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[RP]"Bois et merveilles" Echoppe de charpentier

Frz77
Adelin travaillait au fond de son échoppe. Il était occupé à terminer des petits personnages de bois. Les fêtes de la nativité approchaient, et il était grand temps pour lui de se constituer un stock...

Il était afféré à tailler la main d'un petit garçon quand l'entrée fracassante mais caractéristique de son ange faillit la lui faire perdre, la main. La sienne aussi bien que celle du personnage.

Sans prononcer le moindre mot, elle se jeta sur lui et l'embrassa avec une telle passion qu'il ne comprenait définitivement pas comment on pouvait devenir homme d'église et renoncer à tous ces sentiments....

BREF...

Adelin... mon délicieux charpentier...

Petit sourire charmant...

Pourriez-vous me rendre un petit service?

Elle sortit alors de derrière son dos une vielle planche de bois, un brin passé, un brin branlante, un brin foutue quoi...

Vous souvenez-vous de l'idée dont je vous ai parlé, il y a quelques semaines? j'aurais besoin d'une enseigne... gravée sur cette planche... j'avais pensé à "A l'impromptu... théâtre d'improvisation"... qu'en pensez-vous?

Adelin sourit rien qu'au souvenir du dit moment.

Et comment que je me souviens pardi! Et pour le nom, je trouve cela parfait!


Un dernier regard vers la planche et il dit

Ne vous offusquez pas si je fais cela sur une planche qui m'appartient et qui donnera un tantinet plus de fraicheur que celle ci!!

Il se dirigea vers l'extérieur, là où gisaient une multitude de planches cassées, de chutes de poutre ou encore de tas de sciure. Un tas de sciure immense et cotonneux, fruit de plusieurs découpes, tailles et autres travail du précieux matériau.

Subitement, l'envie de faire ce panneau s'enfuit à la vitesse d'un ours blanc poursuivant un castor palmé... Az... Son image et son visage le hantait jour et nuit. Sans elle il ne trouvait plus le sommeil, et avec elle, il ne voulait plus dormir... Et faire que les nuits ne se terminent jamais... Une tempête venait de balayer son intérieur, une tempête similaire à celle qui l'habitait depuis l'arrivée de Az dans sa vie. Il ne pensait plus qu'à elle, son corps chaud contre le sien... Après tout, le panneau pouvait bien attendre un peu...

Il se risqua timidement à un petit

Az... Voudriez vous venir par ici une minute?

Elle passait la tête par l'encadrement de la petite porte et un sourire taquin s'affichait sur le visage d'Adelin.

Sans lui laisser le temps d'approcher, il se jeta sur elle, la faisant tomber sur le tas molletonneux, cotonneux, de sciure qui se trouvait là...

Un énorme nuage de poussière se soulevait, et caché pour un instant à la vue de la moindre fourmi mangeuse d'homme qui passait par là, il l'embrassa avec autant de chaleur qu'elle avait pu le faire auparavant...

Et d'un coup, le temps perdait le fil... Et d'un coup, sa vie redevenait un rêve... Et d'un coup, le vent balayait Castel...

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Azyuna
Citation:
Az... Voudriez vous venir par ici une minute?


Sans lui laisser le temps de répondre, il s'élança sur elle avec une telle ardeur que seul un petit rire nerveux réussit à s'échapper de la gorge soudainement haletante de la jeune femme, et d'un baiser brûlant, il éteignit le rire, embrasa le corps et arracha un soupir. Elle ne lui fit aucune résistance... le pouvait-elle? … et elle se laissa glisser sous le poids grisant du charpentier, se laissa élever dans une cambrure soudaine, se laissa emparer par le plus brutal des désirs. Et le vent souffla sur Castel, plus violent et plus sauvage que jamais comme s'il voulait ravager sur son passage toute résistance, tout obstacle, tout barrage. Et le monde expira encore. Et tout ce qui existait devint chimère. Et la réalité s'imprégna d'une saveur de conte pour enfants. Et sa brûlante étoile l'éleva, en vagues frissonnantes, jusqu'à l'immensité céleste et le ciel aurait pu s'ouvrir mille fois sur le Paradis, qu'elle n'aurait pas un instant songé à abandonner la lumière de son astre.

Et si elle avait douté, si elle avait cru que quelque chose lui manquait, si elle avait désiré avoir plus, être différente, être sereine et calme, froide et distante, tout cela, si elle y avait songé ces derniers jours, tout cela disparut dans un vacarme assourdissant de soupirs et secousses et vola en vibrants éclats aussi lumineux que fugitifs. Pourquoi avait-elle voulu résister alors que céder était si doux? Pourquoi cette crainte alors qu'il la rassurait de son étreinte dévorante? Pourquoi avait-elle tenté de fuir alors qu'il était si évident que ses bras devenaient le seul refuge? Alors, elle comprenait, à chaque frisson, que sans sa présence, plus rien n'avait de sens. Sans sa voix profonde et lointaine, le silence deviendrait souffrance. Et surtout, sans ce corps brûlant, ce corps vibrant, vivant et incontrôlable, sa peau se fanerait, irrémédiablement. Elle l'aimait. Oh oui, elle l'aimait ! Plus que la gloire. Plus que l'épée. Plus que les souvenirs du passé qui s'effaçaient comme un songe au réveil. Plus que le futur qu'elle avait imaginé. Plus que tout ce qui existait sur cette terre. Et, elle réalisa, entre frémissements de délice et plaisirs soupirants, qu'il avait toujours été là, caché dans son sommeil, parlant dans ses rêves, couvrant ses nuits de son ivresse impalpable, de ses mots envoûtants. Alors elle murmura dans un baiser
« Les mots chers et fous...c'était vous... », dans une douce caresse « La voix dans la nuit...c'était vous », dans un gémissement retenu « l'âme, c'était la vôtre »...

Ses lèvres demeurèrent entrouvertes sur ces mots et ses yeux se perdirent dans les siens, alors que, hypnotisée et fébrile, elle s'abandonnait éperdument à ses volontés...
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Frz77
Adelin fit un saut avant de quitter Castel, à son échoppe. Il voulait vérifier que les braises de la veille s'étaient bien consumées, et que rien ne pourrait à nouveau embraser l'intérieur de sa petite boutique... Il ouvrit la porte, entendit le son de la petite clochette annonçant l'arrivée d'un visiteur.

Un regard vers la cheminée... Rien à signaler...

il marchait jusqu'à son atelier, vérifiant ainsi que le petit feu qu'il avait pour habitude de faire sous son auvent avait bien rendu son dernier soupir, lui aussi...

Tout était en ordre... Il pouvait quitter Castel, le cœur léger, mais l'esprit occupé...

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Antinaelle
L’atelier lui avait paru si vide, si triste, elle qui ne l’avait connu que débordant de vie et du bruit des scies et des ciseaux à bois frappés par le marteau, ce silence lui pesait.

Antinaelle alluma le feu dès qu’elle fut entrée dans l’Atelier, elle ne savait si s’était elle ou l’endroit qui était glacial et elle se plaça devant le feu qui commençait à crépiter doucement dans la cheminée, elle fixait les flammes naissantes puis ferma les yeux, elle ne pouvait supporter cette vision sans imaginer Azyuna dedans.
Trop d’évènements tragiques en trop peu de temps…

Le temps d’agir était venu, il fallait enterrer Adelin et Azyuna, si cela était possible pour cette dernière. Antinaelle envoya chercher Côme, le fils de ses aubergistes, il saurait trouver un charpentier pour fabriquer un cercueil digne d’un charpentier comme Adelin.

Elle devait retourner là où s’était dressé il y a peu encore, la maison du 14 Rue des Batisseurs, il ne reste plus qu’un amas de débris calcinés éparpillés autour de la cheminée en pierre noircies par les flammes qui reste seule, dressée à l’emplacement de la maison, comme un défi vers le ciel. Une odeur âcre émane des cendres encore chaudes, Antinaelle porta son mouchoir à son nez, espérant atténuer la puanteur. Elle parcourut des yeux les décombres encore fumant à la recherche d’un objet qui aurait pu échapper au feu dévorant, alors qu’elle allait abandonner elle aperçut un petit objet brillant,
" sans doute une cuillère... ", se dit-elle, mais la curiosité la poussa à aller la chercher tout de même. Une boucle se dégagea peu à peu, sans doute la boucle d’un manteau ou d’une cape d’Azyuna, ce n’était vraiment pas grand chose, mais ça lui avait appartenu, Antinaelle la ramassa et la plaça soigneusement dans un mouchoir qu’elle mit dans sa poche, un nettoyage s’imposait avant que l’objet soit déposé sur la dépouille d’Adelin.
" Toute une vie résumée dans une boucle de manteau, c’était bien peu de chose… "

Léonce aidé de quelques voisins avait installé le corps de son ami Adelin sur un lit à l’étage, les femmes du quartier avaient apportées des plantes odorantes et des cierges, certaines pleuraient devant le corps raidit de leur voisin et non moins ami.
Des pleurs déchirants s’échappaient de la chambre improvisée, nombreux étaient ceux qui se demandaient comment tout ceci avait bien pu arriver.

Le temps d’agir était venu, il fallait enterrer Adelin et Azyuna, si cela était possible pour cette dernière. Antinaelle envoya chercher Côme, le fils de ses aubergistes, il saurait trouver un charpentier pour fabriquer un cercueil digne d’un charpentier comme Adelin, ainsi qu’elle envoya Léonce prévenir le Père Saino, maire de Castel des premiers jours et de nouveau à la tête de la ville.

Antinaelle devait se préparer à recevoir la visite de tous les amis de celui qui avait été à la fois Lieutenant, capitaine de l’équipe de Soule, charpentier, tavernier, et surtout un merveilleux ami.

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Duflan
Duflan hésita un moment avant de pousser la porte, il savait que le moment allait être difficile.
Le corps d'Adelin avait été ramené par dame Antinaelle.
Il se souvenait d'elle du temps ou elle résidé ici, Calme et peu bavarde et très dévoué .
Il l'appréciait beaucoup m^me si son regard le gêné , il avait l'impression de n'avoir aucun secret pour elle comme si elle devinait tout et quand son regard s'attardait sur lui, il préférait tourné la tête.


Ben bien le jour dame Antinaelle, je suis content de vous voir ici m^me dans un moment aussi difficile.
Et pis j'ai ramené ce livre, oh point un grand livre, c'est un livre d'enfants m^me si Adelin n'a jamais voulu me l'avouer, il voulait point me blessé je pense....... enfin bon.
Il me l'avait prêté , il tenait à ce livre.......
C'est un bon livre m^me si j'ai point tout compris, surtout l'histoire du gas qui coupe ses cheveux.. ah excusé.. je suis un peu perdu......
Tenez prenez le......
Antinaelle
Antinaelle s’était préparée à recevoir des visites, le feu crépitait dans la cheminée de la pièce du bas où elle s’était installée le temps qu’il faudrait pour mener son ami en terre.
Un coup fut frappé à la porte. Elle prit une grande inspiration, lissa d’un geste machinal sa jupe, geste qu’elle faisait souvent lorsqu’elle était nerveuse, ce simple geste la rassurait. Elle se dirigea vers la porte et l’ouvrit.
Devant elle se tenait Messer Duflan, un air un peu gêné, n’osant la regarder, sans doute avait-il peur de voir les larmes retenues au bord de ses yeux, cela dérangeait souvent les hommes que de voir les larmes des femmes, elle ne s'en formalisa pas.
Antinaelle aimait bien cet homme que certains disaient un peu trop porté sur la "gniole", par bien des côtés il lui faisait penser à son vieil intendant Léonce, les mêmes façons un peu bourrues mais avec un cœur immense.
Elle lui sourit tristement et l’invita à entrer.
    Ben bien le jour dame Antinaelle, je suis content de vous voir ici même dans un moment aussi difficile.
    Et pis j'ai ramené ce livre, oh point un grand livre, c'est un livre d'enfants m^me si Adelin n'a jamais voulu me l'avouer, il voulait point me blessé je pense....... enfin bon.
    Il me l'avait prêté , il tenait à ce livre.......
    C'est un bon livre même si j'ai point tout compris, surtout l'histoire du gas qui coupe ses cheveux.. ah excusé.. je suis un peu perdu......
    Tenez prenez le......
Elle prit le livre qu’il lui tendait. Un livre d’enfant, voilà qui ne l’étonnait guère de la part d’Adelin, elle savait l’amitié qu’il éprouvait pour le brave homme.

Messer Duflan, je cro...
, se reprit-elle aussitôt, je suis sure qu’Adelin aurait aimé que vous le gardiez en souvenir de lui.

Gardez ce livre en sa mémoire.


Elle lui remit le livre, serrant les mains de l’homme dans les siennes pour s’assurer qu’il ne lui rendrait pas. Elle était sure d’avoir fait le bon choix, Adelin l’aurait voulu ainsi.
Elle l’invita à s’asseoir avec elle et à lui conter ses souvenirs avec son ami, mais afin de mettre plus à l’aise son invité elle lui versa nonchalamment un verre de gniole, comme si c’était pour elle le geste le plus naturel du monde et laissa la bouteille bien en évidence sur le bord de la table.


Messer Duflan, racontez-moi quelques grandes aventures ou quelques anecdotes que vous avez vécu avec Adelin...

Elle prit un bol de bois tourné, trouvé dans les placards d’Adelin, dans lequel s’élevaient les volutes parfumées d’une infusion de verveine, son odeur suffisait à l’apaiser, elle attendit que Messer Duflan se lance dans les récits pittoresques. N’était-ce pas ainsi que l’on honorait la mémoire de nos amis ? en se racontant les meilleurs souvenirs qu’on avait vécu avec eux.
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Neyco


Ayant marche toute la nuit, la miss la tête pleine avait tout de même préférer rentrer afin de se reposer quelque peu.
Quelques heures plus tard ayant plus tournée en rond dans son lit trop tracasse par les derniers évènements la ch'tite Ney se mise en tête de se rendre a l'atelier.
Cela lui faisait mal de savoir qu'elle ne le verrai plus.
Son ami avait toujours tout fait pour la faire sourire.
Lorsque son petit frère était arrivée d'Irlande malgré son jeune age il n'avait pas hésite a l'accepter en caserne.
Et lorsque Alexis leurs frère était parti en vadrouille il avait fait en sorte de la rassurer avec ses mots a lui.
Depuis un bon moment deja la miss le considérai comme un grand frère qui était la pour la guider alors qu'elle était perdu.

En flânant un peu la miss voyait dans la rue la plupart des habitants le visage grave.
Castel avait connu pire certain dirait, les brigands, les menteurs et tout le reste.
Mais Adelin et Az c'etait pire que tout.
Tous et toutes avaient le cœur en pleur même si certain pour rassurer les plus faible essayaient de ne point le montrer.
Ayant marcher sans se rendre compte, la miss se retrouva devant l'échoppe.
Fronçant les sourcils légèrement on entendait du bruit.
En espérant que quelques nouveau venu n'en avait pas profiter pour s'installer, la miss mit la main sur la garde de son epee.
Si c'etait la cas, elle les virerai rapidement et on les entendrait hurler jusqu'en Suisse.

Poussant la porte légèrement au cas pour surprendre les coquin qui avaient osée profaner l'atelier, au moment de passer la tête oui, elle reconnaissait ses deux voix.

Ouvrant la porte de manière normale au final, la miss reconnut Duflan et Antinaelle.

Faisant un petit sourire malgré la peine, Ney se dirigea par réflexe vers Antinaelle la miss se jeta dans ses bras.
Ne pouvant plus se retenir la miss laissa couler ses larmes qui depuis plusieurs jours refusaient de sortir ne pouvant y croire au fond de son cœur.
Murmurant des pardons tel une litanie, la miss était tellement triste de ne point avoir été la suffisamment se trouvant égoïste d'avoir préférer aller a Foix.

Relevant la tête, les yeux rougit par les larmes la miss se tourna vers Duflan.
Le pauvre, Adelin était un très bon ami pour lui et il le connaissait depuis bien longtemps.
Elle ne savait que faire ni que dire tellement la peine et la peur de dire une bêtise lui coupait la voix.

Essayant de se reprendre dans un souffle que elle même ne trouvait point convainquant elle dit:

Je crois que Adelin et Az n'auraient point aimée nous voir trop triste.

Baissant la tête la miss était sure que si l'un ou l'autre avait été la tout deux auraient trouve chose a dire.
Mais ils n'étaient plus.
Adelin lui aurait dit que quelqu'un lui avait coupée la langue vu du peu qu'elle disait.
Az quand a elle aurait surement parlée de soule ou même de pâtisserie afin de lui changer les idées.
Tout deux connaissaient leurs amis mieux que eux même dans le fond.
Et ceci faisaient d'eux des êtres d'exception.

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Antinaelle

Alors qu'elle était installée à la table avec Messer Duflan, Antinaelle vit la porte s'entrouvrir lentement et laisser place à la petite soldat de Castel, son amie Neyco se tenait là devant elle, un sourire tristement dessiné sur ses lèvres pâle, et sans autre forme elle se jeta dans les bras d'Antinaelle.
Neyco laissait échapper toute la peine qu'elle avait jusque là contenue, des sanglots entrecoupés de "pardon" murmurés. Antinaelle la laissa pleurer tout son sou sans dire un mot, lui frottant simplement le dos doucement afin de la réconforter, elle savait qu'il vallait mieux laisser sortir les larmes, cela permettait de mieux accepter l'innaceptable.
Neyco fini par relever la tête du giron d'Antinaelle et regarda Duflan, les yeux rougis.


ça va mieux Neyco .. ? , l'interrogea-t-elle.

La petite soldat prit une profonde inspiration avant d'ajouter sans grande conviction.


    Je crois que Adelin et Az n'auraient point aimée nous voir trop triste.


tu as tout à fait raison ma Ney.
d'ailleurs justement je venais de proposer à notre ami Messer Duflan, de nous remémorer les souvenirs des bons moments passés avec eux.
Joins toi à nous.
Que veux tu boire ?


Jettant un regard sur la table et les gobelets s'y trouvant, elle sourit en voyant la gniole servit dans le gobelet de Duflan mais ne dit rien, elle espérait seulement qu'il accepte son verre sans s'en offenser, mais elle ne pouvait offrir la même chose à Neyco. Une absence la contraria pourtant.

hélas Neyco, je n'ai pas de gateaux ni de biscuits à te proposer.
je n'y ai pas pensé...

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Heimrich


Heimrich rentrait d’un tour de garde lorsque passant non loin de la l'échoppe de son défunt ami il remarque de la lumière… Etonné, il s’approche méfiant, écoute à la porte, des voix viennent de l’intérieur… Il pense à des voleurs, sort son épée et d’un coup de pied ouvre la porte hurlant

Qui va là ?
Duflan
Gardez ce livre en sa mémoire.

Duflan qui sentait les mains de dame Antinaelle serrait contre les siennes, releva la tête.


Ben, je sais pas trop...., c'est... euh, je sais je lirais des histoires de ce livre aux enfants de Castelnaudary, voilà ce que je ferais...oui je ferais cela.

Messer Duflan, racontez-moi quelques grandes aventures ou quelques anecdotes que vous avez vécu avec Adelin...

Duflan se mit à sourire, oui c'était une bonne idée et des histoires, il en avait m^me si il avait tendance à exagerer surtout sur lui, il allait commencer quand il vit dame Neyco apparaitre.
Il ne l'avait jamais vu comme cela, elle semblait désespéré et tellement faible à l'opposée de la jeune femme qu'il connaissait



Je crois que Adelin et Az n'auraient point aimée nous voir trop triste.

Elle avait raison, duflan allait prendre la parole après avoir avalé une grande gorgée de gnole, quand un grand bruit secoua la porte et une épée vu visible.
Duflan se coucha par terre avant de reconnaitre son ami Heimrich


Mais tu veux nous faire mourir de peur ou quoi ?
Duflan
Gardez ce livre en sa mémoire.

Duflan qui sentait les mains de dame Antinaelle serrait contre les siennes, releva la tête.


Ben, je sais pas trop...., c'est... euh, je sais je lirais des histoires de ce livre aux enfants de Castelnaudary, voilà ce que je ferais...oui je ferais cela.

Messer Duflan, racontez-moi quelques grandes aventures ou quelques anecdotes que vous avez vécu avec Adelin...

Duflan se mit à sourire, oui c'était une bonne idée et des histoires, il en avait m^me si il avait tendance à exagerer surtout sur lui, il allait commencer quand il vit dame Neyco apparaitre.
Il ne l'avait jamais vu comme cela, elle semblait désespéré et tellement faible à l'opposée de la jeune femme qu'il connaissait



Je crois que Adelin et Az n'auraient point aimée nous voir trop triste.

Elle avait raison, duflan allait prendre la parole après avoir avalé une grande gorgée de gnole, quand un grand bruit secoua la porte et une épée vu visible.
Duflan se coucha par terre avant de reconnaitre son ami Heimrich


Mais tu veux nous faire mourir de peur ou quoi ?
Antinaelle
Antinaelle avait réussi à convaincre le brave Duflan à garder le livre d'Adelin, il avait trouvé ce qu'il allait en faire, " je sais je lirais des histoires de ce livre aux enfants de Castelnaudary, voilà ce que je ferais...oui je ferais cela." avait-il décidé et Antinaelle approuvait ce choix, les enfants de Castel en seraient ravis.

Alors que le bon Duflan allait se mettre à raconter des histoires qu'il avait vécu avec Adelin, Neyco était arrivée, avait pleuré et s'apprêtait à prendre une boisson quand, tout à coup, la porte s'ouvrit à toute volée dans un cri tonitruant.
    Qui va là ?
Un homme en arme, épée à la main, pénétra dans la pièce du bas de l'atelier.
Surprise par la violence du choc contre la porte, Antinaelle fit un bond en arrière, attrapant sans même y penser, le tisonnier contre la cheminée, alors que Duflan s'était jeté à terre dans un seul bond.

Elle fixa l'homme dans les yeux, le tisonnier dressé devant elle telle son épée, prête à en découdre s'il le fallait, quand elle reconnut les traits de l'homme sous son habit de garde. Elle s'écria


Messer Heimrich !
En voilà une entrée des plus fracassante !


Ce à quoi Duflan renchérit.
    Mais tu veux nous faire mourir de peur ou quoi ?
Je ne vous invite pas à entrer, je crois que c'est déjà fait.
Vous boirez bien un verre avec nous.
, ajouta-t-elle en lui montrant un siège à la table.
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Heimrich
Duflan qui se couche à terre dans un grand fracas, Antinaelle et Neyco qui le regardent avec de grands yeux … Heimrich reste un instant comme pétrifié par la situation, il rengaine son épée et marmonne se sentant ridicule…

Heu… Excusez moi, j’ai vu de la lumière, j’ai cru a des voleurs, je… Je suis désolé de vous avoir fait peur…

Antinaelle lui dit alors « Je ne vous invite pas à entrer, je crois que c'est déjà fait. Vous boirez bien un verre avec nous »

Oui, je veux bien, merci…

Un peu gêné de son entrée fracassante et du ridicule de la situation, il s’assoit et prend un verre…

Cela va ? Vous allez bien ?
Neyco


Neyney allait un peu mieux entourée de ses amis, il fallait dire que Antinaelle savait lui redonner du courage en toute circonstance.
Alors qu'elle allait proposer a boire, un bruit énorme et fracassant les yeux rond un peu de peur il fallait dire, la ch'tite Ney regardait el nouveau venu.

Heimrich, par le très haut il nous avait fait peur a tout les trois.
Il fallait dire que tout le monde était un peu a cran, même elle avait saq main sur son ti cœur en ayant entendu le bruit.

Ce remettant de ses émotions, la miss se réinstalla proche d'Antinaelle afin d'écouter les récits de Adelin.

Bon sinon les amis avec un peu a boire j'ai toujours a manger.


Regarde Antinaelle.

Bah vi c'est Adelin qui ma toujours apprit a avoir assez si jamais on devait partir on en sait ou.


Posant sa besace sur la table, la miss sortit quelques pains et deux pot de confiture de son ti voyage a Foix, ainsi que quelques brioches généreusement offerte par son ami Stiv.
Regardant le visage étonné de tous la miss rougit un peu.

Euh c'est le maire de Foix lors de mon passage qui me les as offert au cas ou pour po que j'oublie de revenir.

Se reprenant un peu la miss sorti un ti couteau et coupa des tits bout.

Regardant tout le monde.

Allez y servez vous.

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Saino
Le père saino déambulait dans les rues de Castelnaudary. Ses pas le dirigeaient vers l’atelier de charpentier de son ami Adelin. En arrivant, il vit plusieurs ombres danser devant les fenêtres de la maison. Il y a des ombres frêles, d’autres plus imposantes montrant que différentes personnes étaient présentes.

Il s’approcha et toqua à la porte. Sans attendre de réponse, il entra. A l’intérieur, il vit plusieurs personnes bien connues à Castelnaudary. Tout d’abord Messire Heimrich, l’aubergiste, Messire Duflan, toujours à traîner là où il y a de l’animation quelle qu’elle soit, Dame Neyco, et enfin Dame Antinaelle, l’ancienne chaurienne partie pour la capitale. C’est à cette dernière qu’il adressa en premier la parole :


Dame Antinaelle, mon amie, comment pourrais-je vous oublier, vous qui m’avez tant soutenu dans les premiers jours de la ville de Castelnaudary et à l’armée. J’ai bien reçu votre courrier et c’est avec une grand joie que je ferais un dernier hommage à notre ami…mais j’aurais besoin de savoir une chose, savez-vous si Adelin était baptisé ?

Puis se tournant vers les autres personnes de la pièce :


Mes amis, je sais que cela est difficile et j’en sais quelques chose … mais nous ne devons pas être triste…au contraire, nos amis, Adelin et Az, de part leur vie exemplaire au service des autres, sont maintenant, j’en suis sur, aux cotés du Très-Haut sur le Soleil. Ils vont maintenant pouvoir continuer à nous aider en nous soutenant à chaque instant de notre vie de là-haut.

En regardant Neyco, il vit que cette dernière avait des bouts de brioche devant elle.


Oui, nous ne devons pas nous arrêter de vivre… mais sa voix ne put finir la phrase, le père Saino s’effondra sur une chaise.
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