[RP] Pilori à Pilat, rime avec tout plat !

Virgile_rollon

Virgile vit un petit attroupement autour du gamin qui vendait le Pilori. Il s'approcha de Gaucher :

Bonjour Gamin ! je veux bien ton journal !

Il lui donna le bon nombre de piécettes puis reprit le chemin de la mairie.

Merci Gamin et à la prochaine !
_________________

Brixius

" Le bonjour à tous. "

A Duflan :

" Détrompez-vous, de l'énergie, j'en ai encore... peut être un peu trop... Enfin bon, je n'ai malheureusement pas le temps que parler davantage. "

Il tendit deux écus au jeune homme vendant les journaux et dit :

" Un numéro s'il vous plait. "

Le journal obtenu, il salua les gens présent et reparti à ses occupations.
_________________

Gauchet

Gauchet regarda le gros moustachu qui voulait un journal. Clairement, il inventait une excuse bidon pour en réquisitionner un et ne pas le payer, déjà la fois d'avant il avait rechigné. Il n'allait pas la lui faire à l'envers.

Nan mais m'sire, c'est deux écus. Duc ou pas duc, ze m'en fiche, si ze rapporte pas deux écus pour chaque zournal vendu ze vais m'faire houspiller. Si vous m'donnez pas deux écus, z'vous donne pas d'zournal. C'est pas compliqué, hein.

Il remercia les autres qui payaient, eux ! Et même que certains donnaient un pourboire ! Il répondit à la dame blonde à l'air sévère et qui lui faisait un peu peur qui lui demandait le prochain numéro.

Bah non m'dame ze peux pas avoir ce zournal là et le suivant en mêm'temps. Sinon ze serais en train d'vous vendre le suivant et pas çui là, hein. Lozique.

Qu'est-ce qu'ils pouvaient être bêtes les adultes des fois.
À d'autres qui passaient :

De rien m'sire. Merci m'sire !

Duflan

Duflan n'y croyait pas, sa ruse pour ne pas payer ne marché pas, pourtant c'était fin comme idée enfin selon lui, il avait mis ses mains sur ses hanches prêt à vendre sa bonne foi, quand il arriva.....Le duc en personne.
Le gros se courba et enleva son chapeau....il était là.....proche de lui.....BRIXIUS....en personne, la légende.....L'homme qui devint DUC en prônant la maxime qui serait celle de Duflan maintenant " DUC sinon rien".
L'homme qui avait ouvert sa propre Université en s'autoproclamant Recteur à vie sans avoir mis une seule fois le pied à l'université de Guyenne.
Docteur sans avoir suivi aucun cours.
Homme qui allait créer un lieu de vie à son université, sans participer à la vie de celle existante, trop morne selon lui.
Duflan tremblait sous l'émotion et en plus, le duc en personne lui parlait à lui ,en lui donnant des nouvelles de sa santé..... Le gros failli en tourner de l’œil

Oui....SIr DUC BRIXIUS en voilà une bonne nouvelle et comptez sur moy pour en faire part au bon peuple

Les yeux brillait de notre homme en regardant le DUC "il va s'autoproclamer ROY en créant son propre royaume ".
Un œil à terre le gros ramassa la première feuille qu'avait jeté Dyvinia et se retourna vers le Gamin

Bon pour un écu , peut avoir la deuxième page ?
_________________

Pilori à Pilat, rime avec tout plat !

Gauchet

Une nouvelle fois, Gaucher vint en place publique, trainant derrière lui son tabouret, et une liasse de journaux. Il installa son meuble, grimpa dessus, s’éclaircit la gorge, et se mit à crier :

« Le Pilori ! Édition spéciale ! Aaaaach’tez l’Pilori ! C’est comme l’aut’ foy mais sur la Guyenne csidentale ! Le Pilori ! »

Citation:

ÉDITION SPÉCIALE GUYENNE OCCIDENTALE

Scandale à La-Teste-de-Buch ! Où est passée la dune du Pilat ?

Alors qu’il passait le balai devant sa chaumière, un habitant de La-Teste-de-Buch a accidentellement détruit une partie de ce qui était encore jusqu’à il y a peu la plus grande dune de sable du Royaume de France.

« J’savions bin qu’c’est dang’reux, mais ma bonne femme fait très attention d’habitude. C’était jamais arrivé avant. Mais là, j’rev’nions du discours de m’sire le maire, m’sire Eyquem. C’t’un grand homme que c’t’homme-là. Pendant tout l’temps de tierces* jusqu’à complies* il a parlé. Et avec des grands gestes, et tout et tout. Du coup j’étions pas mal fatigué et là, en rentrant, j’voyons d’la saleté d’vant la chaumière et j’me disions tiens, balayons donc ! Parce que la bonne femme elle a préféré rester d’vant m’sire le maire, qu’c’est son héros qu’elle m’dit, et qu’fallait profiter qu’il était là. Même si moi j’pensions qu’elle est restée surtout pour êt’ dans ses p’tits parchemins. Alors là, j’prenions l’balai, y avait un peu d’sable d’vant la porte, j’balayons, et là patatrac ! Plus j’l’enlevions, plus y’en a qu’arrive. J’me retournions et là, bondiou ! J’voyons toute la dune qui s’vautre ! D’un coup, comme ça ! Partout qu’elle m’en a foutu du sable c’te drôlesse. »

L’habitant, souhaitant rester anonyme est maintenant désespéré, ses quatre vaches et ses quatre moutons qu’il avait tous pour la première fois depuis 1455 réussi à engraisser jusqu’au stade « american style » se trouvent sous une bonne dizaine de toises de sable. Il ne les retrouvera vraisemblablement pas. Il ajoute :
« Et encore, j’avions d’la chance, là. J’aurions pu êt’ encore plus crevé. L’aut’ foy l’maire l’avait parlé trois jours entier sans boère ni mangeaille ! Encore d’avant c’tait quat’ jours ! C’t’un grand homme que c’t’homme-là, c’moy qui vous l’dis. »

La chute de la dune aurait causé de grands dégâts partout aux alentour. Le port de La-Teste-de-Buche serait maintenant ensablé, sans parler de tous les navires détruits lors de l’accident. Des travaux de désensablement seraient en cours pour tenter de sauver ce qui peut l’être. Un chenal aurait déjà pu être creusé, mais le stock de pelles de La-Teste-de-Buch avait été pillé lors des festivités de Pâques. Voyant l’aubaine, un petit malin se serait empressé de déposer à prix fort sur le marché des pelles très abîmées. Les services de la Prévôté seraient en alerte pour retrouver l’escroc, mais il court toujours à l’heure actuelle.

Le grand bassin au nord de La-Teste-de-Buch, fameux pour ses huîtres et dont la passe est maintenant refermée suite à l’arrivée de grandes quantités de sable serait désormais appelé « Le Lac ». Par un malheureux hasard, l’intégralité de la flotte Guyennoise y faisait un exercice de manœuvres. L’Amirauté de Guyenne a déclaré le branle-bas de combat afin de trouver une solution permettant de faire sortir la flotte du casier à huîtres dans lequel elle se trouve.

La Maison médicale de La-Teste-de-Buch croule sous les consultations. Plus de la moitié de la population de la ville aurait attrapé une nouvelle maladie résultant de la catastrophe, la Sablinite, dont la recette du remède après premiers décryptages de son code Hildegarde serait 35-75-22-61-19. À ne pas confondre avec l’Eyquemite, autre maladie aigüe de la Guyenne occidentale, qui résulterait de l’écoute du maire de La-Teste-de-Buch durant plus de dix minutes, et dont la recette du remède serait 99-99-99-99-99. Dame Aviva, médecin à la Maison médicale est débordée, et n’a pas pu nous recevoir.

Devant ce qui est maintenant un simple bac à sable, un Bordelais de passage gesticule en criant devant le regard accusateur de certains habitants : « L’es point moy j’vous dis ! »

Nul n’a encore pu poser de questions à messire Eyquem, le maire de La-Teste-de-Buch qui tient une conférence de presse sur cet incident depuis maintenant une semaine entière. La séance de questions n’a pas encore débuté, le discours préliminaire du maire n’étant à l’heure où nous publions pas encore terminé.

Selon les dernières nouvelles, messire Eyquem accuserait le régnant de Guyenne, sa Grâce Brixius, d’avoir planifié ce gros déplacement de sable sans avoir auparavant consulté l’association apolitique et libre des constructeurs de châteaux de sable de La-Teste-de-Buch, dont Dame Aviva serait la dirigeante.

La liste menée par Hector Desbaume est arrivée en tête par ex-aequo aux dernières élections ducales. Elle aurait largement pu arriver première si dame Fée, lors des déplacements de campagne, n’avait pas autant abusé de Sainte Boulasse.
Athénaïs de Silly de la Duranxie, résidente de Montauban et fille de sa Majesté la Reyne Alvira a du souci à se faire. Lors du passage des armées royales, de retour de campagne en Armagnac, un noble du gratin du Dauphinois nous a appris que le crime de lèse-Altesse-royale était en ce moment à la grande mode à la Cour. La petite terreur ferait bien de vérifier ses arrières.
Très instructif passage des armées royales. Où l’on a appris de son Altesse Sancte Iohannes Von Frayner, après passage en taverne d’une Duchesse à l’accent germano-italien fort bien titrée, qu’« il est des femmes qu’il ne cherche pas à mettre dans son plumard ». Mis à part qu’en le déclarant, il se trouvait fin torché.
Aux multiples questions sur ce sujet lui ayant été posées, le Pilori déclare que non, nul ne sait si messire Eyquem parle aussi en dormant.
La dernière levée d’impôts de Montauban aurait été retrouvée. Suite à l’affaissement de la dune, un coffre aurait été mis à jour, fermé et verrouillé portant le sceau de Son Altesse Sancte Iohannes von Frayner. Ce dernier avait dû le planquer là, quelque part dans la dune, pensant que nul n’y pourrait le découvrir. Les Montalbanais s’attendent à une nouvelle levée d’impôts pour compenser cette perte subie par le Prince.

Hec_Debélier
Travail : Vous donnez trop de votre personne. Reposez-vous.
Diplomatie : Tâchez de rester diplomate avec votre entourage. Cessez de piquer vos violentes colères pour rien, et ça devrait aller mieux.
Sanctaureau
Travail : Vos administrés n’ont de cesse de vous beurrer la raie. Calmez-les avec une bonne levée d’impôts pour la fête du travail, ça leur fera les pieds. Et ça mettra le beurre dans vos épinards.
Argent : Plus que 8462 levées d’impôts, et vous serez l’homme le plus riche du monde. Ou au moins de Montauban.
Eyquemeaux
Travail: Vos innombrables connaissances sur tous les sujets forcent l’admiration. Veillez cependant à garder la bouche cousue de temps à autre. Votre entourage vous en sera grandement reconnaissant.
Diplomatie : Vous devriez envisager plus souvent que vous n’êtes pas parfait et que vous aussi, vous pouvez parfois avoir tort.
Cancer.debrissac :
Travail: Des portes se referment. Vous avez le sentiment que votre travail n’est pas reconnu. Prenez garde à ne pas sonner à toutes les portes, vous risquez de n’en voir plus aucune s’ouvrir.
Famille : Vous avez placé tous les membres de votre famille à des postes clé. Attention à ce que ça ne se remarque pas trop. Les Guyennois détestent les querelles de famille en politique.
Diplomatie : Vous manquez à la Normandie.
Liobbi
Travail: Vous êtes passée maître dans l’art de vous faire oublier, une grande carrière de sentinelle s’offre à vous.
Diplomatie : À l’inverse des Eyquemeaux, veillez à ouvrir un peu plus la bouche, votre communication s’en trouvera améliorée.
Vierantana
Travail: Vous risquez l’épuisement. Tâchez de lever le pied, ça vous fera le plus grand bien.
Santé : N’abusez pas des bains. Vous allez devenir fripée avant l’âge.
Amour : Cédez à la tentation. Ou envoyez-le paître. Avec ses moutons.
Balangat
Travail: N’écoutez pas les mauvaises langues. Profitez de votre retraite bien méritée à la Surintendance des finances royales.
Diplomatie : Vous vous renfermez trop sur vous-même. Montrez que vous êtes capable d’ouverture d’esprit et d’écouter vos interlocuteurs.
Amour : Ne la lâchez pas. Vous n’en trouverez pas une autre aussi docile.
Holden_Corpion
Travail: Veillez à toujours agir avec intelligence et intégrité. Ne vous laissez pas détourner du droit chemin. En particulier, cessez de faire des nobles les raisons de vos échecs, sachez reconnaître que parfois, vous avez simplement tort.
Amitié : Ne soyez pas si friand de potins. Vous pourriez lasser vos relations.
Daisytaire
Travail: Vous vous êtes démenée avec passion lors du dernier conseil. Vous devriez tenter d’être élue Reyne de France, d’Angleterre ET Impératrice du SRING.
Santé : Un fort potentiel d'énergie, utilisez-le au mieux pour que cela ne se retourne pas contre vous.
Dyvicorne
Travail: Cessez de faire libérer des ordures pour cause de procureur peu compétent, et vous parviendrez peut-être à vous faire des amis.
Amour : Vous êtes engluée dans votre mariage. Et si vous preniez un labrador ?
Maurrseau
Travail: L'organisation est le point important. Ne laissez rien au hasard, ne vous laissez pas détourner de votre travail.
Famille : Cela s’appliquait peut-être aussi à votre sœur.
Poisson_dicioula
Diplomatie : Niveau festivités, vous êtes en avance sur votre temps. D’au moins trois siècles. Votre bal est un flop, veillez à ne plus faire la fête pour des raisons peu glorieuses.
Amitié : Vous avez la descente facile. Veillez à l’avenir à boire avec plus de modération, il est vraiment compliqué de tenir une conversation avec quelqu’un faisant *hips* tous les deux mots.
Amour : On vous a refusé une danse. Ne vous en faites pas, il n’était qu’un con.

La liberté d’expression ne s’use que quand on ne s’en sert pas.
©1466 Le Pilori, tous droits réservés.

*Heures canoniales, approximatives car pas d’horloge précise à l’époque : Tierce = 9h, Complies = l’heure du coucher, nuit tombée

Librement inspiré, et assaisonné à la sauce RR de, entre autres :

Le Canard Enchaîné,
Illustrations des personnages tirées des cartes du jeu de société Sbires, éditions Jocus, 2016, 12 ans et plus,
Le Gorafi

Aviva

C'est une lève tôt, ça a toujours été comme ça.
Elle apprécie hautement le calme de la fin de nuit ou plutôt début du jour pour préparer ses potions, Essences Curatives, moment où elle n'est pas dérangée.

Donc comme d'habitude elle va d'un bon pas vers la Maison Médicale lorsqu'elle aperçoit sur la Place le gamin vendeur de journaux.
Elle est surprise de le voir là bien sûr vu l'heure et s'approche de lui en souriant.

- Bonjour Gauchet!
Déjà là ? C'est bien tôt pour venir vendre tes journaux. Tu n'as pas froid?

Elle regarde le titre du magazine et ouvre des yeux grands comme des soucoupes.

- Allons bon!
Je vais t'en prendre deux pour la Maison Médicale.
Tiens voila 10 écus, ce qui est en trop pour ces journaux est pour toi, tu iras boire quelque chose de chaud à la taverne lorsqu'elle ouvrira.

Viens nous voir à la Maison Médicale si tu passes par la bas, ça nous fera plaisir.
Faut que je te laisse, je file préparer mes potions et onguents.
À bientôt peut être, pour le prochain numéro.

Grand sourire à nouveau elle prend ses journaux et part en chantonnant parce que la vie est belle.
_________________

ICI la CM
(Merci infiniment à Meyanne pour cette magnifique bannière)

Gauchet

Déjà se pressaient des chalands attirés par son cri. Qu'est-ce qu'ils pouvaient être avides de ragots ! À se demander s'ils achetaient pour se moquer de ceux qui y étaient caricaturés, ou pour vérifier qu'ils n'étaient point cités. Dame Aviva, qui avait déjà acheté un journal la fois précédente, s'était approchée. 10 écus ! La journée débutait bien.

Non ça va, ze n'ai pas froid. Et pis il va faire beau. Merci pour les sous m'dame... heu... M'dame Vivalavida ! Vous êtes zentille et touzours zolie m'dame. Chai pas si ze pourrai venir, ze peux pas trop laisser ma grand-mère tout'seule.

Gauchet fit un grand sourire à la dame, avant de se remettre à sa criée.

Lantana

Et un petit tour en place publique pour la Juge-Maréchale, avant de faire sa sieste quotidienne, pause indispensable pour tenir le coup lors de sa prochaine garde...

Bonjour jeune homme, pourrai-je avoir un exemplaire s'il vous plait ?
_________________

Carla

Elle aussi aimait les promenades matinales entre chien et loup, c'est à ce moment-là que l'air est le plus agréable à respirer. Avisant le gamin sur son tabouret, elle tendit la main pour lui donner quelques pièces.

Merci ! J'avais beaucoup apprécié le premier numéro, je sens que je vais savourer celui-ci aussi...

Elle lui adressa un sourire amusé avant de tourner les talons. C'est là qu'elle croisa Aviva toute guillerette qui chantonnait.

Demat Aviva, quel plaisir de te voir ! Tout se passe bien à la Teste ? Tu viens faire le plein de lecture ?
_________________

Aviva

Elle marche d'un bon pas lorsqu'une voix connue la tire de ses pensées.

- Carlaaa!!! Comme je suis contente de te voir!
Eh oui tu vois, La Teste est une petite ville et le titre du journal m'a interpelée.
Ma foi oui tout se passe pas trop mal, le train train et la routine, enfin à part la dune du Pilat!

Elle éclate de rire et poursuit.

- Et toi que deviens tu? Tu as repris tes voyages?
_________________

ICI la CM
(Merci infiniment à Meyanne pour cette magnifique bannière)

Carla

Elle serre la jeune femme dans ses bras, elle est heureuse de la revoir. Un vrai rayon de soleil !

Le titre ? Ah c'est vrai dis donc, je n'ai pas encore regardé. Je lirai cela tout à l'heure à tête reposée.

Avisant les journaux dans la main d'Aviva :

Tiens tu en as pris deux ? Un pour le maire ? C'est une bonne idée, je crois me souvenir qu'il avait apprécié le premier.

Il en avait fait état à la parution du premier numéro.

Non je n'ai pas repris mes voyages, je suis toujours à Bordeaux et je profite de l'ambiance de la Capitale.

Tu as le temps pour une tisane en taverne ? Je t'invite !

Carpe diem ou comment profiter des joies simples de l'instant...
_________________

Fee_dicioula

Fee passait par la, elle vit qu'il y avait un nouvel exemplaire du journal.

Elle était souriante, et il y avait de l’élasticité dans son pas ce matin, elle avançait en faisant tournoyer son ombrelle . Il y avait du monde dans les rue, elle regarda autour d'elle, les femmes avaient sorties leurs jolies robes.

Elle posa ses deniers sur le comptoir et se pencha pour lui faire un bec sur la joue. ET OUI, elle était de bonne humeur. Hi, hi il a été obligé d’arrêter de crier 2 mins le vendeur surpris par son bisou.

Merci pour ce journal, je vais vite m'installer au soleil avec un café et une sucrerie pour le lire.

Elle se dirigea vers le café d'en face, s'installa, commanda son café et se mit a lire.

Elle ria carrément a haute voix.

Ha ha hahaha!

Puis elle fit une petite moue en lisant l'horoscope... A ce sacré Alfred qui voulait pas enfiler son habit de gala et la voila humilier dans le journal. rejeté...

C’était de courte duré, mais comment il était au courant de ses déboires avec la boisson ce journaliste. Elle jeta un coup d’œil pardessus son épaule... Peut-etre qu'elle était suivit. Encore un peu la redecoration de son bureau de CAC au Conseil allait finir en premiere page du journal...

Bon avec un peu de chance personne ne reconnaîtrait son histoire bien caché dans l'horoscope.
Cela la fit sourire. Elle resta la en profitant du soleil qui lui réchauffait le visage.

_________________

. . . . . . . medicina plantae, potionibus aliquibus colliserint

Eyquem

Eyquem reconnut le drôle qui avait vendu le premier numéro du pilori quelques semaines auparavant. Ignorant qu'Aviva lui avait pris un exemplaire, il en commanda un au gamin qu'il remercia d'une pièce de 2 écus.

- Mercès plan, lou mainat*.

Le maire de La Teste le lut, surpris de voir qu'un maire pouvait requérir tant d'attention alors que le plus gros fumiste de Guyenne, conseiller sans poste multirécidiviste, adepte outrancier de la devise "Duc sinon rien", venait d'être élu Duc. Surpris de ne pas voir mention non plus du projet du dit fumiste de créer une faculté de médecine à sa gloire alors que personne ne l'avait jamais vu dispenser le moindre cours de médecine en Guyenne, ni ailleurs.

- Eh bé... la ligne éditoriale de cette gazette dite satirique m'interroge. En gros, y'en a pour tout le monde sauf pour le mollusque ducal et ses colistiers.
A ce stade, ce n'est plus de la presse satirique, mais une vulgaire presse de propagande pro-Pouvoir qui pourrait rejoindre les affiches de Daisy sous le précédent mandat.
Bref, décevant.

Au gamin,

- Si tu y penses, tu présenteras mes excuses aux auteurs d'avoir osé parler d'autre chose que du Droit en salle de doléances. C'est vrai que c'est impardonnable. Gonfler tout le monde avec le même thème chaque jour à chaque heure depuis des mois, je comprends que ce soit un petit privilège auquel on finit par vite s'attacher.

* Merci bien le gamin

_________________

Aviva

Elle rit à la remarque de Carla sur les deux journaux.

- Non non, ce n'est pas particulièrement pour Eyquem, il lira celui que tous ceux qui passent au Cabinet Médical liront, y compris moi d'ailleurs car je n'ai lu que le titre.

L'autre c'est pour archiver, comme je le fais pour tout ce qui concerne la Maison Médicale.
Les futures générations auront plaisir à connaitre l'histoire de cette bâtisse depuis l'idée imaginée par le Maire Médecin jusqu'à...... aussi longtemps que des Médecins œuvreront ici.

Je ne regrette pas Bordeaux, pas une seule seconde depuis que je suis là, mais c'est sûr qu'une Capitale c'est différent.

Avec regret je suis obligée de décliner ta proposition, j'attends un patient qui s'inquiète de ses symptômes et tu vois je me rendais à mon bureau pour assurer la consultation.
Mais nous aurons bien d'autres occasions j'en suis certaine.
Peut être à bientôt, j'ai été ravie de te voir, prends soin de toi, la grande ville est tellement pleine de dangers.

Embrasse Carla et lui fait un grand sourire, elle n'oublieras pas l'escorte qui lui a permis de ramener tellement de choses .
_________________

ICI la CM
(Merci infiniment à Meyanne pour cette magnifique bannière)

Gauchet

Bonjour jeune homme, pourrai-je avoir un exemplaire s'il vous plait ?

Ah. La dame qui lui avait donné des écus pour le rédacteur en chef. Écus qu'il avait soigneusement pris soin de perdre au fond d'une des ses poches, avant de miraculeusement les retrouver une fois rentré chez lui. Ni vu, ni connu. Il n'était pas là le grand échalas avec qui elle s'était pris le chou la fois précédente ? Évitons de la fâcher.

Bonzour m'dame. En voilà un pour vous, ça fait deux écus m'dame.

Il lui tendit un journal tout en ouvrant l'autre main pour recevoir les pièces. D'autres personnes passèrent en acheter un aussi.
Tout à coup ! Une bise sur la joue ! Le mioche s'arrêta de parler et, estomaqué, regarda dame Fée, qui lui avait aussi acheté un exemplaire du numéro précédent. Gauchet bégaya, gazouilla et parvint à lui donner un journal comme elle le souhaitait. Elle s'en fut comme elle était venu. Un peu comme l'autre fois, en fait.

Remis de ses émotions, il se remit à son travail

Le Pilori ! Tout sur la Guyenne csidentale et les mal dunés !

Lantana

De fouiller dans sa bourse, d'en sortir la somme demandée et de la déposer dans le creux de la main de Gauchet. Ensuite seulement se saisit-elle du journal.

Je vous remercie.

Un salut de la tête plus tard...

En vous souhaitant une bonne journée.

Puis la brune s'en alla pour aller lire Le Pilori au calme.
_________________

Duflan

Une nouvelle parution et le gros est toujours friand des nouvelles du Duché surtout des ragots.
Il faut toujours faire preuve de connaissance pour briller en société, enfin pour notre homme c'est dans les tavernes et donc c'est exactement ce qui lui faut

Ben le jour le drôle donne moy zou un exemplaire oh l'es pour le Duc BRIXIUS, Oh suis mandaté l'es trop fatigué pour se déplacer parait qu'il a signé un document hier et depuis l'es couché au lit, trop de boulot tu penses point habitué.
Enfin bref fais zou d'ou voir que j'y apporte !
_________________

Louiseanne.debrissac

Lou voyant un attroupement s'avança et vit que le jeune garçon était revenu avec un nouvel exemplaire de la gazette. elle sortit sa bourse y compta 4 écus et les tendit au gamin.

Tiens voici 4 écus, je vais en prendre un exemplaire moi aussi. Lou s'empara de la gazette et s'en retourna chez elle pour le lire dans le calme de sa maison.
_________________

Dyvina

Elle aussi voulait le sien. Comme tous les dimanches, elle aimait découvrir ce que son horoscope lui réservait pour les jours à venir. 2 écus fourrés presque de force dans la main du gosse, elle s'empara d'un exemplaire sans même un merci.

La première feuille finit immédiatement par terre...

- Sans intérêt.

La second sur laquelle se trouvait l'horoscope en revanche attira toute l'attention de l'avocate qui se figea en lisant ce qu'elle était venue y chercher...

- Un chien comme solution ! J'ai horreur des clébards !!

Dyvicorne
Travail: Cessez de faire libérer des ordures pour cause de procureur peu compétent, et vous parviendrez peut-être à vous faire des amis.
Amour : Vous êtes engluée dans votre mariage. Et si vous preniez un labrador ?

Les joues se gonflent. Un "pfouu" de déception s'échappe de ses lèvres et ses bras tombent alors mollement le long du corps.
En bout de main, le journal misérable...
Elle fixe le gosse à qui elle vient de donner 2 écus.

- Dis gamin. Tu n'aurais pas le prochain numéro en exclusivité non?
Parce que cette semaine, c'est la déprime totale mon horoscope.

_________________

Virgile_rollon

Brixius

Gauchet

Duflan

Support us

[RP] Pilori à Pilat, rime avec tout plat !