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[RP]Une fille de joie peu ordinaire

Sarah_de_genes
Sarah avait d'abord froncé les sourcils en entendant la gueuze. Non mais voilà, elle jouait le bon samaritain et on lui proposait de faire la catin. Pourtant, elle l'aimait bien la Mis et puis qui sait le jeu pouvait en valoir la chandelle...

Apprendre à Mischief à être diaconnesse, pas facile! mais apprendre à jouer la catin, ça pouvait être marrant et rien ne l'obligeait à devenir une fille de joie!

Son cerveau était en ébullition. Sarah se dit qu'il était inutile de devenir trop cérébrale. Elle tendit sa main.

Marché conclu Mis, mais n'oublie pas ta contre partie, j'apprends ta vie tu apprends la mienne...

Elle lui fit un grand sourire et s'apperçut qu'autour d'elle, on la regardait.

Elle se racla la gorge.

Mais avant tout, que tous ceux qui sont présents ici, jurent sur ce qu'ils ont de plus cher, que jamais ils ne répèteront ce qu'ils ont entendu ici cet après-midi.

Sarah regarda Mischief et en cet instant, espéra que tout ça n'irait tout de même pas trop loin.
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Il y a la même différence entre les savants et les ignorants qu'entre les vivants et les morts.
--Achille...


Achille, descendit de son cheval, après sa maladie très grave qui l'avait prit à Vannes. Le voici debout et fièrement arrivé à destination, il fallait dire que cet homme là aimait les voyages autant que sa mère, parcourant le royaume sans répit et appréciant chaque rencontre inattendu. C'est donc le sourire aux lèvres que l'homme âgé de quatorze ans pénétra dans une des nombreuses taverne de la ville et commanda une bonne chope à boire, donnant par la même occasion quelques écus au tavernier, il s'assi à une tablée non loin et regarda une femme. Elle semblait à première vue une de ses femmes qui ont peu très peu de vertu voir aucune de celle qui fait tout pour deux ou trois écus bien placer. C'est donc d'une voix forte et du genre boulet qu'il lança à la dérober pour paraitre '''homme''

Et ma jolie, c'est combien ?

Prenant une grande gorgé de bière, il la déposa brutalement sur la table et se leva.

Sauf si la dame et du genre pudique et ne se prend pas pour rien ! Hein mes amis ! Cette dame saurait-elle satisfaire un homme comme MOI !

Autant de dire, Achille c'était prit la tête pour une fois, bien envie de gouter au joi de l'interdit et de connaitre se que tout homme devait connaitre un jour, sauf les curés ou autres gueux pas assez beau pour satisfaire une femme et pas assez riche pour la payer. Lui avait volé pas mal d'écus à ses parents, il était donc beau et riche, l'homme idéal pour ce genre de femme.


Mischief
Même pas l’temps d’aller préparer la bicoque pour commencer l’premier cours en bonne et due forme. L’aurait bien voulu lui sortir que’ques vêt’ments attrayants, un décolté bien plongeant ainsi que de jolis jupons courts et légers. Elle en souriait rien qu’d’y penser. Pac’que les gouts d’une fille d’joie, ben c’pas les gouts d’femmes ordinaires. Mis’ lui aurait recouvert la poitrine avec un corsage au tissu jaune poussin, les jupons d’un violet pourpre que ça en donn’rait la gerbe et n’parlons pas des bottes qui pueraient l’poisson pourri. L’allait tout d’même pas lui filer s’plus belles guenilles, fallait pô charrier. La catin officielle c’tait elle et personne d’autre. Gourgandine qu’elle est, c’normal’ment dû à son métier, mais parfois elle sait s’faire taquine juste pour l’plaisir. Parait qu’le ridicule n’tue pas. Elle avait envie d’en avoir l’cœur net et transformer du tout au tout la diaconesse du village.

Mais c’pour plus tard pac’que v’là qu’un homme, Pouah, non pardon, un jeunot entre et s’installe. Un sourire s’dessine au coin des lèvres d’la gueuse. C’est qu’il essaye d’êt’ viril le pauvre vi.. non pubère. Mais la bourse semble bien lourde. Après à voir d’laquelle elle pense. Ses yeux s’y rivent, près de son ceinturon, ça cliquète et ça s’balance au rythme des gestes du bonzhomme. Mis’ se mord la joue lorsqu’elle l’entend parler. Il essaye d’prendre une voix rauque et paraître impressionnant. L’en a croisé des tas la catin. Ces ados qu’veulent juste qu’on les libère d’un poids pas facile à supporter.


Et ma jolie, c'est combien ?

Elle se lève et ondule jusqu’à lui. Les yeux pétillent, elle est prête à s’amuser et peu importe le résultat. Qu’il la paye ou pas, elle n’est pas à une miche ou deux près. D’un doigt, juste d’un parce qu’elle sait y faire, la Mis’ délace un peu plus sa chemise légère. Arrivée à bon port, pac’que c’est tout d’même là qu’elle aim’rait bien s’trouver au lieu d’une ville comme Laval, ses deux mains se posent sur la table, entourant la chope d’jà bien entamée. Longtemps qu’elle n’avait pas été aussi sensuelle. C’bien simple, à force d’crier sur tous les toits qu’elle était l’officielle, plus b’soin d’faire des efforts. Y viennent, y viennent pô, ça chang’rait rien à la donne.

Son mouv’ment se fait lent pour que les sens du jeûnots s’réveillent, qu’il entende ses jupons plisser et sa peau frotter contre ce qui la r’couvre. Elle se penche enfin, le perçant du regard et atteint son oreille. D’un souffle chaud et intense elle lui susurre d’une voix des plus douces.


Enfin un homme qu’sait parler aux femmes!

Le recule se fait tout aussi paisiblement. Son regard reste soutenu. La Mis' le zieute de haut en bas et r’marque qu’il est de plus beau garçon et s’asseoit face à lui.

Ton prix s’ra l’mien mon mignon..
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La Gueuse..
Et fière de l'être.
--Lyes


Lyes était vraiment heureux du retour et de la guérison de son grand frêre. Même si celui ci le négligeait depuis quelques temps. Il était devenu trop vieux pour jouer avec des épées en bois, au grand dam de Lyes qui s'ennuyait fortement. Désormais il devait jouer tout seul, car Nolwenn n'était pas encore assez âgée pour pouvoir l'accompagner dans ses jeux. Ne parlons pas du petit dernier qui était encore dans le ventre de Titca.

Il s'ennuyait à mourir, allongé sur le dos de George, un ours venu tout droit de Savoie et fidèle compagnon de la petite famille. L'animal faisait sa sieste prêt de la charrette et supportait de bonne grâce le poids de Lyes. Fallait dire que le petiot n'était pas bien lourd.

Achille prit son cheval afin de se ballader un peu dans les rues de Laval. Il croisa George et Lyes sur sa route et leur fit un petit signe de la main. Lyes avait remarqué que la bourse de son frérot avait l'air bien remplie. Piqué par la curiosité, il descendit du dos de l'ours qui se réveilla en sursaut. Lyes suivit Achille, le plus discrètement possible. Mais ou allait-il donc avec tout cet argent ? Il n'arrêtait de se poser cette question. Achille finit par mettre pied à terre devant une taverne.


Aaaaah le saligaud, j'suis sûr qu'il a piqué l'argent des parents pour se saoûler.

Lyes était caché derrière une maisonette et devait pencher la tête pour regarder la scène. Il entendit un léger grognement derrière lui et quelque chose lui donne un petit coup aux fesses. C'était George qui l'avait suivit et qui signalait sa présence.

Haaaan George, mais qu'est ce que tu fais ici ?

George avait la langue qui pendouillait et son regard laissait deviner qu'il n'allait pas laisser Lyes s'amuser tout seul. Le garçon gratouilla la tête de l'animal qui avait l'air d'apprécier. Il se repencha ensuite la tête et vit qu'Achille était entré à l'intérieur.

Aller gros bêta, suis moi.

Les deux compères s'approchèrent d'une des fenêtres d'ou sortaient des voix gutturales, sauf une, ou l'on sentait que c'était quelqu'un qui faisait semblant d'avoir une grosse voix.

Et ma jolie, c'est combien ?


Lyes sursauta en l'entendant.

Hey mais c'est Achille. Pourquoi il parle comme ça ?

George s'était allongé pile poil sous la fenêtre et se grattait le dos contre le mur. Lyes grimpa sur George et regarda discrètement par la fenêtre. Il vit Achille en grande discussion avec une femme.

Sauf si la dame et du genre pudique et ne se prend pas pour rien ! Hein mes amis ! Cette dame saurait-elle satisfaire un homme comme MOI ! .


Mais...mais, de quoi il parle lui ?

Il vit la femme commencer à regarder Achille bizarrement, ainsi que faire certains gestes que sa maman faisait le soir afin de...eeeuh... de faire comprendre à son papa qu'il était l'heure pour eux d'aller se manger. Alors que bizarrement ils avaient déjà dîner. Lyes ne comprenait pas encore ce que ses parents sous entendaient par la. Encore un jeu de grand et Achille semblait vouloir y jouer avec cette dame, moyennant de l'argent. Lyes grommelait, il avait l'intention de savoir à quelle sorte de jeux les grands peuvaient bien jouer. Et puis il espérait que les règles ne soient pas trop compliquées pour qu'il y joue aussi. P'têtre qu'il pourrait même y jouer avec George, vu qu'il était son seul compagnon de jeu pour le moment.

--Achille...


Le regard sur de lui, l'air fièr, la tête haute, Achille regarda la femme et peu à peu alors qu'elle commençait à l'agricher avec calme et délicat mouvement. Lui pauvre petit bout d'homme majeur, rougit, pâlie, mais n'abandonna pas ! Sa décision aussi étrange soit-elle était prise, ce soir, cette nuit, aujourd'hui il serait un homme, un vrais un dur ! **Ohlalal papa et maman vont me tuer.** pensa Achille, lui qui était un homme, oui qui ne dur pas vraiment longtemps l'homme. Il prit la chope sur la table passent sous le corps vouter de la fille de joie et dégusta du bout des lèves une gorgée encore pour le courage. Puis tout en douceur il tira le lacet du corsage et murmura à l'oreille de la demoiselle.

Combien tu demandes, pour être pleinement satisfaite de tout besoin.

Il fallait dire que ''l'homme'' ne savait pas trop combien coutait une folle soirée, quelques écus ? Un ou deux ? Peut être trois ? Peut importait le prix, il avait volé à ses parents assez d'écus pour être heureux. Bien sûr sa mère hurlerait pendant des heures, son père risquait même de claquer la porte de la maison et c'est à ce moment-là que sa mère pleurait et que lui gentil petit pourrai la consoler et lui faire oublier son vol.
Horrible scénario déjà tout préparer dans sa tête de beau brun, il était encore dans la force de l'âge, jeune, beau et curieux. Bref revenons à nos moutons, euh... notre fille de plaisir.


Alors, combien veux-tu ma douce...

Plongent sa main dans la bourse en cuir il en sorti un écu, jouant avec du bout des doigts il le glissa dans l'endroit le plus proche, ou la vue était superbe et remonta sur son oreille pour murmurer dans un souffle au creux de celle-ci.

Encore ?

Malgré les apparences, Achille tremblait de la tête au pied à deux doigts de finir les braies complètement mouiller. Il ne remarqua bien sûr pas Lyes, encore moins l'ours qui semblait eux l'espionner.

Mischief
Mis’ était plus qu’ravie voyant que le jeu pouvait continuer dans les deux sens. Elle s’amusait d’le voir fier et sur d’lui, tandis que lui s’imaginait êt’ grillé pour rien au monde auprès d’la fille de joie qu’elle était. Normal’ment, ce sont lors des ébats amoureux que le chat et la souris entrent en scène. Mais les cartes étaient loin d’êt’ définies. La chignonée fut d’ailleurs plus qu’surprise quand elle vit qu’le jeunot avait tout d’même l’audace d’aller plus loin dans s’propos. Il semblait très nett’ment vouloir prend’ le d’sus d’la situation. Il s’penche vers elle c’qui fait qu’la Mis’ n’arrive pas à cacher un frisson qui la parcoure d’tout son long. Ce sont les siens de sens qui s’réveillent t’à coup. Sa peau s’tend et les poils se hérissent. La poule quelle devient trouve qu’il sent fort’ment bon la chaire fraiche. Et à n’rien vous cacher, elle est prête à avoir le bonheur d’dire « J’lui ai tout appris au j’not. » En mêm’ temps, l’est important d’se d’mander à qui elle l’répèt’rai, mais il y’avait t’jours la satisfaction personnelle qui prenait l’pas sur tout l’reste. Pis, dévorer une peau d’bébé, pas contre la gueuse.

Combien tu demandes, pour être pleinement satisfaite de tout besoin.

V’là qu’il veut satisfaire les b’soins d’la gourgandine. Mis’ commence à se d’mander s’il à tout compris à la démarche. Voilà qu’il se décrédibilise une nouvelle fois. Elle reprend alors du poil d’la bête lorsqu’il ouvre encore plus son corsage. Elle se redresse et se cambre pour que la vue sur ses formes soient d’plus agréables à r’garder. Un écu s’glisse entre le tissu et sa douce peau. Mis’ lui sourit en coin et lui effleure la joue avec ses lèvres.

Encore..

Sa main se redresse et vient chercher le ceinturon du beau gamin. La gueuse l’colle près d’elle du mieux qu’elle peut, et quand le second écu s’cogne contre l’deuxième elle chuchote encore plus bas.

Un dernier, et j’t’emmène au pays des rêves mon mignon..
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La Gueuse..
Et fière de l'être.
Sarah_de_genes
Sarah avait assisté à toute la scène sans broncher. La diaco voulait voir comment la Mis s'y prenait mais en regardant le jeune garçon tenter de s'affirmer et Mischief faire ses simagrées, elle commençait à bouillonner intérieurement.

Elle se leva d'un bond et fila droit vers Mis et s'adressa au gosse.


Dis donc mon garçon, tu penses que c'est comme ça que tu seras un homme?


Elle se retourna vers Mis avec fureur.

Et toi Mis? ça ne te dérange pas de profiter d'un gosse qui a trouvé ces sous Dieu sait où? Tu veux donc lui vider toutes ses bourses à ce que je vois?

Sarah fronça les sourcils et attrapa le gosse par le bras.

Allez toi, déguerpi et rentre chez ta mère.

Elle regarda à nouveau Mis droit dans les yeux.

Quant à vous Mam'zelle, demain à l'aube pastorale et ensuite messe, ça vous fera le plus grand bien.

Sur ce Sarah tourna les talons et sortit en claquant la porte.
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Il y a la même différence entre les savants et les ignorants qu'entre les vivants et les morts.
--Achille...


Encore un ? Seulement un ? Trois écus ? Et bien dans le coin les femmes ne demandaient pas beaucoup pour s'amuser un moment, haussent les épaules il glissa un dernier écus qui frappa les deux autres dans un bruit de pièces et Achille sourit en coin, moins il dépenserait d'écus moins ses parents remarquèrent le petit détour qui prenait sur le chemin de la vertu et du Très-Haut. Plongé dans ses pensées et la mini-peur qui lui tiraillait le ventre de se recevoir une sacré punition, Achille sursauta quand une main ce glissa un peu trop bas pour les yeux du grand public de la taverne. Vite vite, quelques choses ! Une idée pour ne pas paraitre stupide ! Quelques choses... vite !

**Oh Didiou... papa...au secours.**

Pensa le jeune homme en détresse, papa ? Oh non voilà qu'il pensait à son père ce n'était pas une bonne idée dans l'immédiat à moins d'être d'un autre bord !! Une id...la voilà ! Il se racla la gorge puis se leva et posa une main tremblante, mais forte dans le dos de la donzelle, après tout lui, le gamin élever à la dure était assez muscler pour retenir une de ses femmes, d'ailleurs elle n'était pas censée partir. Il la colla contre lui, découvrant au passage ses contours.

Allons ma jolie, pas ici... pense aux pauvres maraud que l'on pourrait choquer par mégarde, tu dois bien avoir caché là-haut un lieu plus adéquat.


Arf, voilà que son vocabulaire un peu trop élaborer refait surface, maudit moines ! Secouant la tête, il descendit légèrement sa main et resserra son étreinte habillement. Puis il se pencha de façon à glisser le bout de ses lèvres dans le cou de la belle, remontent vers sa mâchoire pour finir au bord de ses lèvres, sans oser toucher ce bout de peau rose, doux sentiment de frôler l'interdit et d'oser le grand saut. Ferment les yeux il respira son odeur, assez étrange, une odeur inconnue à ce jour, l'odeur de la femme, de l'argent, du plaisir de plusieurs hommes et surtout aussi d'un bon verre d'alcool fort ! Bref peu connu d'Achille qui était habitué aux parchemins, à cette odeur de cierge qui se consommait ou encore de l'encre, peut-être même de la poussière des routes. Bref à tout sauf cela.

Redressant légèrement la tête, il la fixa, devait-il lui avouer que son seul savoir était celui que son père lui avait transmit ? Ce jour ou tard le noir par la porte entre ouverte il les avaient observé discrètement ? Et noter dans un coin de sa mémoire chaque détail, chaque geste tendre que son père et sa mère avait eu ce soir-là ? Surement pas, mais peut-être devait-il décliner son identité ? Afin quelle ne l'appel plus mon mignon, surnom qui ne reflétait pas vraiment l'homme pour qui il voulait passer.


de Divonne, Achille de Divonne...

Voilà qui était fait et du plus grand éclat de dire son nom avant même son prénom, quoi que ? Serait-il vraiment bon de relever ainsi le nom de sa famille ? Mouarf qui pourrait râler ? Personnes ne saura jamais rien ! Il la regarda encore un peu et croisa les jambes, du moins les pieds pour ne pas laisser de fuite envahir ses braies. Mon dieu, pourquoi avoir voulu jouer le malin ? Maintenant il fallait sauter dans le gouffre. Quand une femme ce permis de venir tout gâcher.

Hey oh ! J'ai payé ! Et je suis majeur, un peu de respect ! ...

Achille dégât son bras et la regarda, furieux en quoi ça la regardait celle-la ? Encore une ivrogne surement, les tavernes en était pleine en ce moment, le soleil et la bière n'allaient pas ensemble ! Secouant la tête il la regarda claquer la porte et haussa les épaules, je vous jure ses ''mère poule'' qui fouine de partout, il avait une mère et il était majeur ! Non mais...


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