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Mariage de Rosa de Leffe et de Louis-Hubert d'Harlegnan

bigornea
L'Archevêque Bigornéa se dirigea en Cathédrale la veille du mariage

Elle, surveilla la mise en place du tapis rouge qui accueillerait les futurs mariés et leurs invités dans la Cathédrale



Une fois ce travail effectué à sa convenance, Elle entra dans la Cathédrale, se signa et alla inspecter l'intérieur...
bigornea

Bigornéa poussa la porte de la cathédrale et y rentra le calme y régnait. Elle se signa puis se dirigea vers la Sainte Croix, s'agenouilla devant celle ci et se recueillit.

Elle alla placer les fleurs au niveau de l’office puis s’attacha à remettre en place les chaises et bancs.
Elle vérifia que le vin de messe était à sa place ainsi que les hosties

Puis elle décora La Cathédrale de diverses Fleurs, Aujourd'hui était un Grand jour , Le mariage de Dame Rosa de Leffe dict la Blonde des Flandres ,Vicomtesse de La Motte au Bois ,Procureur des Flandres et de Messire Louis-Hubert d'Harlegnan dict Le Cerf, Vicomte de Lannoy et de Poperinge





Les cloches résonnaient dans toute la Ville (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG))) (((BING)))(((BONG)))
pour convier les fidèles à cette Cérémonie. Elle ouvrit les portes de la Cathédrale afin de permettre aux fidèles d'entrer et de s'installer.
LouisHubert
Bediende! Mijn buis!*

Dans l'Hostel d'Harlegnan, c'était la cohue générale. On courrait partout pour voir aux derniers préparatifs, on tentait de ne pas offusquer le Vicomte, mais il s'avèrait fort aigre depuis quelques jours. Certains disaient que le mariage le stressait, mais les plus proches affirmaient plutôt qu'il manquait de chair... Après tout, cela faisait un certain temps qu'il était fiancé, et depuis, il avait fait voeux d'abstinence. Aussi bien lui demander la lune! Mais il réussissait péniblement.

On vint lui donner le reste de ses vêtements, son pourpoint luxueux de fourures, de cuir et de tissus précieux, ses colliers somptueux et riches d'or et de pierres et sa canne torsadée d'or et de sable.


In auto!*

Le Cerf venait de commander le déplacement de la maison. Tous s'affolèrent à préparer le carosse avant que le Vicomte eut franchi le portail. Et pourtant, tout avait été vérifié 15 fois!

Arrivé à la Cathédrale Saint-Sauveur de Bruges, il mit pied au sol, traversa la place Sainte-Illinda où la statue en hommage à feu son père tronait toujours. Il s'arrêta une bonne seconde, regarda son sommet et sourit. Il y a belle lurette qu'il avait tombé aux mains de brigands, mais nul doute que son souvenir vivait toujours. Puis il emboita le pas et traversa dans la cathédrale où il prit un air solennel, mais très noble et grâcieux. Le pas était doux, et la prestance bien présente, mais surtout, l'oeil avait retrouvé une étincelle de vie, de hargne et de poigne qui rappelait le jeune Conseiller fier et orgueilleux qu'il fut. Sauf qu'à la différence de cette époque, le Cerf avait maintenant de beaux habits, un superbe collier de l'Ordre de Sainte-Illinda, et les traits beaucoup plus dure si bien que le vieillissant Vicomte ravivait le souvenir d'une gloire passée, où il fut ce Comte flamboyant et tumultueux.


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*Valet! Mon pourpoint!
*En voiture!
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Bartox
Bartox essuya les dernières miettes de madeleines qui trainaient sur ses lèvres, et se rendit là où les convives devaient se rassembler. Admirant le Cerf rentrant dans la cathédrale, il s'assit, ne détachant pas les yeux du marié.
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adrienne
Obéissant à l'appel des cloches qui une à une s'éveillèrent pour sonner à toute volée, la Vicomtesse de Menin entra dans la Cathédrale, toute émue non pas d'assister aux épousailles mais bien de se retrouver en un endroit chargé de souvenirs qu'elle avait quitté depuis déjà plusieurs mois et de revoir tant de visages familiers. Elle était vêtue d'une ample robe de velours aux teintes ocres brodée de brocatelle vénitienne, ses cheveux soigneusement relevés en un chignon d'où tombaient en cascade sur ses épaules dénudées quelques mèches bouclées.

A pas de louve, la Vicomtesse se glissa à côté de son ami Bartox et lui ôta affectueusement à l'aide de son mouchoir les restes de madeleines collées à sa joue avant d'y déposer un baiser claquant. Elle esquissa alors un large sourire en apercevant le prestigieux LouisHubert déambuler l'allée tel un prince. Les yeux rivés au spectacle, elle murmura d'une voix encore teintée d'incrédulité :


Ainsi c'était donc vrai ... j'ai encore du mal à y croire, l'indomptable Cerf va se faire capturer ... Ah sacrée Rosa, elle nous épatera toujours !
Lafred
Lafred arriva à la cathédrale. Elle avait revetu pour l'occasion une toute nouvelle tenue confectionnée pour l'occasion.



Elle aperçu ses amis Adrienne et Bartox et se faufila pour les rejoindre.
Elle leur fit la bise heureuse de se joindre a eux.

Elle aperçut le marié et attendit impatiente l'arrivée de la mariée dans sa somptueuse robe
rosa
Rosa s'apprétait en toute hâte, remettant sans cesse sa robe en place, avec l'aide de Merenwen, qui l'avait admirablement coiffée, la rendant quasi méconnaissable... Les joues rosies par l'émotion, elle ne tenait plus en place pour faire son entrée dans la Cathédrale. Par Sainte Illinda, ça y était! Incroyable mais vrai, elle allait se marier, avec Louis-Hubert d'Harlegnan, sans aucun doute ils s'étaient bien trouvés...Dire qu'à présent ils connaîtraient les joies de la vie conjugale, plus de confessions multiples suite à ... enfin... voilà quoi...

Elle attendit, cachée dans la pièce attenante à l'entrée principale que les invités soient installés pour faire son entrée à son tour...

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Wuggalix
Depuis quelques jours en la belle Venise du Nord, le bourgeois tournaisien avaict eut plusieurs surprise, donc celle de se retrouver à administrer la mairie de la capitale, ou encore de pouvoir assister à la messe d'une diaconesse nouvellement et très justement nommée...

L'heure estée aux réjouissances, car voila que deux anciens dirigeants - et point des moindres ! - des grandes et glorieuses Flandres s'en allaient s'unir sous la bénédiction d'Aristote.

Le Patriarche de Clairambault et sa femme s'approchant de la cathédrale, le sieur huma l'air alentour, la grandeur l'inspirait toujours et il commençait à en pressentir quelques partie à l'arrivée de la voiture Vicomtale...


Le Cerf...
Slam Jack
C'est élégamment vêtu, portant les armoiries de Lys et Renaix, que le Seigneur Slamjack assistait au somptueux mariage de Rosa, sa propre cousine du côté de sa mère, du moins si ses souvenirs sont bons, et de son suzerain direct, LouisHubert.

Dans une démarche noble, le Cavalier Noir gardait la main sur le pommeau d'une splendide épée, laquelle n'avait probablement jamais fait couler le sang, ou alors, si cela était le cas, elle était fort bien entretenue, tant elle brillait sous la moindre source de lumière.

Le Lieutenant salua les divers convives, qu'il connaissait tous.

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Léalie
Au bras de son époux, Léalie de Clairambault entra dans la majestueuse Cathédrale, soigneusement parée de ses plus beaux atours en l'honneur des mariés.

C'etait pour elle un plaisir double que d'avoir fait le voyage jusqu'à Bruges. Elle assistait à des grandes et belles noces, et retrouvait son époux, dont elle n'aimait jamais être séparée fort longtemps.

Elle s'installa à ses cotés, une main toujours posée sur son bras, sans doute émue par les souvenirs de son propre mariage. Elle brûlait de voir la robe de la mariée, ses joues rosies d'émotions, la coiffe qu'elle porterait... Des préoccupations de jeune fille prépubère, que la matriarche de Clairambault n'eut pour rien au monde avoué à son mari.

Comme son époux haussait un sourcil à la façon dont elle se tordait le cou pour guetter l'arrivée de la Vicomtesse, Léalie prétexta d'avoir remarqué l'entrée du Baron de Renais...


Tiens, voici venir le Baron de Renaix, mon ami , chuchota-t-elle pour noyer le poisson.

Ce dernier fit une entrée remarquée avec la prestance qui lui etait coutumière, saluant tous les convives. Léalie lui rendit son signe de tête, puis recommença à guetter la porte...
Chevalier°Bayard
C'est peu après le Seigneur de Lys et Baron de Renaix que Bayard entra à son tour en la cathédrale. Il était vêtu aux couleurs des Flandres, et portait par-dessus un plastron de parade, brillant et rehaussé sur la poitrine de lions ouvragés, avec à la ceinture l'épée des grands jours, trop fine que pour combattre, mais dont le pommeau ouvragé et travaillé avec finesse seyait aux grandes cérémonies.

Le marié était déjà là, se tenant comme un prince, mais pas encore la mariée. En entrant, Bayard vit Bartox, qu'il salua, puis le Seigneur Slamjack avec qui il s'entretint un instant. Puis il rejoignit ses amis de toujours, Léalie et Wuggalix. Ils devisèrent un peu, attendant la mariée.

Bayard était un peu impressionné de se retrouver avec tous le "gratin" des Flandres. Il aperçut au loin Adrienne, qui était Comtesse lorsqu'il avait commencé sa carrière politique, et en gardait de bons souvenirs. Il voulut lui faire un petit signe de la main, mais ne sachant si cela se faisait dans le beau monde, le Capitaine se retint. La main nonchalamment posée sur le pommeau de l'épée, il discutait avec ses amis, tout en observant du coin de l'œil les invités qui arrivaient...

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Malycia
Malycia suivait de quelques pas son père le seigneur et Baron SlamJack, elle n'aurait pu manquer les noces d'un membre de leur famille, et qui plus est c'etait egalement la première fois qu'elle assistait à des epousailles, nobles de sucroit...
Comme à son habitude elle était vetue de noir, dans ses cheveux une fleur de Lys, reconnaissance au fief auquel elle appartient, le blanc immaculé de la fleur tranchait avec le noir profond de ses cheveux...
Elle était fière d'accompagner ainsi son père, la premiere fois qu'ils etaient ensembles à une célébration, elle marchait juste derrière lui, saluant au passage les Tournaisiens dejà presents, sire Wuggalix et son épouse Lealie, de même plus avant dames Adrienne et Ladred accompagnées de Bartox, toujours en charmante compagnie se dit elle, elle lui jeta un bref regard, esquissant un sourire poli, puis s'installa aupres de son père...
Elle se concentra alors sur le futur marié, le trouvant fort elegamment vêtu,et de fort belle prestance; elle trépignait dejà d'impatience de découvrir la mariée et de la voire faire son entrée...
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Malycia du Castel de Lys Lez Lannoy
chevalier_dide
Non loin des murs de Bruges des cavaliers arrivées des terres du Sud laissant le champ de bataille de Bergerac pour quelques heures, l'un des hommes n'avais point foulé les pavés de la capital depuis moult temps.

Laissant sa garde au pied de la Cathédrale Saint Sauveur, il monta les marches rouges du tapis regardent les sculpteurs qu'il avait oubliées.

D'une chemise et tunique de gueules brodé de fleur au fil d'or et d'une braie de Sable, couvert d'une cape de Sable avec sur l'épaule une croix de malte brodé d'argent.

Il franchie la porte tenant le pommeau d'or de son épée d'où une fleur de lys et une branche de laurier montré l'académie Royal.

il s'avança dans la cathédrale, son bandeau sur le crane laissent couler quelques goûtes de sang sur sa couronne et sur sa chevelure blonde, la mine fatigué il s'agenouilla devant l'autel avant de prendre place sur un siège.

Il se demanda si on se souvenait de lui ...
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phillau
Il avait prit le départ depuis quelques jours, presque une semaine, et la fatigue se lisait sur ses traits et sur ses membres.
Accompagné de ses hommes en arme, le protégeant sur les routes malfamées du Sud de la France, il avait tracé la route dans une chevauchée spectaculaire. Ses hommes étaient maintenant au port, supervisant le débarquement de marchandise qu'ils ramèneront en Guyenne, lui pourra dormir au retour dans la charrette.

Phillau avait juste prit le temps de passer à Ypres, sur le chemin de Bruges, afin de pouvoir faire une toilette bien nécessaire et d'enfiler des vêtements plus seyant et plus confortable que le pourpoint renforcé de cuir qu'il portait.

Emmitouflé dans son chaperon pour lutter contre le froid flamand qui le brusquait, Phillau était rentré dans la cathédrale magnifiquement décorée, les sculptures et les tentures flamande lui manquait et même s'il avait réussi à en faire parvenir certaine à Bordeaux, ce n'était pas semblable.
Phillau passa devant certaines personnes qu'il ne reconnu pas du premier regard, des anciens compagnons ou adversaire en politique flamande qu'il avait laissé, certains avec regret, derrière lui depuis longtemps. Il cherchait désespérément sa cousine, son esprit la quittait et Phillau avait juré de ne pas la laisser seule dans Bruges. Au détour d'une ruelle, il l'avait perdu et se maudirait à jamais s'il devait lui arriver quelque chose.

Son chaperon brouillait son champ de vision et quitte à être reconnu, il l'enleva pour mieux retrouver Izarra. Peut-être croiserait-il aussi son cousin ?
Là voilà! Au détour d'une colonne, Phillau vit ce regard qui l'envoutait depuis très longtemps. Même sans raison et alors que la joie de la vie la quittait, Izarra restait une femme sublime.


Vous voilà donc enfin!

Phillau lui avait saisi le bras mais s'en voulait déjà de l'avoir invectivé de la sorte. Il ne pouvait que provoquer une réaction affable de cette manière.

Votre absence soudaine m'a causé bien des soucis, ma chère, ne me quittez-plus je vous prie.
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Izarra
En Flandres. Mais qu'est-ce qu'elle était venue faire en Flandres déjà? Appuyée au pilier d'une cathédrale, elle se posait la question pour la dixième fois, fouillant vainement les recoins de sa mémoire défaillante. Contemplant ses mains gantées de rouge, elle eut une illumination soudaine. Le mariage! Evident, enfin! Elle était venue pour le mariage. Un sourire sarcastique ses peignit sur ses lèvres à l'idée de pouvoir contempler le cousin se passer la corde au cou. Elle n'aurait raté ça pour rien au monde. Charge de revanche, il s'était assez amusé de ses propres épousailles avec son compagnon de débauche. S'il savait, le cervidé cousin, à quel point sa prédiction de lame dans le poitrail avait été exacte. Mais il ne saurait pas, personne ne saurait jamais.

Interrompue dans ses songes d'innocente vengeance, elle tourna la tête vers son autre cousin qui venait de s'emparer de son bras.


Vous quitter? Allons, je ne pourrais m'y résoudre cousin. Et puis je crois que j'aurai du mal, il me faudrait y laisser un bras et j'ai la faiblesse de tenir à mes membres.

Lucide _ pour combien de temps _ elle pouvait se permettre ce ton de taquinerie, tandis qu'elle s'appuyait néanmoins volontiers sur le cousin en question, fatiguée qu'elle était par sa grossesse finissante.
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