--Subbtil
Des lunes et des lunes plus tard...
L’hiver est rude et silencieux. Plus un mot ne sort de la bouche des Acolhua. La tristesse se lit sur les visages. Où est passé cette folle ambiance qui faisait de ce royaume un joyau de gaieté. Chacun est affairé à ses taches, beaucoup sont partis pour voir si dans les provinces voisines l’herbe était plus verte et le soleil plus clément.
Texcoco se meurt. Le royaume des ombres est entré dans l’espace de vie. On ne parle plus, on se tait, on se terre de peur de se voir remettre à sa place et vite fait! Le désert s’étend sur cette terre normalement marécageuse et belle. Iztlacoliuhqui est devenu maitre des lieux, il a été bénéfique peut être…
Mais si on lève les yeux tel un ouistiti suspendu à sa branche par les pieds, regarde le monde à l’envers que voit –on ?
Le ciel est parsemé des volutes épaisses et colorée, d’orange, d’abricot de PAPAYE !
Des petits nuages apparaissent pour égayer les lieux qui font penser à de la crème glacée à la PAPAYE !
Au loin l’horizon se dresse, laissant apparaitre un Popocatepelt flamboyant. Les neiges de sa cime reflètent ce soleil d’hiver à son couchant. Il resplendit d’une nouvelle beauté, couleur PAPAYE !
La renaissance n’est pas loin, déjà les premiers bourgeons apparaissent comme un espoir d’un printemps fleurissant prochainement, apportant les pollens nourriciers et féconds et redonnant la vie en des jours meilleurs.
Texcoco est oxydé, la Papaye en est le remède, les sages et les guérisseurs le savent bien.
La vie s’organise lentement mais sûrement, la couronne doit briller, le royaume doit faire rêver les plus sceptiques. La vie va reprendre en Texcoco, car cette terre ne peut devenir un désert de glace et d’absence. Les hommes de cette terre sont des guerriers valeureux, les guerres fleuries doivent reprendre rapidement, la fête doit à nouveau battre son plein pour célébrer Camaxtli et Tezcatlipoca comme ils le méritent. Les sacrifices sont programmés, en leur honneur.
3/03
Verrou avant archivage
{Yaquecouik}
L’hiver est rude et silencieux. Plus un mot ne sort de la bouche des Acolhua. La tristesse se lit sur les visages. Où est passé cette folle ambiance qui faisait de ce royaume un joyau de gaieté. Chacun est affairé à ses taches, beaucoup sont partis pour voir si dans les provinces voisines l’herbe était plus verte et le soleil plus clément.
Texcoco se meurt. Le royaume des ombres est entré dans l’espace de vie. On ne parle plus, on se tait, on se terre de peur de se voir remettre à sa place et vite fait! Le désert s’étend sur cette terre normalement marécageuse et belle. Iztlacoliuhqui est devenu maitre des lieux, il a été bénéfique peut être…
Mais si on lève les yeux tel un ouistiti suspendu à sa branche par les pieds, regarde le monde à l’envers que voit –on ?
Le ciel est parsemé des volutes épaisses et colorée, d’orange, d’abricot de PAPAYE !
Des petits nuages apparaissent pour égayer les lieux qui font penser à de la crème glacée à la PAPAYE !
Au loin l’horizon se dresse, laissant apparaitre un Popocatepelt flamboyant. Les neiges de sa cime reflètent ce soleil d’hiver à son couchant. Il resplendit d’une nouvelle beauté, couleur PAPAYE !
La renaissance n’est pas loin, déjà les premiers bourgeons apparaissent comme un espoir d’un printemps fleurissant prochainement, apportant les pollens nourriciers et féconds et redonnant la vie en des jours meilleurs.
Texcoco est oxydé, la Papaye en est le remède, les sages et les guérisseurs le savent bien.
La vie s’organise lentement mais sûrement, la couronne doit briller, le royaume doit faire rêver les plus sceptiques. La vie va reprendre en Texcoco, car cette terre ne peut devenir un désert de glace et d’absence. Les hommes de cette terre sont des guerriers valeureux, les guerres fleuries doivent reprendre rapidement, la fête doit à nouveau battre son plein pour célébrer Camaxtli et Tezcatlipoca comme ils le méritent. Les sacrifices sont programmés, en leur honneur.
3/03
Verrou avant archivage
{Yaquecouik}
, mais aucune importance, la MINETTE mangeait. Que les conscrits ne mangent pas ne la dérangeait nullement.
