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[RP] Des désignés volontaires...

Milly.
Le visage du cap qui se change pour afficher un sourire, c'était déjà nettement plus rassurant.

Je le regarde s'approcher et écoute ces paroles. Evidemment pas moyen qu'il passe sous silence ma tenue spéciale-malade, mais c'est pas ma faute . C'est la faute au gars qu'il a envoyé me kidnapper !
Mais la suite des mots me fait écarquiller les yeux.
Forcément je m'agite un peu sur ma chaise quand il s'approche de plus près pour me mouiller le front.
Voila que je dégouline en plus, au point ou j'en suis, il me semble que je manque un ptit peu de dignité. Surtout que remontent en moi des souvenirs lointains, j'avais déjà vu maintes fois mes parents lors de ce genre de cérémonies.
Ne devrais je pas ployer le genou devant lui ?
Impossibilité technique , je me contentais donc de demeurer sur mon siège rembourré et plongeais mon regard , pour une fois, sérieux dans celui de Namaycush


Moi, Emilie Bourgon Condia, celle que tu appelle Milly. la petite, j'accepte cet honneur. Bien que tu le sache déjà , je te promet d'être fidèle, de te conseiller en tout et dans la mesure de mes humbles moyens et connaissances , de continuer a être bras armé aux cotés de nos frères et soeurs d'armes quand tu en a besoin , enfin quand je tiendrais debout. Et surtout de continuer de t'aimer , même si tu grognes, comme une amie, une complice , même une peste si ça peut te faire sourire et je promet aussi d'avoir tenue moins négligée .


Mon sourire s'étira alors que je louchais un peu sur la perle d'eau qui glissait vers le bout de mon nez. Je clignais des yeux avant de les relever vers le Carmin.
Et puis spontanément je lui tend ma main, un peu comme celle qu'il a mentionné , aussi un peu parce que faute de lui sauter au cou, j'avais envie de touché sa main.

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Namaycush
Pourtant, lorsqu’il se redresse, il l’invite à le rejoindre, enjoignant le geste à la parole, non qu’il se prenne pour un Messie ou autre chose à divinité diffuse…


    Lève-toi, marche, afin que nous scellions l’union !



Terrible ou horrible, les limites toujours, il fallait les franchir…

Sourire en œil de plisse et brin de carnasse…

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Milly.
Il ose ! Il a osé !
Ni une ni deux, j'attrape sa main solidement, m'y accrochant de toute mes forces et je tire.
Heyho pas pour le tirer vers moi.
Mais me faut quelque chose a m'accrocher pour me lever quoi.
L'autre main bien appuyer sur l'accoudoir, voyez l'idée ?
On pousse d'un coté et on se tire de l'autre.
Bah oui, ca fait grimacer parce bon c'est pas sans mal.
Debout ? Oui ca , je peux y arrivé, marcher par contre c'est une autre affaire.
Mine de rien, fait chaud, ca donne chaud l'effort.
Bout de langue rose au coin de la bouche, ca aide parait a forcer.
Et me voila pas solide mais debout, bien accrochée a la main du Carmin.
Je relève le museau, regard de défi....
Faut pas demander plus là, y a une limite


Scellons, scellons
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Namaycush
Il peut bien oser. Comme il l’a fait. Comme il le fera. On lui reproche d’être vieille gloire en ce moment, dans la vérité d’être un vieux beau, dans le sens péjoratif.

On peut bien lui reprocher ce qu’on veut. On peut bien penser ce qu’on veut.

Il s’en fout, tant ceux qui jugent doivent et ceux-là mènent des combats inutiles alors que lui doit sceller le pacte issu des temps immémoriaux, qu’il accomplit en fendant la lèvre de la petite Milly lors du baisser vassalique, lapant la goutte de sang issue de la plaie, démontrant par l’exemple à qui ne savait pas le pourquoi de son surnom… Carmin, comme le sang et le vin.



    Blanche, je te prie d’acter !



A jamais, ce sang coulera en lui tant il est tout et rien, il est eux et lui…
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Perrinne
J'acte donc, mais je ferai la distribution des documents à la fin.

Posant son ecritoire où refroidissait la cire qu'elle venait tout juste de marquer au pied du document adequat, elle se redressa non sans avoir au préalabre pris un rouleau de tissus fixé dans le metal de taille simple et réduite mais pourtant tout aussi symbolique.

Attendant que la demoiselle ait repris sa place dans le calme, elle s'approcha.


Demoiselle Emilie, puisque telle est le prédicat que devront dorénavant utiliser les autres lors des occasions formelles où vous apparaitrez peut-etre, voici les armes de Mery sur Oise qui ont été choisies pour vous.
Mes félicitations !


Et de déployer le rouleau de tissus et le tendre ensuite à la fraiche dame de Mery.



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Milly.
Jambes tremblantes, au moins tout se passe très vite non sans me faire tressaillir.
Je sais le cap carnassier mais je n'en ai jamais fais les frais.
Donc voila , un baptême faut croire.

Epuisée je n'en souris pas moins malgré ma lèvre engourdie et je me laisse choir sur mon fauteuil. La fatigue doit certainement cernée mes yeux mais ne fera pas vaciller mon sourire.

Je prend le tissu des mains de la jolie dame


Merci madame Blanche
Dernier coup d'oeil au carmin avant de jeter un regard par dessus mon épaule en cherchant les soldats qui m'ont aider tout a l'heure.
Je pense qu'il est temps pour moi de retourner entre mes deux compères voir même un ptit roupillon serait bienvenu. Mais pas maintenant je veux assister à la suite des évènements.

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Lysithee.
A la ramasse! A la ramasse! A la ramasse! Non! Non! NON! Pas aujourd'hui....
Ce sommeil qui la prends sans cesse commence a la peser.

Elle tente de se faire un visage présentable en l'éclaboussant d'eau froide, peut être un peu de couleur cacheront se minois a la peau translucide en ses derniers jours, se qui donne une mine étrange sur cette peau légèrement mate habituellement. Puis ce fut le tour de passer a plusieurs reprise ses doigts dans sa crinière de jais afin de les discipliner... un peu...
Un regard circulaire, la tenue, qu'elle tenue ? Ô et puis ça suffit de reflechir en mettant encore plus de temps, elle enfile son habituelle tenu qui sèche près du feu, après tout le parfum boisé ne surprendra personne pour ceux qui la connaissent. Les braies de cuir enfilées, les cuissardes ajustées ainsi que leur parures, puis ce fut le tour du mantel et pour finir du tricorne afin de ce protéger du froid.

Avant de s'élancer, elle n'avait pas oublier deux ou trois petite chose comme de quoi grignoter aussi. Le plus discrètement possible elle était arrivée en se planquant un peu bien entendue, elle était de celle qui ce mettaient rarement en avant et puis c'étais la journée de ses trois frère et sœur d'arme. Elle sourit tendrement en voyant sa complice Milly en chemise de nuit sur sa chaise, comment ça pas de petit coup taquin en ce beau jour ? Allons voyons ce ne sera pas possible, un sourire espiègle nait sur le minois de la brunette. Les perles grises s'illuminent, un regard de fierté a l'oncle Nesto puis sur Tyra alors que le souvenir de sa première venue surgit comme hier, attendrie.

Les autres sont là, elle se glisse entre eux, elle a bien entendue ôter le tricorne nan mais! elle est polie! Elle a bien sentie le regard du carmin qui scrute ce qui n'empêche pas la brunette de suivre en silence comme grognon qui ne pipe pas un mot sur son parfum boisé, pas intérêt le Bret, bien qu'elle soit heureuse qu'il soit revenu entier de son escapade maritime. Elle est heureuse quand enfin le Cap scelle par le sang le baiser vassalique a Milly et se marre intérieurement comment Nesto appréciera la méthode.

Une inspiration, un bout de sucre d'orge croqué et prête pour suivre la suite.

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L'avenir est un long passé... La vie, L'envie... Le jeu, L'enjeu ...©
L'air, pour rêver... - le feu, pour brûler... - l'eau, pour oublier... - et la terre, pour renaître...
Caro
Et de une comme on pourrait dire. Mais dans le cas présent, je ressentais une immense joie pour Milly, une émotion que je ne saurai trop décrire. En cet instant le fil d’un temps lointain me revenait en mémoire. Le jour, ce fameux jour où toute timide et discrète, j’avais fait sa connaissance. Bien de l’eau avait coulé sous les ponts depuis et cette jeune fille encore chrysalide, qui au fil du temps avec l'aide de cette famille qu’elle avait découverte et qui l'avait adoptée, s’était épanouie pour devenir un magnifique papillon.

Fraicheur de chaque jour, soleil de nos journées grises, à elle seule elle savait chasser les nuages.

Et ce jour, papillon de liberté, de joie et de tendresse, liée par le serment et le baiser on ne peut plus Carmin, devenait Dame arborant blason fort de signification. Cette main tendue qu’elle offre à chacun de nous, à présent la représentait par sa Seigneurie en de magnifiques couleurs azur et or.

Un sourire s’esquissait alors que le tour d’un des garçons arrivait. Le baiser vassalique particulier serait-il au goût de tous ? A moins que….

La suite nous le dira...

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Namaycush
Un dernier coup d’œil, comme si on donnait un dernier coup d’œil au Carmin, voyons.

P’tite Milly avait partagé le sang, exerçant une communion allant plus loin que la féodalité, celle qui ferait que jamais elle ne sera seule devant l’adversité de l’existence. Mais cela, elle le savait déjà.

Plus loin, une nièce se marre gentiment de son oncle, qu’elle aime à la déraison, qu’elle suit toujours appréciant ses façons d’être qui ne manquaient jamais de panache, tandis que la « vieille » se réjouissait de la suite…



    Blanche, pour la suite, nous avons un cul nu. Mais pas n’importe lequel. Mon Cul Nu.

    Je l’ai connu armé d’un mantel de peau, battant la médaille d’Aristote sur son poitrail, hurlant à qui voulait l’entendre qu’il voulait combattre non pas pour la gloire, mais pour cette soif inextinguible de justice que nous partageons. Sa foi était si forte que je l’ai cru. Depuis il ne me quitte plus, il fait partie de tous les coups durs, on ne l’appelle pas, il arrive tout seul. Et est habillé… !



Souriant à la malice, Namay lève un doigt qui se veut docte…


    Tyranertus, mon frère, ton heure est venue. Celle où enfin, bien que tu le sois déjà, on te reconnaisse officiellement fils de France, royaume si déchiré mais que nous aimons tant dans la vérité.

    Approche, afin que tu deviennes Seigneur de Hérouville.



Si imprévisible ce Namay qui fait tout à l'envers de l'annoncé, fidèle à son image, imprévisible comme le lynx qui fait ce qu'il veut l'hiver, se réjouissant de la neige, ou l'été paressant au soleil, aux moeurs spéciaux, sans qu'ils ne paraissent choquer les beaux yeux de Blanche....
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Perrinne
Le Carmin a de la chance, Blanche est dans un de ses bons jours. Eut-il eu les deux dames de glace qui lui avaient succédé à la tete de l'Herauderie, il est possible que la cérémonie ait été annulée sitot les premiers mots avancés. Elle se rappelle d'ailleurs de cette cérémonie en Bourgogne qui lui fut rapportée où une future reyne montrant par trop son poitrail à ses vassaux en devenir s'étaient vue frappée d'un tel sort.

Mais pudibonde, elle ne l'est pas. Trop de campements, de proximités de freres d'armes, de tentes et couchettes partagées pour trouver la chaleur où elle est quand les grands froids n'épargnent aucune extrémités, trop de tout cela pour y redire. Ils ne sont pas dans un quelconque écrin parisien ici.

Quoique "cul nu" et l'anecdote, sont amusantes.
Et donc un sourire discret à l'entente de cette histoire. Voilà donc un autre qui avait montré sa fidélité. Certes, le Carmin menait à sa sauce, une fois encore. Certes, il jouait sur les limites. A voir s'il les dépasserait. Mais la sanction serait alors simple. Dès lors elle continua son observation semi silencieuse.

Et puis, habillié, mais la médaille ?

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Tyranertus
Ah ! C’était à son tour et le stresse était déjà là. Lui le Cul Nul au sens figurer comme au sens propre du terme et loin de tout protocole ou de hautes institutions se voyait être cette fois acteur. Qui aurait pu penser cela d’un enfant destiné a arpenté les rues devenir une fois adulte, Seigneur, probablement pas grand monde. Une bonne revanche, oui une bonne revanche de repenser à ces nobles d'Auch qui lui dévalisait sa nourriture pour s’amuser. Une pensée à cet homme Mic d'Avranches qui a su lancer se déclique en lui, bien qu’il n’ait jamais eu de nouvelle il serait surement fier de lui mais c’est le passer. L’avenir c’est son cher capitaine qui lui a donné et su l’accepter avec ce petit sobriquet que Tyra adore tant porter et qu’il lui va merveilleusement.

Il lui était l’heure à lui de se présenter devant le Lynx. Va-t-il le manger lui qui est si doux et gentil.

Il s’approche donc bien habillé comparer à son habitude. Il n’allait pas lui montrer ces fesses à cette dame surtout devant tout le monde.

Arrivant devant Namay et Tyra pose un genou à terre. Il n’a plus qu'à faire comme l'avait fait la petite Milly. Après tout, normale que ce soir une fille qui est montrer l’exemple.



Moi Tyranertus, votre Cul Nul se plis avec honneur et fierté devant vous. Et je vous jure de rester fidèles comme je les été ces dernières années, toujours prêt à porter les armes et à monter haut l’étendard. Ainsi que de soutenir mes camarades d’armes dans les moments les plus dures.

Se décrispe et sourit heureux après ce petit exercice espèrent que cette France sera fière de son fils comme lui les de cette gratitude qui lui est tendue de son Capitaine.
Namaycush
Ne disait-on pas que l’on avait la chance que l’on méritait ? Alors Carmin avait sa chance, celle que la vie offre aux audacieux, celle que l’on provoque dans les jeux à l’enjeu improbable, celle qui faisait de lui un être vivant, acteur majeur de son existence, jamais emplie de passivité ou de destin mal écrit…


Blanche, par l’attitude lui plaisait bien, aussi il sourit en brin de malice carnassière avant de retourner son attention vers son vieux camarade à la peau peut-être pas si lisse de derche.


    Tyranertus, mon Cul Nu, lève-toi comme un homme parce que les hommes sont debout et non vautrés, ils lèvent le chef fier et arrogant quand ils sont seigneurs de France.

    Approche que nous scellions l’union des mots par la symbolique du sang et de l’embrassade.



Il le regardait, fier lui aussi, de l’instant comme de l’homme, l’attendant bras ouverts…
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Tyranertus
Tyra se releva et se redressa se tenant bien droit avec fierté devant son Capitaine. Il aurait sans doute des choses à apprendre pour se présenter comme un vrai seigneur mais il n'oublierait pas ce qu'il était avant. Ce vautré lui dit-il et ben non il n'était plus question de ce vautré bien qu'il sût que le capitaine était souvent taquin à trouver la petite phrase qui tue mais toujours claire et juste.
Tyra ce saisi donc de l'avant bras droit tendu pour l'accolade avec sa main droite afin de conclure par l'embrassade.
Namaycush
Quand un cul-nu devient fort de France, il devient redoutable. Bientôt il devra aller dans les bals de France, faire le beau au nom de Pontoise, mais à l'instant il est l'ami et le frère, dont il prend le visage entre les mains, lui fendant la lèvre inférieure et partageant ainsi le sang, comme tous dans la vérité...



    Par le sang partagé, tu es moi et je suis toi ! Tu défendras la France au-delà de la raison, dans son intérêt suprême, sans oublier que les hommes passent, la terre reste !

    Va et sois digne mon frère, sans jamais oublier ton drapeau ni d'où tu viens.



Un geste incommensurable de tendresse sur les épaules de Tyra...


    Blanche, actez !



Comme il aimait dire cela à la représentante de la hérauderie. Surtout à celle-là, dans le clan de lèvre fendue...


    Hormis ceci, chère Blanche, nous voici en présence d'un artilleur, mais pas n'importe lequel.

    Hormis que son père combattit avec moi lors de la guerre civile de Gascogne, il fit parti de l'armée "La Béatritz" que j'ai eu l'honneur de commander, portant haut l'oriflamme personnel de la reine de ce nom, première armée à entrer en guerre contre le Ponant.



Au grand désespoir de la reine, qui eut la décence de mourir quelques jours après. Mais cela il ne le dira pas.


    Sa bombarde résonna sur tous les champs de bataille et s'illustra vraiment lors du siège de Tours, alors que cette armée recomposée sous le nom de Memento Mori, s'illustra en brisant le siège des armées du Ponant et combattant jusqu'à la mort et au dernier d'entre nous debout pour défendre une certaine image de la royauté que représentait le chef-lieu de Touraine.

    Trahi par sa bourgmestre, à la solde du Ponant, nous tombâmes, mais toujours la Bertha d'Ernesto tonna, tandis que Bess de Scte Merveille s'évertuait à briser ce siège au nom des ordres. Ce qui nous valut, à elle et moi, la reconnaissance militaire de l'Ordre de la Salamandre, au nom des Ordres et de Memento Mori, édictée par Llyr di Maggio.

    Plus tard,
bien que trahi par la reine Nebisa, cela il ne le dirait pas non plus, bien que les archives soient dans ce camp
    , son artillerie fit ravage à Fougères où nous fumes seul capitaine de France à y avoir porté le fer.

    Par la suite, sous le mandat royal de mon frère Vonafred, nous nous rendîmes maîtres de Dijon, puis de Toulouse à plusieurs reprises. Toujours sous les coups de tonnerre de l'artillerie d'Ernesto.

    Les temps passèrent sous les cannonières d'Ernesto,
il allait pas énumérer la deuxième raclée d'Eusaias en Navarre, non tout de même,
    et il fit partie de la première armée déclenchant la guerre d'Empire sous le règne de l'Angelyque. Ses canons, encore une fois, sous les pavillons de France, donnèrent de l'ampleur aux assauts laborieux des troupes françaises trahies devant Dole et Chambery, pour finalement se rendre maître de Dole.

    A lui plus que d'autres, bien que les miens soient tous égaux, je dois la vie et ce sentiment de fierté qui me fait remercier le Ciel de m'avoir fait fils et soldat de France, ce qui m'a permis de goûter, au-travers des chocs qui ensanglantent périodiquement mon existence, à de courts instants de paix, de détente et d'oubli...

    Ainsi, fort de conviction, je t'appelle, toi Ongwhu, dit l'Ernesto par chez nous, afin que tu deviennes Seigneur de l'Osny, terre mouvante du Comté de Pontoise. Terre qui t'apporteras richesse si bien gérée, mais qui te demandera protection et beaucoup de devoirs.

    Approche, pour que le canon tonne toujours en terre de France !



Il souriait sincèrement, se demandant néanmoins si la représentante héraldique partirait avec une lèvre fendue, elle aussi. Quoiqu'il en soit, il 'entreprendrait...

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Perrinne
Parlant de drapeau, tandis que le comte scellait à sa facon, une fois encore, elle se releva, etendard en main qu'elle finit de dérouler quand l'échange fut clos.

Mes felicitations, seigneur d'Herouville.
Je gage que vous saurez faire la part des choses et couvrir ce qu'il se doit quand il se doit. Certaines salles de réception sont parfois bien glaciales....
Voici pour vous.




Vint alors la présentation du prochain impétrant.
Un sourire nostalgique égrenna les levres de "Blanche". Oh qu'elle s'en souvenait. Fraiche "Normanjoie" déjà dans les rang des Ordres, elle était dans cette armée qu'il mentionnait. Et avait eu ensuite à traiter des noblesses froissées des uns ou des autres.
Et si à Fougères elle n'avait pas été, juste en face, à Avranches, elle avait veillé. Ces bretons, "meilleurs ennemis" des normands durant de longues années....

Mais le sourire était de plus en plus large tandis que bombarde encore et toujours revenait au discours. Voilà qui lui rappelait sa belle mère qui avait fait sauter sa propre place forte lors d'un essai d'un nouveau prototype. Sans parler d'un enfant du Limousin et Marche, que d'aucun avaient un jour connu Grand Ecuyer et qui ne trouvait réel plaisir qu'à coté de poudre et tison.

C'est ainsi d'un oeil attentif qu'elle regarda la suite, oreille à l'acuité affinée mais ne laissant rien entrevoir de quelconque dessein.

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