Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 13, 14, 15   >   >>

[RP] Chasse au sanglier, campement de chasse

Majda_eulalie


Arrivée enfin, emmitouflée sous une tenue qu'elle a fait réaliser selon ses directives, Majda s'avance après avoir laissé Aristide s'occuper des chevaux.

La jeune maure n'en mène pas large. Heureusement, elle voit au loin Maelie, et Russo. Un sourire nait alors sur ses lèvres, et la démarche aisée s'avance. Ses braies de cuir doublées de lin, ses bottes toutes neuves aux pieds, et sa cape pourpre pour cacher les trois couches de chemises qu'elle porte, son gambison et un gilet pourpre qui le cache, elle s'avance en souriant. La mode féminine de la chasse lui est totalement inconnue, elle a chercher le côté pratique et chaud. La jeune femme n'a jamais participé à une chasse, ce sera donc une grande première. Son excitation rend ses joues un peu plus sombres, signe qu'elle rougit.

S'inclinant, elle salue les personnes arrivées d'un signe de tête n'en connaissant que deux...

Bonjorn...

Elle se reprend pour continuer en françois.

Bonjour à tous. Je suis Majda_eulalie Shaggash, Dame de Couffoulens. Je viens du Languedoc.

_________________
Nennya
Vincennes avait été indiqué par une sœur de l’Hôtel Dieu, fort bien explicité par un « à l’ouest, à l’est, arbre penché à dextre, puis maison untel à senestre, et enfin avec un peu de chance vous serez arrivés à point». A point disait-elle, c’est folle que Nennya arriverait à Vincennes, après avoir cherché longuement son chemin. A Paris depuis un certain temps, la rectrice était pourtant perdue en dehors de ses murs…

C’est donc au matin tôt, qu’elle se hâta de prendre le chemin. La duchesse de Mortain était habillée pour les circonstances, bottes, robe ample d’un teint pourpre, cheveux ramenés en arrière, grande sacoche de lin contenant quelques nécessaires, comme du fil ciré, si du sang giclé de partout, des baumes pour les ecchymoses, évidemment, elle n’avait pas de quoi si l’homme ou la femme s’était brisé la nuque, elle aviserait à cet instant…mais il y avait déjà pas mal.

Aidée de ses élèves, Nennya espérait couvrir un large terrain, enfin, si ils venaient, elle pria pendant sa route Saint Michel qu’il épargne les chasseurs. Non loin de Paris, sa garde l’amena jusqu’à Vincennes, sur la route, ils rencontrèrent bien l’arbre penché, drôle de coïncidence. Dame Naluria lui avait demandé de soigner les blessés, si il y en avait, eh bien, elle était donc là !Un petit groupe s’était formé, la chasse ne devait pas tarder. Comment faire le premier pas ?Lui fallait-il un signe distinctif pour signifier qu’elle était là pour soigner, bien qu’une chasse l’aurait agréablement tentée.

Voyant une dame qui donnait les consignes, sa grâce s’approcha à pas de chats, et dit, un brin perdue :


-Dame, je vois que vous donnez les consignes, pourriez-vous m’indiquer où trouver sa grâce Naluria Marthun Vaast, Grand Veneur de France, elle m’a fait demandée pour les soins d’éventuels blessés de cette chasse, je représente l’Ostel Dieu de Paris

La Première Dame de la Chambre du Roi se demandait si elle avait bien, elle aussi, les bonnes consignes.
_________________
Persevael.louis


Persevael arriva tard à Vincennes. Il faut dire que le trajet depuis les Flandres avait été bien long car retardé de par la neige qui se dressait sur son chemin. Il avait tout de même eut le temps d'aller se changer à Paris, en l'Hostel Gilraen, que ses parents possédaient. Le blondinet était désormais vêtu d'un bas blanc, d'une chemise rouge, de braies rouges et de bottes noires ; c'était sa toute dernière acquisition spécialement pour les chasses de Vincennes. Lorsque l'on venait ici et que l'on était Ecuyer Royal, il fallait tout de même avoir un minimum d'élégance pour représenter au mieux les services équestres de Sa Majesté le Roy.

Arrivé enfin au domaine de chasse, il aperçut des gens sous la tente. Il s'approcha donc à toute vitesse, ayant peur d'être en retard. Heureusement, il entra lorsque la dame Russocarine annonçait la composition des équipes. Il reconnut au loin ses collègues des Ecuries et leur adressa un franc sourire, s'annonçant discrètement à ses voisins.


Je me nomme Persevael Louis de Gilraen et vient directement du lointain comté des Flandres.

Il s'approcha de son chef d'équipe, le messire Flex, qu'il connaissait des Ecuries. Il lui adressa un grand sourire, étant heureux de connoystre quelqu'un dans son groupe.


Messire Flex, ce sera un grand plaisir que de chasser avec vous !

Puis, il continua à écouter les instructions de la Grand Capitaine des Toiles et du Vautrait.

_________________


Bbred
BBred était arrivée assez tôt,
Tout pouvait se dérouler au mieux aujourd'hui s'il suivait bien les instructions.
Il, salua donc à son arrivée, toute les personne s'y trouvant.
Il chercha rapidement sa Marraine. Il l'aprçut enfin. Elle était déjà bien entourée, mais il vint la saluer.


Adissiatz Russocaine, heureux d'être ici. J'espère pouvoir attraper le sanglier avant toi ! Enfin attraper ne me servirait pas à grand chose, mais plutôt l'abbatre

Il prit connaissance des groupes




Adrien, au moins quelqu'un que je connais !
Bon je ne suis pas dans ton groupe Marraine, au moins ça me rassure, tu n'essayera pas de me pousser dans les buissons pour y débusquer la bête.

Je vais essayer de rencontrer mon chef de file !

Il salua chaleureusement Maelie qu'il apperçut aussitôt !
Adissiatz Maelie, heureux de découvrir que tu fais partie de la chasse.

Bbred s'approcha de sa monture, il vérifié arcs, Lance et dague, puis vint à la renontre de Messire Flex.

Ad... Heu Bonjour messire Flex, je me nomme Bbred, je fais partie de votre Groupe, j'en suis heureux. Trés belle meute que vous avez là messire, de belles bêtes.
Jehan_de_proisy
Répondant à l'invite de Dame Russo , le Fortunat entrava sa monture non sans lui avoir donné de l'eau et du picotin. l'avoine viendrait plus tard pas question d'énerver le frison tout de suite. Plus tard lorsqu'il faudrait tenir la suite de l'animal chassé là Tempête donnerait surement sa pleine mesure d'endurance et de force.

Merci Dame mes respectueux hommages à vous et grand mercy de votre invitation.

Il récupéra l'insigne de son groupe et l'agrafa sur le revers de son pourpoint de cuir. Il n'était pas là pour faire assaut d'élégance et n'avait rien trouvé de mieux que cette tenue de cuir ajustée, souple et cependant le tenant à 'labri de la pluie et du froid.

C'est avec joie qu'il entendit citer son filleul Thomas. Quand il entendit citer Leello sa jeune épouse il précisa...

Dame Leello mon épouse aimée va nous rejoindre elle a du s'arrêter se reposer en cours de route. Je vous présente mes excuses en son nom pour ce retard...

_________________
Achilee
Achilée membre de l'Hôtel Dieu arriva de ses Flandres d'adoption. Il lui sembla même croiser une personne qui ne lui était pas tout à fait inconnue mais elle chassa très vite de son esprit la curiosité de savoir si c'était le cas.

La tournaisienne se sentit perdue au milieu de tant de personnes de qualité. Elle portait une tenue simple mais chaude et qui n'entravait pas les mouvements. Elle avait ajouté une paire de mitaines. Le froid pouvait être mordant ses doigts devaient malgré cela toujours être suffisamment agiles et déliés pour effectuer des gestes minutieux.

Une besace de bonne taille, véritable sac à malice, pendait à son coté. La remplir n'avait pas était une simple affaire. Elle avait donc choisit dans la pharmacopée de quoi soigner les plaies et les bosses, des pinces fines pour ôter les épines et autres échardes, un impulsoir bien que son maniement requerrait un savoir faire qu'elle ne maitrisait pas encore tout à fait, des bandes pour immobiliser les membres cassés, de quoi éventuellement soulager la douleur et un vomitif au cas ou...

Mieux valait porter une besace trop lourde que manquer du matériel nécessaire. L'Hôtel Dieu la formait. Elle tenait à se montrer digne de cette formation, et aurait eu horreur d'être à l'origine d'une tache sur la réputation de cette honorable maison.

Elle chercha des yeux une tente qui leur aurait été assignée, fit le tour du campement, explora les alentours très proches, évita de s'approcher des chiens non qu'elle en eut peur mais elle savait que toute excitation supplémentaire les rendaient plus bruyants encore.
Elle finit par apercevoir la Rectrice de l'Hôtel Dieu et s'approcha un peu essoufflée, les joues rosies par le grand air aussi bien que par cette exploration des environs au pas de course

Dame Nennya je suis là....Comment nous organisons nous?
_________________
Maelie
Maëlie accueillit l'arrivée de Bbred, Majda et Percevael avec un large sourire.

Adissiatz ! Ça fait plaisir de voir des têtes connues, hélas, il semble que nous soyons disséminés ! J'aurai dû y penser, domnadeu... fit-elle en se frappant le front. Puis elle entendit Persevael et Bbred parler de Flex.

Messire Flex est là ? Je ne l'ai point vu !

La tête lui tournait de toute cette agitation, et elle s'en sentait grisée. Les équipes formées, les broches accrochées, il s'agissait maintenant de rejoindre ses équipes. Avec un sourire de regret, mais en leur criant bonne chance, Maêlie s'éloigna de ses amis pour s'approcher d'un homme qu'elle avait salué plus tôt et qui portait la même broche qu'elle.

Messire Jehan de Proisy je présume ? Je suis Maëlie, et j'appartiens à votre équipe, se présenta-t-elle, avec un sourire courtois.

J'espère que nous y prendrons grand plaisir, et que nous ferons une excellente chasse!
_________________
Membre du Comité "Culture, Loisirs, Evènements" du Languedoc
Maître du Haras Royal

[Absente du 19 au 28 mars]
Duncan.
L'heure était venu de prendre la route pour Vincennes. Sa promise lui avait demandé de l'accompagner à cette chasse, chose qu'il ne lui refusa point...d'ailleurs il avait bien du mal à lui refuser quoi que ce soit, de plus, il n'avait jamais assisté ni participé à une chasse et sa curiosité légendaire demandait à être satisfaite.

C'est donc avec hâte qu'il se prépara à prendre la route. Il retrouverait sa Blanche là bas, retenue par ses obligations dans un autre coin du Royaume, ils n'auraient pas le plaisir de faire le voyage ensemble mais peu importait, le principal étant de partager cette journée.

La route avait été longue depuis les Flandres et malgré le trajet, dessiné sur un parchemin, Valencienne et surtout le lieu précis de rendez vous, n'avait pas été simple à trouver.

Duncan, accompagné de Fifi, gamin de Tournai se mettant souvent au service du jeune Seigneur de Bourbourg, arrivèrent à l'endroit indiqué. Tente en vu, aboiements de nombreux chiens, ils pouvaient être rassurés, ils ne c'étaient trompés que trois fois lors de leur périple.

Bottes et gants de cuire, braies et cape chaudes, épée dans son fourreau, une fois devant la tente, il descendit de sa monture qu'il confia au gamin pendant qu'il se présenterais et prendrais instructions.

En entrant, il apprécia la chaleur qui régnait sous la tente. D'autres étaient déjà arrivé, il ne lui semblait reconnaître personne, ce qui n'était guère étonnant puisque c'était sa première chasse.

Il continua d'avancer lorsqu'il aperçu un visage connu. Un parlementaire Flamand qu'il avait croisé à quelques reprises mais sans réellement avoir pu faire sa connaissance. L'homme semblait occupé, il irait certainement le saluer plus tard, en attendant, il s'approcha de celle que tous semblaient écouter avec attention.

Il profita d'un moment de silence approximatif pour se présenter.


Bonjour Dame,
Je suis Duncan de Clairambault, Seigneur de Bourbourg, directement venu du nord du Royaume.
Veuillez m'excuser de ma maladresse mais étant donné que je suis ici pour ma première chasse, pourriez vous m'indiquer la marche à suivre ?

_________________
Jehan_de_proisy
Une jeune femme vint le trouver et se présenta...Le Fortunat lui répondit courtoisement faisant un effort pour remuer ses souvenirs d'amitié pour son parrain aujourd'hui quasi ermite...

Adissiatz Donà Maelie!
Ce m'est une joie de vous avoir à mes côtés, votre accent nous amènera le soleil qui risque de nous faire défaut en cette royale forest.


Sur ces mots il s'inclina révérencieusement sans servilité juste par humilité courtoise...

Vous voici, entre autre, parmi les Hospitaliers nous tâcherons de ne pas vous faire honte...et ferons tout pour ramener une belle bête.
_________________
Thegregterror
Vincennes... souvent vue de loin, mais jamais encore Grégoire n'y avait posé pieds. Ce fut chose faite, lorsque le Comte sortit de la voiture aux couleurs de Lille et de Sainct-Omer, précédant plusieurs autres pour le transport de la meute. Meute récemment acquise d'ailleurs... il fallait bien une première à tout, la chasse semblant devenir à la mode.

Aidant son épouse à descendre, c'est vers la tente qu'ils se dirigeaient logiquement, laissant le soin des bêtes à ces gens venus avec. Une vrai péripétie se voyage en y pensant...


Il semble que nous soyons à l'heure... ce n'est déjà pas si mal, n'est-ce pas? confia-t-il à Deedlitt sur le chemin en se remémorant tous les retards qu'ils avaient pu avoir.

Arrivé au lieu dit, il s'annonça... en scrutant un peu les alentours mais ne reconnaissant personne pour l'instant.

Comtes Deedlitt et Grégoire de Cassel d'Ailhaud.
_________________
Deedlitt
Suivant son époux la mine réjouit, elle ne pu que sourire à ses mots.

Oui en effet, tu as raison, ce n'est déjà pas si mal.

Les précédents retard étaient remémorés dans un regard de connivence.
Une fois leur noms donnés, et bien qu'elle savait qu'elle ne ferait que suivre et pas chasser elle jeta un oeil curieux au tableau de répartition des groupes.




Hum...Oh Adrienne, Dame Bradbury, cette chère Leello et son époux, Messire Flex, Dame Naluria...Finalement nous allons croiser des visages connus, cela s'annonce festif mon cher. Espérons juste que la chasse sera bonne.

cela faisait une éternité que les époux ne s'était pas échappés de leur fonctions diverses et variées pour passer un peu de temps ensemble. Chasse bonne ou pas, gens connus ou pas, cette simple perspective réjouissait la Comtesse. Une ombre au tableau cependant elle pensait qu'elle croiserait sa cousine Dotch accompagné de son vassal le valeureux Azdrine. Mais elle ne vit pas leurs noms...Etaient ils en retard??
_________________
Russocarine
Montrant l'exemple, Russo épingla le bouton de chasse en cuivre embossé d'une tête de sanglier au revers de son manteau, aplatissant les poils d'ours du revers de la main pour qu'ils ne cachent pas l'insigne.

Arriva Majda, la jeune maure promise de Quirin, qui l'avait si aimablement hébergée à Exat lors de son passage récent à Carcassonne. A la fois si délicate, et tenant la bannière d'Exat et les finances de sa ville d'une main de maitre.

Bonjorn Majda. Je suis ravie que vos affaires vous aient laissé le temps de venir. Vous verrez, une partie de chasse est une chose des plus divertissantes. Etiez vous déjà venue si au nord ?

Vint une dame vêtue d'une robe, chose rare dans l'assemblée où le côté pratique des vêtements l'emportait sur l'élégance et les convenances. Russo l'aperçut du coin de l'oeil, puis d'un coup elle se trouva devant elle, comme si la dame se déplaçait sans aucun bruit.
(Nennya) -Dame, je vois que vous donnez les consignes, pourriez-vous m’indiquer où trouver sa grâce Naluria Marthun Vaast, Grand Veneur de France, elle m’a fait demandée pour les soins d’éventuels blessés de cette chasse, je représente l’Ostel Dieu de Paris

Salut de la tête.
L'Ostel Dieu, vous dites. Pardonnez, mais, seriez vous Dame Nennya Blackney ? C'est fort aimable à vous d'avoir accepté de venir soigner les éventuels blessés, j'espère cependant que vous n'aurez à exercer votre art que sur des blessures légères. Sa Grâce Naluria inspecte probablement les chenils. Vous l'y trouverez surement.

Et d'indiquer la direction d'où proviennent les aboiements et japements, entre la rivalité des meutes et l'excitation de la chasse.

Arriva le jeune Persevael dont il se disait que, bien que fort jeune, il était plein de valeur. Sa tenue rouge était un peu voyante, mais au moins nul ne le larderait de traits d'arbalètes par erreur. Salut discret, car arrivait son turbulent fillot


(BBred)Bon je ne suis pas dans ton groupe Marraine, au moins ça me rassure, tu n'essayera pas de me pousser dans les buissons pour y débusquer la bête.

Allons, allons, mon cher fillot, tu n'as pas la chair assez tendre pour appater les sangliers. Les lynx ou les loups, peut être. Et puis, les sangliers se chassent sans appat, ou alors avec des pommes fermentées. Vois tu ce jeune homme vêtu de rouge ? Je crois bien qu'il est dans le même groupe que toi. Il se dit qu'il est bon cavalier.


Petit à petit, les groupes de chasseurs se formaient. Certains découvraient que certaines de leurs connaissances participaient également à la chasse. Les bavardages commençaient à emplir la tente. Une accalmie dans le brouhaha, et une question

(Duncan.) Bonjour Dame,
Je suis Duncan de Clairambault, Seigneur de Bourbourg, directement venu du nord du Royaume.
Veuillez m'excuser de ma maladresse mais étant donné que je suis ici pour ma première chasse, pourriez vous m'indiquer la marche à suivre ?


Le Bon Jour, je suis Russo, Grand Capitaine des Toiles et du Vautrait. Ne vous excusez point, j'expliquerai plus en détails le déroulement de la chasse dès que nous serons un peu plus nombreux. Bref, chaque groupe chasse indépendamment, et cherche à débusquer et occire un sanglier. Mais nous n'irons pas en forêt le nez au vent, espérant croiser une portée de marcassins ou un vieux male retors, cela laisse trop de part au hasard. A l'aide de nos chiens, nous commencerons par chercher des traces de sanglier, des empreintes, des odeurs. Quand il aura trouvé une piste, le chien se mettra à tirer fortement sur sa laisse, et nous suivrons alors la trace du sanglier jusqu'à ce que la bête soit débusquée. Là nous lacherons les chiens, et poursuivrons le sanglier à travers buissons, forêt et marécages jusqu'à ce que, trop fatigué, il s'arrête et nous fasse face. Ce sera alors le moment de l'occire, préférablement à l'épée, ou à l'épieu.
sourire rassurant
Vous verrez, dans le feu de l'action, tout vous viendra naturellement.


Un couple arriva, et s'annonça
(Thegregterror) Comtes Deedlitt et Grégoire de Cassel d'Ailhaud.

Vos Grandeurs, enchantée. Si je ne me trompe, vous venez de ces terres du nord où l'on cultive le meilleur houblon et la meilleure bière. Avez vous fait bonne route ?

_________________
Quirin
Il aurait bien voulu chevaucher avec elle, mais certains engagements avaient fait que.. , il avait du repasser par Marseillan, et puis de toute façon elle si légère. Enfin c'était quand même sot qu'ils ne se soient pas tous donnés rendez-vous et n'avaient pas tous traversés le Royaume ensemble mais chacun avait des devoirs les recquiérant.
Il avait laissé son uniforme de l'ost pour revêtir son tabart aux armes de Marseillan, et avait prit la route suivit de Fonsin lui-même vêtu de sa livrée aux mêmes couleurs

Il arrivait enfin, et aperçu de suite son amie Russo, il se dirigea vers elle

Bonjorn Russo, cossi va ? Majda serait-elle déjà arrivée ? je n'ai pu chevaucher en sa compagnie à mon grand dam
_________________
Guilhem
L'aube pointait le bout de son nez, éclairant la forêt recouverte de givre et voilée de brume d'un blanchâtre fantomatique.
Le froid était vif, surtout pour un Languedocien d'origine. Aussi Guilhem était il chaudement vêtu. Comme à son habitude ses vêtements rappelaient les couleurs de ses fiefs, Sable & Azur, et une touche d'Or.
La tente indiquée arriva enfin en vue. Du monde était déjà arrivé, il était un peu en retard. Sa meute, récemment acquise lors d'une visite dans un élevage de renommée en Baden, suivait en aboyant. Elle était exclusivement constituée de Braques de Weimar, certains bruns, d'autres souris, la majorité à la robe argentée.
Derrière les chiens, suivait une charriole, pilotée par Raymond, le fidèle Intendant de Guilhem, qui avait quitté Càstias pour suivre Guilhem jusqu'ici bien malgré lui. Mais il fallait bien transporter les chiens, leur nourriture -c'est que ca consomme ces bestiaux- et tout le nécessaire pour les soigner et les entretenir. Et puis comme il restait un peu de place, il avait embarqué un tonneau de Maussac-Thézan, vin de Bourgogne qui commençait à avoir sa petite renommée, et bien sûr du jambon de Parme, du fromage d'Appenzell et du pain pour se préparer ses 'Càstias' -c'était à bord du bateau qui l'emmenait de Toulon à Livourne, alors qu'il était trop malade pour manger à table (et qu'il n'y avait de toutes façons ni mess ni table à bord), qu'il avait remarqué que mettre des ingrédients au milieu d'une miche de pain rendait le tout très pratique pour manger sur le pont d'un bateau... ou à cheval, ou n'importe où où il ne pourrait s'attabler. Bien sûr la première version ressemblait plus à du pain rassit agrémenté de salade, mais au court de ses voyages la recette avait évolué en y incorporant les produits des terroirs traversés, et l'association du fromage Suisse et du jambon Italien était sa préférée. Il avait alors baptisé sa recette le 'Càstias' en pensée à son comtat qu'il lui tardait de retrouver.

Il mit pied à terre, laissant Raymond s'occuper des chiens et d'Actéon, et rentra dans la tente où il reconnu nombre de nobles de ses provinces, son natif Lengadoc et son Tolosa d'adoption. Maelie, Neyco, le blond baron, Majda Eulalie, BBred, Quirin et bien sûr Russo, il avait l'impression de se retrouver à une cérémonie d'allégeance en voyant tant de visages connus.
Il les salua et se rendit au tableau des groupes. Léger sourire. Il serait assurément bien entouré! Accrocha le bouton de chasse à sa boutonnière.


Bonjòrn Russo, cossì va? Tu te fais au climat ici? Encore pire qu'en Suisse!
J'ai vu que tu m'avais mis en charmante compagnie pour cette chasse!

_________________
Crysania
[Rouergue - Le départ]

Cette journée prévue depuis déjà plusieurs jours, La Rouquine avait pris ce temps pour organiser ces jours de repos vis-à-vis de ses charges dans son Comté.
À la veille du départ, sur la route entre Espalion et Rodez, profitant d'une patrouille de soldat pour passé du point E au point R, une vérification générale des consignes et de tout le tralala fut faite. Il ne fallait surtout pas oublier quoi que ce soit.

Après une nuit passé à l'hôtel de Rodez, à l'aube, ouvrant un oeil, sautant hors du lit, par une des fenêtres donnant au devant de la bâtisse, Crysania pouvait y apercevoir les deux gardes du Domaine de Peyrebrune, domaine appartenant à son Suzerain, qui étaient arrivés et l'attendaient pour faire office d'escorte.
Jamais le Vicomte l'aurait laissé voyager aussi loin seule, et s'il aurait apprit qu'elle n'avait pas fait appel à eux, elle était bonne pour passé sous la massue de son épouse.

Vite fait, elle s'habilla en circonstance du voyage. Rien de trop habillé, le tout couvert de sa cape rouge en mouton, fermé par une broche. Elle descendit dans la salle a manger de l'hôtel où un repas du matin l'attendait déjà conformément à ses demandes de la veille, fromage, pain, lait, fruit étaient au rendez vous devant elle. Tout en écoutant les potins des voyageurs, qui ou bien arrivaient, ou bien qui se préparait a reprendre les routes, La Rouquine touchait un peu a tout ce qu'on lui avait préparer jusqu'à être rassasié. Le reste, elle l'enroula dans un tissu qu'elle glissa dans sa besace. Pendant le temps qu'elle prenait à manger et se réveiller, une personne avait été envoyé dans sa chambre, chercher ses affaires et les installés sur sa Jument, que son escorte avait rapporté des écuries de Peyrebrune.

Sortant de l'hôtel de la Capitale, la jument l'attendait déjà prête non loin. Comme un cowboy, elle se hissa sur sa monture prête a prendre la route pour Paris.
La route par chance se passa sans encombre. Longue mais tranquille.
Arrivé à Paris en milieu d'après midi, à la veille du grand jour de la chasse, une chambre dans un hôtel l'attendait pour s'y reposer.

Deux heures avant que l'aube se pointe, de ce jour où une nouvelle expérience l'attendait, Crysania était déjà réveillé, vêtu chaudement et convenablement, du moins de ce qu'elle croyait, pour une chasse. Braies renfoncés au couleur noir, botte de cuire au même couleur et chemise longue grise. Elle avait beau se dire que c'était une nouvelle expérience, intéressante et instructive cette chasse, mais reste qu'elle n'était pas très alaise. Se mêler a autant de gens qu'elle connaissait peu ou pas du tout, elle qui, habituellement sauvage dans son coin, donc en plus, cela serait un défit.

Après avoir fait les cent pas dans la chambre, elle fini par prendre quelque chose de léger a manger, enfila, cette fois ci, une cape toujours en mouton, noir et parti rapidement pour Vincennes.





[Bois de Vincennes - Soleil levant]

Suivant la direction qu'on lui avait indiqué, La Rouquine, toujours accompagner des deux hommes de l'escorte, arriva devant des grilles ouverte où l'invitation de la chasse était placarder. Elle était bien heureuse de ne pas s'être trompé, surtout que le soleil se levait. Passant les grilles, pénétrant sur le terrain de Vincennes, ils s'avancèrent doucement sur leur monture jusqu'à une grand tente apparaisse devant eux. On pouvait y voir que plusieurs chasseurs étaient déjà arrivés.

Se laissant glisser le long des flancs de sa bête, elle donna les rênes à Pénoyé, un des gardes qui l'accompagnait.

Elle s'approcha de la tente d'un pas timide. Elle avait bien repéré au moins un Secrétaire d'État dans la foulé, mais les autres lui était tous inconnu. Quoi que certains noms ne lui était pas si inconnu.

Dans une tentative de paraître sur d'elle, elle se présenta, avec le sourire, à ceux qui avait remarqué son arrivé.


Bonjorn, je suis Crysania, Donà de VilleFranche-De-Panat.

Un peu perdu quand même, elle laissa ses oreilles écouter ici et là. Mais écouta plus attentivement surtout, quand vint les instructions.
Comprendre un peu comment cela fonctionnerait, ce qui lui paru d'autant plus intéressant, ce qui n'était pas négligeable, pour ne pas regretter son choix. L'ennuie, c'est ennuyeux et elle n'était pas la pour cela.

Elle savait maintenant les noms de son équipe et le bouton de chasse qu'elle devait porter. Chacun se présentant à prendre le sien, elle en fit autant. Au moins, elle serait plus aise de la sorte a trouver les membres de l'équipe. Elle l'accrocha au devant de sa cape, qu'elle n'avait pas l'intention de retirer par ce léger froid.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 13, 14, 15   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)