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[RP] ouvert a Tous ! Les Bains de Bazas

Fee_dicioula
Entant que Médecin à Bazas elle pensait avoir un rôle important concernant la santé de la ville.

Hors forcement sans un endroit publique ou les habitants et les voyageurs pourraient se reposer et se laver comment le pourrait-on.

L'eau fait partie des plaisirs innombrables de vivre ou en tous les cas c'est ce qu'affirme certains documents tels que les traités de médecine, les herbiers, les romans (qu'elle lisait en cachette), les fabliaux et les comptes royaux et princiers. On se baigne et oint pour nourrir la chair nettement.

Elle avait trouvé le local parfait pas trop loin de la rue principale et pratique pour faire les travaux nécessaire pour amener l'eau de la rivière qui passait non loin du village aux bords du monastère Sainte Illinda.



Elle se mit donc au travail, elle engagea des ouvriers, se mit a faire des commandes....

Assise derrière son bureau qui deviendrait bientôt la halle de réceptions des Bains de Bazas.

Les travaux avaient commencé.






Le chantier prenait de l'allure
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Fee_dicioula
Elle était contente elle pourrait bientôt annoncer l'ouverture les travaux avançaient a grande allure.




La salle de fontaine ...



La piscine ronde...


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Fee_dicioula
Elle était heureuse les travaux prenaient forme.

Elle faisait le tours des salles en regardant les finitions.

Il y avait encore du travail a faire ici!




Mais la elle était bien plus satisfaite, le petit bain et les mosaïques étaient ravissants.



Le salle de bains saturés de vapeur d'eau était bien presque terminé.




Elle regarda sa listes, il lui restait a prendre livraisons des cuves pour les bains dans les salles privés. Elle devait engager les masseurs, recevoir les serviettes et peignoirs de bains. Elle réfléchit et nota sur sa liste pour la petite restauration apres le bain il manquait:


Citation:
Douceurs
Gâteaux
Vin
Boissons Fraiches

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Fee_dicioula
Voila voila elle arrivait a la fin des travaux. Elle avait engagé 2 masseurs très professionnel.



Les serviettes et peignoirs étaient enfin arrivé.








Et le plus important les gâteaux






et boissons

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Fee_dicioula
Elle avait terminé c’était enfin la grande aventure.

Elle posa la petite caisse sur le comptoir et affichage le panneau.


Citation:
Le prix du bain de vapeur est de deux deniers.

Celui du bain d'eau tiède de quatre deniers.

S'estuver et se baigner dans les cuves, la piscine et un bain de vapeur coûte huit deniers .

Si vous désirez un massage coûte douze deniers.

A cela, il faut ajouter un denier pour un drap.

Gâteaux, boissons, peignoirs sont offerts, servez vous!

AU CAS OU LA RÉCEPTION EST VIDE, SERVEZ VOUS ET LAISSEZ VOS DENIERS DANS LA BOITE PRÉVUE A CET EFFET.




Elle poussa la porte et sorti sur la place pour admirer son chef d'oeuvre. Grande ouverture.

Les crieurs passaient dans les rues pour avertir la population que les bains étaient prêts : " Seigneurs, venez vous baigner et étuver sans plus attendre... Les bains sont chauds, c'est sans mentir "

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Farnou
Farnou avait entendu les crieurs annoncer que des bains avaient ouvert ses portes. Elle aurait bien aimé poussé les portes de cette belle bâtisse pour voir ce qui s'y cachait derrière. A ce qu'elle en avait entendu parler il devait y faire bon s'y délasser.

Malheureusement elle n'avait rien d'un seigneur et encore moins une épouse de seigneur. Elle se demandait si un jour elle pourrait se l'offrir. Pour le moment il n'en était rien. les quelques deniers qu'elle gagnait à la mine elle les conservait précieusement. C'est que les emplois lui coûtaient encore un peu cher mais c'était ce qu'il fallait tant qu'elle n'avait pas les capacité nécessaire pour le faire elle même.
Finalement elle passa son chemin en se promettant d'y revenir très prochainement.
Altieros.reudi
Il rentrait vers son atelier, sa hache posée au fond de sa charrette chargée de stères, résultat de sa coupe du jour.
Depuis quelques jours il avait remarqué que des maçons travaillaient à un nouvel édifice et que la chose allait bon train tant ils mettaient du coeur à l'ouvrage.
Cela faisait quelques jours qu'il n'avait emprunté ce chemin pour se rendre chez lui et il eut la surprise de voir que tout était achevé ! La forme finale du bâtiment fit écho dans ses souvenirs ! C'étaient des bains !
Quelle belle idée que de faire édifier des bains !
Il rangea sa charrette et se dit qu'un bon bain dans un grand bassin lui ferait le plus grand bien.
D'un pas décidé il entra par la grande porte ouverte invitant chacun à se présenter sans attendre qu'on vienne lui ouvrir !
Et il n'en crut pas ses yeux le grand bassin entouré de colonnades, éclairé par une immense verrière par où à cette heure le soleil entrait à flots était en tout point identique à celui qu'il avait connu et dont sa marraine avait été l'initiatrice quand elle était maire !
Il pensa que le même architecte avait du être appelé pour diriger les travaux selon ses plans, il ne fallait pas faire n'importe quoi en la matière et la personne qui avait fait appel à lui n'aurait aucun ennui car il connaissait parfaitement son affaire !
Il vit la petite boite dans laquelle on pouvait laisser ses deniers pour payer son droit d'entrée si personne n'était derrière le petit "bar" d'accueil !

Alors il me faut 8 deniers pour un bain d'eau tiède dans la grande piscine et un bain vapeur sans oublier un drap pour me sécher, donc 9 deniers !
Il prend la somme et la met dans la petite urne et puis se saisit d'un peignoir et d'un drap en se dirigeant vers la piscine !
Quelques minutes plus tard il nageait heureux comme un poisson dans l'eau ! Facile de penser ainsi ! L'eau était à la température idéale et il barbotait, nageait sur le dos, le ventre, faisait des plongeons ! Il ne pouvait éclabousser personne car pour l'instant il était seul et du coup il s'en donna à coeur joie !!!
Puis sortit et passa le peignoir pour se rendre dans la salle des bains de vapeur !
Il s'assit en s'adossant contre le mur et fermant les yeux il s'abandonna au plaisir de cette chaleur qui le faisait suer ! Au propre et non au figuré ! Il s'en serait presque endormi tant c'était agréable mais il se secoua et se sécha vigoureusement avant de se rhabiller.
Quand il reprit sa charrette en direction de sa petite maison il se sentait tout revigoré et plein d'ardeur pour travailler dans son atelier ! C'est qu'il avait des tonneaux en commande !

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Fee_dicioula
Elle venait faire un petit tour pour voir si tous etait propre et bien entre tenu.

Il n'y avait encore pas beaucoup de monde mais elle était sur que des que cela se serait les habitants et meme les voyageurs n'hesiterait pas a venir se baigner.

D'ailleurs elle avait bien envie d'un petit bain.....

Elle prit une serviette et dépose aussi quelques deniers dans la boite, faut bien faire tourner et payer les employées.



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Constance_de_floyan
De passage dans cette petite ville tranquille elle s’arrêta un instant dans la rue et lue l'enseigne.


Des Bains! Quelle bonne idée!

Elle regarda autour d'elle se rendant compte qu'elle se parlait toute seule a voix haute.

Elle n'avait pas vu ça depuis son voyage en Turquie.

Elle poussa la porte de l'établissement et lue les instructions. Déposant ses deniers dans la boite, elle prit serviettes, peignoir et un petit gâteau au passage qu'elle enfila bien vite dans sa bouche en se léchant les doigts.

Elle passa dans une salle visiblement réservé aux Dames, elle retira sa houppelande et la laissa a la jeune femme qui se proposait gentillement de la lui nettoyer.


Pensez vous que vous en aurez le temps?


Bien oui elle semblait sur d'elle. Et hop elle enfila le peignoir et se dirigea vers les cuves de bains chauds. Les savons sentaient bons et remplissaient la salle humide et embué d'un parfum enivrant.
Elle posa son peignoir et sa serviette sur un clou prévu a cet effet le long du mur et se glissa dans le bain savonnette a la main.

Elle renifla la savonnette qui sentait la lavande et elle commença a se frictionné se sentant... ben oui disons le ... royale

Ecoutez donc sa joie....


La musique dans son bain



Therat72
Therat très occuper par ses charges municipale n'avais pas pris le temps d'aller voir les bain public, qu'il n'a même pas pu inaugurer.
Bien fatiguer il ce dit que c'étais le moment d'y aller et de ce délasser.


Il frappa à la porte "toc toc" et entra

Bonjour,

C'est monsieur le Maire! y a quelqu'un? bigre c'est grand et beau par ici!


Il ne voyais personne mais une pancarte avec les tarifs, il ce mis a répéter fièrement son statue de maire:

C'et Monsieur le Maire! y a quelqu'un! j'veut la total massage, bain de vapeur, bouf et tout et tout!
y a un tarif spécial pour la total pour un maire éreinté?
Fee_dicioula
Bercer par l'ennui elle dirigea vers les Bains.
Apres tout il ne lui restait pas grand chose a faire.
Le marché n'avait pas de farine.
Le marché n'avait pas de hache a vendre.
La Mairie n'en prêtait plus.

Alors même si elle voulait travailler elle n'aurait pas pu.

Tant pis pas de pain frais demain.

En espérant qu’après son bain il y aurait une collation ici.

Elle salua la jeune fille derrière le comptoirs.


Puis-je avoir un peignoir et une serviette et une savonnette a la lavande SVP?

et voila qui est fait elle pris tous ce qu'on lui tendait parti vers le vestiaire en sifflotant.
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Fee_dicioula
Depuis l'ouverture des bains elle n'avait pas vu défiler grand monde.
Mais elle continuait a veiller sur l'entretiens des lieux.

Il faudrait peut-être qu'elle fasse un peu la promotion de l'endroit, il est claire qu'en se promenant a travers le marché que certain habitant aurait bien besoin d'ablutions.

Prendre les eaux n'était pas encore bien rentré dans les mœurs visiblement.

Mais Fee décida d'aller faire trempette dans la grande piscine, elle pouvait donc se baigner nu puisqu'elle était seule. Elle s'en donna a coeur joie.



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Arseline
    Arrivée la veille, en compagnie de ses camarades de routes et de son cher et tendre, les pieds dans la neige elle en avait eu froid jusqu’au matin, à croire que le tenancier de l'auberge ou ils allaient passer leur séjour ne s'était pas donné la peine de remettre du bois dans l'âtre de la cheminée, la chambré était encore glacé quand ils en prirent possession.

    Une première journée à visiter les bois, à couper un arbre et à en perdre une hache dans le manteau blanc recouvrant le sol et ses chausses à peine assez chaude pour l'occasion.
    En second de visiter Bazas, parce qu'il faut bien avouer que tant qu'à être là, autant prendre connaissance des lieux, reconnaître les enseignes et savourer les édifices, certains plus que d'autres.

    Puis, plus tard, de se rendre sur les bancs de l'université afin de s'y instruire de ce qu'il lui manquait à acquérir pour terminer sa voie et peut-être enfin prendre du temps pour s'installer convenablement avec le blondinet quand elle aurait enfin pris sa décision.
    Dans la soirée, de rester en taverne à attendre les Bazadais pour les questionner, et de ne trouver personnes, alors à eux de solutionner leurs questions par des suppositions parfois hasardeuses.

    Tandis que cette nuit là fut plus chaude que la précédente, non pas à l'aide de leur hôte visiblement trop content de les voir claquer des dents du matin au soir, mais bel et bien grâce aux mains avisés et expertes de son charmant compagnon, la nuit passa, savoureuse comme toute celle passé en sa compagnie, mais fatigante par l'énergie dépensé à se satisfaire l'un l'autre.

    Au petit matin, petit déjeuner servit au lit par le blond de ses rêves, et longues conversations quand au déroulement du séjour. Retourner en forêt, occuper les tavernes, se rendre au concours de tirs à l'arc et risquer d'amocher quelques courageux badauds venu assister au macabre spectacle des flèches dansantes au grès des vents, ou alors, et cette solution semblait avoir reçu tous les suffrages avant même d'avoir été présenté au vote.

    Les bains, le baquet était pour le moment le seul moyen connu à sa connaissance pour se baigner, la plage, la mer ou l'océan, elle n'y mettrais sans doute pas les pieds avant l'été prochain, alors pensez bien que d'avoir vu l'enseigne avait émoustillé sa curiosité au plus haut point !

    La brunette embrassa son homme, lui indiquant son choix d'aller se baigner et le laissant libre de la rejoindre ou non après sa découpe de bois journalière, après tout, ils n'avaient plus qu'une hache pour deux, alors autant occupé le temps !

    Marchant dans le village, enveloppé de son manteau, elle fit vite la distance la séparant des lieux qu'elle convoitait, elle observa la bâtisse, visiblement récente, puis entra dans le bâtiment un sourire en coin.


    Bien le bon.. temps d'arrêt, Jour.


    Il n'y avait personne à l'intérieur, mais une collation encore fraîche et une pancarte indiquant les tarifs et la marche à suivre.

Fee_dicioula a écrit:

Le prix du bain de vapeur est de deux deniers. 

Celui du bain d'eau tiède de quatre deniers. 

S'estuver et se baigner dans les cuves, la piscine et un bain de vapeur coûte huit deniers . 

Si vous désirez un massage coûte douze deniers. 

A cela, il faut ajouter un denier pour un drap. 

Gâteaux, boissons, peignoirs sont offerts, servez vous! 

AU CAS OU LA RÉCEPTION EST VIDE, SERVEZ VOUS ET LAISSEZ VOS DENIERS DANS LA BOITE PRÉVUE A CET EFFET. 



    Elle fit le compte, sortit de sa poche les pièces et déposa trente deniers dans la boite qui lui sembla bien vide au bruit du choc de ses pièces dans le fond de celle ci, donner un peu plus que nécessaire lui mit un franc sourire sur le visage. Elle attrapa un peignoir, un drap de bain, ainsi qu'un gâteau qu'elle mit au secret de son appétit par un aller simple vers son estomac non sans en déguster le goût sucré et aromatisé.

    Se laissant guider par les quelques indications qu'elle glanait de ci de là, elle finit par arriver dans une pièce semblant servir au change. Ne gardant que ses haillons elle s'enveloppa du peignoir, et disposa ses affaires pliés soigneusement sur le banc présent.

    Elle était prête, pour le grand bain sans mauvais jeu de mot !

    Se dirigeant vers la salle de bains saturés de vapeur d'eau, elle laissa son peignoir à l'entrée et vint s'installer sur un des bancs de la pièce. Observant les murs, puis le plafond, elle s'étira de tout son long et se laissa aller à la chaleur ambiante, les yeux clos, laissant libre cour à ses chastes pensées, ou pas.

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Filsix_du_val
Arseline lui avait proposé de la rejoindre aux bains de la ville après sa dure journée de labeur dans la forêt.

C'est avec curiosité qu'il avait finalement décidé d'y aller. Pour la rejoindre principalement, mais pour se décrasser après avoir ébranché et débité le géant de la forêt qu'il avait abattu la veille.

C'est donc harnaché de tout son attirail qu'il se rendit dans le village à la recherche des bains.

Evidemment, pas un chat pour le guider, à croire qu'un couvre-feu avait été établi dans ce petit village où ne erraient qu'ombres et silence.

Il dût bien en faire trois fois le tour quand au détour d'une venelle il découvrit ce qui devait être l'endroit ad hoc.

Il entra et ne vit âme qui vive. Il se dit que ce devait être une tradition à Bazas. Il laissa tomber son outillage dans un fracas métallique sans pareil.

Il aperçut le petit panneau sur lequel étaient notifiés divers prix. A côté, une boite. Il s'en saisit et la secoua. Elle lui parut bien légère et fort peu habitée par les deniers voire les écus.


Bon... ça doit être dans ce truc qu'on met la ferraille. Bon bin, vais prendre la totale

Il fit un rapide calcul

Alors... quatre et huit font "t"onze plus deux vingt et un et douze ce qui fait vingt-cinq ! plus le drap ... vingt-sept !!!

Ça c'est du calcul ! à la six, quatre, deux, certes ! mais tant que le compte est bon, c'est le principal !

Le peignoir est ... offert ??? oh bin, je vais en prendre deux ! je les rapporterai à la maison !

Gâteaux et boissons aussi ? magnifique !!!


Il fouilla sa bourse et déposa le compte juste dans la boite dont la fente semblait lui sourire au fur et à mesure qu'il y introduisait les piécettes.

Il regarda le plateau de gâteaux trop sensiblement attaqué. Il se dit que sa tendre et douce Arseline était passée par là et il rit allègrement.

Le plus dur était de retrouver sa chérie dans ce dédale de couloirs et salles d'eau. Il passa la tête tantôt ici, tantôt là à la recherche de sa moitié quand il découvrit une pièce où il reconnut les habits de sa belle.

Il déposa les peignoirs et le drap ainsi que les gâteaux et les boissons qu'il avait pris à l'entrée.

En deux temps, trois mouvements, il se déshabilla, se trouvant dans le plus simple appareil. C'est dans cette tenue d'Adam qu'il continua la traque de son amour.

C'est à l'oreille qu'il se dirigea vers une pièce d'où d'épais nuages de vapeur s'échappaient avec un chuintement assez bruyant. Croyant qu'il s'agissait d'un début d'incendie, il passa la tête par l'ouverture, quand il aperçut dans la brume un corps allongé qui lui était on ne peut plus connu. Il faut dire qu'il avait pu, depuis leur rencontre, l'étudier dans les moindres recoins et sous toutes les coutures...

Il se glissa en silence dans la pièce à l’humidité plus que torride pour ne pas éveiller son amour apparemment endormie et à peine avait-il fait trois pas que son corps tout entier se recouvrit de gouttelettes d'eau s'accrochant à chacun de ses poils.

De grosses gouttes perlaient sur son front, roulant sur sa peau avec pour destination ses joues, sa gorge, son torse et ... plus bas; emmenant dans leur sillage la saleté occasionnée par son travail forestier ce qui dessinait des lignes verticales de propreté dans un environnement crasseux ...

Arrivé au dessus du corps de déesse de celle avec qui il partage tout (oui oui, le lit aussi !), il se pencha au dessus de son visage souriant (mais à quoi donc pouvait-elle penser) aux yeux clos.

Il resta au dessus d'elle sans la réveiller à l'observer avec amour quand de petites gouttes de transpiration décidèrent de se rassembler au bout de son nez pour ne plus en former qu'une grosse qui s'accrocha désespérément à son appendice nasal pour finalement lâcher prise et atterrir assez lourdement sur l’œil de la belle au bain dormant.

Il s'immobilisa craignant un réveil soudain...


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Filsix du Val d'Authie n'est pas un numéro ! c'est un homme libre !
Arseline
La brune, perdue au loin sur son nuage arc en ciel, à chevaucher des éléphants roses bonbons, fut interrompue dans sa trépidante aventure de folie par … une goutte.
Mais pas n'importe qu'elle goutte, non, elle provenait de nul part, et pourtant avait atterrit droit dans son œil ! Futée la petite, elle ouvrit l'autre œil, puis le referma.

Avait elle vraiment vu ce blondinet ?

Elle se passa les mains sur son visage, enlevant la transpiration qui la recouvrait, et observant l'homme nu comme un ver lui faisant face.


Mais, il est déjà si tard que ça ?

Elle lui fit un franc sourire, pars-qu’en vérité elle était encore perché sur sa monture à se demander si l’indigène en face d'elle était réel.

Huuum.

Un long soupire et elle s'étira de tout son long, ses haillons étaient poisseux, son corps bouillant à souhait à se demander combien de temps elle supporterait encore d'être ici.
Puis posant à nouveau son regard sur l’indigène présentant ouvertement son corps au premier venu, elle en admira ses rayures de saletés, preuve que pour une fois il avait pu se montrer manuel.


Dites donc bel Apollon, n'auriez vous point peur d'attirer la gente dame avec votre allure de .. De quoi au fait ? Il était encore sale mais avez fière allure.
Vagabond ?

Quel défis de se promener ainsi dans un tel établissement, ou n'importe qui pouvait entrer n'importe quand. D'ailleurs il était étonnant que les lieux ne soient pas séparés pour les hommes et les femmes !
Heureusement, ils étaient à Bazas, le calme des lieux était presque fantomatique, alors d'un geste de la main et de ses lèvres elle envoya un baiser à son amour.


Je file à la flotte, le temps d'être de nouveau à une température normale puis j'irais au massage, prend le temps de me rejoindre mon cher compagnon.

Elle avait lancé ça, d'un ton de défis, après tout, lequel des deux se perdrait il en premier dans ce dédale de pièce ?

Se laissant glisser du banc elle tenta une réception sur ses jambes quelques peu ramollit par l’inactivité, elle envoya un nouveau baiser, à défaut de savoir ou le toucher malgré son corps découvert et s'enfuit vers l'extérieur.
Passant le pas de la porte, elle prit son peignoir posé là, traversa le couloir et tomba nez à nez avec un jeune homme en tenue, visiblement un employé, ben tiens c'est Fil qui allait faire la tête !


Bon jour Messire, j'ai déposé quelques deniers à mon entrée en souhaitant un massage, et fort heureusement je vous vois pour vous en avertir avant de me présenter à votre salle.

Ne lui laissant pas le temps de réponse, elle enchaina.

Si celle ci est libre dans quelques minutes il est fort probable que vous m'y trouviez jeune homme, et je vous remercie d'avance pour ce service fort agréable je l’espère.


Elle reprit sa route se disant qu'elle aurait bien pu demander son chemin par la même occasion mais son idée à peine formulé qu'elle se trouva face à un bassin !
Et bien visiblement, c'est mon jour de chance.

Fil en aurait bientôt terminé, à moins qu'il soit déjà en chemin en tête à tête avec l'homme croisé plus tôt, ça lui apprendrait à toujours traîner les miches à l'air !
Posant le peignoir dans l'endroit qui lui sembla le plus à l'écart de l'eau, mais à la fois le plus proche pour pouvoir se sécher rapidement des la sortie, elle prit place sur les marches du bassin, se laissant entrer dans l'eau petit à petit, prenant plaisir à se laver de la transpiration subit dans l'autre salle, elle se laissa même tenter par quelque brasse, avant de ressortir s'enrouler dans son peignoir et de prendre la direction du moment de détente, non pas quelle soit pressée, mais de savoir qu'un chasseur à la peau nu rodé dans les environs, il valait mieux prendre place avant de se faire piquer la l'espace disponible. Nonmého elle était là la première non ?

Elle aurait pu courir, si elle n'avait pas eu peur de se retrouver bête les fesses par terre à cause de ses pieds mouillés, mais se contenter d'une marche rapide et assuré pour obtenir le meilleur des trophées serait la plus satisfaisante des récompenses.

Filant dans la salle suivante, elle attendit d'apercevoir l'âme de l'établissement faire son apparition, car après tout pour le moment, ils n'étaient que trois, le blond, la brune et le gérant ?
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