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[RP] Au Plaisir d'Aphrodite

Aphrodite.
Dans une ruelle sombre éloignée du centre du village une nouvelle maison venais d'ouvrir ces portes. Une maison comme les autres en apparence, une maison simple qui ne paie pas de mine, sans écriteau, sans lampion.




Qu'est-ce que cette demeure ou les gens entre en se dissimulant le visage et ressorte le sourire aux lèvres ?
Qu'est ce que cette maison sans écriteau à l'entrée pourtant connue de tous ?
Qu'est ce que cette maison ou l'ont pouvait entendre des rires à l'intérieur et apercevoir quelque chandelle de la fenêtre ?

Pour le savoir, poussons donc les lourdes portes. A l'intérieur une ambiance feutré intime qui met tous de suite en confiance. Sur la droite on peut apercevoir un comptoir qui peut faire penser a une taverne, mais détrompez vous, ce comptoir est là afin de permettre à la propriétaire des lieux de vous accueillir dans tous les respects qui vous sont dues.
Mais pour finir qu'est-ce que se lieux ? Et bien ce lieux messire et fait pour vous, ce lieux et ce qu'on peux appelée dans le langage vulgaire, une maison close, ou bordel, le terme reste à votre convenance.

Mais voyons, ne soyez pas timide ! Entrez ! entrez ! vous y serais accueillit par le sourire de la tenancière, Aphrodite, et même peu être plus. Elle pourra vous conduire à l'étages ou se trouve quelque unes des plus belles dames du royaume; dames qui sont à votre service bien sur...

Si vous le voulez bien, présentons ces Dames :

Voici :

Aphrodite, Marquerelle et propriétaire de ce lieu.

Ses filles :

Eliebertine la douce

Lys la sensuelle

Roxane la sauvage



RP Ouvert à tous, mais attention, ce Topic doit restez correct, langage correct exigée, pas de terme vulgaire, des plus jeunes ayant acces au forum. Préferez la suggestion. Et les Pnj sont les bienvenue.

Autant s'instruire un peu au passage :

Citation:
La prostitution

À l'aube

La prostitution est aussi sacrée dans plusieurs peuples, de Mésopotamie, Grèce, d’Inde. Effectivement un acte voué à la déesse de la fertilité: les prostituées sacrées deviennent les épouses de tous. Dans le genèse (XXXVIII) on trouve la présence de ses prostituées sacrées. La prostitution, s’effectuait donc pour la religion et l’argent que donnait les clients pour accomplir l’acte, le rite, était reversé au temple. Mais les chefs d’état finiront par remarquer l’argent que rapporte cette activité et finiront par créer des maisons de prostitution afin d’avoir de l’argent, et plus pour honorer un culte.
Pour les sociétés archaïques, la prostitution permettait aux femmes de se créer une dot, afin de se marier.

A Athènes, les prostituées permettaient aux hommes d’assouvir leurs désirs sans s’en prendre au femmes mariées ou aux jeunes filles libres. Hors dans une société grecque misogyne, les prostituées sont souvent considérées comme esclaves, et si elles sont seules elle doivent racoler les hommes. Mais il y a aussi une catégorie au sommet de la prostitution grecque, les héraïtes: ce sont des prostituées de luxe, qui apportent distraction culturelle, intellectuelle.

À l'époque romaine

Dans la société romaine héritière de la Grèce, les femmes sont des prostituées légales, inscrites sur un registre, l’état met en place des taxes (proxénétisme ?!?) sur cette activité. Les esclaves sont eux au service de leurs maîtres, peuvent donc être utilisées pour les plaisirs. OR, il est impossible de les condamner pour adultère, ainsi dans cette société romaine on a vu des femmes s’inscrire sur le registre de la prostitution pour échapper aux peines contre l’adultère.

De nos jours (Moyen Age)

Aujourd’hui, on utilise la prostitution pour détourner les hommes de l’homosexualité. D’ailleurs les bourgs sont amenés à organiser la prostitution pour calmer les viols en bandes. Ainsi la prostituée, est habillée de façon distincte pour qu’on la reconnaisse. Et toutes croient en leur repentir en s’identifiant à une sainte. Ainsi il est arrivé que des prostitués offrent aux églises des présents. Les prostituées évitent à cette époque le rapport vaginal, la contraception n’existant pas. Ainsi la prostitution étant un besoin pour calmer les hommes, on voit a cette époque des femmes maîtresses des papes. Mais elles sont aussi les compagnes des soldats.

Un peu d'histoire

De 527 à 565, une loi a été mit en vigueur voulant que tous les proxénètes tels les souteneurs et les maquerelles soient punies sévèrement s'ils sont trouvés coupable de pratiquer ces métiers. Pour la première fois, une loi s'attaquait aux problèmes de la prostitution par ces racines. Par le fait même, les lois interdisant aux ex-prostituées de se marier furent également abolies. D’autres avaient bien essayé d'interdire la prostitution, en ordonnant d'envoyer en exil tous les pères, époux, ou maîtres qui prostituent leurs filles, femmes ou esclaves.

Les nombreuses tribus germaniques quant à elles, partageaient souvent le même avis sur le sujet. Pour ces tribus, la prostitution représentait une malédiction à combattre. En effet, il parait que les proxénètes étaient jugés très sévèrement, car ils étaient passibles de la peine de mort pour avoir commis un tel crime. Une nouvelle loi prit jour, pour la première fois les femmes de petites vertus étaient aussi coupable que les proxénètes et elles étaient justiciables du fouet.

En France, malgré le fait que tous les chefs francs ont des harems, ou des gynécées ou y vivent leurs concubines, la prostitution pour le commun des mortels n'est aucunement tolérée. En effet, les capitulaires stipulent que toutes personnes qui racolent, aident des prostituées, ou encore tiennent des bordels, sont passibles de flagellation. En fait, les prostituées sont perçues comme de très graves criminels, car elles sont passibles de 300 coups de fouets, en plus de voir leur chevelure coupée. En cas de récidive, la loi était intransigeante, et la criminelle était vendue au marché des esclaves.
La prostitution était un phénomène rare étant donné que la société franque était majoritairement rurale, et que la prostitution est un phénomène essentiellement urbain. Toutefois, des soeurs vivant au couvent ont été trouvées coupables de se livrer à de telles activités pour augmenter leur revenus.

De 1226 à 1270, la politique face à la prostitution fut changeante, passant de la prohibition à la tolérance. Un édit passa en 1254, où il menace d'extradition toute personne faisant indirectement ou non de la prostitution son métier. Alors commença une dure répression, et la prostitution clandestine remplaça les maisons de débauches ouvertes à tous. Mais les hommes s'en plaignants furent nombreux, argumentant que depuis la publication de l'édit, il est difficile pour eux de protéger la vertu de leurs femmes et de leurs filles contre les assauts de violence que canalisaient autrefois les bordels. L'édit fut donc révoqué deux ans plus tard, et un nouveau décret a rétabli la prostitution, à condition que différentes règles soit suivies.

De 1096 à 1099, les prostituées ont suivit les troupes de croisade en grand nombre. Toutefois, on peut croire que ce nombre augmenta rapidement car pendant la huitième croisade, les livres de comptes royaux font état sous la rubrique "camp followers" que l'État devait payer un salaire à environ 13 000 prostituées afin d'encourager les troupes à continuer la guerre sainte.

Un discours ecclésial du XIe et du XIIe siècle, fait état d'un double standard en ce qui concerne la prostitution. Tout d'abord, il considère la prostitution comme un mal, mais d'un autre part, il admet sa nécessité. D'ailleurs, il stipule qu'une femme s'ayant adonné à de tels actes devait se soumettre à une pénitence de six années, alors que son partenaire devait jeûner pendant dix jours. Donc, il montre par la même occasion que l'acte de la femme est beaucoup plus grave que celle de l'homme, et que le mal se situe du côté de la prostituée et non de celui qui en a besoin comme exutoire.

La première tentative de sanitarisme dans le domaine de la prostitution remonte à 1360 avec l'établissement d'un bordel en Avignon où les filles étaient largement contrôlées par des médecins et une abbesse. Cette initiative était bien sûr faite pour renflouer les coffres du royaume, et non dans une perspective humaniste, mais elle a tout de même créé un précédent.

Étant donné que le Grand Conseil de 1358 a mentionné que "les pécheresses sont absolument nécessaires à la Terra", mieux vaut organiser et contrôler ces dernières. En effet, à partir du XIVe siècle, on assiste à un effort d'institutionnalisation de la prostitution visant à tirer profit de ce commerce, mais surtout de le restreindre à certaines zones de la ville. Puisque les bordels seront dorénavant considérés comme nécessaires par l'Église, les municipalités et les élites des royaumes, tels le clergé dégénéré de l'époque, en prendront rapidement le contrôle et en tireront évidemment profit.

Une savoureuse anecdote nous dépeint bien comment les codes vestimentaires furent établis. C'est l'histoire d'une reine qui aurait partagé le baiser de paix à l'église avec une courtisane richement parée. Apprenant d'une dame l'erreur qu'elle à commise, demanda au roi d'interdire à des femmes de petites vertus de porter "...de si riches toilettes, de sorte qu'on ne puisse les confondre avec les honnêtes gens." Bien sur, ce n'est qu'une anecdote, mais elle reflète une réalité; les femmes de bonnes vertus veulent se démarquer des courtisanes, et éviter que de telles erreurs se produisent.

On voit donc apparaître au XIVe siècle toute une série de règlements visant à ségréguer les prostituées. Tout d'abord, on commence par restreindre leurs activités à l'île du Rialto, soit le quartier des affaires, et en 1360, on leur interdit de se rendre dans le Rialto Nuovo. De la même façon, on leur permet de racoler dans les ruelles, mais non sur l'artère principale du marché. A partir de cette date est également né un "hôtel public, contrôlé par la République". Ensuite, on leur interdit, à partir de 1438, de franchir le seuil des tavernes, et en 1460, un capitulaire ordonne à toutes les prostituées de rejoindre la maison, sinon elles seraient passibles de 10 livres d'amende et de 25 fustigations.

Tout comme vous avez pu le constater, malgré les interdictions de toutes sortes, la prostitution à traversée les temps. Évidemment, on peut constater que les élites de la société ont souvent prêché leurs intérêts, et que parfois, ils ne mettaient pas toujours en pratique ce qu'ils prêchaient. Certains se sont bien sur enrichis sur le dos de la pauvre putain, mais certains ont aussi réellement fait des efforts pour améliorer son sort. En terminant, notons que les hommes ont souvent condamné la prostitution en public, mais que ces derniers l'ont toujours fort apprécié en privé.


Références
: http://www1.france-jeunes.net/lire-l-histoire-de-la-prostitution-22384.htm
: http://www.idee-k.com/historiart/prostitu.htm


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A votre service...



"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."

Larti
Voilà qui est intéressant
Eliebertine
Enfin une maison comme elle le rêvait, elle entra dans la somptueuse demeure regarda le décor de la maison et se dirigea vers la tenancière la salua comme il ce devait et lui glissa quelque mot dans l’oreille, votre maison est splendide je suppose que vous êtes a la recherche de jolies femme de la Flèche suis a votre disposition. Je me décrit un peu je ne suis pas grande et j’aime faire plaisir a mon entourage que de petite chose mais qui fait tellement de bien au autre. Rien que pour votre plaisir et le plaisir des yeux.
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux
Aphrodite.
Aphrodite venais juste de finir les arrangements qu'elle vit un sire s'arrêter devant la bâtisse et la regarder intéresser. Aphrodite sourit et lui fit un petit signe de tête de loin, ne voulant pas le forcer a pénétrer dans la demeure. A peine eut t'elle détournée le regarde qu'elle vit une dame entrer d'un pas décider dans la maison. Elle fut tous d'abord surprise de voir une femme mais celle-ci se dirigea droit sur elle et lui murmura quelque mot à l'oreille.

Aphrodite sourit et jetta un bref regard sur la tournure de la Dame. Elle l'avait déjà rencontrer en taverne et se rapeller de sa première penser en la voyant. Elle était bien faite et était mignonne, et surtout elle avait se petit truc en plus. Aphrodite chercher des femmes de sa tournure et lui sourit :


Vous êtes sure de ce que vous me proposez Dame Eliebertine ? Vous n'allez pas le regrettais j'espère, Vous êtes bien sur libre de partir a tous moment. Vous serez payez en fonction de la recette, en part plus ou moins égale avec les autres...

Excusez de vous demandez ça, mais avez vous qu'elle expérience en se domaine ?


Aphrodite vit la dame acquiescer d'un signe de la tête.

Bien je vous laisse quelque jour pour réfléchir, ce n'est pas une décision a prendre à la légère. Il va s'en dire que si vous nous rejoignez vous "m'appartenez" et vous devrez m'obéir un minimum. Je vous rappelle quelque règles qui peut être vous aiderons à prendre votre décision. Pas de travaille derrière mon dos, de la discrétion envers ce lieux, je ne tient pas à voir la maréchaussée ici. Si vous êtes ici, vous n'êtes pas ailleurs.Il n'y a pas possibilité de sélection... oh, et j'ai faillit oublier le plus important : n effet, ce qui se passe derriere les murs, restent derriere les murs! Si vous avez des questions ou des réclamations venez me voir. Sinon bienvenue au Plaisirs d'Aphrodite...

Aphrodite espère que la dame réfléchira a deux fois, ne voulant pas de filles "girouette" ici.
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A votre service...



"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."
--Lys



Lys examina la façade de l'etablissement, une façade discrète bien entendu, rien ne laissait présager ce qui pouvait se passer à l'intérieur. La fille de joie s'arrangea les cheveux et son décolleté pigeonnant, puis rentra. Elle sourit... Elle connaissait cette ambiance intimiste, ces tentures rouges, des fauteuils confortables et...ces fameux escaliers montant sur les chambres. Des miroirs...d'ailleurs elle en profita pour se regarder dans l'un deux et vérifier qu'elle était bien à son avantage.
Une longue chevelure blonde, qui ondulait légèrement, menue elle n'était pas des plus pulpeuses, mais ses yeux dégageaient beaucoup, elle avait un teint de porcelaine et un bouche gourmande. Sûre de son allure, elle se présenta devant la maquerelle. Celle-ci était déjà avec une fille. Une main sur la hanche Lys s'adressa à la tenancière:


Parait que vous cherchez des filles? J'étais dans une maison à Paris avant, j'ai atterris ici et je cherche du travail. Je suis à votre disposition si ça vous intéresse.
--Hank_le_borgne



Hank avait toujours le nez, à défaut de l'oeil, pour sentir les bonnes affaires.

Après avoir poursuivi Rosa et la Blonde à travers tout le royaume il était revenu à La Flèche histoire de se refaire une santé. Bien sûr il s'ennuyait, ça manquait de belles poules à se mettre sous la dent et même sans ça...ça manquait tout court d'argent. Hank préférait avoir un bon morceau de viande plutôt que manger du pain rassis tous les jours.Mais la viande ça coutait cher donc...fallait bien qu'il mette au travail 2 ou 3 petites.

Arpantant les rues il avait remarqué cet établissement et la superbe tenancière.
Hank n'aimait pas rater des occasions aussi poussa t-il la porte et débarqua dans l'univers feutré d'Aphrodite.


B'jour!

Hank séduisait les femmes souvent, c'est comme ça qu'il arrivait à s'en servir après. Sa brutalité venait ensuite pour les tenir un peu plus. Mais des manières il savait en user.

Mademoiselle! Je vous ai aperçu, délicieuse jeune femme et je me suis dis que nous devrions faire connaissance.

Hank s'approche d'Aphrodite tout en lorgant un peu les autres filles présentes.
Eliebertine
Toujours en train de regarde le décor de la maison. Dame Aphrodite un peu surprise de ma venue, m’expliqua le mode de la maison et voir mon expérience dans ce métier. si vieux et si dure a la fois. Oui Madame Aphrodite je suis sur de ce que j’avance et non je ne regretterai pas et question d expérience.Je n’ai pas grand-chose, mais juste le plaisir des autres m’importe. Voilà j’espère que ma réponse vous suffira et je devrais vous parle en privée si c’est possible. A plus tard d’ame Aphrodite et ha oui je ne suis pas marié donc je suis une demoiselle. P.s je ne suis pas une « GIROUETTE »

Effacer le dessin peut être trop découvert lol
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Rien que pour vous et le plaisir des yeux
Aphrodite.
Aphrodite finissait de discuter avec Elibertine :


Citation:
Oui Madame Aphrodite je suis sur de ce que j’avance et non je ne regretterai pas et question d expérience.Je n’ai pas grand-chose, mais juste le plaisir des autres m’importe. Voilà j’espère que ma réponse vous suffira et je devrais vous parle en privée si c’est possible. A plus tard d’ame Aphrodite et ha oui je ne suis pas marié donc je suis une demoiselle. P.s je ne suis pas une « GIROUETTE »


Bien j'aime se genre de discours, bienvenue dans cette établissement Elibertine, je pense qu'on se reverra rapidement en taverne.


A peine eu t'elle finit de discuter avec Elibertine, qu'une jeune femme blonde un peu menue entra avec assurance. Aphrodite la jugea en très rapidement du regard, le teint blême, les lèvres rouge, mais surtout un regarde a vous couper le souffle.

--Lys a écrit:
Parait que vous cherchez des filles? J'étais dans une maison à Paris avant, j'ai atterris ici et je cherche du travail. Je suis à votre disposition si ça vous intéresse.


Aphrodite lui sourit, elle savait ce que chercher les hommes et entre Elibertine plutôt pulpeuse et le regarde de la dame qui en disait long, elle savait qu'elle avait touchée le gros lot.

En effet cela m'intéresse. Pourais-je savoir votre nom ?

Aphrodite s'approcha de la dame pour mieux la jugeait et la regarda sous toute les couture avant de s'arrêter sur son regarde.


Vous êtes fort mignonne mademoiselle. C'est bien dommage de voir de voir un si jolie minois finir comme cela. Quand seriez vous susceptible de commencer ?
Je vous rappelle les règles, même si elle doivent surement être les même qu'a Paris : vous devrez m'obéir un minimum. Pas de travaille derrière mon dos. de la discrétion envers ce lieux. Si vous êtes ici, vous n'êtes pas ailleurs.Il n'y a pas possibilité de sélection...et ce qui se passe derriere les murs, restent derriere les murs, afin de respecter au maximum l'intimité des clients. Sinon bienvenue au plaisir d'Aphrodite.

Vous pouvez vous installée ici, choisissaient vos chambres avant qu'elle soit prise, c'est valable pour vous aussi Elibertine.

Aphrodite sourit à la jeune fille.

limite la photo Elibertine, moi ca me choque pas, mais les censeurs sont strict et ils n'ont pas toujours tord.
Ricks
Ricks, en chemin entre la mairie et poste de police passa devant l'établissement qu'Aphrodite lui avait indiqué, il se demanda combien de temps l'église allait tolérer cette maison close par ici. En tous les cas, il espérait juste que les rideaux resteraient bien clos, afin que personne ne puisse être choqué en passant devant.
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--Jeunehomme
Les occasions se faisaient rares pour le jeune homme de s'amouracher d'une fille une seule nuit par La Flèche ces derniers temps. La plupart des donzelles se trouvaient un mari et s'enfermaient dans une vie vite plan plan avec en ligne de mire, le baptême, le mariage, le(s) bébé(s).

Mais que vaut la vie si elle n'est pas vécue au triple galop, en profitant tel un disciple d'Épicure tous les plaisir que l'existence, le Très Haut et les autres peuvent nous procurer ? Le jeune homme était bien décidé à ne jamais se marier ou avoir de descendance, il aurait de toutes les façons fait un très mauvais père, se détournant d'eux pour profiter de ce qui lui importait plus.

Et ce qui lui importait ce soir au bel éphèbe était de se vider les bourses, celles contenant des écus, et les autres ... Il avait appris par ses amis friands de marivaudage et d'amourette sans lendemain qu'une maison de passe avait ouvert en bordure de village. Il n'eut pas besoin de réfléchir trop longtemps avant de se décider à s'y rendre, en fait cela ne lui pris que le temps de rassembler les écus nécessaires à un aller simple pour l'extase.

Prenant son temps sur les routes sinueuses de l'orée du hameau, notre jeune homme s'égayait à mesure qu'il avançait, s'ouvrant l'appétit, mais pas celui du ventre.


"J'espère qu'il y en aura des jeunes, et pis belles hein, sinon ça vaut pas le coup, je préfère regarder des effeuilleuses pour pas un rond en taverne que devoir assouvir mes désirs entre les bras d'une plus forte que moi ... "


Il repéra vite l'établissement recherché, celui ci offrait au passant une devanture sobre, bien que les chandelles aux fenêtres permettaient clairement de comprendre la nature de cette maison. Il entra sans frapper, et la il vit trois catins, c'était du sacré standing, comme diraient les Anglois. Le breton aperçut un homme à l'allure patibulaire, sûrement un autre client, avec une balafre à la place de l'œil. À la vue de son visage peu gâté par la nature, on comprenait aisément le pourquoi de sa visite : à cœur vide, rien de repoussant. Il jeta un regard aux trois charmantes femmes qui devisaient sans s'être aperçue de son arrivée. Après avoir éludé les deux premières, du fait de leur peu de décence bien qu'assez généreuse dotée, c'est là qu'il posa le regard sur celle qu'il voulait, celle qu'il allait posséder, celle qu'il allait pénétrer corps et âme.

Il s'avança à pas de loup dans le dos de la jouvencelle qui portait d'affriolant bas blancs, et une légère mousseline rose fendue plus qu'au dessus de la hanche. La roideur lui tançait déjà les braies quand il plaqua son bassin contre la croupe de la donzelle, lui faisant sentir son désir. Puis il passa ses bras autour de la svelte taille de la damoiselle qui était petite et semblait frêle. Pourtant en plongeant ses narines dans sa chevelure presque blanche car d'un blond très enfantin, la nubile dont il s'enivrait des fragrances douces amères lui promettait déjà une belle partie fine.

Se voutant un peu afin de pouvoir approcher ses lèvres de l'oreille de la donzelle, il lui murmura dans un souffle :


"Combien tu m'aimes ma toute belle..."



Si la description n'était pas assez précise, le Jeunehomme s'est approché de Lys
Aphrodite.
A peine eut -elle finit avec ses deux nouvelles recrues qu'un sire d'allure assez avenante entra d'un pas décider. Les deux filles n'ayant pas encore eu le temps de s'installée il les salua toute les trois, avant de s'adresser à elle :

Citation:
B'jour! Mademoiselle! Je vous ai aperçu, délicieuse jeune femme et je me suis dis que nous devrions faire connaissance.


Aphrodite lui fit un sourire qui en déstabilisé plus d'un:

Bienvenue au Plaisir d'Aphrodite Messire. Je me présente Aphrodite la propriétaire de ses lieux. C'est avec plaisir que j'espère pourvoir vous être utile. Voulez vous que je vous présentes les filles ?

Aphrodite sortit de derrière le comptoir pour s'approchait du Sire. Elle avait toujours cette démarche avec un léger déhancher lorsqu'elle avançait. Tandis qu'elle discutait avec le premier homme, un autre homme s'était furtivement glissé derrière Lys. Elle ne le remarqua que lorsque que celui parla. Elle tourna vivement la tête et jugea rapidement la situation et sans un mot fit un signe de tête à sa nouvelle recrue en direction de l'escalier, n'ayant pas encore eu le temps de leur montrer les lieux. Elle sourit interieurement, c'était l'occasion de voir ce que valait la donzelle.
Silver.
Silver passait dans la rue lorsqu'elle aperçut la batisse dont lui avait parlé la jeune demoiselle croisée la dernière fois en taverne .

Elle avait particulièrement appréciée la franchise de ... comment déjà oui voilà d'Aphrodite .

Bien décidée a venir voir si elle n'avait pas eu trop d'ennuis , elle jeta un coup d'oeil dans la rue et n'aperçevant personne glissa la tête part la porte avant de rentrer complétement à l'intérieur .
Sa cape sur les épaules elle aperçue plusieurs femmes, hommes ainsi que Aphrodite .
S'approchant d'elle elle lui fit un grand sourire en disant .


"Bonjour Aphrodite . Vous allez bien ? Je passais juste pour voir si vous n'aviez pas eu trop de problèmes avec la municipalité et la police ?
Savoir si tout ce passait bien pour vous ?"

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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

Aphrodite.
Apres avoir était surprise par l'arrivée discrète du jeune homme voila qu'une dame entra. Aphrodite releva la tête et la reconnut tous de suite, c'était Dame Silver rencontrer en taverne.

Excusez-moi Messire, je reviens...

Aphrodite se dirigea vers la dame d'un pas calme toujours avec un petit déhanchée discret et la salua.

Citation:
"Bonjour Aphrodite . Vous allez bien ? Je passais juste pour voir si vous n'aviez pas eu trop de problèmes avec la municipalité et la police ?
Savoir si tout ce passait bien pour vous ?"


Bonjour Dame Silver, c'est très aimable de venir me rendre visite.

Aphrodite s'arrêta pour sourire et enchaina :

Pour l'instant je n'ai pas encore eu de problème, et j'espère ne pas en avoir..dit-elle en touchant du bois. Voulez vous restez un instant ?

Aphrodite lui désigna deux trois fauteuil derrière elle

Par contre je ne vous promet pas de pouvoir vous tenir une longue conversation...J'ai deux trois choses encore a faire.

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A votre service...



"Si n'être point cocu te semble un si grand bien, ne point te marier en est le seul moyen..."
Silver.
Aphrodite l'aperçue et lui rendit son salue et lui proposant de rester quelques instants lui disant :

"Par contre je ne vous promet pas de pouvoir vous tenir une longue conversation...J'ai deux trois choses encore a faire."

Silver dans un sourire s'excusa poliment et répondit :

"Je m'excuse mais non merci je passais juste voir si tout allez bien .
Merci encore et bonne chance !"


Elle la salua et sortit aussi discrétement qu'elle était entrée .
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Tout simplement, mais que dire de plus quand il n'y a rien à conter ...

Silver . Damoiselle Argent. Jeune Flêchoise

--Lys


Lys sentait le regard de la tenancière l'examiner avec soin. Elle sourit légèrement...Elle en avait l'habitude. Déjà 4 ans qu'elle exerçait pour le plaisir des hommes, elle espérait que dans une ville de province son boulot serait plus calme. Plein le dos, des tarés en tout genre, de leurs déviances, de leurs complexes, de leurs désirs, de leurs peines... Paris renferme une multitude de débauchés de toutes classes dont les bordels en sont le point de convergence.

Elle allait répondre à sa nouvelle patronne quand le travail arriva plus vite qu'elle ne le pensait. Un homme qui ne perdait pas de temps apparemment... Lys sentait le désir de son client contre elle, quand celui-ci l'entoura de ses bras et lui posa la question tant attendue. Lys capta le regard d'Aphrodite , elle sourit faiblement puis se tourna vers son interlocuteur et se plaqua contre lui. Elle glissa ses bras autour de son cou tout en balançant son bassin contre celui de l'homme de manière suggestive. C'est alors qu'elle sentit une bourse contre elle qui produisait un joli son. Elle glissa alors son bras le long du corps du jeune homme, en prenant soin d'effleurer son entrejambe, puis elle tâta la bourse. D'une voix suave, elle lui dit à l'oreille.


Je t'aime déjà

La catin s'éloigna de son client et se posta devant les escaliers, elle s'appuya sur la rampe d'une manière lascive écartant légèrement les jambes, dans un regard plein de sous entendus elle attendait que l'homme la suive.
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