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[RP] La plage

Libirou
Libi se retourna , vit Boum assis juste derrière elle et qui restait immobile et calme pour la laisser profiter de ce lieu paradisiaque (sous un soleil assez doux pour un mois de novembre). Elle sourit et prit sa main, le tirant vers elle:
Viens près de moi, mon coeur, je ne t'ai pas beaucoup vu ces jours ci, il est temps de rattraper ça , pour notre dernière après midi ici...

Quand il fut assis près d'elle, elle se mit tout contre lui pour l'embrasser, et - ayant vérifié que Raph jouait tranquillement tout près- posa sa tête sur l'épaule de son amour, heureuse.
Boumer
Boumer la pris dans ses bras, tout en lui caressent les bras, puis lui dépose des tendres bisous dans le cou, tout en profitent de l’océan.

Oui, c’est vrais ça fait un moment que je ne t’es pas vue, tu ma manquer ma puce.

Lui murmure : Je t’aime.
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Cerdanne
Après les plateaux du Rouergue et un passage inodore dans le duché voisin, Cerdanne attendait avec impatience sa rencontre avec la mer...

Pas celle de ses souvenirs brumeux qu'elle enfouissait rageusement au fin fond de sa besace....
Ceux-là….
Douleurs et douceurs...
Couleurs bleutés et argentés se devaient de rester cachés et silencieux…

Non !!
Elle était ici pour la tempête et la rage...
Pour vaincre…
Pour la force des vagues verdâtres aux reflets noirs…
Pour les rochers hérissés….Pour la victoire….

Elle évita soigneusement les amoureux transis ,collés l’un contre l’autre. Ses yeux plissés, scrutaient attentivement l’espace qui s’ouvrait devant elle…
Elle grommela encore et encore, ses pieds frappant rageusement le sable ….
La mer était basse et elle n’était pas ce jour là d’humeur à ramasser les crabes et autres crustacés….

Elle voulait les coques de bois et les voiles qui claquent…..
Elle voulait l’horizon ouvert…….
Elle voulait le vent….

Son regard, vide, ses lèvres étirées par un sourire ironique, elle regardait l’étendue grisâtre et hurla sa déception……
A grandes foulées rageuses, elle parcourut la nappe sableuse et humide et finit par se rendre à l’évidence.
Encore et encore elle se devait d’être patiente …
Encore et encore elle se devait d’attendre…….

Par la force des choses, parce que rien au fond ne la ferait changer d’avis, elle finit par escalader un rocher gardien de la grande bleue.

Quelques caresses du vent plus tard elle retrouvait le sourire et appuyée négligemment contre les roches saillantes, elle se posa en vigile… attendant la marée….
Scrutant l’horizon, la plage désertée….doucement somnolente…

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--Zok


Il avait vadrouillé de ci de là depuis qu'il avait pris de l'avance.
Et tout ça, seul, son le propriétaire de la bête de la sans nom. Depuis, Zok, car c'était bien lui, avait baptisé l'animal.......Inferno. Ben oui quoi, noir comme l'enfer, un caractère pour ainsi dire infernal, le nom c'était imposé de lui même. Bien sûr, le jeune garçon se disait que ça ne plairait pas à l'autre. Mais bon, les absents avaient et ont toujours tort avait il songé.
De plus, l'étalon ne répondait qu'une fois sur deux à ce nom. Il réagissait sans doute à la voix, et faisait à tous les coups en fonction de son humeur.
Toujours était il, que Zok, après son tour en Limousin, avait décidé de faire un détour en Poitou. Avec de la chance ou de la malchance, le drôle de propriétaire d'Inferno serait là.
Dire qu'il pensait voyagé avec lui, et qu'en fin de compte, il s'était retrouvé avec le cheval.
Satané animal ! Satané compagnon de voyage ! Il en avait marre des deux tout en tenant à rester avec eux !

Enfin.....Ce jour, le jeune garçon se retrouvait une fois de plus à la Rochelle. Non qu'il eut envie de découvrir particulièrement ce village. Il se disait que le blafard au nom qui l'amusait tant devait s'y terrer ou admirer la mer. A moins qu'il n'ait fini par se noyer ?! Nan. Impossible que ce dernier finisse de la sorte. Par contre, il y avait de grandes chances qu'il le trouve perdu dans la contemplation de la grande bleue. Aussi cheval et jeune marcheur, se dirigeaient ils d'un bon pas vers cette dernière.

Arrivés à destination, l'animal hennit. Le jeune garçon bailla. Mer calme et ciel......bah ciel juste ciel hein.
Sur le sable quelques silhouettes.......
Il reporta son attention sur la mer et se perdit dans sa contemplation. Pourquoi cette dernière fascinait elle autant ?

Inferno bouscula Zok, naseaux frémissant et oreilles pivotantes, puis piqua un petit galop. Non loin des rochers, il s'arrêta puis lança un bref hennissement. Un appel.....en reconnaissance d'une odeur vaguement familière.....Pas celle de son maître.....
Regard chevalin posé sur la gardienne solitaire.
Pensée chevaline pour son jeune compagnon humain qui se posait des questions métaphysiques sur la mer et sa fascination !
Cerdanne

Elle avait finit par céder à la tentation de la douce chaleur.
Abritée par les rochers, doucement elle s’était enfoncée dans les profondeurs de ses rêves…
Peut-être un des rares moments où son visage s’éclairait d’un vrai sourire ….
Surgissait les temps sucrés et heureux ….les couleurs qui caracolaient ….Les plumes légères, le doux nuage du bonheur.
Le chat qu’elle était, ronronnait sous les rayons caressants.
Elle s’étira dans son sommeil….
Les pointes noires acérées de son lit improvisé lui arrachèrent une grimace…

Immédiatement, elle se redressa, évitant soigneusement un contact trop rugueux sur la paume de ses mains.
Chat toujours…Mains précautionneuses, mains agiles…
Bien évidemment, le regard qui suivit le réveil de la dormeuse fut exempt de douceur bleuté….juste attentif.
Elle soupira après ses rêves envolés et bailla devant l’étendue scintillante.

Les mains volèrent jusqu’à la crinière épaisse que le vent bousculait et elle les enferma rageusement entre ses mains les torsadant nerveusement…

La mer toujours aussi calme continuait sa descente vers d’autres rivages et les diamants que le soleil accrochait sur son dos semblaient la narguer.
Ses yeux bien plus bleus, bien plus clairs qu’elle ne le soupçonnait volèrent de l’écume légère au sable fin, effleurant les silhouettes éparses qui tachetaient de noir l’or posé à ses pieds…
Tignasse enfin dompté contre son épaule, ses mains effleurèrent sa besace au cuir racorni.

Son nez se plissa….Grimaces révélatrices…
Sa besace orpheline appelait son objet fétiche….manquant à l’appel …volé un jour brumeux.
Cerdanne laissa échapper un soupir rageur et ses doigts étreignirent plus fort l’amie de toujours.
Souplement, elle étira sa carcasse, évitant les pièges saillants et bailla à nouveau.
Trop de nuits à battre la campagne, trop de nuits sans sommeil…
Son visage tout à coup se figea, et elle tourna violemment sa tête.

Balayé la natte improvisée…
Bâillement pour d’autres siestes réparatrices …
Le regard agrandit, elle contemplait l’étalon noir comme l’enfer qui doucement l’invitait à dire bonjour…….


Heyyyyyy !!!...

Un sourire spontané illumina son visage, les étoiles s’accrochèrent au bleu du regard….
D’un bond, elle rejoignit le tapis doré et bras tendus, mains ouvertes, caressantes, elle s’avança vers le bel animal…

Tout seul mon ami ???

Plus elle approchait et plus un sentiment de malaise s’emparait d’elle…
Elle le connaissait…ce bel orgueilleux qui se tenait devant elle…
elle l’avait déjà croisé….
Cerdanne ralentit sa marche, tandis que son esprit tentait de comprendre, de trouver….

D’où tu sors toi ???....
Sa voix assourdie lui sembla résonner comme un écho sur toute la plage. Elle stoppa ses pas, toisant l’étalon…..
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Cornelia


Cornélia avait besoin de respirer un peu d'air frais après l'air suffoquant des tavernes, par conséquent, elle se dirigea vers la plage où le vent marin était fort et vivifiant.
Elle retira ses bottes et se mit à marcher pieds nus sur ce sable qui l'étonnait tant tellement il était fin… Elle n'avait jamais rien vu de tel auparavant. À Niort, il n'y avait pas de sable…
Elle profita des vaguelettes fraiches qui faisaient frémir la peau de ses jambes et finalement trouva l'eau tellement agréable qu'elle s'y baigna complètement nue, au clair d'une lune pleine.
Elle ressortit de l'eau, apaisée et revigorée, emplie d'une assurance nouvelle.
Demain, elle repartirait, le cœur plus léger et la volonté plus affutée encore, pleine d'espoir.
Elle se rhabilla rapidement à l'abri des regards et repris la direction de la taverne.

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Cornelia


Levée de bon matin, Cornélia n'était pas très réveillée. Après avoir fait un tour aux crevettes, elle se dirigea vers la plage pour y prendre son bain qui, l'espérait-elle, la réveillerait.
Elle se cacha dans une petite crique à l'abri des regards, se déshabilla et s'immergea dans l'eau froide de l'océan. Le vent était fort et les vagues également, c'est pourquoi elle ne resta pas longtemps.
Elle entreprit de ressortir de l'eau avec le plus de discrétion possible, essora ses longs cheveux de jais et se rhabilla rapidement pour rejoindre ses mais en taverne.

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--Zok


Le bel animal vit la demoiselle au parfum vaguement familier offrir un large sourire. Eut il été humain qu'il en aurait été charmé. Las ou heureusement pour lui, ce n'était qu'un équidé.

Et heureusement fut bel et bien le terme approprié car, cette dernière changeait déjà d'expression.....
La méfiance se lisait sur son beau visage et l'animal renâcla. Les humains et leurs histoires !!!! Ses naseaux frémirent de façon......ironique. Comme quoi tout était possible en ce bas monde !

Pour couronner le tout, voilà qu'elle le questionnait tout en le toisant. Il frappa le sable, et d'autorité nicha sa tête contre la méfiante jeune dame. Il n'y était pour rien lui, si cette dernière ne débordait pas de passion pour son étrange jeune maître. D'ailleurs lui même n'éprouvait que de la sympathie pour ce dernier et pour le jeune Zok.......une affection quasi fraternelle. Du genre de celle qu'un aîné éprouvait pour un petit frère particulièrement agaçant....
Bref maître Inferno était bien au dessus des histoires des hommes.

Il contourna la jeune dame probablement surprise par ses avances, il aimait bien charmer la gente féminine, puis, délicatement, comme il l'eut peut être fait avec un enfant malade, il la poussa dans la direction du jeune Zok. C'est qu'il avait décidé qu'il était temps de former une petite troupe !!!
En conséquence de quoi, sire étalon prenait les choses......en mains ou naseaux. Nous dirons en mains !

Zok pour sa part, emplissait d'air salé ses poumons. Inspiration profonde, puis expiration tout aussi profonde. Bras qui s'élevaient vers le toit de la terre, le ciel, puis qui redescendaient vers le sol......Et ainsi de suite pendant quelques minutes.....
Aération intensive de son être.
Puis, comme s'il était dans son jardin, il se tourna lentement, ses yeux à la recherche de son compère, Inferno. Statufication et non pétrification du jeune garçon. L'étalon, qui devenait une saleté de canasson, poussait dans sa direction une silhouette étrangement familière. La Palôtine de l'épouvantail. Un soupir échappa à Zok.
Il n'avait pas les compétences requises pour tenir un salon de thé, à la différence du propriétaire de la bête sans nom.

Ses poumons, relâchèrent bruyamment l'air qu'ils contenaient....
Les yeux de Zok, jusque là écarquillés reprirent leur apparence normale. Seule leur expression trahissait sa surprise et.....une certaine interrogation. La chasse à l'épouvantail était elle ouverte ?!
Oubliée la grande bleue qui par à coups, venait lui chatouiller les bottes.....
Oublié le sol sur lequel il marchait.
Il n'y avait que la raison de la présence de la dame blanche de son étrange comparse qui l'intéressait. Saurait elle le réveiller ? Le secouer ? Ou au contraire, l'enverrait elle dans les limbes ?

A chaque pas qu'il faisait, Zok s'interrogeait, et c'est un regard tout naturellement interrogateur et curieux qu'il posa sur la jeune femme.
Il se tenait maintenant droit comme un I devant elle, les mains ouvertes, quelque chose d'enfantin dans son attitude, incapable ne pas la dévisager.

Inferno arrêta de diriger la jeune dame, et, de façon on ne peut plus naturel, mit sa tête chevaline entre eux, les regardant à tour de rôle et soufflant allègrement sur les figures.
Zok marmonna un juron, avant d'adresser un regard d'excuse à la dame blanche. Et là, il se reprit. Cette fois, se fut un regard bravache qu'il lui adressa.
Et Inferno de souffler de plus belle. Ces humains......!
Azzarin
Azzarin arrive avec akuya sur la plage et va vers Abbou Doun Corsaire turc grand fort et au regard tres inteligent Abbou duom salut vite son ami en retard

-alors delany en retard dormez tu

Les desux homme rient au millieu du campso qui se dressent les tentes s'elevent les brasseros s'alumment Azzarin salue la plus pars des hommes et femmes presents car ils les connaient tou assez bien

-alors ton voyage Abbou Doun une croisiere?

Abbou doun repondit
-pense tu j'avais posseidon et Eole contre moi heurement je ne me nomme pas Ulysse

Azzarint dit; - Ni Azzarin

les deux hommes rient puis Azzarint donne a Abou doun trois boite de grand papillons de cuivre en echange de bois precieux detoffe d'epice et de manuscrit

Azzarin dit
-Merci mais qui va m'aider a transporter tout cela -touil rit a ses propre mot et voit Vladimir et une douzaine d'homme s'avancer Azzarin salut Vladimir son ami marin et mucisien

Vladimir dit alors
jours avec akuya

Azzarin reponds
-oui toujours

Azzarint voit Vlad remplir sa bourse en disant -paris gagné!

vladimir demanda
- est elle toujours de si mauvais caractere ta féline

Azzarin voit akuya griffer le sol...

-oui toujours

Les deux hommes rient ensemble Azzarin donne la clef de son atrlier en leur disant a toous que si il sont veloces il restera peu etre du rhum et les regardent partir en accelerant le pas

Abbou doun est Azzarin se dirige la ou la fete bat sont plein les danse les chant et les tour inconnu de se pays s'enchaine et biensur le rhum s'evapore....

puis Abbou Doun donne a Azzarin une pierre precieuse connu sous le nom d'Esuelite celle si semble renfermer une lumiere rouge douce elegeant et tiede

Azzarin regarde l'homme avec des yeux ebahi

-pour moi mais tu sais ce que cela represente c'est la fortune pour tout homme en posedeant une

Abbou doun rit et dit
-l'argent et la gloire nous l'avons tout deux mon ami

Azzarin dit
-on a du rhum aussi

Les deux homme rient et Abbou doum dit
-offre la a celle que tu as choisie

Azzarin ne dit rien penseant a une femme au yeux vert.... la fete se poursuivit longtemps il chanta et rit beacoup avant de quitter ces amis pour travaillier la pierre
Arylis
Arylis n'était charpentier que depuis un temps fort court et ses mains ne s'étaient pas encore habituées à la callosité du bois et aux échardes même si elles appréciaient le contact doux du coeur sous l'écorce. C'était comme lorsque l'on décortique une personne, si la forme est peu avenante, le fond vaut souvent le coup. Bien sûr il y avait les morceaux pourris mais le bois qu'ils leur distribuaient sur le chantier du port était de première qualité et c'était un plaisir de le travailler même si la jeune fille était heureuse que sa journée soit finie.

D'ailleur, une fois libre elle n'avait pu résister à l'envie de voir la mer. Belle mer, jolie eau, grise, bleue ou noire, généreuse ou avare mais jamais stérile, calme ou agitée, joyeuse ou rageuse. Autant d'humeur que l'Homme pouvait avoir, mais tellement plus noble sous ce manteau d'écume au voile de lune. La brunette était donc arrivée devant l'étendue sableuse et était restée plantée là pendant un petit moment. On avait du la prendre pour une simplette tant son air joyeusement hagard devait paraître saugrenue à des habitués de cette belle étendue marine. Mais que croyaient-ils ? Tout le monde ne vivait pas aux abords d'une telle maîtresse. Arylis comprit soudain pourquoi les femmes de marins jalousaient cette drôlesse. Comment résister à ses ondulations, à ses courbes, à ses langoureuses caresses et surtout à son mystère, indéchiffrable, inquiétant, fascinant ...

La jeune fille secoua la tête. Il fallait qu'elle se reprenne sinon elle serait bientôt embarquée sur un bateau quelconque afin de pouvoir défier plus aisément cette puissante concurrente. Faren sur son épaule elle descendit sur la plage et enfonça ses pieds déchaussée dans le sable avec un gloussement de joie.

Tu devrais essayer mon mignon, c'est amusant !

L'écureuil la regarda avec cet air qui semblait dire : "Je suis un écureuil moi ... Ce genre de choses ne me regarde pas !" Elle lui sourit, frotta son nez contre le sien et l'animal accepta la caresse avec un plaisir évident. Puis la brunette reprit son exploration. Laissant glisser le sable entre ses orteils, ramassant le moindre coquillage, elle finit par arriver au bord de l'eau. Après l'avoir observer un moment la jeune fille décida qu'elle pouvait s'y risquer, tant pis pour le rhume !

L'eau se mit à gicler autour d'Arylis lorsqu'elle se mit à courir sur la langue des vagues. Elle riait à plein poumons, faisant le plein à la fois de bon air et de légèreté, de solitude et d'isolement. Ses soucis s'envolaient ainsi que les récentes déconvenues, les inquiétudes du futur et les tracas quotidiens. Ne restaient qu'une joie enfantine et délicieuse, le plaisir d'un souvenir d'enfant qui renaît ...
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Mademoiselle
Ça faisait une bonne quinzaine que la demoiselle était arrivée à La Rochelle. Pas une fois elle ne s'était aventurée sur la plage, et c'était pour ce soir. La nuit faisait comme résonner le bruit des vagues, ce son enivrant lui fit poser fesses à terre. Le sable était glacé, qu'importe, la magie de l'instant la plongeait irrésistiblement dans ses pensées, elle n'en pouvait plus se relever.

Recroquevillée sur elle même, Léna manqua basculer en attrapant sa petite bouteille de Cognac qu'elle cachait quelque part sous ses jupes. Elle jeta un coup d'œil alentour, elle ne voulait pas passer pour une soiffarde et discrètement s'en envoya une lichette, pour se réchauffer...

Santé à moi *hips*...

Elle était venue pour aider à la construction du fameux port, elle avait trouvé la ville terriblement ennuyeuse, passant de longs moments en taverne, seule, à compter les bulles qui remontaient du fond de ses choppes... 1... 24... 122... puis, c'est arrivé... des rencontres, de drôles de rencontres... et sans savoir comment ni pourquoi, elle n'avait plus envie de rentrer.
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Cornelia


Cornélia profita de cette courte journée à La Rochelle pour aller faire un petit tour à la plage.
Elle savait qu'elle ne reverrai pas la mer avant un long moment et se dit que ce serait l'occasion ou jamais pour profiter une dernière fois d'un petit bain revigorant.
Elle essaya de trouver un coin tranquille où elle ne serait pas dérangée, regarda autour d'elle et comme elle ne vit personne, se déshabilla et entra dans l'eau.
Comme l'eau était froide, elle s'immergea complètement, en une seule fois, pour ne pas se laisser le temps de souffrir de la morsure de la fraîcheur de l'eau.
Elle ne resta pas longtemps, car malgré ce temps improbable, il y avait tout de même du monde aux alentours.
Elle sortit rapidement de l'eau, se rhabilla prestement sans attendre d'avoir séché et retourna vers la ville, espérant trouver en taverne, le confort d'un bon feu et d'une bonne bière.

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Enguerranddevaisneau
En ce mois de décembre qui venait juste de commencer, le soleil se couchait tôt et l'air était frais et venteux. Enguerrand avait traîné son seau derrière lui depuis la taverne où il était venu à l'origine pour surveiller sa soeur. Son outil était lourd mais ce n'était rien à côté de ce qui l'attendait pour le chemin du retour.

Le jeune Vaisneau avait refermé son veston pour se proteger du froid et traversa les rues en courant. Peut être avait il bousculé quelques personnes au passage, mais parfois il n'était pas de ceux qui faisait attention aux autres. Il arriva rapidement sur la plage, avec toute l'energie de son jeune âge.

Enguerrand alla se mettre en plein milieu de la plage et se laissa tomber lourdement sur les fesses. Il aimait bien la plage, le sable était fin et agréable au toucher, et le son de la mer le berçait dans ses rêveries. Lentement, le jeune homme s'affaira à sa tache et de ses deux mains commença à remplir son seau.

Au passage, Enguerrand filtrait les coquillages qui passaient entre ses mains, séléctionnant les plus beaux et jetant les autres au loin. Sur le moment, il se demandait comment il ferait pour amener la mer, parce que la plage sans la mer ce n'est pas la plage.

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Est-ce un fléau ?! Est-ce un démon ?! Non, c'est Enguerrand !
Kiliana
Son refuge... Son pèlerinage... Désir de communier avec les forces du cosmos... Besoin de ressentir sa force! L'océan, à perte de vue, s'étendait devant elle.

L'horizon était sombre: on aurait dit que le ciel se noyait dans l'eau aux reflets grisâtres, ou que l'eau étirait ses lèvres écumeuses pour embrasser la voûte céleste.

Kiliana respira profondément pour absorber toute l'énergie iodée que l'océan partageait généreusement. Elle offrit son visage aux embruns salés, laissa ses cheveux danser avec le vent qui soufflait. Elle ferma les yeux, pour profiter pleinement de ce moment intense où elle se régénérait, où la sérénité cohabitait avec la pugnacité.

Elle ouvrit de nouveau les yeux pour regarder la digue qui avait été construite, plus loin. Une sorte de tentacule géant qui voulait saisir les bateaux qui allaient accoster. Songeuse, elle se rappelait ce que lui avait dit son ami Sha, quelques mois auparavant... Et s'il y avait un autre monde, là-bas, derrière la ligne d'horizon? Qui aurait l'audace d'aller savoir?

Kil sourit... Un gamin s'amusait à ramasser des coquillages... Des oiseaux marins laissaient les empreintes de leurs pattes palmées sur le sable humide.
Elle frictionna ses bras, l'air était frisquet... Mais elle s'assit pour profiter du spectacle océanique. Et elle avait avec elle sa meilleure amie... Sa chopine de bière...

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Mimidu973
Elle était là, trainant sur la plage. Il était plus d'1 heure du matin.Elle devait se rendre ici, pour se ressourcer, comme pour y reprendre force et courage.Elle s'approcha de la mer agitée, elle avait l'impression qu'elle aurait même pût l'avaler.Pourtant elle s'approcha, puis y trempa la pointe de son pied.Elle était froide et douce.Mimi s'asseya au bord de la mer.Elle la contemplait venir frapper ses jambes et glisser pour s'en éloigner.Mimi pencha alors le montant vers le ciel.En un soir d'hiver, il était d'une splendeur!
Puis elle s'y coucha completement.La mer l'aspirait peut a peut.Mais elle voulait contempler les étoiles, comment...mieux que ça...
Elle resta 5 minutes jusqu'à ce qu'elle reprit ses esprits et vu qu'elle s'éloignait de la rive.Elle sortit de l'eau, s'assied sur le sable sur la rive cette fois-ci, et continua à regarde cette mer, ce vide profond, loin, absorbant...

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