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[RP] Programme TACT pour les élection ducale de décembre 145

Jean, incarné par Gandrel
Tic tac
S'égrènent les secondes
Tic tac
Du silence à la ronde.
Tic tac
Les cris perçant de la peur
Tic tac
Emplissent le néant de leur cœur.
Tic tac
Faut-il prendre son courage à deux pieds ?
Tic tac
Ou se taire et fuir ce monde qui vous déplait.
Tic tac
S'égrènent les longues minutes
Tic tac
Écoute ce hurlement, ce chut !
Tic Tac
Peur de faire un pas, peur de la chute ?


- Votre silence manque d'éloquence Votre Grâce. Ne nous accorderez vous point de réponse, même un mielleux mensonge avant que sonne la cloche m'étant fin aux élections ?

Dans le regard hautain du pouvoir, l'on lisait le mépris accordé au peuple.

- A moins que, Votre Grâce, j'eusse raté la cloche, le son, le glas ?
Le pouvoir ne s'exprime pas en dehors de la période électorale, est-ce cela ?
Ferez-vous comme l'individu qui se croit homme
se dit politicien, de confiance, de parole, d'église en somme
un vrai gentilhomme qui à la première contrariété
en courant dans les jupes de sa maman s'en est allé.


Les bras au ciel, le regard droit, Jean sent les larmes lui monter. Des hommes qui se disent politique mais qui n'en ont pas la carrure. Donnez du pouvoir à un homme, cela révèlera sa vrai nature.

- Écoutez-vous Votre Grâce ? Je parle seul, vous deviez bien écouter... mais entendez-vous Votre Grâce ? Entendez-vous ou êtes juste vous trop fier pour parler au petit peuple Votre Grâce ?
Êtes-vous comme Princedusud ? un menteur, un pleutre et un fuyard ?
Rien n'est plus efficace pour faire fuir le travail que la pure incompétence Votre Grâce.
Zebracolor


Le Duc s'était éloigné quelque peu, avant d'être interpelé par un inconnu.
Dudois ils se présentais.... de chinon.

Le Duc qui pouvais se venter de connaître vraiment les Chinonais de Souche, ceux qui était né ici ne le connaissais pas ! Encore une pièce rapporté e qui se dit au bout de quelques jours Chinonais en étant allé faire un tour dans l'eau, sur sa barque !

Il désirais partir, on lui parlais de droite et de gauche car il avait à faire... mais le sieur se faisait insistant...


Sieur... Dudoit... Hum Vous êtes chinonais ? je ne vous ai point vu dans nos tavernes et sur les murs de la ville pour la défendre, comme un vrai chinonais, mais bon... passons.

La justice passe, elle sera donné avant et après les élection. Elle est indépendante et souveraine. faite lui confiance.

Sinon, concernant la justice et l'affaire de du vol honteux commis par le dénommé Gandrel ? Si il ne tenais qu'à moi, je le soumettrais à la question ordinaire et même extraordinaire si il le fallait, et je suis sûr qu'il avouerais ses crimes et donnerais même ses complices qui sous couvert d'anonymat ont mis une crois dans cette parodie d'appel au peuple. Et puis, depuis quand la justice et soumise au vote ?


zebra regarda le sieur d'un air suspect

D'ailleurs, votre empressement à le soutenir vous rends suspects vous aussi.... Je me demande ce qui me retient de le faire et de vous demander ce que vous faisiez ce soir la et si un personne de moralité irréprochable peut se porter garant de vous...

Effectivement, je n'ai que mépris pour les menteurs, et le Gandrel
*zebra crachat le nom* en est fieffé comme toute sa clique de saltimbanque !

N'appelez pas au peuple ! car plus vous ouvrez votre bouche, plus vous ressemblez au
*zebra crachat de nouveau * Gandrel !
Qui este vous pour parler comme cela, pour insulter un ancien maire qui vit et travaille pour sa ville sans compter ses heures... Vous n'etes rien et vous ne vallez pas mieux que ce
* il crachat de nouveau, sans dire le nom * et s'en fut.

_________________
Jean, incarné par Gandrel
Le duc s'éloignait afin de surement faire quelque chose d'important, fuir ? non, ce n'est pas ce genre de... euh... enfin si un peu quand même.

DONG DONG DONG

La cloche retentit, la fin, le glas.
Les élections se terminait, le bureau de votre fermait. Cet alors que, le duc fit volte face. D'un coup celui-ci se sentit plus assuré, plus fort. Il toisa d'un air méprisant et supérieur Jean.
Lui n'était de ses amis, de sa fratrie ou de ses suivant, cela expliquait peut-être que l'être supérieur ne lui réponde pas. Le coloré déclara d'un ton aigri et agressif.


- Sieur... Dudoit... Hum Vous êtes chinonais ? je ne vous ai point vu dans nos tavernes et sur les murs de la ville pour la défendre, comme un vrai chinonais, mais bon... passons.
- Je le suis, depuis toujours. Vous couriez dans les rues le cul à l'air que déjà je trimais sur les murs de la ville... et puisqu'on parle de mur, si vous ne m'avez vu, c'est juste parce que vous n'y étiez pas. Pour les tavernes, pardonnez moi le fait de ne point boire et de préférer la présence de ma famille, de devoir travailler du et durant des heures entières pour vivre Votre Grâce.

Ignorant sa réponse le du continua.
- Comment affirmez vous Votre Grâce que la justice fait son devoir quand vous ne la respectez et ne la faites pas respecter vous même ?
La justice ne passe pas Votre Grâce, elle trépasse !
Gandrel est selon vous coupable, il n'a pas été jugé comme tel, donc il est à considérer comme innocent. Ne crachez pas sur les lois que vous devez servir Votre Grâce.
Pour la "parodie" comme vous le dites, ne l'avez-vous pas vous même encouragée vivement Votre Grâce ? Depuis quand ? mais depuis que Princedusud et vous même l'avez fait votre Grâce.
Vous reniez donc vos engagement quand ceux-ci vous jouent un vilain tour Votre Grâce ?


Le duc s'énerva et l'accusa en le soupçonnant.
- Bien sur Votre Grâce, j'étais comme des centaines de personne au spectacle Votre Grâce. J'aurais pu vous citer l'ancien maire Princedusud mais sa moralité laisse à désirer ces derniers temps...
- Effectivement, je n'ai que mépris pour les menteurs, et le Gandrel *zebra crachat le nom* en est fieffé comme toute sa clique de saltimbanque ! N'appelez pas au peuple ! car plus vous ouvrez votre bouche, plus vous ressemblez au *zebra crachat de nouveau * Gandrel !
Qui este vous pour parler comme cela, pour insulter un ancien maire qui vit et travaille pour sa ville sans compter ses heures... Vous n'etes rien et vous ne vallez pas mieux que ce
* il crachat de nouveau, sans dire le nom * et s'en fut.

Désolé de voir le duc partir si vite quand, enfin, celui-ci avait décidé de l'ouvrir. Même si ce n'était que pour cracher colère, mensonge et autre propagande. Parlant à voix haute pour lui-même. Jean quitta aussi les lieux.

- A voir ainsi cracher le duc, je comprend mieux pourquoi il économise sa salive. Fallait-il faire de la politique pour être reconnu ? Moi qui pensais que l'élu ne devait sa reconnaissance qu'au peuple et non l'inverse... ainsi le peuple qui s'interroge ne mérite que de se faire cracher dessus.
Et les petites fuyardes sans parole se voient élevées au rang de saint...

La morale de cette histoire ? On peut mentir, tricher et voler effrontément tant que l'on est un élu se sent emprunt de la toute puissance divine.


Jean éclata de rire et reprit la route pour chinon.
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