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[RP] * Le Banquet & Le Bal de Noël ! *

--Blacknek
blak attendait que son mystérieux cavalier veuille bien se montrer.

elle avait reçu une invitation pour un bal... elle qui n'avait même jamais dansé.

elle attendait patiemment... tapis dans l'ombre...elle regardait les gens danser...elle qui ne se montrait jamais en public visage découvert pour pouvoir dépouiller les gens devait apprendre a réfuter ses envies.

devenir honnète... en voilà une idée... enfin elle se devait d'essayer...
--Don_siffredi
Labretagne a écrit:
...elle poussa un soupire et but sa chope d'un trait..

bon aller... fini la déprime... on est là pour s'amuser......


Les mets et les coupes se mettent à trembler.

SOUDAIN,
de sous la table surgit une ombre, comme un tigre noir qui s'engage furieusement sous la robe de Labretagne et remonte le long de son corps.

Les lacés cèdent et l'ombre virile d'un fauve puissant enveloppe le corps de la Damoiselle.

Il est tout de noir vêtu. Ses yeux d'ébène reflètent la danse scintillante des chandelles.

Il lève son loup dévoilant son identité à Labretagne uniquement et l'engage dans une danse effrénée.

Il dépose son souffle au creux de son cou et lui sussure:


... fini la déprime... on est là pour s'amuser...

Leur danse s'envole jusqu'au milieu de la salle.

L'air tourbillonne et s'engouffre dans les atours soyeux de la jeune femme enivrée, les ficelles virevoltent et s'agitent en rythme autour des deux corps enlacés.

Le pas assuré, la démarche impériale, Don_Siffredi guide son élue avec grâce sur les sentiers d'une danse dont le nom serait désir...


.
Manga
Manga avait la peau du ventre bien tentu et avait bien bu quand elle vit Dame Labretagne et une ombre se mouvoir...

Le vertige la prit... Elle se mit à chercher un siège de préférence près d'une fenêtre ayant des rideaux.... C'est que si elle devait être malade, elle se devait de partager discrétement les mets qu'elle venait d'engloutir goulluement.

C'est ainsi qu'un instant plus tard, ayant la sensation d'être sur un bateau naviguant sur une mer plus qu'agitée, elle chut sur LE Siége bien placé.

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MangaRofW dicte Manga.
"Mais vous n'aurez pas ma liberté de penser !"
Parrainage abusif IG : Voulez vous être le parrain de ? I'll click Not !
De plus en plus de FBI partout.. o_O'
Labretagne
labretagne se dirigeait vers les musiciens afin de leur demander danse plus entrainante lorsqu'elle sentit le sol bouger.

sortant d'on ne sais où, un homme au visage dissimulé derrière un loup, se glissa sauvagement sous les jupons de la meunière et enveloppa son corps d'une chaleur animale.

hé... mais...

d'un geste de la main, elle attrapa sa dague sous sa ceinture et s'apprêtai à trancher la jugulaire de l'homme lorsque celui-ci dévoila d'un geste discret son identité.

les yeux écarquillés, elle lui adressa un regard furieux.

tu sais que j'aurais pu te trancher le gorge et que tu aurais trés bien pus ne jamais revoir la lumière du jour... tu es inconcient...

lui adressant un sourire complice, il lui sussura un...

fini la déprime, on est là pour s'amuser

avant de l'entrainer dans une danse euphorique...

l'alcool aidant, labretagne se sentit transporter, se laissant guider par son cavalier...


le temps semblait s'être arrété...

une fois la danse fini, elle le regarda et lui lança

merci bien sire... cela faisait longtemps que je ne m'étais pas sentit à ce point transporter par une danse... je vous en pris.. faites donc profiter à ces dames vos talent..

elle lui adressa un sourire avant de s'en retourner prendre une chope bien mérité aprés une tel émotion.

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--Don_siffredi
Don S. sent que Labretagne est un peu lasse de cette danse.

Sans doute la tête qui tourne, une légère indisposition...

Siffredi recule en saluant sa cavalière et sent que son dos frôle quelqu'un.

Les effluves d'un parfum flottent autour de cette présence.

Ce parfum, il exalte une délicate mélancolie.
Ce parfum, il est sensuel.
Ce parfum, il inspire une douceur rassurante.


Je connais ce parfum! se dit-il à lui même

Don S. se retourne et dévisage le Marquis qu'il n'avait jamais vu auparavant.

Excusez moi Mon bon Sire, j'ai failli vous éscrabouiller le pied.

Don Siffredi, votre débiteur: Vous...
Pendriez-vous un verre avec moi?
La gente masculine est bien peu représentée ici.


Don S. observe ce bel homme de cap en pied avec une admiration contenue.

C'est curieux...

Don S. se dirige vers les rafraichissements emportant le Sire avec lui, le guidant d'une main posée sur sa taille.

Un instant j'ai vraiment cru vous connaitre...
--Marquis_surprise
Le marquis sentit une légère pression dans son dos et se retourna, regardant l’homme qui le dévisageait.

Citation:
Excusez moi Mon bon Sire, j'ai failli vous éscrabouiller le pied.


Ce n’est point grave monsieur voyons.

Qui était sous ce masque … Le marquis croisa le regard de Don Siffredi longuement, une idée … puis non rien de sur, cela l’amusait beaucoup et le fit sourire.


L’homme le guida vers les boissons en posant sa main sur sa taille. Le marquis en fut décontenancé par le geste et réprima un frisson et un sourire qui certainement n’avaient pas échappé à l’homme masqué.


Citation:
Un instant j'ai vraiment cru vous connaitre...


Et bien, nous revêtons bien des masques ce soir … mais il est possible que nous nous connaissions en effet.


D’une main délicate, le marquis servit un verre au sieur et s’en servit un.

Appréciez vous la soirée monsieur ?, il faut dire que les dames y sont nombreuses …

Il parcourut la salle d’un coup d’œil, sûrement l’atmosphère voulut elle ça, le marquis bu plus que de raison et enchaîna les boissons, la tête lui tournait un peu … Le regard du Don avait quelque chose de bien étrange.
--Don_siffredi
Les deux hommes sont assis cote à cote, accoudés à la grande table, conversant à mi-voix.

Les sucs alcoolisés glissent tout seuls dans la gorge.

La musique résonne dans cette chapelle du plaisir.

Les lumières chaudes bercent les convives en les submergeant dans un halo de douceurs...


Les femmes y sont nombreuses en effet... et elle ne sont pas danseuses si l'on en juge par leur manque d'intérêt pour la communion musicale de la chair et de l'esprit.

Don S. semble réfléchir une seconde et se dresse:


Il se lève soudain, fait face au Marquis, se courbe une main sur la poitrine pour retenir les pans de sa cape, l'autre tendue vers le magnifique Sire assis devant lui:

Une danse latine... mes préférées... m'accorderiez vous cet honneur, Mon Sieur

.
--Marquis_surprise
La tête qui tourne, les doigts qui picotent, un air latin … et le sieur proposa au marquis une danse.

Et bien ! Puisque ces dames ne souhaitent point danser soit …

Allons dégourdir nos chairs et nos esprits !
Une danse latine qui plus est, y a-t-il plus endiablé que cela ?


Se levant le marquis se sentit chavirer, fut-ce l’alcool ou le moment, difficile à dire.

Il se retint de tanguer plus avant, saisit doucement le bras du Don et s’avança au centre de la salle.

Le marquis se demandait quelle étrange satyre l’avait fait boire et lui donnait à présent ce drôle de sentiment.
Dans ce moment de trouble il se laissa entrainer sans retenue …
--Don_siffredi
Don Siffredi guide le Marquis et se met à chanter sur la musique.

Il frotte son torse à celui de son cavalier, le fait virevolter tout en douceur, exécute la danse tel un torero: avec panache et virilité.

Dans sa tête:
"Quel merveilleux danseur, il est si raffiné, son charisme efface tout ce qui existe autour de nous"

Parfaitement synchronisés, les passes s'enchainent en cascade.

Les musiciens observent la noblesse de cette danse musquée et prolongent leur morceau pour suspendre la grâce à l'infini.

Siffredi chante et ne cherche plus à cacher son sourire total, il s'offre entièrement à son cavalier.


[un extrait de la danse est visible sur ce lien]
[ps: si vous n'arrêtez pas la lecture de la video de la danse, vous verrez la scène qui va suivre à la suite]


Siffredi souffle ces quelques mots à l'oreille du Marquis:

Mon beau Marquis, ma plus belle surprise...

Don S. caresse de son visage les courbes de la joue du Marquis, frôle ses lèvres aux siennes et prend sa bouche dans la sienne.

Il resserre et soulève le corps de son amant qu'il serre contre son buste et se repait de sa salive, de son odeur, de ... il voudrait le dévorer, il en oublie toute considération de bienséance.
Ce marquis est assurément bien trop délicieux...
--Marquis_surprise
Le marquis se laissa entrainer dans la danse endiablée, écoutant la voix charmeuse du Don qui résonnait délicatement à ses Oreilles.

Le sourire du Don laissa le marquis dans un état contemplatif. S’abandonnant simplement au doux instant et écoutant les quelques mots du Don.


Citation:
Mon beau Marquis, ma plus belle surprise...


Il reconnut la voix et lui chuchota :

Quelle étrangeté que voila sieur … je suis troublé …

La main du Don toucha délicatement la joue du marquis et quel doux sentiment ce fut lorsque ses lèvres touchèrent les siennes et qu’un langoureux baiser l’emmena bien loin de toute considération et de toute inhibition.

Le cœur était pressant, la chaleur montait aux joues. Ce délicat contact était si plaisant, que le marquis ne s’en détacha pas et ne s’en défendit pas, resserant même l'étreinte de ses jambes sur le Don qui l'avait si délicatement soulevé.

Les corps serrés, les chaires en contact et le délicat gout des lèvres, tout cela était insolite dans un tel lieu sous une telle forme, mais qu’importe l’instant était atemporel.

Labretagne
labretagne observait le va et viens des gens présent.

DON.S semblait s'être trouvé un compagnon de beuvrie.

elle finissait sa chope lorsqu'une scène bien étrange se déroula sous ses yeux.

le marquis et DON.S partageaient des baisers languoureux.

elle manqua de s'étrangler avec la bière....

heu....ça va? on ne vous dérange pas au moins? vous vous croyais ou tout les deux???

portant un regard furieux sur son ancien cavalier:

et toi là... le jolie coeur???? tu crois vraiment qu'avec un comportement pareil je vais accepter tes promesses??? non mais tu rêve!!!!!

s'en était trop pour elle...

elle leur tourna le dos et se dirigea d'un pas colèrique vers la porte

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--Don_siffredi
Don Siffredi s'apprête à déchirer la chemise du Marquis quand il entend résonner cette voix étonnamment militaire... il la connaissait bien cette voix, mais elle avait d'habitude des inflexions bien plus douces...

Un courant d'air fait vaciller les flammes des chandelles quand Dame Labretagne se déplace vers la porte.

Le sang bouillonnant de Don S. se fige instantanément dans ses veines.

Labretagne est près de la porte!

Un dilemme inextricable se pose... une goutte de sueur coule le long de son front, se suspend sur le rebord du loup et tombe.

Cette goutte tombe au ralenti, le temps se dilate pendant la chute, puis reprend son cours à l'accéléré quand elle touche terre:

Don Siffredi court!


Labretagne!

Il court vers la belle femme de combat qui dans sa retraite avait gardé toute sa noblesse.
Il traverse la salle et attrape sa main sans réfléchir...
Manga
Manga tanguait toujours, bien que callée sur son siège, son estomac au bord des lèvres.

Plus elle tentait de songer à autres choses qu'aux mets souhaitant se faire la belle, plus elle regardait les gens évoluer et plus elle avait du mal à tout retenir.

Quelques éclats de voix, un courrent d'air et s'en fut trop pour la jeune femme.

Elle se leva d'un bond, alla se coller à la fenetre, tira le rideau derrière elle, ouvrit enfin la seule barrière entre elle et l'air frais avant de s'esquiver comme elle le put et de faire partager à Dame Nature tout son festin du soir. Elle maugréa car elle n'avait pas eu le temps d'aller jusqu'aux latrines municipales. Du pied elle recouvrit son méfait, remerciant intérieurement Cyle du fait que la salle de bal n'est pas été à l'étage.

Son "mal de mer" passé, elle se rendit à sa petite maison, songeant que la prochaine fois elle ne mangera pas au tant juste parce qu'elle n'a plus l'habitude de manger... Sans parler de l'alcool... Pourtant elle avait peu bu en fait...

Chancellant toujours un peu, elle finira tout de même par arriver chez elle.

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MangaRofW dicte Manga.
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--Marquis_surprise
Le Marquis agrippé avec ses jambes à la taille de Don Siffredi fut embarqué dans la course. Ses jabots, la plume de son chapeau et ses bras et tout son corps flottent au vent en ariere comme les étandards sur les lances des jouteurs en pleine charge. Manquant de glisser et voyant sa chute arriver le Marquis se servit de la tête de Manga pour se redresser dans un svelte mouvement [du genre matrix] et ressera son étreinte en serrant les jambes.

Ouh làààà pas si vite heeey on va où ?

Le Don freina et attrapa la main de la belle dame, le marquis ne sachant pas quoi faire resta pétrifié un moment tellement imbibé par l'alcool et perturbé par le fougueux baiser ...
Toujours accroché au Don masqué il se racla la gorge et essaya de dire le plus dignement possible et dans un calme déconcertant :



hum ...Bonjour madame, mes homages, vous êtes en beauté ce soir... hum ...
--Blacknek
black regardait les scènes qui se déroulaient à l'intérieure.

comme à son habitude, elle s'était encore fait poser un "lapin".

ma pauvre fille... tu ne pourras jamais devenir honnète... se disait-elle.

elle rabatit sa capuche sur sa tête et entra le plus discrètement possible.

depuis quelques minutes, des mots s'échangeaient.
la tention montait quelque peu.
une aubaine parfaite pour elle qui venait de changer ses plans.

elle s'avança doucement, profitant de l'agitation.

passant prés d'une dame qui samblait en colère, elle la bouscula légèrement.

excusez moi dame..

puis elle s'éloigna et se tapi dans un coin... un sourire satisfait sur le visage
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