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[RP]''et au début il y a une demande"

Jason_ludgaresvissac
Jason a eu vent des difficultés que connaissait la duchesse de l'Alençon pour sa nomination à l'université comme recteur. Il n'aurait jamais cru que ce poste qui n'impliquait aucune responsabilité pourrait faire si grande histoire. D'autant que le duchesse n'y était pour rien puisque c'était la rectrice elle-même qui l'avait proposé pour assurer l'intérim.
Il se résolu enfin à faire ce qu'il pensait faire depuis des lustres, mais qu'il ne savait comment aborder devant le plaid : sa demande de grâce royale.
Oh, il ne se faisait pas d'illusion. Aux vues des inimitiés et des amitiés ce serait difficile. Pour autant il aimait le royaume et l'avait toujours servi depuis aussi longtemps qu'il s'en souvenait, participant aux guerres, aux conseils, aux mairies, défendant sans compter ni argent, ni heures, ni sang versé. Qu'une duchesse du Domaine Royal puisse avoir des ennuis parce qu'il avait un poste aussi insignifiant que recteur, lui était absurde.

S'adressant aux gardes présents:


Bonjour

Je suis Jason Jason Ludgarès de Vissac, je désire me présenter devant la Reyne pour une demande de grâce royale. Pourriez-vous m'indiquer où je dois me présenter?

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Edouard_de_noireterr
Grand sourire aux lèvres lorsqu'il s'approcha de l'homme qui venait à lui aujourd'hui. Enfin, à lui, pas vraiment. Mais disons dans la salle du plaid.

Edouard avait lui-même jouit d'une forme de "grâce" en son temps, et en ce sens, il savait qu'il fallait parfois plus de courage pour demander une grâce que pour continuer à s'enferrer dans un conflit le plus souvent perdus pour tous.

Aussi, son sourire était-il sincère lorsqu'il prit la parole :

Bonjour, je suis Edouard Ducastel de la Mortellerie Pelamourgue. Je vais indiquer à Sa Majesté votre présence ici ainsi que le motif de votre venue. Si vous souhaitez des rafraîchissements entre temps, faîtes moi signe.

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Merci Jd Alvira !
Jason_ludgaresvissac
Il salua l'huissier en charge du Plaid en inclinant légèrement le chef.

Bonjour à vous aussi, je vous remercie mais je ne vais rien prendre.


Un nœud à l'estomac l'empêchait de pouvoir manger ou boire de toute façon. Même si les rafraîchissements avaient été à sa portée il n'aurait pu en avaler une seule gorgée.
Tout en patientant il laissa son esprit vagabonder. Tous les souvenirs remontaient alors qu'il patientait dans l'antichambre du Plaid

Il avait tellement servi le royaume. Son esprit se rappela les guerres, les mairies, les conseils ducaux, toujours honnête, toujours servir. Et là recteur, et même ça, on ne voulait pas. Absurde. Il ne voulait plus que ses amis puissent pâtir de ça. Alors il avait ravalé sa fierté et était monté à Paris au nom de l'amitié qui le liait à la duchesse actuelle d'Alençon, l'Alençon était devenu son duché, il bénéficiait depuis presque un an de son l'hospitalité. Il ne serait pas dit qu'il aurait faillit dans son honneur à laisser une autre payer à sa place.

On lui avait fait la même six mois auparavant quand il avait rendu ses terres lors de l'infamie qui avait frappé son épouse, lui était resté droit à côté de la félonne refusant même sous la menace royale de dissoudre le lien du mariage béni par le Très Haut, pour le meilleur et le pire, il avait promis.
Mais elle l'épouse aimante, surtout de ses titres et de ses terres plus que de la vérité, avait prestement ployé tête, genoux et dos afin de récupérer son honneur, retournant la situation contre lui. Il savait avant qu'il ne l'épouse qu'elle était vénale, il en avait juste eu la confirmation. La descente en enfer avait été longue. L'accusation le minait, lui enlevait toute joie. La leçon avait été bonne, dorénavant il écouterait les conseils qui lui seraient donnés.
Il avait payé à sa place de son épouse, mais là il ne laisserait pas faire ça.

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Melzin
Le jeune homme avait suivi son paternel, de loin.
Ahhh, c'est donc ici qu'il se rendait.

Silencieux un temps, il se glisse près de lui, et murmure


PSST .. Tu perd ton temps.
J'ai à te parler papa, écoute donc

Je pense que l'alternance du pouvoir n'a pas eu lieu, et que l'ancienne reine, enfin son âme, est parvenue à instaurer un pouvoir fixe sans plus d'alternance, soutenue par le même clan qui a présidé à son premier règne.
Comme en bien des duchés à liste unique, nous sommes en monarchie à liste unique.
Aucun changement à espérer avant de longs mois.
Je dois reconnaître, c'est du Grand Art politique, je tire mon chapeau. Même si je n'approuve pas, c'est un sans faute.
Il faut reconnaître aux opposants leur talent, condition nécessaire pour ne pas sous estimer l'adversaire, et éviter les dérives associées.

Bravo Lafeya!

Remarque tout a fait personnelle, et qui j'en suis conscient, qui ne fais pas avancer le boulier d'un pouce.
Peut être toutefois, te graciera elles, ou pas. Le pouvoir unipersonnel tire parfois sa jouissance d'écraser un individu pour l'exemple, et le gracier, pour l'exemple.
Plutôt pragmatique, saisissant parfaitement ces jeux de petite politique, j'ai du mal à saisir les jeux de l'égo pourtant si communs.

Sur la gouvernance solaire et sans l'éclipse, c'est toutefois une bonne chose pour une nation, à court ou moyen terme.
Les changements incessants de direction politique sont en effet le corollaire de la démocratie. Quand le peuple mène, l'aveugle conduit l’attelage.
Au long terme pourtant, l'absolutisme est dangereux. Plus d'opposition, plus de contre pouvoir, les erreurs et caprices de l'un deviennent les problèmes de tous.
Sans moyen d'expression, l'opposition se radicalise. Les clans minoritaires sans plus d'espoir d'accéder aux affaires, émigrent ou meurent.
La diversité est gage de vitalité.

Je t'invite à émigrer mon papa, d'autres terres ont besoin d'un clan fort et soudé, penses y


Puis s'adressant à l'huissier, qui n'avait pas encore remarqué sa présence.

Bien l'bonjour messire huissier.
Je suis Melzin de Vissac, fils et ami de son papounet.
Si l'émotion a noué l'estomac sensible de mon paternel, j'avouerais bien un petit creux.


Et déjà, il détaille des yeux la pièce, cherchant un petit encas royal en guise de petit déj.
La nourriture est goûteuse icelieu, autant ne pas se laisser aller.


Edit 1er pour correction mineure de style
Edit second pour préciser le pourquoi de l'édit 1er, les posts s'étant un peu télescopés, autant préciser les choses.

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Keyfeya
[Cabinet Royal- Et ici, il ne s'agit pas de latrines]

Elle était en train de travailler à la résolution de l'affaire Bourgogne et sur plusieurs autres gros dossiers quand un page dont elle reconnut rapidement la trogne pour savoir qu'il venait de la salle du plaid, frappa à la porte de son bureau. Après l'avoir fait entrer, elle déroula le parchemin pour savoir qui venait donc au plaid pour demander à être reçu. Trois plaids, rien que cela !Le premier était très clair, le second beaucoup moins et le troisième était une évidence connue.

Le Samedi n'était plus le rendez vous des fêtards, mais les fraîcheurs des salons du Louvre semblaient attirer du monde, elle fit patienter le gamin. Pour le second, un peu brouillon, elle fit envoyer son Dauphin, après tout elle n'était pas obligée de se les fader tous et la troupe d'énergumènes décrite par l'huissier en charge ne lui disait rien, c'est que celui-ci n'avait pas précisé " rose" sinon elle aurait de suite tiqué. Pour le troisième, elle irait sortir Montjoie de sa Hérauderie et pour le premier un courrier.

Citation:



    De Nous, Sa Majesté resplendissante, Keyfeya Romanova, Reyne du Royaume de France,
    A Vous, Ed, Mon Huissier en charge du plaid qu'il est beau et sent bon le sable chaud,


    Salutations,


      Son Altesse Royale la Dauphine, prendra en charge les troubadours, afin de leur indiquer au mieux l'office des cérémonies, Nous nous chargerons de faire prévenir et de venir accompagnée de Montjoie pour le plaid concernant son Altesse Aloara.

      Pour ce qui est du plaid pour la Grâce de Jason de Vissac, Nous aimerions avoir de plus amples renseignements, à savoir de combien de personnes, il sera accompagné et de leurs noms, titres et charges. Nous vous demandons également de faire prévenir la Prévôté de Paris en la personne de son Altesse Royale, Lionel Parfait de Blanc Combaz*. Nous ne viendrons qu'une fois les informations connues sur les accompagnateurs et notre sécurité assurée.

      Nous ne voulons pas finir décapitée par le Grand Prévôt de France s'il venait à apprendre que Nous nous sommes déplacée avec une sécurité insuffisante.

      Que mile paillettes parsèment votre chemin, Nous vous pardonnons votre petite incartade de donner des petits noms à la Dauphine et point à Nous.


    Pour le Royaume de France.

    Fait au Louvre, le 24ème jour du mois de Juin de l'An de grâce 1465.







*IG Lionel.Parfait


Une fois le plis scellé, elle le rendit au page et se mit en quête de Montjoie.
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Jason_ludgaresvissac
Il y a des choses sérieuses qui n'ont pas à se partager et surtout pas avec la famille.

Bien l'bonjour messire huissier.
Je suis Melzin de Vissac, fils et ami de son papounet.
Si l'émotion a noué l'estomac sensible de mon paternel, j'avouerais bien un petit creux.


Il se retourna étonné car sa démarche il n'en avait pas parlé. Quel que soit les raisons, elles étaient siennes et son fils, bien qu'il l'aime, n'avait pas à venir troubler sa demande. Et sur un ton qui n'admettait aucune réplique:

Toi tu sors!

Et à l'huissier:

Messire huissier je n’ai pas demandé qu'on m'accompagne et je préfère rester seul ici. Pourriez-vous, s'il vous plait, raccompagner mon fils et demander à ce que l'on ne me dérange en aucune manière sur ma démarche. Ainsi donc toute personne se réclamant de m'accompagner ne devra point troubler la discussion et entrer, je ne veux et ne désire personne de mon entourage. Je viens demander une grâce, pas une guerre.

Et de se retourner vers une fenêtre attendant une venue plus officielle.
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Melzin
Toi tu sors!

Je sais bien mon intervention comme un moucheron sur un gâteau d'anniversaire à la crème chantilly. On ne remarque que lui.
Je sais bien troubler un peu la démarche du paternel.
Mais bon ... Coller un p'tit coup de latte dans la fourmilière pour regarder dans quel sens elle s'agitent amuses toujours les enfants.


Oki Dad, je comprends, désolé, on se voit à la maison.

A peine sortant, il regrette déjà l'encas royal .. Dommage, le paternel a déboulé trop vite.
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Edouard_de_noireterr
C'est bon ? Vous avez réglé vos problèmes familiaux ? Ou vous avez besoin d'une conciliation ?

Le ton est un peu sec certes, mais bon. Faut pas pousser, demander à la garde de virer le fils, c'est pas trop leur rôle.


Je note que vous souhaitez être seul, et je vais faire remonter l'information. Vous pouvez attendre ici.

Puis, il lit la lettre, petit sourire. Il fait appeler un page pour une réponse écrite.
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Merci Jd Alvira !
Lionel.parfait
Cela ne faisait pas trop longtemps que la Prévôté de Paris avait vu sa compétence être étendu et ce n'était pas sans déplaire à l'ensemble de l'équipe. Cela permettait à cette dernière de pouvoir être actif.

Le Prévôt de Paris était accompagné de son second, le Capitaine de Castelviray, ils avaient emprunté les passages secret pour arrivé à destination et surtout sans se faire voir dans un premier temps. Lionel avait pris connaissance des personnes présentes et ou elle se situait lors du déplacement. Une fois arrivé sur place, les deux membres de la Prévôté de Paris prirent place dans la salle dans dire un mot tout deux bien concentré dans leur travail.

Ils étaient en place et Lionel ferait un petit signe à Sa Majesté pour lui signifier qu'ils sont présent.

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Emma_castelviray
Voilà que le prince corbeau l'entrainait dans des passages obscurs qu'Emma ne connaissait pas encore, elle fut surprise d’arriver dans un couloir du Louvre, quelle rapidité depuis les locaux de la Grande Prévôté de France.

Elle réajusta son uniforme et ses armes avant de suivre les pas de son supérieur. Elle resta en retrait mais n'oublia pas de jeter un premier regard vers toutes les sorties possibles au cas où il faudrait agir. Une fois cet aperçu fait, elle analysa la situation même si son chef lui avait glissé l'ordre de mission demandée par la reine.

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Keyfeya
L'été avait pris sa place en le Royaume de France et la chaleur à l'extérieur était écrasante, certes il était agréable après les mois d'hiver et un printemps plutôt morne de profiter d'un radieux soleil mais les chaleurs écrasantes faisaient que la plupart du jour, ceux qui le pouvaient se terraient derrière les épais murs de leurs châteaux et ne sortaient que tôt le matin ou dans la soirée.

Ce jour cependant, il semblerait que beaucoup de monde s'était décidé à sortir pour se réfugier dans des murs plus épais, ceux du Louvre et de la salle du plaid. A croire que l'on se donnait rendez-vous en ce jour de fin de semaine, qui normalement aurait dû pousser vers le tranquille repos dominical. La Souveraine profitait d'ailleurs de ce ralentissement qu'elle avait pu observer pour avancer sur des dossiers d'importance et travailler au calme de son bureau.

Une fin de semaine toute autre qu'à l'accoutumée l'attendait visiblement, la semaine avait été passablement agitée dans les salons ainsi point de tranquillité espérée. Ayant fait le nécessaire et s'assurant que le demandeur du plaid de l'heure serait donc seul à se présenter, que la Prévôté de Paris avait reçu ses ordres, la Souveraine termina son verre de vin frais après l'entretien avec son Altesse Aloara pour entrer de nouveau par la porte dérobée du fond de la salle.

Elle salua d'un hochement de tête et d'un sourire, le Blanc-Combaz ainsi que son acolyte Emma , s'installa sur son trône, croisa les jambes, et croisant ses mains sur ses cuisses, patiemment. Elle était vêtue d'une robe noire qui restait au delà de sa folie pour le rose, sa couleur préférée et la soierie luisante des pans de tissus lui donnait des luminescences argentées à la lueur de la pièce. Cheveux d'ébène, masque d'albâtre, regard océanique, elle attendit que l'on annonce.

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Edouard_de_noireterr
Et qui de mieux pour annoncer une reine qu'un huissier royal ? Je ne sais pas. De toute façon, maintenant que le narrateur a commencé, l'annonce va être faite, j'aime autant vous le dire.

Sourire aux lèvres, il hocha la tête en direction de des membres de la prévôté, et non des moindres pour qu'il s'agissait du prévôt et de son second, du beau monde, et fort rapide. Satisfait, le huissier le remercia d'un discret signe de tête.

Puis, il se tourna vers la reine, et lui sourit.

Sa Majesté Keyfeya Romanova, Reine de France !

Y'avait pas à... Y'avait pas à dire, ça claquait comme titre, c'est tout. Puis il se tourna vers Jason resté seul et lui fit signe de s'approcher. Il l'annonça alors :


Jason Ludgarès de Vissac


Simple, sobre efficace. Il fit quelques pas en arrière, pour laisser à la prévôté le champ libre, ça serait con d'encombrer.
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Merci Jd Alvira !
Jason_ludgaresvissac
Il se retourna en entendant un autre bruit. Bigre deux personnes en costume de la prévôté entrant pour? Ah ben le surveiller pardi.

Il se tâta les poches.... Ben non rien. Ceinture? Ben non rien. Aucun poignard, aucune épée, ni dans les braies, ni les bottes, ni nulle part ailleurs. Bah les mains peut être? Étranglement?
Voyant le regard de la femme passer en revue les issues, il se prit à sourire. Le ridicule de la situation l'amusait. Il était peut être traître pour certains, dont eux à coup sur, mais certainement pas tueur. Il faudrait être fou pour tenter en plein château du Louvre de tuer la reyne. Et foou il ne l'était pas non plus.

Puis la reyne fit son apparition telle un corbeau noir de jais. Elle ne lui adressa aucun regard, ni mépris, ni engageant. Il s'avança vers le trône, enleva son couvre chef et posa le genou à terre inclinant le buste et la tête.


Majesté.

Puis attendit un signe, une parole qui lui donnerait l'autorisation de parler.
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Keyfeya
Quand on avait des gens compétents à la Prévôté de Paris, autant qu'ils servent. Sans avoir peur qu'on ne vienne lui sauter à la gorge, on ne reçoit pas du bourgeois comme on reçoit du traître. De plus, depuis qu'elle était élue on ne lui lâchait plus le train de manière générale et c'est limite si le couple Royal ne devait pas dormir tantôt avec le nouveau Capitaine de la Garde Royale, tantôt avec le Prévôt de Paris bien calé dans leur lit entre le Roy et la Reyne.

Et cette dernière hocha la tête quand Jason la salua, mettant genou en terre, son regard en effet se posa sur lui, n'exprimant strictement rien. Ni mépris, ni surprise. Rien. En cet instant, elle ne pensait à rien, l'esprit complètement vierge de jugements ou de sentiments.

La Souveraine pensait que demander une grâce venait d'ailleurs davantage de la personne qui la demandait que d'elle. C'était en réalité d'ailleurs le cas, surtout sur le début. Elle n'avait donc aucun parti pris de prime abord, juste quelques faits venants d'Alençon qui s'étaient déroulés, il y a peu. Ainsi rien ne bougea, ni les mains sur sa robe noire, ni un muscle du visage. On ne pouvait lire ni sourire, ni rictus.


Nous vous écoutons.

Elle était là pour écouter dans un premier temps. Le retour viendrait plus tard. Parfaitement calme.
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Jason_ludgaresvissac
Impassible,  il redresse la tête à l'invitation de la Reyne à s'exprimer. Voix au timbre neutre, mais suffisamment claire pour être entendue

Vostre Majesté si en ce jour j'ai demandé audience c'est pour obtenir  grâce pour mes actions passées dont je me repends. J'ai en octobre de l'année dernière agit en dépit du bon sens, la colère l'ayant emporté sur la raison. J'ai de ce fait pour l'unique fois de ma vie mis à mal le royaume de France.
Je ne revendrais pas sur l'accusation faites par mon ex femme à mon encontre, sur des papiers qui auraient été donnés par moi. L'enquête a eut lieu, elle a donné ce qu'elle a donné et je voudrais tourner la page sur ces faits. C'était grave. Hautement répréhensible. Des regrets j'en ai eu, j'en ai encore, et j'en aurais encore et pendant longtemps.

Feu sa Majesté Lafa m'a sanctionné avec sagesse et je l'ai accepté sans broncher.

Je viens aujourd'hui car mon coeur saigne.
De tout temps j’ai eu à cœur de servir le royaume.
De tout temps mon épée a atteint ceux qui voulaient l'attaquer.
Mes états de services ont toujours été pour le bien.

Et aujourd'hui....


Il s'arrête ayant bien du mal à continuer

J'ai continué malgré tout à servir la couronne par l'entremise du duché d'Alençon en administrant la ville d'Argentan jusqu'au mois de mars dernier, me retirant ensuite de la vie politique dès qu'une personne a été trouvée pour prendre ma place.
J'ai aussi aidé le duché alençonnais en œuvrant en tant que fonctionnaire au traitement de dossiers pour les institutions, commerce ou autre, quand personne d'autre ne se manifestait pour le faire. Etant un des rares à pouvoir travailler sur les dossier militaires servant à monter les armées j'ai par trois fois épaulé les chefs d'armées dans leurs taches.
Dernièrement la rectrice dame Neymo de Boleyne m'a demandé d'assurer l'intérim à l'université d'Alençon faute de trouver des personnes compétentes. Durant sept jours j'ai tenté de ramener vie à cette administration qui se mourrait et nous avons vu avec plaisir les étudiants reprendre le chemin des bancs de l'université. Cela n'a pas été fait pour vous froisser Majesté et si j'avais su que par mon statut de traître cela mettait à mal la sécurité du duché sachez que jamais je n"aurais accepté cette fonction.
Aujourd'hui l'Université est fermée  forçant les érudits à se déplacer hors duché s'ils veulent parfaire leurs études. J'ai aussi demandé à la Duchesse actuelle d'Alençon de ne plus me confier à traiter de dossiers sur les institutions ou autre ne voulant surtout pas qu'elle enfreigne la loi et mette le duché en danger.


Il avait tout résumé, sans malice juste en donnant les faits tels qu'ils étaient.

Aujourd'hui je ne peux plus  servir, je ne peux plus faire ce dont j’ai de tout temps été fier.
Pire encore ceux qui m'aident et veulent que je retrouve ma dignité d'homme lige, se retrouvent menacés de sanctions.
Je suis dévoué au Royaume de France, mes états de services en sont la parfaite illustration
Je suis las aujourd'hui de ne pouvoir faire ce pour quoi je suis né.
Servir est mon seul crédo.

Je veux retrouver la joie de servir Majesté. Servir le Royaume, le duché, le peuple et Vous.

Que faut-il que je fasse pour retrouver cette dignité?

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