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[RP] La République ou la Mort !

Loupameth
Loupameth était écroulé de voir que le château avait été pris par ses vauriens de lion de judas
Sa colère n'avait pas de limite , il m'était son épée au service du comté pour aller combattre ses moins que rien , jusqu'à la dernière goutte de son sang , même s'"il devait en mourir .


Ho grand jamais vous nous prendrez notre Béarn , notre colère est sans limite et moi Loupameth je jure que je vous combattrais avec mes compagnons jusqu'à la mort s'il le faut .

Tant que j'aurais un souffle de vie je me battrais et ma seul satisfaction est de vous voir bouté hors du Béarn .

Il est certain que je vais m'y employer et mon plus grand plaisir serait de faire un feu de joie autour de vos carcasses .




En rage et colère il part ne voulant plus voir cette affiche de honte .


Por lo Béarn.
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Aimelin_
Que la révolte gronde !!

que ces lions du sans nom soient anéantis et chassés du Béarn où ils viennent nous voler notre liberté !

TOUS PER LO BEARN !!!

Vous ne venez sauver personne
vous venez juste imposer vos lois et vos idées
vous n'avez aucun respect
seules l'ironie, la diffamation et la violence vous guident

le peuple béarnais ne vous a rien demandé
et j'espère que des gens aussi vils que vous iront faire de même à geneve et n'épargneront personne !


PER LO BEARN !

MORT AUX LIONS DE JUDAS AUX GENEVOIS ET AUX TRAITRES !!!


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PER LO BEARN !!
Zarathoustra
Zarathoustra était venu écouter les doléances tardives. Il salua au passage l'officier Fruitbasket, dont l'esprit semblait plus ingrat que le corsage.

Citoyens du Béarn, nobles et gueux!

Les ci-devant pleureuses ont beau jeu d'en appeler à votre soutien! Où étaient-ils, alors que Genève proposait la paix? Le silence et le pourrissement ont été les seules réponses de la comtessa. C'est là mépris de l'ennemi, qui est une mauvaise politique!

Une noblesse déchirée, méprisante et incapable, qui ne s'exprime que par insultes, Rome qui partout met son joug sont les responsables de cette situation, et aujourd'hui ils en appellent à votre soutien.

Mais la République est proclamée sur la terre du Béarn, pour le salut de ses citoyens! Voyez les hérauts de Rome faire sur vous planer la menace en rappelant l'anathème. Nul n'est à l'abri de Rome, dit-il... Le temps n'est plus à la menace!

Faut-il continuer à se répandre en pleurs et vindictes, comme l'a fait la clique au pouvoir, ou voir l'occasion de construire un Béarn fort et libre?

PER LO BEARN!

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Eins thut Noth.
Kartouche
En bas, dans les caves du château, le magnifique Kartouche menait une exploration. Il avait dit à Sanctus que c'était pour retrouver Barkus, qui s'était perdu en route, sûrement endormi quelque part. En réalité, il poursuivait un tout autre but. La rumeur disait que Varden, du temps où il était comte, avait fait aménager un petit coin secret pour y conserver sa collection de liqueurs du comté voisin, et en bon amateur qu'il était, Kartouche ne pouvait risquer de passer à côté de cela. Ça faisait un bon moment qu'il tournait et retournait dans ces couloirs sombres. Au début, il y avait croisé quelques valets qui n'étaient probablement pas au courant du changement de propriétaire, mais rien de plus ennuyeux que cela. Après plusieurs heures de recherches infructueuses, il laissa tomber. Après tout, si cache il devait y avoir, elle devait avoir été vidée du temps où Varden avait été vidé. Il remonta, retrouvant rapidement la salle du conseil. Il fallait dire qu'à force de l'arpenter, il commençait à le connaître, ce fichu château.

«Hum... Scusez-moi, mais je n'ai pas retrouvé Barkus. Je ne sais pas où il s'est endormi pour cuver, mais il s'est bien caché, c'est sûr. Bon, faut qu'on cause un peu, il y a pas mal de choses à faire pendant qu'on est ici. Il faudrait aller libérer nos compaings qui croupissent encore dans les geôles. Il faudrait regarder si on ne peut pas embarquer quelques jambons et quelques écus, pour payer l'asile à nos grabataires. Il faudrait voir si on ne peut pas équiper nos frérots avec les armes de l'arsenal. Il faudrait voir si on n'arriverait pas des fois à brûler un curé ou deux, d'ici demain.»

«Il y a autre chose, qu'est-ce qu'on fait après ? Je propose qu'on rende le château à la gentille Caro qui discutait avec nous il n'y a pas si longtemps, en pas trop mauvais état.»


Kartouche, en prévision de son futur poste, a deux-trois papelards à écrire. Autant s'y mettre tout de suite, histoire d'avoir le temps de festoyer dans la soirée. Il s'assied dans un coin de la salle et commence à griffonner.
Hervelina
La colère grondait à Mauléon, et dans tout le Bearn. Les helvétiques avaient profité du bénéfice que la nuit leur accordait pour prendre le château de Pau.

- NE LAISSONS PAS NOTRE COMTE A CES CHIENS !
AUX ARMES MAULEONAIS ! AUX ARMES BEARNAIS !
A MORT LES LIONS !
SOYONS SOLIDAIRES ! SOLIDAIRES DE TOUS LES BEARNAIS ET SOLIDAIRES DE NOTRE COMTESSA AZILIZE



Et la colère de Lina ne faisait que s'accroître. Depuis la mairie et les tavernes, elle organisait la défense, recevait et renvoyait des missives, était sur tous les fronts. Tout le monde se mobilisait, chacun selon ses moyens, elle était et restait fière de ce comté, qui savait oublier les querelles pour rester soudés dans ce genre de cas d'extrême urgence.


- PER LO BEARN ! Et qu'Aristote vous protège...

C'était dans des moments pareils qu'elle regrettait d'être bloquée par ses fonctions à Mauléon, elle qui avait envie, en ce moment même, de faire couler le sang des traitres et hérétiques.
Rosedeplantagenest
[Fin fond du Castel diplomatique]

Rose tournait comme une lionne en cage, quelque chose la préoccupait mais ne savait pas quoi, un ressentimen, un rien, un tout....

Marre de ne pas pouvoir dormir, elle se prépara afin de partir au castel comtal quand un valet luy porta un pli...

Pale, blême, elle dû se retenir au dossier d'un fauteuil alors que le vélin glissait lentement au sol.


"-Que l'on prépare mes chevaux et mon carrosse, je vais au castel comtal!"

Sans se faire prier, les valets se préparèrent et lorsque Rose sortit tout était fin pret.

[Au Castel de Pau]

Claquement de portes à son arrivée et dans les couloirs elle se mict à hurler

"-J'exige de voir son Excellence Izaac et l'homme qui se prétend Coms de lo Béarn! Sur le champ!"

La salle était encore vide et elle tournait en rond icelieu aussi, quand elle se rendict compte qu'elle était partit sans prévenir son garde du corps...
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Ingenue
Malgré une ire homérique, malgré la traitrise et la négligeance, malgré des négociations laissées à l'abandon...

Béarnais !

La Comtesse Azilize reste Comtesse du Béarn bien que le conseil ai été bouté hors du chateau de Pau par l'hérésie !

Son régne est encore d'actualité, la Régence hérétique n'a pas été validée par la Pairie et ne saurait l'être !

Votre Grandeur !

Je me range derrière vous, en fière et fidéle vassale du Béarn ! Je vous jure aide, conseil et soutien devant tous ! Que tout à chacun en fasse autant ! Ne nous désunissons pas à chercher les responsables de ce marasme et chassons-les de nos terres !

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17 ans, blonde et boiteuse. 5 petons tout ronds (1m50).
Dancetaria
Écoute des paroles de Ingenue, acquiescement de la tête de la blonde soldate. Certes, agacée par la situation, elle ne la comprenait pas, comment ils en étaient arrivés là, mais le questions viendraient plus tard, attaque, riposte. C'était ainsi qu'elle voyait les choses. Ils attaquaient, ils allaient riposter. Elle se demanda un instant comment auraient évoluées les choses si Caro était encore Comtesse ...

J'ai une Comtesse, et non pas un Comte ! Ma Comtesse, notre Comtesse est Azilize, et c'est tout !


Elle avait vu que les postes avaient été répartis. Nouveaux bailli, CAC, CAM etc ... Qu'est ce qui allait venir, maintenant.
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Aimelin_
Aime avait écouté Ingénue, puis Dance.

Votre Grandeur je mets aussi mon épée à votre service
et au service du Béarn !


Je ne connais et reconnais que la Comtesse Azilize
nulle autre personne !!


Béarnais tous derrière votre Comtesse !

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PER LO BEARN !!
Ensomulv
Ulv avait entendu Ingénue, bien qu'il ne l'aimait que peu, Dance et Aimelin jurer à nouveau allégeance à la véritable Comtessa du Béarn, Dame Azilize, qui avait elle aussi parler et demandé aux Béarnais de se rassembler. Il dégainât alors son épée, s'agenouillât devant Azilize et plantât son épée au sol.

"Votre Grandeur, moi Ensomulv, maître forgeron de Tarbes, met mon épée et ma forge à votre service et à celui de notre chère comté du Béarn.

Vous êtes la légitime Comtessa do Béarn et je suis à votre service. Mon épée est votre, per lo Bearn."


Puis Ulv se relevât et se tournât en direction de cette maudite affiche, au loin il voyait le château de Pau et les Lions qui se hattait de se placer dans ce château qui n'est pas le leur pour le défendre contre les Béarnais bien décidé à le redonner à leur Comtesse et son Conseil.

Il arrachât alors son épée du sol et la pointât menaçante vers le château.


"Ce casteth est à vous, Votre Grandeur, et nous vous le redonnerons, servi sur un plateau rouge du sang des Lions ces hérétiques.

PER LO BEARN !!!"

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Yolaine
Tous derrière la Comtesse Azilize !

A bas les pilleurs qui vont laisser nos mines s'écrouler, notre cheptel péricliter, qui vont affamer le Béarn et se goinfrer de votre travail et de vos impôts !

Des années d'efforts de tout un peuple annihilées par ces malfrats sans vergogne !

Reprenons ce qui est nôtre au plus vite !

PER LO BEARN !

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Nairolf


Nairolf qui était alors à Pau en tant que voyageur ce soir là lisait ce matin la pancarte afficher.
Sa rage l'enflamma.
Il courut au chateau pour y entrer, mais les portes étaient bien sûr closes.
Il réunit alors en place publique tous ceux qu'ils avaient pu trouver pour leur dire:

Béarnais.
Vous l'avez vu tout comme moi, nous sommes aujourd'hui sous contrôle Genèvois...enfin, Genève croit nous avoir sous son contrôle, car rien n'est moins sûr que nous allons les écraser désormais, les faire sortir du Castèl et juger cette fois.
Nos deux Comtesses se sont montrés trop clémente envers eux, mais ne commettons pas la même erreur.
Tous au chateau, et pas de pitié pour l'envahisseur.

Per lo Béarn, Per no!!!


Nairolf marcha alors dans tout Pau pour rassembler des volontaires et entonna avec ceux qui le suivirent, un hymne qu'il avait concocté il y a un moment.
Il se dit que se serait le bon moment pour l'utiliser et unifier les béarnais:


Citation:
Mort ennemis de mon Béarn chéri,
Vive les soldats de ma patrie,
Allons, marchons sur ses félons,
Qui croient qu'ils gagnerons
Contre nous, mais pour eux c'est impossible,
Eux qui sont vraiment trop sensible.
Béarn gagne!!!!Béarn toujours!!!!
Mieux qu'a son 1er jour,
Toujours meilleur que ses ennemis,
Toujours fidèle a ses amis.

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Lieutenant de Lourdes
Julius2008
Julius avait écouté toutes les personnes qui prenaient la parole l'une après l'autre, il était d'accord pour apporter son soutient, même si pour cela il devait suivre aveuglément une personne qui n'avait pas su gérer la protection du château et du comté.

Oui, nous devons tous nous unir pour détruire l'ennemi du Béarn avant qu'il ne nous laisse plus que des ruines de tout ce qui à été fait jusqu'à présent.

Nous ne pouvons laisser passer cette situations qui nous couvre de ridicule devant nos voisins sans réagir énergiquement, cela suffit de tout laisser passer.

Il est plus facile de détruire que de reconstruire alors tous uni pour montrer à tous que malgré l'adversité, les béarnais ne font qu'une seule et même personne quand on touche à son intégrité.
Et surtout ne payez plus vos impôts qui enrichiraient ces pillards tant que nous ne les avons pas bouté hors du comté.


Béarnais, tous au château!
Tatoumi
Tatoumi s'était installée confortablement dans un fauteuil capitonné, attendant, mi somnollant mi réfléchissant à une tactique fulgurante de soule, que son comte de mari se remette du choc d'avoir été nommé à leur tête.

Plus de trois mois qu'Izaac discutait au nom de Genève avec les autorités en place au Béarn, deux mois que la guerre avait été déclarée apres un ultimatum plus que correct, un mois que notre brave chancelier négociait une paix....
En face de lui, en face des braves venus réclamer justice, qu'un silence méprisant...

Les compagnons avaient donc repris les armes et forcé les portes de ce chateau qui restait muet face à leurs revendications, seul langage qu'ils devaient comprendre, la peur.

Elle souleva une paupiere et regarda Sanctus faire les cent pas dans la pièce, aperçut un tract et s'en empara, le parcourut et sourit.


Sacré Crom, tu changeras jamais...

Enfin, ils laisseraient peut-être derriere eux les graines de la liberté germer...
A force de se faire traiter de lionne, elle n'était même plus choquée ni même génée de combattre aux cotés des sicaires.
Main dans la main.... Nouveau regard à Sanctus... Heu, non, quand même, faut pas pousser... Cote à cote, oui, dans la même barque comme pendant le siège de Genève, oui.

Elle se leva finalement.


Bon, on fait quoi ?
On en est où ?
Izaac continue les palabres ou on saccage leur chateau ?

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Numéro deux et capitaine des Aigles Genevois.
Ancienne avoyère de Genève.

Le coeur emmêlé à celui de Barkus...
--Lesnains
Simplet :




Simplet savait lire juste ce qu’il fallait pour comprendre les mots de l’affiche. Ils avaient raison les béarnais de vouloir bouter ces êtres malfaisants en dehors du comté.

Pi y’avait surement des béarnais qui les avaient aidé y’avait plus personne à Pau.

Où qui z’étaient tous ?! Ils avaient fui comme des lapins la capitale.



Puis simplet il aimait bien dessiner alors pendant que les uns et les autres parlaient lui il faisait des petites corrections en couleur histoire que l’affiche qui mentait soit bien plus belle.











Il admira son oeuvre, tout content de lui.

Il salua d’un coup de chapeau avant de partir en sautillant à la mine… y’avait encore des cailloux dorés à prendre.
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