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[RP/IG] Eglise Notre-Dame de Loches

Minlawa


Minlawa était entrer dans l’Eglise de Loches avec un immense sourire aux lèvres. Que demander de plus, il faisait beau, il y avait du monde pour l’office. Il précédait le Frère Alberius et alla s’installer derrière l’autel légèrement en retrait du diacre. Quand se fut à lui de parler, il s’avançât, regarda à droite puis à gauche et s’exclama.

Chers fidèles, c’est avec une immense joie que je vous retrouve aujourd’hui pour cet office dominicale. Encore une fois nous sommes réunis dans l’amitié aristotélicienne pour partager des valeurs qui nous sont importantes.

Maintenant demandons pardons au Très-Haut.



Le Prêtre écoutait les fidèles récitaient la prière du pardon dans un calme absolue. Il était fière de voir que l’office était suivit par plus en plus de monde et espérait que cela allait continuer.

Il se recula légèrement et invita le Frère Albérius pour réciter le credo.
Totoriflette_le_vrai
Il avait suivi son frère à l'église, non pas pour faire l'enfant de cœur, non loin de la, mais simplement pour se recueillir un peu, et prier, prier pour un devenir qui était incertain.

Essayer de trouver en ses prières une réponse à ses moult questions, aussi, posant la main sur le repose main, il se mit à genoux et pria longuement.



Je crois en Dieu, le Très-Haut et Tout-Puissant.
Créateur du Ciel et de la Terre.
Des Enfers et du Paradis.
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète.
Le fils de Nicomaque et de Phaetis.
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce.
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.
Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des pêchés,
En la Vie Eternelle.
Rhiana
Rhiana demanda pardon our ses péchés


_________________
Lladrane
Lladrane se faufilla discrètement à l'office et alla rejoindre sa mère

Bonjour mère, désolé pour le retard, je me suis pas réveillée, je suis heureuse de vous revoir

Elle lui sourit et se signa pui demanda pardon pour ses péchés



_________________
Alberius


Alberius récita le credo à la suite du curé:

Je crois en Dieu, le Très-Haut et Tout-Puissant.
Créateur du Ciel et de la Terre.
Des Enfers et du Paradis.
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète.
Le fils de Nicomaque et de Phaetis.
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce.
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil ou l'attendait Aristote à la droite du Très Haut.
Je crois en l'Action Divine,
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible,
En la communion des Saints,
En la rémission des pêchés,
En la Vie Eternelle.






_________________
Rhiana
Rhiana sourit à sa fille et lui prit la main

puis elle récita le credo avec elle et les fidèles


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Minlawa


Le Père Minlawa s’avança après avoir réciter le credo.

Maintenant je vais vous faire la lecture.

Citation:
La Vita d’Aristote, Chapitre XIII-la réception chez Polyphilos

Aristote avait été invité à une réception chez un riche marchand athénien exerçant également les fonctions d'archonte. Il s'appelait Polyphilos. C'était un homme riche et puissant, passionné par la philosophie. Il venait souvent écouter Aristote, aussi souvent que ses charges et son statut le lui permettaient. Sa maison était pleine à craquer, et les tables regorgeaient de victuailles.

Aristote tenait une coupe de vin qu'il venait de remplir au cratère. Il prit une feuille de vigne farcie quand Polyphilos s'approcha de lui.

Polyphilos : Aristote, cher maître. Comment trouvez-vous cette réception ?

Aristote : Je vous avoue que je préfère les plus petits comités, on ne s'entend pas, ici. Mais votre maison est splendide et le banquet est digne des plus grands rois.

Polyphilos : Merci pour ces compliments. Mais rien n'est trop beau pour mes amis et j'aime à les avoir tous autour de moi.

Aristote : Tous ces gens ici, sont donc vos amis ?

Polyphilos : Bien entendu. Nul n'entre ici qui ne soit mon ami.

Aristote : Je vois pourtant des gens de toutes extractions sociales et occupant diverses fonctions pour la Cité.

Polyphilos : Et alors ? Je ne suis pas hautain. Je laisse ça au nouveaux riches.

Aristote : Certes, c'est tout à votre honneur. Mais il ne peut s'agir d'amitié véritable. Un vrai ami est un égal car l'amitié doit être parfaitement réciproque et équitable. Si elle ne l'est pas, ce n'est plus de l'amitié mais de l'intéressement. Un roi ne peut rien attendre d'un mendiant, ce dernier est incapable de l'aider en cas de besoin, or l'entraide est la base de l'amitié. Donc il n'y a pas d'amitié possible entre personnes par trop inégales.

Le jeune fils de Polyphilos s'était approché.

Eumónos : Je le répète sans cesse à mon père. Ces gens ne sont pas ses amis et il doit prendre ses distances.

Aristote : Ce serait tomber dans l'excès inverse, jeune homme. L'amitié est le plus grand bien de l'homme. Elle noue les liens des communautés. Et les communautés forment à leur tour la Cité. L'amitié permet les relations sociale et l'Humain peut alors prendre part dans les affaires de la Cité. Et comme la vertu cardinale de l'homme est la participation à la cité, l'amitié est une chose essentielle.

Eumónos : Mais comment trouver un parfait égal ?

Aristote : Ce n'est pas nécessaire. Il faut surtout que l'intéressement ne soit pas trop prononcé dans le chef d'un des prétendus amis. Le juste milieu, celui de la vertu, c'est de savoir s'entourer d'amis véritables, de gens qui peuvent compter sur vous et sur qui vous pouvez compter.

Polyphilos et Eumónos hochèrent la tête pour marquer leur accord. Aristote s'éloigna de quelques pas avant de se retourner.

Aristote : Ces feuilles de vigne sont délicieuses, aussi délicieuses que le conseil d'un ami, vous ne trouvez pas ?



Qu’est-ce que l’amitié ? L’Amitié est une vertu qui se doit avant tout d’être désintéressée. Elle est nécessaire à toute homme, car tout en étant désintéressée, elle apporte beaucoup.

Aristote dit dans ce texte qu’il faut s’entouré d’amis, mais de véritable amis. Le problème est que l’Amitié, le vrai, est bien rare. L’Amitié c’est savoir donner sans qu’on nous le demande et recevoir sans rien avoir demandé. Il ne faut jamais attendre quelque chose en retour de ses actes.

Imaginez un meunier que vous pensez être votre ami. Vous lui vendez votre blé à un prix bien inférieur à la normal pour lui rendre service, car vous le considérez comme un ami. Mais le jour où il y a un problème de récolte, ou alors vous décidez de changer de culture, celui-ci refuse de vous adressez la parole et ne veut plus vous voir, est-ce ça la vrai amitié ? Il n’était « proche » de vous que par volonté d’enrichissement et parce que vous lui rendiez service.

Un véritable ami ne vous demandera rien en échange des services qu’il vous propose, mais vous lui rendrez automatiquement sans qu’il ne le demande si vous êtes véritablement son ami.

Je vous invite donc à vous désintéressez de toutes choses et de rendre le plus de services possibles aux gens que vous aimez sans rien leurs demander, est vous vous rapprocherez des hommes vertueux.

Maintenant, je vous laisse réfléchir à ces quelques mots













Linexiv
Line poussa la porte tout doucement dans l’espoir que le grincement soit masqué par les paroles du Père Minlawa. Les dimanches se ressemblaient… Et encore moins d’excuse que la semaine passée ! Même pas une petite inspection en Caserne. Cela faisait une semaine qu’elle se contentait de passages rapides préférant s’atteler à la confection de nouvelles épées. Après tout, c’était une tâche suffisamment noble bien que manuelle et puis, après la Provence, ils avaient bien besoin de renouveler leur équipement. En plus, cela présentait l’avantage d’occuper l’esprit et ça elle en avait bien besoin.

Sur la pointe des pieds Line s’approcha d’un banc avant d’apercevoir Rhiana et sa fille dans l’assistance. A l’heure évidemment. Elle allait se faire massacrer. Dans une grimace, elle recula prudemment contre un pilier et essaya de se concentrer sur la cérémonie. Mais une nouvelle fois, ses pensées ne tardèrent pas à vagabonder. L’amitié. La vraie. Line ferma les yeux, voilà une chose que Line pensait connaître. Après tout la Provence avait permis d’en forger de nouvelles tout en consolidant celles qui existaient entre les soldats de la Seconde Compagnie.

Voir même un peu plus d’ailleurs, Line devait bien se l’avouer. Ne pouvaient-ils pas tous se dépêcher de rentrer ? L’attente devenait bien trop longue… Enfin, bientôt ils seraient tous là et lui-aussi.
Totoriflette_le_vrai
Il suivi la messe, le thème du jour, l’Amitié, cette amitié avec un grand A, oh oui il connaissait ce genre d’amitié, celle ou de personne on ne craints de parler de tout de rien, de futilité comme de chose très grave, personne qui jamais ne jugera, mais toujours sera là, cela lui rappela un mot écrit à une grande amie dans sa jeunesse qu’il se remémora à voix basse

L’amour de l’amitié ou l’amitié avec un grand A

C'est une personne, avec qui :
tu peux ouvrir ton cœur,
tu te sens à l'aise dans toutes circonstances,
tu peux confier tes joies comme tes peines,
tu as confiance, sans même la connaître vraiment.

C'est une personne, qui te comprend et partage tes ambitions et tes rêves les plus fous.
C'est une personne, qui au plus profond de son âme te ressemble un peu.

Elle ne demande de toi, aucun subterfuge ni artifice.
Elle ne demande de toi, aucun sacrifice.
Elle ne te demande pas d'être meilleur ou pire.
Elle te demande juste d'être ce que tu es, d'être telle que dans ta vie de tous les jours.
Elle te demande juste d'être toi tout simplement.

Quand tu es avec elle :
tu n'as pas besoin d'être sur tes gardes,
tu n'as pas besoin de te cacher sous un masque imaginaire,
tu peux lui dire ce que tu penses ou te passe par la tête,
tu peux lui avouer toutes tes petites envies, haines, et absurdités,
tu te sens en sécurité et protégé.

En sa compagnie, tu peux pleurer, pécher, rire, chanter avec elle.
Mais aussi en sa compagnie, tu peux respirer librement.

En sa compagnie :
tu sais que tu peux sans crainte donner libre cours à ton imagination, à tes fantasmes.
En sa compagnie,
tu sais que tu peux sans crainte donner libre cours à tes petits secrets car en les lui dévoilant, tu sais sans crainte que tu vas les noyer dans l'océan de sa loyauté.

À travers tout ceci, un ami te voit, un ami te connaît, un ami t'admire, un ami te comprend, un ami t'aime.

Un ami ? Qu'est-ce qu'un ami ?
C'est tout simplement une personne avec qui tu oses être toi même !

Aucune image ne peut représenter de tels mots,
C'est pourquoi, il n'y en a pas.
Car je trouve qu'il n'y a rien à ajouter à notre amitié!!
Sauf : un très grand merci à toi d’être là


Ces mots il les avait écrit pour son ami Sylo, cela faisait si longtemps qu’il n’avait de nouvelle qu’en y repensant il rêva alors de se rendre dans le sud, à Béziers ou il espérait qu’encore elle y était.

Il suivi la fin de la cérémonie, en silence, mais ses pensées déjà là bas.
Lladrane
Lladrane écouta attentivement les paroles du Père Minlawa , elle savait que l'amitié était importante dans la vie et elle l'avait trouvé au sein de la Citadelle franche, Amour, Amitié et fraternité dans cette merveilleuse Citadelle
Elle se receuillit et pria

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Amazone1ere
Dieu Créateur de toutes choses, Toi qui n'est ni bon ni mauvais!
Toi qui sais tout, purifies ton enfant afin qu'il soit reçu à ta droite.
Guide-nous dans nos actes, comme il a pu nous guider en ton nom,

Dieu qui n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer.
Toi, L'Omniprésent mais nous laisse libre de notre destin,
Gardes les Vertueux dans un destin solaire et lumineux,

Dieu, Jetes les corrompus dans la lune, reclus et sombres.
Toi, je fais ma confession et mon pélerinage en Ton nom.
Gardes un regard sur mes actions et juges moi.

Dieu te Garde mon frère


Amazone récita la prière du pélerin dans l'église de Loches. En allant en Bretagne, elle n'était pas passer par là, c'est pourquoi elle décida de faire cette prière en mémoire de feu Monseigneur Artmaniak, évêque de Toul qui lui était apparu au détour d'un chemin de campagne dans un halo de lumière apaisante. Il lui avait confié la mission d'aller prier dans tous les lieux saints qu'elle rencontrerait.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Donotach
Dame Fiocco et Sieur Donotach entrèrent à l'église, c'était la première chose qu'ils voulaient tout les deux faire en arrivant à Loches.
Ils se signèrent puis offrir une prière au trés haut.


Puis tout les deux s'avancèrent et allère affiché leurs bans.


Puis ils étaient content d'eux car après tout ce temps d'attente c'était maintenant fait. Et ils sortirent de l'église en se promettant d'y revenir pour la messe du dimanche.
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Soldat de dragons de Touraine, 2eme compagnie Lochoise
Si j'avance suivez moi! Si je meurs vengez moi! Si je recule Tuez moi!
sampieru_corsu
Sampieru pénètre dans la superbe église de loches.
Le corse a le cœur lourd, car ce jour est l'anniversaire du départ pour le paradis solaire, de sa mère adorée.
Elle s'est éteinte sur leur ile, loin de lui.
Un jour il rejoindra sa castagniccia et priera sur la tombe des siens.
Mais en attendant ce retour,
Chaque année, pour l'anniversaire de la mort de sa mère, il va dans une église pour chanter.
Une priere corse en chanson, qui traverse les cieux, rejoignant ce soleil ou il est sur qu'on l'entend.

Per te SERENA POZZO DI BORGU DE LA PUNTA

il pose sa main sur son oreille et entonne ce chant


Per tutti l'anni chi sò scorsi
Per le to gioie è le to pene,
Per li fatti è li discorsi
Per lu sangue di le to vene

E per la to memoria cara
Chi luce sempre in core à mè
Vogliu gode ogni stonda permessa
Vogliu godela per tè

Per quelli chi à tè sò cari
I to figlioli,la to ghjente
Per lu to granu,i to filari
Per lu core è per la mente

E per la to memoria cara
Chi luce sempre in core à mè
Vogliu gode ogni stonda permessa
Vogliu godela per tè

Per li to ochji à la funtana
U to amore immensità,
A cara Santa nostra mamma
Per l'oghje è per l'eternità.

E per la to memoria cara
Chi luce sempre in core à mè
Vogliu gode ogni stonda permessa
Vogliu godela per tè

Tù sì la mio surella cara
Quella ch'è nata à tempu à mè
E'si di mè stessi luntana
Seraghju sempre accantu à tè

E per la to memoria cara
Chi luce sempre in core à mè
Vogliu gode ogni stonda permessa
Vogliu godela per tè


une fois cette chanson terminée, il s'incline devant l'autel et se retire dans le silence
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