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[RP] Cortège royal, l'étape poitevine - L'attaque du Roy

Cristof
Poitiers

Etait-ce une machination, l'œuvre du malin, ces évènements étaient tout bonnement incroyables.
Je regardai les conseillers présents, tous semblaient songeurs.

Autant il était inconcevable que l'attaque du Roy fût préméditée par le Comte, autant cet enlèvement lui semblait prémédité... mais par QUI ?
Qui avait donc intérêt à créer un incident de plus ?
Serait-il possible que les Plantagenêt veuillent détourner l'attention.
A peine cette pensée m'eut traversé l'esprit qu'un sentiment de gêne d'avoir pu l'envisager m'envahit.

Enfin, je me dirigeai vers la salle du Trône pour voir ce que voulait cette délégation. Il avait fournit au Comte un document lors d'une énième réunion, peut-être celui-ci serait d’une grande utilité si ces gens avaient perdu la raison.

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Legueux
[Poitiers - Oh mon chatôôôô, tu es le plus beau des châtôôôôô]

"Aaaaah ! Quand même !" se dit il en entendant la dame leur permettre d'entrer. Bon en groupe restreint. Ben 4 c'est restreint, non ? on prendra pas le château avec ça ou alors le Poitou n'est pas ce qu'il semble être.

Un sourire parait sur son visage, qui se teinte d'étonnement quand celle-ci commence à faire son marché... Elle décide... Elle, lui, regard dubitatif de la dame sur Zalina...

LeGueux sourit de plus belle, et lorsqu'elle a fini de donner ses ordres pour avertir le Coms de Poitou et les invite à entrer, il dit :


Donà, dans votre liste vous avez oublié Donà Zalina et lui...

il tend son doigt au hasard derrière au moment où il prononce la fin de la phrase, puis son regard se prote dans la direction du doigt et il y voie la tête de...

Messer Benjamin de Crussol...

Ah ben tiens ! un juriste, j'aurais voulu le faire exprès j'aurais pas mieux fait... (euh vraiment en plus). Retournant la tête vers la porte parole ? enfin la dame qui les invite à entrer, il enchaine :

Et ne me dites pas que le Poitou craint 6 délégataires dont trois vassaux poitenvins, il en faut plus rien que pour prendre un castèl angevin non défendu.

Dintram.*
Lacha t'il emboitant le pas de la dame, se disant que les "Parisiens" se composaient de 3 poitevins et 3 possesseurs de terres occitanes...

[*Entrons donc.]
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Le grand père était un aigle, le fils un faucon, le petit fils, un vrai.
Zalina
[Poitiers – devant mon beau Château, roy des forêts… mmm, pardon – lendemain de l’attaque]

Tension qui monte entre la Première Secrétaire et Mackx. Zalina leur jette un regard qui en disait assez long. Ce n’était ni le moment ni le lieu pour discuter de cela. Il y avait assez de problème à régler comme çà. Les différents entre « membres du même camp » devront attendre la résolution du problème principal.
Surtout que Sonate venait de régler le « soucis » du nombre trop important. Son regard posé sur la Peste confirmait ce qu’elle attendait de savoir. Le Comte n’avait pas apprécié son baiser… vassalique. Les Poitevins ne lui pardonneraient jamais d’avoir choisi d’aider le Poitou autrement que par les armes sur les terres angevines. Et bien soit.
Elle avait accepté la décision de Faooeit, même si elle la trouvait parfaitement injuste et injustifiée. Elle n’irait pas lui imposer sa présence qu’il avait clairement refusée en Chambre de Noblesse.

La Peste sourit à la négociatrice et inclina la tête. Message compris. Pas d’inquiétude.
Puis elle se tourna vers le Roy d’armes qui, ignorant tout de la situation entre la Dame de Colombiers et son suzerain, proposait à Zalina de les suivre.


Comte, il vaut mieux que je reste ici. Je préfère vous attendre dans une taverne et vous laisser discuter. Les palabres n’ont jamais été ma tasse de thé. Mackx y sera plus doué que moi et j’ai aperçu le Secrétaire d’Etat en charge du Poitou par une fenêtre tout à l’heure. Avec Poitou, vous serez bien assez de « Parisiens/Poitevins » dans cette salle. Je ne vous serai d’aucune aide.

Un « espion » de Paris en moins, le Comte du Poitou sera peut être un peu plus à son aise. Même si elle aurait aimé revoir Faooeit, c’était mieux pour tout le monde. La mission avant les désirs personnels... toujours.
Il ne restait à espérer que chacun oublierait ses préjugés pour discuter sérieusement du problème actuel et trouver solution rapidement. Sinon, çà allait finir en bain de sang cette histoire.
Avant de s’écarter, elle attrapa Mackx par le bras et lui glissa quelques mots à l’oreille.


Reste tranquille, quoi qu’il arrive. Le ton ne doit pas monter, d’un coté ni de l’autre. Je compte sur toi pour les garder calmes. Oublies tes « sauvages », « espions », « lèche bottes » et autres préjugés. A la moindre étincelle, tout risque d’exploser. Tu régleras tes comptes avec Marie après.
Je compte sur toi et Yuan…


Un dernier regard pour être sure qu’il avait bien compris, et elle se recula vers Naluria, son Choléra, Engue, Ethan et les autres présents. La boule de son estomac en profita pour faire son retour. Pourvu que Mackx arrive à les garder dans de bonnes dispositions et que les négociations ne dérivent pas à autre chose que l’attaque du Roy et ce qui devait être fait…
Zalina se pinça les lèvres et tenta de reprendre son masque sourire.


Et nous, si nous allions prendre un bon verre en attendant que tout ce beau monde discute ?
Il y a une taverne juste en face qui m’a l’air bien sympathique.


Et surtout qui nous permettra de surveiller discrètement les entrés et sortis du Château sans être loin s’il y a le moindre souci à l’intérieur.
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Absente du 23 au 30 décembre
Elra
[Poitiers, aux environs du 7 décembre ]

La Comtesse consort, Mairesse de Poitiers, lui avait demandé d'assurer la sécurité de Poitiers.
Tout était prêt. Quelques archers cachaient aux murailles, dans la direction de l'ouest et plus précisément à la Porte de Niort et à la porte du Nord menant vers Thouars.

Le Comte de Montaigu avait choisi de poster des hommes d'armes, des volontaires, dans les rues les plus sombres aux abords du château et dans des chaumières bien placées aux alentours du château.

Les ordres étaient simples. Sa Grandeur Faooeit ne devait quitter le Château.
Personne ne pouvait l'en faire sortir, y compris le détachement royal qui avait choisi d'affronter tous les dangers en pénétrant dans la capitale en armes.
Quelques yeux discrets suivaient le cortège par quelques fenêtres de maisons aux pièces éteintes, le coeur battant.

Ils attendaient un signe...Qui sait ? La capitale poitevine devait rester poitevine...Le Comté du Poitou devait rester poitevin.

Tous ces hommes et femmes, dévoués regardaient défiler le cortège militaire royal vers le château, tiraillé par le sentiment de les rejoindre, mais aussi d'obéir aux ordres de dirigeants qui, eux, leur avaient toujours offert protections et certitudes, leur offrant de vivre en paix.

Les minutes étaient longues. Quelques représentants royaux avaient déjà pénétré dans le palais poitevin. Que venaient-ils chercher ? Le Comte ? la Chancelière ?

Une seule chose, un seul ordre : garantir la protection du Comte. Si le Comte sortait de sa "tour d'argent", les portes de la ville se fermeraient, les flèches devraient siffler. Ils lui avaient prêté allégeance. Ils ne dérogeraient pas.
Le Roy était si important, mais si lointain à la fois.

L'hiver était là, bien présent. le bois crépitait dans la cheminée où Elra avait choisi de surveiller les sorties du Palais comtal. La famille bourgeoise pictave, qui contraint, ou même forcée, avait dû accepter la présence du Comte de Montaigu, s'était réfugiée à l'étage.

Haverocq guettait inlassablement, concentré sur les portes du palais. Quelques coursiers, venus par la porte de l'arrière cour lui apportait les nouvelles auxquels il répondait par des ordres simples et rapides. Il tenait sa corne de brume à la main, prêt à ouvrir la fenêtre pour sonner une alerte fatale.

Le Comte de Montaigu aimait son Roy, oui, mais il avait prêté allégeance au Comte du Poitou. Il s'agissait d'honneur...L'honneur, comme il changeait selon le regard des hommes, selon leur camp, selon leurs intérêts, leurs aspirations.

Les souvenirs défilaient, tout avait changé. Le Roy avait été blessé en terres poitevines, par Icie.
Non pas Icie, il ne pouvait s'agir que d'une méprise.

La dernière nouvelle avait frappé comme un coup de buttoir le Comte. Armoria, enlevée par un poitevin.
le sol se dérobait sous ses pieds, son regard restait figé sur les portes. Il semblait impassible, faisant face à son destin...Peut-être est-ce pour cela que ses hommes lui faisaient confiance...Peut être est-ce pour cela que les poitevins l'avaient choisi à deux reprises pour être Comte...Peut être est-ce pour cela qu'il avait été nommé Commissaire au Commerce, Chancelier, Juge...à plusieurs reprises.

Le Comte se surprit soudain à murmurer quelques mots :


Pour Aristote et le Poitou.

Reprenant sa respiration, il se tourna vers l'un de ses suivants puis lui dit


Nous aurons bientôt un nouveau Comte. Et il nous faudra encore prier, prier comme nous l'avons fait pour le bon rétablissement de notre Roy.

Va donc te promener, longe le Palais et reviens m'assurer qu'il ne se passe rien.
Avises toi bien que chacun soit à son poste, aux aguets.
Traces à la dague trois rainures parallèle avec vivacité sur l'un des moellons à l'arrière du château, le cinquième en partant du bas, sur le mur sud ouest. Je demanderai au prochain combien de traits il a vu.

Le suivant d'armes acquieça, enfilant une cape, il sortit par l'arrière de la chaumière, s'assurant que personne n'était présent, connaissant bien la capitale, il s'engouffra dans les rues de la capitale.

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Magoo
Salle du trône, encore et toujours

La baronne, comme les autres, faisait les cent pas, les messagers défilaient, les souffles ne tarissaient. Dernière missive, message à laisser son séant ancré dans un ruisseau. Elle lut par dessus l'épaule du comte, yeux écarquillés, souffle coupé.

Votre infinie grandeur! Bien... Le ciel est en passe de vous tomber sur la tête dès la fin de votre règne... Un soldat poitevin? Qu'est ce que cette histoire?
Essayons de procéder dans l'ordre.
Elle scrutait les conseillers présents.
D'une, recevons noblement cette équipée. Chuichian devrait à cette heure avoir arrêté Icie, faisons jouer le temps pour prouver notre bonne volonté et écoutons ce que la comtesse a à nous dire. Je gage sur un accident.
De deux, elle se tournait vers Lady qui semblait plus posée que le comte, vous m'avez suggéré tantôt de rassembler les troupes pour une révision de nos armées, ne vous semble t'il pas que votre idée tombe à pic? Un appel nous montrerais les soldats présents et dévoués...
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Lady
[Salle du trône du château pictave]

Lady acquiesce pour Magoo:

Tout à fait Magoo, je n'ai pas attendu. Je suis passée par l'intendance à mon retour de la mairie et j'ai mandé un appel systématique des troupes de la garde comtale, des miliciens et des membres de la prévoté.
L'état des armées était déjà établit par le Capitaine Cyphus en personne, il ne manquait personne.
La garde comtale était mobilisée au château, tout absence anormale aurait immédiatement été relevée. J'ai envoyé faire vérifier qu'un homme porté pâle était bien alité chez lui.
Les maires ne signalent aucune défaillance de leurs miliciens.
En ce qui concerne la prévoté, aux dernières nouvelles que j'ai eu, le lieutenant Nonette cherchait son sergent à Niort. J'ai demandé qu'on nous informe heure par heure à ce sujet, un nouveau messager ne devrait tarder, d'autant plus que Chuichian serait en route ou presque rendu au château...

Une fois cette information confirmée, nous serons en mesure de mieux cerner la situation.
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Mackx
[Ben toudi devant le chateau pardi !]

Quelques secondes de flottement entre les deux écuyers et l'intervention de Zaza, puis de Sonate. Ca réglait le problème, si problème il y avait eu ... Oui, il y avait eu, il ne fallait pas se voiler la face, mais il se réglerait plus tard. Concernant son règlement, Mackx avait déjà sa petite idée, mais il lui fallait l'accord de la Vicomtesse.
Zaza le prit rapidement à part, comme si de rien n'était. Il ne put s'empêcher de sourire, lui répondant par un clin d'oeil qu'il savait quand même se tenir en public et que ce qu'il disait tout bas à des amis n'était pas ce qu'il allait balancer tout haut devant une PSE, un Roy d'Armes et un Comte du Poitou.

Tout cela réglé dans son esprit, Mackx se mit à la suite de la troupe qui rentrerait bientôt dans le Castel. Pas besoin d'aller parler à Marie Alice tout de suite, trop de chuchotements pourraient paraître suspects, alors qu'ils ne l'étaient absolument pas. Ils discuteraient plus tard de tout cela.

Ils entrèrent dans l'imposant Castel à la suite de Sonate. Il espérait que tout allait bien se passer, il espérait !

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Mariealice
[Poitiers - Poussez pas, y en aura pour tout le monde mais vite ça caille pas chaud]

Et une Zalina qui décidait de ne pas entrer, un Legueux farceur qui faisait son marché et une Marie qui soupirait, enfin ils allaient passer les lourdes portes.

Petit groupe donc à suivre Sonate, lentement, pas de geste brusque.

Regard en arrière vers Enguerrand, un sourire pour rassurer le frère avant de s'engouffrer à l'intérieur.

Battements de coeur à calmer, tension à apaiser, attentive, froid aussi mais moins intense qu'à l'extérieur.

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Zalina
[Poitiers – devant le château puis à la taverne d’en face]

Un dernier regard derrière pour suivre la petite troupe du regard, le visage fermé. Puis la Peste prit le chemin de la taverne. Rester devant les grilles du Château à faire les cents pas ne servirait qu’à augmenter les tensions et mettre à mal les nerfs déjà bien trop solicités.
Elle attrapa Engue par le bras pour le forcer à la suivre et en profita pour lui chuchoter quelques mots.


Ne t’inquiète pas. Elle ressortira entière de ce Château et de ce Comté.

Puis elle reprit son sourire rassurant et déclara d’une voie enjouée qui contrastait avec la boule toujours présente au creux de son estomac dont elle ne voulait montrer la présence.

Tournée Générale ! C’est moi qui offre.
Que voulez vous boire ? Nous allons surement être là pour un petit moment. Autant en profiter pour se réchauffer un peu.
Peut être l'occasion de finir ma leçon d'épilation ? Qu'en dites vous cher Choléra ?

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Absente du 23 au 30 décembre
Benjamin06
[Poitiers, devant le château, toujours au lendemain de l'attaque]

Avant même que les discussions concernant la tentative de régicide n'aient commencé, il fallut négocier afin de pouvoir rencontrer le comte poitevin. Les messes basses étaient nombreuses chez ceux que l'on désignait comme les 'parisiens' ; le Crussol s'en tenait éloigné, préférant garder un oeil sur ce qui se passant autour d'eux - ses yeux voyageant régulièrement et périodiquement entre porte d'entrée au castel, et extérieur dudit bâtiment (place et rues attenantes). Les seules paroles qu'il ne pouvait qu'entendre étaient bien sûr celles de Legueux, dont l'accent lui était familier ; il tiquait à chaque mot prononcé dans la lenga d'òc, laquelle avait bercé son enfance, et qu'il n'avait pas entendue depuis bien longtemps - depuis qu'il avait quitté l'hérauderie, en fait. Peut-être aurait-il l'occasion d'échanger quelques paroles avec l'occitan ; cela n'était qu'hypothèse, et il pensait de toute façon avoir tout perdu de ce patois, étant donné le temps qu'il avait passé sans le pratiquer.

Eloigné de la conversation se tenant entre les dignitaires des deux camps, Benjamin ne put qu'être surpris d'entendre le grincement provoqué par l'ouverture de la porte. En alerte quant à ce qui pouvait en sortir, et prêt à agir en cas de nécessité, il se concentra sur le contenu de la discussion en cours ; le roi d'armes semblait négocier l'entrée d'autres personnes, comme le laissait supposer cette phrase :


Donà, dans votre liste vous avez oublié Donà Zalina et lui...
*pause*
Messer Benjamin de Crussol...

Ses yeux s'écarquillèrent un instant, et dire qu'il était étonné d'avoir été montré d'un geste par le languedocien n'était pas grand chose au vu de la surprise que provoquait la situation. Sans doute les deux grands officiers désiraient-ils la présence de gardes supplémentaires ; il s'opposerait nulle résistance, et son entrée dans le château ne lui inspirait aucune hésitation : si sa présence était nécessaire, alors il serait présent. Sans prononcer aucun mot, il s'approcha du groupe qui s'était formé ; cela était en quelque sorte la confirmation du fait qu'il allait bel et bien suivre les représentants du roi à l'intérieur du château. Tout signe de surprise avait disparu de son visage, et même de son esprit, lequel s'était reporté sur l'analyse continuelle de ce qu'il se passait.

Dintram.

Il suivit le mouvement, remarquant qu'ils seraient trois membres de l'ordre de la Licorne sur les cinq personnes qui entraient présentement dans le siège du pouvoir comtal poitevin...
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Cristof
[Poitiers-Bien installé pour attendre les visiteurs]

J'attendais patiemment le but de la visite des gens de la Cour.
Que pouvait-il raconter de plus que nous ne savions déjà ?

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Sonate
[Poitiers - salle du trône]

Benjamin de Crussol dites vous ? Allons bon pourquoi pas…après tout après avoir fait son marché, Sonate pouvait bien leurs accordez ca et le sieur de Crussol n’avait pas l’air des plus véhément.

Ils avaient passés les portes du château, traversé la cours intérieur ainsi que quelques pièce pour enfin arriver a la salle du Trône, juché un peu plus haute et d’où l’on pouvait facilement voir la place du marché.

Un grandes porte de bois foncé annonçait un ton plus officiel et en entrant, un chemin a semi tracé dans le marbre, au trait invisible dans cette pénombre menait à un table ovale coupée a la hauteur, de la forme de certains blason, qui était ornée de six sièges de chaque coté.

A l’extrémité inversé, se trouvait le trône, légèrement mis en relief par d’abord, la finesse de ses gravure dans les bois, et par deux marches qui formaient une estrades.

Les murs était assez sobre, si ce n’est, château oblige, les drapeau aux couleurs du Poitou et aux armes du comte Faooeit qui pendait avec indolence, les uns a coté des autre, avec pour unique espace entre eux, les ogives qui retenait les murs.

La pièce avait été calculée pour que la lumière y pénètre facilement, aussi, toutes haute qu’elle était, il s’y trouvait des vitraux de couleurs vives. Et sur les murs a hauteur d’homme, de grande fenêtres aux vitraux blanchâtre et de qualité moyenne.

En sommes, la salle avait la forme d’une chapelle, sauf que Dieu y était diffèrent et qu’une estrade pour les cérémonies demeurait sur le flan opposé aux fenêtres qui donnaient vue sur le marchés.

Faooeit et les autres conseillers étaient assis sur chacune de leurs chaises et Sonate jeta au comte un regard souriant tandis qu’elle tentais de se rappeler les noms de chacun de ses « compagnons ».


- Accueillons ses Grandeur Legueux, MarieAlice, Benjamin et Mackx, ainsi que la douce dame Elliandra, dites Poitou.

Elle se mit légèrement sur le coté, afin d’offrir aux conseil la vue des royalistes.
Yuan
[Salle du trône, atmosphère pesante]

Direction la salle du trône. Un garde avait accouru dans les couloirs et Yuan du l'attrapper par le bras pour l'empêcher de continuer. Quelques mots furent échangés et le garde lui annonça qu'une délégation "royaliste" était entrée dans le château. Yuan avait grincer des dents. Le Poitou était royaliste. Plus royaliste même que certains Officiers Royaux. Faooeit était juste... il ne supportait pas le rôle de la Curia qui semblait étouffer les provinces hors Domaine Royale.

Il accèléra le pas dans les couloirs et atteint la salle du trône. Il jeta un bref regard dans la salle. Le Comte était présent avec quelques conseillers. Pas de traces de la délégation. Yuan entra dans la salle et se plaça au côté de Cristof. Il avait préféré ne pas s'assoir. L'attente avait été pesante, rester debout serait suffisant.

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Faooeit
Les gens de Paris arrivaient dans la salle, et le comte d'un ton froid leur dit:
Bonjour à vous, suivez-moi je vous prie...
Puis il les amenait à une cérémonie...
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Damisella

Au moment ou il se levait, un pigeon vint se poser sur l'épaule du comte.

Le parchemin attaché à sa patte portait le sceau royal


Citation:

Au Comte Faooeit,
Au Conseil poitevin,

L'on m'apprend à l'instant que le Grand Maître de France, ma bru, a été enlevée. J'imagine que vous connaissez les détails quant audit enlèvement.

J'entends que soient remués ciel et terre pour la retrouver saine et sauve, et dans les plus brefs délais. Par ailleurs, je sais d'elle en personne que demande vous a été faite d'une armée pour assurer notre sécurité, puisqu'il apparaît qu'en terres poitevines, votre Roy puisse être menacé. Je suis assez surpris de constater que nul écho concernant votre acceptation ne m'est parvenu. Sans doute cette demande vous parait-elle si légitime que vous l'avez acceptée tout de go, cependant, il nous faudrait confirmation de la chose.

J'aimerais par ailleurs m'assurer que ce sera bel et bien la justice de la Couronne qui entendra la Comtesse Icie, que j'ai formellement reconnue comme celle qui a levé l'épée sur moi, ainsi que le Comte Faooeit, son vassal. Il est évident, en effet, que la gravité même de la chose demande des conditions exceptionnelles de rendu de justice.

Je ne doute nullement de recevoir sous peu des nouvelles de mes demandes.

SMLIII

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