[RP] “Si la rencontre est un hasard...

Marveyn

[place du Marché - bidouillage d un genoux]

Elle regardait le genoux grimaçant sur la plaît! Elle allât rapidement tremper son morceau de jupon dans la fontaine et tenta de nettoyer doucement le sent qui c'etaiT éparpiller, elle eu un haut le cœur puis se retiens de pas vomir , elle respira un grand coup puis arrachât un autre morceau de son jupon.

Je vais devoir serrer ce bandeau très fort, mais vous devez vite trouver un médecin.

Elle serra le plus qu'elle pu au dessus du genoux pour ralentir le sang qui s'échappait du genoux . Les souvenir du passé re-faisait surface, qu'elle fit vite s'envolé de son esprit en regardant la dame qui c'était approché.

Il faut trouver un médecin il peux pas rester avec son genoux dans cet état !
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Zigzag

[Place du Marché – Zig avec Hanna dans les bras]

Avec Hanna dans les bras, il retrouva tout le monde! A croire que la Dame de Courcy était, comme la terre, le centre de l’Univers ou tout tourne autour d’elle.

Et puis, du sang partout. Le doigt d’Origan saignait maintenant abondamment et Zig regarda Hanna, un peu inquiet : il avait été mordu bien souvent par sa petite princesse mais jamais jusqu’au sang… il fallait croire que la petite grandissait et que sa petite machoire gagnait en force et qu’il y a avait de nouvelles dents plus affutées.
Et Ronan dont le genou saignait abondamment aussi avec Dame Marveyn qui s’en inquiétait.

« Ronan! Par Aristote, que t’est-il arrivé? Tu es tombé? »

Un sourire devant la mine soulagé de Ronan. Il est déjà passé par ce genre d’inquiétude exactement pour la même raison : Hanna qui explore, et zou, elle sort de notre champ de vision et l’angoisse de la recherche.

Son regard passe à Hanna et Zig ne peut s’empêcher de lui faire un grand sourire tendre : Que de cataclysmes elle cause cette petite! Et elle n’a que 2 ans! Zig l’imaginait déjà a 9 ans, comme son cousin Alexandre et il se disait que si le même sang bouillant coulait dans ses veines, elle n’avait pas fini d’être… une adorable tornade!

« Je vais garder Hanna pendant que tu te feras rafistoler ce genou. Et puis, ça me permettra de profiter d’Hanna… »

Et voilà que le Zig s’ajoute aux concerts des regards suppliants qui sont adressés à la Noble Dame très enceinte. Hommes mal en point cherche Dame Maternelle pour guérir les bobos!

Deedee

Trop vite !
Tout allait trop vite !
D’un coté un Ronan dont elle remarqua enfin le genou en sang et une dame qui se tenait à ses cotés. Les joues de la duchesse s’empourprèrent en se rendant compte qu’elle ne l’avait pas remarqué jusque là, surprise par tout ce qui arrivait…
Donc d’un coté Ronan, blessé et qui avait perdu Hanna.
De l’autre Origan mordu par un cannibale haut comme trois pommes et pour finir, le dit cannibale qui visiblement jouait à cache-cache.
Adeline ne savait plus où donner de la tête et finit par avoir le tournis.
Fermant les yeux un instant, elle se massa légèrement les tempes avant de rouvrir les yeux et de laisser aller son regard des uns aux autres.

-Et bien…

Par où commencer tel était la question !
Elle promena son regard tout autour d’elle, espérant dans la tumulte voir un signe quelconque de Carmen dans les parages, mais…

-Alors déjà, je pense que la fugitive à été retrouvée, saine et sauve et en compagnie on ne peut plus sûre.

Déclara-t-elle en souriant à Zig avant de caresser doucement la joue de l’enfant qui ne devait pas comprendre l’inquiétude des adultes autour d’elle.
Adeline ne put s’empêcher de sourire, attendrie. Hanna n’était pas bien haute, pas bien grande, mais déjà…. Elle avait l’art et la manière de mettre toute une maison sans dessus dessous. Elle devait tenir de sa maman sans aucun doute !

Puis son regard alla d’Origan et son doigt mâchouillé à Ronan et son genou blessé. Si cela était l’œuvre de la mini Serna… Carmen avait tout intérêt à lui apprendre très tôt le maniement des armes ou à mieux la nourrir…
Elle adressa alors un sourire à Origan et Ronan avant de se lever pour examiner le doigt à moitié arracher.

-Ensuite… vous avez trouvé un médecin, même si je n’ai rien sous la main pour panser ces quelques plaies pour le moment. Mais… mon cocher ne devrait plus tarder et il porte ma besace.
Je vais soigner cela Origan, ne vous inquiétez pas.

Elle se tue un instant observant la blessure avant d’afficher une petite moue.

-Mais vous êtes sur qu’une si petite fille ait pu vous faire ça ? Vous n’avez pas plutôt laissé trainer votre doigt dans la gueule d’un chien errant ?

Ouaip… elle était plutôt dubitative.
Hanna ?
Cannibale ?
Nannnn, I M P O S S I B L E !

Theodore s’approcha à son tour et Adeline le salua, se souvenant de lui pour l’avoir croisé a la maison Serna, elle l’écouta un instant et se mordit la langue pour ne pas rire.
A les écouter, le petit ange qui se trouvait dans les bras de Zig était un véritable démon mangeur d’homme.

-Bonjour Theodore, je suis heureuse de vous revoir.
Bon… alors si j’en crois l’attaque de la petite princesse affamée… nous allons soigner ce doigts convenablement avant qu’il ne tombe et…

Un regard vers Hanna.

-Peut être que cette petite devrait manger un morceau également ? Avant qu’elle ne s’en prenne à un autre doigt ?

Puis déchirant un pan de son jupon elle entoura le doigt du bailli avant de se tourner vers Ronan.

-Et vous Ronan ? Que vous est-il arrivé ? Vous avez été mordu vous aussi ?

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Origan

[Auprès d'la Duchesse, qu'il fait bon, fait bon, fait bon...]

il serra son doigt le temps que la Duchesse fasse le tour de la question
puis l'entend dire

Mais vous êtes sur qu’une si petite fille ait pu vous faire ça ? Vous n’avez pas plutôt laissé trainer votre doigt dans la gueule d’un chien errant ?

Il fit des yeux ronds à entendre les dire de la Duchesse.

Mais qu'est ce qu'elle dis ???!!! Une si petite fille ?!! Heureusement qu'elle n'a pas osée dire qu'elle était innocente en plus.
C'est l'enfant du diable... une belle bouille adorable mais faut pas approcher les doigts sinon elle Niak ! Et pas qu'un peu ! Si petite fille...si petite fille... non mais ho

en instant bien sur certaine lettre il dis

Duchesse cette can..enfin cette jolie P.e.t.i.t.e. P.r.i.n.c.e.s.s.e. était seule et affamée j'ai cru bon lui donner un morceau de pain... et là c'est le drame...elle m'a mordu le doigt sans ménagement

il se laisse enveloppé le doigt par la Duchesse qui elle au moins savait ce qu'elle faisait dans cette histoire de fou

Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras de Zig]

Ronan soulagé, de m'avoir enfin retrouvé, il se laisse aller aux bons soins de la belle Marveyn, son tour viendra pour le reste des soins auprès de la Duchesse de Courcy.

Zig jette un oeil aux doigts d'Origan et semble fixer mes quenottes, Je lui souris large, et passe ma langue sur mes 14 dents.. La quinzième et donc 3ème canine ne tardera plus maintenant, je fais claquer mes dents en souriant à Gan-Gan pendant que Zig parle avec Ronan et Adeline.

"Tout va bien, c'est plus impressionnant qu'autre chose... Je n'ai rien senti, j’étais si.. si inquiet, j'ai du passer trop près du stand d'outils.. Je ne sais plus à vrai dire. Mais Hanna est là.. saine et sauve, c'est tout ce qui m'importe.."

Je souris et nargue Gan-Gan en haussant mes petits sourcils,

"Hihi"

Et oui je suis : tout ce qui importe mouhaha !

Zig me fait des risettes, et je lui en rend tout plein, c'est mon préféré ! Il a toujours plein de jeu !

« Je vais garder Hanna pendant que tu te feras rafistoler ce genou. Et puis, ça me permettra de profiter d’Hanna… »

Chic Chic !

La duchesse et amie de maman me caresse la joue, mais elle, je ne cherche pas à la mordre, j'ai eu mon compte de grignotage avec Origan. Quand il parle de chien errant, je ris et j'imite à la perfection les aboiement de Luschka, Beau et Areia.

[Pendant ce temps là..]

Près de l'étal du crémier, ce dernier monte une énorme motte de beurre pour l'écossais, racle les barattes, il ne sait pas combien de livres, il montera ainsi, mais il est certain de faire payer le prix d'au moins 10 livres pour le travail réalisé... Une motte géante de beurre en forme de pyramide... On aura tout vu ! Non mais vraiment ! C'est une bien drôle de famille que celle là. Elle sera livrée comme demandé en Auvergne, une fois le paiement effectué.

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“Si la rencontre est un hasard...

Hanna_de_la_serna

...La rupture est toujours une nécessité.”

[Place du marché de Fécamp avec Ronan]

Confortablement installée dans une petite charrette, je me laisse promener telle une véritable princesse par mon gouvernant suppléant en l'absence de Zig. Ronan est moins drôle que Zig, mais je ne sais pas où est Zig, ni ce que fait maman.. Je ne la vois pas beaucoup, un peu le matin, un peu le soir, mais la journée, je ne vois que la tête de Ronan... J'ai envie de changement. Soudain, une tête connue, alors je crie !

"Zig !

- Hanna, restes tranquille, Zig est à Lisieux, compris ?

- Zig ! Zig !

- Cela suffit Hanna ! Il n'est pas là ! Et je le regrette autant que toi !"

Ben ouais les langes c'est pas son truc, et mes morsures commencent à bien faire... selon ses dires..

Il peut dire ce qu'il veut moi, je suis sure que je l'ai vu mon Zig, il est tout blond et tout pâle ! ça court pas les rues ! Je râle un peu parce que Ronan ne me croit pas, faut croire que papa- ours déteint sur moi, râler, je sais faire et j'adore ça !

Un peu plus tard, Ronan est en pleine discussion avec un fermier pour une histoire de lait et de beurre, je profite de son inattention, et me laisse glisser de mon modeste carrosse, limite une brouette... Et je louvoie entre les badauds pour retrouver Zig, je dois regarder parterre pour anticiper les gros panards normands mais aussi de temps à autre lever le nez pour voir leur tête... Vachement loin de leurs pieds !

"Houhou ! Zig !"

Des paires de jambes me bousculent soudain, je prends peur et viens me réfugier près d'un étal, ma main trouve de quoi s'agripper, le revers d'une botte verte. J'ai soudain des regrets, je n'aurai pas du partir.. Je veux..

"Maman"

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Origan

sur le marcher de Fécamp

Origan bien que résident à Dieppe, était depuis quelques semaines à Fécamp, son rôle de bailli l'avait amené jusqu'ici.
Il aimait flâner sur le marcher, on y faisait tant de rencontre bonne comme mauvaise.
Beaucoup de monde affluait dans les rues, il venait d'acheter un morceau de viande Made in Vires, qu'est ce qu'elle est belle la Duchesse de Vires,
et qu'est ce que l'andouille c'est bon ! il espère que la viande le sera tout autant !

Il s'arrêta à une nouvelle échoppe pour trouver quelques légumes rares...Puis salua le marchand

Merci Messire ! Je vous en direz des nouvelles de vos choux !

il voulu faire un pas pour se retourner et quelques choses retenait sa botte.
Le jeune barbu baissa la tête et vit une très jeune demoiselle agrippé à celle-ci, haute comme une botte

Bon-Bonjour toi !

Il avait légèrement bégayé en la voyant...il connaissait d'autres petites créatures comme ça,
les enfants de Maria à Dieppe,
la fille adoptive de Prinne, mais une si petite pas encore...

La voyant accrocher de plus en plus à sa botte, il lui demanda
son prénom d'un air plutôt rassurant, c'est qu'en plus elle était mignonne la petite, ces petites boucles brune et sa petite bouille inoffensive

Hé bien Petite, comment tu t'appelle ?

il s'abaissa et déposa son panier à terre
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Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp avec quelqu'un]

Je regarde les gens passer, ils marchent tous bien trop vite, je me cramponne à mon pilier, sagement. Mais le pilier essaye de s'en aller, je le retiens et je relève la tête pour râler et lui ordonner de ne pas bouger.

"Bon-Bonjour toi !"

La botte me parle ?! Hi ! Et si je la croque, elle va crier ? Mes menottes palpent ce qui ressemble à une jambe, quand j'appuie un peu, le genou avance vers moi et la voix se rapproche.

"Hé bien Petite, comment tu t'appelle ?"

Je lève la tête, attirée par la voix et regarde l'humain, je savais bien que les bottes ça parlaient pas... Avec toutes celles que j'ai mâchouillé, y en aurait au moins une qui aurait crié. A la maison, les chaussures sont suspendues dans les escaliers, pour pas que j'y touche... Les parents c'est pas drôles.. Zig lui, il me laisse même mordre son bras quand j'ai mal !
Je souhaite néanmoins rendre la politesse à mon interlocuteur/sauveur et donc je lui souris et me présente prestement, Hem-hem.. Hanna Iseabail Korydwen, ravie ! Bon j'ai que 22 mois alors même si ça pédale vite dans ma tête, ma bouche ne suit pas vraiment et sort un banale..

"Nana !"

Je le regarde, le soleil mange la moitié de son visage jusqu'à ce qu'il soit assez près, je regarde son chapeau, j'aime bien cette couleur. Je tend les bras vers lui, non seulement parce que je suis fatiguée, mais je me dis qu'il est assez grand pour que je puisse repérer Zig et à défaut Ronan.

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Origan

Origan regarda toujours ce petit bout d'humain avec insistance puis lui à l'énoncer de son nom lui rétorqua le sien.

Bonjour Nana ! Moi c'est Origan !

Puis il vit la moue de la petite qui semblait un peu perdue parmi cette foule de monde au marcher, il adore les enfants et ne peut laisser cette petite là près de cette étale à choux.
Il lui tend les bras à son tour

Viens là, on va voir où es ta maman...ou ton papa...

Il était pas très costaux Origan mais souleva la petite qu'il pensait plus lourde avec la couche. Elle se laissa faire, par fatigue ou par peur d'être seule il ne savait pas mais en tout cas il avait l'impression d'avoir sauver une petite du piétinnage.
Elle ne le regardait plus lui mais son beau chapeau vert.

Tu veux l'essayer ?

Il essaya de détendre la petite perdue et de lui décrocher un sourire, c'est qu'elle avait l'air d'avoir du caractère ce petit bout là.
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Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras d'Origan]

Sur mon élégant perchoir, je fixe toujours le chapeau en oubliant Ronan, puis l'humain me parle, je me souviens qu'il m'a dit s’appeler "Origan", curieusement cela m'amuse et je lui montre mes mains et je ris. Je pose mes mains sur ses joues et tire un peu sur ses paupières inférieures en le regardant dans les yeux.

"Gan - Gan 'Apeau !"

Cela m'amuse car Maman dit souvent à Ronan de me mettre mes gants et mon chapeau, beh il a oublié cet idiot, mais pas grave j'ai un Gan-gan 'Apeau maintenant !

L'homme me parle de mes parents, sauf que mes parents ne sont pas au marché, et je ne sais même pas où ils sont... la règle veut que eux savent où je suis et avec qui, mais alors moi... Je n'ai pas voix au chapitre sur qui s'occupe de moi... Je soupire telle une tragédienne, à la limite de mettre mon avant-bras sur mon front.

"Pas Maman - Onan !"

Un... Deux... Trois... Protocole des chouineries.

Numéro Un, je cligne des yeux pour faire monter les larmes, je les recouvre ensuite de mes mains.. ben oui le temps que ça monte, mais j'écarte un peu les doigts pour voir Gan-gan, victime qui s'ignore.

Numéro Deux, je bascule la tête en arrière, pour mieux le voir avec mes paupière mi-closes.

Numéro Trois, et c'est le pire ! Je chouine, si fort...

Je ne suis pas malheureuse, la seule raison de cette crise, c'est qu'il faut le savoir un enfant est imprévisible, ensuite et c'est le plus important, j'ai vu un étal de pain ! La rumeur dis qu'un enfant se calme si on le nourris. Testons cet humain.

"Nana - Paiiiiiiiiiiin !"

Et là, si ce n'est pas assez clair.. je lui hurle dans les oreilles... Faisant se retourner les badauds vers lui.

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Origan

[sur la place du marché]

Il regarda ce petit bout avec de gros yeux, ne comprenant pas directement quelle mouche l'avait piquer.
Mais punaise ça montait fort en décibel ces bougres de petites choses inoffensive, lui avait-on dis. C'est vite dit !
Il se senti visé par toutes la populace de la ville d'un coup d'un seul, il se dit que d'un côté le jour ou il devrait attiré l'attention de tous il se munirai bien d'un petit bout comme ça, c'est mieux qu'une corne de brume.
Ne sachant que faire il lui posa le chapeau sur la tête et se retourna vers le marchand.

Pain Pain...

comme si c'était si simple...mais pour elle ça le semblait oui...il regarda sa maigre bourse puis autour de lui voir si il ne restais pas un morceau de miche quelques part sur une étale pour lui fourré dans la bouche ça l'occupera !
Il hésita à lui mettre un morceau de viande de Vires l'espace d'un instant en pensant que la mastication lui aurait pris plus de temps mais non !

La pression se faisant ressentir et surtout la peine qu'avait ces oreilles à endurer le supplice ultime, il demanda au marchand ,entre cris et pleurs, une miche de pain.
Et en plus il fallait avoir 5 bras pour un petit bout comme ça, jongler avec sa bourse, garder l’œil sur la sacoche, tenir la chose dans les bras, essayer d'entendre le marchand
qui tente de le racketter vu la situation

- 6,20 écus la Miche Messire

PARDON ??? J'entend rien !

- 6,30 écus la Miche Messire...

Non mais parler plus fort que diable !

- Aller dernier prix 6,25 écus et parce que j'ai pitié !

Vendu j'ai pas le choix là c'est une question de perte d'audition

ensuite payer et prendre la miche de pain couper un bout et là
Origan tend un morceau de pain au petit monstre hurlant.

Aller hop ! Enfourne moi ça et après on va essayer de retrouver Maman, Onan ou ... enfin quelqu'un !
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Theodore.

Maintenant que la duchesse de Serna-Vadikra lui avait trouvé un endroit où crécher pour les nuits à venir, Théodore se trouvait soulager, mais peut-être devrait-il payer pour toutes les nuits qu'il passerait dans ce lieu ? Il faudrait le lui demander, il n'était pas de la famille et il voulait bien travailler pour payer ce qu'il devait pour l'hébergement. Il se promenait dans Rouen à la recherche d'un emploi pour la journée. Il savait tout faire, nourrir du bétail, traire des vaches, faucher du blé, récolter des épis de maïs, des légumes, égorger des vaches et des cochons. Mais pour le moment, il ne trouva rien. Théodore se contenta de se promener dans dans les ruelles et soudain, il s'approcha du marché, il entendait des cris de joies. Les poissonniers qui gueulaient pour vendre le poisson, les voix des uns, étouffaient celles des autres. Il s'approcha alors qu'un homme semblait râler après le prix du pain, il aurait du aller chez un concurrent. Néanmoins le visage de la gamine qu'il portait et tentait de museler avec du pain lui disait grandement quelque chose.

Il s'approcha doucement, il avait cru entendre l'enfant donner de la voix. Il s'inclina face à l'homme qui semblait occuper une place de prédilection dans la société normande.

Messire, sauf votre respect, vous auriez du acquérir du persil pour préserver vos oreilles des cris de cette enfant.

Il sourit et montra du doigt un vendeur d'épice et d'herbes aromatiques.

Car cette enfant je la connais et elle est connue dans tout le Bourbonnais-Auvergne pour donner de la voix. Oh vous êtes le nouveau nurse d'un Duc de normandie, le Duc de Tancarville messire Drahomir de Vadikra ?

Il sourit avant de s'incliner de nouveau.

Je m'appelle Théodore.

Devait-il lui tendre la main pour le saluer ? Il semblait avoir un statu plus élevé dans la société que lui, devait-il au contraire s'écraser ? Toujours est-il qu'il resta à sa place, se contentant de faire un sourire à la petite Hanna. Se souvenait-elle de l'homme qui passait chaque jours à Mirefleurs pour entretenir le feu de la cheminée de sa chambre ? Peut-être ou peut-être pas.
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Employé de Mirefleurs - Chargé de l'entretien des feux de cheminées.
Momentanément absent de Mirefleurs et de Montbrisson il ne peut donc plus surveiller la maison du bord du lac des Comtes Serna-Marigny
En mission spéciale en Normandie selon le bon vouloir d'une Comtesse.

Origan

[Fécamp à côté du vendeur de pain trop cher]

c'est que c'est dur de visé la bouche d'une si petite chose qui crie.
Par la sainte boulasse, mère de tous ici, faite quelques choses !
Un homme qu'il ne connaissait pas l'accosta et il tendait l'oreille pour bien l'entendre, il avait l'air courtois et sensible à cette chose qu'il tenait dans ces bras.

Oh bonne idée pour le persil, il me faudrait deux bottes entière pour mettre dans mes oreilles, des bottes de Persil bien sur !
Je me nomme Origan enchanté

puis il entend que cet homme semble connaitre la jeune fille qu'Origan tient toujours dans ces bras.
Une bonne nouvelle enfin !
Puis en plus c'est lourd ce petit truc

Messire Drahomir de Vadikra dites-vous ??!!!

il connaissait ce nom bien qu'il n'ai pas encore eu le plaisir de s'étendre en conversation avec ce Duc.
Ce monst...Cette jolie jeune fille lui appartient ? Je l'ai trouver accrochée à ma botte, elle semblait être perdue.
Tout s'explique, si cette petite chose hurlante est à Drahomir il comprend d'où vient se caractère mi-femme mi-ogre.
D'un coup il eut l'impression de tenir un très joli cadeau empoisonné dans les bras
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Theodore.

Théodore espérait que l'homme ne lui en voudrait pas de l'avoir ainsi interpelé, peut-être que cela ne se faisait pas, d'autant qu'il semblait fort bien habillé. Enfin mieux que lui c'était certain. Il attendit avec une grande patience sa réponse, essayant de capter les mots à travers les babillement, ou plutôt les hurlements du bébé.

Enchanté messire Origan.

Il se retint de rire en imaginant l'homme essayer de se mettre les deux bottes dans les oreilles, peut-être que cela éviterait de sentir la pluie ? Nouvelle méthode de lutte anti-pluie ? Mais à la tronche que tire l'homme, il se demande si c'est une bonne chose ? Il semble totalement déboussolé et pris au dépourvu.

Je l'ai vu cette petite à Mirefleurs en Auvergne quand elle séjournait chez sa grand-mère la Comtesse.

Théodore se sentait un peu con face à l'homme pour le coup. Il se demandait si un biscuit d'Alexandre lui rendrait des couleurs ?

Oui, c'est sa fille messire. Ah elle a du s'enfuir. Peut-être que son nurse ZigZag ou Ronan est dans le coin. Ou alors son père ou sa mère. Peut-être devrions-nous chercher ?

Qui avait perdu le bébé ?
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Employé de Mirefleurs - Chargé de l'entretien des feux de cheminées.
Momentanément absent de Mirefleurs et de Montbrisson il ne peut donc plus surveiller la maison du bord du lac des Comtes Serna-Marigny
En mission spéciale en Normandie selon le bon vouloir d'une Comtesse.

Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras d'Origan]

Vous me croirez ou non, mais mon caprice a fonctionné ! J'ai fait acheté une miche à un inconnu ! Mon pouvoir est sans limite ! Mouhaha ! Malheureux humains ! Un jour je gouvernerais le monde ! Niark niark.. Trop facile !

Un homme que je reconnais s'approche pendant que je continue de faire mon "ouin-ouin" bien rodé. J'ai envie de sourire à Théo, je me souviens de lui, il fait danser les flammes dans les cheminée de Mamilly Ory.

Je continue de crier, parce que Gan-Gan ne sait pas viser ma bouche, le pauvre approche sa main de mes lèvres tout en discutant avec Théodore, je n'aurai pas de seconde chance d'attraper mon quignon de pain. J'ouvre grand la bouche et croque dans le pain... et.. ah y a un truc avec c'est pas bon, je re-croque pour être certaine du goût, beurk vraiment pas bon, je sais pas où ça a traîné mais ça sent le chou !

" Pouah ! Pas bon Gan-Gan !"

Je me calme petit à petit, il est difficile de pleurer et de manger en même temps. Je me montre même polie !

"Nana - Paiiiin 'Ci!"

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Origan

[Place du marché de Fécamp - Oh ça fait mal]

Ah, je ne sais quelle tête ont ces hommes, je connais de nom son nurse Zigzag compagnon de mon amie Blanche. Mais point Ronan !
Si vous pouviez m'aider je suis preneur.

tout en discutant il enfournait le quignons de pain dans la bouche de la jeune Ogresse.
D'un coup il sent une pression assez forte puis sa peau qui cède sous les dents de l'enfant sauvage, il se mit à dandiner sur place, essayant de tenir la petite tout en faisant la chorégraphie de l'homme pas résistant qui vient de se faire affreusement mal.
C'était une morsure sanglante, très sanglante !!

AHHHHHHHHHHHH OUHouHouHou

il cherche a refiler le colis à quelqu'un tout en continuant sa danse de la souffrance.
Son doigt saignait abondamment, bien sûr il en rajouta fortement, il devait être à l'agonie du mal de doigt mordu par une fillette.
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Zigzag

Quelque part – sur le marché de Fécamp

Vous savez comment les femmes qui allaitent ressentent lorsqu’elles sont loin de leur petit et qu’il l’entend pleurer, au loin ? Leur corps réagit, et, bien malgré elle, le lait maternel monte en elle à l’appel de détresse de leur progéniture.

Bon, Zig n’en était pas là, heureusement pour sa virilité, mais il connaissait ce pleur comme nul autre et il savait qu’il appartenait à sa petite princesse. L’oreille aux aguets, il était retourné sur ses pas, cherchant parmi la foule nombreuse Ronan, ou Carmen ou Hanna elle-même.

Inquiet, il cherchait partout. Oh, il avait eu droit bien des fois les pleurs de détresse, les jérémiades de caprice, les sanglots de peine non retenue et à chaque fois, il ne pouvait résister à ça, même si sa princesse ne le faisait que pour manipuler. Alors, ce pleur, il l’appelait, de toutes les fibres de son corps.

Au premier braillement, on se retourne, on cherche partout du regard. Au deuxième, on localise et on se précipite.

Deux hommes avec Hanna. Mais où est Ronan? Hanna dans les bras d’un homme qui s’agite, et… du sang? Alors le Zig, il se précipite, vole la petite des bras de l’homme qu’il remarque à peine.

« Hanna! Tu saignes ma petite princesse? Ce sont les vilains messires qui t’ont fait du mal? »

Le Zig inspecte, passe en revue la bouille d’Hanna, tous ces petits doigts sont bien en place et, à part un peu de sang au coin de sa bouche, tout semble normal.

Protecteur, le Zig fait bouclier de son corps, éloignant Hanna de la porter des vilains bonshommes, la portant tout contre lui pour la protéger avant de reluquer les deux hommes.

S’il reconnait Origan, qu’il a croisé à Tancarville, il reconnait le second, mais sans savoir d’où il le connait. Origan fait une drôle de danse, se tient le doigt qui saigne abondamment et Zig comprend d’où provient le sang qu’il a aperçu, et même s’il compatit avec l’homme, il est rassuré et esquisse même un petit sourire de soulagement lorsqu’il constate que finalement, il n’y a rien de grave. Néanmoins, il reste qu’Hanna était avec des inconnus…

« Où est Ronan? Où est Carmen? Vous savez que c’est sa fille que vous teniez dans vos bras? Que s’est-il passé? »

Bon, pour cette dernière question, il savait déjà la réponse pour avoir lui-même servi de mise en bouche pour la petite Hanna, mais, il se disait que ce n’était que politesse de demander et de feindre d’ignorer la réponse… pour sauver Hanna des apparences de vilaine croqueuse.

Et le Zig, plus rassuré, adresse un beau sourire à Hanna, qui semble plus calme dans ses bras.

« Tu sais que tu m’as manqué, toi, ma petite princesse! »

Et un bisou se dépose sur la joue rose d’Hanna

Origan

[Place du marché de Fécamp - La danse de la souffrance]

il se laissa prendre le colis par un homme qu'il aurait reconnu entre 1000 tellement son amie Blanche lui en avait parler.
il continue à presser son doigt en essayant d'arrêter de sautiller et explique tant bien que mal l'histoire.

Messire Zig, je suis bien heureux de vous voir malgré les circonstances.
Théodore me disait justement à qui était cette ...

là une série de nom d'oiseaux lui vient à l'esprit mais connaissant la statut de la jeune cannibale, il préféra dire ...

jeune et jolie Princesse.
Je faisait mon marcher quand je l'ai trouver perdue et affamée accrocher à ma botte.
J'ai essayer de lui donner un quignon de pain et là...
Elle m'a Gniaker !
Je ne sais rien d'autre Messire Zig !

Tenant toujours son doigt, il s'adressa aux deux hommes.

Pouvez-vous aller chercher ou me conduire à Adeline de Courcy, elle est sur le marcher je pense et elle est médecin !!
J'ai peur que cela s'infecte !

Toujours douillet et trouvant une bonne excuse pour voir Adeline, il se mit à chercher autour de lui si la plus belle femme de Normandie était dans les parages
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Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras de Zig]

Après la danse de Saint Guy de Gan-Gan, qui a eu le mérite de me faire sourire, je retrouve des bras connus et aimés ceux de mon gouvernant, une nurse sans "e" mais avec tout autant d'amour.. Je noue mes bras autour du cou de Zig et quand il interroge sur qui m'a fait mal, je pointe mon index accusateur vers Origan. Et j'explique à Zig toute l'histoire..

- J'avais faim et Origan m'a donné du pain, mais il a mis ses doigts et c'était détestable ! C'est un chou Breton !

"Nana Faiiimg - Gan Paiiing - Gan pas bon !"

Avec un petit accent du sud, que je sais pas d'où qu'il vient lui.. surement en exagérant un peu.. Je mets mes mains sur mes joues pour lui montrer le désastre que cela fut pour moi, de croquer ses doigts là, des doigts au chou quoi ! Et je lui refait un câlin cou.

"Zig ! Mon mien !"

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Theodore.

Pauvre homme, il se retrouvait avec le pire cadeau empoisonné du monde, même une lame enfoncée dans un dos pourrait paraitre plus douce que les dents délicates d'un bébé ogre qui croque les doigts à la place du pain. Etait-elle vexée ? Toujours est-il que Théodore se garda bien de proposer de la prendre. Déjà il n'était pas nurse, il ne s'était jamais occupé d'enfant. Alors quelle idée saugrenue il aurait eu de proposer.

Oh la peste soit elle !

Il allait tout de même aider le brave homme, tendant les bras pour attraper le monstre, avant qu'un autre homme digne de la pire furie du monde arrive au pas de course. Encore un qui séjournait à Mirefleurs et qui ne s'était pas souvenu de sa trombine. Le bas peuple était bien trop négligé parfois. Pas le temps de répondre, néanmoins, Théodore sourit.

Oui messire ZigZag, et nous ne sommes guère des vilains. Je ne suis pas paysan, voyons. Je suis un employé de maison. Je travaille pour madame la Comtesse.

Il se tourna de nouveau vers Origan.

Je ne sais guère où se trouve ma Dame de Courcy, mais je puis vous conduire si vous le désirez, après tout, la petite semble être avec messire en sécurité. Alors que faisons-nous ?

Où était-il tombé ? Où l'avait envoyé la Comtesse ! Misère ! Il n'était pas sorti de l'auberge.
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Employé de Mirefleurs - Chargé de l'entretien des feux de cheminées.
Momentanément absent de Mirefleurs et de Montbrisson il ne peut donc plus surveiller la maison du bord du lac des Comtes Serna-Marigny
En mission spéciale en Normandie selon le bon vouloir d'une Comtesse.

Zigzag

Puisque Hanna, la gentille princesse, était saine et sauve, Zig se sentait un peu honteux de son comportement et il rougissait devant la précipitation cavalière qu’il avait mise à accuser de tous les tords de la terre les deux messires devant lui, qui finalement, avait sauvé la petite des griffes d’un vilain monstre… ou de pire encore !

Je vous prie de me pardonner, messires Origan et Théodore, je vois bien que vous avez essayé d’aider notre petite princesse.

De sa poche, il sort un morceau de tissu propre et le tend à Origan.

Tenez, enrobez votre doigt là-dedans, pour contenir le saignement.

En se tournant vers Théodore qui expliqua d’où il l’avait vu, Zig se remémora le serviteur discret qu’il avait croisé à Mirefleur. La Comtesse était en Normandie ? Enfin, il aurait à poser des questions plus tard, pour l’instant, il s’agissait de soigner Origan.

Théodore ? Oui, je me souviens de vous. Vous voulez bien escorter Messire Origan ? Je me charge d’Hanna et de trouver celui ou celle qui a perdu la petite vagabonde que nous avons attrapée…
Et puis, Dame Carmen est médecin aussi, peut-être qu’elle pourra vous soigner si nous ne trouvons pas la Dame de Coucy?
Et nous nous retrouverons plus tard, si vous le désirez ?

Plein de compassion, Zig doutait qu’Origan puisse avoir envie de revoir tout de suite « la fée croqueuse de doigts d’épice ». Mais l’offre était là.

Restait à trouver le gardien d’Hanna qui avait perdu son colis. Pour l’avoir lui-même perdu, quelquefois, il savait que c’était des moments de pure panique quand on perdait de vue la princesse croque-tout…

Et d'une caresse sur la joue d'Hanna et sur sa lèvre, il fait disparaitre les traces du délit.

--Ronan..

[Marché de Fécamp]

"Non non, il me faut 8 Livres de beurre !

- Impossible, vous ne pouvez pas tout prendre !

- Mais c'est du beurre de Vire, Je veux ce beurre !

- Et je vous ai dis non, 2 Livres ! Et revenez demain.

- Damnú air !

Ronan a pris l'habitude d'être grossier seulement en gaélique, ainsi si Hanna répète, ce n'est compréhensible que pour peu de personne.. Garder un enfant c'est faire tout un tas de sacrifice. Zig n'est pas grossier lui. Ronan commence à avoir quelques complexes vis à vis du jeune blondinet.

Il achète deux livres de beurre et continue de râler en remplissant la charrette, il s'aperçoit qu'il a de la place... Trop de place !

"Hanna !"

Sa mère va m'étriper, m'étrangler avec mes tripes et m’ébouillanter... Ronan à la mode de Caen... il soulève les nappes des étales, cherche au ras du sol, s'agenouillant pour la voir, c'est la qu'il se prend un panier dans la tronche... et là il pense au nombre de panier que la petite a du percuter.. La panique se lit sur son visage... Il reprend ses recherche en déambulant sur la place du marché. Appelant la petite.

Marveyn

[visite des marché voisins]

Marveyn avait décidé après avoir retrouvé son promis et c'être enfin installé a Rouan de visiter les marché des villes voisines. Elle voulait connaitre tout de cette Normandie, leurs habitudes, leurs activités , leur productions, les produits locaux qu'elle ne connaissait pas et qu on ne connais pas dans le sud où elle est née.

Elle avançait tranquillement et repéra un regroupement, des hommes et une enfants. Elle s'approcha doucement , toujours se dirigeant vers le marché, écouta un moment discrètement les dires de chacun, sans même cerné la discussion. Cette enfant serait elle en danger ?

Elle s'approcha encore , puis s’arrêta, plus près une vue et des oreilles plus adepte a les entendre discrètement, en regardant ici et là l'endroit de ce marché. Elle saluât du regard quelques passant et resta posée là regardant ailleurs mais à écouter ce qu'il ce passait et reconnaissant quelques visages déjà croisé y'a pas bien longtemps
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--Ronan..

[Marché de Fécamp - Panique !]

l'Ecossais est blanc comme un linge, des filets de sueur froide nourrissent ses frissons, il ne se sent vraiment pas bien, ses jambes flagellent, il a perdu le bien le plus précieux de sa Dame, il pense à tous les scénario, percuté par le sabot d'un cheval, piétinée, enlevée !

"Hanna !"

Il joue des coudes dans la foule du marché, essaye de se concentrer sur d'éventuel cri de l'enfant.. rien, il n'entend que le sang battre dans ses oreilles. Il continue d'avancer et croise une jolie damoiselle. Il est persuadé de l'avoir croisé à Tancarville, il se lance à sa rencontre.

"Dame Marveyn ? Pardonnez-moi.. Auriez-vous vu, une petite fille brune ?"

Il montre la hauteur de son genou,

"De cette taille environ"

il ouvre la bouche et désigne ses dents, ouais avec la panique il fait n'importe quoi et parle très vite,

"Elle a 14 dents, enfin la 14ème sort, sa seconde canine, juste ici.. Je... j'ai regardé ailleurs.. et la minute d'après... Elle avait disparu.."

Ah il la connait bien la dentition du monstre Sernesque, elle croque tout...

Marveyn

Marveyn vit un homme approcher qu'elle ne reconnu pas de suite,elle refléchissa un instant, il la nomme de son prénom c'est qu'elle le connais, houlàlà mais qui est il? , et si sa moitié passé par là la voyant discuté avec un homme, il en serait capable de devenir fou. Elle sourit et le nom lui revint en mémoire, enfin elle croit !

Messire Ronan , Bien le bonjour,

Elle compris vite sa panique

la petite , oui je l'ai vu enfin je crois que c'est elle , des gamines dans un village y'en a plein, mais là j'ai été surprise, deux , voir trois je sais plus bien était après elle de l'autre coté du marché,juste par là

Elle lui montra la direction, puis ne vis plus l'attroupement

mais j'étais trop loin pour entendre ce qu'il lui disait. Mais Messires vous avait pas l'air bien, vous devriez vous assoir un moment, vous êtes blanc comme un linge qu'on viens de faire bouillir, puis faudrais pas laisser votre genoux comme ça, bouger pas je vais mettre quelque chose dessus

Elle souleva le bas de son jupon,et arracha un morceau du tissus

Allez montrez moi votre genoux !
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Deedee

[Sur la place du marché, le nez dans les étals]

-Ma Dame vous devriez rentrer.

-Mais non Justin, je me sens parfaitement bien, je vais rester encore un peu. Y’a tellement longtemps que je n’avais arpenter le marché.

Et elle se sentait parfaitement bien, bien assez pour marcher encore un peu et s’en mettre plein les narines de toute les senteurs qui émanait des différents étals autour d’elle.
Cela faisait bien longtemps qu’elle n’avait parcourue un marché de cette façon, bien trop longtemps qu’elle laissait à ses gens le soin de s’occuper de cette tâche. Comment aurait-elle pu de toute façon ? Bon… bien sur le moment aurait pu être tout à fait agréable si Justin n’avait pas été là, à la surveiller comme on surveille le lait sur le feu.

Depuis leur départ, Adeline le sentait là surveillant ses moindres fait et geste, prêt à tendre les bras si elle venait à tomber, c’était adorable mais….
Elle n’était pas en sucre !

-Justin… Vous me fatiguez à me tourner autour comme ça. Je vais m’assoir un instant près de la fontaine, allez donc me chercher quelque chose à boire et à manger.

Puis voyant l’air incrédule de son cocher…

-Je vous promet de rester sagement ici. Je ne vais pas me sauver !

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Theodore.

Théodore attendait tranquillement que ses vis à vis décident de ce qu'ils devaient faire et par où ils devaient aller. Il voulait bien escorter mais il n'avait aucune idée du lieu où résidait la Duchesse. Pas la Duchesse Carmen, l'autre Duchesse, celle qui était venue à Mirefleurs également au labyrinthe. La mémoire visuelle était très active, il devait reconnaître les gens pour virer à coup de bottes dans le derrière les malotrus de Mirefleurs. Heureusement le sir s'excusait.

Théodore opina du chef, que devait-il dire ? Rien il n'était qu'un serviteur, il se contenta de ce fait de sourire à l'homme. Lui souhaitant de ne pas perdre la raison devant plus mauvais que lui. Devant un roi ou autre qui saurait lui faire sauter la tête, tel un vulgaire bouchon de champagne.

Oui je le veux bien. Mais je n'ai nulle idée du lieu de résidence de Sa Grâce de Courcy.

Il se mâchouilla tranquillement les lèvres pour réfléchir, puis se tourna vers Origan.

Et vous messire ? Vous savez où trouver la dame médecin ?

Parce que lui, il n'en savait pas plus. Il n'était point normand et ne comptait pas réellement le devenir. Par où aller ?
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Employé de Mirefleurs - Chargé de l'entretien des feux de cheminées.
Momentanément absent de Mirefleurs et de Montbrisson il ne peut donc plus surveiller la maison du bord du lac des Comtes Serna-Marigny
En mission spéciale en Normandie selon le bon vouloir d'une Comtesse.

--Ronan..

[Marché de Fécamp - Avec Marveyn]

Le brun s'assied et se plie au bon vouloir de Marveyn, tout à sa panique, il ne s'est pas aperçu de la gravité de la plaie quand il s'écorcha contre un étal, en cherchant la petite Hanna. Il se passa la main dans les cheveux.

"Si je ne la retrouve pas, elle me tuera !"

Il laisse Marveyn regarder son genou, il s'installe pour lui faciliter la tâche d'ailleurs, peut-être, est-elle médecin ? Il lui sourit car elle n'est en rien responsable de la perte de la petite Hanna.

Son regard se pose au loin, il aperçoit une chevelure connue, il saut sur ses pieds et s'écrie en battant des bras.

"Dame de Courcy ! Dame de Courcy !"

Il est soulagé de voir la Duchesse de Vire, elle est mère, elle saura les aider à trouver Hanna.

Origan

[Place du Marcher le doigt percé par la quenotte de la princesse Ogre]

Bien sur qu'il aurait pu attendre la Duchesse Carmen, mais il ne vivait pas aussi dangereusement pour ça...vu sa fille peut-être qu'il se serait fait amputé tout le bras avec cette femme là...il ne la connaissait pas assez pour savoir si tous ses membres pouvait être sauf après cette visite médicale.
Et a vrai dire il avait une confiance aveugle dans le jugement d'Adeline, c'est donc vers elle qu'il aurait aimé se tourner pour ce genre de problème

Par ici Messire Théodore.
On la trouvera elle n'est pas loin j'en suis sur...
Vous ne pouvez la manquer !

Ils dirigent vers le centre de la place là ou il y avait un peu plus d'affluence certes mais elle devait être là, il bousculai quelques promeneur égaré sans doute ils déambulaient tous alors que lui se vidait de son sang.
L'échoppe de viande de Vire n'était pas loin, il pouvait sentir l'odeur de la viande fraiche... il était sur qu'elle se serait promenée elle aussi dans le marcher, il est vrai que le temps était doux et qu'une balade loin serait très agréable par ce temps... si on ne se faisait pas mordre par des Princesses Ogre à tous les coins de rue.

Il tenait toujours son doigt lorsqu'il aperçoit la Duchesse assise paisiblement au bord de la fontaine, machinalement il remballait son doigt dans un légère étoffe pour ne pas en mettre partout.
Si il avait su qu'un simple doigt pouvait saigner autant à la morsure d'une jeune fille à moitié sauvage.

Il ne se mit pas à courir en la voyant, il ne voulait pas l'affolé et la faire accoucher sur la place du marcher de Fécamp, et pourtant il n'avait qu'une envie lui raconter sa misérable aventure avec la première gamine qu'il a osé prendre dans ces bras.

Duchesse de Courcy ?!!!!
Regardez Messire Théodore elle est là !! Venez !!!

Il se rapprocha toujours un peu plus de la fontaine le doigt toujours en sang.
Au pire il allait pouvoir faire passé cette blessure pour sa première blessure de guerre, il repensa à un combat en lice qu'il avait vu un jour et une pensée lui vient

Origan zéro
Hanna un
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Zigzag

[Marché de Fécamp – Avec Hanna dans les bras]

La princesse croqueuse dans ses bras, il quittait les uns pour chercher les autres.
Bon! Zig n’était pas très grand mais il s’étirait du mieux qu’il pouvait pour trouver une tête connue. Une tête d’écossais roux? Ou une Espagnole a long cheveux noir? A moins que ce soit l’Ogre barbu?

Le Zig, il cherche dans toutes les directions, fait un tour sur lui-même en regardant au loin, mais ne trouve personne.

"Alors, Hanna, on a encore un jeu de cache-cache à jouer nous deux. Alors on va chercher tous les coins d’accord! On finira bien par trouver l’infââââââme qui a osé t’abandonner."

Un petit sourire a Hanna et un petit bisou sur le bout de son petit nez et le voilà qui se promène avec son joli fardeau partout, reluquant hommes et femmes qui croisent son chemin.

Dans l’interstice des gens qui se croisent, il voit au loin, près de la fontaine, la Dame de Courcy, celle que réclamait à grands cris Origan. Carmen n’est peut-être pas très loin ? Et puis, il ne trouvait pas mieux comme route et indices à suivre, alors à pas de tortue, en écartant les passants, il fait son chemin jusqu’à la fontaine, souriant à Hanna.

"Alors jolie princesse, je crois qu’on a trouvé une coéquipière qui pourra nous aider à trouver celui qui se cache? On lui demande son aide?"

Deedee

Et elle était assise depuis à peine 5 minute qu’une voix familière se fit entendre. Levant la tête, espérant que ce ne soit pas Justin qui revienne déjà, Adeline chercha de tous les côtés qui avait pu la reconnaitre et l’interpeller et ouvrit de grand yeux en reconnaissant Ronan faire de grand geste parmi la foule.
Par tous les Saints mais que faisait-il là ?!
Instinctivement elle tourna la tête de tous les côtés espérant ne pas voir apparaitre à sa suite Sœur Ulricka et sa démoniaque clochette…

-Ronan ?! Mais que faites-vous là ?

Demanda-t-elle, légèrement craintive de se prendre une remontrance, lorsqu’il fut arrivé à sa portée.

Oui, parce que forcement, Ronan seul voulait dire « en mission de la part de Carmen pour surveiller Vire », sinon Ronan… était forcément accompagnée de la petite tornade sernienne.
Mais... Voyant le regard légèrement inquiet de son interlocuteur, la duchesse fronça les sourcils un instant avant de demandé.

-Quelque chose ne va pas ? Vous avez l’air soucieux ?
Par Aristote ! C’est Carmen c’est ça ? C’est elle qui vous envoie ?

Et puis une autre voix s’éleva parmi la foule du marché, Adeline releva à nouveau la tête pour apercevoir cette fois Origan qui s’approchait a son tour.

-Origan ?
Mais que diable se passe-t-il ?

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Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras de Zig]

Je continue de faire un câlin-cou à Zig en écoutant les hommes, ça manque de madame la dedans... Puis zig parle de Ronan, enfin l'infâme qui m'a abandonné, je mets le dos de mon poignet sur mon front, grande tragédienne et je souffle.

"Voui."

J'ouvre grand mes yeux, je dois trouver Ronan, mais voilà on trouve pas Ronan mais..

"Didine ! Oui Cache-cache Didine ! Huuuu Zig"

Je m'agite dans les bras de Zig, trop heureuse de jouer, en arrivant près d'Adeline, nous rejoignons tout le monde, Ronan et une dame, Origan et Théodore.

Je pointe mon index accusateur vers Ronan.

"T'ouvé !"

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--Ronan.

[Marché de Fécamp - Avec Marveyn et Adeline]

Il se passe la main dans les cheveux, rassuré de voir Adeline mais toujours aussi troublé de ne pas savoir où se trouve Hanna.

"Quelque chose ne va pas ? Vous avez l’air soucieux ?
Par Aristote ! C’est Carmen c’est ça ? C’est elle qui vous envoie ?

- Pire. J'ai perdu Hanna..

Ouais, là ça rigole plus... L'écossais est a deux doigts de faire un arrêt. Puis l'arrivée d'un jeune homme, le doigt ensanglanté, Ronan écarquille les yeux et se saisit du doigt sans réel ménagement, cette trace de dent !

"Origan ?
Mais que diable se passe-t-il ?

- Qui ? Qui vous a fait ça !?"

Il n'est pas loin de secoué le pauvre bailli. Peu intéressé par la blessure mais plus par la trace de dent, enfin les traces, par deux fois, elle a mordu.

"T'ouvé !"

Ronan pourrait tomber à genoux devant Zig, tant il est soulagé de voir Hanna, entière.

"Que le ciel soit loué."

Origan

[au pied d'Adeline]

essaye de récupéré son doigt prit par l’abandonner de Fillette

Hé ho là !! Lâchez ça !! Ça pisse le sang !!

mon dieu la diablesse croqueuse de doigt était de retour et toute la clique avec !
Misère que les Serna passe les Epices trépasse...

Duchesse, la Princesse cani...enfin la jolie Princesse là, m'a mordu jusqu'au sang alors que je voulais lui donner un quignon de pain, elle avait l'air si affamée...
Par contre ça ne cesse de saigner toujours plus fort.
Pouvez-vous faire quelques choses ?

regarde la Duchesse d'un air désespéré en essayant de lui faire passé le message :
"pitié sauvez moi de ces fous " Une Épice désespéré !

Je l'ai trouver abandonné près d'une étale là bas...accrochée à ma botte...

il continua son histoire à la Duchesse le doigt toujours ensanglanté attendant un quelconque soin
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Theodore.

De toute façon, il n'avait rien à perdre à perdre son temps comme ça quelques instants sur le marché. Surtout qu'il n'avait trouvé aucun emploi à la mairie pour la journée, personne ne voulait de cette main d'oeuvre auvergnate qui ne manquait pas de faire un travail plus que remarquable. Il promenait toujours avec lui la lettre de la Comtesse qui expliquait ce qu'il savait faire et encore il était un employé modèle. Il ne faisait pas grève, c'était plutôt intéressant.

Je ne peux la manquer ?

Certes, il se souvenait vaguement, mais alors très vaguement du visage de la Duchesse lors de son bref passage à Mirefleurs pour participer au labyrinthe. Ce qu'il avait retenu c'était son ventre. Cela dit, des femmes enceintes, cela courait les rues à cette époque, de l'année, mais aussi dans les années 1400 et quelques. L'homme ne serait-il pas... Légèrement sous le charme de la Duchesse ? Ou alors Théodore n'avait pas bien vu, mais elle était d'une beauté unique et époustouflante. Mais il n'avait pas pour habitude de reluquer les nobles, aussi il évitait de trop regarder avec insistance. D'autant que si cela arrivait, Elise lui donnerait un coup de balai sur l'épaule.

Théodore suivit l'homme, il semblait bien connaître les lieux, lui tâchait de prendre quelques repères, le boulanger... Boucher. Bon, pourvu qu'il puisse rentrer à l'auberge.

Ah ! Oui bon j'arrive ! Dit Théodore alors qu'il venait de faire une croix avec son pied dans le sol. Repère quand tu nous tiens. M'enfin combien de temps sa croix de poussière tiendrait-elle ?

D'ailleurs, il y avait Ronan qui était avec la dame. Bon, au moins le fautif avait été trouvé. Théodore s'inclina devant la Duchesse et resta en retrait. Il ne désirait pas s'imposer, il n'était qu'un gueux après tout, certes serviteur de l'Empire Serna, mais tout de même. Et puis finalement sans qu'il ne parle, la fin de la tragédie se déroula sous ses yeux. Hanna avait retrouvé Ronan. Ronan avait retrouvé Hanna. Tout est bien qui finit bien. Et puis comme il était un honnête homme, il s'approcha de la Duchesse pour appuyer le discours d'Origan.

Bonjour votre Grâce. Veuillez m'excuser de vous embêter, je suis Théodore et je travaille pour madame la Comtesse de Serna-Marigny. Peut-être que vous vous souvenez de moi, je travaille à Mirefleurs.

Il se fendit dans une profonde révérence, heureusement qu'il ne portait pas de casquette ou autre chapeau, sinon sous le coup de l'émotion il aurait oublié de se découvrir. Double pénalité, elle était une femme et puis en plus une noble.

Et je puis vous dire que tout ce que dit c'est homme est véridique. La petite princesse...

Il marqua une pause, il ne pouvait pas dire du mal de la petite fille de la Comtesse, même si elle ressemblait plus au vampire qu'à une douce princesse rose.

A attaqué ce pauvre homme. Alors qu'il tentait de la sauver d'une mort affreuse, écrasée par des adultes pressés. Puis nous vous avons cherché, vous êtes médecin ? Il faut soigner ce pauvre homme.
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Employé de Mirefleurs - Chargé de l'entretien des feux de cheminées.
Momentanément absent de Mirefleurs et de Montbrisson il ne peut donc plus surveiller la maison du bord du lac des Comtes Serna-Marigny
En mission spéciale en Normandie selon le bon vouloir d'une Comtesse.

Marveyn

Zigzag

Deedee

-Et bien…

Par où commencer tel était la question !
Elle promena son regard tout autour d’elle, espérant dans la tumulte voir un signe quelconque de Carmen dans les parages, mais…

-Alors déjà, je pense que la fugitive à été retrouvée, saine et sauve et en compagnie on ne peut plus sûre.

Elle se tue un instant observant la blessure avant d’afficher une petite moue.

-Mais vous êtes sur qu’une si petite fille ait pu vous faire ça ? Vous n’avez pas plutôt laissé trainer votre doigt dans la gueule d’un chien errant ?

Un regard vers Hanna.

-Peut être que cette petite devrait manger un morceau également ? Avant qu’elle ne s’en prenne à un autre doigt ?

Puis déchirant un pan de son jupon elle entoura le doigt du bailli avant de se tourner vers Ronan.

-Et vous Ronan ? Que vous est-il arrivé ? Vous avez été mordu vous aussi ?

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Origan

[Auprès d'la Duchesse, qu'il fait bon, fait bon, fait bon...]

il serra son doigt le temps que la Duchesse fasse le tour de la question
puis l'entend dire

Mais vous êtes sur qu’une si petite fille ait pu vous faire ça ? Vous n’avez pas plutôt laissé trainer votre doigt dans la gueule d’un chien errant ?

il se laisse enveloppé le doigt par la Duchesse qui elle au moins savait ce qu'elle faisait dans cette histoire de fou

Hanna_de_la_serna

[Place du marché de Fécamp - Dans les bras de Zig]

Je souris et nargue Gan-Gan en haussant mes petits sourcils,

"Hihi"

Et oui je suis : tout ce qui importe mouhaha !

Zig me fait des risettes, et je lui en rend tout plein, c'est mon préféré ! Il a toujours plein de jeu !

« Je vais garder Hanna pendant que tu te feras rafistoler ce genou. Et puis, ça me permettra de profiter d’Hanna… »

Chic Chic !

[Pendant ce temps là..]

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[RP] “Si la rencontre est un hasard...