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[RP] Par un soir d'orage

Eusaias
Salaud !! Assassin !!!!

Tic ! Une nouvelle agression, mais là c'était un gosse. Le Mauvais fit un pas en avant, puis un autre. Il s'agenouille face au petit. Le regard d'épervier pénètre les pupilles du petit.

Toi aussi un jour tu devras sans doute tirer l'épée. Alors, sache que ce n'est en rien facile, mais une fois l'épée au clair il faut aller jusqu'au bout. Aujourd'hui tu me hais ? Grandis, entraîne toi et tue moi, ainsi ton ami sera vengé, mais alors toi aussi tu seras un salaud, un assassin.

Il se redresse le visage fermé.

Hum, va pour l'église, j'espère juste qu'il sera là.

Le Mauvais hausse les épaules.

Viens Jusoor, faut aller chercher Jerem. On peut bien faire ça pour l'ami Brillantin.

Il passa son bras par-dessus les épaules de sa protégée et prend la direction de l'église. Deux ruelles à droite, puis trois à gauche. Il chaparde au passage une pêche dans le verger de Tip et l'offre à Jusoor.

Tiens mange et prend des forces, on arrive.

Vlà la maison du bon dieu. Il regarde la bâtisse d'un mauvais oeil, à moins que ce soit la bâtisse qui le regarde de travers.

" JEREM ! " "Yo HO ! JEREM ! VITE IL Y A EU UN ACCIDENT, UN HOMME ATTEND LE DERNIER SACREMENT !"
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la grêle, incarné par Brillantin
On m'écoute jamais... enfin c'est normal, ma voix est aussi inconséquente que le vent dans les arbres, sans doute même moins.... Ha! Armoria m'as écouté elle.... elle vas se mettre à l'abri...

Non, sans plaisanter, c'est sage de se mettre l'abri... La pluie tombe de plus en plus drue.... A tel point que le chant de l'eau qui tombe sur le sol devenu boue fait désormais concurrente au tonnerre... On devrais pas sortir un curé par ce temps de chien.

Ceci dit toutes les gouttes de pluie ne tombe pas... Et c'est bien là que le bas blesse... Certaines de ces malapprise montent dans un courant ascendant au lieu de descendre... Et évidement elles gèlent, ce leur fera les pieds, tient, si seulement elles en avaient...

Les acteurs du bas n'ont aucune conscience de ce drame cosmique tout à leur drame terrestre.... Un homme qui meurt pensez donc... Tandis que des grêlons en formation au dessus de leur tête, selon des lois inconnues à ce jour, qui s'en soucie? Et pourtant dans un instant les cultures, vignes, blés de Sémur vont souffrir de la rébellion des gouttes de pluie...

Et oui la grêle ça rends pas pareil pour une mort que la pluie... Mais bon... Le temps n'en as cure.
Della
L'assassin ne me vit même pas tant la violence de Hugues se fit forte. Le gamin jetait au visage du scélérat, toute la haine qu'un enfant peut accumuler au fond de son coeur et qui sort, tel un flot inextinguible.

Mais même la fureur de l'enfant ne donna pas mauvaise conscience à cet homme.
Dans ma religion, on considère que la Vie est primordiale, qu'elle doit être respectée, qu'il faut la préserver. On voit aussi en ces gens qui tuent par plaisir, des êtres néfastes, chargés par les Ténèbres. C'est ainsi, désormais que je verrai Eusaias...

Je plantai tout le monde là, Hugues y compris et courut rejoindre Ode, l'aidant de mon mieux, soutenant le corps sans vie de mon ami, pour l'empêcher de tomber.

Et la pluie redoubla...Notre triste cortège avançait, péniblement, sur un chemin devenu boueux. Le visage de Brill était noyé de pluie, elle lavait ses plaies, tâchant la terre. Ode poussait, la pluie collant son reste de vêtement sur sa peau, je n'aurais su dire si elle pleurait.

Et tout d'un coup, je reçus le premier grêlon. Il me frappa la tête tant et si bien que je lâchai le corps de Brill d'une main pour me frotter le crâne. Puis, un autre et un autre encore, frappant plus fort que le précédent.
Je me tournai vers Ode, la regardai à travers l'eau qui dévalait de mon visage.

Viiiiiiite, Ode, vite !

Et joignant le geste à la parole, je poussai avec elle, cette maudite brouette, vers la bergerie, les pieds dans la gadoue, les vêtements rempés et le coeur en larmes.
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Fin, incarné par Brillantin
Bon! C'est l'heure! L'heure pour une âme de quitter son corps... Quand le cœur à t'il lâché? Qui peut le savoir? La pluie, le tonnerre, la grêle, comment se rendre compte dans ses conditions?

Peut être est t'il mort dés que son corps à touché le sol? C'est curieux qu'il n'ait put fermer les yeux...

Ou alors, il est mort lorsque Oderay cherchait à stopper l'hémorragie? Mais si hémorragie il y a, alors le cœur battait.

Est t'il mort sur le chemin? Quand la grêle est tombée?

Qui sait.... Pas moi en tout cas.... Parce que ça ne m'intéresse pas. Le destin d'une gouttelette d'eau devenu grêle est plus palpitante que la vie du pauvre Brillantin...

Non mais sérieusement, personne n'as vu le nœud du problème? Le point focale de ce drame? Pourquoi se penche t'on sur Brillantin? Qui se soucie de la véritable chose intéressante de cette narration?

Les moutons!

Oui! Les pauvres moutons, qui n'ont même pas conscience d'être nommés... Né pour mourir sous le couteau d'un lâche... Mais que vont devenir ces animaux?

He bien aimable lecteur, j'ai une bonne nouvelle à vous annoncer! La grêle et le vent à détruit les barrière de l'enclos. Et les cinq moutons se sont sauvé... Loin de tout berger meurtrier... Voyez comme cette histoire se termine bien?



Brillantin meurt demain... Merci à Eusaias qui rendu ça nettement plus palpitant qu'un RP de maladie... Merci à tous les participant de ce poste et aux joueurs bourguignon en général... Au revoir, sous d'autres masques.
Breiz24
M'enfin? Et mon beau rp de procès?
*LJD Breiz en mode C'est vraiment trop injuste ce soir*
Dommage que vous cessiez de jouer votre perso, on s'amusait bien non?
Fin bon vent en tous cas!

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Theudrick
Hugues restait planter, encore sonné. Le larmes ruisselait encore sur son visage et ses yeux scrutait le pavé encore rouge... Il ne sentait pas les grêlons... Il s'en fichait... Les mots du scélérat résonnait encore dans sa petit tête... "toi aussi tu seras un salaud, un assassin." ... Était-ce cela que de devenir une Grande personne ? Devait-on forcement tué pour devenir adulte ?


Par terre, une petite bourse baignait dans la sang... Sans doute celle de Brillantin... Était-ce raisonnable de prendre la bourse d'un mort ?



Oh... Il n'en aura plus besoin maintenant...
Et si le seigneur me voyait ? Pis encore ! S'il le disait à Père !




Le petit se pencha en avant, saisit la bourse et la fit sautiller dans sa petite main... Elle était pleine...



On n'peux quand même pas la laisser aux rats, non ?!
Brillantin aurait surement voulu que je la garde !
Et pis ça me fera un souvenir, n'est-pas ?



Tiraillé entre sa vénalité naturel et la bonne morale inculqué par son précepteur, le petit bonhomme ne savait que faire... Il se sentait observé... Sans doute le Très-Haut l'observait de là-haut...


Je sais ce que vous pensez ! Vous pensez que c'est mal, n'est-ce pas ?
Si ce n'est pas moi qui la prend, un coupe-jarret le fera à la place !
pensât-il pour se donner bonne conscience.



Au même moment, un éclair déchira de ciel et le grondement fracassant du tonnerre fit tressaillir le petit Hugues...



Quoi encore ??!! Je vous assure que Brillantin ne m'en voudras pas !! Vous n'aurez qu'à lui demander !



Le petit Hugues rentra chez lui, il devait être très tard... Cette nuit là, Hugues ne trouva pas le sommeil, se repassant en boucle la terrible, la funeste fin de son ami Brillantin...

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Jerem51
Jerem était accouru aussi vite qu'il l'avait pu suivant Eusaias sur les chemins.
C'est avec une visible consternation qu'il trouva Brillantin à toute extrêmité.



Mon Fils, avez-vous encore la force de vous confesser à Dieu ?
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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3
Oxy
Sur le départ… et il fallait justement que le jour où je me décide il se mette à pleuvoir ! Par les couards et les canards ! C’était pas de chance quand même surtout que j’avais plus de chausses puisque je les avais rendu à Brillantin ! Je vais me choper la mort ! Fais suer ! Par contre, ça serait bien que les orages continuent un bon peu, ça permet d’y voir un peu car la lune, elle n’est pas trop là ce soir.

Si j’y vais malgré le temps ? Est-ce que j’ai l’air de pas y aller là ? Et d’abord où ? À ce foyer pour miséreux évidemment ! Depuis le temps que je vous en parle ! Mais vous m’écoutez jamais ou quoi ?!? Comment ça je suis de mauvais poil ? Mais je vais vous bottez les fesses à dire des choses pareilles ! Quoi je vois bien ? vous allez prendre pire qu'un coup au séant si ça continue bordel !

Ruelle… taverne… s’arrêter ? Non continuer… j’aime pas les au revoir et encore moins les adieux… Ruelle… taverne…. Décidément ça grouille de taverne ici… Ruelle… amas de gens… oh y’a le vicaire, qu’Est-ce qu’il fiche là celui là, et sous la pluie en plus… je croyai qu’il ne sortait pas de ce temps pas comme les grenouilles ou les escargots…

Un homme allongé… enfin je crois que c’est un homme car y’en a du monde au-dessus… il devait être bien aimé… quoiqu’on lui fait peut être les poches, c’est souvent comme ça, à peine froid on se sert, c’est que la vie est dure vous savez, on se débrouille comme on peut et parfois en faisant les charognards.

Quoi je pourrai avoir une once d’humanité et avoir pitié de cet homme allongé dont les cris, les murmures et les paroles du prêtre semblent annoncer que sa mort est proche ? Je le connais pas ce gars là, et puis même, chacun sa vie, chacun sa mort.

Quelques mètres plus loin, du monde, des dames, mais bon j’y fais pas trop attention, je me fiche de tout ça, on voit s’en arrêt des règlements de comptes sur les chemins… mais soudain je croise le regard du Puant, mais si vous savez, l’autre qui voulait que je devienne son écuyer après m’avoir botter les fesses ! Il a l’air bien fier celui là… Regard sur son épée… ensanglantée… oh c’est donc lui qui a mis cet homme à terre… j’espère qu’au moins le combat fut intéressant à regarder…

Je passe dans un Silence… enfin silence apparent car à l’intérieur ça tourne en boucle… va falloir trouver un plan pour arriver à mes fins car, le foyer de Saulieu, celui pour les miséreux ça va aller un temps mais c’est pas là bas que je vais devenir chevalier moi !

C’est ainsi que je suis passée à côté du corps inerte de cet étrange ami qui était Brillantin sans savoir que c’était lui… oh j’aurai sû, je me serai arrêtée un peu mais vous savez chacun à son heure et j’en ai peut être déjà trop vu du haut de mes onze ans…

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Eusaias
Hum, mon père, je crois que l'ami Brillantin ne vous répondra plus... se penche à l'oreille du prêtre et chuchote... Il est déjà bien froid.

D'une voix plus forte :

Alors, une bonne prière sortie de derrière les fagots et on va s'en jeter un derrière le col.

le Mauvais ouvre de grands yeux, il a presque oublié le bon gibier. Il tapote de la main la garde de Victoria et il jurerait que dans ces moments il l'entend ronronner.

Viens Jusoor, nous avons d'autre Bri.. gands à chasser. Il a failli commettre un lapsus qui aurait encore fâché la galerie, foutue langue fourchue.

C'est en prenant la route de la taverne où se trouvait son Altesse, qu'il remarqua la silhouette fluette d'Oxy, son futur écuyer.

Ses doigts se font serres et ils saisissent l'épaule du petit.

Te voilà mon garçon, voilà des heures que je te cherche. Viens avec nous, on est attendu par la petite tête blonde et j'ai mon bouclier à te faire décrotter.

Ni une ni deux il entraîne le morveux par la manche. La soirée s'annonçait bonne.
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Jerem51
Jerem s'agenouilla près du cadavre de Brillantin et récita la prière des morts:



Amen.
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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3
Della
Nous étions arrivées, tant bien que mal, Ode et moi, jusqu'à la bergerie.
Là, nous avions découvert la porte grande ouverte, sans doute par le vent, et plus aucun des fameux moutons déclencheurs de toute cette affaire !
Les bestiaux avaient fui, lâchement...sales bêtes ! Ou heureuses bêtes, selon ce qu'on pense de la gente ovine.
Bref, plus de moutons mais un berger mort, lamentable.

Nous avions tenté de déposer le corps de Brill dans la paille. Mais il faut bien reconnaître qu'au final, la seule solution que nous avions eue avait été de le "benner" hors de la brouette en faisant bascule celle-ci sur son côté.
Cette scène m'affligea encore plus que je ne l'étais déjà, me laissant vide et amère.

C'est alors que...au moment même où la grêle tomba tellement fort qu'elle tambourinait sur le pauvre toit de la bergerie...il ne nous tomba pas un grêlon sur la tête, cette fois, mais un diacre !
Sans plus de cérémonie, le diacre tomba aux côtés de Brill et commença à murmurer ses prières.
Je le regardai...le coeur entre deux envies...celle de le jeter dehors et celle de me joindre à lui, d'unir mes prières aux siennes.
Sans doute étais-je dans un état moral des plus moches parce que, moi aussi, je m'agenouillai et me mis à prier silencieusement la Déesse Mère, lui demandant d'accompagner mon ami dans son dernier voyage du retour à la Terre.
Il fallait espérer que nos prières, l'aristotruc et la mienne, s'unissent pour le repos de l'âme de notre ami.

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Jerem51
Jerem se releva, envoya quérir un croque-mort pour la mise en bière et demanda à ce que le corps de Brillantin fût placé dans la chapelle de l'endroit afin qu'un prêtre puisse bientôt faire procéder à son inhumation.
Il vit que Della était ici; bien que la religion semblât les séparer vue son absence régulière aux messes, il lui adressa quelques paroles de réconfort, car, pour lui, il n'y avait aucune raison de donner la chasse à d'éventuels païens pacifiques qui ne faisaient de mal à personne, sinon à leur propre âme en refusant de la sauver en recevant la lumière d'Aristote et de Christos qui seule était celle qui venait à la Vertu et à la Vie Eternelle.
Et, du moins, Brillantin étant lui, un bon aristotélicien, la question de son accession au Paradis Solaire ne serait pas un problème majeur.

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Prêtre de l'Eglise aristotélicienne, vicaire de Semur et théologue du St-Office; conseiller aux légumes et aux niveaux 3
Oxy
Par tous les couards de l’enfer ! Va me lâcher celui là !

Et vas y que je me vois traîner derrière le Puant. Et vas y que j’essaye de me dépêtrer de là, et plus j’essaye et plus il resserre son emprise !


J’vais te le faire décrotter avec ta langue ton bouclier ! Et ensuite je vais m’en servir pour tanner ta peau de vieux routier mal embouché

Oula pas le temps de finir la phrase qu’il m’envoie une calbotte que même ma tête, elle a failli faire trois tours ! J’savai que j’allai faire mouche en le traitant de brigand mais pour la réplique, je pensai que je n’aurai droit qu’à un coup de pied au séant !

J’me fiche à bouder en mettant ma main sur ma joue rosie, non rougie ! Pour sûr que je vais avoir un bleu ! De toute façon, ai-je le choix ? Il est 3 fois comme moi !

Traînant des pieds, je le laisse me mener je ne sais où… Mais il peut être sûr qu’à la première occasion je vais pas le rater ! Je saurai être patiente, il va pas s’en sortir comme ça, et puis pour son bouclier, il peut toujours courir !


Et puis c’est qui cette tite tête blonde ? Et pourquoi faire d’abord ?
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Della
Quelques dix jours plus tard.

Dimanche...jour du seigneur !
Elle m'amusait, cette citation.
En même temps, le dimanche matin, alors que tout le monde courait vers les églises, moi, j'avais la paix ! Enfin, j'étais plus ou moins seule et tranquille...je pouvais...

Venir à la bergerie de Brill, sans être vue, sans avoir à répondre à mille questions, tranquillement, venir penser à mon ami, disparu, assassiné, venir me recueillir, ici, chez lui, là où son souvenir rôdait encore.


J'avais tout de suite aimé Brillantin.
Homme sympathique, franc, direct, il n'avait pas peur d'exprimer haut et fort ce que d'autres murmuraient entre eux.
Et puis, il avait de l'humour. Chose tellement rare.
Il me manquait, le Brill.
Et pourtant, j'avais comme l'impression qu'il restait là, à nous regarder, à se marrer en nous voyant, ici-bas, nous dépêtrer sous nos fardeaux quotidiens.
Bah, au total, il était heureux, Brill !


Ce matin donc, je pris la direction de sa bergerie.
La porte était restée ouverte...J'entrai sans me sentir en faute.
La maison avait été visitée, déjà, ça se voyait. Les quelques affaires avaient été retournées et il ne restait pas grand chose à part quelques vieilleries abandonnées. La nourriture avait été emportée. Fallait s'y attendre...pourvu que ce fut des pauvres qui en profitent et pas quelques nantis. Qui sait ?

Il y avait une échelle menant vers un grenier. J'y montai, curieuse sans doute. On ne me changera pas.
Là, un peu de paille et de foin, destinés aux moutons. Un peu de laine aussi, à carder les soirs d'hiver. Une peau, mise à tendre. Visiblement, personne n'était venu jusqu'au grenier sinon tout ça aurait disparu.

Je restai là, quelques instants, à m'imaginer Brill travaillant, allant et venant, s'occupant de ses moutons...je parie qu'il leur parlait, à ces bestioles ! Je ris...
Puis, mon regard fut attiré par un monticule recouvert d'une couverture.
Je m'y faufilai. Le toit était pentu et je finis presque à plat ventre, dans la paille !
Soulevant la couverture, je découvris un trésor...enfin, façon de parler.
Il y avait là, une paire de chausses et un bouclier.
Pourquoi Brill avait-il caché ça là ? Je ne le saurai jamais...Mais c'est sans hésitation que je sortis les chausses et l'écu du grenier. Silencieusement, je m'adressai à Brill et lui demandai la permission de conserver son trésor, en souvenir de lui, de notre amitié.
Oh, il ne me répondit pas mais avais-je besoin de sa réponse ?
Je n'avais pas de mauvaises intentions, juste celle de garder ces pièces, en souvenir d'un ami cher.

Lorsque je quittai la bergerie, je fermai la porte, essayai de la bloquer afin que dorénavant, cette bergerie ne soit plus dérangée, pas plus que l'âme d'un ami sincère.

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