard bleu fixant l'extérieur vit alors apparaître sa promise encore que trop peu détaillée par la lumière mais c'est sans trop de mal que le jeune homme reconnu Cassandre au bras de son parrain. L'émotion s'intensifia à la soudaine vague de chaleur qui accompagna l'apogée de son angoisse. Discrètement, il se mutila un instant l'intérieur de la joue la mieux dissimulée à l'assistance. Son regard s’éteint à force de fixer la lumière qui était à l'extérieur et ainsi pour conserver la découverte de la robe sans être troublé par cette futilité. Ces mains restèrent liées et son regard parcourra l'autel avant qu'un profond silence pénètre l'édifice provoqué par les premiers pas de Cassandre sous la lourde porte en bois de l'église. C'est à cet instant que les bleus du futur époux se posèrent sur son élue à la découverte éblouissante de la robe qui rendait sa future épouse plus parfaite qu'elle ne l'était déjà. L’événement auquel ils étaient les principaux acteurs était certainement à l'origine de la perfection que dessinait l'instant, mais pour Edward c'était le premier climax d'une vie de huit mois qui marquait le début d'une vie éternelle.

Plus sa future épouse s'approchait, plus son cœur battait, lui remémorant le temps d'une seconde, leur rencontre de plusieurs semaines, ou leurs retrouvailles d'une absence déchirante de quelques jours. Cassandre et Edward avaient abandonné l'autre pour des obligations mutuelles qui les forçaient à les séparer. Ce souvenir n'était pas oublié par le couple et c'est pour cette raison que l'un ne fait plus rien sans l'autre tant la douleur d'être loin de l'autre était insupportable. Même si le respect des traditions avait poussé les futurs mariés à séparer le temps d'une longue nuit, la douleur ne fut point plus douce pour Edward et ce dernier supposait presque sans doute que Cassie n'avait souhaité qu'une chose le rejoindre comme lui l'aurait fait. Tout ces instants de déchirures loin de l'autre font naître encore plus fortement leur amour qui lui ne peut être contesté aujourd'hui comme il ne pouvait être contesté hier. La sincérité dans leur regard et l'alchimie dans leur caresse sont les maîtres mots qui ont réuni leur amour il y a huit mois et qu'ils désirent faire reconnaître à leurs proches aujourd'hui.

Le bras de Cassie fut alors prêté à son père qui la conduirait jusqu'à Edward pour symboliser ce don d'une partie de lui pour le plus grand bonheur de sa fille. L'élégance avec laquelle Cassandre jouait fit sourire le jeune homme, à moins que ce sourire point à la retrouvaille de sa Belle devant l'autel, ce même autel qui était leur obsession depuis des mois. Edward saisit la main de sa belle pour l'attirer avec la plus grande douceur qu'il pouvait manifester à son égard. Ses bleus s'arrêtèrent sur ses émeraudes et parcoururent ensuite le délicieux apparat dans lequel elle s'était enveloppée. Ses yeux brillants scrutèrent chaque détails pendant une poignée de seconde, se réservant se plaisir pour les minutes qui suivront la cérémonie. Il retrouva ses verts et lui murmura d'une émotion qu'il retint difficilement tant il a su s'ouvrir aisément à elle : De quelles essences et de quelles fleures t'es-tu couverte pour, ce jour, me faire croire en la perfection ?

Son murmure s'éteint et son sourire des plus tendres et doux dissimula son émotion avant de se tourner vers l'officiante pour entendre le début de la cérémonie de leur union.

Eulalie51

L'accueil était des plus chaleureux par les amis de son promis quand le futur marié leur présenta le père adoptif, de Cassandre, et son épouse... Eulalie s'inclina comme il se devait devant un Baron mais n'osa prendre la parole ayant trop peur de dire une quelconque ânerie avant la cérémonie...

Fred l'entraina vers le fond de l'église et lui présenta deux amies à lui...
Bien le bonjour Duchesses... heureuse de faire vostre connaissance.

Mais où avait-elle mis les pieds, elle simple roturière parmi des barons, des duchesses... et j'en passe.
Elle devait être blême pour que son promis lui presse la main et lui adresse un sourire comme pour la rassurer.
Elle lui chuchota : euh, j'suis pas vraiment à ma place ici, t'aurais pu me prévenir qu'il y aurait autant de nobles, j'aurais essayé de faire plus d'effort quant à ma toilette (la robe, hein)...

Ils prirent tout deux place sur l'un des bans, la cérémonie allait commencer...

Etoiles

Etoiles sourit de voir ce couple magnifique devant elle prit le livre des Vertus pour leur lire un passage

Citation:

“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attends de vous, Je vous permets aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”

Telles sont les parole de Dieu. Alors Cassandre et Edward êtes vous prêts, pour le meilleur et pour le pire, je vous souhaite bien sur que le meilleur. Ce texte vous montre la profondeur de cet engagement qui vous permet de cultiver votre amour hors de tout péché, mais qui vous unis pour toujours.

Avant de procéder à votre union renouvelons notre foi et attachement au Très Haut en récitant le crédo

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Ysaoth

Il avait installé sa femme pour qu'elle suive la cérémonie tranquillement. Lui, il attendait sa fille au milieu de la nef dans l'allée centrale. il avait le cœur qui battait un peu plus vite que d'habitude. L'air de rien c'était quand même vachement symbolique. il savait que l'homme qui allait épouser sa fille se tenait derrière lui, et certainement que lui aussi avait le cœur qui battait fort...peut être même plus fort que le sien.
C'était la première de ses filles qu'il allait marier. Malgré ça, malgré le fait qu'il n'était pas serein car c'est un sacré événement, il tâchait d'offrir un visage calme a sa fille. elle venait d’apparaître aux bras de son parrain. Magnifique, comme elle l'est depuis qu'elle est toute petite et qu'elle est entrée dans sa vie. Les souvenirs remontaient à son esprit. Des souvenirs heureux de la petite en train de jouer dans la court, ou bien tentant de s'approcher de la forge. Elle galopait aussi derrière les poules, se servait d'un bâton comme d'une épée, pour faire comme papa certes, mais aussi comme maman. Elle terrassait les brigands qui voulaient, selon elle, leur piquer tous les cailloux du jardin...
La femme qui remontait la moitié de nef devant lui était une belle femme. Il lui tendit le bras pour qu'elle s'accroche et regarda l'homme qui faisait la transmission. Il il fit un sourire.

Je vous remercie mon cher.

Cassie avait toujours été protégée. Sa mère avait toujours veillée sur elle. Lui également, avait tâché d'apporter tout ce qu'il pouvait a sa grande. Et l'homme qu'elle appelait son parrain et dont il avait entendu parler de nombreuses fois, il le savait, veillait sur elle aussi. Aujourd'hui et même si c'était officieux depuis quelques temps, aujourd'hui ils allaient finalement célébrer l'entrée d'un nouveau protecteur pour sa fille. A partir d'aujourd'hui, ils seraient officiellement 4 à veiller sur elle. Les trois vieux allaient certainement prendre un peu de recul pour la laisser s'épanouir auprès de son futur mari, car c'était là l'ordre de la vie. Mais, que ce soit Lucie ou Tomron, Ysa savait qu'eux trois ne seraient jamais très loin. Mais c'était à Edward de prendre le relais, le rôle principal dans cette partition. Et c'était une bonne chose. il aurait voulu ajouter qu'il l'aimait, mais aujourd'hui, ce n'était pas a lui de lui dire. Et puis elle le savait.

Il s'arrêta juste devant le futur époux, regarda sa fille avec énormément de fierté. Il lui sourit, déposant un furtif baiser sur le front de sa fille qu'encadraient les boucles d'or. Puis il se retira, laissant le couple au centre, devant l'officiant. Il était temps de réciter le credo aristotélicien.

Ensuite, il était temps de prendre la main de sa femme dans la sienne.
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Edward

Il écouta attentivement le passage du livre des Vertus. Ce court extrait n'était pas inconnu à Edward mais ne l'avait point entendu dans le cadre d'une union mais bien dans un cadre plus familial. Peut-être l'avait-il lu ? Peut-être l'avait-il entendu, la mémoire défectueuse du jeune homme ne s'améliorait point à la pression sentimentale qu'il éprouvait pour leur événement. En réalité, ces mots furent lus par Edward dans les carnets privés de son père dont il avait conservé, des carnets plus anciens et d'autres moins et dont ce court extrait fut lu dans l'un des plus anciens, celui retraçant l'histoire du père et de la mère d'Edward.

Le jeune homme sourit à l'officiante lorsqu'elle leur posa une certaine question dont il en connaissait sans l'ombre d'un doute la réponse. Puis, il prononça le Crédo à l'unisson avec l'officiante, sa Douce et ceux qui désiraient les accompagner dans la récitation parmi l'audience.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

Cassandre_

Les mots de son parrain. Le silence de son père qui en disait pourtant tellement. Ils étaient importants pour elle au delà de ce qu'on pouvait imaginer. Lorsqu'elle essayait de se souvenir de comment était son père, elle finissait par trouver un mélange de Tom et d'Ysaoth. Sa mère lui avait dit que c'était de très bons choix, même s'il était aussi très différent sur d'autres points. Mais tant qu'elle lirait la fierté dans leurs regards, alors la blondinette savait, que lui aussi près du Très-Haut, l'était.

Cassie aurait pu leur montrer qu'elle était toujours un peu cette jeune fille trop sensible, laissant libre cours à ses larmes. Mais ce n'était pas encore le moment pour cela parce que le reste de la cérémonie promettait son lot d'émotion aussi. Au murmure d'Edward, elle lui répondit d'abord par un grand sourire.

Ce que tu es beau mon Amour. Et tes parents auraient été fiers.

Elle ne s'attardera pas plus, sinon elle va l'embrasser et ça ferait mauvais genre. Heureusement, Etoiles commença sans attendre la cérémonie. Elle sourit au passage lu et gardant sa main dans celle d'Edward, elle récita le Crédo avec conviction :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Tomrone

Et hop, la cérémonie commença, Juliette ayant retrouvé Roméo et Etoiles prononçant le Credo.

Doucement, Tom le reprit en coeur.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Lulue

La mariée avait fait son entrée, le bal du parrain/père d’adoption s'était passé sans accroc, il était donc temps de prendre place aux côtés de Gaël et d'observer les stars du jour.

A l'invitation de la Diaconesse, Lucie récita avec les autres le Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Tomrone

Maxence lui tendit la main et Tom lui serra aussi franchement que lui en lui souriant. C'est qu'il avait de la poigne à son âge déjà.

Maxence donc... Et tu me connais ? Ben mince alors, voilà encore que ma tête doit me jouer des tours... Pffff, un jour, il faudrait que je voie à m'acheter un peu de mémoire sur le marché.

Puis vers sa filleule.

Je vais, je vais, merci Etoiles. Aujourd'hui et un grand jour, un jour exceptionnel, et ma foi le soleil, j'en suis sûr va rester avec nous. Il serait difficile alors dire que cela ne va pas.

Il sourit l'écoutant se pencher à son oreille et de lui répondre tout aussi bas.

Merci beaucoup Etoiles, c'est très gentil. Ta tenue de Diaconesse, te va parfaitement aussi.

Et de sourire de nouveau.

Ah bon, je ne suis pas le premier !?
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Cassandre_

[Non loin de l'église, quelques heures plus tôt]

- Cassie ?
- Hmm

Un œil s'ouvrit et le geste des matins difficiles réalisé. Le drap couvrant bien le corps étendu de la tête aux pieds, plus rien ne pouvait l'atteindre. Pourtant, la future mariée fut secouée en douceur. Ou presque.

- Cassie? Si vous continuez à trainer, c'est une rouquine qui va l'épouser.

Ni une ni deux, la blonde repoussa le drap qui la couvrait et bondit du lit.

- Haaaaaaaaaaaan ! Et tu trouves ça drosle ?!?

Un grognement pour ponctuer sa phrase alors que les émeraudes se plissèrent pour fixer l'ancienne nourrice qui ne cachait pas son hilarité face à la réaction de Cassandre à sa provocation. Un haussement d'épaule pour clore définitivement le sujet et la jeune femme se dirigea vers la fenêtre afin de vérifier que le soleil était bien au rendez-vous. Elle se perdit dans ses pensées pour essayer de calmer l'angoisse naissante. Autant dire que la pauvre Ambre n'avait pas fini de s'arracher les cheveux. Une Cassie angoissée, c'est simplement des claques à répétition qui se perdent.

- J'veux plus y aller.
- V'là aut'chose.
- J'ai oublié de dire aux femmes de ne pas mettre de rouge !
- Et ?
- Et bien si elles piquent la couleur de la mariée il ne va plus savoir qui épouser !

Ambre leva les yeux au ciel.

- Mais oui. Et puis il va mesme toutes les épouser.
- Haaan ! Mais euuuuuuh.

La réponse très mature fut accompagnée d'une moue boudeuse.

- Dépêchez-vous de vous habiller, la Baronne et vostre mère vont arriver. Vous ne voulez quand mesme pas leur donner l'impression de faire marche arrière ?
- Gnagnagna.

Autant continuer dans l’infantilisé avant de se détacher de la fenêtre pour se diriger vers le mannequin sur lequel sa robe reposait. Elle l'admira quelques instants, recherchant le moindre petit détails qui ne la rendrait plus parfaite. Sous l’œil noir d'Ambre qui commençait à perdre patience en voyant le temps s'écouler, Cassie se dirigea vers le baquet dans une autre pièce pour entamer la première étape de cette journée.
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Ysaoth

[Le jour qui va presque bien, quelques heures avant le moment qu'il faut, pas très loin du lieux adéquat]

Ysaoth et Sun avaient fait le voyage pour arriver la veille. Le voyage était long depuis l'Auvergne, il n'était pas question d'arriver pile au moment à peu près qu'il convenait et de se radiner en sentant le bourrin et la sueur, les cheveux emmêlés et la barbe hirsute.

Donc arrivé a l'Auberge en fin s'après midi, le couple avait eu le temps de défaire leur valise pour les quelques jours qu'ils allaient rester là, se poser, manger un bon repas. Ils avaient pu également se coucher tôt pour reprendre des forces et avoir la tronche moins affreuse pour le lendemain. De fait, Ysa avait aussi eu le temps de bien mariner dans le lit, a tourner, certainement dû a la nervosité de marier Cassie demain. Qu'on le veuille ou non, cela faisait parti de ces événements parfaitement joyeux qui vous mettaient une grosse claque que le museau. La grande allait se marier.

La lueur apportait une faible clarté a travers la fenêtre partiellement recouverte par le rideau de tissu fin. Tout était en nuance de gris. Les rideaux partiellement tirées offrait une bande plus lumineuse a travers la pièce qu'Ysa fixait en essayant de se faire a l'idée de l'inéluctable. La nuit allait être longue...
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Sunburn

[Repos réparateur ou presque]

La Blonde avait accueilli avec un soulagement évident la fin de ce voyage qui paraissait d'une longueur interminable. C'est fourbue, malgré le confort qu'elle mit le pied sur le sol, n'aspirant alors qu'à se plonger dans les délices qu'offrait un bain.
Délassée, plus fraiche qu'à l'arrivée, repue par un bon repas sans qu'il soit non plus trop copieux, elle gagna le lit et se colla à Ysa pour espérer sombrer dans un sommeil réparateur.
Elle le savait nerveux et sans doute était-ce une réaction normale. Elle même ne marierait pas son ainée avant quelques années, donc elle ignorait ce que cela faisait. Impossible de dormir quand l'autre fait des draps de la chiffonnade mais elle s'en moquait, ayant un rythme particulier avec la Prévôté qu'elle gérait.
Tendant sa main, elle effleura sa joue de ses doigts fins et lui souffla de se mettre sur le dos. Sitôt qu'il s'exécuta, elle prit place en bas de ses reins et apposa ses mains délicates et douces sur les épaules, entamant un massage apaisant. Du moins, s'évertuerait à ce que le but soit atteint. Il aurait une tronche à faire peur pour ce grand jour sinon.
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Melissandre_malemort

L'invitation que lui avait fait parvenir Cassandre avait été à la fois une grande surprise et un immense bonheur. En dépit de leur courte rencontre, la jolie blonde avait fait forte impression à Mélissandre et ce fut donc avec un plaisir sincère qu'elle avait prit la route pour rejoindre l'Eglise et les futurs époux.

Savoir Cassie enfin heureuse après le traitement que lui avait infligé Gailen était source de satisfaction pour la jeune fille qui n'avait guère revu son cousin depuis son départ de Limoges. La ville qui avait bercée son enfance avait petit à petit perdu de ses attraits, teintant chaque journée d'un vilain gout de cendre. Fureter de comté en comté pour y retrouver le sentiment d'avoir un foyer n'avait eu, pour l'heure, qu'un relatif succès. A quoi bon voyager quand la seule destination qui lui faisait envie se trouvait de l'autre coté d'une imprenable frontière?

Partagée entre le désir de faire honneur à son amie et celui de faire une apparition discrète, Méli était vêtue avec gout d'une robe bleue fort simple, le front ceint de sa couronne royale et accompagnée de trois suivantes triées sur le volet qui retenaient dans leurs mains sa longue traîne. Point de gardes cependant, sinon un Yvain discrètement installé à distance respectable.

Sur le parvis, la Malemort saute soudain de joie en reconnaissant la mère de la mariée et se jette dans ses bras, profondément heureuse de la revoir.

- Lucie, mes félicitations pour cet heureux jour.

Le nez baissé sur le ventre arrondit de son amie, elle hésite un instant, l'embrasse avec plus de tendresse encore et laisse à l'une de ses demoiselles de compagnie le soin de montrer son invitation.

http://img11.hostingpics.net/pics/730634MelissandredeMalemort.png

Point de cavalier, hélas. Le seul qui aurait pu la combler en remplissant ce rôle ne pouvait pas paraître en sa compagnie sans leur causer à tous deux de sérieux problèmes. Un peu attristée, elle glisse la pulpe de son pouce sur la bague qui orne son annulaire et adresse à chaque visage un sourire avant de se retrancher dans un silence timide.
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Vanduc

Colin avait reçu y a quelques temps déjà la proposition de devenir le témoin du futur marié. C'était avec un grand plaisir qu'il avait accepté.
Il était content pour lui mais également pour la mariée qu'il avait appris à connaitre à Orléans. Il formait un beau couple et des personnes remarquable.
Mais bon l'heure n'était pas à cela, Colin avait eu du mal à trouvé une personne avec qui venir, faut dire que depuis son départ de Gien et sa rupture avec Shalymar, Colin n'avait que trop peu fréquenté la gente féminine.
Cependant, une amie de longue date avait accepté de l'accompagner et il remerciait le bon dieu de cette heureuse nouvelle.
Après quelques jours de balade, le grand jour arrivait et là le drame.

Mais ou est ce foutu costume!!! Je l'avais pourtant bien mis dans les affaires. Raaaaa faut toujours que ce genre de chose m'arrive quand j'en ai besoin.

Colin tournait dans tout les sens cherchant dans les moindres recoins de la chambre. Il se tourna ensuite vers Marold.

Tu est bien sur qu'elle était là ?

Marold hocha la tête.

Oui tout à fait messire.

Il allait continuer quand il fut couper par un homme venant d'entré.

Excusez moi messire colin, nous avons retrouvé votre costume, il s'était perdu dans les bagages.

Puis ils lui tendirent le dit costume. Colin fut rassuré.

Ah, voilà qui est mieux.

L'homme hocha la tête et disparu.

Marold se tourna vers Colin.

Autre chose?

Non ce sera tout Marold, vous pouvez y aller.

Puis Marold pris congé laissant Colin seul dans la chambre d'auberge. Il avait encore deux trois choses à régler avant de rejoindre Eli.

Fred109

[Quelques semaines auparavent ( chinois...facile]]

Alors qu'il était de quart dans le nid d'aigle, tout en haut du Hunier, Fred vit s'approcher un drôle d'oiseau, un genre de mouette mais plus noir et avec un gros bec...étrange volatile se dit-il...Mais à sa surprise, l'oiseau vint se poser sur le bord de la vigie et le regarda fixement...
Fred s'aperçut alors qu'il avait à sa patte un message...Il approcha sa main, mais l'oiseau le piqua de son bec...plusieurs tentatives échouèrent...Fred alors, fouilla dans son sac et en sortie un poisson qu'il avait pêché la veille...Il le tendit au volatile acariâtre qui se laissa approcher...Fred prit donc le message après un combat de haute lutte...et à son grand étonnement, lut l'invitation au mariage de son amie Edward et de Cassie, qu'il avait connut jadis au bureau des mines...Il se pencha et héla Eulalie qui frottait le pont...

Eulalie, ma tendre promise, sort tes plus beaux atours, nous sommes invités au mariage d'un ami..

Elle le regardait mais ne comprenait pas le discours, Fred mit ses mains en porte-voix et cria de toutes ses forces

Nous sommes inviter au mariage d'un ami!!

Elle faisait signe de la tête...Lui s'époumonait en vain...Fred ne pouvait pas quitter son poste...Il lui fit signe de la main...genre "attends"....

Il saisit son coutelas attacha le velin au manche et le laissa tomber aux pieds d'Eulalie, où il vint se ficher profondément dans le bois...Fred sourit intérieurement, il n'avait pas perdu la main...Eulalie fronça les sourcils devant ce geste dangereux puis sourit à Fred, elle savait bien qu'il était adroit...Elle saisit le parchemin, le lut et se mit à sautiller de joie....

Fred tout en haut du mat souriait de la voir faire....Il était heureux...Heureux de son bonheur...

Eulalie51

[le jour J]

Ils étaient arrivés la vieille du grand jour, non sans encombre, Eulalie était heureuse de rencontrer enfin des amis de son promis même si elle se doutait qu'elle ne connaitrait personne... Alors qu'ils étaient allongés l'un contre l'autre à parler du mariage, il se rendirent compte qu'ils avaient oublié LE cadeau... Donc, après une courte nuit, ben vi, ça la tracassait de venir les mains vide, elle se prépara non en hâte car elle se voulait belle pour tenir le bras de son promis... Elle admira le travail devant le miroir...

Puis tout naturellement elle se tourna vers son promis et le réveilla en le secouant...

Tu m'trouves comment ???

Elle tourna sur elle même toute fiérote d'elle même et n'attendit pas la réponse de Fred qu'elle lui dit...

Bon pendant que tu te prépares, j'file sur le marché à la quête d'un cadeau, on s'retrouve devant le parvis de l'église et ne soit pas en retard...
Ahhh, n'oublie pas de prendre l'invitation avec toi !!!

Elle l'embrassa puis fila tel le vent en laissant son délicat parfum flotter dans l'air...

Lulue

Au bras de Gaël, les filles encore sages, la petite famille devenue discrète ne tarde pas à rejoindre les quelques marches à franchir pour se retrouver sur le parvis. Puis les futurs époux avaient décidés de trier les invités sur le volet, la Brune savait qu'il fallait montrer patte blanche. Pour cela, elle allait demander à son Brun s'il avait le carton lorsqu'un petit bout de femme la percuta.

Il n'y avait que deux adultes qui se permettaient ce genre de familiarité sans s'en prendre une. Cassandre et Mélissandre. Le Chevalier sourit et déposa un baiser sur le front de la jeune femme, la serrant un instant.

Le bon jour vous va, Princesse. C'est un jour heureux effectivement, mais qui me met un coup quand même.

Les ébènes détaillèrent le visage de la jeune Malemort, se souvenant de la tête affreuse qu'elle avait à leur dernière rencontre.

Vous voilà avec une meilleure mine et bien élégante. J'en suis ravie... même si vous avez quitté Limoges comme une voleuse.

Un clin d'oeil ponctua sa phrase avant de scruter les personnes déjà présentes.

Avant de rejoindre Cassandre, voulez-vous que je vous présente son parrain et sa marraine ?

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Ysaoth

[Putain de nuit à l'Auberge...]

La nuit avait été épouvantable. Il s'était posé un tas de questions, pas toutes pertinente et pas toutes sensées. Puis il avait trouvé un sommeil léger qui suffirait certainement a tenir la journée. Il se réveilla bien avant le soleil...il avait peut être dormi deux, trois heures. Il se leva et pris le temps de boire de grande choppes d'eau. Les questions multiples de la nuits concernant Cassie, son avenir, son futur époux, leur avenir, son statut à lui vis à vis d'elle, bien qu'elle avait toujours été claire sur la dénomination de "papounet" la gamine...erf... "Ysa, c'est plus une gamine...tu vas la marier mon coco. Aujourd'hui elle passe devant l’hôtel et va échanger ses vœux de mariage devant le Très Haut...c'est plus une gamine. Que ce soit immédiatement clair."

Il se passa plusieurs heures avant que Sun ne se lève. Il s'était plongé dans la lecture de quelques parchemins qu'il avait amené pour la circonstance au début, histoire justement de patienter et d'avancer maigrement sur quelques projets en cour malgré ce déplacement qui n'était pas négociable. Normalement la lecture aurait dû servir a chasser les idées qui s'étaient mises a se heurter les unes contre les autres et foutre le bordel dans la tête. Mais non. Alors il lâcha les parchemins et se posa sur le rebord de la fenêtre ouverte, profitant de l'air frais de la nuit et du levé progressif du soleil.

Elle était levée et la blonde semblait reposée. Elle avait dormi du sommeil du juste. Il fallait maintenant se préparer.

[Direction l'inéluctable; cette chose qui te fait soudainement comprendre que tu es vieux et qu'il n'y a rien à faire.]

Le couple était fin prêt. Sun s'était vêtue avec beaucoup de goût, comme a son habitude et certainement comme toutes les Dames qui seraient présentes à ce mariage, mais pour le coup, Ysa avait du mal à imaginer qu'une seule d'entre elle arrive a égaler sa fille en robe de mariée. Cassie était devenue une femme magnifique. Enfin pour le coup c'était pas grâce a lui qui n'avait fait que contribuer à son éducation lorsqu'elle était petite.
Tandis qu'il avançait, son épouse à son bras, il avait un air de musique qui lui trottait dans la tête, une mélodie jouée a la cithare qu'on jouait souvent pendant les mariage. L'auberge n'était pas si loin que ça de l'Eglise dont il aperçois le parvis et y remarque immédiatement la présence de Lucie au centre accueillant en mère fière au bras de son époux les invités à la célébration. Il sorti l'invitation de sa poche, des fois que, et se plaça avec Sun juste derrière la Princesse qu'il avait eu l'occasion de rencontrer au Couronnement de sa Majestée la Reyne de France, et dont il avait plus amplement entendu parlé a quelques occasions. Un léger sourire étire ses lèvre et il s'incline pour saluer tout le monde et note alors qu'il se redresse, la présence des jumelles dans les bras de celui qu'il détermine comme pouvant être l'époux de Lucie dont Cassandre lui avait parlé. Un instant il les regarde, les dévisage, souligne le moindre de leur trait, l’œil noir pénétrant. Une profonde inspiration. Ces quelques secondes, deux trois, pas plus, lui paraissaient des années. Des années a récupérer, a découvrir les traits de leur visage, d'encaisser un poil l'émotion qui cherchait a dissimuler sous la barbe bien taillé et grisonnante qui lui masquait une bonne partie de son visage. Puis il se concentra sur Lucie.

Tu es radieuse, Lucie. Je suis heureux qu'on se retrouve pour cette circonstance. Messire, dit il a l'attention de l'homme se tenant aux côté de la Reyne mère d'un jour, ravi de faire votre connaissance.

Il sourit notant l’arrondi du ventre de LucieUn léger car de tour à l'attention de la Princesse, qu'elle n'aille pas croire qu'il était en train de lui manquer de respect.

Votre Altesse royale, ravi de vous revoir également, bien que notre seule rencontre fut brève.

Il était alors temps de montrer l'invitation qu'il tendit a Lucie.
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Virgile_rollon

Beau mariage en perspective.........

Islington

[Entre Blois et l'Eglise]

Le Blésois s'accorda avec un plaisir non dissimulé, une pause dans la vie trépidante de la Cde.

Il allait avec son épouse, pendant cette belle journée de Juin, s'associer au bonheur d'Edward et de Cassandre.

Tous deux appréciaient le jeune couple et être invités à leur mariage, était un grand honneur.

Isly regarda son épouse sur son cheval favori tout près de lui.

Un bon coup d'éperons et sa jument Gépéesse accéléra l'allure et le Blésois prit quelques toises d'avance sur son épouse.

Toujours l'esprit de compétition.....
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Melissandre_malemort

- Je vous expliquerais Lucie. Je crois que je suis vouée à faire des bétises ! Et je serais ravie de rencontrer ces personnes.

Mélissandre rit de bon coeur, le nez dans les cheveux de son amie. Une amie, une tante, une presque mère non avouée... Qu'aurait elle fait sans ses tendres attentions, plus jeune? Discrètement, la main se pose sur le ventre rond puis elle s'écarte pour laisser un homme s'adresser à la future belle mère.

Se souvenant de lui et de la connotation poétique de son prénom, elle répond à ses saluts avec Grâce.

- Le bonjour Messire Ysaoth. Vous êtes fort élégant.
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Lulue

Le sourcil droit s'arqua à la réponse de la Princesse. Qu'avait-elle été encore inventer ? Lucie sourit, presque impatiente de savoir les dernières aventures Royales. Elle espérait toutefois en silence que Melissandre savait prendre soin d'elle. Se laisser porter par la vie et la folie était enivrant et nécessaire, mais il fallait aussi savoir se protéger pour éviter de perdre trop de plumes. Et sur ce dernier point, l’inquiétude était présente.

J'ai hâte de connaître les tenants et aboutissants. J'hésite malgré tout à vous tirer les oreilles.

L'air mutin sur son minois ne laissait pas de place au doute sur la taquinerie. C'est à peu près à ce moment qu'une voix masculine qu'elle avait entendu durant des années percuta son ouïe. L'espace d'un instant, son souffle se coupa. Ysaoth. La Brune savait le rôle qu'il jouait pour sa fille et celui qu'il devrait exécuter pour le mariage et elle était heureuse que des liens subsistent entre eux. Mais là, d'un coup, elle se rendit compte qu'il allait redécouvrir leurs jumelles.

Depuis combien de temps n'avait-il pas vu les filles ? Lucie ne pourrait le dire avec exactitude. Lors de leur séparation, elle avait estimé qu'il était mieux pour tout le monde qu'ils fassent leur vie chacun de leur côté, bien qu'il restera toujours celui qui lui a permis de prendre un nouveau tournant sur un pan non négligeable de sa vie. Sybille et Ariane n'étaient pas ignorantes de qui était leur père. On ne confond pas les rôles avec celui qui partage sa vie désormais et qui les élèves.

Je suis ravie aussi de te revoir Ysaoth.

Puis regardant son épouse.

Le bon jour Sunbrun. J'espère que vous avez fait bon voyage.

A tous les deux.

D'après Cassandre, j'ai loupé quelques naissances alors mes félicitations pour l'agrandissement de la famille. Et je ne crois pas que vous connaissiez Gaël, mon compagnon depuis quelques années maintenant.

Elle sourit puis se penche un court instant vers l'Auvergnat.

Si tu veux profiter de la journée pour rattraper un peu de temps avec les filles...

La phrase restera en suspend car il était temps de se redresser et de reporter son attention sur Melissandre après que l'invitation tendue par Ysaoth soit prise par Lucie.

Ysaoth est le père adoptif de Cassandre.

Petite précision qui a son importance dans ce tableau familial qui semblait être un joyeux bordel vue de l'extérieur. Enfin, la Brune se tourna sur la gauche pour pouvoir avancer de quelques pas, laissant qui voudrait la suivre en plus de la jeune Limougeaude. Ils rejoignirent les personnes citées un peu plus tôt. Et on commencerait par l'Alençonnais, la Bourguignonne n'étant pas à vue.

Le bon jour Tomrone, Ma Sœur. Comment allez-vous ? Permettez moi de vous présenter Son Altesse Royale Melissandre de Malemort, qui s'est prise d'affection pour Cassandre et inversement.

Il était fort à parier que si on les laissait trop souvent dans la même pièce toutes les deux, autrui deviendrait vite chèvre.

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Edward

Le jeune fiancé fut réveillé par lui même peu avant l'aube, pour ne pas dire qu'il n'avait dormi que peu d'heures. Il avait éteint ses songes un long moment et c'est par malheur loin de sa Belle qu'ils resurgirent. "Par malheur" pas forcément puisque ses songes parfois beaucoup trop poussés, agaçaient promptement le jeune couple, donc c'était aussi les efforts que le jeune homme s'étaient promis de faire, contrôler sa manière de penser. Cependant, la nuit ne fut point propice à ce contrôle, la veille du grand saut qu'ils s'illusionnent comme le début des plus beaux jours de leur vie, une autre promesse qu'Edward s'était bien entendu faite, offrir à Cassie ces plus beaux jours mais aussi lui donner parfois du fil à retordre car comme une très proche amie des tourtereaux pouvait dire : "la perfection c'est chiant" mais le jeune homme allait s’efforcer de tout faire pour ne voir quotidiennement que le sourire de sa Cassie et surtout lui donner le temps nécessaire pour l'apparition de ce sourire notamment lorsque la tristesse sera.

Une fois les pieds sur le sol glacé de l'auberge où il avait passé cette nuit seule, Edward ne fit que marcher en regardant parfois sa tenue quelque peu... extérieur aux traditions que le mariage exigés. Une tension supplémentaire pour ce jour. Après de longues minutes à tournoyer dans sa chambre, le futur époux alla secouer son pupille dans la chambre voisine pour le réveiller et lui faire part de toutes ses craintes, doutes ou encore tous ses souhaits. Le jeune garçon était pour Edward un soutien nécessaire lorsqu'il était temps de remonter les bretelles au jeune homme et que sa fiancée n'était point dans la capacité de le faire.

Après de longues minutes de conversations strictement inutiles puisque celles-ci n'avaient abouti à rien, Maxence quitta l'auberge lorsque le clocher se fit entendre. Edward se retrouva alors seul dans ses songes à se mordre littéralement le bout de ses doigts, se forçant même à ne pas attaquer la peau. Le silence dura encore de longues minutes. Il se détacha alors de ses linges de nuit puis se rendit alors dans un manoir bourgeois de Verneuil dont il avait rencontré le propriétaire la veille pour qu'il puisse emprunter son baquet et ainsi commencer à se vêtir avant de se rendre à l'église.
Alors qu'il demeurait dans l'eau que les gens de maison des bourgeois avaient entretenu tièdement, Edward se vida de tous ses songes pour ne garder que le rêve pour ce jour. Il se souvint d'une seule et unique phrase que lui avait soufflé sa promise et qu'il ne pouvait oublier puisqu'elle est l'origine d'un nouveau but : "Rêve pour nous le temps que je retrouve ce que l'on m'a retiré". Le romantique du jeune couple, dans le fond du baquet, appuyé contre une parois s'évada dans le rêve, celui d'un avenir prospère, sincère, juste et aimant, un rêve pour lui déjà réel mais le rêve s'entretien et ne s'abandonne pas lorsque celui-ci s'impose dans la réalité.

La peau nourrie, le visage éclairci et les cheveux sains, c'est ainsi que le futur époux s'extirpa du baquet dans le plus simple appareil avant de se couvrir d'un linge pour laisser ce dernier saisir les gouttelettes d'eau qui n'ont pas chuté dans les mouvements du jeune homme. Une fois l'eau séparé de son corps, le jeune homme se débarrassa de ce linge pour finir à nouveau nu puis vint saisir sa tenue. Le jeune homme avait choisi la légèreté, le pouvoir, la pureté, l'amour et l'aventure. Une tenue qui pourrait faire penser aux marchands méditerranéens mais surtout une tenue qui avait une longue histoire pour sa famille. Le chlamydes qui recouvrait les épaules du fiancé jusqu'à ses genoux se portait généralement nu mais la pudeur du jeune homme et surtout parce qu'il s’agissait de son mariage et qu'il fallait apporter un brin de pureté il avait demander d'ajouter de la légèreté et douceur, il avait demandé de travailler avec du coton mais que ce coton se devait d'être parfaitement travaillé. Cependant, le travail du textile et surtout la légèreté de la tenue n'est point chose aisée à porter et les coutures ne pouvaient laisser le vent passer par dessous le coton. Ce semblant de grenouillère suivait parfaitement les formes du jeune homme et par chance le chlamydes dissimulait les parties masculines, le vent allait être le seul ennemie de la soie. Le dernier détail ajouté est bien sûr la broche de son père à son épaule gauche, au dessus de son cœur, à veiller sur son fils.

Une fois prêt, c'est anxieux que le jeune homme regarda le bout de ses chausses. Il avait longuement conversé avec son Aimée de leurs tenues et les images que Cassie avait dessiné par des mots n'étaient pas du tout semblables à ce que le résultat final donnait. C'est alors à cet instant que Edward ressentait exactement ce que Cassie ressentait depuis un mois. Mais là c'est surtout la panique qui le gagnait, car il n'avait plus le temps pour le détail et ne pouvait qu'assumer cela. Il avait arrangé ses cheveux humides de manière à se faire on ne peut plus présentable puis quitta le manoir de bourgeois pour se rendre à l'édifice religieux où le mariage allait avoir lieu et se présenter aux différents invités déjà présents.

C'est attentif à ce que les ruelles donnaient comme obstacles que le jeune homme traça lentement son chemin jusqu'à l'église où il y découvrit que peu de visage qu'il connaissait étaient présents ou bien des visages qu'il n'avait que malheureusement trop peu croisé. Remarquant la mère de Cassandre présenter un visage inconnu au parrain de sa promise et à l'officiante, le jeune homme n'alla point les bousculer pour le moment et offrit à son pupille un sourire presque coincé. Jusqu'à remarquer le "papounet" de Cassie et probablement sa compagne et s'approcher de ces deniers, avec un sourire sincère aux lèvres, mais ne voulant point faire de boulettes, il resta sur une chausse pour ne pas déposer les deux pieds dans le plat alors qu'il est dans l'incertitude.

Votre Grâce, ma dame, mes hommages. Veillez à me pardonner si courbette il n'y a mais mes obligations d'ordre esthétiques et surtout pudiques m'ordonnent de ne point trop abuser du textile que je porte au risque d'avoir les pans sur la tête au simple coup de vent.

Tomrone

Le soleil était de plus en plus rayonnant, et attendant sagement sur le parvis à discuter avec Etoiles, il aperçut le monde arriver doucement, mais surement.

Il venait d’apercevoir au loin le papa de Cassandre qu'il ne connaissait en fait que très peu encore et qu'il prendrait le temps de saluer au moment présent.

Un instant plus tard, il aperçut cette fois-ci, la maman de Cassandre, la famille était donc réunie. Celle-ci s’approcha de lui avec une Dame qu'il ne connaissait pas encore. Mais quand Lucie le salua et lui présenta celle qui l’accompagnée, il pouvait donner un nom au visage et ce nom, lui parla bien plus.

Bonjour Lucie, ravi de vous revoir en ce jour si magnifique. Je vais bien, je vous remercie, j'espère qu'il en est de même pour vous.

Et de saluer son Altesse Royale en s'inclinant comme il se doit devant elle.

Mes respects, votre Altesse Royale. C'est un plaisir et un honneur de vous rencontrer.

Un petit sourire timide, avant au loin d’apercevoir le marié du jour arriver.
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Catsat

Sur la route chaotique, dans un carrosse rebondissant mené tambour battant, par un coché ivre de tiques.....

Ca y est, le jour J est enfin arrivé!
Jour de liesse pour leurs amis.

Edward et Cassie allaient convoler en juste noce et Catherine fut des plus heureuses et surtout honorée d'avoir reçu l'invitation leur permettant, à son amour d'époux et elle d'assister à leur mariage.

Elle avait enfilé sa Robe et regardait son époux si beau dans ses habits et leur princesse.

Elle avait tout prit, sans oublié le précieux sésame, l'invitation.
Pour le voyage, Catherine avait fait venir un carrosse.
Il était hors de question qu'ils arrivent dans un vulgaire chariot, noblesse oblige, même si Ed et Cassie étaient des plus simples et que c'était toujours cela qui avait plu à la féline.

Elle regardait le paysage défilé, sa main glissé dans celle de son époux, lui laissant tenir Dairine, riant, lorsque passant sur les routes chaotique ils sautillaient sur leurs banquette.

Elle profita d'une accalmie, pour embrasser son époux amoureusement , avant d'être séparé par une nouvelle bosse sur la route.

Misèree, elle devra dire au coché de faire attention, à ce train là elle accoucherait plus tôt et sur la route..

Elle dit gaiement à son époux.

Amourrr!!!
Si ce coché persiste à prendre les bosses et les trous, tu vas finir par devoir accouché ton épouse....!

Elle riait tout en s'accrochant au bras de son époux...

Quelques heures plus tard, et après pas mal de secousses, la transformant presque en milk shake, ils arrivèrent enfin au lieu dit, devant l'église.

Cat, laissa son époux descendre en premier, afin de l'aider à son tour, lui tendant la main, Catherine la lui prit et, c'est, chancelante, comme plongée dans une ivresse douce qu'elle s'extirpa de ce fichu carrosse.

Il eut été préférable qu'elle vienne dans son simple chariot, au moins, elle aurait pu guider elle même l'attelage et, de la sorte, éviter les nids de poules et autres déformations qui faisait de cette route un voyage au coeur des trous et des bosses, les faisant bondir à tout vas.

La brune réajusta sa coiffe, défroissa sa robe, et respira longuement , afin de faire taire le haut le coeur qui se préparait à remonter à la surface.

Elle renvoya le coché, sourit à son époux, et ne résista pas à se mettre sur la pointe de ses pieds et lui volé un baiser tout en lui disant gaiement...

Nous allons devoir nous retenir amour!
Regarde tout ces gens....! On dirait que toute la noblesse est là....Es tu prêt amour?

Catherine lui sourit largement, ses azurs ambrés brillaient d'amour en lui parlant, et caressant la joue de la petite, lui déposa un long baiser sur le front et prenant le bras de son époux.

Arrivant au devant de l'église, elle était perdue, ne connaissant personne, aussi, elle avança vers un jeune homme qui tenait les invitations, il devait être Maxence et le salua!

Bonjour Messire! Voici mon sésame pour assisté à cet évènement...

Elle lui sourit largement et lui tendit le fameux sésame et regardait autour d'elle, légèrement mal à l'aise en voyant toutes cette noblesse qui était là.....

http://img11.hostingpics.net/pics/999554CatsatetHugon.png

--Maxence

Le garçon, toujours assis sur la table qu'il avait installé vit approcher une petite famille dont le visage n'était pas inconnu mais dont le nom lui l'était. Il reconnut à la main de la femme l'invitation et en somme ne prit point la peine de se déplacer pour les rediriger. Il laissa la petite famille s'approcher de lui et les accueillit d'un large sourire, le "patron" était là, il fallait bien faire ses preuves.

Bien le bonjour à vous, mais par pitié, pas de "messire", Maxence suffira.

Il saisit l'invitation tendue par Cat et se mit à la lire pour mettre un nom aux visages.

Bienvenue à vous Cat et Hugon et très certainement votre fille.

Il remarqua sur le visage de Cat le mal-être et lorsqu'il vint suivre la direction des regards, la perspicacité du garçon lui fit vivement comprendre d'où ce mal-être tirait son origine. Se voulant rassurant, il regarda Catsat.

Nul besoin de se forcer à s'abaisser plus bas que terre pour quelques titres vous savez. Le respect mutuel et égal c'est ce que prône les futurs mariés et ils n'hésiteront pas à mettre dehors ceux qui osent passer outre leur souhait. Mais de ce que je sais de la noblesse présente en fonction de ce qu'ils'ont pu m'en dire, ils sont adorables.

Le garçon ponctua sa phrase d'un sourire puis commençant les présentations du regard.

Là-bas, où il y a Ed, c'est le père adoptif de Cassandre et à côté sa compagne et ses enfants.

Il balaya son regard pour poursuivre bien que le reste était essentiellement proche de lui.

Ici, il y a la maman de Cassie, son compagnon, une amie de Cassandre, l'officiante et son parrain, ce dernier que vous avez certainement déjà croisé en Orléans, et dans l'édifice il y a la marraine de la mariée.

Il reposa son regard sur la petite famille.

Je vous passe les titres car moi-même ne les connait pas forcément tous.

Alienor28

Il faisait beau et son époux et elle chevauchaient vers l'église où devait se dérouler le mariage d'Edward et Cassie.

Isli comme à son habitude se mit à accélérer, la laissant sur place et elle sourit. Partir et oublier les soucis, elle en avait besoin et lui aussi. Cette petite cavalcade, tous les deux leur ferait le plus grand bien. Elle éperonna sa monture et le rejoignit aux portes.

Elle descendit de cheval et le regarda en ronchonnant.

Dis donc mon époux on fait des folies ce jour avec sa monture !
Vous auriez pu vous tuer !

Elle l'embrassa cependant, ne pouvant se fâcher bien longtemps avec lui.

Etoiles

Etoiles avait rejoint l’autel, un instant elle regarda tout ce beau monde qui prenait son temps et discutait a voix plus ou moins basses, ses yeux se posèrent sur son parrain un instant il semblait piquer un peu du nez elle lui sourit.

Elle s’éclaircie légèrement la voix et parla fort pour que tout le monde entende

Mes amis chers fidèles nous sommes réunis en ce jour dans ce lieu saint pour célébrer un grand événement, Edward et Cassandre ont décidés d'unir leur vie et leur amour devant le Très Haut

Que les mariés s'approchent avec leurs témoins.
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Fred109

[Le matin du jour J ou à peu près..vers 14h00 du matin pour fred]

Fred entrouvrit les yeux, ébloui par le soleil qui dardait ses rayons à travers les persiennes…
Ebloui aussi par Eulalie virevoltante dans sa belle robe do,t les courbes étaient dévoilées par le contre-jour…Il se leva, mais elle s’était déjà éclipsée…
Il décida de faire sa toilette et de se préparer, le baquet d’eau chaude était encore fumant…
Il s’y coula délicatement pour ne rien faire déborder …L’odeur du parfum de sa douce l’envahit…
Il ferma les yeux …revoyant en songe ses courbes délicieuses…

Il trempa un moment puis s’activa soudain pour se frotter avec la saponaire,
Se décrassa de ses longues heures de vigie, il sentait un peu la marée à force…
Il décida de se parfumer, s’habilla avec la tenue qu’il avait emportée..
Il se regarda dans la glace dont le tain était un peu taché…

Il avait bien changé, son teint était devenu mat, il était buriné par les embruns…
Mais cela faisait ressortir la blancheur de son sourire…
Pas trop mal se dit-il….Il se sentait beau.
Il espérait que ses amis le reconnaîtraient…Et qu’Eulalie serait fière de lui.

[arrivée à l’église]

C’est au bras de sa belle qu’il tendit le parchemin au jeune homme…

Bonjour, nous sommes en retard, mais nous arrivons de si loin…cela a déjà commencer??
Y a-t’il déjà du monde ?

Sans attendre la réponse, il entraîna Eulalie dans l’église…
Il reconnut Edward et s’avança pour le prendre dans ses bras…
Cassie était plus belle que dans son souvenir…Il la complimenta sur sa robe…
Colin était là aussi et Tom !!! il se sentait bien et heureux…
Il les prit dans ses bras comme un enfant qui retrouve ses amis de jeux
après de longues vacances…

Bonjour mes ami( e)s !!!
Quelle belle journée !! Quelle joie de vous retrouver !!
Permettez-moi de vous présenter ma promise, Eulalie !
Celle qui me comble de bonheur depuis de longs mois..

Il prît la main d’Eulalie et la présenta à chacun avec une certaine fierté….

Mais trêve de bavardage, nous sommes ici, pour partager le bonheur d’Edward et de Cassie.[/i]
I[i]l enroula son bras autour de la taille d’Eulalie et ils allèrent saluer les autres personnes présentes, qu’ils ne connaissaient pas vraiment.
S'arrêtant plus longuement devant la Soeur qui allait officier...

Mes respectueux hommages ma sœur...Pardonnez moi cette intrusion tardive, nous venons de très loin...
Que le Très-haut vous prodigue ses bienfaits, comme vous prodiguer le bonheur de mes amis.

Il ploya le genoux et baissa la tête en signe d'obédience à la grande famille des Aristotéliciens.

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Actarusia

Acta entendit des voix et fut ravie de voir un visage familier qu'elle n'avait pas revue depuis un moment, celui de Lucie.

Voyant son regard posé sur elle, Acta s'avança vers elle et au moment où elle s'approchait, reconnut le parrain qu'elle avait croisé lors du baptême de Cassandre...

Elle leur adressa un sourire chaleureux :

Bonjour Lucie, ravie de vous revoir ! Le grand jour est enfin arrivé. Puis se tournant vers le parrain : décidément, nous nous croisons pour de grandes occasions...

C'est alors que Lucie leur présenta une dame et lorsqu'Acta comprit de qui il s'agissait, elle essaya de ne pas commettre d'impair et de la saluer au mieux :

Votre Altesse Royale, vous me voyez ravie de faire votre connaissance.

Un jeune homme apparut au loin dont l'élégance laissa supposer qu'il s'agissait du marié.

Les uns discutaient tandis que d'autres arrivaient encore... C'est dans cette liesse que l'officiante rejoignit l'autel et invita les futurs mariés et leurs temoins à s'approcher...
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Eulalie51

Fred avait mit sa tenue d'apparat pour l'occasion, qu'il était beau dans ses vêtements, ça le changeait... Eulalie était fière de se tenir à son bras quand tout à coup elle eut l'impression de ne pas le reconnaitre... lui qui était si posé d'ordinaire on aurait dit un enfant qui retrouve ses camarades de classe après les vacances scolaires...
Eulalie esquissa un sourire quand il la présenta à ses amis mais pas l'temps de prendre la parole qu'il l'entrainait vers des visages inconnus avant que sa course ne se termine devant l'officiante qui venait d'annoncer le mariage d'Edward et Cassandre.
Fred ploya un genou à terre du coup, Eulalie prit la même pose, elle n'allait tout de même pas rester debout à ses côtés, cela ne se faisait point dans un lieu saint surtout qu'elle aussi faisait partie de la grande famille aristotélicienne...

Ysaoth

Il avait répondu a Lucie d'un signe de tête concernant sa charmante attention vis à vis du temps a passer avec ses filles, marquant le fait qu'il allait bien en profiter mais après avoir accordé toute l'attention qu'elle mérite a sa grande. Il pris prenant le temps également de se présenter au fameux Gaël dont sa fille lui avait tant parlé.
Puis la Princesse qui lui sort ce à quoi il ne s'attendait pas et relève naturellement.

Élégant? Par Aristote, je ne m'attendait pas a ce qu'on me sorte que je suis élégant en plein milieux de Dames et de Demoiselles qui rivalisent toutes de beautés. Mais bon, j'avoue avoir fait un petit effort pour le jour consacré à ma fille, et je vous remercie d'avoir l'infinie gentillesse de faire l'effort à votre tour de le remarquer.

Il sourit puis laisse Lucie continuer les présentation car, rapidement, il est attiré par une voix qu'il connait. Il se tourne et sourit.

Ha, le voila! L'homme qui ose me dérober ma fille!

se tourne vers Sun

Ma chère petite blonde, je te présente Edward, mon futur gendre, l'homme qui a intérêt a partir de dans quelques heures a se tenir a carreau sous couvert de s'en retrouver avec une poignée enfoncé dans les miches s'il se comporte comme un marsouin envers ma fille. Forte heureusement, et sinon nous n'en serions pas là aujourd’hui' hui, le gaillard à l'air plutôt commode et ma fille à l'air de l'aimer. Et sa mère et moi même ayant essayé de l'élever de manière à lui donner un peu de gout, j'ose espéré qu'elle a un jugement fiable. Je lui fait en tout cas confiance.

Il rit de sa grosse voix puis s'incline devant le dit gendre.

Mon cher Edward, je vous présente mon épouse, Dame Sunburn. J'espère que vous allez bien. Vous ne pouvez pas savoir, malgré mon introduction calamiteuse, comme cela me fait plaisir d'être là aujourd'hui.

Il lui posa la main sur l'épaule, signe un peu plus familier et chaleureux qui laisse entendre qu'il apprécie le jeune homme.
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Crysis

Crysis etait en route a ccompagner de sa Sénegonde le jour J pour le mariages de Edward, "grand chef" comme il aimai l'appeler et de Cassie.
ce surnom etait apparu quand il était chef de port dans la capitale orléannaise.
la route etait longues, ils arrivairent enfin sur les lieux.
ils louerent une petite chambre a l'auberge histoire de faire un brin de toilette et de ce changer car la route avait plutôt apporter pas mal de poussière sur les habits.
une fois tout beau tout propre il demanda l'avis a sa belle

alors sa va je suis présentable pour une fois?
les minutes passairent et sené n'était oujour pas prete, les femmes fallai vraiment si prendre a l'avance pour qu'elles ce prepare
dépeche toi mon poussin on va etre en retard

Etoiles

Citation:

Mes respectueux hommages ma sœur...Pardonnez moi cette intrusion tardive, nous venons de très loin...
Que le Très-haut vous prodigue ses bienfaits, comme vous prodiguer le bonheur de mes amis.

Etoile sourit à l'homme

je comprends vous n'avez encore rien loupé installez vous vite
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Sunburn

[Auberge]

Dépitée par sa totale impuissance à prodiguer un massage apaisant sur les muscles noués, elle avait vite délaissé le but qu'elle avait voulu s'efforcer d'atteindre et silencieusement, s'était levée alors qu'il se remettait à tourner et virer dans les draps. Gagnant la pièce attenante, les pieds nus, elle s'était saisie d'un fruit pour mordre durement dedans. La tension qu'Ysa avait se communiquait à elle alors qu'elle n'en était pas dépourvue non plus mais la cause n'était que le travail. Le fruit achevé, se désaltéra avant de regagner le lit, constatant qu'il ne dormait pas. La nuit serait longue.

La Blonde s'éveilla bien plus tard que lui, habituée à un rythme bien particulier ou elle se couchait lorsque le soleil se levait, après ses gardes nocturnes. Baillant sans discrétion, elle s'étira longuement, pouvant pour une fois paresser un peu au lit, chose qu'elle ne s'octroyait que peu depuis près de cinq mois. S'extirpant de la couche, encore un peu ensommeillée, elle traina les pieds jusqu'à lui et l'enlaça avec douceur tout en l'embrassant avec tendresse. Un rapide déjeuner pour combler sa faim et elle se glissa dans un bain, achevant de se réveiller et de se délasser. Le corps séché après la sortie de la cuve, friction méticuleuse de sa longue chevelure.
Il était temps de revêtir la tenue choisie, qui excluait le rouge, teinte dédiée aux futures épousées.
Le bleu turquoise serait mis en avant car il s'agissait de la couleur dominante de la robe. Le buste comprimait les formes généreuses de la poitrine, le décolleté naturellement audacieux; dont les abords étaient d'un bleu foncé; tranchant sur la carnation pâle de sa peau. De fines arabesques blanches couraient sur l'étoffe soyeuse, ces dernières se retrouvant sur les manches longues, d'un turquoise transparent. Les jupons s'évasaient, les mêmes motifs se retrouvant sur ceux ci et la finition des bordures était de ce même bleu sombre.
La chevelure fut soigneusement tressée, départagée par plusieurs nattes qui trouvèrent refuge dans une maille délicate dont le bleu assombri mettrait en valeur la blondeur. La gorge s'orna d'une fine chaine d'argent et de son pendentif représentant la coquille de sa baronnie.
Un sourire naquit sur ses lèvres pulpeuses en constatant l'effet que la vêture soulevait sur son époux et l'oeil se teinta de malice et d'une lueur admirative pour la sienne, même si son époux était largement plus sobre là dessus.

[Parvis]

Les doigts fins délicatement enroulés sur son bras, elle calquait son pas au sien, bien qu'il n'aille pas à une allure trop rapide. D'être petite ne permettait pas de faire de grandes enjambées et les jupons bruissant contre ses jambes, bien que légers, alourdissaient naturellement la cadence mais on se fait à ces petits désavantages.
Les prunelles émeraudes englobèrent la scène tandis qu'ils se rapprochaient et elle se tint silencieuse, devinant l'émotion qui devait l'étreindre en découvrant les jumelles. Subtile pression des doigts sur son bras à ce moment là.
Un discret sourire en remarquant l'arrondi ventral de Lucie avant de s'exprimer à son tour.

Bonjour Lucie. Il me tardait la fin, je dois bien l'avouer mais il se sera bien passé.

Léger sourire mutin à la remarque effectuée.

Merci pour ces félicitations.
Messire Gaël, le bonjour.

Assorti d'une petite inclinaison de la tête. C'était court il est vrai.
Au quart de tour effectué par Ysa, elle dut lâcher son bras, ne s'y attendant pas vraiment et salua peu après, s'inclinant légèrement.

Votre Altesse, le bonjour.

Des parfums floraux provenant de l'édifice vinrent chatouiller ses narines.
De se tourner à son tour pour voir le fameux gendre; dont la tenue était des plus originales; qu'elle n'avait encore jamais vu. De se mordiller légèrement la lèvre inférieure alors qu'elle assistait à une mise en garde dans les règles de l'art et elle se retenait d'en rire.

Messire Edward, le bonjour. Je pense que vous saurez habilement vous dépêtrer de ces petites menaces qui sont une mise en bouche. Ravie de vous rencontrer.

Ne prononçait jamais ces derniers mots face à un inconnu mais comme elle était une des invités, effort y avait été consenti. Discret sourire ponctuant le tout.
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Tomrone

Les salutations faites à Lucie et à son Altesse Royale, voilà que cela commença à se bousculer sur le parvis.

Il aperçut le mari, merveilleux et rayonnant pour le jour qui était le sien avec sa promise aujourd'hui.

Edward, mon ami ! Me voilà si heureux de te voir et d'être là pour ce grand jour.

Et se penchant vers lui doucement.

Pas trop stressé, l'ami ?

Il lui sourit.

Puis arriva Fred. Il y avait si longtemps qu'il ne l'avait pas vu. Il était rayonnant et encore plus au bras de celle qui avait l'air de partager sa vie et son bonheur.

Pris dans ses bras, Tom le serra légèrement.

Mon ami !! Voilà si longtemps que nous nous étions vus. Je suis vraiment content de te revoir, j'avoue. Tu m'as l'air en grande forme dit moi.

Puis laissant son regard sur celle qu'il avait présenté comme sa promise.

Dame, je suis enchanté de faire votre connaissance. Savez-vous que vous avez à votre bras, un homme merveilleux ?

Il lui sourit doucement avant cette fois-ci d’apercevoir la marraine de la mariée.

Oh bonjour Acta, je ne vous avez pas aperçu encore. C'est un plaisir de vous revoir et comme vous le dites, toujours pour de grandes occasions. J'espère en tout cas que vous vous portez pour le mieux.

Il lui sourit et trouva un petit coin sur le parvis en attendant la mariée.
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Nirina

Nirina arriva enfin ....elle était un peu perdue!
Que de monde ici !
Elle chercha Edward et Jeanne des yeux.
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Edward

Le futur marié se pétrifia aux propos de son futur "beau-papounet", chacun d'eux le rendant déjà plus raide qu'il ne l'était sur l'instant. Les opales plongé dans ceux de l'homme, il n'en broncha pas une et si il n'avait pas été plus à l'étroit dans ses toilettes, il aurait bien laissé la peur se transformer en liquide. Mais il pouvait se rassurer d'une certaine manière en allant s'interroger sur la peur de quoi puisque promesses il avait faite et allait faire devant nombreux témoins et que promesses il allait tenir. Mais ce sont bien sûr les derniers mots de l'ancien Duc Auvergnat qui rassurèrent le jeune homme et si les règles de la bien séance n'était point, il aurait soupiré longuement de soulagements sous la pression soudaine.

Le brun présenta alors son épouse et par respect certain et toujours par bien-séance, il lui saisit la main avec douceur et y déposa un baiser en inclinant légèrement le buste mais point davantage pour éviter quelconque coup de vent qui pourrait lui poser quelques désagréments même si il avait fait alourdir les coutures des pans de son chlamyde pour éviter la caresse taquine des brises.

Ma dame.

Ajouta-t-il à son geste en guise de salutation et de respect puis de poursuivre avant de se tourner vers le mari et lui sourire à son geste.

Je n'en ai pas le moindre doute, marier votre grande fille pour son plus grand bonheur n'est point tâche à faire grogner les loups bien que comme vous me le faites savoir, je vous dérobe votre fille.

La voix de Tom extirpa le jeune homme de la conversation avec les premiers convives, les premiers qui le firent trembler un court instant aussi. Il se tourna vers son Ami et parrain de sa promise et lui offrit un sourire des plus sincères.

Tu me vois également des plus heureux de ta savoir parmi nous en tant que parrain de la mariée et Ami du marié, que d'honneur pour cette homme. Puis il aurait été dommage que tu n'y participes point alors que nous ne sommes qu'à quelques pieds de ton toit.

Edward réceptionna d'une oreille le chuchotement et opina timidement du chef.

Bien sûr que si je le suis, je n'ai point vu Cassie depuis hier matin, alors que c'est la seule qui aurait pu me rassurer et m'arrêter de parcourir une bonne centaine de fois l'ensemble de l'auberge.

Puis, à peine le temps de tirer ses lèvres pour sourire à son Ami qu'un autre l'enferma dans ses bras, le jeune homme était surpris, mais il le reconnut aisément. Il resserra un court instant l'étreinte et tira son sourire cette fois-ci, ravi de le revoir depuis fort longtemps.

Mais quelle joie partagée mon Ami ! Et la bienvenue à vous Eulalie.

Il inclina doucement le buste et réserva à sa main le même châtiment qu'à celle de Sunburn.

Tom porta son regard sur une autre invitée qu'il ne connaissait point et le vit s'éloigner.

Veillez à me pardonner, le temps que je peux donner à tout le monde est assez restreint en début de cérémonie mais je réserverai tout le temps qu'il nous faut à la fin de celle-ci avec mon épouse.
Eulalie, Fred je vous présente le Baron Ysaoth et son épouse Sunburn, Ysaoth et le père adoptif de Cassandre. Baron, ma Dame, voici Fred, un Ami sincère pour moi-même et je suppose un homme adoré par notre Cassie, je vous laisser bien sûr faire connaissance et veillez une nouvelle fois à me pardonner.

Il leur sourit bien qu'un peu mal à l'aise de ne pas pouvoir donner à tout le monde le temps qu'il aimerait leur donner. Il s'approcha lentement de la femme pour se présenter à elle et de s'incliner très légèrement.

Mes hommages ma dame. Nos regards n'ont jamais du se croiser jusqu'à aujourd'hui et je suppose avec une quasi certitude que vous êtes une proche de ma chère et tendre Cassandre. Je suis Edward, l'heureux élu de la plus belle des fleurs.

Le jeune homme aperçu Nirina au loin, la nourrice de sa sœur et surtout la plus proche amie de son père que le jeune homme ne connaissait, plutôt que de planter cette femme qu'il venait de rencontrer, il sourit à Maxence et le guida du regard jusqu'à Niri pour qu'il puisse l'accueillir alors que la cérémonie était sur le point de commencer.

--Maxence

Le garçon réceptionna la demande d'Edward non sans difficulté de compréhension et regarda les invités présents devant lui.

Allez donc à la rencontre d'un peu tout le monde ou même allez enquiquiner le futur époux pour moi.

Le pupille sourit et sauta de la table pour s'approcher de Nirina qu'il reconnut aisément suite aux descriptions d'Edward et de Jeanne qu'ils ont pu lui faire. Même si il était quasi certain qu'il s'agissait bien d'elle, sa certitude se confronta aussi à la demande d'Edward. Son signe de tête voulait-il signifier de se charger de l’accueillir ou bien de l'expulser. Bien que le doute l'habitait, le jeune homme fit confiance à lui-même et se fit tout sourire pour accueillir la femme.

Bonjour. La maîtresse aux loups et fauconnier d'Artois, mais avant tout bien grande amie du père du marié est-ce bien ceci ?

Le garçon tenta de résumer en bref ce qu'avait pu lui dire Edward sur la femme et ce qu'elle était pour lui ou pour sa famille.

Melissandre_malemort

Mélissandre rit à la réponse du vicomte, charmée par ses manières. Elle incline ensuite la tête pour Tomrone et Sunburn.

- Messieurs, c'est pour moi un plaisir et un honneur que de rencontrer l'entourage de Cassie.

Épouser un homme par amour, sans aucune considération politique, sans trahison, sans orgueil blessé... Etait ce là une chance que la princesse pourrait un jour saisir au vol? Serait elle vouée à renoncer aux affres de la passion pour mener la vie monacale que souhaitait ses sœurs?

Plongée dans ses pensées, elle manque d'oublier de tendre au marié un écrin contenant un cabochon orné d'un saphir qu'il pourrait ensuite monter en bague ou en chaine. Une petite attention que Méli aimait avoir pour les futurs époux et qui était devenue, peu à peu, une tradition.

Elle se penche ensuite vers Lucie.

- La grossesse vous sied Lulue... Vous êtes rayonnante. Et Gael semble tout à fait comblé... Vous voir me réchauffe le coeur.
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Edward

Le jeune homme devant Actarusa regarda l'écrin bien qu'il était pris d'un sombre malaise de ne pas s'être présenté et de ne pas avoir eu le temps de saluer la maman et la femme qui lui fit cette offrande. Devant son malaise et l'angoisse, le jeune homme posa doucement une main sur l'omoplate de la femme et ouvrit son autre bras en direction des autres convives pour s'y approcher avec elle avant même qu'elle n'eut le temps de se présenter, il était temps de rentrer dans l'édifice mais le jeune homme ne pouvait se permettre d'y entrer sans se présenter à ceux qui étaient là à l'heure et qu'il ne connaissait point ou encore saluer ces amis de longues ou courtes dates.

Vous joindriez-vous à nous ?

Le futur marié n'avait point encore ouvert l'écrin offert et avança doucement pour laisser le temps à la femme de se présenter à lui avant d'atteindre les autres, puis il s'interrogea, et si cette femme n'était pas invitée et n'était qu'une amie locale de Tom. Olalala, le pauvre homme n'avait qu'à arriver plus tôt pour la peine.

Jeannecolleville

Les cloches sonnent, les invités se succèdent, les sourires sont de mises, tout ce beau monde se réunissait autour d'un seul et même événément pour célébrer la pureté et la sincérité d'un amour. Celui d'Edward et de sa douce Cassandre.
La petite demoiselle guidée par sa servante Anna s'approchait du lieu de célébration, il s'agissait de la soeur cadette du marié, elle avait fait le chemin depuis Montargis pour ce grand événement. Une petite fille à la chevelure blonde et aux traits enfantins qui entrait joyeusement dans l'église. Elle sautillait courant presque pour aller rejoindre son frère afin de le féliciter avant que la cérémonie ne commence, elle aperçut plusieurs visage qu'elle connaissait, dont celui de quelqu'un qu'elle connaissait bien, sa nourrice : Nirina.
Elle avait un peu de mal à courir avec sa robe qui n'était pas aussi souple et facile à manipuler contrairement à ce qu'on aurait pu imaginer.
Son éclat de rire d'enfant retentit, elle rejoignit joyeusement Nirina pour se jeter dans ses bras.

- Ca va être une très belle cérémonie...

Elle avait parlé tout doucement à l'attention de Nirina, elle sautillait sur place d'impatience et d'euphorie en attendant que la cérémonie ne débute. Elle attendait l'arrivée de la mariée comme l'ensemble des invités. Elle fit un petit signe de la main dans la direction de son frère avec un sourire des plus encourageants.

Heloise

Après un baptême, voilà qu'Alexis demandait à Héloïse de filer assurer la protection rapproché de son Altesse Royale lors d'un mariage. La jeune femme regarda le courrier amusé. Protection rapproché ca pouvait etre drole. Puis un soupir s'échappa, que de danger non vraiment la sa vie avait pris un tournant romanesque et chevaleresque, épique et dangereux assez étrange.

Elle secoua la tête dépitée et alla mettre de côté un petit coutelet plutôt bien affuté qui serait assez facile à glisser dans son décolleté. Puis elle prit soin de choisir une robe adapté. A priori le mariage n'avait rien de grandiloquant, il était même plutôt roturier. Cela ne servait donc à rien de faire claquer les fils d'or inutilement et c'était pas plus mal ca éviterait que quiconque remarque la présence d'une impérialiste au milieu des royalistes.

La tenue choisi, la jeune femme glissa comme prévu le coutelet dans le décolleté et pris la route du mariage.

Lorsqu'elle arriva, elle remarqua que son Altesse Royale était déjà intégré à un cercle de connaissance. Elle fronça les sourcils, comment montrer sa présence sans pour autant tout couper. La brune soupira, décidément elle était pas du tout habitué aux us et coutumes des roturiers, cela devait bien être l'un de ces rares défauts. Oui évidemment cette jeune femme froide, hautaine, noble et acariâtre voire associable n'avait aucun autre défaut c'était bien connu !

Elle opta pour la méthode je me ramène comme un cheveu sur la soupe et s'approcha doucement du groupe, se glissant près de Mélissandre, elle salua tout le monde d'un bref hochement de tête avant de se signaler auprès de son Altesse par un désagréable et très peu féminin raclement de gorge. Cela n'avait rien de conforme à l'étiquette mais flute elle se voyait mal plongé à terre sans qu'on la remarque ça l'aurait foutu mal un coup à rester dans la gadoue jsuqu'à la fin du mariage dans la cathédrale !

Lorsque la princesse royale posa son regard sur la brune. Elle effectua sa révérence puis au signal se repositionna. Maintenant il allait falloir gérer les autres invités. Enfin la brune avait l'habitude d'être prise pour une cinglée à ne pas ouvrir la bouche et à faire des révérences devant des têtes couronnés au dessus d'elle. Elle et la roture, ils ne se comprenaient que rarement et elle finissait souvent par être la risée de la taverne. Mais bon cela ne la gênait pas. Pourquoi leur en vouloir à leur ignorance ce n'est point leur faute s'ils n'ont reçu aucune éducation.
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Senegonde_de_caelius

ils étaient enfin arrivaient

Citation:

alors sa va je suis présentable pour une fois?
les minutes passairent et sené n'était oujour pas prete, les femmes fallai vraiment si prendre a l'avance pour qu'elles ce prepare
dépeche toi mon poussin on va etre en retard

Heuu oui, oui tu est impeccable!! a croqué mon ours!!

Quand a elle bah hein!! toutes ses toilettes étais sortie!!!!
Mince, mais quelle couleurs se dit-elle? Bon pas de blanc!!! Pas de noir!!! pas de jaune bien que je soit un soleil! Elle sourit s'amusant elle même. Hummm pas de bleu roooh bon bah du mmauve! Soite! du mauve!!
Elle replaça une dernière mèche de cheveux, mis sa coiffe réajusta sa belle tenue et se présenta a son ours, laissant derrière elle une chambre qui ressemblé plutôt a une foire au robes!

Bon je suis prête!!! rooh arrête de râlé et sourit moi! Tu n'a pas fini de m'attendre tu sais.

Elle lui sourit tendrement, avant de lui déposé un doux baisé. Hub!!!!!!?????
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Lulue

Un sourire à l'attention de Tom.

Je vais bien, je vous remercie. Et cela me fait plaisir également de vous revoir...

Une nouvelle phrase non achevée par un nouveau visage venait les saluer et pas des moindres pour sa fille.

Le bon jour vous va Actarusia. Je suis soulagée de constater de visu que vous avez pu arriver ici malgré l'agitation qui règne par chez vous.

Ca serait la seule allusion qu'elle ferait du conflit qui l'estomaquait, suite à quelques bévues qui la confortait dans le fait que, la France perdait de son éclat depuis quelques temps à cause de quelques orgueils mal placés.

La Monssygnac s'excusa ensuite afin d'avancer de quelques pas pour remettre les invitations à Maxence in extremis, car déjà il filait répondre à une exigence soufflée par le marié. Elle sourit ensuite au compliment de Melissandre.

Quelle vile flatteuse vous faites, Princesse. Mais vous avouerez que ce n'est plus de mon âge tout ça. Toutefois, Gaël mérite bien de connaître ce bonheur que d'être parent. Même si les enfants doivent signer un contrat qui stipule comment nous donner des cheveux blancs en 10 leçons. Et vous pouvez venir passer du temps avec nous autant qu'il vous plaira, vous le savez.

Un sourire maternel plus tard,= et un sourcil s'arqua soudainement à une nouvelle arrivée. La Lionne veillait à chaque mouvement des uns et des autres. Et Aristote savait ô combien elle pouvait avoir les crocs acérés parfois. Pour cette fois, la - je cite - "jeune femme froide, hautaine, noble et acariâtre voire associable qui n'avait aucun autre défaut", n'était pas inconnue du Chevalier de France. Elle serait donc clémente, n'oubliant pas d'utiliser son incontournable ton doux et des plus posés.

Et bien Damoiselle Héloïse, êtes-vous devenue muette pour qu'un bonjour ne franchisse point vos lèvres ?

Un sourire en coin pour ponctuer sa phrase. C'est d'ailleurs à ce moment d’inattention que le futur gendre embarqua l'Altesse Royale avec lui.
Norf ! Les jeunes avaient vraiment le don de filer comme des anguilles de nos jours.
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Crysis

Crysis attendais Séné qui restai la a sourire devant ces robes, il se posa dans un coin de la chamble et pris quelques seconde pour la contempler ce disans a lui meme, pour moi ta pas besoin de porter de robes, comme cela j'aime beaucoup egalement, et ce mis lui aussi a sourire dans son coin.

Citation:

Bon je suis prête!!! rooh arrête de râlé et sourit moi! Tu n'a pas fini de m'attendre tu sais.

Elle lui sourit tendrement, avant de lui déposé un doux baisé. Hub!!!!!!?????

il reponda a son doux baiser et lui tendit son bras
mon poussin allons y

il y avais déjà beaucoup de monde a l'entrée de l'église, personne de connu,
il s'avanca avec séné a l'entré de l'église, presentant le carton d'invitation

bonjour mon garçon, je suis Crysis, un ami des marié, enfin futur marié^^

http://img15.hostingpics.net/pics/489671CrysisetSngonde.png

c'est pire que de rentrer au chateau ici
il ce mis a rire plaisantant comme d'habitude

Nirina

Nirina était heureuse qu'on vienne l'accueillir , tant de monde lui faisait un peu peur ...pourtant elle en avait l'habitude quand elle officiait ,mais bon c'était différent cette fois! elle ne connaissait vraiment personne et son époux n'avait pas pu l'accompagner!
Elle sourit à l'homme qui s'avançait vers elle...

Merci Messire de venir à ma rencontre! je suis Nirina la nounou de Jeanne et une grande amie de la famille , je n'ai pas pu arriver plus tôt, je saluerai donc les mariés après la cérémonie, mais je ne pourrai rester très longtemps !.

Une petite demoiselle arriva en courant....
Jeanne oui c'était elle ! Nirina la reconnut tout de suite....
Elle faillit tomber à la renverse quand elle sauta dans ses bras, et éclata de rire en la réceptionnant !et tout en la bisouillant....
Ma puce que tu as donc grandi, tu es devenue une ravissante demoiselle dis donc!
Je suis si contente de te revoir!
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Melissandre_malemort

Un peu prise au dépourvue, Mélissandre hésite à s'agripper à Lucie pour ne pas se retrouver au milieu d'inconnu. Comme le voulait la tradition, Cassie serait la dernière a arriver - Eblouissante de beauté, évidemment - et il lui fallait en attendant trouver des pirouettes pour se montrer amicale sans pour autant faire preuve de familiarité.

Lorsque le futur marié pose la main sur son épaule, la princesse ouvre la bouche pour tenter de lui dire que c'était terriblement inconvenant et que d'aucun dirait que toucher une fille de France sans autorisation, c'est l'aller simple pour l'enfer lunaire ! Mi amusée mi traumatisée, elle voit en l'arrivée de sa Dame de Parage une occasion idéale de se soustraire au fiancé nerveux en lui épargnant des couinements.

- Héloise, ma chère. J''ignorais que vous connaissiez mon amie Lucie.

Elle regarde ensuite le futur marié et incline la tête pour se présenter vite et lui laisser gérer la horde d'invités désireuse de profiter de la présence des amoureux.

- Je suis Mélissandre de Malemort. Mes félicitations pour cette union à venir.

Pas certaine d'avoir compris le poste d'Edward, mes excuses si je suis à coté de la plaque !

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Heloise

La jeune femme ne voyait que la main outrageusement posé sur son Altesse Royale et sursauta en entendant son nom prononcé par une autre que Mélissandre.

Alors qu'elle se concentrait pour ne pas planter le coutelet sous la gorge de l'homme qu'elle ne connaissait pas, elle tourna son nez vers Dame Lulue. Elle fronça les sourcils et dû se concentrer un instant pour faire appel à sa mémoire.

Soudain elle se souvient ! Son enseignante de la chasse au faucon. Saint Louis... Mon Dieu les souvenirs affluèrent d'un coup et la brune eût besoin de toute son emprise pour refouler le souvenir de sa dépression, de son deuil maternelle, de sa détresse de l'époque. Une époque où sa mère venait de mourir et où son père vivait encore.

Elle effectua une rapide génuflexion.

- Maistre Lulue, je ne pensais pas vous croiser ici. Et toutes mes excuses pour ce silence malheureusement la bienséance me l'impose jusqu'à ce que ma maitresse m'y autorise en s'adressant à moi.

Elle jeta un coup d'oeil à Mélissandre et à cette main irrespectueuse puis compta dans sa tête. Combien de temps allait-elle mettre pour planter l'ambiance ?

Elle adressa un sourire rapide, le sourire ça permettait toujours de faire baisser la pression en présence de roturier, elle l'avait appris à ces dépends. Mais sa tension était à son maximum à cause de cette main et sa main dont les os venaient à peine de finir de se ressouder commençait à terriblement la chatouiller.

Elle se demanda si elle devait demander à cet homme de retirer sa main ou si elle devait patienter. Elle se dit que patienter serait peut-être mieux sinon on allait la laisser à la porte.
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Cassandre_

[Toujours dans le baquet]

Le dos appuyé sur la paroi, la blondinette ferme les yeux un instant. Les pensées s'embrouillent sous l'angoisse d'un pépin pour ce jour particulier et Cassie ne rêve que d'une chose, retrouver les bras d'Edward. Alors pour essayer de tromper sa nervosité, elle repensa à sa rencontre avec Edward. A cette impression la première fois qu'il fallait qu'elle se rapproche de lui avant de s'en éloigner quand certains traits de sa personnalité lui faisaient dangereusement penser à Gailen. Notamment sur sa capacité à prendre la mouche. Alors, la jeune femme lors d'une énième vexation, sans qu'elle comprenne pourquoi, avait décidé de baisser les bras, les cicatrices infligées en Limousin étant encore trop vives.

Quelques jours de silence et un pas du châtain vers elle suffirent à ce que la machine se remette en marche. L'Orléanais et la Limougeaude firent connaissance et quelque chose d’inattendu commença à s'installer. Le dénie fut la première réaction, jusqu'au départ de Cassie pour son Comté de résidence afin d'aller rechercher ses affaires. Soir après soir, alors qu'elle était avec ses amis autour du feu de camp, les mêmes phrases tournaient en boucle dans sa tête, entre deux missives quasi quotidiennes :

Dis-moi à quoi tu penses ? Comment vas-tu ? Vers où tu vas?
Dis-moi de tes silences, lesquels sont habités par moi?
Dis-moi sur quelle fréquence je peux entendre ta voix ?
Dans quel coin de l’absence, me rapprocher de toi ?
Dis-moi dans quel souvenir tu trouves un peu de paix ?
Dis-moi pour te maudire à quel point tu me hais ?

Il leur fallut finalement encore s’apprivoiser un peu avant que Cassie ne prenne son courage à deux mains et ose poser ses lèvres sur celles de celui qui est désormais son tendre. Un sourire naquit sur ses lèvres alors qu'Ambre se rappelait à son bon souvenir en frappant contre la porte pour la rappeler à l'ordre. Cassandre se dépêcha donc de finir de se laver et sortir afin d'enfiler sa robe. Elle se fit ensuite coiffer où elle demanda simplement un chignon. Elle contempla le résultat une dernière fois dans le psyché avant de prendre la direction de la sortie.

[Direction le parvis]

Sa mère arriva avec son fidèle destrier. Une jument espagnole d'un blanc immaculé. Lorsque Cassie la vit, elle se jeta dans ses bras et la serra.

Je suis heureuse de te revoir. Dis y'a du monde ? Haaan non ne me dis pas !

Sur ces derniers mots, la blonde monta en amazone sur le cheval et une fois installée, elle sentit encore plus son ventre se nouer au point de lui faire mal. Le trajet se fit par conséquent en silence. Son obsession était de rejoindre le plus vite possible l'église pour retrouver son fiancé, qui n'était plus qu'à quelques pas d'elle.

Le quadrupède s'arrêta face à un parvis désert ou presque. Si les invités étaient dans l'édifice religieux son parrain l'attendait à l'extérieur. Elle aurait voulu courir jusqu'à lui et lui sauter au cou. Sauf que si elle se loupait et se prenait les pieds dans sa robe, ça serait un trèèèèès gros moment de solitude. Alors elle alla le rejoindre tranquillement, évitant de regarder sa mère pour ne pas pleurer, trop de choses se bousculaient dans sa tête de blonde. Machinalement, elle prit son parrain dans ses bras, serrant ces derniers avec force autour de lui.
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Valeria053

[Sur la route]

Val attendait ce moment depuis bien longtemps, elle avait demander à adelinde de lui préparer ses malles et de partir devant avec tout son attirail elle voulait partir seule à cheval pour oublier le temps du voyage, cette tension et l'ambiance orléanaise.
Mais c'était sans compter sans son brave Honfroi Denledo qui n'avait point voulu la laisser partir seule et qui avait donc insisté pour l'escorter avec quelques hommes.
Elle avait donc fait seller Zgang son fidèle destrier, un des seuls hommes à avoir été fidèle avec elle.
Elle sourit à cette pensée mais une boule lui gagna la gorge en pensant aux quelques années avant où elle avait épousé le duc qui lui avait fait si mal.
Un mouvement de tête pour chasser ses idées noires et elle grimpa pour enfiler sa tenue de voyage, dans laquelle elle se sentait si à l'aise.

Une fois habillée, elle grimpa sur Zgang et pour rassurer Honfroi elle avait prit bouclier et épée au cas ou comme il disait

Elle prit donc la route cheveux au vent, oubliant le temps d'un mariage toutes les tensions.

Après plusieurs jours de voyage, les terres où se déroulerait le mariage pointèrent le bout de leurs paysages.
Elle retrouva Adelinde dans une très belle auberge, ou cette dernière avait déjà préparé sa tenue.
Elle était arrivée juste quelques instants avant le début de la cérémonie, sans plus tarder, elle plongea dans la baquet d'eau bien chaude pour éliminer la poussière du voyage. et se prélassa un peu fermant les yeux.
Puis Adelinde toujours elle vint la secouer, les cloches allaient sonner et elle devait se hâter.
Ni une ni deux elle sauta hors de l'eau se sécha et enfila la première tenue faite par son amie Klouska pour l'occasion.

elle prit la direction de l'église, chercha la mariée et le marié, c'était un grand jour pour ses protégés, elle aperçu son Ed et se dirigea vers lui.

Bonjour mon futur filleul, comment va mon Edounet ? et ta belle où est elle ? que je la rassure je suis là

la cérémonie allait commencer
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Hugon

[Sur la route]

Il était l'heure de prendre la route, son épouse avait prévu un cocher, et un beau petit carrosse, il la sentait un petit peu anxieuse à l'idée de passer la journée là-bas, sans doute à cause du fait qu'en dehors des tavernes et des villes Orléanaises, elle et lui ne sortaient pas beaucoup.

Hugon était honoré d'avoir reçu cette invitation, il la tenait fermement dans sa main comme si elle menaçait de s'envoler.

Aujourd'hui était jour de liesse pour leurs amis, et il désirait par dessus tout se rendre à l'évènement, ne serait-ce que par respect pour le nouveau couple, mais le mot d'ordre n'étant avant tout que plaisir.

Il avait passé une belle chemise (propre surtout ;-)) pour l'occasion et était déjà prêt depuis une bonne heure lorsque leur chauffeur fit son apparition, il détestait être en retard à un rendez-vous, mais cela tournait à l'obsession aujourd'hui !

Le mari portait leur fille Dairine dans ses bras, la distrayant pendant le voyage, afin que sa Cat puisse s'accorder un peu de repos.
Enfin repos, vu l'état de la route, on se demanderait presque pourquoi on paie des impôts !

Il embrassa son épouse avec tendresse lorsqu'une crevasse dans la route les renvoya chacun sur leur banquette.

- Amourrr!!!
Si ce coché persiste à prendre les bosses et les trous, tu vas finir par devoir accouché ton épouse....!

- Haa, mais ce ne sera jamais que la seconde fois !

Il plaisantait, heureux en pensant à ce qui les attendait à l'arrivée, mais concernant l'accouchement, tenir la main de sa féline sera bien suffisant !

[Arrivée devant le parvis de l'Eglise]

Il descendit, leur fille faisait une sieste contre son épaule, il tendit la main à sa belle, lui vola un baiser et l'aida à descendre pour aller se présenter aux invités déjà sur place.

Le blond pensa de suite que ce n'était pas si terrible, après tout, ils avaient déjà croisé la plupart des invités.

- Regarde tout ces gens....! On dirait que toute la noblesse est là....Es tu prêt amour?

- Impressionnant, n'est-ce pas ? Allons-y !

Il prit le bras de son épouse et se dirigea vers le jeune homme qui tenait les invitations, les invités rentraient déjà dans l'Eglise et il laissa à Cat le soin de les présenter au jeune homme, lui ayant glissé l'invitation pendant le trajet.

- Bonjour Messire Maxence... hmmm... Maxence, désolé, je n'ai pu me retenir !

Il sourit largement, au lieu d'être impressionné, il était finalement juste passionné par l'assemblée qu'il voyait là, avec l'idée ferme de faire connaissance avec l'intégralité d'entre eux.

Avant toute chose, il voulait trouver l'heureux couple pour les saluer.
Il se dit qu'ils devaient être dans la dernière ligne droite, nerveux peut-être tous les deux, comme il l'avait été, et se cachant peut-être !
Il entraîna ensuite son épouse vers le parvis, saluant celles et ceux qu'il croisait, se disant qu'il aurait tout le temps d'harponner les mariés après la première cérémonie.

Lulue

[Sur le parvis]

La Brune sourit, amusée, à la réponse d'Héloise. En parlant de bienséance, Lucie aurait pu relever ne disant que ce n'était pas « Maistre » qu'on devait l'appeler, mais Chevalier. M'enfin comme elle était du genre à ne pas se vexer pour si peu, elle laissa couler.

Je suis surprise de vous voir également et plus encore de vous savoir au service de Mélissandre. Quand à ce mariage, je n'ai pu y échapper, la mariée étant ma fille.

Un signe de main au marié pour le saluer, puis se tournant vers Mélissandre qui était à nouveau à portée de voix.

Durant un certain temps, je me suis vue embarquée dans le rôle de Magister au Collège Saint Louis. J'enseignais la fauconnerie. Ainsi dans la classe à l'époque il y avait des enfants répondant au nom d'Heloise ou de Gailen.

Un air amusé sur le minois, les souvenirs la faisaient vieillir un peu plus. Puis un mouvement d'un Page attira son attention. Un simple signe du chef à son attention avant de poser ses ébènes sur les jeunes nobles.

Vous m'excuserez mes damoiselles, mais j'ai une mariée à aller chercher. Il est temps qu'elle passe la corde au cou à ce cher Edward.

Ni une ni deux, elle pivota pour aller chercher Hasufel.

[Aller et retour ]

On ne va pas se mentir, tant qu'il s'agissait de parader avec juste la pointe de protocole qu'il fallait sans que ça fasse prout-prout (ou pas trop), comme elle aimait à le dire, Lucie maîtrisait. Un enseignement de longue haleine sur terrain miné où les plus puants fréquentaient les plus simples. Quoi qu'il en soit, les choses sérieuses allaient commencer.

L'auberge n'était pas très loin et la Monssygnac se surprit à ressentir une certaine appréhension en attendant Cassandre. Mpffff, allez fais pas ta gonzesse, enceinte de surcroît. La pensée à peine terminée et voilà sa Blondinette qui lui fait face. La joue droite fut mordue pour retenir ses émotions et garder ainsi le masque d'une mère simplement joyeuse. L'étreinte filiale ne l'aidait pas. Toutefois, Lucie en profita quelques minutes avant de la libérer.

Tu es magnifique Cassandre. Où est passée ma petite fille qui voulait faire des couettes à son poney ?

Encore quelques mots échangés qui ne regardaient que la fille et la mère, avant que la jeune femme prenne place sur le dos du destrier. La Brune se contenta de tenir les rennes tout le trajet en respectant le silence qu'imposait sa progéniture.
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Edward

Le jeune homme fit les quelques pas qui les séparaient du groupe avec la marraine de Cassie en remarquant alors sa sœur arriver et vint la plonger dans ses deux bras après s'être accroupie doucement, veillant à ne pas salir de la poussière du sol son chlamyde ni même le froisser. Il ferma les yeux un instant pour évacuer toute sa tendresse dans l'étreinte qu'il offre à sa sœur puis se redressa pour la laisser filer vers Niri.

Le jeune homme se tourna alors vers la princesse et inclina légèrement le buste. Cassie lui avait fait une vive description la veille et ses opales n'ayant point vu semblable, il n'avait quasiment aucun doute sur son identité et qui plus est, les mots "Altesse Royale" avaient été entendu par Edward.

Votre Altesse. Merci pour vos félicitations et permettez-moi de vous remercier d'être présente et vous souhaiter la bienvenue pour le bonheur de Cassandre et moi-même.

Puis, le jeune homme se tourna vers la mère de Cassandre pour lui réserver, avant qu'elle ne s'en aille, le même accueil, il n'avait pu que la côtoyer qu'une fois et malheureusement peu de temps pour demander la main de sa fille, mais il fut dit que Cassandre avait su étaler des éloges à son égard bien qu'il ignorait quelles louanges furent chantées.

Dame d'Aubessagne et mère de notre Cassandre, ravie de vous revoir et dans l'espoir que du temps me soit accorder pour que je puisse vous en donner avec votre fille à mon bras en ce merveilleux jour.

Le jeune homme ponctua sa phrase d'un sourire et il aperçut Etoiles qui lui fit signe de faire entrer tout le monde. Il était temps que tout le monde prenne place et c'est à cet instant que le jeune homme sentit l'angoisse poindre plus violemment que précédemment. Il tenta de ne rien faire paraître aux invités et s'approcha de l'édifice pour le pénétrer après avoir fait savoir au convive respectueusement qu'il était temps de prendre place bien qu'il regrettait de ne pas avoir vu tout le monde avant le début de la cérémonie, car qui dit pas de salutations après la cérémonie.

[Ding dong]

Il marcha longuement dans la nef que sa Douce allait remonter dans quelques minutes. L'angoisse du jeune homme se fit plus intense à chaque pas qui raccourcissait son chemin de l'autel. Il balaya ses souvenirs depuis sa naissance mais ne vinrent aisément que ceux des huit derniers mois. Perdu dans ses songes, il arriva bien plus vite que prévu devant l'autel et regarda autour de lui en réémergeant progressivement, cherchant ses témoins des yeux et ceux de Cassie bien que un des siens ne pouvait être près de l'autel avant l'arrivée de sa Belle.

Edward et Cassie s'étaient mis d'accord pour n'avoir qu'un seul témoin mais les circonstances post-mariage notamment l'annulation de l'Affirmation du baptême d'Edward avait fait longuement réfléchir le jeune homme et prit quelques jours avant de demander à Ali d'être son second témoin avec Colin, ces deux Orléanais étaient, avec le témoin Orléanais de Cassie, les personnes qui comptaient le plus pour lui dans cette province qu'il détestait de nos jours, enfin il détestait surtout les dirigeants mais l'un deux avait dit "je suis l'Orléanais" alors autant englober la province dans ce cas.
Il avait déjà avoué à Val ce qu'elle était avec Ali pour lui depuis le jour où il a déposé un pied sur le sol Orléanais et Colin savait combien Edward le considérait. Son départ allait certainement faire un vide dans les vies de chacun, mais le temps n'était pas propice pour penser à cela mais bien à cette nouvelle porte d'avenir qu'il avait ouverte il y quelques mois et qu'il avait choisi.

Il joint alors ses mains pour contenir sa nervosité et remarqua que ses mains n'étaient point si moites comme elles avaient l'habitude de l'être sous l'angoisse. Devant cette constatation, il ne fit que sourire furtivement et laissa son regard se perdre sur ses mains presque tremblantes. Le moment le plus long allait bien sûr être celui où il verrait sa promise à la porte et la longue allée qu'elle allait à remonter jouerai certainement avec sa patience plus que l'absence de sa Cassie ne jouait avec elle à cet instant.

Il fit abstraction de tout ce qui l'entourait même du silence qui s'installait peu à peu dès l'instant où les invités furent assis. Puis lorsque des sabots se firent entendre sur le parvis, Edward posa son regard sur la porte de l'église, ouverte...

Navré de cette non-compréhension en fait la main est sur l'épaule de Actarusia pas celle de la princesse, pour les précisions de cette erreur vous pourrez demander en MP
Suppression de la ligne HRP dans 24h

Fred109

Fred était impressionné par le nombre de nobles qui arrivaient...
Il prît Eulalie par la main et l'entraîna vers le fond de l'église, là d'où ils pourraient voir sans être trop vus...

Be dis-donc, je ne m'attendais pas à un tel aréopage... En plus t'as vu, on n'était pas trop en retard, finalement...

Chuchota-t'il à son oreille... puis il avisa les visages familiers de Valéria et d'Alienor...
Deux orléanaises qu'il avait côtoyé dans une autre vie au Château d'Orléans...
Il entraîna sa promise pour les saluer ....Ils firent le grand tour pour ne pas déranger puis ils s'arrêtèrent.

Le bonjour Duchesses, heureux de vous revoir depuis le temps,
permettez moi de vous présentez ma fiancée Eulalie Black, Eulalie, voici la Duchesse Valéria de Gambiani, qui est mon chef aux mines d'Orléans, et la Duchesse Alienor de la Neustrie, qui fut mon gouverneur...

Il chuchotait toujours... Fit un baise-main à chacune des Deux Duchesses...Puis sourit...Cela le rassurait un peu de voir deux personnes connues parmi les innombrables invités... Surtout qu'il avait entendu des "Altesse", des Princesses, il n'avait pas l'habitude de ce Grand Monde et se sentait un peu mal à l'aise...
A vrai dire, il était corsaire et son monde à lui était plutôt la mer et les pirates turcs ...
Il salua respectueusement les deux Duchesses Orléanaises, regrettant que sa Suzeraine Ninouchka ne soit pas de la fête...
Il serra la main d'Eulalie dans la sienne, pour la rassurer et ne laissa pas transparaître son désarroi... Il lui sourit de plus belle et se retint de l'embrasser... ce n'était pas le lieu ....

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Vanduc

Colin avait pris pas mal de retard et quand il arriva sur les lieux, il y avait déjà pas mal de monde.
Il vit d'ailleurs pas mal de monde qu'il connaissait et d'autre qu'il n'avais encore jamais vu.
Décidément, je n'arriverais jamais à être à l'heure se dit-il.
Il se dirigea vers sa mère et Ali qu'il salua d'un signe de tête puis il vit Fred et se dirigea vers lui.

Bonjour mon ami, comment te portes tu? Cela fessait longtemps dit moi.

Il allait continuer quand il fut interrompu par le début de la cérémonie.
Il tourna dans tous les sens à la recherche de Edward, il fallait mieux pas arrivé en retard là par contre.
Il le vit déjà devant l'autel et se dépêcha de la rejoindre. Il se mit devant l'autel un peu en recul là ou devait se trouver les témoins.

Il était à la fois ravi et triste, ravi de les voir heureux. Ils le méritaient bien cependant il était triste de voir partir deux amis proche avec qui il avait partagé de nombreuse choses.
Oui, il était bien difficile de voir partir les gens qu'on apprécie et cela avait quelque répercussion puisqu'il pensait lui même à partir maintenant.

Hadrien

A la bourre? Hadrien? Non c'était impossible et pourtant si c'était bien arrivé.
Le jeune fin plus très jeune maintenant breton-Poitevin arriva avec pas mal de retard. Il avait beau ce dire que c'était pas sa faute mais celui des autres rien à faire, il était quand même en retard. Bon bien sur, il arriva avant que le mariage soit terminé, c'était déjà cela..
En plus, c'était pas la porte à coté le mariage et pour couronner le tout, Hadrien s'était perdu. Cela lui apprendra de faire confiance au gens sur la route pour lui donner la bonne direction. Il s'était retrouver en Normandie.
Fin Bref, il était arrivé et c'était l'essentiel.
Bien entendu, il avait du ce changer car bon rentré dans l'église avec des vêtements plein de boue cela n'allait pas le faire.
Après un changement, il tenta de retrouver Plume.

Bon dieu, ou est ce qu'elle était ?
Il lui fallu une bonne demi heure pour la retrouver non loin de l'église.
Elle aurait pas pu dire qu'elle était partie en avance à la cérémonie, cela lui aurait éviter de faire 3 non 4 fois le tour de la ville.
Comment perdre du temps inutilement franchement..

Une fois qu'il l'est rejointe, il rentra dans l'église au moment où le mariage commença. Gros coup de chance franchement.
Il chercha Cassandre des yeux mais impossible de la trouver.
Il était content de revoir son amie mais également de voir qu'elle était heureuse.
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Cassandre_

Son parrain presque étouffé, la filleule décida de le relâcher et de lui prit le bras. Un dernier regard à sa mère qui se plaça devant eux afin d'ouvrir la marche. Elle avança donc lentement, légèrement crispée au bras de son parrain, alors que leurs pas résonnaient enfin dans l'église.

Elle essayait de garder un léger sourire aux lèvres malgré la tension de l'instant. Elle avait choisi un pari de taille. Celui que son tendre retombe amoureux au moment où il la découvrirait dans sa robe. Le moment de vérité était venu. Et même si elle s'était persuadée du contraire, si ce n'était pas le cas, elle serait déçue. Alors pour se changer les idées et s'enfuir en courant, elle commença à regarder brièvement les invités, faisant des petits signes de tête de temps à autres.

Dans quelques jours, avec le recul, Cassie se rendrait compte qu'en réalité dans les invités, il y avait beaucoup de nobles. Cela pouvait paraître étonnant dans un mariage qualifié de roturier. Mais lorsqu'on connaissait le parcours des mariés, cela ne l'était plus. La jeune femme était née dans un château, avait vécu la majeure partie de sa vie dans un château et elle mourrait sans doute dans le château familial. Alors autant dire qu'elle a été élevé « à la noble » à quelques détails près, sa mère lui laissant des libertés, comme celle de se marier par amour. Parce que même si elle le vivait mal parfois, elle avait fini par accepter l'évidence qu'elle serait toujours pour certains "la fille de".

Pourtant, la jeune femme avait essayé de s'en défaire de cette étiquette. C'était pour cela que dans un premier temps, elle s'était mis au service de Gailen. Celui qui deviendrait son complice et son premier amour. Et puis ensuite Orléans où l'homme de sa vie, son âme sœur l'attendait sagement. Tout cela pour dire que les nobles qui – à une exception près, ou deux – avaient reçus une invitation parce qu'ils savaient être simples, ne prenaient pas les gens de haut et c'est de loin ce que la blonde préférait. Du coup, elle ne s'était pas posée la question lors de l'établissement de la liste des invités avec Edward, tout le monde s'entendrait parce qu'il n'y avait pas de raison que ça soit autrement. Le mariage serait à leur image.

Et lorsque la moitié de la nef fut traversé, un arrêt eu lieu. Il était temps de changer de bras masculin. Son parrain laissant place au papounet. Elle déposa un bisou sur sa joue avant de finir la remontée à son bras, une émotion toute particulière. Devant l'autel, elle prit le temps de saluer, bien que brièvement, Val, Colin et Ali. Sa sénestre trouvant la main d'Edward, tandis qu'elle laissait ses émeraudes le scruter avec une infinie tendresse.
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Plume.

Les nombreux détours en Normandie n'étant pas le chemin le plus court pour rejoindre l'Alençon depuis la Guyenne , le voyage avait été plus que long ,,,
Bien que confortablement installée dans sa voiture à cheval , son garde du corps chevauchant à ses côté , la Dame de Saint Bonnet en Médoc avait eu tout le loisir de se remémorer les circonstances et autres raisons qui l'avait poussée à accepter cette invitation de la part du Bourgmestre de Thouars et nouvellement ami , mais aussi de se demander ce qui avait bien pu lui passer par la tête ce jour là.
Un voyage facile et agréable qui vous changera les idées avait-il dit … bah voyons !
Non contente d'être une parfaite inconnue à cette cérémonie, ils allaient en plus y arriver en retard .

Détestant se faire remarquer, elle prit sur elle de se préparer en un temps records à défaut d'être juste acceptable et se dirigea, parée d'une robe bleu pâle, garde du corps sur les talons vers le lieu de la cérémonie, persuadée d'y retrouver son cavalier , aussi pressé qu'elle sinon plus, d'être ponctuel aux futures épousailles.
Loin s'en faut, ce sont d'interminables minutes plus tard qu'il la rejoignit ! Qui a dit que les femmes étaient les plus lentes à se préparer ?

Invitation en bonne et du forme donnée à qui de droit et salutations respectueuses d'une légère inclination du buste faites aux diverses personnes présentes non loin , ils rejoignirent l'édifice juste à temps pour le début de la cérémonie. Ouf

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Tomrone

Doucement, chacun avait pris place dans l'édifice et il était resté sur le parvis à attendre sa filleule, quand enfin, elle arriva. Il la regarda se diriger vers lui, elle était magnifique, rayonnante, une vraie femme à présent.

Elle le serra dans ses bras et il en fit de même, ne voulant presque plus la lâcher, voulant la garder pour elle. Un égoïsme de parrain surement.

Doucement, il approcha ses lèvres de son oreille et lui chuchota.

Tu es magnifique ma filleule, magnifique... Le grand jour est enfin arrivé. Comment te sens-tu ?

Comment te sens-tu ? Voilà une question des plus ridicule dans une journée comme celle-ci, mais bon, pourquoi pas.

C'est un honneur pour moi de te faire entrer dans l'église et de traverser la première partie de la Nef à mon bras. Tu es la Reine aujourd'hui, il n'y a pas d'autre Reine que toi aujourd'hui.

Il lui sourit, lui déposa une bise sur la joue, histoire de la rassurer, lui qui devait être encore moi rassuré qu'elle.

Allez, il est temps, en route.

Il posa sa main droite sur sa main qui venait de prendre son bras écoutant le raisonnement des cloches qui pouvait encore se faire entendre et entrant dans l'église avec Cassandre.

Essayant de bien regarder devant lui, ne pensant plus à rien qu'à la mission qu'il avait d'arriver jusqu'au papa de sa filleule au milieu de la Nef, et cela, sans accident, il marcha doucement, et arriva enfin à la hauteur du papa.

Un petit sourire timide, il déposa un dernier bisou sur la joue de sa filleule avant de libérer son bras pour que son papa puisse continuer et de lui chuchoter une dernière fois.

Va mon ange, ton plus beau des bonheurs et devant toi à présent.

Et s'adressant doucement à son papounet en lui souriant.

Elle est à vous Messire...

Aussi discrètement que possible, il alla trouver place sur un banc, pour suivre à présent avec hâte le début de la cérémonie.
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Edward

Les oreilles de Edward n'avaient pas trompé leur porteur lorsque le doute s'installa à l'entente des sabots du destrier e de sa Douce. Son regard bleu fixant l'extérieur vit alors apparaître sa promise encore que trop peu détaillée par la lumière mais c'est sans trop de mal que le jeune homme reconnu Cassandre au bras de son parrain. L'émotion s'intensifia à la soudaine vague de chaleur qui accompagna l'apogée de son angoisse. Discrètement, il se mutila un instant l'intérieur de la joue la mieux dissimulée à l'assistance. Son regard s’éteint à force de fixer la lumière qui était à l'extérieur et ainsi pour conserver la découverte de la robe sans être troublé par cette futilité. Ces mains restèrent liées et son regard parcourra l'autel avant qu'un profond silence pénètre l'édifice provoqué par les premiers pas de Cassandre sous la lourde porte en bois de l'église. C'est à cet instant que les bleus du futur époux se posèrent sur son élue à la découverte éblouissante de la robe qui rendait sa future épouse plus parfaite qu'elle ne l'était déjà. L’événement auquel ils étaient les principaux acteurs était certainement à l'origine de la perfection que dessinait l'instant, mais pour Edward c'était le premier climax d'une vie de huit mois qui marquait le début d'une vie éternelle.

Plus sa future épouse s'approchait, plus son cœur battait, lui remémorant le temps d'une seconde, leur rencontre de plusieurs semaines, ou leurs retrouvailles d'une absence déchirante de quelques jours. Cassandre et Edward avaient abandonné l'autre pour des obligations mutuelles qui les forçaient à les séparer. Ce souvenir n'était pas oublié par le couple et c'est pour cette raison que l'un ne fait plus rien sans l'autre tant la douleur d'être loin de l'autre était insupportable. Même si le respect des traditions avait poussé les futurs mariés à séparer le temps d'une longue nuit, la douleur ne fut point plus douce pour Edward et ce dernier supposait presque sans doute que Cassie n'avait souhaité qu'une chose le rejoindre comme lui l'aurait fait. Tout ces instants de déchirures loin de l'autre font naître encore plus fortement leur amour qui lui ne peut être contesté aujourd'hui comme il ne pouvait être contesté hier. La sincérité dans leur regard et l'alchimie dans leur caresse sont les maîtres mots qui ont réuni leur amour il y a huit mois et qu'ils désirent faire reconnaître à leurs proches aujourd'hui.

Le bras de Cassie fut alors prêté à son père qui la conduirait jusqu'à Edward pour symboliser ce don d'une partie de lui pour le plus grand bonheur de sa fille. L'élégance avec laquelle Cassandre jouait fit sourire le jeune homme, à moins que ce sourire point à la retrouvaille de sa Belle devant l'autel, ce même autel qui était leur obsession depuis des mois. Edward saisit la main de sa belle pour l'attirer avec la plus grande douceur qu'il pouvait manifester à son égard. Ses bleus s'arrêtèrent sur ses émeraudes et parcoururent ensuite le délicieux apparat dans lequel elle s'était enveloppée. Ses yeux brillants scrutèrent chaque détails pendant une poignée de seconde, se réservant se plaisir pour les minutes qui suivront la cérémonie. Il retrouva ses verts et lui murmura d'une émotion qu'il retint difficilement tant il a su s'ouvrir aisément à elle : De quelles essences et de quelles fleures t'es-tu couverte pour, ce jour, me faire croire en la perfection ?

Son murmure s'éteint et son sourire des plus tendres et doux dissimula son émotion avant de se tourner vers l'officiante pour entendre le début de la cérémonie de leur union.

Eulalie51

L'accueil était des plus chaleureux par les amis de son promis quand le futur marié leur présenta le père adoptif, de Cassandre, et son épouse... Eulalie s'inclina comme il se devait devant un Baron mais n'osa prendre la parole ayant trop peur de dire une quelconque ânerie avant la cérémonie...

Fred l'entraina vers le fond de l'église et lui présenta deux amies à lui...
Bien le bonjour Duchesses... heureuse de faire vostre connaissance.

Mais où avait-elle mis les pieds, elle simple roturière parmi des barons, des duchesses... et j'en passe.
Elle devait être blême pour que son promis lui presse la main et lui adresse un sourire comme pour la rassurer.
Elle lui chuchota : euh, j'suis pas vraiment à ma place ici, t'aurais pu me prévenir qu'il y aurait autant de nobles, j'aurais essayé de faire plus d'effort quant à ma toilette (la robe, hein)...

Ils prirent tout deux place sur l'un des bans, la cérémonie allait commencer...

Etoiles

Etoiles sourit de voir ce couple magnifique devant elle prit le livre des Vertus pour leur lire un passage

Citation:

“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attends de vous, Je vous permets aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”

Telles sont les parole de Dieu. Alors Cassandre et Edward êtes vous prêts, pour le meilleur et pour le pire, je vous souhaite bien sur que le meilleur. Ce texte vous montre la profondeur de cet engagement qui vous permet de cultiver votre amour hors de tout péché, mais qui vous unis pour toujours.

Avant de procéder à votre union renouvelons notre foi et attachement au Très Haut en récitant le crédo

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Ysaoth

Il avait installé sa femme pour qu'elle suive la cérémonie tranquillement. Lui, il attendait sa fille au milieu de la nef dans l'allée centrale. il avait le cœur qui battait un peu plus vite que d'habitude. L'air de rien c'était quand même vachement symbolique. il savait que l'homme qui allait épouser sa fille se tenait derrière lui, et certainement que lui aussi avait le cœur qui battait fort...peut être même plus fort que le sien.
C'était la première de ses filles qu'il allait marier. Malgré ça, malgré le fait qu'il n'était pas serein car c'est un sacré événement, il tâchait d'offrir un visage calme a sa fille. elle venait d’apparaître aux bras de son parrain. Magnifique, comme elle l'est depuis qu'elle est toute petite et qu'elle est entrée dans sa vie. Les souvenirs remontaient à son esprit. Des souvenirs heureux de la petite en train de jouer dans la court, ou bien tentant de s'approcher de la forge. Elle galopait aussi derrière les poules, se servait d'un bâton comme d'une épée, pour faire comme papa certes, mais aussi comme maman. Elle terrassait les brigands qui voulaient, selon elle, leur piquer tous les cailloux du jardin...
La femme qui remontait la moitié de nef devant lui était une belle femme. Il lui tendit le bras pour qu'elle s'accroche et regarda l'homme qui faisait la transmission. Il il fit un sourire.

Je vous remercie mon cher.

Cassie avait toujours été protégée. Sa mère avait toujours veillée sur elle. Lui également, avait tâché d'apporter tout ce qu'il pouvait a sa grande. Et l'homme qu'elle appelait son parrain et dont il avait entendu parler de nombreuses fois, il le savait, veillait sur elle aussi. Aujourd'hui et même si c'était officieux depuis quelques temps, aujourd'hui ils allaient finalement célébrer l'entrée d'un nouveau protecteur pour sa fille. A partir d'aujourd'hui, ils seraient officiellement 4 à veiller sur elle. Les trois vieux allaient certainement prendre un peu de recul pour la laisser s'épanouir auprès de son futur mari, car c'était là l'ordre de la vie. Mais, que ce soit Lucie ou Tomron, Ysa savait qu'eux trois ne seraient jamais très loin. Mais c'était à Edward de prendre le relais, le rôle principal dans cette partition. Et c'était une bonne chose. il aurait voulu ajouter qu'il l'aimait, mais aujourd'hui, ce n'était pas a lui de lui dire. Et puis elle le savait.

Il s'arrêta juste devant le futur époux, regarda sa fille avec énormément de fierté. Il lui sourit, déposant un furtif baiser sur le front de sa fille qu'encadraient les boucles d'or. Puis il se retira, laissant le couple au centre, devant l'officiant. Il était temps de réciter le credo aristotélicien.

Ensuite, il était temps de prendre la main de sa femme dans la sienne.
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Edward

Il écouta attentivement le passage du livre des Vertus. Ce court extrait n'était pas inconnu à Edward mais ne l'avait point entendu dans le cadre d'une union mais bien dans un cadre plus familial. Peut-être l'avait-il lu ? Peut-être l'avait-il entendu, la mémoire défectueuse du jeune homme ne s'améliorait point à la pression sentimentale qu'il éprouvait pour leur événement. En réalité, ces mots furent lus par Edward dans les carnets privés de son père dont il avait conservé, des carnets plus anciens et d'autres moins et dont ce court extrait fut lu dans l'un des plus anciens, celui retraçant l'histoire du père et de la mère d'Edward.

Le jeune homme sourit à l'officiante lorsqu'elle leur posa une certaine question dont il en connaissait sans l'ombre d'un doute la réponse. Puis, il prononça le Crédo à l'unisson avec l'officiante, sa Douce et ceux qui désiraient les accompagner dans la récitation parmi l'audience.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

Cassandre_

Les mots de son parrain. Le silence de son père qui en disait pourtant tellement. Ils étaient importants pour elle au delà de ce qu'on pouvait imaginer. Lorsqu'elle essayait de se souvenir de comment était son père, elle finissait par trouver un mélange de Tom et d'Ysaoth. Sa mère lui avait dit que c'était de très bons choix, même s'il était aussi très différent sur d'autres points. Mais tant qu'elle lirait la fierté dans leurs regards, alors la blondinette savait, que lui aussi près du Très-Haut, l'était.

Cassie aurait pu leur montrer qu'elle était toujours un peu cette jeune fille trop sensible, laissant libre cours à ses larmes. Mais ce n'était pas encore le moment pour cela parce que le reste de la cérémonie promettait son lot d'émotion aussi. Au murmure d'Edward, elle lui répondit d'abord par un grand sourire.

Ce que tu es beau mon Amour. Et tes parents auraient été fiers.

Elle ne s'attardera pas plus, sinon elle va l'embrasser et ça ferait mauvais genre. Heureusement, Etoiles commença sans attendre la cérémonie. Elle sourit au passage lu et gardant sa main dans celle d'Edward, elle récita le Crédo avec conviction :

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Tomrone

Et hop, la cérémonie commença, Juliette ayant retrouvé Roméo et Etoiles prononçant le Credo.

Doucement, Tom le reprit en coeur.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Lulue

La mariée avait fait son entrée, le bal du parrain/père d’adoption s'était passé sans accroc, il était donc temps de prendre place aux côtés de Gaël et d'observer les stars du jour.

A l'invitation de la Diaconesse, Lucie récita avec les autres le Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Fred109

Fred prit la main d'Eulalie et en chœur ils récitèrent le Credo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

Plume.

Mêlant avec douceur sa voix aux chœurs, la jeune Bazaumont reprit elle aussi le Credo

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.
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Etoiles

Après le credo, étoiles posa un regard bienveillant sur les futurs époux et sourit légèrement de les sentir aussi tendus.

Edward, Cassandre avant d'échanger mutuellement vos vœux, vous allez chacun à votre tour et en quelques mots, nous dire comment d'une rencontre vous vous trouvez aujourd'hui dans la maison du Très-Haut pour unir vos vies.

Elle les regarda dans les yeux ne pouvant retenir un sourire à l'expression de leur visage
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Sunburn

Les lèvres s'étaient plissées à la réponse de l'Altesse, s'interrogeant si le "messieurs" la concernait elle aussi mais certainement que non, car elle n'avait absolument rien d'un homme. De taire donc la réplique qui lui venait aux abords des lèvres.

La Blonde n'était que peu friande du baise-main mais elle consentit à celui-ci, esquissant un léger sourire amusé. Edward ne semblait pas apeuré et c'était déjà de bonne augure.

Pénétrant dans l'édifice, même pas le besoin de trouver une place qu'Ysa s'en chargeait, ce qui ne la dérangeait en aucune manière.
La mariée allait faire son apparition et avec cela, la nervosité des futurs époux serait peut-être palpable. De se retourner légèrement quand Cassandre fit son entrée, parée d'une tenue qui la rendait resplendissante. De suivre attentivement la progression jusqu'à l'autel, devinant l'émotion et la fierté de son époux à la conduire jusqu'à Edward. Ils formaient tous deux un joli couple et la Blonde avait adoré lire le résumé de leur rencontre avec l'invitation.
Glissant sa main fine dans la protection de la main large d'Ysa, elle récita à voix basse.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

A la question de l'officiante, elle ne put s'empêcher de songer à ce jour unique et merveilleux ou Ysa et elle avaient prononcés quelques mots avant de sceller l'engagement. Impatiente qu'elle était d'écouter ce que les futurs mariés confieraient à l'assemblée entière.
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Edward

Le main du jeune homme se resserra délicatement sur celle de sa Belle aux propos d'Etoiles. "Quelques mots" pensa Edward et s’interrogea promptement sur le comment il devrait résumer l'histoire de plusieurs mois en seulement quelques phrases. Son regard se posa sur Cassandre puis d'une voix audible par tous, il commença.

Un regard et un sourire ont su réveiller chacun d'entre-nous sans que nous nous en rendions compte. Malgré la hantise de l'autre sur plusieurs jours, nous nous persuadions de ne point croire en ce que l'on ressentait jusqu'au jour ou nous avons su trouver ce que nous désirions réellement : moi pour elle, et elle pour moi.
Notre complicité progressivement plus intense à force de nombreuses heures de tendresse, les efforts sur nous-même pour combattre les démons de l'autre, la tendre caresse quotidienne qui nous permet de trouver la force nécessaire pour avancer demain ; chacun de ses éléments réagirent en nous comme un bélier qui frappait cette barrière sociale qui nous empêchait de rêver en nous sous la bienveillance du Très-haut. Puis les portes cédèrent et nous permettent de croire en cette union.

Edward n'avait pas quitté un seul instant les émeraudes de sa Douce. Cette impression de lire en elle ses dires était justifiée par l'intensité du regard et la concentration du jeune homme bien que cette dernière pouvait être justifiée par Edward par l'émotion et les intenses sentiments du châtain pour le jolie blonde. Il laissa sa Belle ajouter à son tour des éléments ou réécrire à sa manière ce chemin dont ils ne cessent de se rappeler chaque jour.

Cassandre_

Résumer leur histoire en quelques mots ? Voilà un exercice bien compliqué. C'est Edward qui se lança le premier et Cassie ne quittait pas ses opales, tandis que la pulpe de son pouce effleurait le dos de la main dans la sienne. Il avait parfaitement résumé les choses, si bien qu'elle n'avait pas grand chose à dire de plus sans être redondante.

Au début de nostre rencontre, il a fallu qu'on s'apprivoise parce que nous avions deux façons bien différentes de vivre nostre vie. Edward qui semblait porter le poids du monde sur ses épaules, qui dissimulait dernière son sourire une mélancolie qui m'a rendu curieuse. De mon côté, je mettais l'accent sur le costé blonde pas très fute fute pour qu'on ne cherche pas à creuser plus que ça mon histoire. Et comme la plupart ne se contentent que des apparences, c'est tellement facile de les berner.

Il a su voir au delà et m'accepter telle que je suis. Nous évoluons tous les deux chaque jour, main dans la main et malgré les derniers mois difficiles, jamais je n'ai douté de son amour pour moi ou de mon amour pour lui. Là où nos liens auraient pu s'effriter ou se briser, ils sont devenus au contraire beaucoup plus forts. Ca n'a fait que confirmer l'évidence de cette union, que nous sommes heureux de partager avec ceux qui nous font l'honneur d'estre présents.

Elle adressa un tendre sourire à son futur époux, pressée que cette cérémonie se termine pour enfin pouvoir joindre ses lèvres aux siennes.
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Crysis

Crysis s'était installer vers le fond de l'église avec Sénégonde, il sentai la brise passant par les portes ouvertes de l'église sa faisai un bien fou.
il récita lui aussi le crédo doucement.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

puis ecouta les mariés tenant la mains de sa belle

Etoiles

Etoile écouta avec attention les fiancés

Le mariage suppose que les deux époux s'engagent l'un vers l'autre librement et sans contrainte, qu'ils se promettent amour mutuel et respect pour toute la vie, qu'ils accueillent les enfants que Dieu leur donne, et les éduquent selon les écrits d'Aristote et la pensée de Christos. Edward et Cassandre, est-ce bien ainsi que vous voulez vivre dans le mariage ?

Elle attendit leur réponse avant de bénir les alliances
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Edward

Le jeune homme avait bu chacun des mots de sa promise. Les douces paroles avaient su le bercer à nouveau dans le souvenir. Ses opales étaient déjà mariés aux émeraudes de sa Douce depuis déjà fort longtemps et ceux-ci, au jour de leur union dans la maison du Très-Haut, se firent plus brillant que jamais et manifestaient leur hâte au su des nombreux mois d'attente. Lorsque la future mariée conclut son intervention, il lui rendit son sourire avec la même tendresse maîtrisant, comme elle, sa hâte de vouloir retrouver ses lèvres. Puis l'officiante lui permit de s'échapper un court instant en leur demandant de prononcer leur certitude pour cette union. Il posa son regard sur l'officiante le temps de la question puis il retrouva le visage de Cassandre pour répondre à la question d'Etoiles.

Oui, c'est ainsi que je désire vivre dans le mariage.

Cassandre_

Cassie se noya dans les opales de son tendre. L'inconvénient d'être amoureux, c'est que souvent on se ramolli lorsque son autre est présent et le reste n'existe plus. Ils savaient s'enfermer dans leur bulle et c'était exactement ce dans quoi ils étaient à cet instant. Ce qui pouvait poser problème, comme par exemple, ne pas entendre la question fatidique qui peut changer la donne. La blonde décida donc de tourner le regard vers Etoiles pour répondre à la nouvelle interrogation.

Oui, c'est ainsi que je veux vivre dans le mariage avec Edward.
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Etoiles

Etoiles sourit au fiancés et fit signe à Maxence, qui n’attendait que ça depuis le début de la cérémonie, il commençait à gigoter d’impatience ce qui amusait étoiles intérieurement.
Elle prépara le bénitier et le goupillon et s’adressa une nouvelle foi s au futur marier

Je vais bénir vos alliances et ensuite vous pourrez échanger vos vœux

Elle leur sourit une nouvelle fois
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Edward

Edward entendit le propos de Cassandre qui affirmèrent une fois de plus leur volonté commune pour ce mariage. Il ne put retenir un sourire adressé à sa Douce suite à ses dires et conserva sa main qu'il ne caressa que furtivement de la pulpe de son pouce. Ses opales scrutait chaque détail de son visage qui le faisait craquer, ses lèvres appellent les sienne et se maîtriser devenait de plus en plus complexe pour lui. Les yeux se tournèrent alors vers Etoiles lorsqu'elle reprit pour dévoiler la suite du déroulement de la cérémonie puis son regard se tourna ensuite vers son pupille, ce même regard qui se pose un court instant sur sa douce Cassandre avant de retrouver le garçon assis sur le banc et le voir se diriger vers eux au signe de l'officiante.

--Maxence

Le garçon alors assis non loin de la sœur du futur marié et de son ancienne nourrice regardait calmement la cérémonie se dérouler mais il ne manquait pas de gigoter d'impatience attendant l'arrivée de son rôle dans ce jour merveilleux. Il avait vu le couple se former et l'a même vu grandir et s'épanouir à travers les mois. Il vivait quasiment avec eux et portait un regard extérieur sur ce couple qu'il affectionnait tant.

Les mots qu'Edward prononça pour retracer en quelques mots le parcours à deux des tourtereaux, Maxence les avait déjà entendu bon nombre de fois dans leur conversation et c'est ainsi qu'il lisait la sincérité des mots d'Edward pour sa promise.

Etoiles lui fit alors signe et le garçon sauta du ban pour retrouver le sol et se diriger vers le bénitier où se tenait Etoiles, les quatre alliances déposées sur un petit coussin rouge. Quatre alliances ? C'était ainsi que la princesse et le prince de ce jour avaient répondu au choix qui leur était proposé. Il s'avança alors lentement mais sûr de lui avec un large sourire inébranlable en ce jour.Puis, le garçon tendit oreiller porteur des alliances vers Etoiles, sans prononcer le moindre mot.

Etoiles

Le garçon approchât avec les quartes alliances comme convenu, ce n'était pas courant, mais le choix des mariés était ainsi.

Elle prit le goupillon bien noyé d'eau et aspergeât les alliances prenant bien soin d'éclabousser un peu Maxence. En lui souriant légèrement

Au nom du très haut je bénie ses anneaux symbole de votre union et de votre amour.

Puis elle reposa le goupillon dans son pot et regarda les futurs mariés, elle leur dit.

Vous pouvez échanger vos vœux
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--Maxence

Le garçon fronça les sourcils à l'éclaboussement de l'officiante mais ne fit rien paraître sur son mécontentement et il sourit simplement amusé par son geste, sans ronchonner. Puis il n'allait pas grimacer, les quelques gouttelettes qui s'était logée sur la peau de son visage rafraîchissaient Maxence dans ce début d'été déjà bien chaud, même si l'édifice le rendez plus frais.

Lorsqu'elle conclut, il s'approcha un peu plus des futurs-mariés gardant le petit coussin de soie dans ses deux mains, laissant prononcer le début de leurs vœux avant de tendre le petit support de soie au moment propice. Il conserva son petit sourire tantôt amusé que ravi, bien que les gouttes qui caresses sa joue en tombant l'oblige à chercher une petite vengeance pour Etoiles.

Edward

Edward eut un regard attentif sur la bénédiction des alliance, d'abord par curiosité certaine de vouloir ne rien rater de leur cérémonie mais aussi pour fuir le regard craquant de sa Douce qu'il ne peut garder longtemps sans l'embrasser. Ceci aurait été un problème si au beau milieu des vœux il avoue à l'assemblée qu'il ne tient plus et que si ils pouvaient faire une pause ça l'arrangerait.

Lorsque les anneaux s'extirpèrent du petit bassin et les virent couler d'une ou deux gouttes il se plongea dans le ronde de celle-ci le court moment qui les séparait du coussin jusqu'à ce que la taquinerie de l'officiante envers son pupille le réveilla soudainement. Edward se mit à sourire bien qu'il songeait aux raisons de cette arrosage mais aussi si l'eau du bénitier était propice aux jeux d'arrosage des enfants, ou encore peut-être fut-ce un baptême express au beau milieu d'un mariage : une technique pour ne point perdre de temps.

Aux dires de Etoiles qui leur offre le moment d'échanger leurs vœux, Edward se tourna vers Cassandre et se plongea à nouveau dans ses émeraudes luisants.

Cassandre, veux-tu être ma femme ?

Cassandre_

Non pas que la blonde allait s'en plaindre, mais la phrase fatidique du "si quelqu'un s'oppose à cette union, qu'il parle maintenant ou se taise à jamais" semblait avoir été oublié. Tant pis, il n'y aurait pas ce petit côté piquant où les mariés peuvent fusiller leurs invités du regard avec la crainte de tomber dans le mélodramatique si par malheur un imbécile se levait pour se manifester.

Une petite moue boudeuse aurait pu se dessiner sur le visage de la jeune femme si elle n'avait pas décidé de faire un petit écart, en espérant que Etoiles ne lui en veuille pas. Mais comme dirait quelqu'un que l'Orléanaise connaissait bien : Si tu n'as pas le droit, prends le gauche. Un cadeau qu'elle voulait faire à son presque époux. Cassie prit les deux main du châtain et plongea une fois de plus ses émeraudes dans ses opales.

Edward, certains osent te qualifier de "tyran" tout ça parce que tu as des convictions que tu défends et que tu ne les berces pas avec des discours mielleux ou ne pli pas au moindre de leur caprices. Pour moi,tu es l'une des personnes les plus courageuses et vaillantes que je connaisse.

Elle lui sourit.

J'avais fini par avoir tout un tas de certitudes sur la vie à deux, en me disant que je n'aurais jamais l'occasion de vivre celle dont je resvais secrètement, parce qu'on avait réussi à m'en convaincre. Tu as réduit ces certitudes à néant. Tu m'as appris à devenir nous, si bien que lorsque j'ai du goûter à ton absence, je me suis sentie terriblement vide. Devant nos amis et nostre famille, je n'ai plus peur de dire que nous serons toujours le couple que nous oserons estre, comme nous le faisons depuis plusieurs mois maintenant. Alors, oui je le veux. Je veux estre ta femme.

Un pincement de lèvres pour reprendre sa respiration.

Et toi, Edward, veux-tu estre mon mari?

"On est bien d'accord mon Ange, que si tu te trompe dans la réponse, je t'enferme dans ma cave rose avant de te saigner !"
Haaan ! Finalement la menace mentale c'est pas mal non plus avec le futur marié.
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Edward

"Qu'que quoi" pensa le jeune homme lorsqu'il entendit sa douce commencer à répondre hors script. Son cœur se mit à battre plus vivement ayant soudainement un doute profond sur le choix de sa Belle et ce qu'elle voulait de ce mariage. Beh oui, Edward s'attendait à une réponse à sa question au qui vive mais en réalité elle vint bien après. Cependant les dires de Cassandre rassurèrent Edward progressivement de son coup de chaud soudain.

Les premiers mots le portèrent dans des souvenirs de sa manière de faire lorsqu'il était Gouverneur. Une manière critiquée au long de ces deux mandats par l'autorité justifiée que prenait le jeune homme au sein de son équipe qui elle comprenait son comportement, mais dont les "supérieurs" et autorités locales n'en saisissaient point de bonnes choses. Une autorité pourtant critiquée, mais copiée bien que salement par son successeur et ancien bourgmestre. Le courage et la vaillance dont à su faire preuve le jeune homme aurait pu s'arrêter mais Cassandre et quelques proches soutiens ont su le porter jusqu'à la fin du mandat.

La seconde partie de son intervention fit sourire doucement Edward devant ce constat d'un nouvel objectif accompli : celui d'extirper sa Douce du passé qui le rogne et de ne lui laisser que les souvenirs les plus doux. Bien que le souvenir de l'absence de l'autre à deux reprises, le jeune homme ne fit point paraître les restes de douleurs et continua d'écouter Cassandre tandis que les trois dernières phrases allaient lui accorder le droit d'intervenir à son tour sous un profond soulagement devant la certitude. Mais puisqu'elle avait conversé avant de répondre, à son tour en guise de petite vengeance.

Cassandre, pardonne-moi si parmi l'assistance certains croient encore à la blonde innocente pour qui tu te fais passer mais que je n'ai jamais côtoyé. Je n'ai pas rencontré une blondinette qui a apporté sa poupée de velours pour jouer en taverne il y a huit mois, mais une femme perdue et tiraillée qui nécessitait d'être embaumée de bandages devant les douleurs qu'elle m'a exposé si aisément. Ce premier baiser, je l'ai vu comme un remerciement, mais les jours qui suivirent me confirmèrent bien autre chose. Je ne doutais pas de ce que je ressentais, comme jamais je n'en ai douté, mais j'ignorais ce que toi tu ressentais.

Tu as bousculer qui j'étais et qui je pensais vouloir être. Je m'étais promis de ne jamais vivre d'amour à nouveau, lorsque je me suis rendu compte que mon cœur me chatouillait avec toi, j'ai préféré fuir mais je suis revenu vers toi, car je ne pouvais lutter contre. Puis tu as construit un homme nouveau, tu l'as entièrement façonné car, si nous superposons mon passé et mon présent, les différences sont notables et... J'aime l'homme que tu as construit en moi, car tu l'as obligé à faire confiance en un être humain qu'il veut comme épouse depuis des mois. Alors Oui, je le veux. Moi, Edward Colleville, je te reçois comme épouse et je serais ton époux. Je te promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de notre vie.

Cassandre_

Une fois de plus, Cassie du se faire violence pour ne pas embrasser Edward. Ses confessions la touchaient toujours autant, et la rendait toujours plus amoureuse de lui, même si cela pouvait paraitre invraisemblable quand on connaissait déjà l'ampleur de ses sentiments. Elle resserra ses mains et prononça avec un léger trouble dans la voix.

Moi, Cassandre Castelléo de Monssygnac, je te reçois comme époux et je serais ton épouse. Je promets de t'aimer fidèlement dans le bonheur et dans les épreuves tout au long de nostre vie.

Un coup d'oeil vers Etoiles avant de regarder à nouveau son époux.
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Etoiles

Etoiles écoutait et observait les amoureux échanger leurs vœux, l’assemblée était tellement émue que seules les voix des fiancés résonnaient.

Son regard se posa un instant sur son parrain qui semblait lui aussi absorbé par ce moment intense.

Elle sourit aux amoureux, qui allaient s’échanger les alliances que Maxence tenait toujours bien droit sur le coussin.

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Edward

Aux dires de sa Cassandre, Edward ne détourna pas son regard bleu des émeraudes qu'elle porte et conserva ses mains, obnubilé par elle et ses dires qui l'obligent comme elle à se retenir de lui prendre ses lèvres d'un long baiser d'amour. Un pousse caressait ses doigts captifs des siens jusqu'à ce qu'elle conclut. il se tourna alors vers les alliances puis en saisit la première pour la mettre à son auriculaire droit d'abord, puis conclure par son auriculaire gauche pour la seconde tout en ajoutant.

Cassandre, reçois ces alliances, signe de mon amour et de ma fidélité.

Il glisse délicatement les alliances à ses doigts tout en ne retrouvant ses émeraudes à chaque fois que la première phalange ait passé l'anneau..

Cassandre_

L'un des moments tant attendu arrive. Celui de l'échange des alliances. Les signes distinctifs qui montreront à tous que leur coeur appartient déjà à quelqu'un. Elle prit alors déjà l'anneau qui pour les jeunes tourtereaux était un symbole, qu'elle mit à l'annulaire gauche de son tendre.

Edward, reçois ces alliances, signe de mon amour et de ma fidélité.

Puis tout en souriant à Maxence, elle s'empara de la seconde alliance, signe pour eux de la complémentarité. Le tout en place, elle serra plus fortement les mains de son époux et lui fit un sourire avant de regarder à nouveau Etoiles, espérant que le moment du baiser arrive enfin !
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Etoiles

Etoile sourit pleine d’émotion puis se tournant vers l’assemblée

Mes frères et sœurs, mes amis partageons maintenant le pain et le vin
avec les nouveaux mariès

Je vous bénis au nom du Très-Haut, d’Aristote et de Christos. Amen.

Allez dans l’amour et l’Amitié Aristotélicienne !!!

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Edward

"Quoi ? Et mon bisou ?". Le jeune homme écouta attentivement les dires de l'officiante puis ne tarda pas de venir joindre longuement et amoureusement ses lèvres à celles de celle qui était son épouse à présent. Tout au long de ce baiser d'amour, il tenta de percevoir cet avenir qu'ils désiraient construire, ce monde qu'ils avaient décider de créer ensemble en dévoilant à tous leurs parents et proches leur projet fondé en huit mois et construit tout le long d'une vie.

Leurs lèvres demeurèrent aussi longtemps que l'un des mariés aurait plus de souffle. Le premier des plus beau jour de sa vie avait réveiller avec force le cœur du jeune homme et ce baiser ne fit que le rendre encore plus violent dans ses coups contre son torse. Il avait pour Autre celle que les plus beaux contes pouvaient décrire, celle que les artistes enviaient ou les femmes jalousaient pour sa beauté, celle que d'autres craignaient pour son parlé. C'était elle et personne d'autres. Et les moments durs que la vie leur réservait, le jeune homme n'allait pas oublier ce jour et ceux d'avant car ils ont concrétisé ce qu'ils sont aujourd'hui, même si leur vie commune commence pour tous aujourd'hui, la leur a commencé depuis huit mois.

Lorsqu'il vint à délier ses lèvres de celles de son épouse, ses opales vinrent se noyer dans ses émeraudes luisants, une main vient parcourir une joue d'une longue caresse pour se rassurer de cette réalité qui n'était qu'un rêve jusqu'à ce jour. Il murmura sur un ton audible seulement par son Aimée combien il l'aimait, qu'elle était aujourd'hui sa femme mais aussi une femme aux yeux de tous, comme il l'avait vu au premier regard.

Puis il ne put résister à la tentation de goûter à nouveau ses lèvres tant il fut heureux de vivre enfin ce bonheur et surtout qu'elle aussi le vive.

Actarusia

Actarusia se faisait discrète, un peu intimidée de se retrouver au milieu de tant de nobles mais attentive à tout ce qu'il se passait. La cérémonie poursuivait lorsqu'arriva leur de réciter le credo :

Citation:

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

Amen.

Les voeux des Cassandre et Edward étaient très touchants, émouvants et laissaient apparaître toute la complicité, tout l'amour qui les unissait...
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Ysaoth

Il observait le tout avec un particulier intérêt. Ce serait un moment, a n'en pas douter, qui resterait gravé longtemps dans sa mémoire.
Le halo lumineux qui semblait entouré les deux amoureux, qui n'était en réalité qu'un effet d'optique dû à la réflexion de la pierre blanche qui se concentrait dans le chœur et le transept, donnait un effet un peu surnaturel à la scène, comme en dehors de l'espace et du temps.

En gros, Ysa était simplement ébahit devant la beauté de sa fille et de son époux personne ne serait témoin de ses pensées niaises de père gaga devant sa fille et c'était bien ainsi. Certains secrets doivent rester tapi dans les plus obscurs des recoins par moment, sous peine d’entraîner des conséquences irréversibles.
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Cassandre_

Bisou ! Oui quand même, Etoiles n'allait pas faire le bourreau jusqu'à les priver de ce qu'ils attendent depuis le début de la cérémonie. Ce geste simple et plaisant qui termine de sceller leur union. Elle sourit contre ses lèvres, prenant le temps de détailler le visage radieux de son châtain. Au murmure, Cassie lui répondit qu'elle aussi l'aimait plus que tout. Sans lui, elle n'aurait jamais pu commencer à ses reconstruire. Il n'y avait que lui pour l'aider à devenir plus épanouie et meilleure dans ce qu'elle entreprenait.

Après avoir à nouveau goûté ses lèvres, il était temps de se tourner vers les invités. Un large sourire sur le visage. Puis se tournant vers son époux, malicieuse.

Tu crois qu'ils ont été assez sage pour avoir le droit au repas ?

Elle attendit la réponse et commença à se diriger vers leur famille et leurs amis pour les saluer.
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Gael

Le voyage avait été long. Et source de bien des inquiétudes pour Gael.

Lucie étant du genre à n'en faire qu'à sa tête, il avait eu toutes les peines du monde à l'inviter à se reposer, vu son état. Il n'était clairement pas question dans le chef de sa compagne d'organiser le voyage autrement qu'une véritable campagne militaire.

Après tout, ça l'amusait, et ça ne changerait pas du quotidien. La vie avec Lucie était passionnante, et s'il ne portait pas toujours... souvent la culotte, leur équilibre était ainsi fait, et il se plaisait dans son rôle d'effronté.

Le jour J, le parvis grouillait d'une quantité de personnes, pour ainsi dire toutes inconnues de lui. Il s'efforçait de faire bonne figure, de saluer tout ceux qui lui étaient présentés.

La mariée était sacrément belle, mais il n'en doutait pas avant de la voir. En général, l'expression dit qu'il faut regarder la mère pour s'imaginer la fille dans quelques années. Pour le coup, Gael avait tout fait à l'envers, et ce n'était pas pour lui déplaire.
Lucie resplendissait, sans toutefois voler la vedette à Cassandre.

La cérémonie se déroulait sous son regard attentif, comme s'il se préparait pour une prochaine qui le concernerait sans doute encore plus. Les prières, l'échange des voeux, la partition s'égrenait sans faute, pour le plus grand bonheur des mariés.

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[rp ouvert] mariage de Cassandre et Edward