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[RP] Amour, flonflon et poney [MARIAGE COMTAL]

Mike91
Encore un ? Non mais franchement, y’a des situations qui ne s’explique pas. Comment ils font les autres, pour trouver tant d’admiration, de beauté et d’engouement pour une femme comme Eliance. Une femme dépressive, suicidaire, frigide et qui en plus vous fera attendre la saint Maurice pour vous laisser entrevoir un bout de cuisse. Bon y’a peut-être un petit paramètre sympa, c’est que si on suit sa longue lignée, y’a moyen de se taper une petite blonde de derrière les fagots, car oui c’est un mythe pour personne, elle a été cocu neuf fois sur dix. Bref, donc Isidore, le chanceux…ce soir…il se la carre derrière l’oreille !

Ah ouais…bah la patronne doit pas trop l’aimer ton cavalier Puis un coup d’œil vers l’heureux élu Bon courage … Puis on se reporte sur Eliance, il aura tout le temps de connaitre Isidore durant la soirée, et puis rappelons qu’il en a deux lui, des cavalières, alors comme c’est une évidence qu’il se fera chier avec Eliance, peut-être qu’il lui en louera une… Y’a pas de petites économies…Chouette cadeau…c’est parfait ! Il y connait strictement rien, lui aurait opté pour une belle et bonne catin. Une sorte de cadeau commun. Genre quand la patronne en a assez de son devoir conjugal, bah Hop on appelle Martine, comme ça elle a la paix et 22 est content. Une catin c’est souvent mal vue, pourtant c’est vachement utile.

Bon l’armée est au grand complet. Entre les unijambistes, les borgnes, les vieux et les culs-de-jatte, bah il reste plus grand monde, et même…personne ! Donc non la patronne ne va pas gueuler, elle sera super fière, que son garde du corps survit dans ce marasme permanant. Un type qu’il ne connait pas arrive avec son poney, étrangement ça ne le choque pas. Non ce qu’il le choque c’est de qui se passe après…

Citation:
Mike ! Regarde, y a Dex !


Han, non mais genre, madame fait la princesse, genre on snobe son beau, grand, et très beau cavalier. Surtout on évite de l’interpeler, des fois qu’on se prendrait un vent, ça la fout mal surtout qu’il y a du monde…alors on regarde et on fait genre on s’en fout…Ah ouais… Puis on trouve une idée plausible à cette esquive Elle est parti me garder une place… Voilà femme rousse à son service, ça passe mieux que femme rousse qui s’en carre.

Citation:
Robeeeerrrrte!!


Non mais c’est qui c’t’avion ? On regarde, on regarde et…NNNNOOOONNN et ouais les gars, le bijou qui arrive c’est le sien ! Non mais v’là la meuf quoi ! Aller faites les jaloux, matez là autant que vous voulez, bavez dans son sillon, mais gardez bien à l’esprit que ce soir c’est Mike qui est dessus ! Là on s’emballe, parce que y’a grave moyen de s’emballer, on part à sa rencontre, puis on l’accueil avec une main sur les hanches et un bisou tendre sur la joue. Il avait opté pour le gros roulage de palot, mais après une rapide réflexion avec sa conscience en pesant le pour et le contre, il s’est dit que la joue c’était bien comme début. Maintenant on la regarde, on sourit et on balance les compliments, parait que les femmes aiment les compliments… P’tain krys…tu envoies du pâté ma petite ! Ouais bon y’a mieux comme compliment, mais faut l’excuser…il débute, mais après lui avoir présenté son bras pour rentrer dans la cathédrale, on tente une mise en information pour la deuxième cavalière…Je crois qu’on nous a gardé une place à l’intérieur…tu viens ? Voilà et si elle pose trop de question il dira que Dex l’a forcé, y’a pas de raison, quitte à choisir autant choisir la mieux.





edit pour les balises
_________________
.mahaut.
Debout derrière une tenture, Anatole patientait. De l'autre côté, il entendait comme des pépiements de voix féminines, vaguement assourdies par la tapisserie destinée à les préserver de sa vue. Non parce qu'il était un homme mais parce qu'il était limousin. Un salon d'esthéticienne digne de ce nom savait distinguer le classe du péquenot de base. Et donc, pas de limousin.
De temps en temps, il percevait le tintement d'une tasse sur une soucoupe. D'autre fois, il voyait des jets de vapeur s'élever vers le plafond. N'ayant jamais été soumis à la question, il ne pouvait cependant s'empêcher de frissonner en imaginant ce qui pouvait provoquer ce sifflement.
Mais, stoïque, il attendait en guettant les cloches pour vérifier l'heure.

De l'autre côté... allongée sur une espèce de lit incliné, la brune gardait sur les yeux un masque en soie tandis que son visage était recouvert d'un masque vert. Dans une de ses mains, un coquetelle avec paille pour ne pas craqueler son masque en buvant. L'autre main était confiée à une experte, en charge de masser chaque doigt à l'huile de jasmin.
A ses pieds, d'autres employées s'activaient à détendre les noeuds de tension dans les orteils.


- Mais c'est fou je vous sens toute cripsée !
- Mmmm je sais... Je suis si fatiguée en ce moment...
- Je n'ai jamais vu votre petit orteil tendu comme ça. Je vais appliquer quelques gouttes de rose, il vous faut un traitement de choc.
- Oui, de grâce, prenez soin de moi.
- Pour les ongles, j'ai reçu une nouvelle teinte "diamond purple" mais je me demande si elle ne sera pas trop chailleni pour l'occasion.
- Soulevez le masque que je regarde ? Oh juste ciel, non, on gardera ça pour un coquetelle à l'ambassade. Il s'agit juste d'un petit mariage de rien du tout. Vous avez bien encore du "Italian Romantic Happy color", non ?
- En dégradé ou avec incrustation de poney ?
- Hmm ça dépend... combien de temps pour les poneys ?
- Par doigt ? Mettons vingt bonnes minutes...
- On va faire tous les doigts alors. Aie !
- Je suis navrée c'est votre 3ème phalange qui est toute contractée. Comme vous devez souffrir.
- Le martyre, je ne vous le cache pas.
- Mesdames, je vous dépose un coquetelle délassant pour vous remettre de vos tracas.
- Posez ça là, merci.
- Bon, et pour les cheveux ?
- Le soin a eu le temps de pénétrer ?
- A peine ! ça ne fait qu'une heure, il faut encore une demie-heure pour qu'on commence à regorger le cheveu. Heureusement vous avez une nature divinement souple.
- Un don d'Aristote.
- Je vous retire le masque. Douuuucement... Voilà... Je vais masser pour apaiser la peau, maintenant. Les tempes d'abord. C'est fou comme on sent l'essence de pivoine, j'en suis contente, c'est un très bon produit. Shirley, rincez délicatement au lait d'avoine, les cheveux de la vicomtesse sont d'une douceur folle, il ne faut pas les brusquer. Prenez la serviette en soie. La dernière fois ça a donné un volume époustouflant.
- Et les cheveux restent brillants longtemps !
- C'est vrai, quand j'ai accompagné Roudoudou à la chasse dernièrement, il m'a suggérée de rester allongée dans une chaise longue au loin tellement je risquais d'aveugler le gibier avec ma chevelure.
- Bonté divine, vous êtes allée dans les bois ?
- Non je vous rassure, je suis restée sur la terrasse, je lui faisais coucou de la main de temps en temps.
*soupir collectif de soulagement*
- Je règle le fer à cheveux sur "doux", si c'est trop tiède vous me prévenez.
- Mmmm... Que je suis tendue...
- Mais oui ! Je n'ai jamais vu une base de pouce aussi crispée !
- Je vais vous re-masser les talons à l'huile de gentiane-estragon-menthe poivrée. Avec ça, vos talons ne pèseront plus un brin.
- Mmmm...


On entendit une cloche au loin et un hurlement étouffé de l'autre côté de la tenture. D'un commun accord, on n'en tint pas compte et l'ensemble continua son train de vie habituel. Au deuxième coup, la tapisserie ondula. Au troisième coup, le limousin finit par pénétrer dans le salon, à moitié empêtré dans les voiles parfumés et vaporeux accrochés pour filtrer l'air vicié qu'il pouvait expirer.

- Nous sommes en retard !
- Hiiiiiiiii ! Un limousin !
- Anatole, enfin ! Relevez mon bandeau, Shirley, que je vois où il est. Ah. Dieu que vous êtes laid !
- Nous sommes en retard, le mariage va commencer !
- Et ?
- Vous avez promis d'y être. Vous êtes témoin !
- Moi ?
- Oh la la je vois votre 3ème orteil qui se re-crispe, sortez, messire !
- Anatole, enfin, je ne peux pas y aller alors que je ne suis pas prête ! Regardez, Cindy n'a fait qu'un seul ongle !
- Et il ne faut surtout pas bouger sinon le poney va baver.
- Ah, vous voyez, le poney risque de baver. Comme vous.
- Nous DEVONS y aller ! Maintenant !
- Mais enfin, Anatole, comment ferai-je ? Je ne vais quand même pas emmener tout ce monde là avec moi...


[Quelques minutes plus tard, à l'entrée de la cathédrale]

- A la réflexion c'est plus simple comme ça. Les discours et prières durent toujours des heures, on aura bien le temps de finir d'ici là.

Entourée de son nuage d'esthéticiennes, la brune avait finit par se déplacer, vêtue d'un long peignoir en soie blanche, un coquetelle toujours en main. Autour d'elle, toute son escouade féminine semblait chargée de parfums, de brosses, de poudre et de pinces à l'allure inquiétante. Il allait leur falloir au moins 25 sièges juste pour poser le matériel.
Estimant qu'en tant que témoin, elle devait être bien placée à l'avant, elle avait donc fait reculer les premiers installés, et avait finit par déborder sur l'autel pour installer son siège relaxant.


- Je pose ma laque sur le bénitier ou bien le curé risque de le les faucher ?
- C'est la première fois que je maquille quelqu'un dans une église. J'aime beaucoup la lumière, je vais vous faire un smoky doré-fondu sur base cuivrée, ça ira parfaitement avec les bougies.
- J'ai dit au couturier de livrer la robe ici. On trouvera bien un petit confessionnal privé pour vous habiller.
- Anatole, vous ferez détourner les yeux des curieux, hein ? Je compte sur vous. Oh j'aime beaucoup ce rouge à lèvres !
- caribean spirit ! Je vous l'ai commandé dès que je l'ai vu sur catalogue. Je savais qu'il vous irait comme un gant.
- Je sèche les cheveux à l'éventail ou au souffle de chérubins ?
- Vu le mariage je doute qu'on aura des chérubins. Faites à l'éventail.
- C'est joli comme décoration...
- Moui c'est un peu fade mais c'est joli. Aie !
- Je suis confuse, je me suis cognée contre un prie-dieu en vous posant la serviette chaude sur les pieds. Tenez, resservez-vous en macaron à la framboise.
- Ho la la que je suis tendue... Resservez-moi en coquetelle, vite !


La cérémonie pouvait commencer, elle était là.
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Fichtre, mais c'est quoi le challenge rp ?
Orkaange
[Et pendant ce temps là au parti communiste]



C'était peu dire que la blonde était hystérique. Et vu le poids de la tiare et la peur de se vautrer encore une fois et d'attenter au breuchingue, elle se tenait droite comme un piquet, ne sachant plus à quel saint se vouer, réfléchissant à qui pourrait remplacer Papapair pour la mener à l'autel. Un des deux vils blonds de sa connaissance? naaaaaaan, avec Mike elle risquait une main aux fesses, et Raymond, vil comme il était allait attenter à sa dignité en lui faisant un croche patte elle en était sure. Non une seule solution lui restait. Francis. Cette pensée lui arracha une grimace de dégout. Juste au moment ou elle ouvrait la bouche pour demander qu'on lui amène le concierge de l'auberge "Au Poney Rose", une voix familière retentit

- C'est moi ma chérie je suis là.
-Hiiiiiii Papaaaaaaa!
- Ma Chère, Chère Orkaang .... Aaahhh ! C'est quoi cette robe ? Ce n'est pas une fabrication de chez nous, çà !




De soulagement, la blonde voulut faire quelques pas précipités vers Valnor, mais sur des talons de douze et avec une tiare qui pesait son poids d'or, elle trébucha et se rattrapa in extremis à l'habit rouge de son père avec une grimace. Bon... Ca allait pas être facile d'arriver avec toute la dignité requise à l'autel. Pis la bouteille était restée sur le coffre situé à une dizaine de pas, donc pas à portée de bras. Ork évalua d'un coup d'oeil la distance, et se dit que finalement, le jeu n'en valait pas la chandelle. Elle se redressa tant bien que mal et offrit un sourire éclatant à Elayne, qui visiblement admirait la robe et lui répondit


-Non Elayne, j'ai préféré faire appel à la couturière des roys pour l'occasion, plutôt qu'à de vulgaires artisans locaux! Vous auriez pas voulu que j'me marie en haillons! Ou à poil! Je sais que ma soeur aime les exhibitions, mais je suis quand mêm eplus réservée qu'elle, je n'aime pas me donner en spectacle... aheum. Bon papa on y va? C'est l'heure ! Vous vous rendez compte! Dans quelques minutes, je suis Comtesse! Hiiiiiiiiiiii!




Une dizaine de trébuchage plus tard, la future Comtesse fut hissée dans le carrosse de la famille Aubeterre, direction la cathédrale. la voiture arrêtée devant l'entrée, deux enfants de choeur roses vinrent ouvrir la porte, et tendirent une main à la blonde. Un sourire éclatant aux lèvres, la baleine avança un pied sur le marchepied, et eut le malheur de pencher la tête pour pas se prendre le montant de la porte. S'en suit une magistrale envolée de jupons, une remise sur pied avec force jurons de la part des grouillots, un ravalement de facade express de Jean Louis et Coco. Enfin la blonde posa un pied hésitant sur le satin rose qui tapissait l'allée centrale, le regard droit devant elle vissé sur l'Autel, la main crispée sur le bras de son père, ses ongles déchirant presque l'étoffe. Impossible de regarder de droite et de gauche et de saluer quiconque sous peine de viandage immédiat. Elle sentait le satin lui glisser sous les pieds, et l'on vit une mariée rose remonter l'allée d'un pas de patineuse à l'épreuve de danse libre des jeux olympiques



Ork.. On se concentre! Un pied puis l'autre .. Droite gauche droite gauche! Il est là ou il est pas là? Ha! Si! Et Doudi aussi! Souris ma vieille souris! rhaaa je glisse! ha non j'suis encore debout! Roberte va payer pour ça! Elle a prévu la bouteille sur mon prie dieu? Enfin faut encore que j'y arrive! Allez droite gauche droite gauche. Han qu'il est beau en rose comme ça! Je le savais j'lai toujours dit que le rose c'était sa couleur. Hen mais bordel ça glisse!haaaaaaaaaa



Plongeon en avant, essai de rattrapage au bras de papa, et glissade du plus bel effet sur le ventre pour arriver au pied de l'autel. Le satin sur le satin ça glisse drolement bien!
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Sorianne
Tout va pour le mieux! Cmyrille ne sent plus la biquette.. L'âne pardon, il est propre comme un sou neuf, habillé, de rose bien sûr, thème imposé du mariage, et Raymond l'a aidé là où So tournait sagement le dos de manière à ne pas se montrer indécente. Ils ont beau avoir une amitié vieille comme le monde, il y a des limites!

Et accrochée au bras de son blond cavalier, la petite noiraude est tout sourire, et encore toute rougissante dès qu'elle glisse une œillade au peintre. Décidément, elle ne s'en remettra jamais. Au pays des surprises, Raymond serait le roi.

La cathédrale est déjà fort bondée, et la petite brune salue tous ceux qu'elle connait, d'un sourire, d'un geste de la main ou d'une parole, fière de sa jolie tenue, et ravie d'être au bras d'un homme si séduisant.

Elle s'en décroche tout de même pour arranger un peu la tenue de Cmyrille, petite remise en place de dernière minute alors qu'il est maintenant à l'autel, et la brune a juste le temps de se tourner pour voir une boule rose glisser droit vers eux. ENFIN elle voit cette robe qui a fait tant d'histoire!

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Icyblue
[Peu avant l'arrivée de la future mariée]

Les portes de la cathédrale n'étaient pas loin et pourtant ! Il était difficile d'avancer, pour ne pas dire impossible. L'évêque, assurément cuité de la veille, avait pu être évité. Mais pas le capitaine, qui venait tout juste de surgir dans leur dos. Elle les présenta, visiblement gênée par la situation. Isidore reconnut le capitaine qui était également le cavalier de Dexeryl aux dernières nouvelles. Les deux hommes ne s'étaient jamais rencontrés, tout juste écrit au sujet de l'armée. Mais la réputation sulfureuse du capitaine avait fini par lui arriver aux oreilles. Et ses paroles... complétaient un tableau tout à fait charmant.

Capitaine, enchanté.

Sans un regard, visiblement pressée, Dex venait d'entrer dans la cathédrale. Il irait la saluer un peu plus tard. Voyant que Mike s'apprêtait à faire de même avec une nouvelle femme, il se tourna à nouveau vers lui.

Bon courage à vous aussi. Je suis sûr que Dexeryl appréciera.
A sa façon...

Un dernier regard vers Eliance.

Peut être devrions-nous faire de même, non ?
--.krystaline
Mike arrive à la rencontre de Krys pour lui baiser la joue. Elle le regarde en souriant : y'a pas à dire, même en rose ce mec respire la virilité, en tout cas, c'est pas le plus laid du Périgord qui l'accompagnera. Elle trouve son geste plutôt mignon, car il faut dire que le connaissant, elle s'attendait à une approche un peu moins subtile. Elle reste toutefois sur ses gardes, comme on dit, le calme avant la tempête. Allez, on se détend, et surtout, on ne se laisse pas toucher les pieds. Elle regarde les mains vides posées sur ses hanches. Ah bah nan, même pas une petite fleur.

Mike91 a écrit:
P’tain krys…tu envoies du pâté ma petite !

Là le sourire se fige. Ca c'est du compliment, elle ne trouve pas les mots. Elle préfère donc faire comme si elle n'a rien entendu, y a des choses qu'il vaut mieux oublier. Krys s'accroche au bras de Mike en lui déposant à son tour un léger baiser sur la joue.

Allons-y, on ne doit pas être en avance...T'as vu, suis sûre qu'on est les plus beaux, faudrait pas qu'on fasse de l'ombre aux mariés, Ork nous tuerait... ... Ah oui? Quelqu'un nous a réservé une place? Oooh! Quelle délicate attention... Et de se laisser mener vers l'intérieur de la Cathédrale, un léger coup d'oeil en arrière, des fois que le pitit se pointerait avec le cadeau, mais non pas encore, il n'est pas si rapide . Ils passent devant Eliance, qui parait un peu ailleurs. Un inconnu se trouve à ses côtés. Peut-être qu'elle est amoureuse, parce que la roussi-blondasse lui en a totalement caché son existence, et quand on a des choses à cacher ça veut dire qu'il y a anguille sous roche. Elle éclaircira l'affaire sous peu. Namého!! Depuis quand on fait des cachotteries à Krys?!! Pas le temps de chercher à saluer l'inconnu, qui à leur approche et avant de se retourner vers Eliance décoche un :

Icyblue a écrit:
Bon courage à vous aussi. Je suis sûr que Dexeryl appréciera.

Hey bien, encore un qui fait dans la dentelle. Elle a bien entendu la remarque concernant Dex, mais ça ne l'interpellera pas plus que ça : lors de l'approche de Krys, le petit groupe devait discuter du Conseil. Par contre, le manque de politesse à son égard, elle l'a bien capté.

Un petit coup d'oeil qui veut dire long vers Roberte, style tu ne paies rien pour attendre, elle plonge son regard dans celui du vampire de l'amour en s'agrippant un peu plus fort à son bras :


Allez vite on rentre, faudrait pas que 22 et Ork se pointent avant nous.


Edit pour corriger quelques fautes :/
Cmyrille
Dans une chambre du Château :

- Il serait temps de se bouger, non ?

- Ah ça va hein !
T'façon il vont pas commencer sans nous. J'ai prévenu Doudinet que si ça arrive, je lui crame sa cathédrale.



Malgré quelques râleries supplémentaires, notamment au sujet d'un certain caillou au fond d'une certaine botte, ils ont quand même fini par se bouger. Nan parce que sur le fond, le Raymond a pas tout à fait tord, ça peut être sympa d'arriver à l'heure à son mariage.



Cathédrale de Périgueux :

Pour entrer dans la cathédrale discrètement, sans avoir à se taper le concert de félicitations et de poignées de main sur le parvis, ils ont pris l'entrée des artistes comme l'appelle Doudinet. En gros la porte de derrière, par laquelle il fait entrer les enfants de chœur quand il a besoin d'un "service".

Et le voilà droit comme un i devant l'autel, habillé avec plein de rose, un faux-pli remis en place par So au dernier moment. Et de tourner la tête vers la mariée qui fait son entrée au bras du Beau-Pair, finalement convaincu soit par l'innocence du gendre soit par l'urgence de devoir marier sa fille. Il est évidemment ébloui par la beauté de sa future épouse, ou par sa grâce, ou par sa démarche altière, ou par les reflets du soleil sur sa bijouterie, ou par le trop plein de rose. Mais en tout cas il est ébloui.
Il est tout aussi ébloui par le dernier mouvement de son entrée majestueuse. Là pour sûr, y'a qu'elle qu'on regarde. Il se penche un peu et susurre :


- Dis, c'est pas maintenant que tu t'allonges. Ça c'est ce soir...
_________________
Lotx
C'était un fait assez peu connu mais le provèrbe populaire "il faut soigner le mal par le mal" était, en réalité, une déformation du provèrbe Sifflardien "il faut soigner le mâle par le mâle". Toujours était-il que Lotx s'appliqua la première option (merci pour lui !) et, après avoir confisqué la bouteille, était entré dans l'église afin de la vider au plus vite. La réhausse de la concentration éthylique dans son sang lui fit un bien fou et inhiba suffisemment son système nerveux pour ne plus trop sentir le mal de crâne phénoménal qui l'étreignait plus tôt. Il attendit ensuite l'arrivée des futurs mariés qui se fit ventre à terre, au sens littéral en ce qui concernait la mariée. Considérant la robe de la maladroite dont la matière était au diapason du tapis au sol, l'évêque se risqua à un :

Eh bah mon vieux, ce mariage, ça sent le satin !

Derrière, vers le confessionnal, un enfant de choeur brandit une pancarte avec écrit "6" dessus. Mais personne ne saurait si la note était attribuée à la chute ou bien au calembour.

S'bien ma fille ! Agenou... 'fin j'veux dire, aventrissez-vous devant l'Eternel et surtout moi, son messager direct et chef absolu et incontesté des poneys roses ! Et que chacun en prende de la graine dans l'assemblée !

Grand sourire satisfait.

Mes chers enfants, nous sommes ici viendus pour célébrationner l'union de Sa Grandeur Myrm... Cym... Mcy... de Sa Grandeur avec Dame Orkaange. Un acte ESSENTIEL dans la vie de tout bon aristotélicien car scellant entre ces deux êtres la transmission des titres de noblesse de l'un à l'autre en cas de mort subite et heur... et malheureusement inexplicable de l'un d'entre eux. Et l'amour aussi, accessoirement.

Levant l'index.

Adoncques, car ainsi le souhaitait Aristote, votre union vous permettra de faire des choses à but procréatif et donc de procréationner et de faire tout plein de petits râleurs à la poitrine généreuse.

Il marqua une courte pause, le temps de visualiser le mélange des deux, grimaça et repris.

Mais, avant toute chose, il est important de procéder à quelques vérificationnages de base afin de s'assurationner que ce mariage est bien canonique. Y a t-il un volontaire dans l'assemblée pour vérificationner que la mariée est bien vierge et pure je vous prie ?
_________________
Jeanjakou
[Sur le parvis de l'église, un peu avant l'arrivée de la mariée]

Jean sourit de toutes ses dents (qu'il avait toujours impeccablement blanches) en entendant Roberte lui parler de sa tenue... rose. Il préféra néanmoins éviter le sujet fâcheux de son poney Aston. Il n'allait tout de même pas dire qu'il n'allait qu'en poney rose à l'église !

Ma ! Merci bien. Je n'avais pas exactement prévu ces vêtements, mais une femme fort sympathique m'a relouqué pour l'occasion !

C'est à ce moment-là, et pas avant, que Jean-Théopanou vit enfin Samsa à cheval. Perlipopette, pensa-t-il tout haut en s'approchant précautionneusement du Cerbère, qu'il avait croisé pendant l'échauffourée d'Anjou mais qui pouvait ne plus se souvenir de lui.

Il ôta son couvre-chef (rose, bien entendu) et se racla la gorge.


Da... Dame Samsa ? Je... heu... On s'est croisés il y a... pfiou ! Mais heu...

Il déglutit.

Je suis Jean, un compagnon d'Anjou. J'ai participé à la prise d'Angers par les poneys roses.

Puisque le pouvoir du rose et des paillettes s'étendaient désormais de Guyenne en Anjou (contournant, hélas, le Limousin toujours aussi réfractaire au bon goût et à la mode), il semblait évident à John-John que les poneys avaient annexé le pays des irréductibles Angevins.

Vous... heu... Si vous le voulez bien, je peux vous accompagner à l'intérieur de la cathédrale.

Ses joues prirent une teinte rose brique, et il s'en fallut de peu pour qu'il masquât son embarras en sifflant.
_________________
Raymond_de_petrus
Le silence se fit dans l'Eglise, alors qu'il était connu que le couple nuptial avait depuis trèèèès longtemps consommé leur mariage.

Ce fut Raymond qui prit la parole, à voix forte et audible, alors que d'autres devaient déjà se demander comment prouver l'improuvable.


Moi !

J'ai ici
- pour la modique somme de 999 écus - un certificat de pureté - pas authentique mais tout comme - concernant la dame Orkaange de Bors, rédigé par l'éminent Docteur Who, de l'université de Gallifrey, dans un pays loin là-bas, au nord.

Et de sortir d'un repli de son tabard - fort beau d'ailleurs le narrateur se permet de le rappeler - (c'était un peu son moment de gloire de la journée) un parchemin, alors qu'il allait sortir Orkaange de la panade et de s'approcher de l'autel, bousculant presque pas involontairement un des stylistes qui finissait de maquiller la témoin - oups -, passant à côté d'elle pour lui glisser un vil :

Sérieusement Mahaut, tu devrais mettre du rembourrage...


Mais il fallait admettre qu'il préférait largement l'autre témoin. Chacun ses goûts. Et Raymond aimait à penser que les siens étaient très bons.

Voici la preuve indéniable et certifiée qui assure que la future épouse, malgré ses deux mariages, a su rester fraiche et vierge comme la pucelle qu'elle est, notamment quand on lui parle d'argent.

Surtout quand il s'agissait de raquer pour payer un faussaire.
Et de donner le-dit certificat à Lotx :


    Citation:





    Nous, Doctor Who, médecin de l'éminente Université de Gallifrey, à l'expertise dument reconnue en matière de tournevis sonique et du domaine novateur de la physique spatio-temporelle, et donc très nécessairement apte à donner ce genre de certificat, à la demande d'expertise d'Orkaange de Bors :

    - Par la grâce d'Hypocras, Sainte Hilde-en-Garde et Doc Tissimo, Dr House étant en congé ce jour-là, qu'ils nous aient en leur sainte garde et sachent toujours nous dicter les bons diagnostics,

    - Assurons, après un examen fait sous contrôle d'huissier dument légalisationné, que la dame Orkaange de Bors est femme chaste et pure ;

    - Assurons également qu'elle dispose de tous les appas nécessaires à contenter son futur promis, voix criarde comprise ;

    - Notons également que c'est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur.

    Réalisé à Gallifrey,
    Comté du Wibbly Wobbly Timey Wimey
    Le 30 Aout *rature*64.


Raymond glissa à voix basse à Lotx, alors que celui-ci pouvait examiner la totale exemplarité du certificat :

Et bien entendu une bouteille de cet hypocras que vous aimez tant vous attend dans votre bureau, Monseigneur.

Ayant rempli son rôle, Raymond eut un large sourire de matou satisfait d'avoir piqué dans la boite de thon, et alla retrouver sa place, non sans glisser à Orkaange au passage :

J'accepte le paiement en deux mensualités sans frais, bichette.
_________________
Eliance
Vous le voyez, là, le pied en l'air qui a bien décidé de reprendre sa marche mais qui s'immobilise pour cause de bonne grosse interpellation de type « Robeeeerrrrte » ? C'est celui d'Eliance. Elle soupire un peu, parce que quand même, elle voudrait bien y entrer, dans cette fichue cathédrale. Et que après l'évêque, le Mike, le Djidji, c'est au tour de Krys de venir la harceler. Bon, gentil le harcèlement, hein. Mais tout de même. La roussi-blondasse, de bonne humeur, se fend tout de même d'un « Salut Krys », laissant au grand blond trop con l'avantage sur les compliments. Puisque, y a pas à dire, personne ne sait en envoyer comme lui. Et comme son cavalier piaffe (à la mode cheval), elle acquisse et recommence l'avancée pénible vers l'intérieur rose.

Oui, oui, on s'dépêche.

L'entrée est faite et tout le monde prend place « SANS MARCHER DANS L’ALLÉE CENTRALE PESQUE C'EST RÉSERVÉ A LA MARIÉE » (ceci étant beuglé à tout va par un petit grouillot). C'est une fois les fesses posées sur le banc et à bonne distance du cavalier (5 pouces, environ) que Eliance se rend compte que Comcomte a déjà fait son entrée et, droit comme un I, attend patiemment, tout comme Mahaut et son armada de poudreurs.

Oh, le marié ! Vous avez vu, il est à l'heure !


Première catastrophe évitée. On le sait, tout marié à la bourre rend le mariage délicat. Vient ensuite la superbe entrée de la mariée. Eliance observe avec une satisfaction non dissimulée l'immonde robe rose ourlée de splendides broderies bleues en son bas, non sans glisser quelques mots à son cavalier, rompant d'un quart de pouce la distance réglementaire entre les deux.

Voyez Isidore, les brod'ries bleues ? Ben c'est moi !


Sous entendu, elle qui a banqué pour pouvoir se venger correctement. C'est un mariage vil ou bien ! Mais alors que la secrétaire chuchote, la patronne s'étale.
« Vinguette ! » Ni une ni deux, la première court au secours de la seconde. Mais à peine un panard posé sur le tapis rose bonbon, la roussi-blondasse glisse, perd l'équilibre à son tour et se gaufre sur sa patronne dans un brouhaha assourdissant. Ce n'est pas le bruit des os qui s'entrechoquent que perçoit l'assemblée mais bien celui des dents d'Eliance sur la tiare, notamment. Ou était-ce un autre bijou ? On ne saurait dire. Bien sur, un cri d'effroi « AÏEEEEEEEE » a résonné majestueusement dans les voûtes, révélant à la secrétaire des talents de soprano insoupçonnés.

Pardon patronne. Ça va ? Vous avez rien d'cassé ?


Eliance s'est relevée, s'enquiert de la santé de la meringue rose qui joue au caméléon sur son tapis de satin au sol, s'en inquiète un peu. Et c'est là que le véritable drame s'opère. Alors que la roussi-blondasse remet ses jupons en place, elle constate une modification de taille sur la robe de la mariée.

Tiens, vous avez fait rajouter des pois ?

Des pois rouges sur du rose. Pourquoi pas, après tout. Ce n'est pas elle la spécialiste de la mode, en cette cathédrale. Un truc qui gratouille son nez apporte sa main à s'y intéresser de plus près et...


Merde, je goutte !


Ce n'était donc pas des broderies... chiotte... Son nez a du claquer contre les Loups Bouts de Teint. Les priorités sont alors à définir urgemment et Eliance décide que son nez gouttera, tant pis si c'est sur la robe de la mariée, pourvu que cette dernière reprenne de la dignité verticalement.

Han la vache ! Vous avez bouffé quoi c'matin ?!


Échec. La mariée reste à terre alors que, plus haut vers l'autel, on cause de sa supposée chasteté.

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Cleophee_laborde
Ben oui elle est en retard mais bon ce n'est pas de sa faute ! La Rochelle via Bordeaux via le Périgord et son sens déplorable de l'orientation ...Voila c'est la faute à tout ça mais pas à Elle .
Puis sans compter qu'il a fallu au dernier moment qu'elle se change car évidement Flavien à rien trouver de mieux que de tout régurgiter... Et arriver à un mariage en sentant le lait caillé...il y a mieux .

Mais elle y arrive quand même et évidement ils sont tous dans l'église , alors tenant son fils contre ses hanches " Alors s'il te plaît tu te fais pas remarquer ... les jolies bougies maman elle ne peut pas les donner..." Une fois les mises en garde faites elle entre et...cherche de ces mirettes une place libre ... Punaise ce qu'il peut y avoir comme monde ! Ouawww la belle robe ! en admirant Ork . Quelques mots d'excuse en tentant de passer, d'éviter d'écraser les pieds avec des " désolées ! Oh pardon ! Je n'ai pas fait... Flavien bave pas... " enfin elle parvient et s'installe tout en demandant à son voisin " j'ai raté quelque chose ? " Espérant que le mariage ne soit pas non plus fini ...
Kronembourg_


Il était resté planqué dans la salle des ablutions de l'auberge pendant un bon moment.
Impossible de s'habiller en rose, surtout quand on est daltonien et ancien sourd ( même si ça, ça n'a rien à voir mais que ça peut toujours servir ) et puis surtout, il trouvait ça efféminé par principe, par orgueil déplacé, par ignorance aussi.

Alors ... Lorsque son regard qui distinguait mal les couleurs tomba sur une Exaltation Framboise, il eut comme une impression qu'elle s'était empaquetée d'un bonbon sucé deux fois.


Grand Dieu. Vous êtes ...

Réfléchis bien à ce que tu vas dire David. Des mots qui vont suivre va dépendre la prochaine nuit que tu vas passer avec elle ... Ou pas.

... Fidèle à vous-même !

Autrement dit : Affreuse.

C'est une nouvelle robe ? Vous n'auriez pas dû ...

C'est ainsi que se présenta le grand barbu tout de noir vêtu, avec une simple rose rose pendouillant depuis une poche de chemise.

Attendez attendez ... Respirez un peu pour voir ? Ah oui, vous êtes quand même excitante. C'est bon alors, vous êtes parfaite.

On vous épargnera les noms d'oiseaux échangés pendant leur trajet jusque la cathédrale.

Vous avez conscience j'espère que nous allons assister au mariage de ceux qui nous ont kidnappés cet été ?
D'ailleurs nous n'avons jamais eu de nouvelles de la rançon. Peut-être qu'on pourrait leur extorquer un peu de pognon ?


Quelques minutes encore plus tard, ils sont à l'intérieur et assis ( si si ) et assistent au viandage de la mariée.

Vous noterez la grâce et l'élégance qu'ils ont au Périgord jusqu'aux plus petits détails lorsqu'il s'agit de succomber aux délices de l'amour.
Ce mariage va me plaire.
Il change de ce à quoi nous assistons d'ordinaire !


On put alors entendre un applaudissement côté Guyennois avant que l'officiant prenne la parole.

Hum. Je vous ai dit que vous étiez sexy ?
Aitore
Il était indéniable que l'évêque d'Angoulême était en retard mais pas tant que ça à ses yeux. Il fallait être habitué à cela lorsque l'on connaissait ce dernier. Ayant fait la route jusqu'à Péri-gueux la veille, c'est après un bon bain et fraichement coiffé que le goupil se dirigea vers la cathédrale.
Les mains jointes devant lui, il pu toutefois constater que la cérémonie avait débutée, le vice-primat ne l'ayant pas attendu pour officier. Honteux d'une certaine manière mais pour une fois il n'irait pas en faire tout un plat.
Prenant bien soin de ne pas marcher sur le satin, ayant pu d'ailleurs contempler de loin le résultat sur la mariée, le prélat s'avança sans faire de bruit jusqu'à l'autel et poussa le chef des poneys d'un coup de coude.


    M'enfin laissez donc un peu de place pour ma personne ! On en est où nous ?

Regard sur la mariée toujours au sol sans que personne ne semble daigner vouloir lui prêter assistance

    Ha bha parfait la mariée est déjà en position pour procéder à la vérification. Quelqu'un peut-il lui écarter les jambes que nous observions la cheminée d'ici.
Eliza_beth
Depuis que l’évêque rosé lui avait piqué sa bouteille, Elizabeth boudait dans un coin de la cathédrale, les bras croisés et les sourcils froncés. Elle marmonnait par moment, regardant à peine les invités qui commençaient à s’installer. Elle était tellement dans son truc qu’elle ne remarqua pas de suite que les mariés étaient là, ainsi que ses deux collègues.

Ce fut la chute d’Orkaange qui tira la diaconnasse de ses bouderies intempestives, lui arrachant un mince sourire moqueur. La petite blonde se dirigea vers l’autel, enjambant la pauvre mariée. Elle poussa Aitore et Lotx pour se mettre au milieu d’eux et se grandit autant que ses petites jambes le pouvaient.

Faites place à sa future éminence papale j’vous prie !

Mais à peine fut-elle entre les deux qu’elle se retira.

Ah oui, bonne idée ça, Monseigneur. J’va de c’pas vérifier !

Et joignant le geste à la parole, Elizabeth se baissa, attrapa les jambes de la future mariée et les écarta.

V’z’auriez une bougie ? Fais noir là-d’dans !
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