[RP] Lettre aux auvergnats

Whoopie60

Quouuuuuuuaaaaaaaaaa???!!! Ce Duc ne combat paaaaasss???!!!

Là quand même Whoopie en était outrée! Au lieu de livrer bataille avec son peuple, Ce Duc préférait rester tranquille en son château!!! Quelle honte!!!!
Après on l'entend dire que notre vénéré Duc du Berry est un menteur?...Bien alors il faut se demander qui des deux l'est, car entre un Duc qui n'a pas le courage de ses opinions se prélassant honteusement sur son trône laissant son peuple aller à la mort et un Duc livrant bataille aux côtés de ses citoyens, là y a pas gravure! Le Duc du Berry dit la vérité, et le Duc choyant son trône ment!!!

Elle s'en retourna abasourdie par ce qu'elle venait d'apprendre

Quelle honte! Vraiment quelle honte!!!
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Garius

[en forêt berrichonne]

En ce mois d'octobre, la température était presque anormalement élevée, douceur exquise qui détonnait en ces périodes troublées. Gari restait en alerte, les oiseaux ne chantant plus dans la forêt, signe inélectable que l'ennemi n'était pas loin.

Elle chercha le regard de Will et y puisa le réconfort nécessaire avant la bataille. Qu'il soit à ses côtés la rassurait et l'apaisait, sachant très bien qu'il donnerait sa vie pour elle s'il le fallait. Le temps semblait suspendu alors qu'elle lui rendait son sourire et presque aussitôt, la triste réalité reprit le dessus quand le chef de section cria "A l'attaque mes amis, qu'Aristote vous protège tous !".

Les assaillants se profilaient derrière les troncs d'arbres et Gari prit son épée sans hésitation. Il n'était plus question de réfléchir quand sa vie en dépendait et c'est dans un état presque second qu'elle s'avança à leur rencontre, tous les muscles bandés et les gestes surs.

Le croisement des lames, les cris des combattants, les gémissements de certains, tout s'entremèlait mais sans réellement atteindre sa conscience, l'heure n'étant pas à la réflexion mais à la survie.

A peine eut elle le temps de remarquer l'air surpris d'un auvergnat alors qu'elle venait de faire pénétrer sa lame dans son épaule, que déjà un autre se jettait sur elle animé d'une fougue hors du commun.

Sans faillir, elle repoussa les ennemis un par un, avec une force dont elle ne se serait jamais cru capable.
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Ysabeau

Le champ de bataille

Il fallait se battre. Il fallait sortir l'épée du fourreau. Les deux armées se faisaient face, dans la forêt berrichonne, oui, berrichonne.
Ysabeau, à côté de son roy, suivit les ordres d'Asterie, chef de leur section. L'épée haute, elle avança, sa vesture réduite à sa plus simple expression, comme ils l'avaient décidé la veille en taverne avant de prendre la route.

En avant ! en avaaaaant !

Elle sourit en voyant Nephe, elle aussi dévestue, se précipiter sur les auvergnats. Bientôt, elle croisa le fer contre un soldat de l'armée adverse, se battit, réussit à le toucher à la cuisse droite. L'homme s'effondra, blessé. Elle ne voulut point l'accabler. Ysabeau n'aimait pas la guerre, Ysabeau espérait ne jamais avoir à tuer un adversaire.
Elle continua à se battre, des combattants se couchaient sur le sol. Au loin, elle vit Floryne s'effondrer... Norf de norf... Floryne...

Puis, le duc ordonna l'arrêt des combats. La forêt était de nouveau berrichonne.
Les blessés les plus graves furent évacués vers Bourges, et tout le monde reprit le chemin du campement.
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Elmichele

les ennemis se retirent ,une clameur de victoire les accompagne !!!!!
Elmi regarde son épée souillée de sang ,non elle n'a pas tué mais blessé ...

dans cette mélée furieuse elle a perdu de vue ses amis ....elle se precipite
angoissée vers les corps par terre ,non ils n'y sont pas ....

la tete lui tourne ,il faut les retrouver ,indemnes ! elle court vers le
campement ...le coeur serré ...
elle se retourne !il est là !!! entier ! vivant ! souriant ! encore plus beau
apres cette bataille !...............une voix au loin les tire de leur cocon ...

Elmiiiii Megaaaaaaaa

riant tous deux ,main dans la main ils se precipitent ,c'est la voix de
Verya !!!! le trio se reforme ,il est temps de feter cette grande victoire!!!
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--La_belle_douce

[Le Campemant Berrichon après la bataille...]

Fichtre ! Mortecouille ! Saperlipopette !!! J'suis vert' d'rage !! Z'avez vu l'ducaillon d'face vous ? l'Sac à vin s'prelasse tranqu'lou dans s'castel. Fichtre ! l'Bougre. Moi qui d'sirais tant lui faire tater d'ma lame ! M'enfin pas grave ma lame s'est repue c'soir. J'n'ai troué au moins z'un j'suis sûre !

La Belle faisait les cents pas en agitant son épée. La militaire était frustrée.

Pfff ! l'aut'e ducaillon, il s'envoie ses soldats à l'mort pendant qu'lui ripaille. Norf de Norf j'suis sur qu'il dit qu'le Berry l'a attaqué gratuit. En att'dant c'est pas nous qui z'avons annexé une partie d'ses terres sans déclaration d'guerre.

Elle continuait de déambuler ainsi en pestant faisant fi de sa blessure à l'épaule.

Norf ! z'avons v'nu récupérer nos terres et s'n armée nous' attaque ! A beau dire qu'le Poilu l'est vil, en att'dant s'est battu au m'lieu d'ses z'hommes li. Qu'laut'e y s'présente pas d'vant moi, j's'rai ravi d'le trouer ! Vil auvergnat !

Continuant ses vociférations, La militaire qui n'avait de Doux que le nom de famille, se retrouva devant le groupe d'élite qui avait combattu dans le plus simple appareil.

Norf ! m'dames ! vot'e arme s'crète fonctionne appar'ment ! J'ai rar'ment vu d'tactique pareille d'l'armée, mais ç'marche pl'tôt bien !

L'une des dames se leva et inspecta la plaie de la guerrière. Puis lui dit qu'il fallait nettoyer la blessure et peut-être recoudre. Le soldat éclata de rire.

Z'êtes pas militaire vous ! ç'voit bien ! Z'inquiètez pas j'connu pire qu'ça ! Tant qu'j'tiens d'bout tout va bien brave dame !

Le soldat retourna auprès des ses compagnons d'armes, l'oeil vif, la main sur le pommeau de l'épée, prête à dégainer, vu l'attaque sournoise des auvergnats sur les berrichons venus récupérés leurs terres, la nuit précédente, mieux vallait être vigilent.

Berruyer

L’heure de reprendre les terres berrichonnes lâchement volées par les auvergnats était arrivée.
Leur excuse, quelle était-elle au juste ? Ah oui ! Le Berry hébergeait des brigands…
Cela le faisait doucement sourire car en tant que procureur, le tisserand avait mis en procès bon nombre de ces démons de la route. Ce qui le faisait encore plus rire c’est que certain d’entre eux étaient auvergnats…
Le pire ! c’est que plusieurs de ces derniers étaient même multirécidiviste…

La bataille commençait tout juste que son fillot courrait à toutes enjambés, à poil, en direction des auvergnats afin d’en casser quelques uns.

Norf de norf ! Quelle fougue !

Sous les ordres directs du Duc du Berry, Berru accompagné d’un groupe de valeureux berrichons avait reçu pour consigne d’attaquer à revers, sur leur côté droit, là ou la foret se faisait plus dense.
C’est que les berrichons connaissaient bien leur terre !

Chargezzz ! Pour la libertéééé !

A peine arrivé au niveau d’un groupe de combattants portant les couleurs du bourbonnais, ces derniers se mirent à détaler comme des garennes…

Norf ! Revenezzz !
La prochaine fois revenez avec votre menteur de Duc ! Ou destituez le !

Entre satisfaction et déception, le procureur rangea son épée, vierge, dans son fourreau.

Satisfaction de voir les berrichons soudés pour une même cause, celle de chasser l’ennemi hors du Berry.

Déception de n’avoir pu embrocher un sbire du Duc auvergnat.

Quoiqu’il en soit, Berru savait pertinemment que tous les auvergnats n’étaient pas comme ca. Sa pensée allait à une grande dame et amie du village de Bourbon.
Il avait aussi entendu dire que les élections ducales se profilaient au BA. Le peuple auvergnat serait-il assez intelligent pour faire sauter ce Duc conquérant, avide de pouvoir et de territoires… Il l’espérait…
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Lettre aux auvergnats

Georgepoilu

Des affiches fleurissaient sur les places publiques du Bourbonnais et d'auvergne, ou devant les murailles quand le guet avaient repéré les rodeurs venus les coller à la nuit tombée...

Citation:

Peuple d'Auvergne,

Votre Duc vient de vous lancer dans une guerre sans vous en expliquer les véritables raisons !

Vous a t il dit que son armée a par trois fois pénétré en terres berrichonnes sans déclaration préalable et hors de tout conflit entre nous ?

Vous a t il dit que le Berry n'a point réagi et confirmer son absence d'intention belliqueuse à votre égard ?

Vous a t il dit avoir annexé une partie de nos terres (hrp: le noeud au nord de Bourbon anciennement berrichon) alors que nous n'étions pas encore en guerre et qu'aucun berrichon n'était en Touraine ?

Vous a t il parlé des plans d'attaque du Berry, en concertation avec la Touraine, que nos espions ont réussi à attraper il ya plus d'un mois ?

Vous a t il expliqué que depuis plusieurs semaines, il fait remonter ses armées alors que le Berry n'avait ennuyé ni la Touraine ni le Bourbonnais Auvergne ?

Vous a t il expliqué que son alliée la Duchesse de Touraine a conclu un pacte - aujourd'hui avoué après avoir été nié - avec la troupe de brigand ayant attaqué il y a quelques semaines les Duchés de Bourgogne et de Champagne (compagnie zoko dirigée par eikorc).

Vous a t il dit que la duchesse de Touraine protège des brigands et a, elle-même - court circuitant ainsi le juge de sa province - prononcé la relaxe du maire qui a pillé sa ville de Losses (loches pour vous) avant de l'inviter par jugement à fuir au Berry ?

Alors peuple d'auvergne, avez vous envie de mourir pour défendre les brigands de Touraine ?

Je vous confirme que le Berry n'a nulle intention belliqueuse avec votre province mais que nous nous défendrons avec vaillance si nous sommes menacé ou attaqué.

Si vous aimez la paix et ne voulez pas vous compromettre avec des brigands, faites pression sur votre duc pour qu'il retire sa déclaration de guerre et garde ses armées en sa province

Nous voulons la paix, alors joignez vos prières aux miennes pour que cela soit possible !

George le poilu
Duc de Berry

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--Crescet

[Dans un bivouac des affranchisseurs Berrichon, entre Bourge et Bourbon]

Le jeune hoberau, assit au coin du feu mangeait un morceau de viande seché, il avait retiré pour l'occasion la plupart des piéces de son "harnois" ou du moins ce qu'il pouvait s'en approcher. La chevauché avait été rude aujourd'hui et dés que la banniére auvergnate avait été aperçu, la lance dont crescent faisait partit, la lance du Duc Thomas, avait piqué des éperons pour charger la troupe ennemie.

Crescent s'était retrouvé vite eloigné de la lance, à battre le vide de sa masse d'arme tout en entendant au loin la clameur des combats. Soupirant alors, il s'en était voulu, appréhendant le fait qu'aucune de ses armes ne serait taché de sang, malheureusement. Surement qu'on se monquerait de lui, oh ça oui, l'étranger qui ne frappait pas ou quelques sobriquets de la sorte lui serait attribué.

Il avait retrouvé le groupe, plus tard, avait comparé leur faits d'armes, quid de là un auvergnat tué assurement, quid là une épaule serieusement ravagé qu'un autre assurait, mais il n'était pas le seul à rien n'avoir eu, heureusement. A leur retour, les ecuyers avaient deja preparé le bivouac, allumant ça et là des feu, dressant une tente pour le Duc George, une pour le Duc Thomas et dont Crescent beneficierai de l'abris cette nuit, d'autres pour els quelques nobles berrichons de l'armée. Autour du feu circulait des gourdasse d'eau-de-vie entre les soldats, mais aussi un placard. Quand celui-ci passa entre les mains de Crescent, il ne put s'empecher de sourire à la lecture de la déclaration dans le plus pur style Georgesque, incisif, partisan. De son avis, celui-ci perdait son temps et à s'addresser au "peuple" Auvergnat et Bourbonnais, car c'était ces idiots qui avait élu le conseil aujourd'hui en place, et aussi à essayer de les convaincre quand au vu du combat d'aujourd'hui, il aurait été tout aussi simple de les soumettre.

Mais le style de l'avocat depassait les limites de la cours, pouvait-on lui en vouloir ? Il usait de ses avantages partout et faisait preuve d'amitié Aristotelicienne en tendant la main à son ennemie

--Valentin_pernouin

Valentin était descendu à la ville pour faire des provisions au marché dominical. Comme de nombreuse personne, il avait entendu les rumeurs d'une guerre proche, il s'était donc rué sur les produits de première nécessité, viandes séchés, céréales et autres légumes étaient chargés dans sa charriote.
Il avait assisté au discours du Duc qui expliquait les raisons de l'agitation, quand il tomba sur une affichette signée par le duc du Berry en personne. Il prit le temps de la lire, la partie de ramponneau menteur avait commencé, l'un disant blanc, l'autre noir...

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Valentin Pernouin

Au service de la famille de Ludgarès.
Nounou à Guigui

Bubul27

[Sur le champ de bataille...]

Bubul, afin d'être plus à l'aise dans ses gestes, avait couru nu sur le champ de bataille, juste portant bouclier et épée.

Tout à coup, il découvrit un Auvergnat de grande stature qui fonçait sur lui.

Ni une ni deux, Bubul fit tournoyer son épée dans les airs et celle-ci se mit à dessiner des bulles qui déstabilisa son adversaire.

Se sentant prendre le dessus, Bubul voulut le découper en rondelles, mais à peine quelques bulles après, Il vit son adversaire fuir ses jambes à son cou.

Norf de Norf, revient !!!!!!!!!!

Heureusement, Bubul le blessa sérieusement et eut le temps de lui dépecer un morceau de joue.
Il tenait enfin son premier trophée !!!!!!

A la nuit tombée, Bubul reprit le chemin du bivouac berrichon fier de son premier combat.
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Bimba18

[Quelques jours avant le départ vers le BA]

Voilà déjà plusieurs jours que la Demoiselle de Chesnais avait rejoint le Duc de Berry aux portes de la ville de Bourges... Bien qu'elle ne fut pas soldate de l'Ost Berrichon de part entière, elle était prête à tout pour défendre son Duché... Duché qui depuis bien des années l'avait accueillit chaleureusement et lui avait tout apporté... Amour, Désillusion, Respect, Amitié et bien d'autres choses encore...
Femme vaillante et sans peur, grande citoyenne du Berry, elle était donc prête à tout pour repousser ennemis ou brigands du sol Berrichon...
C'est donc avec Loyauté et Grand Respect envers le Duc Georges, que chaque soir elle préparait sa tenue et ses armes en cas d'une éventuelle attaque des Auvergnats...

Les jours passèrent tranquillement jusqu'au quatrième jour du mois d'octobre...
Il faisait encore nuit... Bimba ne réussissant à trouver le sommeil se remémora les derniers jours passés à Bourges... Jamais, elle n'avait été si heureuse en y retournant... Elle avait revue la petite Clotilde... Fillette qu'elle considérait vraiment comme une petite nièce puis elle y avait retrouver d'autres amis auxquels elle tenait beaucoup...

Toutes ses pensées lui firent oublier la véritable raison de son voyage à Bourges jusqu'à ce qu'elle entendit une voix rauque hurler :

RASSEMBLEMENTTTT !!!! NOUS PARTOOOONS !!!

Mouarf, que se passait-il ? La Guerre avait-elle commencer ?
Déjà en tenue, elle prit rapidement ses armes et rejoignit le groupe de soldats paré à quitter Bourges pour défendre le Berry...
Oui la Guerre semblait commencer et c'est en disant une dernière prière à 'Stote que la Jeune Maman suivit la troupe direction le BA...

[Commencement de la bataille au petit matin du 4 Octobre]

Après de longues heures de marche, l'Armée du Duc se trouva face à une armée Auvergnate... Regard sur ceux-ci, la Fille du Vaillant Drizz et de la Sage Chloé eut une dernière pensée pour sa Douce laissée à Saint Aignan avec la nourrice...
Elle eut à peine le temps de lever les yeux au Ciel que les soldats opposants se précipitaient sur eux en hurlant...
Regard sur les siens, elle dit d'une voix à peine audible :

Par tous les Saints... Que 'Stote protège les notres...

C'est à ce même moment que des soldats ennemis se pointèrent devant elle et qu'elle engagea le combat aux côtés de Bubul qui commençait déjà à en dépecer quelques uns...
Vindiou c'est qu'il était rapide le soldat... Elle essaya de ne pas se faire déconcentrer et c'est après en avoir blessé un certain nombre qu'elle vit l'ennemi fuir... Elle savait bien que ce n'était guère ses biscottos de femme qui les firent fuir mais elle était tout de même contente de son résultat... Elle avait réussi à en blesser au moins trois sans se faire à son tour embrocher...
C'est après de longue heure de combat et un champ de bataille calme que Bim', épuisée, reprit la route du campement et de sa tente regardant les étoiles et pensant à ses proches disparus... Ils devaient être fière d'elle... Après l'avoir vu enfant voilà que la Jeune Femme était devenue mère mais surtout guerrière comme l'étaient ses Feux Parents...
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Whoopie60

[Sur le champ de bataille]

L'oeil de Whoopie n'avait pas raté le spectacle qui s'offrait à elle. Bubul nu comme un ver, de son épée avait fait apparaître des bulles devant son ennemi éberlué, qui en était resté baba, surtout que les attributs de Bubul se reflétaient grossis dans les bulles. Pas étonnant qu'elle vit l'Auvergnat fuir en pleurant sa mère!
Joli spectacle pensa t-elle! Whoopie aussi l'épée à la main, son bouclier dans l'autre, portait la tenue la plus simple qu'il pouvait exister...c'est à dire rien!
Pendant que Bubul rentrait au bivouac, un Auvergnat lui fonçait dessus. N'ayant pas remarqué sa tenue au loin, s'arrêta net devant elle, rouge comme le sang, la regardant de la tête aux pieds. Un instant elle le toisa.

Bah! Qu'est-ce t'attend?...L'dégel?...Faut pas rester comme ça! Tu crois pas que j'vais t'transpercer la pense alors qu't'es là devant moi comme un mollusque!

L'homme qui l'instant d'avant ne bougeait pas, s'était jeté à genoux la supliant de lui infliger ce qu'elle voulait.

Norf d'norf!!! C'quoi ça? Et ça s'dit combattant???!!! J'perds pas mon temps avec un soit disant défenseur de ses terres, qu'est pas capable d'montrer c'qu'il vaut, dès qu'une femme en simple appareil, s'trouve en face!

Faisant demi-tour, s'en alla grommelant pendant que l'adversaire restait sans bouger, lui aussi à pleurer, non pas sa mère, mais pour qu'elle revienne.

Mouarf!!! Pas d'chance...premier combat et sur quoi j'tombe?...Bref! Espérons qu'ils sont pas tous comme ça...honte à eux sinon...
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Verya2

[ Bourges …. dans la nuit …]

Arfff !! … non!! … NORFFFF de NORFFF !!! que se passe t'il ??? hein … quoi ??? départ !!!

Ni une ni deux elle était debout … pas réveillée …

Mon épée … mon bouclier … mon uniforme !!

Devant elle Astérie lui donnait les ordres … ordres du Duc qu'elle ne connaissait pas vraiment …
mais elle avait fait de Bourges sa ville … du Berry son duché !

On l'avait acceptée … elle était Berrichonne … elle était Berruryère !
Elle défendrait sa ville ...

Verya, dans le coton de ses doux rêves s'était levée … dévêtue … avait ceint son épée, pris son bouclier ... avait suivi le groupe …

[sur un nœud où les tavernes n'existent pas …]

coup d'œil à droite … coup d'œil à gauche … ses compagnons d 'armes portaient l'uniforme …

En face … elle sourit … ses yeux fixés dans les yeux de l'adversaire …

bonjour bonjour … bennnnn …. pourquoi vous partez ??? … hou hou !!! … je ne vous plais pas ??? ... mes bras ne sont pas à votre goût ??? …

Elle éclata de rire … l'arme semblait efficace …

coup d'œil a droite … coup d'œil a gauche … la stratégie semblait marcher à merveille …

[ de retour au campement]

revêtir un minimum d'effets … fait pas chaud ici ! …. Montrer de quel bois on se chauffe au « hog's » … Elmi … Mega !!!

Ses amis de Champagne, ses compagnons de voyage, n'avaient pas hésité à prendre les armes … s'étaient eux aussi livrés dans la bataille …

Sans plus réfléchir …elle déambula dans le campement … Elmiiiiiiiiii … Megaaa …
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Elmichele

( sur le champ de bataille)

Elmi avançait ,la tension autour d'elle etait sensible ,tous les paysans
enrolés comme elle ,avaient le souffle court ,le coeur battant ...

se battre ! repousser les ennemis ! mais comment des épées avaient elles
pu remplacer les fourches et les binettes? la meuniere et le boulanger
pourraient ils semer la mort autour d'eux??

Elmi le chercha des yeux ...pourquoi avait elle promis au Duc de Berry
que les deux champenois accueillis dans son Duché s'engageaient à se
joindre à son armée ?
il etait là bas ,si beau ,pret à offrir sa vie au Berry !!

une clameur !!! la rencontre ! l'affrontement !
elle le vit s'élancer et comme lui ,et comme tous autour d'elle elle
leva la lourde épée et fonça en hurlant !!!

frapper ,esquiver , des cris ,du sang ,un cheval par terre et qui bat des
pattes ,on suit la bannière ,on essaie de rester en groupes compacts qui
déferlent ..
Elmi frappe ,esquive , la rage la prend ,une horde de loups déchainés
se jette contre les lignes ennemies ......

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Georgepoilu

A Bourges

Bubul, fais sonner le rassemblement, on lève le camp. il est temps d'aller réaffirmer notre souveraineté sur nos forêts !

Plus tard dans la journée, en forêt berrichonne sous controlle auvergnat

La troupe berrichonne s'avance en forêt et après quelques heures, un éclaireur revient en courant vers la troupe berrichonne

mon duc, les auevrgnats sont la, à moins d'une heure de marche

george fait avancer les berrichons d'un pas rapide et au détour d'une fourrée, ils aperçoivent les auvergnats qui semblaient aussi avoir aperçu les berrichons arriver... Sortant son épée du fourreau, George avance en tête de ses compagnons d'arme et les combats débutent, des blessés de part et d'autre, les deux armées parviennent cependant à se dégager... l'herbe était rougie du sang des valeureux combattants, la guerre débuitait vraiment avec le premier sang versé...

Le duc de Berry lit les premiers rapports de combat: 10% de perte dans son armée, 36% dans l'armée d'auvergne. Il donne ordre de rappatrier les blessés sur Bourges et de laisser les auvergnats ramasser leurs propres blessés avant de se joindre aux préparatifs de prière du dimanche
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Georgepoilu

un dernier rapport lui parvient portant les pertes ennemies à plus de 40%.

Une première escarmouche enfaveur du Berry semble t il et dire que la guerre en fait que commencer... sauf si le duc d'auvergne retrouve la raison
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Macgyver59

[Sur le champ de Bataille]

On avait donné l'ordre à l'Armée Affranchisseur Berrichon de faire route sur le noeud pris l'ennemi. Ainsi Mac prit son bouclier et son épée et marcha dans la colonne comme tout le monde.

Après plusieurs heures de marche ils arrivèrent en vue de l'armée adversaire, les soldats Berrichons eurent l'ordre de se mettre en ligne. L'ennemi fit de même.

Les deux armées était face à face, c'était une première pour Mac et il espérait que ce ne serait pas la dernière.Puis des cornes de brumes vinrent rompre le silence pesant et donner l'ordre de charger.
Les deux armées s'élancèrent, les soldats couraient en brandissant l'épée et le bouclier bien plaqué contre le corps.

Mac arriva en face d'un homme très grand armé qu'une d'une épée qu'il tenait à deux mains.Ce dernier la fit tournée en direction du cou de Mac qui s'abaissa pour l'éviter puis il fit un pas en avant et planta son épée dans la cuisse de l'Auvergnat. L'homme resta sur ses jambes et ré-engagea, Mac fit plusieurs parades.

Soudain une autre corne de brume sonna la retraite de l'armée ennemi.Mac pouvait voir sur le champ de bataille quelques uns des siens mais surtout des Auvergnats blessés qui furent évacué par les leurs.

Mac était content, le Berry avait repris ce morceau de territoire qui lui appartenait. Il déambula dans le camp Berrichon pour soutenir les blessés et prendre des nouvelles de ses proches.

Nephertiti

[A Bourges quelques heures plus tôt...]

Le Duc George le Poilu, demanda à Bubul de sonner le rassemblement, ce soir les troupes Berrichonnes se mettraient en marche. Ce soir il n'y aurait pas de pitié pour l'énnemis.
Les valeureux Berrichons entamèrent donc cette procession afin de récupérer leurs terres.
Nephe faisait partie du convoi... Elle marcha aux cotés de sa tante... Les deux femme ne pipérent mot.
Puis soudain dans la nuit sombre des bruits se firent entendre. Au detour des fourrés les Berrichons trouvèrent enfin ce qu'ils cherchaient.

[le combat]

Chaque troupe savait ce qu'elle avait à faire. Les Berrichons avaient une tactique. Nephe remarqua que ces amis portaient déjà l'uniforme réglementaire, à savoir rien du tout. En berry point de subterfuges, point d'armes dissimulées en traitre.
Nephe regarda sa tante qui s'élançait déjà à l'assaut.
La Douce souleva son jupon, saisit la dague fermement accrochée à sa cuisse, et d'un coup sec trancha sa vesture. Se debarrassant des guenilles, elle prit son épée et s'elança à son tour.
Le vent défit le chignon qui maintenait sa longue chevelure d'or, la laissant tomber sur ses reins.
L'ennemi était à présent en face d'elle.

Viens que je t'écrabouille !

Déjà deux soldats auvergnats s'approchaient d'elle. Mais alors qu'elle levait son épée prête à frapper, elle fut décontenancée. Les deux auvergnats se mirent à genoux, l'un d'eux laissait des larmes couler sur ses joues crasseuses.

"Gloire à notre Déesse ! Comment Dieu pourrait-il nous laisser vous faire du mal !"

M'enfin je vous en prie relevez-vous nous devons nous battre. Point de pitié !

"Belle apparition divine nous chérissons le sol que vous foulez !"

Si les tomates étaient connues en ces temps, on aurait certaienement pu dire que le visage de la Douce Nephe en avait pris la couleur. Elle qui voulais de l'action... voilà que ses ennemis embrassaient ses pieds.

M'enfin ! Suffit !

Elle accompagna ses mots d'un coup de pied afin de repousser les attaques de bisous sur ses fines chevilles. Les deux hommes retombèrent, coincés dans une béattitude. Ils étaient émerveillés. Nephe haussa les épaules. S'en faisant demi-tour elle se dit pour elle même : "étrange ces auvergnats tout de même."
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Bastian, mon fils, mon ange
Dixit Belle Ysandre :"Le coeur a ses raisons, que la raison ignore !"

Lanfeust86

Lanfeust fit afficher une réponse puisque le Poilu s'était permis de faire une déclaration mensongère.

Citation:

Au peuple du Bourbonnais Auvergne,

Nous, Lanfeust de Troy, votre Duc, allons répondre aux accusations du Berry.
/SPAN>

Citation:

Votre Duc vient de vous lancer dans une guerre sans vous en expliquer les véritables raisons !

Les raisons ont été expliquées dans mon discours, ce sont les seules.

Citation:

Vous a t il dit que son armée a par trois fois pénétré en terres berrichonnes sans déclaration préalable et hors de tout conflit entre nous ?

Notre armée n'est pas entrée par trois sur ces terres, l'armée du Maitre de Favdb est entrée au Berry à la suite de la déclaration de guerre.

Citation:

Vous a t il dit que le Berry n'a point réagi et confirmer son absence d'intention belliqueuse à votre égard ?

Le Berry a envahit un de nos alliés, il s'en est donc pris à l'Alliance du centre dont nou faison partie.

Citation:

Vous a t il dit avoir annexé une partie de nos terres (hrp: le noeud au nord de Bourbon anciennement berrichon) alors que nous n'étions pas encore en guerre et qu'aucun berrichon n'était en Touraine ?

Le Noeud a été annexé le lendemain de la déclaration de guerre, nous n'annexons pas pour notre bon plaisir mais pour affaiblir l'ennemi.

Citation:

Vous a t il parlé des plans d'attaque du Berry, en concertation avec la Touraine, que nos espions ont réussi à attraper il ya plus d'un mois ?

Les plans d'attaques datant de récemment, voici un nouveau mensonge de la part du Poilu qui tente d'intoxiquer les esprits.

Citation:

Vous a t il expliqué que depuis plusieurs semaines, il fait remonter ses armées alors que le Berry n'avait ennuyé ni la Touraine ni le Bourbonnais Auvergne ?

Le Berry ayant mobilisé ses armées et levé le Ban, nous nous attendiosn à une attaque sur l'un de nos alliés, ce qui n'a pas tardé.

Citation:

Vous a t il expliqué que son alliée la Duchesse de Touraine a conclu un pacte - aujourd'hui avoué après avoir été nié - avec la troupe de brigand ayant attaqué il y a quelques semaines les Duchés de Bourgogne et de Champagne (compagnie zoko dirigée par eikorc).

Je pense qu'à ce sujet, le Duc du Berry est mal placé puisque peu soutenu par son duché il remplit ses armées par des brigands notoires.

Citation:

Vous a t il dit que la duchesse de Touraine protège des brigands et a, elle-même - court circuitant ainsi le juge de sa province - prononcé la relaxe du maire qui a pillé sa ville de Losses (loches pour vous) avant de l'inviter par jugement à fuir au Berry ?

Nous ne sommes pas au fait des décisions de la Justice de la Touraine qui ne concerne ni le Berry ni le BA.

Peuple du Bourbonnais Auvergne !

Je vous demande à tous d'être solidaires, de soutenir nos soldats qui vont affrontées les armées guidé par un homme habité par le Sans Nom !

Ne vous laissez pas convaincre par ses paroles insipides et mensongères !

Vive le Roy!
Vive le BA !
Sus à nos ennemis !

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Bubul27

Lightnicolas007 a écrit:

Light sourit, il venait de recevoir un pigeon.

Ce n'est pas très bien de demander à la bourgogne, de nous laissez passer pour prendre le berry à revers.

Malheureusement je doute quelle accepte.

Et les mouvements de troupes ont d'abord été effectuer en ba et point en berry.

Nous avons même prit un noeud berrichon sans leur déclarer la guerre au préalable il ya peu, si je me souviens bien.

Cela pourrait être classer comme acte de félonie.

Rien d'autres à redire ! on vous aurait menti amis auvergnats !
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Georgepoilu

A la lecture de la lettren, George répond à Bubul

allons mon ami, laisse donc ce duc mentir à ses sujets. Adepte du sans nom, moi qui ait toujours été pieux et même récompensé par notre sainte mère l'église il lui montre discrètement son étoile d'argent d'Aristote

Tu sais ce Duc se fiche de savoir combien d'hommes il va envoyer mourir chez nous, il est bien tranquillement assis dans son chateau et ne risque pas sa vie ...
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Whoopie60

Garius

Ysabeau

Elmichele

--La_belle_douce

[Le Campemant Berrichon après la bataille...]

Berruyer

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[RP] Lettre aux auvergnats