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[RP] Rapines et Criements à la brune

--Lamargot
Des cris de fureur se firent de nouveaux entendre au premier étage.
LaMargot fit entrer la visiteuse et lui indiqua le chemin à suivre dans les appartements de sa maitresse.



Bon,voilà moi je vous laisse, je sais pas c'qui se passe ici mais si jamais le repas n'est pas près pour c'te midi lamadame va continuer à crier.
--Cunincpert
Imaginez un instant. Le jour vient de débuter. La ville commence tout juste à se réveiller. Les oiseaux chantent. Petit à petit, les doux cris d'amour dans les foyer s'éveillent, rapidement accompagné par le désir inextinguible d'aller travailler. "Mais ou t'étais passé hier?! J't'ai cherché partout ! T'es rentré tard ! T'a encore été la voir hein ?! Allez avoue ! Tu mériterait que je te donne une de ses raclée....et t'enfuis pas...reste là... j'ai pas finit".

Bref, un matin tranquille, dans un moyen paisible. Et c'est alors qu'il apparait. Oui, lui et pas un autre. Sa démarche chaloupée. Son doux parfums issus d'un savant mélange de senteurs d'alcool et de sueur. Il avance - ou plutôt zigzague - au travers des rues de Lectoure. Cet un artiste, ça peut se voir à sa chemise fripée et multicolore, parsemé de tache de graisses, de boue et des doux souvenirs de ses repas. Il s'arrête, porte sa gourde a ses lèvres et déguste son contenue avec une passion non réprimée. A peine a-t-il finit, qu'il ne peux s'empêcher de faire connaitre sa joie. Un bel et enthousiaste rot sort de sa bouche.

Petit à petit, il s'est approché du cimetière.Hasard ou choix délibéré ? Nul ne le sait, peut être a-t-il été guidé par son instinct d'alcoolique. Comment ça il n'y a pas de rapport? Mais si, tout le monde sait, qu'il y a toujours une taverne dans les environs d'un cimetière. Mais si c'est la taverne qu'il cherchait, il venait de la louper.


Satané nabot *Hips*! Mais pour qui y s'prend lui ! *Hips*M'faire ça à moi ! J'suis pas son *Hips* chien, non mais! La *Hips* prochaine fois , je prend *Hips* par la peau du cul, et il *Hips* va voir s'lui là ! Ca va pas *Hips* durer longtemps ! Moi j'te l' *Hips*dit !

C'est continuant son ode à la vie et à la joie de vivre, qu'il avança avec discrétion et respect dans le cimetière.
Elegance.
La Dame lui indiqua le chemain et Ele la remercia et alla trouver l'endroit où ce trouver ces cris de colere puis arriva non loin est surprise Noiraude enervée alors elle s'approcha de celle ci, regardant elle chercha a saovir ce qu'il c'etait passé...

Bonjour Noiraude,
que t'arrive t il ?
Pourquoi regarde tu cet endroit comme ça..?
Sans vouloir etre indiscrette...

_________________
--Isabel.



A L’AUBERGE

Elle entra dans l’auberge, portant son lourd baluchon sur le dos. Elle était lasse. Elle avait encore passé la journée à arpenter les rues de la ville, proposant ci et là ses services pour d’éventuelles fêtes. Elle avait bavardé un peu avec les femmes occupées autour du lavoir, écoutant les ragots et les nouvelles.

Elle monta à l’étage, saluant au passage le tavernier, d’un geste de la main et parvint dans le couloir qui menait à sa chambre.

Déjà le soir tombait, et elle devait se reposer un peu. Elle chercherait encore demain et sinon, elle retournerait couper du bois en forêt.

La journée avait été longue. Elle irait peut être passer un moment dans une taverne de la ville si elle en avait le courage.

Sa chambre était la dernière au bout du couloir. Le plancher craquait sous ses pas.
La nuit, on entendait chaque pas, chaque mot.
Elle dormirait encore mal, c’est sûr….


- Et ce sac, par Aristote, qu’il est lourd !
--Amaric
Il ne pouvait plus rester enfermé ici.
Il fallait qu'il sache si les choses avançaient, si le gueux avait été retrouvé.
L’angoisse lui nouait les tripes. Il n’arrivait pas à manger.
Seul l’alcool le réchauffait un peu.

Et il lui fallait une fille. Trop longtemps qu’il n’avait pas connu les bras d’une femme.

Il enfila son pourpoint, vérifia sa coiffure et poussa la porte de sa chambre.

L’air froid du couloir le saisit. Quelle différence avec la douce chaleur de sa chambre. Il avait insisté pour que du bois soit apporté en quantité suffisante pour alimenter la grande cheminée.


Sa bourse bien garnie lui permettait de s’offrir la meilleure chambre. C’était au moins ça.

Tout à ses pensées, il ne vit pas la jeune femme dans l’obscurité du couloir et la percuta de plein fouet.


- Oh, Damoiselle ! je suis maladroit ! Veuillez accepter mes excuses !

Diable, mais elle n’était pas vilaine. Pour une nuit, elle pourrait faire l’affaire. Il détailla la silhouette mince et souple, admira la chevelure de feu. Oui, peut-être qu’il n’aurait pas besoin d’aller en taverne chercher la gueuse après tout.
Celle-ci………………

- Oh, mais si je ne m’abuse, nous sommes voisins de chambre ? Dois-je y voir un signe de bonne fortune belle Dame ?


- J’espère vous revoir ce soir à l’auberge. Peut-être pourrons-nous partager un bon repas ?

Et la saluant sans attendre sa réponse, il s’inclina devant elle, lui prenant la main pour y poser un léger baiser.

Sur, qu’il savait s’y prendre. La donzelle ne résisterait pas longtemps à son charme.
La nuit serait longue. Elle chasserait les démons, elle l’emmènerait jusqu’au matin dans un tourbillon d’ivresses.

Il descendit les marches et réclama à boire à l’aubergiste, un sourire rêveur aux lèvres.........

.
--Sibuet
2ème Jour

L'orage grondait. La pluie risquait de tomber. Sibuet, accroupit dans un coin, observait les maisons présentes. Pour cette nuit, il était sorti des rempart. De temps en temps il jetait un oeil dessus. Manquerait plus qu'un maréchal décide de prendre sa pause pendant qu'il serait à découvert.

Il trouva bientôt une demeure qui semblait intéressante. Une petite chaumière dont le propriétaire avait oublié de poser les volets. Il suffisait d'espérer que ce ne soit point celle d'un ivrogne. Si ce dernier possédait quelques biens, il ne s'apercevrait pas de leur disparition. Chose qui n'aurait pas embêter le nain en temps normal. Mais ce coup si, ce n'était pas un cas normal.

Il jeta un regard vers le ciel et l'orage qui continuait à gronder. Il fallait qu'il se dépêche. Il vérifia une dernière fois son matériel, que nul ne pouvait le voir des rempart et courut jusqu'à la maison.

Il pénétra dedans en passant par une fenêtre. ce fut une odeur d'herbes aromatiques qui l'accueillit. Dans la cheminée quelques braises étaient encore rougeoyantes. Sibuet fut rassuré. De toute évidence cette chaumière appartenait à une femme, inconsciente de surcroit. Il n'allait pas s'en plaindre. Il en profita même. Il chercha une bougie et l'alluma. Et c'est à sa clarté qu'il partit en quête des objets de valeurs.

Son baluchon se remplissait petit à petit, il était vraiment à l'aise. c'est alors qu'il entendit des bruits de pas. Il ne s'en inquiéta pas aux premiers abords. une femme seule, il pouvait facilement s'en occuper. C'est alors qu'il entendit une voix... d'homme?! Cela changeait tout.

Ils semblaient prêt. Il devait faire vite. Il prit un banc et le posa contre la porte. Ça ne les arrêteraient pas, mais les ralentiraient surement. Il prit son sac et partit. Dans sa précipitation, il fit basculer un pot qui tomba en se brisant. Cela ne fit qu'accroître sa vitesse. Il s'engouffra dans une fenêtre pour disparaitre dans la nuit au moment ou l'averse tombait. Cette nuit, son alliée était la pluie. il l'a remercia, espérant qu'elle efface ces pas...
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