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[RP] La salle du trône

Allydou
Sentiment de fierté à le voir s’avancer vers le Comte, lui son oncle, le premier de ses parrains, celui qui a toujours été la.
S’il lui fallait une raison supplémentaire au plaisir d’être en ce lieu, maintenant, elle l’avait la sous les yeux, le voir recevoir la noblesse.
Un large sourire apparait sur ses lèvres, lui qui l’avait fait répéter il n’y a encore pas si longtemps, lui avait apprit les mots à dire, voila à présent qu’il les prononce à son tour, d’une voix claire, sans bafouiller.

Rapidement, pour ne rien rater de la suite, elle tourne la tête du coté de sa cousine, un petit sourire discret, la pensée qu'a continuer comme ça, bientôt la famille au complet serait au rang de la noblesse Poitevine.

Elle tente de camouffler un petit rire, imaginant les De Lisaran en file indiène devant le Trône, avant de reporter son attention devant elle, attendant que le Comte prenne la parole.

Fière oui, elle l’est, et trépigne d’impatience de pouvoir aller le féliciter.

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Esperenza
Elle, elle avait vu la patente, bah oui... normale car le jeu de clef de la herauderie se trouvait dans sa poche de la même manière que le heraut.

Alors il y a quelques mois, elle avait rencontré Eragon, oui ils avaient tout deux la même aspiration, devenir heraut... et c'est ainsi qu'elle avait finit par ne pas faire la demande pour le devenir mais qu'elle continuait à errer dans les couloirs au château donnant par ci par la un coup de main à Poitou, et de la même manière elle n'avait pas perdu l'habitude de se rendre aux endroit ou ceux qu'elle considérait comme des amis fêtait un grand jour.

Surtout que la, ben oui... elle était au courant avant, ben oui dans un premier temps au vue de la paperasse elle avait rit.
Pas qu'elle eu vraiment trouvé ca drôle, mais c'était une de ses manières de réagir alors bien sur elle n'avait pas oublié de se faire inviter par Eragon pour le voir s'agenouiller face au comte comme tant de fois il le ferait faire à d'autres poitevins.

Alors ce jour la elle avait hésité à partir avec son uniforme militaire mais pour faire un effort elle l'avait échangé contre une tenue plus féminine, et, ensuite elle s'était pressé pour rejoindre la salle du trône.

De toute manière comme quand elle était apprentie de la dame Elliandra elle aimait assister à ce genre de cérémonie oui, car toujours on y apprenait un peu plus de chose sur l'heraldisme elle restait seule à enregistrer chaque mot de la jeune dame qui aujourd'hui n'était plus.
Elle eut donc une pensée pour celle ci...

Enfin la Von Strass entra alors que déjà cela commençait, la salle se remplissait petit à petit et le futur seigneur posait genoux à terre devant Cristof, elle resta dans un coin attendant que Eragon reprenne place ou elle pourrait allé le voir.

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Commandant des Lions!
Devenez un lion! engagez vous!
Pour ca écrivez nous!
Cristof
Et si tout cela n'était que fumisterie...le Comte hésitait à répondre à l'allégeance...
Oui pour la première fois, un Comte hésitait.
Le Poitou avait-il vraiment besoin d'autant de nobles qui de toutes façons n'étaient jamais là. ?
Encore un se dit-il qui sitôt anobli filera dans les instances Parisiennes et autres Ordres Royaux.
Ces mêmes instances qui n'avait aucun respect pour le Poitou, ces mêmes Ordres qui se baladaient qui prônaient la guerre sans relâche au Berry.

Il avait bien envie de jeter tout cela par la fenêtre et de quitter la cérémonie.
Il regarda son épouse, comme si dans les yeux de celle-ci, il cherchait la réponse.

Une silence lourd s'abattait sur la salle du Trône.

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Eragon_killer
Le Comte semblait ailleurs.. Alors que le Trémouillois à ses genoux attendait, le Comte plongeait ses yeux dans celui de son épouse.
Eragon se demandait bien ce qui pouvait se passer dans la tête du Comte..
Il se reconçentra, sans que son genoux ne fléchisse et leva les yeux vers le Comte.

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Petitjehan
Le Vicomte Jehan suivait la cérémonie, toujours aussi intéressé par la façon de faire des uns et des autres.
Il sourit en entendant son écuyer certes, mais surtout « Poitou » être invité à faire allégeance au Comte. Il connaissait bien le jeune homme et, même si le Vicomte, abhorrait l’ancien Comte Chuichian qui avait tenté odieusement de se jouer du Poitou et de sa propre famille, cela n’enlevait rien aux qualités du jeune Héraut.

Par contre l’entrée de Dame Extraelle de Montignac, la sœur du Comte précédant, fût des plus remarquée. Un personnage la suivait suscitant moultes chuchotis dans la salle. Le Vicomte sourit de voir le « petit homme » se hausser sur la pointe des pieds pour inviter deux nobles à voter…

Quoi ? avait-il bien entendu ou son esprit lui jouait il un tour pendable ? Cartel ? Non ? Impossible ! Se pourrait-il donc qu’Extraelle, femme de caractère mais femme intègre et d’une honnêteté reconnue se soit accoquinée avec telle engeance ? Le souvenir des liens de Chuichian avec certains membres du Cartel revint à l’esprit du Vicomte…Il était perplexe et se réservait de poser son jugement…

Le Comte semblait las et fatigué. Se trouvant assez prés de lui Jehan le regarda fixement. Il lui sembla mais il pouvait se tromper que ce dernier hésitait. Son regard cherchait celui de son épouse la Comtesse Magoo. Jehan se fixa sur le couple attendant la suite…

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Vicomte d'Olonne
Seigneur de l'Hermenault
Davor
Après les allégeances, c'était désormais le tour des anoblissements. Davor sourit en voyant Eragon et serra doucement la main de sa douce Kali, lui adressant un tendre regard, avant de reporter son attention sur la cérémonie. Un trémouillois de plus qui allait devenir noble, décidément après une longue période où La Trémouille avait été en retrait en ce qui concernait la politique comtale, c'était aujourd'hui parfaitement l'inverse, et c'était loin de déplaire au Baron.

Mais le Comte Cristof semblait prendre son temps, avant de répondre à Eragon. Peut-être attendait-il quelqu'un ? Sa femme Magoo ? Davor n'en avait aucune idée, souhaitant simplement que la cérémonie se termine au plus vite, pour aller féliciter son ami.

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Magoo
Eragon avait un genou à terre, son époux se taisait, il la regardait, comme pour lui signifier une question. Elle ne comprenait pas ce qui le taraudait malgré son regard insistant. Echanges de sourcils froncés. Elle se pencha vers son oreille et chuchota:

Mon époux, y a t'il quelque chose que vous voudriez me demander? Si vous avez un doute, peut être pouvez vous ajourner cet anoblissement?

La salle faisait silence, attendant patiemment la fin de la cérémonie et fixant le couple comtal.
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Cristof
Le Comte pesa le pour et le contre et finalement se décida.

Ca va aller ma douce, je crois que de toute façon, je ne peux corriger toutes les erreurs commises par mon prédécesseur.

Il se pencha sur Eragon.

En réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection sur ce qui va désormais être votre fief. Puissiez-vous en être toujours digne et ne jamais oublier que cette allégeance, c'est bien au Poitou que l'avez fait. Prenez garde au conflit d'intérêt...

Le Comte se tourna alors vers Sylvestre pour la suite.
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Extraelle
Ça jasait donc, et sévère. La brune marqua un temps d'hésitation, non loin du trône. Attendant elle ne savait quoi... d'être appelée, peut-être, ou foutue dehors, c'est selon. C'est ce moment que choisit le fou pour aller chuchoter à l'oreille de deux membres de l'assemblée. Elle n'y aurait pas pris spécialement garde si Petitjehan, qui était à proximité des deux bavards, ne lui avait alors jeté un regard plein d'interrogations et de... désapprobation ? Léger haussement d'épaules. Ben quoi, si on ne pouvait même plus ramener un peu d'animation... Elle ne savait pas Petitjehan si à cheval sur le protocole. Certes, elle le côtoyait peu depuis qu'il avait été comte régnant, mais avait-il tant changé ?

Bien entendu, elle était loin de se douter de la conversation qu'il avait captée et des projets de son nouvel acolyte à clochettes, et ce questionnement ne dura que quelques secondes, le temps de chercher Eragon des yeux, et quand il fut trouvé, de lui adresser un regard éloquent. Elle n'avait foutrement aucune idée de ce qu'elle devait faire... Et n'était guère friande de ce genre de cérémonie. Le seul anoblissement auquel elle avait assisté, était le seul où on l'avait expressément invitée, et c'était celui de son ami Petitjehan, justement. Seulement, si elle se souvenait avec clarté de l'émotion de ce dernier quand il avait reçu son titre, elle n'avait plus le moindre souvenir de ce qu'il avait dit ou fait, avant. Mémoire sélective l'Extraelle.

Fort heureusement, son ami Eragon, qui lui, était rompu à ce genre d'exercice, sembla comprendre la prière muette et lui sourit doucement, avant de s'avancer vers le trône. Soupir de soulagement. Elle n'aurait plus qu'à faire exactement comme lui. Sauf que. Elle avait beau être assez ignare en matière d'allégeances et de tout le saint-frusquin protocolaire, il paraissait assez évident que le grand silence qui suivit l'agenouillement du jeune héraut, n'était pas franchement naturel. Pas plus que le regard que le Comte Cristof jeta ensuite à son épouse. Il semblait... perdu, et la brune fronça les sourcils imperceptiblement.

Vrai que si elle était la soeur de Chuichian, Eragon était un de ses plus anciens amis. Chuichian, d'ailleurs, qui n'était pas dans la salle. Il n'avait donc sans doute pas été libéré. Qu'est ce que son frère avait bien pu faire pour mettre le Comte dans cet état ? Elle connaissait bien Cristof, il n'était pas du genre à hésiter, ni même à se formaliser des manières discutables de son entourage. N'avait-il pas, par le passé, rejoint la liste comtale de Gaëlik, qui aurait pu sans aucun doute donner des leçons de manipulation à son frangin ? L'archontat, la sortie de l'ADC, même avec les méthodes sournoises du Chian, rien de tout cela ne pouvait justifier ce regard-là. Ni une mise aux fers, d'ailleurs. Non, à l'évidence, Cristof savait quelque chose qu'elle ignorait, et elle se résolut à en avoir le cœur net.

Ce qu'il y avait de très énervant avec Extraelle, c'est qu'elle n'avait pas besoin de se demander très longtemps comment mettre à bien ses résolutions. En général, le hasard, ou le destin, ou tout substantif qui conviendra au lectorat, s'en chargeait pour elle, et ce jour-là ne fit pas exception. Tandis que le silence persistait dans la salle, se répandant même parmi les chuchoteurs qui un à un tournaient la tête vers le trône, conscients d'une anomalie dans le déroulement des opérations, un page se glissa près de la Montignac.


"Dame, un pli très urgent de la Dame de l'Isle d'Olonne, elle attend réponse orale de votre part."

Aliénor ? Que lui voulait-elle ? La lecture fut rapide, et il était heureux qu'Extra ne portât pas de corset trop serré, car elle crut défaillir. Souffla cependant au garçon, après une goulée d'air qui lui parut comme vicié:

"Dites-lui que j'arrive, aussitôt que j'ai prêté allégeance. Je ne serai pas longue."

Et pendant qu'une foule de questions et de sensations se bousculaient dans la tête et les tripes de la brune, l'anoblissement d'Eragon avait enfin lieu. Cela serait bientôt à son tour, et elle se mordit violemment la lèvre pour tenter de revenir, du moins physiquement, à la cérémonie.

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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Eragon_killer
Cristof échangea des murmures avec son épouse.. Bien que cela soit des murmures, Eragon était tout près, aux pieds même du Comte et il lui avait semblé entendre "corriger.. erreur..".
Se retenant de se lever brutalement, il essaya de se persuader qu'il avait mal compris.
Soudain le Comte pris la parole

Citation:
En réponse à votre allégeance, je vous promet justice et protection sur ce qui va désormais être votre fief. Puissiez-vous en être toujours digne et ne jamais oublier que cette allégeance, c'est bien au Poitou que l'avez fait. Prenez garde au conflit d'intérêt...


Votre Grandeur, je vois de quoi vous parlez.. et c'est bien pourquoi je l'ai précisé dans mon allégeance.. Le Poitou.. je ne l'oublierai pas..

Puis il se releva
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--Leah_melani
Le maréchal ne s'était pas manifesté durant le temps de latence, comme si elle ne doutait pas de l'issue de la cérémonie. Et en fait c'était le cas.
Ylalang remit donc à Eragon deux exemplaires du contreseign de son octroi, un pour lui, et un pour son nobiliaire.


Citation:
Nous, Leah Melani, dicte Sylvestre, Maréchal d'Armes de l'Hérauderie Royale,

A toutes et tous que la présente liront ou entendront

Salutations !

Par la présente, faisons savoir :

Qu'après consultation du collège héraldique, nous validons et contresignons la procédure d'anoblissement de Messire Eragon de Lisaran, proposée par Sa Grandeur Chuichian de Montignac, alors Comte du Poitou.

Qu'en conséquence, Messire Eragon de Lisaran se voit octroyer le fief de Landeronde, fief élevé en seigneurie.

Qu'il devient donc Seigneur de Landeronde, et portera "parti de gueules et d'argent aux deux renards rampants de l'un et de l'autre affrontés sur la ligne de partition, enté en pointe de sinople à la branche de cinq rameaux d'ajoncs d'or ", soit après dessin :



Qu'afin que nul ne puisse contester cet édit, y apposons notre sceau.



Fait le premier de novembre de l'an 1457 en la chapelle de Saint Antoine le Petit.


Et d'enchainer.

Nous pouvons passer à l'octroi suivant Votre Grandeur.
Extraelle
L'octroi suivant...

Cela devait signifier que c'était à son tour de s'avancer. Mais pour avancer, la brune devait encore découvrir le paradoxe de l'essence humaine, qui est censée ne pas se définir comme une abstraction inhérente à l'individu isolé, mais dépasser le patrimoine génétique du bête bipède pour aller trouver son sens plein dans l'interaction sociétale*. Or là, pour ce qui était des circonstances sociales, l'enjeu paraissait pour le moins limpide: il lui fallait approcher du trône. Seulement, cet impératif publique était contrarié par un obstacle de taille, à savoir les lois biologiques qui gouvernent tout corps organique complexe, et que l'humain tente vainement d'oublier à grands renforts de volonté, de prières, ou d'abus de boisson - veuillez rayer la mention utile, si vous en trouvez une.

Pour faire plus simple, elle était tout bonnement paralysée. Et ce n'était pas le moment. Tous les regards étaient rivés sur elle, et la rupture brutale dans l'intrigue, assortie du long silence gêné et du suspense insoutenable, avait déjà eu lieu quelques minutes auparavant. La recoller une nouvelle fois au scénario aurait été de très mauvais goût.

Ce fut un autre animal à sang chaud qui vint rafistoler la trame de cette histoire quelque peu effilochée, à savoir le fou, qui ayant décelé le désarroi de sa maîtresse, eut la prévenance et la délicatesse de pousser le postérieur de la brune, lui faisant faire un pas vers le Comte. Pourquoi le postérieur, me direz-vous ? Eh bien, la narratrice n'a pas su se décider entre une soudaine pulsion lubrique et inavouée du spécimen à grelots, ou le simple fait que c'était le morceau anatomique d'Extraelle le plus à sa portée.

Mais épargnons les lecteurs courageux, qui à ce stade du récit, ne se comptent plus que sur les doigts d'une main, pour en venir aux faits. La de Montignac était devant le Comte régnant, sans bien savoir comment elle était arrivée là, et aux yeux noirs qui lui faisaient face, se superposaient les quinquets verts d'eau de son frangin, haï et aimé à la fois. Et elle fit ce qu'elle n'avait jamais fait de sa vie: elle courba l'échine.

Malgré son trouble et les sentiments complexes qui l'habitaient, elle eut le temps de se faire la réflexion qu'elle était heureuse que ce soit devant Cristof. Celui qui malgré leurs divers différents, l'avait portée là où elle était, lui avait appris ce qu'il savait. Une des rares personnes, avec Olivyaa, dont elle se sentait redevable. Mais avant tout, c'était devant le Poitou qu'elle était à genoux, cette terre qu'elle aimait et qu'elle avait défendue depuis leur rencontre, cet été 1456, et bien avant cette allégeance.

Un genou en terre, la pointe de l'épée plantée devant elle, elle dit d'une voix distincte:


"Moi, Extraelle de Montignac, reconnais Sa Grandeur Cristof, comme légitime Comte du Poitou. Lui jure fidélité, aide et conseil, et mets mon épée et ma vie au service du Poitou."

Redressant la tête, elle planta ses yeux fauves dans le regard un brin sévère posé sur elle, et la détermination qu'il put y lire valait tous les serments.



* [ Toute ressemblance avec des écrits de K. Marx ou un jargon philosophico-géopolitique ultérieur volontairement abscons, serait bien évidemment totalement fortuite - vu que personne n'y capte quoi que ce soit, moi la première. =) ]
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Extraelle de Montignac. Hauts, la tête et le verbe.
Xedar

Enfin xedar était de retour dans le Poitou après de longs mois d'absence. Sitôt passer la frontières avec la Bretagne il posa pied à terre et huma cette terre qui était sienne. Il inspira et expira profondement puis tenant son cheval par la bride il se mit à parcourir bois plaines et collines pour réveiller ses sens.
Après quelque heure passé, il réfléchit à la conduite à tenir. Il devait se reposer, retrouver les vagues de chez lui, retrouver ses amis, reprendre le boulot, et présenter le secrétaire d'état qu'il était devenu au comte.
Hum il aimait bien la première idée, et aussi la deuxième.
Puis il se remua.


Non Xedar le loisir après, zou bouge toi jusqu'au chateau.

Il passa quand même par chez lui, pris un bon bain, défit les paquet ramené de son voyage et s'habilla de magnifiques vêtements qu'il avait confectionner pendant une retraite en Flandres, habits fait du magnifique tissus de cette région. Ainsi préparer il se remit en selle et alla voir du côté du chateau.
Après avoir parcouru pendant de longue minute les couloirs sans voir trace de sa grandeur, il fut interpeller par la salle du trône.


Hum sur un trône doit se trouver un roi, ou dans mon cas un comte, donc il doit se trouver la.

Il avisa les deux boites métalliques poster devant la porte.


Est ce que sa Grandeur Cristof est présente?

Sans attendre de réponse il avança. En même temps qu'il poussait les battants, Xedar reçus en pleine tête le bruit de la foule qui remplissait le lieu. Il fit un pas en arrière.

S'auriez pus me dire qe'il était pas seul, ha j'vous jure.

Il repris sa route en avant, et passer les portes, il les referma en essayant de faire le moins de bruits possible.
Fatigué par la route il prit place sur un banc du fond, faisant soupirer quelques personnes obliger de se serrer, et patienta. Sa tête ayant tendance à s'incliner vers la bas...

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Cristof
La brune, il la connaissait et pas qu'un peu. Il avait été son mentor...lorsque jeune conseillère, la petite n'avait pas hésité un jour à lui dire qu'il était un requin en affaire, il l'avait pris sous son aile tout en lui laissant son libre arbitre. Les méthodes de gestion étaient uniques, mais les philosophies nombreuses, le tout était d'atteindre le but recherché. Elle en avait rapidement compris le fonctionnement, et développé selon son propre modèle économique, une méthode de travail qui avait profondément changé l'économie Poitevine.
Après une longue retraite, précédant son retour au pouvoir, le Comte du Poitou avait assisté à la démission de la Thouaraise, abusée par son propre frère selon ses dires. Toutefois, Cristof avait du mal à croire que la sœur, de celui qu'il faisait croupir dans un cachot à leur insu, n'était pas au courant des machinations du Chuichian. Qu'importe, si un jour il s'avérait que ses soupçons se confirment, il lui réserverait le même sort qu'à son frère. En ce jour, il ne pouvait que croire en une allégeance sincère, même si celle-ci serait bientôt confronté à un dilemme.


Dame Extraelle, en réponse à votre allégeance, je jure de vous apporter justice et protection sur vos terres. Cette noblesse de mérite, vous récompense de votre travail, de vos efforts, mais témoigne aussi de la qualité de grands services rendus au Poitou. Vous n'êtes pas à la fin d'un cycle, mais au début d'un nouveau.

Le maréchal d'arme, va vous remettre ce qui vous revient désormais de droit.

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