Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>

[RP] L'officine Médicale de Blaye

Aradiia
Les paquetages se trouvaient sur le petit pont, près de la porte.
Nestor semblait guilleret de partir.


hihi! qu'il n'arrêtait pas de prononcer en gesticulant.
Elle lui posa le bébé dans les bras et chuchota.
Gardez moi la mouflette, Nestor je reviens vite. Je vais fermer l'officine.

Elle s'éloignait déjà quand elle revient sur ses pas en disant.
Si elle a faim, bercez la en chantant, je suis sur que vous avez une joli voix Nestor.

Puis elle partit en grandes enjambées, jusqu'à son officine. Arrivé devant la porte, elle longea le petit mur de la main et ferma le volet qui pendait légèrement de l'autre elle attrapa la clé dans la vieille lanterne.

D'un geste assuré elle tourna deux fois la clé dans la serrure et la replaça. Puis accrocha une petite pancarte au clou rouillé.


C'est fermé

En cas d'urgence,
rendez vous à la première taverne.
Vous trouverez, un habitant sachant vous accueillir.
Nobles étrangers, Bienvenue à Blaye.

_________________
Melianne
Mélianne boitillait en arrivant devant la porte de l'officine et fut contrariée en lisant l'écriteau
-" fermé ??? oh non !! j'aurais bien besoin d'une potion ou médication quelconque pour cette cheville. La douleur s'est réveillée avec la route que nous avons fait. ... bon...allons voir dans cette fameuse auberge !"

elle reprit son chemin en faisant contre mauvais fortune bon coeur.
_________________
Dragonet


Citation:
C'est fermé

En cas d'urgence,
rendez vous à la première taverne.
Vous trouverez, un habitant sachant vous accueillir.
Nobles étrangers, Bienvenue à Blaye.


Le vicomte observa la boutique. Tout ce qui lui était nécessaire se trouvait sans doute là dedans. Il crocheta la porte, une des rares choses que son père avait su lui apprendre à la cour des miracles.

Il prit le temps de visiter les lieux, il restait quelques fond de bocaux, quelques onguents, un peu de matériel, la boutique n’était pas abandonné depuis si longtemps que cela. Celle ci appartenait à la juge lui semblait il, qu'il avait croisé à l’université.

Il eu un sourire.. pénétrer par effraction dans un lieu appartenant a la juge de Guyenne n’était peut être pas le comble de la courtoisie,mais cela valait mieux que de laisser mourir un peu de l'âme de blaye. Il était sur qu'elle comprendrait.

Il verrait avec elle si elle préférait le vendre, ou s’associer, ou louer..Les lieux était fort propre hormis une légère poussière, rien a voir avec son donjon et son labo d'alchimie, ou la plupart des lieux où il avait travaillé.

Mais dans l’immédiat, il avait besoin de ses propres médications.

Il prit un premier alambic, la remplissant 15 litres d’alcool pur à 95°, 25 litres d’ eau et ajouta 1 litre de la blanquette de la cuite précédente .
Il y glissa 3 poignées de grande et 1 poignée de petite absinthe, 2 kg d’anis, 1 kg de fenouil, 1 poignée d’hysope, 1 poignée de mélisse, 1 poignée de menthe.

pendant la distillation, le vicomte prit une bonbonne avec de la petite absinthe, de la mélisse et e l'’hysope. Il aurait besoin de tout cela pour donner à l’absinthe la couleur verte si caractéristique. Il alla chercher une bougie, commença à déposer quelques un de ses outils, nettoya des bocaux divers, vérifiant la qualité des produits listant ce qui manquait.

La boutique fut rapidement remplis d'une odeur agréable et anisé, pendant qu'il réfléchissait a comment refaire vivre ces lieux.

ici il était possible d'en faire une salle d'accouchement, là le lieu serait propice à faire des savons et shampoing dont il faisait grande distribution lorsqu'il travaillait au Louvre, là encore avec quelques herbes et un peu de moelle de porc, il pourrais faire de délicieuses confiseries et pourquoi pas des gâteaux.. un autre lieux serait idéal pour de la chirurgie, et un espace pourrait lui permettre de refaire des rudiment d’alchimie et de spagyrie.

Pendant que l’absinthe se distillait, il commença à lancer d'autres préparation..de l'alcool de châtaigne, des essences de bourrache pour les gueules de bois.

Remontant ses manches, sifflotant, le vicomte travaillait et en était heureux, se laissant griser par des odeurs qui l'avait accompagné ses 20 dernières années.

_________________























Clarette
Clarette n'arrêtait pas les nausées, elle se rendit un beau matin et vit l'affiche.

Elle contourna le bâtiment, et trouva que ça sentait drôle, un peu fort Quand, tout à coup, elle eut un retournement de coeur. Elle vit une porte qui lui serait sûrement fermée, elle courra vers la poignée et c'était ouvert.Elle vit un seau et s'y pressa pour vomir.

Après, il y avait l'odeur qui venait de l'intérieur, Clarette hésita et commença son introduction dans le bâtiment.
Dragonet


l'odeur fut le premier indice d'une présence extérieure..celle du vomi.

Peut être un animal malade, l'odeur était fraîche. Un visage curieux s’engouffra dans l'embrasure de la porte. Ce n’était pas la propriétaire des lieux,il savait très bien chez qui il était.

Une jeune fille brune lui lança un regard aussi curieux que malade. A l'odeur qui l'accompagnait,quelques diagnostiques envisageables, gueule de bois, empoisonnement, enceinte ou indigestion.

Il lui adressa un sourire avenant et amusé.


Faites comme chez vous je vous en prie,... faite comme moi.

Tout en parlant, il alla chercher le seau, en observa le contenu, rien n'indiquait un indigestion, la bile était en faible quantité, elle était claire, la demoiselle n'en était pas à ses premier vomissements. Aucune odeur d'alcool se diffusait du pot..cela réduisait les pistes les plus probable.

Il laissa le seau de coté dans le cas où il devrait chercher des traces d'un empoissonnement, s'approcha de la dame, lui souleva le menton avec un sourire des plus aimable, regarda la pupille, celle restait vive et lui senti au passage l'haleine.

Il lâcha le menton, lui tendit un peu d'eau et un torchon..


Buvez un peu et rincez vous la bouche..vous pouvez m'appeler monseigneur. Cela fait longtemps que vous avez des nausées?

_________________
_mae_
On lui avait indiqué un peu plus tôt le lieu où le vicomte exerçait ses fonctions de médicastres. Ou du moins, le lieu où il les exercerait si le lieu n'était pas encore approprié. A vrai dire, ne connaissant pas encore bien Blaye même après les journées passées à découvrir la ville, elle ne voyait pas bien quel lieu avait pu l'accueillir. Si elle n'avait pas bien mémorisé l'agencement des rues de la ville, elle s'y était tout de même promenée et la connaissait dans les grandes lignes. Ainsi, lorsqu'elle aperçut le bâtiment, elle le reconnut en souriant.

-Hey ! C'est là, non ? Il me semble...

Mirka adressa un coup d'oeil à l'ours, qu'elle avait forc... convaincu de l'accompagner. Après tout, il lui avait bien dit qu'il la protègerait jusqu'à son rétablissement complet, alors il allait lui servir à quelque chose pour une fois, en tenant sa promesse. Elle attendit distraitement sa réponse avant de s'approcher plus près, puis elle frappa quelques coups à la porte et attendit qu'on leur permette d'entrer.
_________________
Argawaen


Mirka décidait de l'emmener contre son gré voir un médicastre, et le médicastre en question était le Vicomte Dragonet, rien que l'idée de se voir tartiner des espèces de pâtes sur la viande cela le rendait irritable...
Le Malemort grommelait parfois pendant le trajet en se sentant trimbalé par la Mirka.
Au bout d'un certain temps ils arrivaient devant un grand bâtiment, elle lui demandait si c'était là, mais le problème c'est qu'il n'était pas plus au courant qu'elle... Il n'était pas du genre à venir fouiner dans la ville afin de trouver les lieux des médicastres, au contraire si il pouvait les éviter cela l'arrangeait grandement...


J'en sais rien et je veux pas le savoir...DIt-il d'un ton sec...

Mirka frappait à la porte, l'ours s'appuyait de tout son poids pour elle pour lui montrer son mécontentement, il était hors de question qu'il mette les pieds là-dedans, mais là il n'avait pas tellement les moyens de prendre la poudre d'escampette, disons qu'il avait quelques soucis...
Ronchonnant légèrement le mal léché fixait la porte en se demandant si il y avait vraiment quelqu'un, il espérait réellement que le Vicomte soit absent, ainsi il serait débarrassé pour la journée et aurait plus de temps la prochaine fois pour planifier son évasion avant que Mirka l'embarque héhé...

Baillant il regardait droit devant lui observant les moindres mouvements, le moindre bruit, c'était un vieux réflexe qui ne l'abandonnerait jamais, tout ce qui était suspect, il parvenait à le sentir, à le déduire, grimaçant légèrement cela sentait le purin, décidément le Vicomte avait choisit un mauvais endroit...

_________________

"Orbe Fracto Pes Illaessa" (Même sans défense je reste redoutable)
Clarette
Le messire l'avait remarqué, elle sursauta et le laissa parler. Le messire lui donna de quoi ce rincez la bouche, elle le fit.

Merci, monseigneur. Oui, c'est depuis que j'ai bu le vin à un bal organisée par une grande dame du village.
Dragonet


A Clarette

Dans ce cas, vous allez commencer par beaucoup boire, il faut vous réhydrater, vous allez faire des tisanes, avec de la menthe, de la camomille, et surtout du chardon-marie, je vais vous donner un peu de tout ça, que vous laisserez infuser, ça va aider votre foie, mais aussi vos humeurs à se rééquilibrer

Vous boirez ça cet après midi, en évitant le bruits et la lumière.

Ce soir vous prendrez des jus de tomates ou de légumes, cela va vous aider à récupérer plus vite des effets secondaires, avec idéalement un bouillon salé, légume là encore ou boeuf ou poulet, mais rien de trop gras.

Demain matin, prenez du pain et du miel.

Rester quelques jours sans excès, sans alcool, et sans manger trop gras et vous serez en pleine formes.

Si c'est pas le cas et que dans les jours a venir les nausées reprennent, ce n'est pas l'alcool et revenez avec vos urines.


Entendant frapper..Donne les herbes et repond

Je vous souhaite une bonne journée... Entrez..

_________________
Clarette
Clarette écouta attentivement et prit les herbes.

Merci, Monseigneur.

Elle entendit toquer et se dit qu'est que ça peut bien être....
_mae_
On leur avait signifié qu'ils pouvaient entrer. Mirka pensait avoir reconnu la voix du vicomte, mais, incertaine, elle poussa d'abord la porte pour s'en assurer. Un sourire étira les coins de sa bouche lorsqu'elle le reconnut. Bon, déjà, ils avaient trouvé le bon endroit.

- Bonjour, monseigneur. Ce n'est que moi. Enfin, j'ai réussi à faire venir Arga aussi... Ha ! Pardon ! Vous n'êtes pas seul...

La brune venait de se rendre compte de la présence de... Elle plissa légèrement les yeux, ce visage lui rappelait bien quelque chose. Puis la soirée lui revint en mémoire. Rose et Arga étaient plus morts que vifs et ils étaient occupés à les soigner lorsqu'elle était entrée. Oui, maintenant, elle sentait une légère trace d'odeur de vomi, reconnaissant bien là celle qui avait rendu tripes et boyaux jusqu'à ce que... Ha oui, Mirka venait également de se souvenir pourquoi la femme était sortie : elle lui avait fait peur. Hum... Fallait dire qu'à ce moment là, Rose venait de se réveiller et elle tentait de ne pas trop l'inquiéter afin qu'elle puisse mieux se reposer. Et puis l'autre femme avait fait le contraire, sûrement involontairement, mais en tout cas, Mirka se souvenait lui avoir jeté un regard... disons... agressif.

- Bonjour... marmonna t-elle alors pour saluer la femme, ne voulant pas se montrer impolie.

- Souhaitez-vous que nous repassions plus tard ? demanda t-elle en se retournant vers le vicomte, soucieuse de ne pas l'embêter déjà que c'était la deuxième fois qu'ils lui revenaient blessés.
_________________
Argawaen


Il n'écoutait pas ce qu'il se passait, il se contentait d'oublier ce qu'il l'attendait... Le tartinage de pâte sur la viande, la couture intra-viandos, car malgré ce qu'avait fait sa cousine il était sans doute inévitable que le Vicomte réaménage ses entrailles de meilleure façon.
Secouant la tête Le Sanglant, enfin l'ensanglanté maintenant d'après Mirka, relevait le nez lorsqu'elle ouvrit la porte.
Cependant il ne s'attendait pas à une telle surprise... La donzelle qui avait dégobillée ses entrailles un peu partout dans la taverne, une scène pitoyable... Argawaen l'aurait bien fait taire une fois pour toute mais ses conditions physiques ne le permettaient point.

Grognant légèrement il s'appuyait sur l'épaule de Mirka, m'enfin pas trop quand même afin de ne pas plus taler ses côtes endommagées puis saluait le Vicomte d'un signe de tête.
Au regard du mal léché on pouvait apercevoir une certaine rage d'être dans ce lieu, il avait horreur de passer entre les mains d'un médicastre, certains prenaient plaisir, mais surement pas lui...
Seules les femmes avaient le droit de s'amuser avec son corps, grimaçant légèrement il fronçait les sourcils et se demandait bien ce qui allait l'attendre...

Penchant son visage il murmurait à l'oreille de Mirka...
Pssst... Il est occupé, on repassera un autre jour...

L'homme devait trouver un moyen d'échapper à cette torture, il était totalement hors de question qu'il se fasse manipuler...
Plus il observait l'endroit et plus il devenait irritable, ce n'était pas bon signe... A moins de lui mettre une bonne dose de cheval pour le calmer il n'y aurait pas trente-six solutions...

_________________

"Orbe Fracto Pes Illaessa" (Même sans défense je reste redoutable)
Clarette
Clarette avait avait d'être de joyeux salut, mais elle dit simplement bonjour.

Bonjour, je vais vous laisser, je ne vais point vous déranger plus longtemps.

Elle sortit par ou elle était entré.
Gwenhadu
sir gwen se présenta a l officine , une chose l inquiétait sa toue se fessait de plus en plus tenace

parfois, du sang stagnait dans sa bouche après une grosse toux,

ce soir la il n y avait personne il laissa donc un mot sur la porte

""Mesir, je vous en pris, pourriez vous passé chez moi
depuis que je travail a la mine j ai une douleur thoracique importante
il m arrive même parfois de craché un peut de sang
avec le froid qui arrive cela se précise de plus en plus
venez a mon secourt
salutation
sir gwenhadu""
Aradiia
Après avoir avaler une tisane de thym et décrotté un peu ses bottes ternies et humides, elle laissa ses compagnons au campement. La blayaise prit le chemin épée à la taille et chaudement emmitouflée dans sa cape, vers sa ville natale enfin retrouvée.

Direction d’un pas décidé vers l’officine ou elle devait déposer un baluchon, remplis de décoctions et de remèdes confectionnées à base de plantes trouvées sur les nombreux chemins de Guyenne.

Après quelques recherches à l’université ou elle se rendait de temps en temps, elle avait cherché plus particulièrement de nouveaux remèdes, ainsi elle avait fait grande provision d’armoise. Cette plante purgative avait pour effet de débarrasser le système digestif des vers. Mais son intérêt était surtout de combattre efficacement les parasites tels les poux.

Devant la porte, elle voulu y introduire la clé qui bloqua dans la serrure, ce qui inquiéta fortement la médicastre.
*Qui a eu l’audace de rentrer ici ? Un manant sans aucun doute… Faut que je fasse l’inventaire et voir si rien ne manque. Peu être ces même vauriens que je cherchais sur les chemins*

La porte céda d’un geste de la main, Diia entra et d’un rapide coup d’œil, trouva tout en place, sauf quelques flacons dispersés.
Elle fronça les sourcils resta un peu stoïque en scrutant le lieu : ce n’était pas des voleurs, mais bel et bien quelqu’un qui s’y connaissait en médecine, qui était entré par effraction, la juge devrait faire la lumière aussi sur ce mystère.

Elle retourna, vers la porte pour enlever le panneau qui indiquait qu’elle était absente, décidé de se mettre au travail.

Après avoir ranger méthodiquement chaque objet, elle quitta enfin sa cape et commença par faire un bon feu, l’endroit étant glacial.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)