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[RP] Rapines et Criements à la brune

--Sibuet
J - 1



Satanés canassons! Décidément, ils ne valaient pas l'avoine qu'on leurs refilait. Trois! Il lui avait fallut trois montures pour arriver à destination. Et encore, la dernière avait choie sous lui, à peine était il en vu de l'enceinte de la ville. La ville! Quel grand nom pour cette bauge, cet amas de maison, loin, très loin de ce qu'étaient ces belles capitales qu'il avait habitude à côtoyer. Comment s'appelait il déjà? Les cours? Basse cours? les tours? Ah non...Lectoure. Quel nom bizarre. Ceux qui l'avaient nommés n'auraient pas put choisir un nom plus agréable à l'oreille? Franchement, c'était à ce demander ce qu'il venait faire ici. Enfin, son employeur l'avait appelé. D'ailleurs il n'avait pas trop apprécier le thon de la missive. Il n'était pas son esclave, ventre dieu. Enfin, au moins avait il la décence de le payer à bon prix et de ne pas trop se préoccupé ni de ses méthodes, ni de ses quelques loisirs annexes.

Sibuet, un nom comme un autre. Sauf, que celui là c'était le sien. Pourquoi? A vrai dire, il s'en fichait pas mal.De toute façon, rare était ceux qui le connaissait. Étrangement, sont arrivé en un lieu engendrait des disparitions de toutes sortes. C'était son travail. Non qu'il l'appréciait particulièrement, mais il avait un certain dons dans domaine. Certains disaient qu'il en avait aussi la taille. Et pour cause, c'était un nain. Enfin, nous dirons plutôt que c'était une personne de petite taille, histoire de ne froisser personne.

Comme à son habitude, il attendit la nuit pour pénétrer dans la ville. Se faufilant à travers les ombres, pour ne pas être repéré, il partit en quête de son employeur.
--Amaric
Il aimait la nuit,à ce moment, il devenait un autre . Il laissait tomber son masque de gentilhomme affable et bienveillant et se retrouvait enfin lui-même.
Le soir venu, il laissait ses pulsions s’emparer de lui, s’abandonnait à ses envies les plus sordides. Il laissait s’épancher sa vraie nature.

Mais en cette froide nuit d’automne, enveloppé dans sa longue cape brune, il errait au hasard des ruelles.

La vie qu’il s’était forgée à coups d’intrigues, et de trahisons parfois, cette vie de presque roi, menaçait de s’écrouler à cause d’un misérable gosse qu’il avait nourri et logé depuis des années. Ce gringalet devenait homme, et si quelqu’un le faisait parler., il n'osait même pas y penser...

Il pesta en envoyant d’un geste brusque du pied, un caillou valser plus loin.
Maudit Mertin ! Maudit soit ce gueux !
Il pensait l’avoir bien dressé pourtant. A coups de fouets, en le terrorisant, l’affamant. Mais à son grand étonnement, celui dont il avait fait son esclave............ sa chose à tout faire............ avait trouvé la force de lui échapper et depuis, il avait fait basculer l’ordre des choses.

Toutes à ses sombres pensées, il sursauta soudain en entendant des bruits de pas. Une ombre se faufilait sournoisement non loin de là. Dans un réflexe, il laissa glisser sa main droite sur sa dague glissée dans sa ceinture.

L’individu approchait, silencieux et prudent .

Un rictus de soulagement, fendit son visage quand il reconnut de qui il s’agissait.
Question de taille !
Seul celui qu’il attendait était aussi petit.

Il se précipita, le saisit par le collet et l’attira rapidement dans un recoin.

- Maraud ! tu en as mis du temps ! J’avais dit immédiatement ………….. !
- J’ai un travail pour toi. Un bon travail …… ! Mais il faudra être prudent et surtout rapide, très rapide !


D’un geste brusque, il sortit de son pourpoint, une bourse pleine, l’agita devant le visage du petit homme ………………
--Sibuet
S'il est une chose que n'appréciait, pas, mais pas du tout, Sibuet, c'était bien de se voir soulever du sol. Il regarda méchamment celui qui avait osé le faire. Il se serait peut être laissé tenté à le poignarder, mais il n'avait pas encore eu le temps de repérer suffisamment les lieux. Aussi se contenta-t-il de grogner. Peut être était il temps de changer d'employeur...

Enfin, il n'aimait pas non plus, faire un voyage pour rien. Et la bourse qu'on lui montrait était assez attirante. Il fixa Amaric.


J'vais l'faire ton sale boulot. J'suis un professionnel, moi! Par contre, t'avise plus de m'parler comme ça. A moins qu'tu souhaite faire une partie d'cache cache avec quelques uns de tes chers amis!
D'après toi ? quel armée te rattraperait le plus vite? Ou alors préfère tu l'inquisition? Commence à faire froid ces temps si. J'suis sure qu'un bucher en plein cœur du village ferait plaisir a bon nombre d'ses habitants. T'es pas d'accord avec moi ?!


Le visage du nain, s'éclaira d'un sourire cruel. Un homme dans sa position, prenait jamais de risque avec ses anciens employeurs. Surtout, ceux qui perdaient leur sang froid assez rapidement. Il était certain qu'Amaric en était conscient.


Dis m'en plus sur ma proie. J'm'en occuperait... mais à ma façon et à ma vitesse !
--Amaric
Le nabot devenait de plus en plus impertinent et arrogant. Un jour, il faudrait qu’il s’occupe de son cas à celui là aussi.

En attendant, il avait besoin de lui. L’homme avait beau être petit, jamais il n’avait failli à une mission. Il terminait toujours le sale boulot. D’une manière rapide et définitive……

Non, pour l’instant, il lui était utile.

Amaric reposa l’homme à terre et lui chuchota d’une voix sourde :

- Retrouve-moi, un homme. Tout porte à croire qu’il se cache ici !
Jeune.......... maigrichon,............... quinze ans environ.
Tu le reconnaitras facilement , à la marque à sa joue gauche. Une croix entre deux faux entrecroisées………


Il ne put s’empêcher de sourire en repensant au plaisir qu’il avait eu en approchant le fer rougi contre la joue du garçon terrorisé et impuissant, maintenu par deux de ses sbires.
Le hurlement de douleur avait résonné dans la nuit, lui procurant une sorte de jouissance, de plaisir pur.

- Des habitants lui ont parlé.
Des femmes.................... des jolies femmes, et un homme aussi.
L'une des femmes, se reconnait facilement à sa longue natte brune qui lui descend jusqu'aux reins

- J’ai suivi la trace des femmes jusqu’au quartier qui fait face à la forêt à l’écart de la ville. J'ai entendu la donzelle, parler avec une magnifique blonde qu'elle a appelé Cloé .

- Fais ce que tu veux avec ces gueuses amuses toi si tu veux, et mets l’homme hors d’état de nuire, mais surtout pas de grabuge. Du travail net et propre comme tu sais le faire, tu me comprends ?


Avec un sourire goguenard, il lança la bourse au nain en ajoutant :

- J’oubliais, il s’appelle Mertin. Je veux la plus grande discrétion.
Ramène-moi le, le plus vite possible, et vivant. Je le veux vivant…………….
Tu m'as bien compris ? Vivant !
Je veux m’occuper de lui moi-même. Il paiera cher l’audace qu’il a eue de s’évader……………


- Allez file à présent, personne ne doit nous voir ensemble...........!
--Sibuet
Sibuet avait connu une jubilation extrême en comprenant le motif de sa venue. Ainsi le p'tit avait eu le cran de prendre la poudre d'escampette. Non, qu'il appréciait ce semi-homme. C'était plutôt la situation qu'il trouvait risible. Un moins que rien faisait trembler Amararic de peur. Pour peu, il l'aurait félicité.

Par contre, la suite était moins amusante. Qu'est-ce qu'il croyait ce fou ? Qu'il s'était donné au sans nom pour avoir quelques pouvoirs obscure ? Comment voulait-il qu'il puisse trouver ces proies avec des descriptions aussi flou ? Il venait de désigner presque tous les habitants du coin ! Et en plus il avait le toupet de demander de la discrétion... et de la rapidité. Pour ce que Sibuet en savait, il serait plus facile et plus rapide de bruler tout le village. Décidément l'patron perdait pieds.

En y réfléchissant mieux, ce n'était peut-être pas plus mal. Amaric lui donnait là, une belle occasion d'en finir. Avec un peu de doigtée et beaucoup de chance, il pourrait se débarrasser de cet homme qui lui était devenu un peu trop dangereux à son gout. L'homme s'était déjà évaporé dans la ville quand une lueur menaçante naquit dans le regard de Sibuet.

Tel une ombre, il se faufila dans les rues obscures. Une nuit ! Il avait une nuit pour repérer son terrain de chasse. Une nuit pour l'adopter et trouver une demeure inhabitée ou se réfugier. Le lendemain, il passerait à l'action.
--Sibuet
1er Jour

La nuit était tombée. Au loin on pouvait entendre des cris inquiétants. Les ruelles étaient désertes et sombres.

Confortablement installé sur un toit, Sibuet attendait contant mentalement le temps qui s'écoulait. Dans la demeure en face de lui rien ne semblait bouger. Une belle et grande maison appartenant, sans doute, à une personne importante. Voilà maintenant des heures qu'il l'observait. Gravant minutieusement dans sa mémoire les moindres détails. Pouvait-il escalader le mur ? Quelles ouvertures étaient les plus durs d'accès et donc les moins surveillés ? De quelles fenêtres provenaient les dernières lueurs de bougie ? Encore un peu de patience et il pourrait passer à l'action.

Il y avait réfléchi toute la journée à ce défi. Une partie des gens se connaissaient. L'ambiance était bonne, ou tout du moins, pas suffisamment mauvaise au goût de Sibuet. Le gringalet, quant à lui, avait été accepté dans le village. Certaines personnes semblaient même l'avoir tout bonnement adopté.

Le patron ne savait vraiment pas quand s'avouer vaincu. Tout homme ayant un minimum d'intelligence et de sang froid, aurait su qu'il était temps de lâcher l'affaire et de fuir. Mais manifestement, Amaric était dénoué de bons sens. Et Sibuet se trouvait maintenant empêtré dans ce problème. Sa réputation n'avait jamais été autant remise en question.

Enfin, il pensait avoir trouvé une solution. Cela allait être délicat, il le pressentait. Mais c'était son seul moyen d'arriver à ses fins. Avec un peu de chance, cela résoudrait même tous ses problèmes. Il devrait s'essayer aux prières, qui sait, le Très Haut lui viendrait peut-être en aide.

Soudain il estima, que l'attente avait suffisamment durée. Il fit l'inventaire de son matériel : gourdin, poignard, baluchons, sa fameuse poudre et quelques bouts de tissus attaché ici ou là sur lui. Il s'élança, sauta sur le toit à côté de la demeure ciblée, se faufila sur la toiture voulue, jusqu'à une lucarne. Elle était plutôt petite, parfaite pour lui. Il s'assit, fit jouer son poignard pour l'ouvrir, avant de se glisser dans la demeure.

Il retomba légèrement sur le planché. Il resta un moment immobile, écoutant les bruit de la demeure, se familiarisant avec eux. Rassuré, il se releva, ferma la lucarne et regarda autour de lui. Avançant à pas de loup à travers les couloir. Il s'arrêta prêt de la première fenêtre qu'il croisa et l'ouvrit délicatement. Il vérifia une nouvelle fois, qu'aucun bruit ne venait perturber la tranquillité des lieu et brisa le verre d'un geste sec. Cela n'était pas sans risque. Mais mieux valait brouiller les pistes dès maintenant. Moins ils en savaient sur lui, plus son plan avait des chances de fonctionner.

Avec mille et une précaution, il se déplaça dans la demeure, raflant tous les objets qui semblaient avoir la moindre valeur.
--Lamanon


le jour commençait juste à poindre que LaManon la chambrière vaquait déjà à ses occupation dans la demeure de sa maitresse.Tout d'abord faire la lessive,elle entra dans la chambre de la propriétaire et ramassa les vêtements éparts sur le lit ,le pris-dieu ,le fauteuil en velours bordeaux assortit aux lourdes tentures des fenêtres.
Ranima le feu dans l'âtre et pensa qu'elle devrait demander à Max le cocher de remonter des bûches, le stock dans le panier étant presque épuisé.

Les bras chargé du baluchon de linge sale est pesta contre le manque de visibilité avec ce fardeau qui lui cachait la vue.

Elle chercha à tâtons la rampe de l'escalier devant la ramener au rez de chaussée,puis posa avec précaution un pied sur la première marche.
Un craquement se fit entendre.


Maudites marches qui me rappellent sans cesse mon embonpoint!

Tout en grommelant elle se dirigea vers la porte menant à la cour interne de la demeure ou le lavoir l'attendait.
A peine avait-elle atteint la porte qu'elle se rappela qu'elle avait oublié de prendre au passage l'uniforme de soule boueux que sa maitresse avait laissé sur le tapis prêt de la baignoire en fonte.
Laissant son chargement choir au pied de la porte, elle gravit de nouveau l'escalier et se dirigea vers la pièce réservé aux ablutions de la jeune noble qui se trouvait au fond du couloir.
Un courant d'air inhabituel vint lui chatouiller les épaules.


Brr d'où vient ce froid?

Elle inspecta les fenêtres du couloirs ,voulant trouver celle mal fermées.Elle découvrit des éclats de verre juchant le sol,celle juste en face du petit salon,la pièce favorite de sa maitresse.La porte de celle-ci était entrouverte.
LaManon entra dans la pièce d'un pas mal assuré en priant Aristote de la protéger.
La pièce était vide,en ordre mais la domestique eut tôt fait de voir qu'elle était aussi vide des objets si chère à sa patronne.

Sur la cheminée il manquait l'écrin où reposait depuis des années l'alliance de son défunt mari,le portrait de celui-ci encadré de moulure d'or,l'encrier en cuivre qu'elle avait ramené du Maine et avec lequel elle avait eu tant d'inspiration pour ses articles de la gazette,deux vases, un chandelier..La chambrière arrêta là la liste des objets manquant et couru autant que sa masse le permettait quérir Max.

Elle dévala les escaliers,enjamba le tas de linge sale ouvrit la porte et se rua vers les logement des gens de la maison tout en craint:


Max,Max!
Oh Max!
La Madame à été dévalisé!
Vite crâne d'andouille, sort de là dedans!


Tambourine à la porte du logis du cocher.
--Sibuet
Cela avait été si facile. Une petite promenade de santé pour Sibuet, en quelque sorte. Mais il n'osait s'en réjouir. Le plus dur allait arriver. Déjà le soleil se levait. Bientôt les habitants envahiraient les rues. Il ne pourrait, alors, plus agir à sa guise. Il devait se dépêcher.

Il avait rejoint le cimetière, un peu plus tôt. Non qu'il y soit venus pour s'y recueillir. Les morts ne l'intéressaient pas. Mais quel que soit les différences entre les villes du royaume, il y avait toujours un cimetière. C'était un point de repère idéal. Qui viendrait s'étonner de voir un étranger flâner entre les tombes ? Il y avait tellement de tombes portant le nom de personnes oubliés depuis longtemps. Et surtout, il y avait la fosse commune. Cet endroit ou l'on enterrait tous ceux qui étaient incapables de se payer une tombe.

C'est d'ailleurs près de cette dernière que Sibuet avait posé son baluchons. La récolte avait été bonne. Il prit un petit bout de parchemin et inscrivit une annotation rapidement.




A l'intention de Sieur Amaric. Cache le, mais pas trop.


Un sourire éclaira son visage tandis qu'il le déposait dans le sac. Il entreprit ensuite de le rendre moins voyant. Puis, sans se retourner, il partit vers son refuge. La partie venait de commencer.
Noiraude
Max encore ensommeillé grommelait de la manière dont il avait tirer des bras de Morphé.La patronne ne devait pourtant rentrer que dans deux bonnes heures qu'après avoir fait son rapport à la maréchaussée de sa patrouille aux abord de la mairie et aux frontières de la ville.

Plus attentif à la voix derrière la porte il reconnue celle de la chambrière.
tiens ce dit-il ,elle a fini par succomber à mon charme et vient me rejoindre dans ma couche.

Saute de son lit,passe vite fait une main dans sa tignasse, se lisse la moustache et ouvre en liquette de nuit, la porte à la bonne toute affolée.


Eh bien dis donc quand t'as le feu aux fesses ça s'entend avec toi!

Mais que racontes tu, y a pas l'feu!
c'est un voleur qui à chipé les affaires de madame.
Vas vite la chercher au château


Le cocher en restait muet, d'une part LaManon ne faisait même pas attention à sa personne,et en plus un voleur rôdait dans les parages.
Remis de sa stupeur,il sauta dans ses braies,pris sa veste et se dirigea aux pas de course à l'écurie pour atteler le carrosse.


Les rues étaient encore calmes et désertes à cette heure si matinale.
Max eu tôt fait d'arriver à destination.
Il connaissait les salles de la maréchaussées par coeur à force d'y chercher sa maitresse chaque jour pour la ramener au logis.

Il fini par la trouver dans le bureau du prévôt, la plume à la main concentré sur son rapport de patrouille.


bonjour m'dame excusez le dérangement
je sais bien qu'il est trop tôt pour venir vous chercher mais il est arrivé quéchose de grave à la maison.


La jeune femme qui n'était autre que Noiraude leva la tête en entendant le discours de son cocher.

comment ça quelque chose de grave?
qu'est-il arrivé?
vas y je t'écoutes


Max raconta le peu qu'il savait à sa patronne.
Aussitôt ils refirent le chemin inverse pour se rendre dans la demeure dévalisé.

La chambrière se jeta sur sa patronne dès son arrivée et la tirant presque par le bras, lui montra la pièce vide ou reposait autrefois les objets aimés de celle-ci.


Noiraude ne put que constater les dégâts, elle passa sa main sur l'emplacement vide où reposait l alliance de son défunt Wresther, des larmes lui montèrent aux yeux puis vint la colère et la rage d'être impuissante .

Qui à fait ça?
Qui?

_________________
Elegance.
Passant dans la rue pres de la Chaumiere de Noiraude, il etait tot le matin, Elegance etais plutot matinal alors quand elle passa dans la rue elle enttendit soudainement un deux, trois cris, la vois provenais d'une femme on aurait dit qu'elle etait remplis de tristesse, de haine, de colere et je ne serais dire combien d'autre sentiment avait elle alors inquiete elle s'approcha de la porte, toca fort et demanda en criant si tout aller bien...

IL Y A QUELQU UN ? TOUT VAS BIEN ???

Ele n'enttendait nul autre cris ou bruit alors elle ne prefera pas penetrer comme ça chez cette personne et attendis que quelqu'un vienne a sa rencontre...

Elegance est agée entre 16 et 17 ans, jeune Chef Marechal, c'est a peu pres se battre aurais bien besoin de plusieurs heures d'entrainement, brune, jeune, plutot mature pour son age, ne se laisse pas marcher sur les pieds et laisse sa curiositer ce fofiler partout..


--Isabel.


Elle cheminait dans la ville, arpentant les ruelles pavées, longeant les remparts, admirant au passage le lavoir, la fontaine.

Elle pénétra dans l’église, remarqua les magnifiques vitraux, fit un détour par le cimetière,
resta pensive devant la façade imposante du dispensaire.

Belle ville, interressante……..

Ses pas la menèrent jusqu’à une belle demeure.

Il lui fallait trouver un travail rapidement. Les offres en mairie ne lui convenaient pas.
Tuer un cochon ou une vache, labourer , très peu pour elle .

Elle marchait au hasard lorsque ses pas l’amenèrent devant une belle demeure.

Un sourire éclaira son visage lorsqu’elle vit le carrosse devant le porche.


Une jeune fille brune frappait à la porte, l’air inquiète …..

Isabel s’approcha :


- Damoiselle, je me nomme Isabel, je suis funambule, je joue de la musique, je chante et je danse.

Je vais de ville en ville pour proposer mes services.
Il me semble vous avoir déjà rencontrée non ?
Votre silhouette m’est familière. Au bal masqué ? vous y étiez ?

Est-ce que vous croyez qu’on donne des fêtes dans cette belle maison ?

Connaissez vous le propriétaire du lieu ?

Qui appelez vous ainsi ? Il y a un problème ?


Elegance.
Inquiete Ele attendis devant la porte de la demeure quand soudain une Dame s'approcha d'elle et commença a lui poser moult questions...

Bonjour Madame, Isabel,
Je me nome Elegance, je suis habitante de Lectoure, vous avez devant vous une jeune Chef Marechal
Elle sourit en disant cela..Vos services ? Quels genre de services, Dame ?
En effet, Madame, en y reflechissant bien, je vous est deja croiser en notre belle ville...
Oui, j'etais au bal masquer, je crois bien que c'est la bas que je vous y est vue..
Je ne c'est point, Dame.


Reflechis un instant...

Il me semble que c'est la maison de Dame Noiraude, le Lieutenant de la ville et egalement mon Lieutenant..
Je cherche a savoir s'il y a quelqu'un car j'ai enttendus a l'instant un cris de colere de la Demeure, Madame..


--Lamargot



LaMargot au fin fond de ses cuisines ne savait rien des derniers évènements se déroulant dans la demeure.
En passant dans le grand hall d'entrée à la recherche de la chambrière, elle entendit frapper à la porte.


Mais si t'y pas vrai que personne ne va ouvrir!
J'dois tout faire moi ici!
Ils sont où tout le monde?


La cuisinière se dirige vers la porte quelle ouvre au minimum ,jetant juste un oeil sur les visiteurs.

Bien l'bonjour les dames
Quoi vous voulez?
Vous êtes des amies de la madame?
--Isabel.


- Bonjour damoiselle !

Je me nomme Isabel. Je suis funambule .
Je peux chanter et danser, jouer de la musique.
J'était présente au dernier bal masqué........

Cette jeune fille me dit que cette belle demeure appartient à une Dame.
Est ce que votre maîtresse prévoit une fête ces temps ci ?

Je suis à sa disposition si elle a besoin.
Vous me trouverez à l'auberge au centre du village.


Et sur un dernier petit salut, la jeune femme , retourna en direction du centre, non sans avoir auparavant remercié d'un sourire, Elegance...........


Elegance.
Une servante vain leur ouvrire enfin..

Bien le bonjour Dame, je suis Elegance,
je suis bien chez Dame Noiraude ?
Je passer par hasard devant la maison de votre Maitresse quand j'enttendis un cris, inquiete, je me pressa de venir voir de quoi il s'agissait.
Si votre Maitresse est Dame Noiraude, oui, je la connais c'est mon Lieutenant!



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