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[RP] Des désignés volontaires...

Perrinne
Et en un pas, quitter le corps, garder la main certes, mais aux aguets. La normande n'est pas de ce jeu là, trop bas bleu probablement.

Tes gouts sont.... bizarres, Carmin. Est ce donc un défi pour toi de titiller la héraldique ? Ce qui le fut, ce qui l'est et ce qui le sera ?
Rends moi franchise de face plutot que me prendre baiser contre moi. La cérémonie vassalique est close, et je ne te suis pas vassale.


Fuite ? Que nenni. Mais franc parler, probablement. Et les émeraudes normandes de croiser celle du gascon, d'emeraudes à emeraudes.

Je ne suis pas non plus memento, mais accorde moi, si tu me veux conseiller heraldique, le meme honneur de parler vrai qu'à eux. Tu auras meme franchise qu'eux de ma part.
La danse n'est agréable que lorsque la direction est connue et partagée, meme s'il y a des improvisations.


Ca c'est tatie Pisan qui lui a appris. La franchise, quitte à etre brute de décoffrage.

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Namaycush
Et d’un pas de deux, en drôle de valse, leurs doigts gardaient le lien, peut-être en flux étrange, que Tatie Pisan aurait pu bénir, tant la rose et le chardon la définissait, bien que le rose fut porté par son époux et l’épine du chardon par la canne de la dame aux yeux vairons, alors que lui Namay ne fut qu’un capitaine noir…


    Mes gouts sont liés à ma personne, qui n’est pas une chose ordinaire. Je veux bien l’avouer. Tant cette chose a toujours soif, de cette soif inextinguible de justice.



Il lui sourit, sans carnasse et lui rendit le baiser, sincèrement, clignant des cils…


    Je le voulais ce baiser, je l’ai pris. Par envie. Comme je fais d’habitude, pour tout.

    Si tu es encore ici, tu es adoptée Memento. Alors sois ! Tout simplement, dans cette drôle de danse qui ne peut être menée que par un chef d’orchestre. Tu les veux maintenant, tous ces soucis héraldiques ?



Peut-être gâcher le moment, ou peut-être aplanir les cartes dans ce ramponneau incertain, tant Namay aurait-il fait une fois un acte sans attendre de réactions ?...
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Perrinne
Moué, la justice, elle a toujours plusieurs visages selon comment elle est entreprise. La justice des Roys n'est pas celle du peuple, loin s'en faut. On peut s'y bruler les ailes. Mais l'idée fut chassée, repoussée dans un des méandres de la pensée de la normande.

Soit, tu voulais, tu as pris. Mais je te prie que cela s'arrete là. Je ne suis pas un trophée que tu pilles à l'envi. Me voilà donc memento en adoption, mais n'espère pas cependant que je renie mes engagements. Je suis donc. Je suis.... mais préfères la douceur, elle te sera plus efficace.

Le baiser, ca passe. Mais qu'il comprenne qu'elle a ses limites malgré tout. Si les prises de tete héraldiques, elle les accepte du tout venant, les prises de corps sont à son époux. Parlant d'héraldique....

Comme bon te semble, la danse m'est plaisante tant que tu m'y traites en égale et non en ville à assiéger. Maintenant ou sous plis glissé à mon départ, c'est égal. Je risque de toutes manières de ne pouvoir te repondre directement. Cependant comme je dois retourner à Paris enregistrer ce qui s'est fait ce soir, je serai à la source pour voir ce qu'il en est de l'autre coté des problèmes que tu sous-tends.

Autoritaire la jeune blonde ? Si peu. Mais on ne tiens pas les rennes de cet office sans avoir les reins assez solides, meme si cela se cache sous l'apparence d'une donzelle au semblant fragile.
De divertissements ? Elle ne connait principalement que cette forme, la spontanée qui se crée autour d'un campement ou dans une soirée familiale, la plus agréable sommes toutes. Celle qui se mène en toute inscouciance et sans but inavouable, ce qui ne la rend que plus grisante.

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Namaycush
L’entremède musicalo-dansant se terminait et Namay attira Perrinne vers une table dont le plateau se composait de tierçons limousins, comme toutes les tables de la Memento, sur lequel trônait fier et arrogant de lumières un chandelier à sept branches. Sept n’était pas un hasard dans cette Memento, riche de vie, d’histoires comme de symboles qui lui permirent de vivre au travers des chocs qui ensanglantèrent périodiquement son existence, de courts instants de paix, de détente et d’amitié. Amitié souvent partagée par la trinque qui l’amena à servir deux godets d’Armagnac, mais pas n’importe lequel, celui de Lannepax, Gascogne. Il leva son godet et poursuivit.


    Santat ! Ce qui me chagrine est que à la fin de mon premier mandat de duc, je demandai un fief de retraite comme me le permet la loi. Je t’en donne copie.



Citation:
A Cléopatre2,
Dite Rouergue

Héraut de Gascogne







Demande de fief de retraite





    Adishatz Madame !


    Par ce courrier je vais valoir mon droit à un fief de retraite pour les deux mois passés à la tête de Gascogne en tant que Duc.


    Je vous remercie par avance, de vos propositions de terre, que je suis curieux de découvrir.


    Dans l’attente de vos nouvelles à ce sujet, je vous adresse mes salutations et respects.




    Mont de Marsan le douze de juin 1464.





Namaycush Salvelinus Salmo Salar.
Comte de Pontoise, Régent de Gascogne






Carmin.



    Ce courrier, bien que réceptionné n’a jamais fait l’objet d’une réponse. Il a été fait dans les temps, j’étais régent avant d’être reconduit duc. Le second mandat, je n’ai pas demandé de fief. Ce qui est surprenant de la part de Rouergue parce qu’elle est assez vive. Néanmoins, j’avais fait les choses dans les règles.

    Maintenant, dans les jours qui suivent, je vais effectuer une autre demande de fief pour le mandat ducal en cours. A cette demande, je rajouterai la demande précédente sans réponse.

    Comment la chose va-t-elle donc se passer ? ensuite j’ai d’autres requêtes.



Oui, Namay était un homme complexe…
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Namaycush
Puis il reprend...


    D'aute part j'aimerais attribuer la dernière seigneurie mouvante de Pontoise à un ami, un soldat toujours fidèle. Voici donc la demande :



Citation:





Demande d’octroi de la Seigneurie d’Auvers sur Oise,
mouvante du Comté de Pontoise








A Perrine Giffard de Gisors-Breuil
Dicte Monjoie
Roi d’Armes de Fance

En Paris la belle




Adishatz !

Madame, Nous prenons plume ce jour à titre privé afin d’octroyer notre fief mouvant d’Auvers sur Oise issue de notre comté de Pontoise de en Ile de France à notre ami et soldat Paysans01.

Depuis de longues années, celui-ci a combattu au sein de la Memento et d’autres armées, comme lors de la guerre du Ponant et s’est toujours illustré sur les champs de bataille par sa fidélité, son opiniâtreté et son engagement au nom de France, et ce nom pour lui n’est pas qu’un vain mot sur le papier.

D’autre part cet homme bénéficie de notre confiance absolue et ne saurons que le recommander à quiconque en bien.

Nous vous laissons le soin d’ordonner à la Grande Prévôté enquête à son sujet et en ce qui concerne la somme de cent écus à verser à la Couronne, nous aimerions que cette somme soit déduite du montant que nous doit la Surintendance des Finances, dont nous joignons la lettre de créance attestant de notre crédit.

Nous vous adressons, Montjoie, nos hommages sincères et vous souhaitons plein succès dans les défis que votre office se doit relever pour les temps à venir.










Ainsi rédigé, du haut de notre volonté, ce XXIIIème de Mars 1465.




Namaycush Salvelinus Salmo Salar, Duc de Gascogne.









Carmin.



    je vous joins aussi la notification de crédit...



Citation:




    De Nous,Valéria Gambiani de Valrose, surintendante des finances royales
    A Vous, Namaycush Salvelinus Salmo Salar Comte de Pontoise, Commandant historique de Memento Mori, Général de France
    A vous Caro Maledent de Feytiat, intendante de Memento Mori,


    Salutations,


      Par la présente je viens vous avertir que suite aux documents en ma possession dont l'enquête de mon prédécesseur, la couronne est prête à vous rembourser la somme de 3468.00 écus se décomposant comme suit, les 2508,00 écus déjà calculé auxquels s'ajoutent 260 écus des embauches de PEA par le comte de Pontoise et les 700 écus correspondant aux 350 sacs de Maïs de Gwenhwyvar uí Fergus, duchesse de Crécy en Brie, baronne de Boissy le Châtel.
      Merci de me dire par retour de courrier où cette somme doit être versée sachant qu'il est plus aisé de verser dans un duché du domaine royal et de me dire qui il faudra mandater pour que vous récupériez cette somme.

      Sachez que sa Majesté Lafa de Bussac reyne de France prendra contact avec le comte de Pontoise pour clore ce sujet.



    Avec mes respectueuses salutations

    Fait au Louvre, le IIème du mois de mars de l’an de grâce MCDLXV



Valéria Gambiani de Valrose
surintendante aux finances royales





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Perrinne
Ellipse de temps vu l'évolution de pépé entre temps, mention des nouvelles et anciennes regles meme si au moment du rp, normalement ces regles n'exitaient pas.


Ah les affaires reprenaient donc.....

Tiens, bizarre, j'ai vu cette demande passer chez nous. De meme que justement l'absence de demande pour le 2e mandat.
En tous les cas, la demande était en ordre chez nous. Il m'étonne que Rouergue n'ait pas donné de suite.


Froncement de sourcil se rappelant de passer vérifier dans l'alcove pourquoi cela n'avait plus bougé depuis septembre.


Toujours est-il que tu as droit à ton fief, il a été ouvert au rang de vicomté. Si une nouvelle demande arrive pour le mandat qui se termine, cela donnera une élévation en duché. Ce qui est acquis est acquis. Peut-etre est ce pour cela que Rouergue n'en a pas dit plus sur la question. Mais lui poser simplement la question aurait clarifié les choses.

Et de passer ensuite à l'autre demande.

Je note. Il faudra donc que j'écrive à la Surintendante pour qu'elle crédite cette note. Mais tu le sais, il me faudra en sus l'enquete de la Grande Prevoté. Cela ne change pas. Puis je t'avertis également que ma retraite annuelle d'avril approche. Je n'y serai pour personne durant au moins 12 jours à compter du 31. Donc ton octroi ne pourra pas se faire avant un mois environ. C'est fortuit mais c'est ainsi.
Et je doute que Toulouse ait de meilleures disponibilités pour officier.


Quelques montagnes lui serviraient de décors durant ces jours. Juste repos attendu et retraite isolée de tous.

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Perrinne
Partie rejoindre sa retraite.... et après avoir re-sollicité la GPF.... victoire !
Court billet envoyé au campement, serait réceptionné quand il voudrait.

Citation:

    Carmin,

    Sous 5 jours, tout sera en ordre pour ta demande d'octroi.
    Je dois juste vérifier le blason de ta seigneurie.
    Le reste du dossier est clos.

    Montjoie

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Namaycush
Court billet fut réceptionné. Avec sourire sur la durée de temps... n'était-ce pas une femme qui l'avait écrit ?^^...
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Perrinne
Et vint la suite, toujours aussi breve.
Pragmatisme ou manque de temps, allez savoir avec la normande....


Citation:

    Carmin,

    Donne moi ton jour et ton lieu, nous pouvons procéder.
    Montjoie.

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Namaycush
La suite ne fut point brêve…elle dura…


Pragmatisme, manque de temps ou d’envie… allez savoir avec une normande…adoubée de royalisme pur…



Citation:
Montjoie,

A la route des Mélèzes, aux Trois Sapins, un camp rouge,
Quand tu voudras.

Carmin.

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Perrinne
Ainsi fut fait.
La date serait symbolique.
Elle avait donc quitté Paris, annoncé son absence pour qu'on lui fiche la paix, fait le détour à Macon qui avait hébergé ses blessures dauphinoises et finalement rejoint le lieu pointé.
Comme un air de "déjà vu", ou pas loin.


A l'entrée de camp, elle retrouva le meme garde à qui elle délivra le meme message, la meme introduction.

Perrinne Giffard de Gisors-Breuil. Le Carmin a besoin d'un héraut pour valider son annoblissement, il sait ma venue. Avez vous une tente pour moi jusqu'à ce qu'il tienne cérémonie ? Dame Caro est elle dans les parages ?

La dame lui avait plu. Tant qu'à converser en attendant qu'elle soit mandée, autant échanger. Elle doutait que le Carmin ait du temps à perdre à cela et bien que de nombreux parchemins attendant réponse ou réflexions attendent dans ses fontes, elle rechignait à les sortir. Comme un gout de vacances où l'on a envie de tout oublier. Mais vacances il n'était point, puisqu'elle devrait quand meme officier.

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Caro
C’est dans ma tente de travail qu’on m’avait trouvé. Quand on sait que ma vie est partagée entre conseil, prévôté et Memento, que comme à mon habitude, j’avais fait un petit tour pour saluer toutes ses petites mains qui œuvraient dans l’ombre, me trouver restait un jeu d’enfants.

Grognant sur des informations qui ne me plaisaient pas du tout, je manquais d’envoyer bouler le garde qui venait me déranger. Le laissant tout de même s’expliquer, c’est avec un étonnement non dissimulé que j’apprenais la venue ce jour de Perrinne, la raison de sa venue et qu’en plus elle avait demandé si j’étais dans le coin.

Un sourire léger se dessinait. Cette jeune femme pleine de vie, avec qui le courant était bien passé, serait mon écrin de fraicheur du jour. Laissant donc en plan toutes mes affaires, suivant le jeune soldat, je filais la rejoindre.

Soulevant le pan de la dextre, la gardant relevée je passais la tête dans la tente.


Bonjour Perrinne…. C’est Caro.

J’entrais entièrement lâchant le pan qui retombait derrière moi alors que je m’avançais souriante vers la jeune femme


On m’a dit que vous me cherchiez et me voilà. Quel plaisir de vous revoir, je ne savais pas que vous veniez ce jour sinon je serai venue vous accueillir à l’entrée du camp.

Un rapide coup d’œil circulaire pour vérifier que tout était à disposition pour qu’elle puisse se reposer un peu de son voyage.
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Perrinne
Ah bonjour Caro !

Laissons tomber le "vous" si c'est d'accord.
Je dois l'utiliser bien assez souvent à Paris et cela fait du bien de laisser le masque là bas.

Je suis de retour pour un octroi, une fois encore...


Quoi ? le Carmin siffle et elle accourt ? Non pas. Mais l'homme pourrait se targuer d'etre le seul pour qui elle officierait avant longtemps hors des obligations royales où elle ne pourrait se soustraire. C'est qu'elle pouvait se montrer selective si elle le souhaitait.

J'espère ne pas trop te déranger, mais la solitude a ses limites.
Pour me faire pardonner, j'ai fait amener deux tonnelets des productions de mon domaine familial. Je suppose qu'en Gascogne vous avez vos propres alcools, que j'avoue méconnaitre. En normandie, c'est le Calva.
Et si cela t'intéresse, j'ai cette piece de tissus qui m'a fait penser à la Memento - sans savoir pourquoi - quand je l'ai vue sur un étal. Je ne l'ai pas fait couper. Libre à qui le veut de l'utiliser. Et si c'est pour se torcher au final, eh bien tant pis !


A cette derniere repartie, elle eut un plissement rieur du regard.
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Caro
Sourire et acquiescer

Ca me va très bien même, on laisse le « vous » au placard. Autant être telles que nous sommes sans ce « vous » qui bien souvent me parait trop pompeux, surtout à Paris comme tu dis.

Référence à l’octroi


Je savais que v.. Heum... tu allais revenir pour l’octroi, mais je ne savais pas quand exactement. Quant à me déranger certainement pas non. J’avoue même que ça me fait du bien car comme tu dis, la solitude a ses limites.


Tout en l’écoutant, l’azur filait vers ces deux tonnelets avant de reporter mon attention sur Perrinne en souriant puis finir par rire

Rohhh en voilà une idée. Se torcher avec un tissu … sacrilège …. Ah non hein. J’ai une échoppe de tisserand, on va bien trouver de quoi en faire quelque chose… voyons voir ce que tu nous as apporté et ce qu'on pourrait en créer. En attendant que Namay arrive on pourrait même en profiter pour goûter à ton Calva… Ca va nous changer de l’Armagnac que tu ne manqueras sans doute pas de goûter après la cérémonie d’octroi.

Par contre… pourquoi dis-tu vouloir te faire pardonner ? Pour ma part il n’y a rien à te pardonner

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Perrinne
Eh bien percons ce tonnelet rien que pour nous et parle moi de tes occupations alors. Puise que je peux te distraire de celles-ci. Les miennes sont sans intérets et résumées par certains en "elle enquiquine les nobles".
On verra bien où cela nous menera. Mais je te préviens, je suis curieuse et je pose toujours des questions... parfois débiles.


Et comme souvent quand son esprit rebondit d'un coin à l'autre de sa tete, quitte à passer pour ecervelée...


Et si on est rondes ? Oh bah, au pire, faut juste que j'entende 3 mots et que j'arrive à mettre un cachet de cire à peu près correct sur un parchemin de mon coté. Ca doit etre faisable non ? Et je ne pense pas que quiconque ici osera porter plainte à l'herauderie pour ivresse publique d'un noble non ? Ils viendront plus vite trinquer avec nous je parie ?

Un large sourire narquois et teinté d'auto-derision ponctua ces propos.

A moins qu'il ne faille craindre une réaction houleuse de "papy-carmin" ?

Ecoutant la réponse, elle rejoignit la table près laquelle étaient posés les tonnelets et les agréments du campement étant bien pourvus, elle trouva rapidement de quoi le hisser et le mettre en perce d'un geste sur. Deux hanaps furent rapidement remplis et distribués.

A quoi buvons nous ?

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