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[RP]La Salle des Doléances.

Maelie
Maëlie avait entendu dire que le Comte s'était exprimé en salle des doléances, fait assez extraordinaire car en vérité, on le savait plus souvent absent qu'autre chose... Bah, le Languedoc était peut-être habitué à être dirigé par des gens qui n'avaient pas peur de s'exprimer publiquement autrement que par des arrêtés impératifs et glorificateurs ou des courriers mensongers. Ses sourcils se froncèrent à cette idée... Elle salua Jhaampe, dont elle entendit la fin du discours.

Adissiatz. En vérité, vous soulevez là le coeur du problème, mon ami. Le Comte - et non le Comté, évidemment - prend tout et ne donne rien. C'est très précisément sa façon de voir les choses, en tous les cas c'est ce qu'il m'a été donné de comprendre.
Une armée qui devrait s'occuper elle-même de financer son fonctionnement... Ne serait-ce pas une armée de mercenaire, dans ce cas ? Ou mieux ! Une armée franche ? Qu'est-ce qui lui donnerait légitimité pour agir au nom du Languedoc ? N'est-ce pas diviser plus surement pour mieux détruire ? N'est-ce pas parfaitement contraire à l'unité du Languedoc ? Je réponds que si, sans le moindre doute.

Un Comte qui exige que l'on obéisse et que l'on remplisse aveuglément sa part d'un contrat de loyauté qu'il n'honore pas. Un Comte qui se sert sans vergogne de ce qu'il dénonçait pas plus tard qu'aux élections : recourt à la Pairie, recourt au Codex et à ses lois, criant leur nocivité pour mieux les manier à son profit. Mieux, un Comte qui agit comme un rebelle, tentant de soulever les Languedociens en catimini là où il est sensé regner en maître. Un Comte qui n'agit pas vraiment comme un Comte qui veille au bien de son Comté et de ses habitants...
En vérité, voilà bien ce que traverse le Languedoc. Reste à savoir si les Languedociens souhaitent cet état de fait, où rien ne les protègera plus d'une valse de changements et de brisures, où rien n'assurera plus la loyauté des uns et des autres à l'indivisible Languedoc. Cela est peut-être la norme ailleurs, mais le Languedoc ne connaissait pas cela, et j'ai l'audace de dire que les valeurs du Languedoc lient aussi fortement le peuple au Comte que le Comte au peuple. Le bonheur n'est pas dans la destruction, mais dans la stabilité, ce que les nouvelles décisions Comtales ne peuvent pas apporter, ni ponctuellement, ni durablement. Et je dis bien stabilité, et non immobilisme, ce qui est totalement différent.
Le Comte dit vouloir instaurer une république : quelle bizarrerie, alors qu'il se réclame lui-même du pouvoir de souverain et exige l'obéissance absolue des languedociens... Le Languedoc, jusqu'ici, était une terre où le peuple avait autant à dire que le Comte et le Conseil et où le Comte avait un engagement moral envers son Comté. Temps révolu, à ce qu'il semble.

Si je me trompe, et si le Comte a déjà donné du concret au Languedoc pour justifier de la loyauté de son peuple, autre que cette nouvelle phase de déchirements nauséabondes qu'il alimente avec une maestria consommée, alors je louerai le Très-Haut et reconnaîtrai mon erreur. Car j'ai été de ceux qui ont reconnu que le Languedoc devait cesser ses déchirements, et j'ai été de ceux qui ont cru à une nouvelle ère. Que le ciel me pardonne ma naïveté...

Il eut peut-être été plus sage de ne point exiger trop fort, en démontrant aussi brillamment une parfaite méconnaissance du Languedoc et de ses valeurs qui, bien heureusement, ne résident pas uniquement dans son Codex...


Elle plissa les lèvres en une moue ironique en songeant au mépris que le Comte avait si souvent affiché pour la langue d'Oc et pour son peuple, dont il avait moqué la bêtise devant elle, mais jamais assez fort pour que le peuple puisse l'entendre...
Oui, elle avait été bien naïve de croire en Ryllas, et il lui avait fait le cadeau de lui ouvrir lui-même les yeux en choisissant de la traiter comme une ennemie qu'elle n'était pas alors.

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PC HS !
De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
Maelie
Le temps passait, inégal pour chacun, mais impitoyable. Ainsi, bien que personne ne réponde à sa dernière prise de parole - mais y avait-il quelque chose à répondre ? - Maëlie salua tous les présents et se retira pour retourner aux choses du quotidien.
La politique, ça occupe, mais ça ne nourrit pas son homme. Ou sa femme, en l'occurence. Déjà, d'autres pensées, nettement plus festives et agréables, occupaient son esprit lorsqu'elle disparu par l'embrasure.

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PC HS !
De l'art de recevoir...
Occitania per totjorn !
Amor
Amor entendit le discours de la Dame.

C'est bizarre de parler d'Unité du Languedoc quand vous avez voté pour la prise de Lodève pour des motifs illégaux et personnels contre les intérêts du comté...

C'est bizarre de ne pas vous entendre vosu exprimer contre la révolte de Narbonne qui est elle illégale mais conduite par vos amis...

C'est bizare de ne pas vous avoir entendu contre la guerre au Rouergue qui a été une idiotie sans nom et qui a ruiné le comté...

C'est bizarre de vous entendre parler du Coms quand on ne vous a pas entendu parler de la dictature d'Enduril qui a mené le comté au désastre...

C'est bizare de vous entendre parler de lOst quand on ne vous a pas entendu parle d'Exat qui est payé par le comté et qui ne dépend pas du Conseil...

Mais vous faites bien de retourner travailler car de toute manière la majorité des gens savent bien ce que vous valez en terme d'honnêteté intellectuelle et d'impartialité...


Amor repartit sans même attendre la réponse car ces gens-là avaient tellement la mémoire courte et n'avaient travaillé que pour leurs intérêts personnels qu'il ne s'attendait pas à ce qu'ils changent d'avis.

Que le règne de la magouille reprenne ses droits au Languedoc! Vous aurez votre chance! Vous avez déjà été annoblie pour sans aucune raison valable, peut être aurez vous droit à une médaille la prochaine fois...
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Bentich
Ben revenu de Provence passa dans la salle des doléances quand il entendit Amor parler de magouilles. Il éclata de rire en entendant celui qui se faisait de l'argent sur le dos des Languedociens,En effet en Provence on lui avait expliqué certaines choses sur la participation de celui qui se faisait passer pour le sauveur à la Grocom.

Ha mais j'entends que vous n'avez pas changez, et comme magouille la présence d'une armée de Languedociens envahissant la Provence, vous l'expliquez comment ???

Citation:
Désolé, messieurs dames, le temps que la crise soit fini, les frontières sont fermées. En effet, il y a 5 armées qui tue tout se qui bouge en Provence, il vous est donc fortement déconseillé de vous balader dans notre Comté.


Le Coms est le chef des armées vous faites parties du Conseil, vous avez crachez sur les anciens conseils au sujet du Rouergue, mais vous faites le même avec la Provence qui ne nous a rien fait. Alors du point de vue magouille vous vous placez la, et la Grocom cela ne vous dit rien non plus peut être, votre réputation a déjà passer les frontières

Alors maintenant les Languedociens attendent vos réponses à cette question


Ben attendit patiemment la réponse
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Mazarin
Un vieil homme à l'air suffisant et odieux tout à la fois entra dans la salle des doléances. Richement vêtu de brocard piqué d'or et d'argent et d'étoffes si luxueuses qu'elles insultaient la vue de n'importe quel honnête homme. Une bourse ingénieusement montée tinguelineguait à chacun de ses pas, comme un appeau à miséreux. Il avança jusqu'au milieu de la pièce et vocifera

C'est un scandale !!! Quelle est donc cette contrée de malappris et bouseux qui n'honore même pas un homme de ma qualité par un accueil digne sa grandeur. Voilà deux jours que j'erre dans ce comté et rien ! Pas une invitation à une partie de croquet, pas de réception au château, où sont les petits fours et les liqueurs fines, où sont les courtisanes à la gorge généreuse et au comportement licencieux ?
J'exige de voir le Comte séant immédiatement, qu'il se jette à mes pieds pour implorer mon pardon !
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Aimez moi les uns les autres !
--Aristide


Aristide vient en courant de la salle du Plaid pour voir le Maréchal Bentich. Il manque de bousculer un homme qu'il n'a encore jamais vu dans le comté, et hausse les épaules.

Faudrait que vous soyez connu dans le Comté, faites comme les autres, prenez un billet ! Sur qu'un voyageur peut pas connaître toutl'monde. Déjà que c'est dur pour nous z'otes !

Puis il se dirige vers le Maréchal.

Bonjorn Maréchal. Damoiselle Majda me dit que ...
et de chuchoter à l'oreille de Bentich, répétant mot à mot les mots de Majda.

Excusez, j'vous laisse. Je l'ai laissé seule avec le promis.


Bon, seule oui, mais dans une salle bondée de monde, il abuse juste un peu, mais se sent vachement méga super important de pouvoir être partout avec sa maîtresse.
Bentich
Ecoutant Arsitide avec attention, il lui fit signe de ne pas s'inquiète et qu'il allait venir voir la jeune fille.

Quand un énergumène entra et fit une litanie incroyable

Ben le dévisagea et sourit


De un pour votre gouverne dans notre comté on se présente, c'est la politesse que cela s'appelle, mais vu votre façon de vous comporter vous ne devez pas connaitre ce mot, nous avons d'excellent professeur de langue moderne qui pourrait vous donner des cours.

De deux si vous voulez voir le Coms, vous faites comme tout le monde, et surtout comme les nonnettes de notre couvent, chacun sont tour comme à confesse.

Ici l'argent ne donne pas de passe droit, ici on a le respect d'autrui, enfin avant l'avènement du messie et de ses caniches bien sur et comme vous parlez de croquet vous devez surement être un des disciples de celui qui se croit élus par Aristote, et pour les réceptions commencer déjà par respecter le comté qui vous accueille

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--Leserviteur


Un des nombreux et respectés serviteurs évoluant dans les tumultueux couloirs du château, se rendait à la salle de doléances, afin d’alléger l’attente des différents languedociens présent, en leur apportant ses services.
Alors qu’il se rapprochait à vive allure de cette pièce tant convoitée en ces temps troublés, le serviteur croisa un bien prétentieux personnage aux limites insultantes. Il vociféra quelques mots dans le vide, puisque les rares personnes présentes, à part le dévisager, ne lui prêtèrent que très peu d’attention. Le serviteur lui adressa donc la parole avec courtoisie, afin qu’il apprécie la bonne hospitalité imposée par le comte.


Hum...bonjour Messire !

Lança t’il d’une voix suave.

Se dandinant comme un bouffon, il répondit au représentant en bibelots.


Messire, vous vous êtes très certainement trompé d’endroit !
La foire comtale se passe ailleurs, on vous aura très certainement mal orienté !
A moins, que…


Se rendant compte de sa bévue, il se reprit.

Oups, vous vouliez peut être vous agenouiller devant le messie ?
Il fallait juste apporter un chandelier et non vous transformer comme tel ! Un Illuminé, il n’y en a qu’un seul et avant qu’il ne se jette à vos pieds pour les baiser, de l’eau et des vagues entières auront coulé sous les ponts, à moins que notre comte se prenne pour une serpillière ! Mais j’en doute !


Prenant un air déconcerté, il cachât un instant son visage sous sa main pour exprimer de la pitié face à cette situation burlesque, frisant le ridicule, mais , quand il retira les doigts de son visage, il ne pu se retenir de glousser. Le pauvre homme légèrement empoter, pour ne pas dire enrobé d’un gras disgracieux, secouait en tous sens ce qui ressemblait plus a des imitations de pierres précieuses, qu’a une parure dorée. Le faible scintillement reflétait la lumière, s’apparentant à une flamme de chandelier.

Sachez que le Messie ne trouvera pas le temps de jouer avec vous, beaucoup trop occupé en ce moment à régler ses affaires politiques et militaires !
De toute manière, lui, c’est le criquet qui le passionne !
Permettez que je vous raccompagne, à moins que …à moins que…
Pardonnez-moi, je n’avais vraisemblablement pas saisis tous vos dires, vous chercher le chenil bien sur !
Les « croquet » sont devant la niniche à son pépère !
Venez ! Cette fois vous allez trouver votre bonheur !


Lui chuchottant à l’oreille, le serviteur toujours courtois, lui glissa quelques recommandations.

Baissez la tête dans la gamelle, et profitez de cet instant magique, elles sont confectionnées par nos meilleurs artisans, mœlleuses et savoureuses, elles sauront vous apporter dynamisme, joie et vitalité !
Le comté et notre bon comte Ryllas, mettent un point d’honneur à garantir tous nos produits pour l’exportation !
N’hésitez pas a nous retourner le petit formulaire, s’il y avait de votre part, une quelconque réclamation !


Puis, reprenant d'une voix audible.

Merci de votre venue et maintenant continuez votre chemin, des gens attendent de formuler leur doléance à celui qui guident leurs pas !
C’est un lieu de travail ici et la fête organisée par le comté n’a pas encore débutée ! Si toute fois, nous avions à faire appel à un « amuseur de service » laissez vos références à « l’accueil » et j’en ferais part à son infinie grandeur Boniface Ryllas.


Le serviteur fit un grand sourire aux convives déjà présent et légèrement importuné, en leur faisant de gros yeux clownesques pour imiter l’hurluberlu, arrivé par mégarde à leur côté, puis, discrètement , il disparu dans le dédale de couloirs.
Mazarin
Mazarin resta un moment interloqué

Voilà donc ou en est arrivé ce Comté, les laquets se comportent comme des faquins, prenant exemple certainement sur l'indiscipline des militaires et la dépravation de la noblesse locale. Voilà ce qu'il se passe inévitablement lorsque que la médiocrité prends racine en un duché. Enfin, l'impudent a déguerpi ventre à terre avant que je ne puisse le corriger comme il le mérite...
Puis Mazarin marmona en quittant la salle
Sot mais pas fou, c'est toujours ça... Ryllas va m'entendre, il me donnera la tête de ce malandrin.
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Aimez moi les uns les autres !
Laurine.
Ca faisait plusieurs jours que Laurine digérait mal... Constamment sur les routes pour se rendre compte de la situation par elle même, tournée des ports, remparts, tavernes et autres, tout ca ne favorisait pas une alimentation équilibrée. Et qui dit mauvaise digestion dit quasi systématiquement nuits agitées, rêves loufoques, sans queue ni tête, cauchemars même.

De plus la fatigue accumulée la faisait s'endormir un peu n'importe où, comme là en salle de doléance où elle était passée pour voir si des languedociens avaient été plus informés qu'elle sur différents sujets. Mais les discours lénifiants l'avaient rapidement endormie et un petit sourire lui vint aux lèvres. Comment mieux décrire les rêves qu'elle faisait que par une gravure.




Mais peu à peu son sourire s'estompa, les images distrayantes s'étaient muées en cauchemar atroce...



Elle se réveilla en poussa un grand

Noooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnn !!!

et se trouva face à face à la version angevine du Canichus simplex rencontrant sa déclinaison Lodevoise.

Elle sorti en titubant et en répétant,


ce n'était pas un rêve,ce n'était pas un rêve,ce n'était pas un rêve, ce n'était pas un reve,ce n'était pas un rêve,

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Lengadòc per totjorn !
Gigagil
Avant du quitter Montpellier, Gigagil parcourt les annonces comtales.

Effaré, il relit pour être sur d'avoir bien compris.

Il réfléchit et cherche quel animal de la basse-cour est le plus stupide,
puis il cherche parmi les autres animaux de la création ...

Finalement,un sourire désabusé entrouvre ses lèvres.



Plus écervelé qu'une poule, il n'y a que les coq Ryllas !
Erratum
Dona, messer du conseil,

Je me permets de venir à vous pour exprimer mon inquiètude. Oh il ne s''agit pas de moi. Bien que je vois à aujourd hui, aucun nouveau cochonet venir à mon étable depuis lundi. Déja la semaine dernière, c'était la même chose, mais cette fois _ci, je sens que le retard sera plus grand pour recevoir une nouvelle bête à engraisser.

Je viens pour parler d'une rencontre qui m'a assez secouéé. Comme vous l'avez compris, le gras du cochon permet d'assurer les temps de disettes. Donc, j'étais en train de boire une tisane bien chaud. Bah oui en ce moment, il fait froid dehors. Donc peinard, voilà qu'un jeune alaisien arrive. Le connaissant de vue, on discute et là. Il m'annonce:

Les deux mines sont fermées aujourd huis, je fais quoi?
Je n'ai pas de caractéristique, je ne peux être embauché pour les offres d'emplois.
La seule chose qu il me reste pour ne pas crever de faim comme un chien errant, c'est de cueillir des fruits.

Mon indignation n'a fait qu 'un tour quand il annonce le prix de son labeur. 10 2cus par jour. C'est sûr un jeune comme lui, il n'a pas de grande echelle et pas beaucoup d'expérience (intelligence) pour trouver les meilleurs fruits.

Je vous prie , dona et messer du conseil, d'ouvrir au moins une mine à alais au plus vite car ce jeune comme beaucoup d'autre sûrement maigrissent.

Merci d'avoir pris le temps de m'écouter mais surtout faites le nécéssaire au plus vite.
Bazin
Messire,

Votre question s'adresse à Son Excellence la Conseillère Enduril du gouvernement de régence du Comité Insurrectionnel. Elle est en charge des mines.

Il semblerait cependant que la fermeture des mines ne correspondent pas à un besoin technique. Aussi je vous suggère d'attendre la réponse de Son Excellence Enduril car vous n'êtes pas le seul à vouloir des explications.

A votre service,
Son Excellence le bon Juge Bazin
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Berger du peuple
Ryllas
Ryllas qui passait par là et qui avait entendu la demande continua son chemin son répondre. Puis il se ravisa, fit demi-tour :

Il s'agit d'une décision unilatérale du commissaire aux mines.
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Coms félon renversé mais toujours Messie du bon peuple languedocien... en toute simplicité.
Bazin
Ryllas passant à sa hauteur, Bazin compléta la parole messianique

Voyez-vous, messire, il semblerait que certains veulent reconquérir leur pouvoir perdu avec l'élection de AIR. Ils n'hésitent alors pas à donner le meilleur d'eux-même - c'est une façon de parler bien entendu - pour mettre le Comté plus bas que terre. Ils pourront alors se présenter en sauveurs et diaboliser le Comte Ryllas et le régent Mazarin.

Il n'est pas insensé de penser que la décision de Son Excellence Enduril n'est pas étrangère à ses plans politiques. Peut-être, on peut le supposer, qu'elle souhaite couper les vivres au conseil de régence. Que cela se fasse au détriment de la population, c'est ce que l'on appelle un dégât collatéral.

Le maire de Narbonne et de Nimes usent de telles méthodes depuis quelques semaines déjà en ne livrant plus les quotas de céréales nécessaires au gouvernement.
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Berger du peuple
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