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[RP] La plage

Eleanora_
Dame Coralie? Je ne pense pas l'avoir croisée... Une bonne amie pour toi, n'est ce pas? Elea sourit à Mimi.

Tu sais, moi aussi, un jour, j'ai voulus mourir. Pense à Era, à Jj, à Spleen, à Bill, à Cendri, à tant d'autres...
Elea laisse une larme couler sur sa joue, mais se reprend.

La vie est dure, mais il faut survivre. Alors, non, il ne fallait pas que je te laisse.

Mimi essaie de se débattre mais Elea l'en empêche.
Une fois de plus, elle pense à ses amis, ses amis qu'elle a perdue et des larmes recommencent à couler sur sa joue, mais elle ne peut pas les arrêter, ne peut plus...

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Laly..
Laly et son tendre Marletbob était a la Rochelle pour quelques jours
décidait d'aller a la plage afin d'y passer le temps du repas
Laly avait tout prévu pour que ce moment soit magnifique
elle installe le pique-nique




puis s'allonge sur la couverture en attendant son bien aimé elle se mit a rêvassé
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Marletbob
arrive tout propre car il a prit le temp de se laver se qui explique sont retard
desoler mon coeur de t'avoir fait attendre
l'embrasse tendrement

quel festain tu nous a preparé,tu est un amour
et la vue ici et splandide ,que s'est beau l'ocean

s'enlasse un momment en regardant au loin et en penssant a leurs avenir a deux
bonne appetit ma douce

apres avoir manger ,on passa l'aprés midi enlassse a se caliné sur la plage , superbe journée
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Laly..
Laly sourit a son tendre ils avaient finit le repas
ils s'enlacent en regardant l'océan la journée se terminait
laly et son tendre après avoir passer une magnifique journée ramassait leur affaire et partir en direction de la ville main dans la main

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Flavien
[A la nuit tombante]

A la lueur des derniers rayons de soleil, suivant la direction que lui indiquaient les passants, Flavien arrive à destination. Le vent sur son visage est frais et transporte l'odeur du sel. Il prend une grande inspiration et monte la dune qui cache le but de son voyage, voir la mer.
Au sommet de ce monticule de sable il reste un long moment figé, contemplatif devant le tableau qui se dresse devant lui. Un soleil rouge ocre coupé en deux par de l'eau à perte de vue. Flavien en a le souffle coupé. Le vent se renforce et il doit maintenant lutter pour ne pas tomber.
Sans quitter la mer des yeux, doucement il s'assoit. Il tiens ses chevilles et pose son menton sur ses genoux.
Quel spectacle! Mesurent ils la chance qu'ils ont?
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Vulnerant omnes, ultima necat.
Eleanora_
L'air était doux. C'était agréable. Elea se plaça face au vent et soupira, respirant l'odeur salée de la mer.
Soudain, le vent se fit plus fort et elle bascula en arrière.
Elle tomba sur le sable, et s'allongea. Elea ferma les yeux et s'endormit.

Quelques heures plus tard...

Elea se réveilla en sursaut et se releva tant bien que mal.
Oh mince, j'me suis endormie... dit-elle en clignant des yeux.
Elle observa l'horizon et vit au loin un homme assis devant la mer.
Elle courut et trébucha pas loin de l'homme.
Rahh oups...
Elea se releva et va s'assoir à côté de l'homme.
Bonsoir... Je suis Eleanora, enchantée... dit-elle en souriant.
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Flavien
Il fixait longuement l'horizon, ces yeux se perdaient dans l'immensité bleu de l'océan. Aucune pensée, aucun mouvement, le plaisir simple résumé à contempler l'incomparable. Il ramasse une brindille et la porte à la bouche.

Un bruit sourd vient troubler la quiétude de ce moment. Flavien jette un œil et aperçoit une jeune femme se relever non loin de lui. Il esquisse un geste en sa direction, un réflexe pour lui venir en aide, mais la dame déjà debout vient le rejoindre pour s'assoir à ces côtés.

En voilà une arrivé pour le moins remarqué, Flavien lui sourit, pour ma part on me nomme Flavien, voyageur originaire de Sainte. Je suis également enchantée de vous rencontrer Eleanora.
Je pensais ne rencontrer personne à cette heure sur la plage, mais je suppose qu'un tel paysage ne manque pas d'attirer les foules. Il reprends une grande et profonde inspiration. Sentez vous? je ne crois pas avoir déjà rencontré pareille sensation de paix. La Rochelle peut s'enorgueillir de vivre au bord d'une telle immensité bleue. Flavien regarde Eleanora et lui sourit, compagnons de fortune, j'ai étais heureux de partager ce moment avec vous. ne vous lassez-vous jamais de ce lieu?

Flavien se lève et s'incline, j'aurais aimé passer le restant de mes jours à m'éblouir de ce spectacle mais je me dois de regagner un lieu magnifique, celui de mes racines. Même si Saintes n'a pas la mer, ça forêt n'a rien à envier au niveau enchantement, je vous y invite dame Eleanora. Venez à Saintes et vous pourrez constater toute la beauté verdoyante de ce petit coin de paradis.
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Vulnerant omnes, ultima necat.
Jerlac
La tour de la Lanterne... Cet endroit était comme imprimé dans le coeur de Jerlac..

Il lui avait été autrefois indiqué par Frisky, lorsqu'elle frâichement débarquée de Saintes, elle cherchait un lieu où dormir. Abrité des vents, le lieu était connu des amoureux, mais , pour être arrivée en octobre 1455, elle n'en avait guère croisés à cette saison.. C'était cependant là que Frisky lui avait donné rendez-vous comme point de départ de son premier grand périple à travers le royaume..

C'était là encore qu'elle venait, lorsqu'elle était en visite à la Rochelle . Elle aimait se ressourcer en marchant de longues heures au bord de l'eau, l'esprit vide, avec pour seul plaisir le bruit fracassant des vagues qui venaient s'écraser sur les rochers ou celui plus discret de celles qui venaient mourir au bord du rivage .

Elle contemplait alors l'horizon, et le reflux incessant de l'océan lui donnait cette impression d'éternité qui la ramenaient toujours à ses origines celtes, lorsque,enfant, son grand-père avait cherché à lui en expliquer les mystères..

Elle goûtait alors ces instants de bonheur avec une indicible sérénité, qu'elle aurait voulu prolonger encore et encore..

Mais il lui fallait partir. Ce soir, elle regagnerait Saintes, sa ville chérie. C'est sûr, elle irait en forêt et s'assierait au pied d'un chêne, trait d'union entre le Ciel et la terre.. Elle n'aimait rien tant que cette communion avec la nature, que ce fût avec l'océan ou la forêt. Elle en avait besoin et espérait y trouver les réponses à ses questions. C'est donc rassérénée, qu'elle regagna la ville
...
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Eleanora_
Flavien? Et donc vous vivez à Saintes...

Elea lui sourit et dit:

La mer est si merveilleuse... Paisible et colérique à la fois.
*soupire, puis sourit à Flavien* Il doit y avoir une magnifique forêt à Saintes... Je ne manquerais pas d'y faire un tour un jour... Moi qui suis si habituée à l'océan...

Messire Flavien se lève et s'incline. Elea fait de même et lui demande:

Messire Flavien, vous ne restez pas longtemps à La Rochelle?

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Flavien
Paisible et colérique, vous avez raison. C'est la première fois que je voyais la mer et j'avoue ne pas m'être attendu à cela. Le sentiment de n'être pas grand chose après tout, cette mer vous apprends l'humilité. Je connais bon nombre de gens qui auraient bien besoin de faire communion avec elle, Flavien sourit.

Effectivement je ne peux que vous engager à venir faire un tour à Saintes. Je ne serais pas objectif si je vous disais qu'elle est merveilleuse et accueillante. Mais ça vous ne le saurez qu'en venant nous rejoindre Eleanora de La Rochelle.

Flavien regarde au loin sur la plage et reconnait aussitôt une silhouette bien familière partir en direction de la ville.

Si je ne restes pas longtemps? Et bien je répondrais en disant que le temps est bien relatif. Nous sommes, mes amies et moi, ici depuis près de sept jours et je dois avouer que ma ville et ma forêt me manquent. Nous partons ce soir avec le plaisir d'avoir visiter votre ville.

Eleanora, je ne doute pas que nous nous reverrons bientôt et avec plaisir à Saintes. l'homme sylvestre que je suis vous salue madame. Flavien s'éloigne en souriant.
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Vulnerant omnes, ultima necat.
Kiliana
Elle n'eut pas besoin de boussole pour retrouver le chemin qui menait à la plage, le lieu de prédilection qui guidait toujours ses pas.
Ses narines reconnaissaient l'odeur du varech, de l'écume, de l'iode. Ses pores absorbaient l'humidité des embruns.

Kiliana dévala prestement quelques rochers qui sortaient du sable détrempé. La marée était en train de baisser.
Une traînée de nuages gris clair dérivait dans le ciel, des oiseaux marins en quête de nourriture tourbillonnaient en l'air.

Et il s'étalait là, devant elle, immense, houleux, capricieux, dangereux, mais fascinant! L'amour de l'océan était viscéral chez Kiliana, une bouée de sauvetage, un horizon, un chant délicat et harmonieux, un appel de l'Autre Monde!
Le gigantisme des falaises la fascinait et la terrorisait à la fois. Elle les avait toujours comparées à des monstres prêts à l'engloutir, à l'écraser! Elle, si petite devant la grandeur et la noblesse de la nature!

La donzelle s'assit, jambes en tailleur, pour profiter du spectacle de l'océan qui léchait la grève, le sable, les roches. L'écume ressemblait à une étoffe blanche précieuse toute froissée. La Pictave sortit ses provisions de sa besace, découpa une tranche de pain, qu'elle mastiqua en contemplant la force inouïe de l'eau.

La quiétude de la plage la rasséréna... Quelle leçon d'humilité pour l'orgueil de l'homme!

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Dany06
Dany était allée de suite sur la plage en arrivant, laissant ses compagnons s’occuper des chevaux. C’est elle qui avait rêver de ce voyage et ils avaient accepté de le faire, heureux de lui faire plaisir, enfin elle le pensait.

Elle savait qu’elle vivait des moments des plus agréables entre celui qui faisait battre son cœur et avait réveillé des tas de sensations qu’elle croyait ne plus vouloir connaître et celui qui était un ami formidable qui l’écoutait et la faisait rire.

La jeune femme enleva bottes et bas avant de marcher sur le sable qu’elle trouva assez froid.
La marée était haute et l’eau pas trop loin. Elle avança juste pour se mouiller le bout des orteils, reculant quand les vagues avançaient, s’amusant à ne pas se faire rattraper.
Elle aimait cette senteur et respira à pleins poumons, heureuse tout simplement.
Elle se mit à courir sur le sable puis s’arrêta brusquement en riant.

Oui la vie était belle et elle s’assit en songeant que pour un bain de minuit, il faisait pas assez chaud mais………les thermes………..Elle s’imagina allongée sur le bord d’un bassin et lui qui la massait avec son huile qui sentait si bon le jasmin et………..elle ferma les yeux, ressentant déjà le plaisir de ses mains.

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Maellynne
Maëll était à peine arrivée à La Rochelle qu'elle s'ennuyait déjà..les tavernes étaient pratiquement toujours vide...et ce du matin au soir,hier elle y était rester deux heures sans que personnes ne franchissent la porte...il en fallait pas moin pour que le moral baisse.;elle qui aimait rire et papoter à tous va..la le coup était rude...

Elle avait décidée en se levant qu'il fallait se changer les idées sinon elle mourait d'ennuie en moin de temps qu'il le faut pour le dire.

Le temps n'etait pas merveilleux mais el fallait qu'elle prenne l'air et qu'elle aille découvrir ce lieu que l'on appelé l'océan.

Elle ne sut décrire ce qu'elle ressentit en le voyant..elle resta immobile quelques instant tellement la beauté du paysage était indescriptible.

Quelques personnes déambulés sur la plage..Maell se trouva un endroit calme ou elle pourrait contempler ce que le lieu lui offrait.. de toute façon elle ne connaissait personne

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Libirou
Libirou posa Raphael sur le sable, un peu lasse de l'avoir porté depuis l'auberge..10mois ça commence à faire pas mal de kilos d'amour et de chair à fossettes.
Le gosse avait adoré la plage les jours précédents, et il en avait profité totalement malgré le froid, complètement subjugué par le bruit de l'océan et les mouettes. Il avait fait des patés de sable, et même poussé par le désir invincible de caresser un chien qui trainait là fait quelques pas chancelants- ses tous premiers- sur le sable . Libi sourit en y repensant, fière de son petit homme.
Elle le laissa jouer près d'elle et fixa l'immensité de l'océan, aspirant l'air marin à pleines narines. Quelle merveille, ces vagues, ce ciel bleu gris, sans limites..Comme une parcelle d'infini et d'éternité, autour d'eux.
Libi se sentait jubiler, et en même emps, elle ne regrettait pas de rentrer ce soir même à Saintes... Sa ville chérie lui manquait dès qu'elle s'éloignait un peu, ses amis, sa forêt profonde, pleine de mystères.
Elle ferma les yeux et se laissa emporter par le bruit du ressac, songeuse
.
Boumer
Boumer, pour une fois avait du temps à passer avec ça douce libirou, il profita de ce dernier jour pour aller se balader avec son amour et la voyant admiratif devant son fils et l’océan, resta en retrait pour ne pas lui gâcher ce moment privilégié. Puis il regarda l’océan à son tour et se laissait aller au bruit du ressac.
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