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[Rp/Ig] L'éclosion de la fleur de feu

Namaycush
[A l'assaut devant Châteauroux]

La journée s’était écoulée longuement seulement coupée d’une séance d’état major dans la tente du Capitaine de l’Adc. Ses collègues commandant les armées alliées n’en sortaient pas et restés cachés à l’intérieur de leur abri de toile, comme s’ils avaient honte d’une guerre ouverte.

La nuit avait recouvert de son manteau sombre les forêts et le campement. Seuls les braises des braseros brillaient de ci, de là….
La Mi Nuit était bien passée, alors, torse nu il tira lui-même les trois flèches de feu signifiant le début des hostilités…traits lumineux déjà épars se disloquant en direction de la lune….

Voici venu le temps de l’arrogance…

Voici venu le temps des hommes…


Froufroutement d’Elle ou d’aile, le vieil hibou se pose, aigrettes flamboyantes et délivre missive double….Alors sous la complicité de la lune rousse, il se rend seul sur une colline, casse le col de l’Agonac 51 sur un roc, symbole s’il en est de la situation…lève son visage à la façon qu’avait l’Apo à fleur de peau de regarder vers le Ciel…lape au goulot tranchant prenant soin de se couper les lèvres, et s’imbibe de la Cuvée Carmin malheureusement incomplète…enfin lit :


Citation:
Mon Amour,

Ou peut-être devrais-je t'appeler "Gouverneur"? Ajoutons ce titre à tous ceux qui te siéent déjà à merveille... Car voici une petite déclaration que tu peux poster où bon te semblera. C'est à dire partout, sans limite.
Prends soin de toi en attendant notre prochain rendez-vous. Les nuits à Guéret me sont bien longues et froides sans toi, mais je compte sur toi pour que le feu de la fleur parvienne à irradier jusqu'ici pour me réchauffer.
D'ici, je suis avec toi, je veille sur toi comme cette épée à ton côté...

Pour le Carmin et les émeraudes...
Je t'aime.

A.



Citation:
A tous ceux qui le présent écrit liront ou se feront lire, salut;

Il y a de cela deux jours, l'Alliance du Centre a informé le Duc du Berry d'une série d'exigences qu'icelle a émises en vue d'obtenir un gage de paix, retrouver une certaine confiance envers le Berry, mais également d'obtenir réparation des préjudices subit par la Touraine.

Force est de constater qu'à cette heure, aucune de ces demandes n'a été satisfaite, ni même examinée par le Duc George. Ainsi, tel que nous l'avions annoncé, l'AdC se retrouve contrainte d'obtenir satisfaction autrement, par les armes si nécessaire! Ordre a été donné à nos armées de marcher vers les villes berrichonnes, afin de faire plier le Duc qui s'obstine dans son comportement inacceptable.

Qu'il soit su qu'aucun civil se trouvant dans la ville sans la défendre ne sera touché, mais que tout qui se trouvera sur les remparts ou sur les chemins alentour engage sa vie!

Qu'il soit su que d'ores et déjà, les forêts sises entre Guéret et Chateauroux sont considérées comme Colonie Limousine du Berry, colonie qui a pour vocation de s'étendre plus au Nord.

Qu'il soit su que nous, Alcyone de Sainte Anne, Comtesse du Limousin et de la Marche, ayant désormais autorité sur la susnommée colonie, nommons le Baron Namaycush Salmo Salar, et le Seigneur Mic31 de Laprugne respectivement gouverneur et capitaine d'icelle.

Fait à Guéret, le 15 Octobre 1457.

Alcyone de Sainte Anne
Comtesse du Limousin et de la Marche



La vie, l’envie…d’Elle avec Elle…
Le jeu, l’enjeu…

Le vin coule des commissures des lèvres sur son torse, mélangé au sang, l’émeraude sous l’influence de l’Astrale, du sang et du vin vire dangereusement à l’ambre….Alors babines se retroussent, à la carnasse, et il secoue la tête énergiquement de droite à gauche…puis lâche dans un feule…


Il est temps Namaycush…

Pas décidé, démarche assurée, retour au campement de toiles…..


Noirs de notre peine…..


Memento, en position !


S’équiper, la troupe est prête….harnacher, en selle, sur le vieux batardon de canasson gascon…qui piaffe d’impatience, tirer la lame, observer l’étrange reflet mettant en relief le « Bordel ! » ciselé sur le côté…


Chefs de lance,

Aucun choc frontal, laminage des défenses ennemies par les flancs, puis repli sous les frondaisons !


Au Nom d’Alcyone de Ste Anne….

Et pour la Gloire…


Chargez !


Bruits sourds et lourds des montures sur le sol meuble, la vitesse augmente, bientôt les lumières de Châteauroux seront en vue et l’allure passera au grand galop….
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Ashlaan
Les soldats ennemis avancent, après ces quelques jours d'attente le choc va avoir lieu. Il aurait du se trouver en haut des remparts avec sa chère et tendre à balancer de la caillasse ou des traits ... Ils auraient du être avec les castelroussins qu'ils côtoient tous les jours, ces paysans, artisans, érudits, ces enfants qui vivent leur vie sans trop se soucier de l'évolution du monde, mais simplement de gagner leur pain quotidien.

Ils auraient dû mais il n'en était rien. Il avait laissé sa compagne avec les troupes de Soaz, elle aussi prête à se battre. C'était le meilleur choix à faire, elle serait en de bonnes mains et quant à lui il avait rejoint les renards, pour de bon, et rallié les hommes dirigés par le capitaine lui même.

Le froid est enfin là lui aussi, comme le signe qu'un nouveau jour se lève, mordant les corps encore habitués à la douceur de l'arrière saison. les hommes sont sereins, muets mais sereins. les bruits annonciateur de l'arrivée des assaillants se font plus proches, chacun en position, à sa place et prêt à remplir son rôle. Un vieux de la vieille se retourne et, avec un franc sourire baragouine un "Allé mon gars... c'est ta première bataille? Serre les dents et défend ta vie!". Rien de bien réconfortant a vrai dire mais ce qui importait le Mortagnais c'était de défendre cette ville, celle où vivait son amour, l'ancienne mairesse, et au delà de la pierre et le bois, ses habitants chers à son cœur. Eux qui l'avaient accepté, accueilli, adopté...

Une litanie s'entendait dans les rangs.


Avance sans peur et ne crains pas la mort
Du haut de l'éternité, l'amour t'attends
une vie sans heurts n'use pas les corps
Mais jamais alors tu auras été vivant...


Encore ce froid qui engourdi les pieds les visages se crispent tandis que l'horloge de la ville sonne le tocsin les portes sont closes et ne s'ouvriront pas ...L'affrontement lui va commencer
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Aratornailon
[Sur les remparts de Châteauroux]

Le Seigneur de Menetou-Couture passa en revue les soldats de son régiment. Les dernières pièces d'artillerie venait tout juste d'être installées. Tout ses hommes étaient fin prêts à répondre à l'attaque de l'envahisseur. Pendant que l'infanterie aiguisèrent leurs épées et leurs lances, le Capitaine d'artillerie vint à la rencontre d'un de ses sergents.

Sergent, quel est l'inventaire de notre armement?

Le sergent lui assura qu'ils avaient assez de poudre et de mitraille pour supporter un long siège. Le capitaine en fut ravie.

Au loin l'on pouvait voir les campements de l'ennemi. Les oriflammes d'Auvergne lui rappela de mauvais souvenir. Sur son justaucorps d'officier il y avait la médaille qu'il avait reçu pour sa participation au siège de Châteauroux en Septembre 1455 contre les mêmes ennemis. Cette fois, il ne laissera pas l'ennemi prendre la ville. Son régiment avait fait défaut la dernière fois et l'ennemie avait réussit à prendre la ville. Tant qu'il serrait en vie, le capitaine ne laissera pas cette situation se répéter.

Sur ce, le capitaine d'artillerie descendit les remparts et se rendit à la tente de l'État-Major afin d'y rencontrer les autres officiers pour y planifier la défense de la ville.


[Les premiers combats]

Les troupes ennemis commencèrent leur marche en direction des remparts. Les différentes lances qui étaient distincte au début ne tardèrent pas à se confondre entre elles. Les soldats du Berry étaient installés sur les remparts, prêt à répondre à l'envahisseur. Le Capitaine d'artillerie organisa les différentes pièces d'artilleries en criant les ordres qui furent immédiatement transmit par les chefs de pièces.

Canonnier! Veuillez procéder à l'allumage des mèches et charger les pièces à la mitraille!

L'on entendait les sous-officiers répéter l'ordre un peu comme une écho pendant que la capitaine alluma la mèche qui pendait sur son hallebarde d'officier. Au bruits des troupes ennemies se mêlèrent au son des refouloirs bourrant la poudre dans le fond des canons. Pendant qu'un autre servant entra la poche de mitraille dans l'âme du canon, un autre procéda à amorçage.

Les canons étaient maintenant chargés. Alors que l'ennemie continua sa marche, le capitaine jugea alors venu le moment de la première salve.


Canonnier première pièce! FEU!!!

Ce fut la première détonation de la bataille. Une dizaine de petit boulet jaillir de la bouche de la couleuvrine pour atteindre une poignée de fantassins ennemie. Au tir de la deuxième pièce, ce fut un scénario assez semblable. Mais au moment de tirer la troisième pièce, le capitaine se rendit compte que la mèche du boutefeu avait été mal allumée et il tira lui-même la pièce avec son hallebarde.

Rallumez la mèche rapidement! Mais cette-fois, veuillez à ce qu'elle ne s'éteigne pas!

Les autres pièces crachèrent leur projectile dans un grand crie et l'officier ordonna le rechargement des pièces.
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Dragonet


Devant les mur de chateauroux

Une imposante artillerie défendait chateauroux. Bombardes et couleuvrines n'auraient aucun mal à repousser les assaillants, et constituer une menace sérieuse.

Posant son arquebuse à méche sur son fourquin, il chargea celle ci accomplissant les 70 gestes que nécessitait l'operation avec le plus grand calme qui soit, ignorant le chaos alentour. La banniére de Saint karel le protegerais.

Puis il visa un des canoniers, avec calme et soin, comme lui avait appris son ami Dege. La balle partie, tuant net un des canonniers, un chauve barbu au allure de paysan.(tes)

Il fut aussi remplacer part un autre, il fallait viser des officiers. Il chercha une autre cible, recommença tranquillement l'operation, et abattit à nouveau net sa cible. Cette fois ci, l'adversaire était plus sérieux (Degaulle)

Il eu moins de chance avec le 3ème, qui ne fut que blessé (Cop78). Il faut dire que au rythme d'un mort par minute, les défenseurs avaient compris la faiblesse de leur puissance de feu, être debout, et si les cibles se faisait rares, la cadence de leur tir venait d'en prendre un coup.

Le plan de Namay était d'eviter les chocs frontaux, de laminer les défenses sous les flancs et ensuite de se refugier sous les frondaisons. Une breche potentiel s'ouvraient désormais sur un des flancs, il venait de la faire avec 3 hommes déja à terre, et il ne désespérait pas qu'il y en ai d'autre.

Il prit le temps de jauger la situation, puis donna ses ordres à sa lance pour mener un assault fatal.

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Lelmax
Dans le camps au matin

Reveil en douceur son corps froid contre le sien ses bras l entoure les amants du moment oublie tout c e qui se prepare mariage batailles,l' heure est à au plaisirs qu ils se donnent et recoivent.

Explosions des sens accelerations des coeurs la couche supportant leur ebats oubliant les tentes d a coté juste eux le reste n ai que futilité au moment précis.

Corps entremélé , mots d amour excitation au parosisme exaste n en faire plus qu'un .


je t 'aime brindille je ne supporterai pas si il t arrive quelques choses ...promet moi d être prudente cette nuit quand nous y retounerons , essaye de ne pas te laisser aveugler par tes envies de vengeance ou de meutres contrôle toi. Jamais il avait éte aussi inquiet pour elle depuis le départ il sentait le mauvais présage sur cette campagne...


Journée avec elle se promenant ici dans le camps ne pas pensé a la nuit prochaine par moment seul d autre avec son ami son frere Namay, les autres qu il cotoyait depuis Gueret, les siens du moment.

Nuit tombante preparatif pour la nuit epées boucliers hache tout est pres a nouveau pour une nuit sanglante el coeur chargé toujours aller de l avant ne pas la perdre des yeux la protégé, mauvaise augure que ces corbeaux qu il avait vu tout du long de la journée....


L heure d y retourner etait bien là !



Devant les murs de Chateauroux

Les ordres etaient donner pas de chic frontal usé l ennemi par les flancs .
Cohorte en mouvement bruit de pas cliquetis de boucliers contre els cotes de mailles , souffle des hommes aux alentours.

Sa main dans la sienne marchant vers le même avenir incertain du moment .
Cherie fait attention reste prés de moi voila je t 'aime... les dernieres paroles avant l affrontements.

Son épée mordant les chaires ennemis les coups et les riposte laissait place aux calmes, toujours un oeil sur elle, un maraux lui assene un coup de baton manque de vigilance trop préoccupé... en réponse il voit son bras tombé a ces pieds le baton gisant dans une main morte, sourire sadique tête qui tombe.La cherche encore entrouré de plusieurs hommes autour se battant comme une lionne coups bas dans le dos elle se retrouve a genoux a quelle metres de lui.

Crie de rage de peur d angoissela sauver coute que coute demandant de l aide autour de lui la protéegé le rouge ecarlate de son sang tanchant sa tenue horrible vision de la guerre horrible vision de son amour à genoux.

Cherie non Foncant contre les ennemis la rage au ventre oubliant tout les principes de la guerre de toute son experience des batailles se mettant lui même en danger pour elle...

Les ennemis tombent autour plus qu eux elle dans ses bras regardant les blessures,la sortir de là s ecartant de la mélée sanguinaire il la pose contre un arbre ! blessure legere encore une cicatrice sur son corps si frele...


Retour au combat toujours un oeil sur elle ... le besoin de tué de la vengé nuit longue tres longue la plus longue de son existance, replis des deux camps , retour aà ses cotés dans ses bras direction Gueret il lui fallait un medicastre .


Mon Ami je me dois de l accompagné je la ramene au village
Ses paroles pour le capitaine de Memento avant de recuperé son cheval et partir la faire soigner.
Ysabeau
Sur les remparts de Bourges

Une nouvelle nuit d'attente.
Une nouvelle nuit d'observation.
Une nouvelle nuit dans le froid.
Une nouvelle nuit, éclairée seulement par le feu de camp et les torches des soldats arpentant les remparts.
Une nouvelle nuit sans rien voir.
Au petit matin, ils se retrouvèrent autour du feu, partageant une boisson chaude puisque l'alcool leur était interdit.
Au petit matin, leur chef de section leur indiqua :

faut suivre... Sans désemparer, faut suivre... Ne nous laissons pas décourager. Faut suivre, c'est un ordre.
Suivre... Obéir. Sans état d'âme, sans discuter
Suivre. Ne pas penser.
Suivre.



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Alleaume
[ Fin de la sieste, les maroufles donnent l'assaut ]

* Des mouvements armées se faisaient donc entendre un peu partout en Berry, il n'avait encore jamais vu une zone aussi agité depuis belle lurette, c'était d'ailleurs une des plus grandes guerres à laquelle il allait participer de part l'ampleur des personnes qui y participaient, et de la force des ennemis, leurs nombres étaient surtout fortement grand, une vrai coalition contre le Duché du Berry... Le Berry en ressortirait il vivant ou bien finirait il asservit par cette multitude d'adversaire qui venait lui saigner le cou tous en même temps... Il ne le fallait pourtant pas ! Le Berry devait montrer a ses voisins qu'il était puissant, qu'il ne se laisserait pas abattre comme un vulgaire volatile !

Dans le camps adverse il avait entendu beaucoup de rumeurs, sur des personnes qu'il connaissait, des personnes qu'il avait côtoyé.. Parfois même des amis... Qui maintenant se trouvait de l'autre côté de la barrière, prêt à ce battre contre lui.. Il avait entendu des rumeurs selon lesquels Phénix était la... Lui qui l'avait lancé dans la politique au niveau ducale il y avait bien longtemps déjà.. Comment pouvait il se battre contre celui qui pourrait s'apparenter à être son mentor ? Cela lui semblait tellement farfelue.. Tellement fou !

Ses armes étaient prête, bouclier brillant, son épée de malheur toujours présente, bien propre et brillante.. Il espérait qu'elle lui porte aussi chance que d'habitude cette épée de malheur !
Son Capitaine leur avait donné l'ordre de rester mobiliser, ils allaient certainement connaitre l'attaque d'ici peu.. Lorsque vint la déclaration du Namaycush, inacceptable somme toute, demander à un Duché de se désarmer et à un Duc légitime de démissionner... Et puis quoi encore !
Il avait du croiser la vierge dans son sommeil lui.. Certainement un de ses vieux fantasmes qu'était de faire démissionner un Duc en exercice.. Pauvre de lui !
Il était évident que le Conseil allait ce moquer de ce que l'ADC pouvait bien pouvoir dire, cette puissance qui aimait la guerre.. Les découdre un par un serait miraculeux.. Un crit le fit sortir alors de ses pensées !! *


Rassemblemeeeeeeeeeeeeeent !!!!! Tout le monde rassemblé dans les 5 minutes qui viennent !!!!!! Branle bas de combat !!!

* Ce qui devait arriver, arriva enfin, les armées ennemis étaient maintenant en vue des remparts de la ville Berrichone, la guerre était aux portes, elle était maintenant devenue inévitable. Bouclier au bras, épée à la main, Alleaume sortit en trombe de l'auberge municipale et rejoignit aussi vite qu'il le pouvait ses collègues de la Desembarrata, tout le monde était excité de partir à l'assaut, lui aussi l'était passablement, il avait hâte de pouvoir en découdre une bonne fois pour toute avec les attaquants, ils avaient l'avantage d'être en zone de défense de la ville.

Voila que l'assaut de l'ennemi venait d'être donné, la Desembarrata pouvait maintenant entrer dans l'action, ils allaient enfin pouvoir se dégourdir les jambes après leur retour de Tourraine, voila qui allait être jouissif !
Les premiers combats venaient d'être lancé par l'ADC, déjà les premiers corps tombaient sur le sol, des deux côtés, Alleaume se fit un chemin à coup d'épée dans les cohortes ennemis, il s'écria d'un seul coup avant de charger *


Vae Victis per Memento Mori !!!!

* Son regard croisa un qui lui était familier ! Dégolas ! Un Béarnais, ou un ancien, peu importe, grand ami de son amie Ptitmec, qui avait participé à l'opération Vae Victis, ou plutôt, lâche qu'il était, avait feint d'y participer et c'était débiné des le jour de l'attaque.. Alors le voila qui maintenant participait à une guerre ? L'occasion était trop belle, il fallait lui faire payer sa lâcheté d'antan, Alleaume avança à grand pas et commença à l'apostropher. *

Hep ! Le lâche Béarnais la ! Vient te battre si tu as maintenant ce que tu n'avais pas entre tes braies il y a trois mois !!

* La provocation était lancé, à son avantage, le jeune homme arriva en sa direction, armé d'un... bâton... Cela ne pu que faire sourire Alleaume qui commença à lui donner un coup d'épée que l'autre para d'un coup de bouclier, un coup de bâton de son adversaire manqua de l'assommer de très peu, il avait eu bien de la chance tient ! Sa lame arriva enfin entailler le flanc de son ennemi, mais rien de bien méchant, rien d'assez fort même...
Malheureusement une corne sonna le replis, il fallait partir apparemment !!! Que se passait-il donc ?? Il n'avait pas le temps d'en finir avec lui, fichtre...
*

On se retrouvera !!

Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Degolas. Ce coup l'a blessé superficiellement.
16-10-2009 04:09 : Vous avez été attaqué par l'armée "Régiment du Limousin et de La Marche" dirigée par Ramses14, l'armée "Memento Mori" dirigée par Nanius, et l'armée "Primièra Companhiá de Peiregòrd e d'Engolmès" dirigée par Matpel.


* Son armée avait maintenant quitté la ville pour se voir replié sur le nœud juste avant Châteauroux, cela avait bien un arrière goût de campagne Béarnaise, ou son armée avait été catapulté sur un noeud après avoir perdu trop de ses effectifs, il espérait que se ne soit pas le cas cette fois ci, cela serait dommageable.. Faire parti des survivants n'étaient jamais super bon, de voir tomber ses amis sans rien pouvoir faire..
L'armée replié monta un campement d'infortune pour cette nuit.. De quoi serait fait demain ? Qu'allaient ils bien pouvoir faire ? Certainement pas rester la.. Il espérait que l'armée fasse son retour dans la ville des demain...

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"Ne te venge pas car la roue tourne
Punis l'insolence par le silence"
Cantarella
[Sur les remparts de Châteauroux]

La petite brunette de Châteauroux, plus connue sous le nom de l'infirmière de choc avait quitter sa trousse médicale pour la sécurité de son village, il état bien sûre entendu que personne ne touche à sa moitié, ce village qui l'avait accueilli à bras ouverts et que quelques en soit les raisons, que l'on soit en tord ou bien en raison, Cantarella défendrait coûte que coûte. Le message qui lui fût donner hier ne disait pas des foutaises, l'ennemi se tient en cours de route et en nombres conséquents.

Poster devant les murs de Châteauroux, agenouiller et prière prononcée envers le Très Haut avant de commencer cette guerre sanglante.


Mon Très haut, ai pitié de nous. Protège notre village et mes amis, entends mes paroles et faite qu'ils se réalisent...

Ces mots prononcés, on pouvait bien croire que la petit infirmière en tremblait rien qu'à l'idée d'être blessée ou bien, être laisser pour morte mais il fallait bien en arriver là un jour où l'autre, la vie d'un soldat est ainsi, mourir pour le peuple, mourir pour la victoire, cela ne peut qu'être qu'un acte de bravoure. Oui mourir en Héros ou pour ceux qui n'ont pas de chances, mourir en Zéros.

Le cœur battait de plus en plus fort, visage blanchi, sans expression particulière, une main poser sur sa hanche droite tout prêt de l'épée pour pouvoir se tenir prête à l'a sortir, de l'autre main tenant fermement et durement son bouclier, qui apporte la protection.
Des mots raisonnait dans sa tête pour l'a rassurée mais la peur et la première bataille pour elle devançait toutes ses préoccupations. Quoi qu'il advienne il fallait persévérer!


Pour Chato, pour Chato, pour Chato, pour le Berry! Ressaisis-toi Canta!

Un signalement au loin, le début d'une guerre pour une durée indéterminée, La confiance revenu en elle, après tout ce n'est qu'une guerre où la source d'ennui ne pouvait être qu'une mauvaise entente, mourir joyeux serait le plus merveilleux des cadeaux, enfin le plus merveilleux pour les Fous! Cantarella voudrait plutôt mourir vieille si elle s'en sortirait indemne.

ça y est commencer, les chefs et meneurs criaient pour donner les ordres à chacun, les victorieux berrichons sortirent leurs armes, levant bien haut leurs épées et bâtons, d'autres des haches, sûrement des bûcherons qui venaient défendre aussi.

Le cri de guerre était lancé, la brunette poussa un cri, comme un chien enragés sans aboiement:


AAAAAAAAAAAAAAAA S'écria-t-elle! Mais seule...

[Dans le feu de l'action]


Et c'est parti mon Kiki!
Courir vers l'ennemi, se battre sans pitié, malgré sa culotte qui l'a démangeait un peu, cause d'être trop assise sur ses fesses.
Elle croisa le magnifique regard d'un adversaire mais dommage pour lui, Cantarella était comme de la braise cette nuit-là, l'homme était de l'ennemi et n'avait ni épée ni de casque, elle l'avait bien choisie dis donc, un "Faible" pour l'infirmière. Portant des coups d'épées et de pieds, même si le jeune homme s'aidait de son bouclier déjà très usé, elle réussi à l'assommé puis comme elle avait bon fond elle décide de le laisser en vie, les blessures infligés ne pouvaient que l'affaiblir ainsi pour la prochaine bataille, celui-ci n'aura plus que quelques blessures mais la mort assuré.


Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Thl9395. Vous l'avez sérieusement blessé.


La guerre fini pour aujourd'hui mais qui n'allait pas tarder à reprendre d'ici demain on suppose, se retrouver à 20 lieux de son village, loin de sa famille, l'infirmière ne se sentait point affaiblie ni fatiguée, on dirait même qu'elle était en pleine forme, cela aurait due l'enchantée mais voyant ses amis blessés et Très haut soit louer non morts!
Delhie
[Juste devant Châteauroux]

Les flèches de feu avaient sifflé vers la lune sous les yeux d’une Delhie, une la boule au ventre, blottit contre son fiancé.
Elle s’éloigne alors de lui, lui donne un dernier baiser. Sa main quitte la sienne et empoigne fermement son bouclé.

Les ordres sont lancés, du chinois ! Qu’est ce qu’il dit qu’est ce qu’il dit ?
Bon sang qu’est ce qu’elle fait là ce n’est pas une militaire la donzelle. Les hommes s’élancent, elle suit sans comprendre tout à fait. La blonde lui avait dit qu’il faudrait la suivre, obéir, c’est ce qu’elle fait elle la suit, elle obéit.
Burrich et hijo sont tout près, elle les surveille du coin de l’œil, voit de la rage sur le visage de son fiancé, une première, ne l’avait jamais vu comme ça. Le gosse lui est terrifié, elle frémit.

Les combats ne tardent pas à s’engager. En face, des hommes et des femmes, la même expression qu’Burrich sur le visage.
La gasconne tient bon, se protége à l'aide de son bouclier. Ses mouvements d’abord hésitants s’affirment. Elle se découvre une certaine agilité, elle se revoit se battre avec ses frères quand elle était enfant, 5 grands frères qu’elle mettait au tapis. Elle a toujours été rapide, utilise sa vitesse plutôt que sa force. Petite et menu elle se faufile facilement, évite les coups.
Son épée frappe, se heurte à un bouclier, elle peste. Du coin de l’œil elle croit voir quelqu’un tomber à genoux, et croit reconnaître une peau noir.
Non ....

Son épée frappe à nouveau, elle ne réfléchit plus comme la veille, elle n’hésite plus, elle tue. Elle n’a pas le choix. La lame s’enfonce dans de la chaire, le sang gicle et un corps chancelle.

Citation:
16-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Rapido. Ce coup l'a probablement tué.


Delhie retire son arme, laisse le corps tomber raide sur le sol sans plus de cérémonies et se tourne. Derrière elle un gosse, la tête en sang.
Non !

Pas le temps d’aller à son secourt, elle se retrouve à nouveau face à un ennemi. Non non qu’il la laisse passer, le gosse est blessé. Il frappe, elle se protége derrière son bouclier. Non hijo ! Hijo ! Burrich ? Ou il est celui la ? Désespéré elle l’appelle lui hurle qu’hijo est blessé. Elle l’aperçoit enfin en train de se battre pas très loin du gamin. Une épée atteint l’épaule de son fiancé. NON!

Elle grogne se débat de toute ses forces, la fureur se lit sur ses trais. L’homme en face d’elle frappe à nouveau, elle évite le coup, brandit son bouclier le cogne brutalement au visage. Il chancelle, elle en profite et son épée lui perce le ventre.

Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Clelala. Ce coup l'a probablement tué.


Elle ne le regarde pas tomber à terre, cherche Burrich et hijo des yeux. L’un a rejoint l’autre, ils ramassent un corps au sol. Elle plisse les yeux, reconnaît celui du capitaine ...
La gasconne tend une main, veut les rejoindre, elle fait quelque pas vers eux, s’arrête net, son crâne raisonne. Elle se tourne doucement, une brunette brandit un bâton, elle vient de se le prendre sur le crâne. La gasconne n’est pas blessée, il lui en faut plus, juste sonnée. Elle tombe sur les fesses. Burrich, hijo et le corps s‘éloignent déjà.

Citation:
16-10-2009 04:09 : Pichpich_4 vous a donné un coup de baton. Ce coup ne vous a pas blessé.


Leur asseau est repoussé, Delhie se laisse entraîné en arriere par un bras allié, toujours sonnée ne reconnaît pas qui, elle résiste, se débat, délir :


Laisse moi ! Laisse moi ! Ils les ont blessés ! Je veux me les faire, je veux me les faire !

La belle jure, la belle devient grossière, ça aussi c'est une première.

Finalement les remparts de Châteauroux s’éloignent, sa tete résonne, des larmes lui rafraichissent le visage et elle se calme doucement.

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Hagos
CHAAAAARGEZZ ! Morts à l'ennemi !


Le lieutenant Hagos avançait à la téte de ses Typhons de Castillon , lorqu'il aperçut un groupe isolé de bérrychons qui allaient sans doute rejoindre Chateauroux pour sa défense .

Il arriva rapidement au contact et les pauvres ennemis ne purent rien faire contre l'armée qui s'avançait contre eux ! Rien d'autre que mourir !

Il frappa la meneuse du groupe , son épée s'enfonça dans l'épaule , tranchant chair et brisant l'omoplate.

Vous avez frappé Hamamelis. Ce coup l'a probablement tué.

Il dégagea son arme puis déclara


On continue d'avancer soldats , félicitations !


Et lorqu'il regarda de nouveau devant , un rictus de haine déforma son visage ...


Alerte !L'armée Bérrychonne arrive !
On rejoint le gros de larmée ! ALLEZ ! ALLEZ ! Au pas de course !


En effet peu de temps aprés les armées s'affrontérent à grands fracas.
Durant des heures ils combattirent
Vous avez engagé le combat contre l'armée "Ost du Berry" dirigée par Tadek et l'armée "La Desembarranta" dirigée par Papou81640.
, et à la fin , les Périgourdins et les Limousins firent reculer l'ost Bérrychons vers Chateauroux

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Mousse4480
Pendant l'assaut

Les trois flèches venaient d'être lancées.
Mousse attendait Namay en bas de la colline, il était déjà sur son cheval.
Lorsqu'il fut descendu de celle ci, le vieux bouc monta sur son cheval et ordonna d'attaquer:


Citation:
Chefs de lance,

Aucun choc frontal, laminage des défenses ennemies par les flancs, puis repli sous les frondaisons !


Au Nom d’Alcyone de Ste Anne….

Et pour la Gloire…


Chargez !


A cette annonce, Mousse donna un coup de talon sur les flans de sa monture, en ayant fait signe à Nanius de faire comme lui.
La cavalerie commençait à avancer doucement, au trot d'abord, ensuite au galop.
Ils entrèrent dans une masse d'hommes, donnant des coups d'épées à tout va.
Les premiers corps tombaient.


Citation:

16-10-2009 04:09 : Vous avez engagé le combat contre l'armée "Ost du Berry" dirigée par Tadek et l'armée "La Desembarranta" dirigée par Papou81640.
16-10-2009 04:09 : Vous avez frappé Yannrobin. Vous l'avez grièvement blessé.


Un cavalier berrichon à sa hauteur, Mousse lui donne un coup d'épée sur la jambe, le soldat tombe et ce fait piétiner par la cavalerie Memento.
Mousse engage le combat avec un deuxième homme, mais soudain il retourne la tête et voit le Capitaine au sol. Il arrête de se battre et se dirige en sa direction, mais avant il donne l'ordre à Nanius de prendre le commandement des opérations.


Citation:
16-10-2009 04:09 : Vous avez engagé le combat contre Grander, l'armée "Ost du Berry" dirigée par Tadek, et l'armée "La Desembarranta" dirigée par Papou81640.


Arrivé à la hauteur du vieux bouc, il descend de son cheval pour lui porter secours. Entre temps, Burrich et Hijo était avec lui, Mousse leur demanda de le transporter plus loin, bien qu'ils étaient blessé eux aussi.
C'est alors que surgit un homme voulant donner le coup de grâce au Pitaine, c'était sans compter sur Mousse qui mit son bouclier en opposition, pour protéger les trois hommes...


Citation:
16-10-2009 04:09 : Ashlaan vous a porté un coup d'épée. Vous avez été secoué, mais vous n'êtes pas blessé.


Mousse regarda Burrich, il venait de lui chuchotter d'aller protèger Delhie
Ce qu'il fit sans tarder, d'abord croyant que Delhie était menacé il porta un deuxième coup dans le corps qu'elle tenait encore au bout de son épée


Citation:
16-10-2009 04:10 : Vous avez frappé Rapido. Ce coup l'a probablement tué.


Elle, elle continuait à se battre, Mousse avait du mal à la suivre, elle en descendit encore un, avant de se prendre un coup de baton sur le crâne, alors qu'elle regardait du mauvais côté...
S'en était trop, Mousse l'attrappa par le col et la tira pour la ramener auprès des siens, les autres battaient retraite, on ne tape pas les gens qui reculent, même les ennemis.
Il l'avait ramené au camp, mais maintenant il attendait des nouvelles du Capitaine bléssé, Nanius était devenu le commandant de cette armée, ils allaient la guider dans sa nouvelle fonction, bien qu'elle savait déjà tout, puisque Mousse lui avait déjà appris....
Mousse distribua le pain aux hommes, en leur adressant des mots de félicitations...


C'est bien les gars, on les a poussé hors de la ville de Châteauroux, ils vont se rassembler hors de la ville...

Mousse savait ce que celà voulait dire, ils allaient jouer la prise de la ville aux prochaines lueurs du jour, ce sera leur unique chance d'y arriver ainsi que de pouvoir se reposer un peu, et de devenir défenseurs au lieu d'attaquant, quoique... Bref, il n'avait plus le choix.....
_________________
--Liamchaa




[Plus tôt....]

Une bestiole.
Ils se rhabillaient.
La voix de Mordom.
Grognement du Noir.
Bottes s'écrasant sur la bête.
Puis.
Se colle sur la Blonde.
Baiser.


Fais gaffe à tes miches hein... Une Blonde sans miches... ça l'fait pas.

Dernière étreinte.
saut en bas de la carriole.
Épée en bandoulière.
Ça court dans tous les sens.
Enfin surtout dans un.
Aide Karine à descendre.
Châteauroux les attend.


[Rouge quand tu nous tiens]

La fumée.
Acre.
Les bombardes crachent.
La mort est partout.
Il court.
La lame au clair.
Les murailles enflent.
Le bruit assourdissant aussi.
Les flancs.
Attaquer les flancs qu'il avait dit.
Sacré Namay.
Lui attaque au centre.
Centre Carmin.

Bouts de terre.
Pas tombée loin celle là.
Coup d'oeil voir la Blonde.
Debout.
Courant aussi.
Zigzaguant.
Belle.
Une brèche est ouverte.
Il y file.
Hurlements bestiales.

Un barbu devant lui.
Épée évitée.
Coup de bouclier.
Le Sombre manque de tomber.
Le gaillard va voir plus loin.
Pas rancunier le Noir.
Qu'il aille se faire tuer.
Par lui ou un autre...
Il le regarde.
Reprend sa marche en avant
Se retourne alors....

La bouche s'ouvre.
Les émeraudes s'agrandissent.
Étonnement.
Un homme en gris.
Juste devant le Noir.
Une tête de premier de la taverne.
Ça fait désordre.
Surtout que ça brûle.
Les yeux se baissent.
Plus de bruits.
Bizarrement.
Un bout de métal.
Froid.
Entre lui et le bougre.
Kar1
[Le début de la fin]


Les soldats sont en marche, l’ordre est donné par les trois flèches lancées comme prévu. Les flancs sont la cible. Karine n’hésite pas une seconde et envoie toute sa troupe dans la même direction. Chacun a son arme, chacun est en possession de son bouclier, le sang va couler sur ces terres berrichonnes ce soir, aucun doute. La division est fin prête pour montrer aux autochtones de quel bois ils se chauffent. La blonde engage le combat avec de multiples soldats. Mais sa tactique à elle est simple. Elle décide de foncer, avancer, toucher les murs et y pénétrer tant qu’elle peut. Terre d’accueil que l’on disait plus tôt, ça semblait être une tare pour certains. Et bien ce n’est pas toujours le cas. Même si elle n’y a jamais vécu plus de quelques jours, il y a certains recoins de la ville qu’elle connait. Et sa bicoque n’est pas bien loin des remparts. Son but, pénétrer dans Châteauroux quoi qu’il lui en coute. Peut être qu’elle se déchirer les ongles un à un dans une souffrance atroce tandis qu’elle essaye de grimper au dessus des remparts, ou encore prendre le risque de se faire bruler la paille blonde qu’on apprécie tant dans ce royaume, en une fraction de seconde, avec de l’huile bouillante qui dégouline le long des murs de la ville assaillie par l’ennemi.

Alors, Karine zigzague, voit un nombre de personne incalculable tomber au sol dans les deux camps. Ca fume, c’est lumineux, en pleine nuit, on pourrait croire à un feu d’artifice. Les spectateurs seraient fascinés par tant d’action et de prouesses qui ne sont autres que des improvisations pour sauver une ou plusieurs vies. Mais la bataille ne fait que commencer. Alors qu’elle sent les yeux du Noir se river sur elle, un autre soldat tombe. Le gosse. Merdoum. Il gigote encore, il s’en sortira, surement ou pas, mais faut faire avec. Toute sa section est en danger. Ils flanchent, un par un. Elle ne suit plus. N’a pas le temps de quoi que ce soit. Fonce, zigzague encore. Ne souffle plus, juste avancer, éviter les coups et avancer.

Le pire du pire arrive alors. Le Noir se dirige droit sur la ville. Par la porte principale. Mais qu’est ce qu’il lui prend. Qu’est ce qu’il fait, pourquoi. Karine essaye de lui balancer des ondes télépathiques pour qu’il revienne. Qu’il arrête ses conneries, c’est trop dangereux par là bas. Pourquoi. Pourquoi. De son coté, elle continue, l’épée en l’air, donnant des coups dans le vague toujours les yeux rivés sur le Noir qu’elle visualise de moins en moins. Et là.. C’est le drame.
Liam évite un coup, de justesse, mais il n’a pas surveillé ses arrières. Pas assez rapide. Il avait peut être raison pendant le duel. Se serait-il empâté. Deviendrait-il trop vieux pour ça. Il se retourne, face à un type tout de gris vêtu et s’écroule.

Silence total. Toutes les écoutilles de la blonde se referment. La gorge se serre.
Elle est tétanisée..

Ses yeux sont grand écarquillés, sa bouche grande ouverte à s’en décoller la mâchoire. La surprise est la même que celle qu’on peut lire sur le visage du Noir, à une exception près, elle n’est pas en train de mourir. Le bras musclé de la blonde retombe, l’épée touche le sol de sa pointe.
Elle est tétanisée..


Li…

Aucun son ne sort de sa bouche, aucun, au milieu de cette baston géantissime. Elle n’est plus rien. Ne sert plus à rien. C’en est tel que l’ennemi ne la calcule plus. Karine n’est plus une menace pour personne. Ils passent devant elle et repassent ensuite. Elle fait partie du paysage. Une plante sans vie, comme une morne journée d’automne. Un cœur qui ne bat plus. Un roc à la place. Les bras ballants, elle regarde la scène. Celle-ci terminée, elle la ressasse dans sa tête, encore, et encore, et encore encore. Ses épaules tombent.

Un traumatisme.. Elle en devient muette...

_________________
Karine de Pommières.
sofio, incarné par Delhie


sale temps

La marche fut silencieuse, un long convoi a perte de vue, la nuit fut belle, une lune souriante,heureuse d'avancer encore, heureuse de pénétrer encore plus en ses terres, et de les souiller.

Heureuse qu'il soit la a ses cotés, elle le sait elle n'en doute plus, maintenant leurs vies seront unies, pour le meilleur et le pire, elle sera sienne, elle le désire comme jamais.


Reste a mes cotés

lui a t'il dit..autant lui demander de plus penser, un léger sourire une pression sur sa main, comme un acquiescement, voila que l'assaut est donné, il est l'heure enfin elle voit les murailles de Châteauroux, elle ressent les premiers frissons et son cœur se mure, il se pare de haine,gonflée d'orgueil elle oublie qu'il est la, elle veut se souvenir uniquement qu'elle est la pour la haine, elle veut oublier qu'il l'aime, elle veut se souvenir uniquement du gout amer voila deux années passées, il est l'heure enfin.....

Chefs de lance,
Aucun choc frontal, laminage des défenses ennemies par les flancs, puis repli sous les frondaisons !


Le combat lui est brutal d'entrée, l'ennemi est bien plus fort qu'elle ne l'aurait cru, ca sort de tous les cotés, pas possible!!!! ca a du se reproduire cette nuit, bientôt les bruits de fer se transforment en cris, bientôt les premiers corps au sol, elle est resté a ses cotés, elle sent son corps par moment contre elle, il s'emmêle les jambes,tant qu'il est la il est debout, tant qu'elle le sent il vit.

Un homme a foncé sur elle, elle ne voit que ses yeux a travers son casque, elle l'a braqué son épée droite, et se protège du bouclier,elle pare ses coups, et essaye de trouver en lui la brèche de la mort, elle ne le connait, ne l'a jamais vue, ni même entendu le son de sa voix, tout ce qu'elle sait c'est qu'il est du camp des retranchés, et que forcement il doit en mourir, le reste ne l'intéresse pas, alors elle attend le moment, fait mine de reculer, il avance, elle esquisse un pas sur le coté, il se retourne, elle lui plante son épée jusqu'à la garde, il s'écroule a ses pieds, glisse le long de son corps, elle accompagne son mouvement au sol, et s'approche de lui pour lui murmurer quelques mots avant que le trépas ne vienne le prendre.

"pour l'Auvergne"

Elle se relève, cherche lel, le combat l'a éloigné a quelques pas, pas si loin, mais déja des pas de trop, elle va pour le rejoindre,et n'entend pas, ne voit pas, il est déjà trop tard, son souffle est coupée, la douleur est fulgurante, elle tombe a genoux, sa vue se brouille, elle lâche son épée, elle veut juste voir lel avant de mourir,le toucher l'entendre, son bourreau est parti, il doit la croire déjà devant son jugement.

Non, elle ne veut pas mourir a genoux devant les remparts de Châteauroux, elle veut vivre pour voir la déchéance du poilu, elle ne veut pas être écarté, elle doit se relever et avancer, avancer a genoux si il le faut, la douleur est vive, plus rien ne répond, les battements de son cœur s'entendent dans sa tête, le cœur et la raison se mélangent, la volonté s'eteind car le corps n'est que faible.


Chérie non

C'est bien lui, elle l'entend, elle le sent, ouvrir les yeux sentir sa bouche contre la sienne, se réveiller en ses bras, c'est ce qu'elle veut de sa vie future, mais pour l'heure il la porte, elle ne sait ou, a moins que la mort l'emporte dans son délire.

Souffle court, elle ne le sent plus, sa main pend dans l'herbe mouillée de la rosée, ouvrir les yeux lui est impossible, elle n'entend plus rien , elle tombe dans le délire de l'inconscience.

Délire ou bien....

un grand homme est la, il n'a pas de visage pas de nom, il consulte ses parchemins, des gens sont devant lui et l'implore, certains partent sur la droite, d'autres sur la gauche en pleurant, la file est longue, il montre un chemin pour chacun d'eux sans un mot, elle se retrouve devant poussée par la file, il la fixe elle ne voit que ca ses yeux sont immenses d'un noir profond,
agna...tu ne m'a jamais parlé des yeux d'Aristote bon sang.......il hésite un instant et lui montre la droite.

Auprès de mon arbre

Lel se penche vers elle, elle sent ses mains sur son corps, maintes fois le contact de ses mains, mais la ce n'est pas pour le plaisir des corps, quand il passe sur son ventre, elle frémit pas de bonheur, mais la douleur est la , bien présente, l'empêchant de respirer a plein poumons,elle vivra peut être, encore, en son for intérieur elle promet comme maintes fois , des paroles au vent.
Juleslevagabond
[Le goût amer de l'horreur humaine]

Trois feux qui dansent dans la clarté lunaire... Le signal est donné. Le Capitaine descend de son poste de tir. Il n'y a plus de retour possible. Tel sera le futur... Écrit dans le sang encore et encore. La Mort est proche... La première bataille va commencer.
Les onyx fixent la ville qui subira les foudres du début du Chaos. Les paupières se ferment un instant. Il n'a plus seize printemps, il a un but, il détient une autre lame, il porte une autre protection. Du cuir, pas de mailles malgré le passé qui l'a endurci. Cela lui donnera au moins l'avantage de la vitesse et de l'aisance des mouvements face aux soldats ennemis.
Cette fois pas de grands amis à ses côtés sinon des compagnons, un brun qui lui promet aide après sa "mission", un amant d'une rouquine que lui, son jumeau de cheveux, chérit de confiance et la femme au contrat. Oui, ce sera différent aujourd'hui. Le glas aura une autre mélodie.

Rester en vie. Protéger. Tuer.

L'avenir se résumerait à ça sans les fioritures habituelles d'esquives et d'analyses. Mais la dernière partie revient aux stratèges.


Memento, en position !

La vue reprend ses droits. Les muscles se crispent, les jambes s'agitent, l'esprit vagabonde pour certains... Le balafré silencieux, on lui a appris à la fermer, s'en tenir aux règles et ordres et se concentrer sur le combat à venir. Alors il applique. Sans rester inquiet du reste tout de même... "Seuls les vaniteux et les imbéciles n'ont aucune peur.
Cette vicieuse une fois prise dans le bon sens permet l'épanouissement de soi. Chacun se le doit" le défunt maistre lui a dit. Ne 'reste' plus que la rage qui fait toujours ombre...

Le cheval restera en arrière pour cet assaut. Il se positionne l'assassin. Écu et fer de la mort dans leurs mains respectives. L'excitation prend place en chaque guerrier du melting-pot Memento. Les dernières directives sont prononcées.


Chefs de lance,

Aucun choc frontal, laminage des défenses ennemies par les flancs, puis repli sous les frondaisons !


La voix résonne tel le chef qu'il se doit d'être le Namay, bien posé sur son destrier, l'animal impatient de se ruer sur les idiots hommes. La puissance du cheval... Un atout certain.
Les derniers mots sonnent la fin des analyses et des longues concentrations.


Au Nom d’Alcyone de Ste Anne…. Et pour la Gloire… Chargez !



Le cœur s'emballe. Contrairement à ce que d'autres croient, il ne bât pas au ralenti. La course de certains est frénétique, mais tellement qu'elle ne sert à qu'à user négligemment des forces. La rage n'appelle pas le rouquin, la survie oui. Il garde donc une certaine course lui permettant d'user au minimum son souffle... Il sait l'horreur du choc.

L'ennemi fait feu des murailles. Une artillerie ?! Bordel ! Imprévue. Mais il faut continuer, rien ne sert de trop zigzaguer pour le moment, comment déterminer dans un tel acte la visée d'un tir ?...
Les cris font rage, homme comme femme, même un môme est là. Le rouquin prend pitié un instant pour lui... Pourvu qu'il ressort vivant de l'horreur humaine pour ne plus y retourner avant un moment.

Puis les corps à corps débutent. Fracas d'armes, effusions écarlates, douleur hurlée, joie de combattre exagérée... Le Fou aux côtés de Hadès. Les corps s'étalent dans la marée vivante. Le balafré use surtout de ses parades et esquives face aux hommes du Berry. Pas une touche, pas un filin carmin sur l'acier trempé noble.
Juste survivre et rester attentif à chaque mouvement. Se décaler du noyau un instant pour mieux reprendre le combat...

Et les premières pertes sont visibles du côté Memento. Le Capitaine hors combat, comme la femme au contrat... Il ne voit pas Théo. Il espère que sa vie appartient encore à cette terre. Seule une chose le fait vociférer...
Le Noir... Ce fou... Il va à la rencontre même de sa mort. Personne ne le suit dans cette charge frontale perdue d'avance. Hurlement du Sambre colérique :


PAUVRE FOU TU VAS TE FAIRE TUER, REVIENS DANS LA MÊLÉE !!!


Cette fois, le rouquin ne réfléchit plus, voulant rejoindre au plus vite le dénommé "Liam". Bon sang, jouer les ivres de liberté oui mais pas en GUERRE !
Mais il est trop tard, toujours trop tard de faire marche arrière. L'homme de peau sombre n'a pas vu le traitre qui lui vole son âme...

Le sang bat dans les tempes du roux. Le regard prend une autre lueur, la rage l'envahit. Tuer, tuer l'enfoiré qui a pris cette vie. Malgré les mitrailles, les épées adverses et les coups bas qui l'attend. Plus rien d'autre n'a d'intérêt...

Sauf la retraite. Chacune des armées de leurs côtés respectifs. La victoire est acquise un instant, le plus gros des morts ou blessés étant à déplorer dans les rangs du Berry... Mais peu lui importe au balafré. La vengeance redeviendra possible certes mais rester ici... C'est s'offrir pour l'éternité aux Enfers. Et les flammes humaines l'ont déjà dissuadé maintes fois dans le passé.
Alors devant les murailles, il fait dos à l'ennemi... Pour apercevoir une autre folle. Désarmée, hagarde à la scène que lui ose détourner son regard. La femme cheveux couleur blé n'attend qu'un malin pour mettre fin à ses jours.

Nouvelle course, jouant des coudes dans le reste de mêlée. A sa hauteur, le rouquin prend un regard sévère avant de devenir colérique, rangeant sa lame pour prendre l'autre plantée dans le sol, plus légère.


Bordel ! Tu veux mourir ?! Réveilles-toi ! Il est mort ! C'est fini, FINI ! Il faut se replier ! Bouges toi !


Le poing ganté enfermant le fer de la mort frappe l'épaule dextre de la blonde. Le rouquin sait qu'équipé ainsi il ne pourra faire grand chose... Sauf l'amener à l'éveil de sa conscience. Il serre les dents pour la cause, prêt à lui couper une joue s'il le faut pour la faire reculer...

Magnes-toi ! Si on reste là, on subira le même sort !

Espoir de sauver... Futile ?...
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