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[RP] Bordel mais ça roupille là dedans!

Thl9395
[ EN CAMPAGNE BERRICHONNE ]


Réveil bizarre ... une odeur d'herbe, de sang et de brûlé et quelqu'un qui le secoue violemment ... Théo ouvre un oeil. Autour de lui, des gens s'affairent, d'autres sont allongés... gémissements... cris de douleur et plaintes montent de partout. Tournant sa tête, il aperçoit le boss, étalé à côté de lui... Et le film des derniers événements lui revient en mémoire .

Ils étaient bien placés pourtant. Lui à la gauche du "captan", comme les autres l'appellent. Normal, c'est son côté le plus habile, il est gaucher ce qui est somme toutes pratique quand on avance à deux de front. Puis ... les images s'emmêlent .... Un coup violent à droite, derrière, et simultanément un mouvement sur sa gauche. Un Berrichon un peu audacieux, puis un second et hop, les coups d'épée volent ... Soudain une douleur violente. Théo baisse les yeux pour voir une hache se planter dans son tibia gauche et c'est à ce moment qu'un des barbares lui fond dessus ... et que le Namay s'interpose, prenant le coup à sa place ...

Il enrage le Théo ! Il tente de se lever, puis rampe vers Namay, jusqu'à arriver à sa hauteur , fou furieux. Mais avant qu'il ait le temps de dire quoi que ce soit, deux paires de mains le hissent sur un semblant de civière et il se sent partir vers de douces contrées ouatées ....


[ REVEIL AU CAMPEMENT - PORTE DE GUERET ]

Encore sonné, il regarde la jeune femme qui termine de lui emballer la jambe, prêt à bondir. A peine a-t-elle fait le dernier noeud qu'il se redresse et empoigne la paire de béquilles posées non loin. La tête tourne, il en perd presque conscience. La douleur réapparait immédiatement mais peu importe, il faut qu'il le voit. Qu'il le secoue ...
Il sort, appuyé sur les béquilles et attrapant un jeune gamin qui passait à sa portée, il lui demande où se trouve Namay. Immédiatement, il prend la direction de la tente vers laquelle pointe le doigt, la sueur perlant déjà sur son front, tant la douleur est intense. Mais laquelle en fin de compte ? Qu'est ce qui est pire en ce moment ? La douleur physique ou le malaise, la honte et la rage qu'il ressent d'avoir failli à sa mission?

Il entre dans la tente ... et s'arrête. L'émotion le submerge d'un seul coup. Lui allongé ... Alcy .... et là, ces cheveux ébènes il les connait mieux que quiconque.... Théo vacille , les parois amorcent une danse bizarre ... puis le noir complet. Rideau.

Attila_caligula
La colonne des éclopés remontait la rue principale de la ville, les uns aidés ou portés par les autres, couverts de boue, sang et terre mêlés.
Peu de mots, pas de cris. Les valides avaient cette lueur farouche dans les yeux, cet éclat qui fait qu'un soldat endure, et endure encore.

Le jeune vicomte regarde sur le pas de l'auberge la troupe désordonnée mais solidaire.
On lui a rapporté qu'à Limoges, certains se croient autorisés à insulter ces hommes et femmes pour la simple raison qu'ils accaparent la gloire du combat, par leur sang et leurs souffrances.

Pas le coeur à rire.

Les nouvelles sont mauvaises. Des soldats qui hier encore n'etaient que des inconnus sont tombés, d'autres les pleurent si amèrement qu'on craint la folie.
Et pourtant, ci et là, un homme récupère un bouclier, une femme se fait rapidement panser, puis lance un regard vers le nord.

Rien n'est fini pour ceux là, les comptes continuent de tourner. Il faudra payer.


[En taverne]
Même éclopés, les Memento Mori continuent d'effrayer le bourgeois.
Pourtant pas bien méchant le Burrich. Un joyeux, un gai, un taquin.
Même Mère pourtant prompte au courroux, le croirait ami d'enfance de son rejeton. Et accepte les mauvaises manières et la rudesse avec le sourire.
Et puis la 'baronne' arrive.

Le jeune Leu en oublie vexations et humiliante rebuffade de La Boule. Il va la voir, lui dire qu'il part, avec ou sans elle, de préférence avec.
Elle acquiesce sans un mot, puis se rue au chevet de son père.

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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
Namaycush
[Chateauroux, la charge]


La terre bérichonne tremble sous le martèlement des sabots de la cavalerie lourde alliée…Bruit sourd qui grandit, qui bientôt résonne pour se répercuter contre les murailles de la cité du Berry…L’assaut qu’il commande prend une trajectoire courbe, le but est clair, faucher en tirailleurs les défenses sur les flancs…et imprime à la troupe un mouvement circulaire

Enivré de sang et de vin, dans l’éclat grandissant des torchères de la ville l’esprit voit la scintille de pierres enchâssées de feu, ……roux, brun…brun, roux…Alcyone, Kay….Kay, Alcyone…roux sur brun au châtain partagé…

Soudain détonations sourdes qui zèbrent la nuit…l’artillerie…pendant que les boulets sifflent alentours, il s’ébroue, secoue énergiquement la tête avant que Trouffion le bâtardon, le canasson de charge de toutes les guerres ne soit fauché par boule de métal enflammée…et déchiqueté s’effondre entraînant son cavalier qui boule, roule dans l’herbe humide de la nuit d’automne….dernier regard sur l’animal aux yeux hurlant la douleur et l’adieu…avant de l’achever d’une dague malheureuse dans sa carotide et d’y imprimer un quart de tour pour la sectionner rapidement…

Soudain, dans le fracas et le cliquetis des armes, et au reflet des torchères il reconnaît le Guyennais, meneur de la Desembarrata, celui-même qui souilla et viola la Terre de Gascogne et ainsi la Mère….Plus loin le Sombre tombait déjà englouti par une meute avide ….

Alors soudain au mépris du bon sens, un Capitan dans la force de l’âge et toute la splendeur de la mâle arrogance de l’Officier court de plus en plus vite dans sa direction…tel Achille au milieu de ses Mirmidons….un groupe d’hommes lui barre le chemin, il n’en a cure, s’élance en l’air et d’un moulinet horizontal de lame comtale…frappe….


Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Elvis_. Vous l'avez grièvement blessé.


avant que la brûlure d’une autre lame irise sa tempe droite….

Citation:
16-10-2009 04:09 : Jacques.rogy vous a porté un coup d'épée. Vous êtes mort au combat.


Emeraudes qui se troublent, sang qui gicle, corps qui boule, tête qui se tourne en direction de Guéret

Bras qui se tend…Paume qui s’offre…phalanges qui s’écartent ….

Corps et âme qui sombrent….poing qui se serre…Epée qui se fiche en terre, verticalement dressée…et étend son ombre à mesure que le soleil monte sur un corps de soldat, telle la protection puissante de Ste Anne.


Puis plus rien, le néant, il flotte cotonneux….les limbes, les nimbes…y serait-t-il ?

Certes non la douleur lancinante qui frappe comme trois carillons à jour de Pâques contre son crâne n’a rien d’agréable….


[Guéret]


Une odeur…inimitable…l’alcoolique est dans le coin….puis sensation étrange, familière, une première, une seconde…

Le murmure qui chante à ses oreilles arrache un sourire inconscient à ses lèvres…Ael, elle est là…elle lui parle…s’amuse de ses mots…puis soudain l’Elle, là il tique, tremblement d’échine…il penche la tête contre la main qui caresse, réflexe de poignet vif, l’enserre, la clave puis entremêle ses doigts dans les siens…paupières qui à mi-clos dévoilent le jade intense, clair et limpide déjà accroché à celui du Nous….son autre bras se tend, entoure la
tête de sa fille et la plaque contre son torse…..


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Aelyce_h

Tête contre contre le coeur de son père, elle le serre précautionneusement, peur de lui faire mal, puis son regard croise celui de Burrich, il avait demandé au gamin d'avertir la comtesse et en peu de temps elle était là, à peine le temps de sourire au Gascon, la poche à gnôle fidèle à son père, que sa mère taquinait sans cesse, parfois il était si plaisant de voir des piliers immuables au milieu d'une vie déchaînée et trop instable, en lui elle humait la Gascogne, ses terres chaudes.

La flambante surgit, que de douceur à l'inquiétude mêlées. Qu'elle aurait aimé que leurs retrouvailles soient autour d'un verre de rouge, moins rouge que ce sang qui coule des entrailles de son père.
Un rictus, ni sourire ni grimace, un silence et sa main vient presser tendrement son bras tandis qu'elle s'approche de son compagnon.

Moment d'intimité qu'elle sait ô combien précieux. Aelyce chuchote doucement à Alcyone
"Je ne suis pas loin si besoin de quoique ce soit, ne t'inquiète pas il s'en sortira"
Soudain elle aperçoit Théo et son sang ne fait qu'un tour, elle le pensait au Perigord avant de venir quand Mousse le lui apprit dans un courrier. La mine harassée, le visage aigri, traits tirés et des blessures de guerre, elle l'avait connu et vu en meilleur état. Deux baisers sur sa joue, quelques mots échangés pour s'assurer qu'il va bien avant de lui serrer la main et lui chuchoter que malgré tout ça lui faisait plaisir de le revoir, qu'elle esperait qu'il se rétablisse bien vite, avant de lui glisser à l'oreille "Il faut qu'on parle Theo quand tu iras mieux".

Puis elle sort sur la pointe des pieds laissant Theo s'approcher de namay, derrière le rabat de la tente lui apparaît le vicomte, un regard échangé qui en dit long sur sa résolution à aller en guerre.


-Vicomte, je suis plus motivée que jamais à y aller, vous êtes prêt à partir demain? Le ton grinçant trahissait son envie à venger son père, à retrouver Mousse, ses ambres mordorées croisant ses yeux jaunes. Il est des moment où les promesses qu'on fait vole en éclat malgré nous "Pardon mon baron de désobéir mais je partirai coûte que coûte me battre" Pensa-t-elle pour elle même.

Edit : Rp modifié car le pas lu la réponse de Thl, navrée de l'avoir zapée malgré moi.

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Mordom
[Quand ya mort d'hommes...]

Mordom était prêt, entouré de combattants animés pas la meme envie: celle de se battre jusqu'à la mort... enfin il ne croyait pas si bien dire a ce moment...
Peut être que les raisons étaient différentes, lui meme ne savait pas beaucoup de chose sur le but de tout cela mais qu'importe, cet homme voulait juste vivre sa vie et se trouver la ou il y avait de l'action; sûrement qu'une autre raison le poussait mais elle était encore obscure pour lui... ou peut être qu'il ne voulait pas se l'avouer tout simplement.
Ce qui était sur c'est que le sang inondera bientôt les terres berrichonnes... p'tet' meme que ca s'ra l'siens !


Les armées débouchèrent donc dans la plaine du combat a venir, on pouvait maintenant bien distinguer la ville autrefois traversée par le combattant, elle était entourée de ses remparts et on pouvait voir les défenseur au sommet.

Une vision lui revint alors, celle de cette ville visitée quelques mois auparavant, il se souvint...:
Les éclats de rire, le portes grandes ouverts ainsi que tous les les bruits que la nature avait a offrir... et surtout ce ciel bleu et cette présence chaude assise derrière lui sur le cheval...
C'est alors que le présent repris ses droits: cris de guerre, bruits sourd de pas et de sabots et le cliquetis des armes et armure qui battaient le rythme de cette procession. On aurait meme pu croire que le ciel avait pris cette teinte rougeoyante exprès pour l'occasion. Étrangement, cette situation le fit sourire... cette fois-ci il n'était pas la pour la meme raison que la dernière fois.


C'est alors que la bataille débuta sans prévenir (ou plutôt Mo' n'avait pas trop fait attention). N'ayant pas écouté grand chose, il n'avait aucune idée des ordres et allait donc suivre les autres durant l'assaut.
Et sous un cris de rage générale, les deux factions se lancèrent l'une contre l'autre, l'une ayant pour seul avantage la protection d'une muraille derrière elle... mais ils étaient tous sur qu'elle ne poserait pas trop de problèmes.

S'armant de son sourire narquois, il s'élança dans la bataille alors que les premières lames s'entrechoquaient et que les premier boulet s'écrasaient sur le sol meuble, déchiquetant ceux qui se trouvait en dessous...

Les combats débutèrent, les corps tombaient et Mordom se trouva face a ses premier adversaires, il allait enfin s'amuser...
Personne ne prenait le dessus sur lui... et l'inverse était aussi le cas malheureusement.
Les coups portés sur son bouclier et contre sa propre épée le fatiguaient peu a peu, mais la bataille continuait, il ne fallait pas se laisser aller... un coup d'une puissance phénoménale fit décoller et il s'écrasa un mettre derrière... manque de bol pour son assaillant une lame lui traversait maintenant le coeur...

Alors que le souffle lui manquait, Mo' posa un genoux a terre, bouclier protégeant son flanc gauche il jeta un regard aux alentours:
Il prit alors conscience de la situation et que ses amis et compagnons étaient tous en mauvaise posture.
Il vit tout d'abord Burrich et le p'tiots qui l'accompagnait se faire toucher, le sang battait a ses tempes et il couru vers les deux amochés. Il trébucha malheureusement contre... contre la Blonde ! Elle se tenait la... sur ses genoux, anéantie... suivant donc son regard, il vit le Noir, il avait chuté... Liam était mort !! Impossible !

Son visage se déformant en une grimace carnassière et hurlant de rage a nouveau, les crocs aussi acéré que sa lame, il s'élança vers son ami, ignorant la bataille qui faisait rage aux alentours...

...

Mordom bascule...
Une épée lui a traversé l'épaule droite... un peu a coté
Le coeur ? Non impossible il ne va pas mourir comme ca...
En tout cas ca saigne, ca saigne beaucoup... finalement yora de son sang devant c'te ville...

Il regarde la ville, les assaillant... ca brûle dans son dos... c'est chaud
Flash... brume...



Elle se réveille, s'étire et lui donne un baiser dans le cou. Sa présence le rassure autant qu'elle le réchauffe.
Il se retourne et la contemple... elle est vraiment sublime et ce voyage est tout ce qu'il lui faut pour trouver le bonheur auprès de sa douce.
Ensemble il avance, Chronos est de la partie aussi, fidèle compagnons et destrier remarquable... tous les trois vont bientôt entrer dans la ville.
Elle lui dit qu'elle l'aime et qu'elle a vraiment trouvé le bon...
L'embrasse...



Il pige enfin... ce qui le poussait a se battre sans se soucier de lui... c'est parce qu'il n'avait plus rien a perdre maintenant qu'elle n'était plus la...

Les brumes se dissipent... Mordom roule sur le coté et voir l'Noir, inerte...
Ya plus d'Noir maintenant, il revoit tous les moments depuis leur rencontrent en taverne... puis l'entrée dans le Limousin, l'attaque, l'armée... le massacre des pouilleux la veille... et maintenant les brume, le froid, la mort...

Son regard se porte sur le ciel, il ricane, le sang jaillit toujours... et sa coule de sa bouche aussi...


Clo... ta vengeance est totale maintenant... bonne chance.

C'est dans son dernier rire qu'il ferme les yeux...
A jamais ?

...



Et ben nan... il voulait pas d'lui encore une fois.
Sadisme ? Sûrement... pourquoi autant de malheur et un renvoie a la vie lorsqu'il veux en finir sinon ?

Il tente de se lever mais rien n'y fait, ya que la tête qui peut tourner.
Il voit donc un hôpital de fortune: des lits, des bandages... d'autres blessés... du sang !
Combien de temps ? Il le connaît déjà, Aristote lui a d'ja fait le coup une fois...
Maintenant il va attendre, voir ce qui a été touché chez lui... il va attendre qu'on vienne lui dire.
En tout cas il a mal un peu au dessus du coeur... très mal... presque insupportable... il remarque les bandages plein de sang a coté de lui... yen a un paquet !
Il a aussi mal a la jambe droite, ca remonte jusqu'au bassin...
Ou sont ses amis a l'heure qu'il est ?

Il se rendort


...

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Attila_caligula
De nouveaux blessés qui reviennent du nord, toujours au petit matin, toujours les mines sombres et les yeux clairs.
Le leu est avec Burrich devant leur quartier général, la taverne à l'entrée de la ville.
Soudain le vétéran blessé à l'épaule se précipite dans la file des soldats.
Il en extrait la Pomme, la Blonde Karine qui déambule comme un fantôme, livide et les yeux fixes.
Burrich l'entraine, une grosse patte passée sous son bras pour la soutenir. La gosse est tellement choquée qu'elle ne regimbe pas, comme elle en a l'habitude. Elle ouvre la bouche mais aucun mot ne franchit le seuil de ses lèvres tuméfiées.
Au même moment, une troupe battant les armes du Périgord les croise. Ils sont frais, ardents et n'ont pas encore combattu. Les blessés les regardent passer avec une pointe de jalousie pour certains, une amertume pour les horreurs à venir pour les autres. Le sol a soif de plus de sang, toujours plus.

Au moment où Burrich entraine la petite dans la taverne, deux pandores de la prévoté lui mettent le grappin sur l"épaule.

- Sieur Burrich est sommé de se rendre au Tribunal, pour y plaider sa cause.
- Contre qui?

Etonnement sncère chez le soldat qui s'est tenu a carreau si on regarde ce que peut faire comme dégât un homme qui vit pour le combat.
- La Prévoté! assène l'homme du guet.
- M'enfin j'me tiens peinard!
- Pas l'avis de la Dame Prévôt. Y a eu insulte!
- Mais Bordel, on n'est pas à la Cour! Si vous voulez de la fanfreluche, faut faire la guerre avec les dentelles et les couronnes, ou bien jouez au jaquet!
Et les crachats qu'on reçoit, et les insultes a notre honneur de soldat, et nos blessés refoulé à votre dispensaire... Ah bon sang, je savais pas qu'on devait mettre les patins pour votre guerre.


Le vétéran gascon sénerve et le ton enfle. Son bandage à l'épaule en tombe, révélant les points méticuleux qui l'ont suturé. Ca, ce n'est pas une insulte, c'est la mort qui est passée tout près.
Mais evidemment, c'est affaire de boucherie, pas de tribunal.

Le vicomte, le Bleu s'avance et s'adresse au guet qui commence à perdre contenance.

- Nous viendront. puisqu'il le faut. Et il y aura d'autres mots désagréables à entendre.
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Vicomte de St Pardoux, Baron de La Roche Canilhac
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