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[RP]Eglise Saint Martial de Châteauroux (+ annonces de Rome)

Pherea
Pherea écouta avec attention Theodomir et reçue la bougie de son parrain et la médaille des mains du curé. Elle fit un gros bisou à son amie Fifi pour la féliciter puis se retourna vers l’assemblée pour constater que l’église n’était pas bien remplie ! Peu importe, elle avait reçu missives de ceux qui n’avaient pu être présents et les félicitations, appuyés d’un doux baiser, de son fiancé qui était à ses côtés. Après quelques mots échangés avec le Duc, elle alla saluer ceux qui avaient fait le déplacement pour assister à la cérémonie : Clelala, Rhiana, le maire Gilgaalad ainsi qu’une dame et un messire inconnus.
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Rhiana
Rhiana s'approcha de Phé et Fifi et les félicita

Félicitations à toutes les deux , qu'Aristote guide vos pas

Elle leur donna un bisous à toutes les deux et laissa la place au autres

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Fildais
La jeunette fut heureuse d'être enfin baptisée, la bougie d'une main et de l'autre sa médaille, embrassa sa Phéfounette, puis son parrain, émue par cet instant qui ne c'était pas vraiment déroulé comme elle le souhaitait, elle se tourna vers ceux qui avaient assistés aux baptêmes, ses yeux fouillèrent l'assistance peu nombreuse et trouva l'homme installé au fond de l'église, lui sourit et lui fit un geste timide de la main, puis salua et remercia ceux qui était venu la voir dans son grand jour.
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Soeur en Deuil
Apprentie Dame Blanche, femme-lige de la Baronne Bitterly. Mie de son pain.
Theodomir.
Théodomir était toujours heureux de voir les gens si heureux que ce soit pour un baptême ou un mariage. Il restait là tout souriant et passablement calmé quand il se souvint qu'il fallait qu'il parte prestement.

André ! lança-t-il à son organiste Vous me nettoierez ça pour mon retour ! Merci !continua-t-il en montrant le bazar de l'autel.

Il se dirigea ensuite vers le Duc de Berry.


Excusez-moi de partir de la sorte après une si belle cérémonie - enfin presque -, Duc ! Je vous remercie en tout cas de vous estre déplacé.
Il salua respectueusement le Duc puis se relevant s'adressa aux fidèles Je dois partir pour l'heure, veuillez m'excuser d'une telle fin de cérémonie de la part de l'officiant mais d'autres affaires - moins agréables - m'attendent en Bourgogne ! Pax Vobiscum, mes frères et restez dans le chemin de la Vertu !

Un homme barbu et basané d'une cinquantaine d'années attendait à la sortie de l'église, Slimane, un des valets du domaine de Ciel dont les origines s'expliquaient par les origines même de la mère de Théodomir : Une Al-Liyhan Mutansir.


Les chevaux sont prêts, baron dit-il.

Le Hennfield acquiesça et après un hennissement de cheval et quelques bruits de sabots, le calme revint sur un Châteauroux endormi.

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Théodomir de Hennfield
Baron de Ciel
Sacristain de Châteauroux
[Bannière et blason en restructuration]
Georgepoilu
Après avoir remis la bougie à pherea George échange quelques mots avec elle, sans vouloir l'accaparer car els invités l'attendaient

c'est à ce moment là qu'il entend les paroles du père theodomir


Merci mon père, et bon voyage en Bourgogne. Revenez nous vite, les castelroussins sont frainds de vos messes
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Petitjehan
L’homme entra dans l’édifice religieux un billet à pigeon à la main…Il en connaissait par cœur chaque mot chaque syllabe… « Votre fils, Gabriel, décédé St Aignan …» le reste importait peu l’essentiel était là.
Il s’appuya à un pilier autant pour soutenir cette douleur qui étreignait son cœur que pour y trouver un quelconque réconfort spirituel.

Pourquoi ?
Pourquoi lui ?
Qu’avait-il fait cet enfant d’à peine une dizaine d’années ? Son Gaby – Gabriel..- pour le commun des mortels.
L’homme revoyait cette nuit de juin où il avait aidé, celle devenue depuis son épouse, à mettre au monde un enfant qui ne bougeait pas.
Il avait tenu cet enfant et par un miracle qu’il ne s’expliquait pas avait su ou pu faire les gestes ramenant l’enfantelet à la vie.
C’est à ce moment précis que cet enfant était devenu son fils…

Des pleurs ruisselaient sur le visage de l’homme sans qu’il s’en rende vraiment compte car des images se bousculaient dans sa tête des images de bonheur jusqu’à ce jour maudit où il avait décidé de confier l’enfant aux pères de Nevers pour parfaire son éducation…L'enfant avait alors cinq ans et déjà le suivait partout montrant d'énormes facilités d'apprentissage...

Il se sentait coupable.
Coupable d’avoir éloigné ce fils, coupable de ne pas être venu avant le récupérer sacrifiant à son travail pour son Comté le temps qu’il aurait du consacrer à cet être qui faisait sa fierté d’homme et qui promettait de devenir un être de qualité.
Coupable d’avoir laissé son épouse partir seule chercher l’enfant, coupable d’avoir tardé à se précipiter les rejoindre…

Son esprit vacillait tant sa peine prenait le dessus…

L’homme se laissa tomber à genoux le long du pilier et plié en deux laissa s’écouler son chagrin…

…[quelques heures plus tard]…

Les larmes avaient séchées il n’en avait plus…
La douleur persistait et serrait ce cœur comme une main gigantesque comme pour lui interdire d’oublier.
D’une voix qui rebondissait sur les murs de l’église il prononça une prière…la seule capable de le soutenir en ces moments, la seule capable de lui éviter de devenir fol.


Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Éternelle.

AMEN


Après avoir prononcé ce crédo, il se relève et rabattant sur sa tenue sa cape blanche frappée de la croix hospitalière s’en va d’un pas lourd rejoindre la voyageuse qui l’accompagne et à qui il doit annoncer qu’elle vient de perdre un petit-neveu.
Quand à lui il ne serait pleinement convaincu de cette perte qu'en voyant la dépouille de son fils. Ils allaient donc poursuivre leur voyage coûte que côute

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Chancelier du Poitou

Vicomte d'Olonne
Minlawa
MESSE DU DIMANCHE 19 avril 1457



Le père Minlawa, arrivé en retard, arriva un tantinet essoufflé à l’office, au dernier moment et c’est un peu inquiet qu’il entra dans l’église. Puis après s’être habillé, le prêtre, s'avança vers l’autel

Mes biens chers frères, fidèles Aristotéliciens.
Bienvenue en cet office, qui comme vous le savez, est l’occasion les mercredi et dimanche, entre fidèles aristotéliciens, de partager un instant de spiritualité et de convivialité dans la communion de l'amitié aristotélicienne. Mais avant de partager ce moment ensembles, il faut nous repentir de nos pêchés.

Oremus :


Citation:

Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints avec une âme pure, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime.
Qu’il en soit ainsi

Après un court moment de silence, le prêtre, revint vers les fidèles, pris l’allée centrale et se dirigea vers la vieille chaire. s’approcha de la lisse et entreprit de s’adresser aux Fidéles.

Mes sœurs, mes frères,

Il y a ceux qui parlent, parlent et reparlent encore.
Nous les voyons partout.
Parfois mêmes affichent il leurs idées sous plusieurs halles en même temps sans respect du très Haut qui n’aime pas bien cette sorcellerie !
Ils sont connus, reconnus, très connus et leur notoriété devient telle que parfois ils sont pris pas le commun pour des gens importants.
Puis il y a ceux qui oeuvrent, travaillent, transpirent et ahanent sans avoir le temps de se montrer. A tel point que nous finissons par oublier même qu’ils existent. Alors qu’ils nous nourrissent parfois.

Réfléchissez mes frères, ouvrez les yeux mes sœurs et ne vous laissez plus abuser par le vent.

Rien ne sert de croire que ceux qui se montrent et crient leur travail, sont ceux qu’il faut croire.
La vraie œuvre est discrète et souvent silencieuses. Alors un mot méfiez vous de ceux que l’on voit trop !

Paroissiens, paroissiennes, redisons cette prière :


Clelala
Ils entrèrent dans l'église en famille et s'alignèrent dans les bancs.....ils écoutèrent en silence et recueillis la messe....Ils récitèrenet la prière


Je crois en christos.......



La prière terminée il squittèrent l'église en silence.....pour rejoindre leur chaumière
Prout.89
Prout etai entré une fois dans une eglise... pour l'enterrement de sa mere. Il n'en avait jamais gardé bon souvenir. Mais aujourd'hui, Dimanche il voulait voir une messe. Il ecoutait les paroles du pretre, qui etait dans un habit de forte valeur. Puis avant la fin de la priere, il se leva et il prit la porte... Decidement l'eglise l'insuporte!
Marilou133
marilou etait arrivé avec son époux et leurs enfant à l'église ,la veille au soir elle avait promis de venir à la messe du dimanche .

la messe fut belle et les enfants l'apprécièrent tout autant qu'elle et clé .
a la fin de la messe clélala pris les enfants pour retourné dans leur chaumière,marilou demanda la permission de s'attarder un peu plus longuement ...

elle s'agenouilla sur le prie dieux en ferment les yeux et murmura une prière pour feu son parrain ,feu meian_lo,feu halex ,que aristote les garde pret de lui et continua à la guider sur le chemin de la foi.
se relevant ,elle alla allumer un cierge pour eux ,puis fit une petite prière ,a l'attention de son filleul joey qui aller recevoir le baptême et entré dans la grande famille aristolienne.

se signant elle quitta l'église heureuse
--Nihcolle




*ssssssssssssnnnnnnnnnnnnnnnirrrrrrrrfffffffffffflllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll*

Oo Oh ! Mais non ? Ce n’est pas possible ? Ce n’est pas elle
*

ssssssssssssnnnnnnnnnnnnnnnirrrrrrrrfffffffffffflllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll
*

Une petite silhouette se détache sur l’entrebâillement de la porte de l’église. Haute comme trois pommes, chétive et toujours aussi sale, la Peste castelroussine venait de faire son grand retour à Châto. De ses petits bras malingres, elle poussa avec difficulté la lourde de porte de chêne de la Maison du Seigneur. Au milieu de la nef, un livre des vertus gisait sur sa face intérieure, livre saint négligemment oublié. Quelques pigeons avaient élu domicile à l’intérieur de l’édifice. Certains nichaient dans les combles et les plus audacieux sur les statues de pierre. Le temps avait fait son œuvre dans l’église vide et la poussière recouvrait les bancs de bois autrefois lustrés.
La mioche muée par son perpétuel désir de faire suer le monde courut dans la nef afin de faire s’envoler les quelques volatiles qui étaient posés sur le sol. Le battement d’aile des pigeons raisonna dans l’église, arrachant un sourie narquois à Nih Colle car c’est bien d’elle dont il s’agit. Ses gros yeux toujours aussi globuleux tombèrent sur le confessionnal qui semblait mourir de solitude. Hum ? Voilà qui intéresse la petite. Traînant ses chausses dans la poussière, elle s’approcha de la construction de bois. Curieuse comme tous les
enfants, elle glissa sa frimousse crasseuse et espiègle à l’intérieur.

Z’ai trouvé ma maizon ! s’écria-t-elle avant de prendre place dans la partie la plus confortable du confessionnal. Endroit d’où généralement partaient toutes les rumeurs.

*ssssssssssssnnnnnnnnnnnnnnnirrrrrrrrfffffffffffflllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll*


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Comme la glue, je ne décolle pas...pprrrrrrrrrrrr
Frereroger


Le vieux roger passa en coup de vent avec une affiche et un pot de colle.

Citation:
    Annonces aux fidèles du diocèse de Bourges


    Conscient que des difficultés d'ordre matériel ont compromis la célébration des sacrements dans certaines parties de l'archidiocèse de Bourges, le clergé est en train de se réorganiser sous la houlette de nostre Archévêque bien aimé monseigneur Verty et à redoubler d'efforts pour mieux diffuser la foi et transmettre le message de Dieu auprès des fidèles.

    Conscient de cet état, nous prenons donc la plume en ce jour pour communiquer aux fidèles de pertinentes informations sur les sacrements de l'Église Aristotélicienne.



      Le Baptême


    Les fidèles du Berry doivent savoir qu'en vertu du Droit Canon, ils doivent, préalablement au baptême, avoir suivi une pastorale.

    La pastorale est un enseignement qui permettra au croyant de mieux comprendre le dogme et les fondements de l'Église Aristotélicienne.

    Chef de file en la matière, la province de Bourges organise des pastorales communes. Les fidèles sont invités à se rendre à l'archevêché et à s'inscrire à une pastorale.

    L'abbaye Saint-Arvnald de Noirlac donne elle aussi un cours similaire de très grande qualité.

    Seuls les fidèles ayant suivis une pastorale et pouvant l'attester seront baptisés. Les fidèles responsables doivent s'organiser et prendre l'iniative. Ainsi, ils déchargent leurs pères d'un travail de suivi ennuyeux.

    Le travail des clercs est ainsi grandement facilité, et le fidèle s'assure d'une réponse rapide.


      Le Mariage


    Toujours selon le Droit Canon, 15 jours avant le mariage, les futurs époux doivent publier les bans.

    Les bans sont des documents indiquant le nom des époux, la date, lieu, l'heure du mariage ainsi que le nom du célébrant. Une fois publiés en halle ou gargote, commence 15 jours de fiançailles.

    Les berrichons doivent aussi savoir qu'il existe une loi sur les mariages et les dots.

    Si les bans n'ont pas été publiés, ni le délai de 15 jours respecté, il est inutile de demander à recevoir le sacrement du mariage.

      Autres


    Pour tout autre demande (consécration de chapelle nobiliaire, funérailles, etc), mieux vaut se rendre directement au bureau diocésain pour nous présenter votre requête. Là, nous vous guiderons.


    Finalement, pour terminer, nous nous permettons de vous rappeler qu'il est toujours plus pratique de voir directement avec son diacre ou curé, une fois la pastorale suivie ou les bans publiés, que de demander à un autre clerc de célébrer.

    Puis, si vous avez une question, ou voulez seulement recontrer les clercs de l'archidiocèse, une seule adresse, l'archevêché : http://cathedrale-clermont.lightbb.com

    Amen, Dieu Garde le Berry.


    Monseigneur Roger, seigneur de la Vicomté de vierzon, abbé de Noirlac
    présumé futur Chapitrain In Gratibus & chargé diocésain de la Doctrine



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Frereroger
Le vieux Frère Roger repris son bâton de pélerin pour visiter à pied le Berry. Le vieux Roger laissa un message sur la porte de l'église.

Si vous avez besoin d'un clerc diocésain pendant mon voyage en Berry, envoyer donc moi un courrier.
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Payio
Le petit garçon marchait voilà depuis des heures sans but précis. Il érrait dans chateauroux trainant ses pieds nue dans boue et poussière. La tête basse, ses haillons de plus en déchirait, l'absence de bruit sous ses pas et son petit gabarit, le faisait passer pour un fantôme.
Marchant, sans voir où il va, bousculant les passants sans y prendre attantion, il finit par trébucher dans la première marche du parvis de l'église. Il leva la tête, se releva et examina cette drôle de bâtisse avec son toit pointu.
Il ne gravit pas les marches, il s'assit par terre au pied des marches, et fatigué, se reposa e, observant les oiseaux dans les arbres. Tout était calme, et personne aux allentours. Il passa des heures assis là ne voulant pas partir , étant émerveillé par le calme et la nature qui s'aoffrait à lui.
Fildais
Une forme empelerinée poussa le lourd battant de l'église, y pénétra dans le silence et la fraîcheur accueillante du lieu sacré. Moment d'apaisement et de réminiscence pour la Damoiselle qui après avoir soigneusement fermé la porte derrière elle et fait quelques pas, mit un genou à terre et se signa.

Forme fluette et guindée de sombre qui se glissa sur un des blanc à l'odeur de cire. La main hyaline retira la capuche laissant la cascade glougloutante blonde se répandre sur le tissu élimé et grossier de sa cape.

Le paquetage était terminé, il n'y avait que peu de détails encore à régler avant son départ. Un équidé camarguais à seller et à harnacher de ses provisions et armes.

La pèlerine aux yeux de perles azurines scrutait le vitrail, se plongeant dans les couleurs et les formes de celui-ci. La décision de ce départ ne fut pas chose aisée, abandonner son aimé au monastère, retarder sa rencontre avec son frère Efen, la petite soupira. Les mains se joignirent, le front se baissa et les yeux se celèrent pour rejoindre cet instant de paix et de prière.


Seigneur, je suis là, encore une fois, pour confier nos vies à toi.
Une fois encore, je pars sans crainte vers le combat.
Donne-nous force et courage, fais que notre épée ne tremble point.
Donne-nous la clairvoyance de distinguer le mal du bien.
Dirige nos gestes pour y apporter moins de souffrance et plus de justice.

Seigneur garde sous ton aile protectrice la vie de mes soeurs Blanches et de mes soeurs et frères d'armes, je te les confie en toute abnégation.


Fit une pause avant d'entamer sa prière coutumière, la voix toujours murmurante et les paupières closes.

Seigneur, dans le silence de ce jour naissant,
Je viens te demander la paix, la sagesse et la force.
Je veux regarder aujourd'hui le monde
Avec des yeux remplis d'amour;
Être patiente, compréhensive, douce et sage;
Voir tes enfants au-delà des apparences,
Comme tu les vois toi-même,
Et ainsi, ne voir que le bien en chacun.
Ferme mes oreilles à toute calomnie,
Garde ma langue de toute malveillance
Et que seules les pensées qui bénissent
Demeurent en mon esprit.
Que je sois si bienveillante et si joyeuse
Que tous ceux qui m'approchent
Sentent Ta Puissance et Ta Présence.

Amen


Ultreïa...


Fildaïs resta un moment là, n'écoutant dans le silence que sa propre respiration régulière et calme. Puis se releva, glissant d'un geste mut par l'habitude le capuchon sur sa blondeur, et repartit enveloppée dans son mutisme.
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Soeur en Deuil
Apprentie Dame Blanche, femme-lige de la Baronne Bitterly. Mie de son pain.
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