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[RP] Un Requiem des plus festifs....

Mallory
Mallory dégustait son verre de Sauvignon lorsqu'elle sentit une main se poser sur sa cuisse. Elle failli s'étrangler avec breuvage fruité mais la main de Rampa ne s'attarda pas et empoigna sa canne. Même s'il s'agissait d'un geste maladroit le veille homme était parvenu à troubler la Dame de St Martin des Champs.

Elle observa pensive Rampa partir en direction des monstrueux tonneaux de vin.

Pendant l'absence du vaillant chevalier, elle repensa à l'intervention de Estanoise, qu'elle avait rencontré dans le Lyonnais juste avant les évènements du Languedoc. Elle n'avait pas voulu ajouter de l'huile sur le feu, mais elle était persuadé que Rampa n'était pas responsable de ce qui arriva là bas. Les pèlerins se sont mis hors la loi tous seuls, cela ne pouvait se terminer que par un drame... Elle soupira en pensant au chef de paix de la Ruse et à Joey...

Mallory avait le regard dans le vague à mille lieues de la fête lorsque soudain un bruit effroyable résonna à quelques mètres d'elle. Elle se retourna et aperçut un des futs qui s'était écroulé sur sol et qui avait éclaté en mille morceaux.

Lorsqu'elle vit un homme courir affolé en direction des tonneaux, elle sentit un vent de panique la gagner. Une catastrophe était arrivée, elle chercha Rampa du regard autour d'elle mais le vit pas. Puis elle vit l'homme dégager un corps de sous les débris.

D'une voix épouvantée, elle hurla.


Rampa!! Non!


Elle rejoint l'homme pour l'aider à porter le chevalier. Il ne respirait plus. Mallory luttait pour garder son sang froid. Elle répétait toujours la même phrase à voix basse.

Faites qu'il s'en sorte, faites qu'il s'en sorte...
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Cuche
Cuche avait soulevé la tête du Chevalier lorsqu'une Dame arriva en courant. Elle l'aida à le trainer un peu plus loin tout en murmurant la même phrase encore et encore.



Faites qu'il s'en sorte, faites qu'il s'en sorte...

Ne sachant pas vraiment quoi faire, Cuche arracha les boutons de la chemise pour dégager la gorge en espérant que l'air passerait encore. Le Chevalier n'avait toujours pas réagit ni fait le moindre mouvement.
Fort pâle et perturbé il se tourna alors vers la dame qui l'aidait.

Il ne bouge plus, il ne respire plus et ne réagit pas... Je ne sais pas quoi faire, je n'y connais rien en médecine moi !

Il maintenant toujours la tête légèrement relevée mais sentait la peur l'envahir à l'idée de ne pouvoir rien faire...

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Maire de Joinville
Préfet
Lieutenant de police

Eprit de la douce Miss.Rose
--Esilda


Elle était toujours là, la vieille Esilda...
Non, elle cherchait plus la petite, ayant fait deux fois le tour de la place... Et se disant qu'elle aurait été mal à l'aise parmi toute cette société...

Non... Se retrouver face à des tables garnies de bonnes choses, il faut être beaucoup moins radin que la vieille pour y résister!! Alors imaginez, une grippe-sous comme elle... Et puis, de regarder toutes ces personnes, qui jouent de la séduction pour avancer, deviner les non-dits à travers les regards, imaginer les envies, avec un léger parfum de politique... Quel délicieux fumet pour une pie...
Elle en aura des choses à raconter, ou du moins faire semblant de savoir, voilà qui va pimenter ses discussions...
Le nez au vent, les oreilles grandes ouvertes... Elle est pas sourde la sorcière, et pas aveugle non plus...

Lorsque la dame bien pâle vient interpeller le sire de ces lieux, elle en boit du p'tit lait!! Ragotons, ragotons... Ne laissons rien passer...
Ahh quel audace, la p'tite manque pas de cran... Quel panache pour le vieux, on voit qu'il en est pas à son coup d'essai!!!

Mais c'est pas tout ça, la nuit s'avance, il va falloir songer à rentrer... Finalement, courir après la ribaude de Margot n'a pas que des inconvénients... Elle ne sent plus ses jambes arthrosiques l'Esilda, elle a l'impression de retrouver la jeunesse perdue...

Mais un gros bruit la fait se retourner... Doucement bien sur, manquerait plus qu'elle tombe, personne s'rait là pour la ramasser...
C'est quoi tout ce monde qui se précipite??

Arffff, un accident, le prince des lieux s'est fait avoir sous des tonneaux!!! L'avait pas assez bu peut être???

Et Esilda s'en retourne, un petit sourire ironique au coin des lèvres...

Vaut mieux mourir comme ça que dans son lit...
Siahm...


Elle avait marché longtemps, depuis des jours. Et son voyage était loin d'être achevé. Et puis, elle avait entendu des bruits, comme une rumeur de fête. Pas plus farouche que ça, elle avait décidé qu'une bonne mousse piquée ci et un pastez piqué là ne lui ferait pas de mal. Pique assiette? Si on veut...

Elle interroge un badaud et apprend que c'est Rampa l'hôte. Sa bouche s'arrondit, surprise. Elle n'a pas eu le temps de le rencontrer récemment mais elle le connait, enfin c'est tout comme.

Elle s'approche, et des cris fusent. Apparemment, elle arrive trop tard....


Rampa! Oh non... Mais que s'est il passé? Oh, j'ai pas eu le temps de... Maman serait si triste....

Siahm regarde autour d'elle. La mort ça vous fauche vraiment n'importe qui...

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Izaac a écrit:
On peut violer l'Histoire. Plusieurs fois même. Mais à la condition de lui faire de beaux enfants.
Dame_suki
La jeune Suki, fille de Rampa, s'avait depuis plusieurs jours que son père organisait une petite fête à Dijon. Pour son père tout ceci était relatif, il avait la facheuse tendence d'en faire toujours une montagne. Pour lui faire plaisir et pour se faire plaisir à elle avant tout elle avait fait le chemin jusqu'à Joinville afin de fouiller dans les affaires de sa mère afin d'y trouver une belle robe de "Dame".

Là bas, elle avait retrouvé Marie, son ancienne nourrice qu'elle aimait tant, après d'heureuses retrouvailles elles se mirent toutes deux au travail. Après quelques coup de fil et d'aiguille, elle put parer une magnifique robe que sa mère avait faite de ses mains. Elle était fier, elle paraissait resplandissante dans cette belle robe malgrès son si jeune age.

Le chemin de retour fut rapide, la route étant très praticable à cette époque de l'année mais elle avait perdu du temps à Joinville et elle arriverait surement en retard. Et c'est ce qui se passa en arrivant non loin du lieu de fête elle commença à entendre les musiciens qui jouaient de plus belle. Elle aurait tant voulu que son père soit surpris de la voir aussi belle que ses mains en frémissaient.

Mais en approchant du lieu de fête, soudain la musique s'arreta, il n'était pourtant pas trop tard se dit-elle. Sautant de la callèche, elle hâta le pas, et arriva rapidement sur les lieux de l'accident.


Père !

En larmes, elle plongeat sur le cadavre recouvert de déchets de barrique et de vin lui mettant une gigfle monumentale.

Vous n'aviez pas le droit de me faire cela sale ivrogne, vous qui m'aviez toujours dit que vous m'ammèneriez à l'Hotel pour mes épousailles ! Vous qui m'aviez promi de me protéger jusqu'à ce que je trouve un nouveau foyer ! Vous m'abandonnez !

La jeune fille refrappa de plus belle le cadavre de ses modestes poings et s'effondra en larmes accompagnée d'un cri de déchirement.
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Della
J'avais continué à profiter de la soirée, goûtant encore à quelques crus qui ne demandaient qu'à se laisser faire.
Mon esprit était légèrement embrumé, de cette douce sensation de légèreté qu'amène l'abus de boissons divines et alcoolisées.
Pourtant, les cris me ramenèrent bien vite les pieds sur terre ! Il se passait quelque chose de grave !

Suivant les nombreuses autres personnes sur les lieux du drame, espérant pouvoir être utile à quelque chose, jentraperçus un corps allongé, baignant dans le vin. Ma première réaction fut de considérer ce drame, le vin répandu sur le sol, comme une réelle catastrophe. Mais alors que je me faufilai pour en savoir davantage, je reconnus le sieur Rampa, je poussai, moi aussi, un cri que je tentai d'amoindrir en posant vite ma main sur ma bouche.

Et les paroles de Rampa me revinrent, comme un écho...

    Cette fête n'est pas un point final pour moi, la mort me prendra quand elle le décidera...

Des larmes coulèrent le long de mes joues. Je ne connaissais que depuis ce soir, le sieur Rampa et pourtant, sa mort m'atteignait comme s'il c'était agi d'un ami proche. Peut-être cet homme m'avait-il impressionnée...Quoiqu'il en soit, cette mort était un grand drame, n témoignait le chagrin de la jeune femme qui martelait la poitrine du défunt...
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Cuche
Cuche n'eut pas le temps d'arrêter la jeune femme qui fonça en trombe vers Rampa et évita de justesse une gifle qui , si elle avait été donnée à un vivant , aurait été fort douloureuse. Il s'écarta et s'appuya contre un des autres tonneau de vin pour reprendre son souffle et ses esprits.

Rampa était mort.





Départ en retraite pour mon perso, bonne continuation et à plus tard peut-être
Niflheim
Niflheim se désaltéra quelques secondes, mais cela suffit apparemment à sa cavalière pour lui fausser compagnie. Alors serrant le poing, il maugréa contre Estainoise.

-Pauvre infante qui ne supporte pas qu'on l'a quitte! Elle pourra se vanter d'avoir réussi son coup celle-là!

Il dirigea son regard vers son hôte passablement éméché, en train de tituber habilement, expressément ou pas, sur une cuisse féminine à la recherche de sa canne. Au vu de sa démarche, on le ramassera sur une civière plus tard dans la soirée. Souriant, il voulait tout de même profiter de la soirée, et pour cela, en l'absence de plaisante compagnie momentanée, la façon d'y arriver le mieux était de se plonger corps et âmes dans les bras de Bacchus.
Une certaine torpeur commençait à l'envahir, cette douce sensation d'évasion corporelle et spirituelle où tout nous semble accessible et où le poids de chaque mot prononcé est atténué par l'excuse de cette ivresse. Mais un grand fracas à proximité se fit entendre et il se douta bien que la cause devait en être Rampa, étant donné que ce fut le seul convive absent à ce moment. Un cri rauque était produit en même temps, ce qui laissait supposer un accident quelque peu gênant pour l'ambiance festive. Niflheim ne bougea pas pour autant. Mieux vaut une éventuelle mort joyeuse et bien entourée que celle plus conventionelle durant son sommeil et seul.


-Ne te plainds pas Rampa! Les walkyries se feront une joie de te servir le sein nu, petit chanceux.

Tout en disant cela, il finissait sa choppine, puit entreprit de partir, ne voulant pas déranger des secours et des amis à l'espoir fébrile d'une réanimation. Mais elle était là, sur le parapet, la tête dans les mains. Niflheim ne comprenait pas pourquoi ce regrettable incident la bouleversait tant. Il n'a aucune espèce d'importance, et ce genre de gaminerie est plus là pour en rire que pour se morfondre. Il s'approchait mais resta derrière elle, s'appuyant sur le muret.

-Dame Lenada, je m'apprêtais à partir. Je fus heureux de vous voir à nouveau et sera comblé si je vous revois encore en quelque lieu que ce soit, surtout s'il est isolé et sent bon la lavande ou autre saveur ennivrante... Petit sourire. Mais il fallait que je vous dise aussi que si vous tenez à dire au revoir à Rampa, je crois qu'il faut que ce soit maintenant... Au plaisir très chère gueuse envoûtante. J'espère que nos lèvres seront les actrices de la prochaine scène...

Agrandissant un sourire qu'elle ne pouvait voir, il se mit finalement en face d'elle à sa hauteur, et lui déposa un autre baiser sur sa main d'albâtre, se retournant et partant devant lui, ses foulards flottant, tout en essayant de marcher à peu près droit.
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Ses considérations:
"Erudimini qui judicatis terram, et nunc, reges, intelligite."
"Entiae non sunt multiplicanda praeter necessitatem."

Sa devise:
"Carpe diem, quam minimum credula postero."
Lenada
Lena avait vu la scène de loin, elle savait que son ami était mort, elle le pleurait comme on pleure un proche. Mais elle ne voulait pas montrer son chagrin devant tout ce monde, surtout que certains n'étaient pas sincères.

Elle avait déja fait ses adieux à Rampa, celui - ci lui avait dit que sa fin était proche, elle maudissait les Rusés ceux par qui son ami était mort, pas par leurs armes il est vrai mais par leurs coups bas, mais ils n'étaient pas les seuls à avoir accélérés la mort de Rampa, lui enlevant le gout de vivre, il y avait aussi des amis proche de Rampa.

Elle fut distraite de ses pensées par une voix qu'elle aurait reconnu entre toutes
Nifl!!! comme elle le surnommait juste pour elle


Citation:

Dame Lenada, je m'apprêtais à partir.


Elle releva la tête et noya ses yeux dans les siens

Merci de cette soirée Messire, même si elle se termine mal pour Rampa, je fus heureuse de cette courte danse qui m'a fait voir que je n'étais pas trop rouillée.



Elle lui sourit


Qui sait .... nos routes se recroiseront peut être bientôt ou peut être pas, l'avenir nous le dira.

Bon retour chez vous Messire et au plaisir


Elle le regarda s'éloigner,puis se relevant elle alla chercher sa monture pour rentrer chez elle.

Adieu Rampa!!! Adieu mon ami, tu resteras à jamais dans mon coeur

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Verbam
Le vicomte se promenait entre les tables, goûtant ici un vin, et là un met.
Tout a coup des cris, des gents courraient, s’amassaient, pleuraient.
Des voix, des NON; des prières, des ordres.

Il s’assit au bout d’un banc d’une table désertée, prit la bouteille a sa porté et la vida d’un trait.
Il le savait mais ne voulait pas le croire, cette histoire avec le Languedoc avait anéanti Rampa, ils en avaient parlé ensemble, verbam voulait croire qu’il surmonterait, mais il avait comprit aux allégeances en refusant cette seigneurie qu’il avait pourtant tant attendu, que tout était fini.

Le vicomte dégaina son épée et la planta sur le banc entre ses jambes, symbole dans cette position de la le croix de Christos et récita le credo a voix haute.

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Nazzgrel
Le tacot était là au milieu de tous et au milieu de nulle part... La mort de Pignon avait jeté les têtes brulées dans des batailles inconnues jusqu'alors.

Il revenait de Solothurn pour présenter les hommages des unités de l'Est au vieux Commandant froid comme une vodka... Il traversait depuis des jours les vieux duchés.

Il c'était retrouvé a ce spectacle par hasard, il avait cru reconnaitre la journaliste qui avait accompagné les chefs du centre pour visiter le sud et les compagneros Catalan...

Il fut surpris de voir la dame s'en prendre a l'hôte de la fête... en écoutant les mots de la femme, le tacot compris vite qui était l'homme qui semblait si hautain et vil...

Il fut témoin d'une scène de mépris assez repoussante, autant que l'âme de ce messire rampa, pensa t il frustré de ne pouvoir intervenir...

Le tacot était encore sur l'amer de la situation entre Rampa et la Journaliste, quand deux anges entrèrent par la cheminée...

Raye mon bar et Pierre Richard, précédant l'archange Gabriel lui même...

Comme tout Tacot, Nazzgrel pouvait voir et tutoyer les anges, un cadeau de la divine boulasse a ses enfants les plus fidèles... et qu'elle fut sa surprise en voyant l'archange donner des directive de la main gauche aux deux autres.

La main gauche était signe de Justice Divine, et le coeur de Nazzgrel bondit dans sa poitrine.

Il s'adossa haletant contre le mur en espérant que quelque chose de Juste se passe !

Raye mon bar fila vers le haut et pointa du doigt u endroit de la salle...

Pierre Richard une chausse noire et un bas jaune virvolta jusqu'a l'endroit désigné par son acolyte.

Nazzgrel suivait du regard la manœuvre, en priant que quelque chose se passe Nom d'un Pi !

Et tout a coup le Miracle ! Ô Justice Divine ! Ô Amour des Tacots ! Ô Diadème de Beuveries posé sur le front de la Tacoterie du vieux Pi !

Pierre Richard venait d'attraper un pan du manteau du scelerat Rampa et le tenait divinement , tandis que Raye mon Bar poussait avec son gros ventre un empilement de tonneau sur l'inique rat des caves de Bourgogne...

Et Vlan !

Nazzgrel s'éclaira de dedans et sourit avec félicité. Il n'attendit pas la fin pour sortir discrètement par une fenêtre dérobée...

Il faut une fin pour tous, même pour les plus pourris d'un royaume *hips* oups hein ?
, entendit Nazzgrel de la bouche de l'Archange Gabriel, alors qu'il filait dans la nuit vers Macon...

La Justice Divine allait rendre coups pour coups aux tueurs du vieux PI...
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