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[RP]Cérémonies d’allégeance et d’anoblissement

Optat
Optat avait mis son plus bal habit rose vif, celui avec les franges là. C'est qu'il paraissait que c'était une pièce avec du beau linge qu'il allait visiter.

Hola, mon héros !
Je suis Optat, ci-devant esclave chez les poneys roses. Je viens voir si mes ex sont dans le coin. Il parait qu'on va visiter une bâtisse qui vaut le détour et la peau du derrière des habitants.


Devant l'air consterné du bonhomme, le vieux s'exclama :

Foutrecouilles !! vous ne connaissez pas mes ex ?
Mais si, vous avez dû les apercevoir elles sont habillées en rose comme moi. Il y en a une qui ploie sous les merdailles, pardon mon sergent-général, je voulais dire les décorations. On dirait une petite vieille quand elle marche..
Notez bien, elle n'est pas de première fraîcheur non plus, mais chuttt !!! , je ne vous ai rien dit, hein...

En plus elles parlent comme des chars entiers. Cornegidouille de Corne-bouc, des fois j'en ai honte. Si, si. Mais bon, chacun sa croix.

Mes ex ? Bah wui, ce sont mes ex, parce qu'elles sont toutes consul de ceci, ambassadrices de cela, pour les réceptions de chez frérot, et tout et tout. Donc comme je n'ai plus une bonne vue, je les nomme toutes mes ex. Remarquez, certaines j'arrive encore à les reconnaître à l'odeur, mais je ne leur dit pas, elles en profiteraient.


Le vieux entre un peu plus dans la salle pour jeter un œil curieux.

C'est pas mal comme salle des fêtes communale. Mais, dites-donc, manque une tenture là !
Non pas là, là !!... Soyez un peu à la conversation voyons.
Si vous voulez je peux vous trouver la même que l'autre pour pas trop cher. Tiens je vous fais un prix, allez ! Juste un petit titre de rien du tout et de jolis dessins sur les boucliers et c'est à vous ! Correct non ?


Devant l'air un peu courroucé du héros de ces dames, le vieux repris :

Je vois que vous ne saisissez pas la bonne affaire. Annoncez-moi à votre patron, je vais lui proposer moi-même. Et pis si vous voyez mes ex, merci de leur demander de mieux garer la charrette, je vous laisse les clefs, vous leur donnerez.
Merci, vous êtes bien aimable.

Je visite et je reviens.
Le spectacle est compris dans le prix j'espère. C'est quoi le titre ?

Chouette masure en tout cas.
Jason
Monsieur le greffier

Fermez moi ces fenêtres et ces portes nous sommes en plein courant d'air, les odeurs nauséabondes du marché remontent jusqu'ici.
Cela va importuner Monsieur le Comte, et des personnes devant encore prêter allégeances.

Et faites moi bruler de ces encens que j'ai mis dans mon bureau, il faudra un jour mettre cette salle plus loin de la Place du marché

_________________
Greffier, incarné par Jason
Monsieur le Héraut, il serait fait selon vos ordres, et vous avez raison, il y a une odeur de bas fonds.

Que préférez vous comme encens ?

Je vais faire bruler ceux au jasmin, que vous avez recu d'Egypte
Isabel_de_mendoza
Isabel était de petite taille, si petite, que personne, même pas son parrain l’avait remarqué derrière l’Ô Hérault…

Franchement, elle ne comprenait rien, mais ça c’était habituel chez elle…


Le Ô Herault voulait qu’elle parte ? Soit !

Attendez, fermez pas les portes, je dois partir mua !!!

Cependant messire du je ne sais pas quoi Pompom, veuillez regarder là dans votre panneau d’affichage…


Elle se mit sur les pointes du pied pour pouvoir pointer du doigt la ligne tout en bas de la page…

Citation:
L'allégeance est cérémonie publique et obligatoire pour tout vassal possédant fief. Elle est scellée par le baiser de paix, et vaut contract. Elle doit estre prestée sous un mois après l'avènement du nouveau seigneur, qu'il soit comte, duc ou roy.

Elle se tient en place publique [i.e. Gargotes et halle "Comtes et Ducs du Royaume de France"].


Donc comme vous voyez faut savoir hein ? C’est une cérémonie publique ou c’est juste une cérémonie publique pour ceux que vous connaissez ?
Alors je dis qu’il faudrait marquer à la fin, « réservé le droit d’admission »


Soyez sincère, dites par exemple, JE NE VEUX PAS DE VOUS ICI, parce que je doute fort que tout le monde soit d’accord avec vous hein ? Ou bien, LES NAINES POILUES SONT PAS LES BIENVENUES…Ou bien, LE JAUNE EST INTERDIT…Tout cela je le comprendrai mais ne mentez pas en disant qu’une allégeance est un acte privé puisque ce n’est pas le cas, vous-même vous le dites.

De plus, je ne vois pas non plus pourquoi vous osez me virer, je n’ai interféré nullement dans VOTRE acte, je suis juste entrée et je me suis assise à coté de mes amies.

Cela dit, je vais prendre congé pour que votre veine arrête de palpiter, vous ne voulez pas de moi, mais Ô surprise, moi non plus je ne veux pas de vous.


Prenant les clés de la charrette…

Prenez soin des poules, elles sont pour votre comte, qualité AOC…

Prenant soin de fermer la porte derrière elle, elle résista la tentation de clouer les portes….

Mais elle prit soin d’accrocher un petit parcheminà la sortie…


Citation:
Oyez, oyez,

Petite Périgourdine cherche suzerain à qui prêter allégeance…
Vous donnez le titre et moi je loue une salle…

Isabel_de_mendoza
Future vassale d’un suzerain surpise

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Spartan31
Spartan courrait après une poule qui lui avait échappée….
C’est qu’il y en avait des poules, toute une marmaille, une ribambelle, non smala… Ah oui ! Une basse-cour c’est ça qu’on dit.


Arfff Médouille s’il en manque une !!!!! Orka va me trucider….

C’est qu’elle aimait ces poules la Blonde, elle y tenait comme à la prunelle de ses yeux allait savoir pourquoi !!!!! Ah oui !!! Une histoire de Roudoudou mais bon Spartan avait suivit le truc mais pas tout à fait, enfin elle savait qu’un certain Roudoudou n’était pas innocent dans l’affaire.

C’est qu’une poule court plus vite qu’un cochon bon sang !!!! Car Spartan était éleveuse de cochon à la ferme de ses parents…. M’enfin tout le monde s’en fout sauf elle car elle eu une larme en égorgeant le dernier avant de monter sur la charrette pour suivre ses amies dans le Maine.

De toute façon, elle avait compris une chose la Spartan que le rose était la couleur de son destin !!!!!


La poule se faufila entre une porte….
Spartan rentra précipitamment où la mener cette course-poule.
Elle n’était plus qu’à un mètre du volatile… cinquante centimètres… lui toucha le fion.
La poule sentant qu’on lui toucha le derrière se mit à couiner comme couine une poule, à s’envoler toute affolée à un mètre de hauteur car une poule on sait bien ça vole pas !
Paniquée elle lâcha quelques fientes par ci, par là… un peu sur des gens bien habillés… donnant une touche poularde à leur coiffe….
Puis dans une belle girouette pleine de souplesse s’élançant comme une donzelle s’élance pour rattraper une ombrelle Spartan arrive à la saisir……


La poule bien en main, Spartan sans se soucier où elle se trouvait, se dirigea vers la porte pour sortir aussi bien qu’elle était rentrée.

Ah toi !!!! Ma cocotte….. je vais te plumer et te farcir le croupion de champignons…
Ça t’apprendra de me faire transpirer… Sapristi !!!!!


Arrivée à la porte elle aperçue Isa collant un parchemin sur la porte.

Tiens Isa, ce soir c’est Poule Ô Pot !!!!....
Jason
Monsieur Le Greffier, il y a encore une porte d'ouverte, fermez cette porte
_________________
Greffier, incarné par Jason
Bien Monsieur

Pendant que j'y pense, Les registres sont à Jour


Le greffier va fermer la porte [i]
--Maximilien
Maximilien attendait son maître devant la salle des allégeances depuis un bon moment déjà. Les bras chargés de papiers il s'était entraîné consciencieusement a écrire comme lui avait appris son maître, les courbes sur les Q et les points sur les I.

Il se sentait prêt. C'était son premier vrai travail depuis qu'on l'avait embauché et même si son maître n'était pas des plus agréable ou des plus courtois, il y retrouvait un certain air de famille qu'il appréciait.

Tout en écoutant les gueulantes et l'arrivée d'excentriques dans la salle des allégeances il pris soin de retenir le nom des personnes. Il nota.

Mahaut, ambassadrice du Périgord près le Maine
Isabel de Mendoza, consul du Périgord auprès des provinces hispaniques

Et voilà que lÔ HérÔt s'approchait et venait les sortir à grand coups de balai, même s'il n'en avait pas c'était tout comme. Les portes furent toutes barricadées rapidement. Le maître n'allait pas aimer ça...

Il vit la petite femme s'approcher du tableau et pointer du doigt un texte qu'il lut aussi.

La voilà partie après avoir écrit un message, il alla le lire.


'Vindieu, si c'tion si simple d'être nobliau, m'appelerions déjà sa Majesté Maximilien !

Il se mit a ricanner bêtement quand il sentit qu'on lui tapait sur l'épaule...

Mais comment faisait-il pour toujours le surprendre dans une situation embarassante...
Gaelant
Gaelant pressé comme à son habitude, revenait des salles du conseil. Il était content que sa double charge se soit terminée car il pouvait maintenant mieux se consacrer à sa ville uniquement.

Être maire était vraiment un boulot gratifiant au contraire de Conseiller, être au contact de ses voisins et amis, c'était vraiment quelque chose qui vallait le coup d'être vécu.

Arrivant porter son allégeance au Comte il fut d'abord surpris de voir toutes les portes et les fenêtres fermées.

Son domestique lui tournait le dos, trop occupé à lire quelque chose accroché sur la porte pour faire attention à lui. Discrètement il s'approcha derrière lui lisant aussi le papier et commençant à lui mettre une petite tape sur l'épaule.
Il toussa.


Hum... Dis moi Maximilien... si j'avais été un brigand... tu serais ?
Heu... je sais pas... riche ?
Mort ! Voilà, mort... Et un domestique mort ça sert a quoi ?
Faire pousser les tomates ?
A rien. Et moi un domestique qui sert a rien je fais quoi ?
Vous le virez...
Je le vire t'as tout compris. Déjà que je fais un effort pour ma fiancée, si en plus la main d'oeuvre y met pas du sien on va pas s'en sortir.

Bon un peu de tenu et de sérieux. C'est quoi ce bordel ?


Maximilien s'empressa de raconter l'épisode, la fermeture des portes et tout le reste.

Gaelant lui resta silencieux quelques instants.


Bon note...

Gaelant pris une grande inspiration pendant que Maximilien eut le temps de murmurer

Euh là tout de suite ?

S'appuyant un genou contre le mur, sortant un encrier et une plume il fit un plateau de son étui et commença a essayer de noter sans trembler, l'exercice était ardu.

Citation:
Chers membres de l’Hérauderie de France,

Je vous avait fait parvenir avec le concours des nobles du Maine une plainte à l'encontre de notre Héraut dicte Maine.

Ce courrier sera beaucoup plus court, mais je me dois de vous avertir de la situation.

Alors que je me rendais pour prêter allégeance au Comte en place, quelle ne fût pas ma surprise de voir l'édifice barricadé et toutes portes et fenêtres fermées. Je demandais alors à mon domestique, qui avait attendu là, la raison de ce fatras. Je vous la livre présentement.

Le Maine vient de recevoir la visite de dame Mahaut, ambassadrice du Périgord près le Maine, et de dame Isabel de Mendoza, consul du Périgord auprès des provinces hispaniques arrivées de peu de voyage avec la chambellan du Maine. Ces dames désirant porter leur hommage au Comte ont voulu se rendre à la cérémonie d'allégeance, cérémonie je le rappelle public, donc ouverte à tous. Je cite :


Citation:
L'allégeance est cérémonie publique et obligatoire pour tout vassal possédant fief. Elle est scellée par le baiser de paix, et vaut contract. Elle doit estre prestée sous un mois après l'avènement du nouveau seigneur, qu'il soit comte, duc ou roy.

Elle se tient en place publique [i.e. Gargotes et halle "Comtes et Ducs du Royaume de France"].


Quelle ne fut pas ma surprise d'entendre mon domestique me dire que le Héraut du Maine Jason de Prie-Montpoupon les as sommé de sortir de la salle ?

Quelle honte pour la noblesse Mainoise, et quelle honte pour les si bonnes relations diplomatiques entretenues avec le Périgord. Ceci est intolérable.

Le Sire Jason de Prie-Montpoupon outrepasse son rang et son droit.

Je vous demanderais de rajouter cet écart au dossier qui vous est déjà parvenu dernièrement concernant cette même personne.

De plus, le même Héraut ayant barricadé toutes portes et fenêtres de l'édifice je n'ai pu transmettre mon allégeance au Comte du Maine, j'espère que vous pourrez le faire pour moi.


Citation:
Moi, Gaelant des Laridés, Vicomte de Gorron, officier de l’Ordre du Mérite Mainois, et Maire de Montmirail, prête allégeance en ce jour à Messire Jef_lebeug, représentant du peuple mainois et rendons aussi hommage à notre Roy, Levan le troisième, de Normandie.
Je jure de lui apporter obsequium, auxilium et consilium.


[Scel de Gaelant]














Voilà mon brave, tu sables, tu m'amène que je scelle, et tu fais parvenir un pigeon au Roy d'Armes et aux Hérauts.

Perds pas la main, prend un autre parchemin et continue :
Citation:

Très chère dame Isabel de Mendoza, c'est un grand honneur pour moi que de vous écrire,
J'ai bien réceptionné votre petit mot, et je serais très heureux de vous faire la surprise de devenir votre suzerain. En espérant que l'accueil désastreux de notre catastrophique Héraut ne vous ait point encore rebuté du Maine.
C'est avec plaisir que je discuterais avec vous, autour d'une bonne chopine de tout ceci, en la ville de Montmirail.

Gaelant le MiCompte de Grognon
Suzerain surprise


Arrachant le petit mot de la porte, Gaelant s'éloigna rapidement tout en continuant de sermonner Maximilien.
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Jason
Citation:
Je, sousigné Cendres, à travers les mains de Sir Jason de Prie-Montpoupon, prète allégeance à notre Comte Jef Lebeug, qui saura guider le Maine tout comme il a su le protéger durant de long mois en temps que Prévôt.
Par là même je réitère mon dévouement au Maine, où que je sois.
Cendres.

Je vous remercie.
Cendres

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Guilhem_de_vergy
[Sur les routes entre Alençon et Le Mans]

Le retour au Maine avait été fastidieux… Deux semaines en Alençon pour rien… Sûr que le jeune Comte était de bonne humeur après avoir du quitter son ombre à Beaumont… Satané bande d’incapable… C’était donc d’humour bougonne qu’il avait fait le chemin du retour, méditant au passage les derniers mots qu’il avait eu avec Rheanne… Rester caché… Bizarrement il ne se reconnaissait pas la dedans… Il ne comprenait pas pourquoi il lui avait dit cela… Pour le fait que ceux qui les verrait la traiterais de catin ? En réalité personne n’oserait… Ou ceux qui le ferais subirais le courroux Comtal… Il c’était chercher une fausse excuse pour cacher cette relation aux yeux de sa famille… Pour éviter qu’ils le renient une fois de plus… Soupire profond, tandis qu’il continuait d’avancer sur les chemins en compagnie de son Maistre… Un mot résonne sans cesse dans sa tête… Honnêteté… Et c’était ainsi qu’il était honnête avec tout le monde… En ne disant que ce qui pourrait lui éviter des ennuis… Foutaise… Il secoue violement la tête de gauche à droite… Il avait promis de ne plus mentir… De ne plus rien cacher… Et il continuait… Que penserait sa tante si elle le voyait à l’heure actuelle… Le regard se perd au loin, sur les murailles du Mans qui se rapprochent petit à petit… C’était décidé… Il allait changer tout cela…

Regard vers l’Italien… Hochement de tête, pour indiquer qu’il était temps pour eux de se séparer… Leurs chemins divergeant en ce point précis… Le poing fermé sur la poitrine il salut son supérieur avant de talonner son cheval et de prendre le galop en direction de la capitale…


[Le Mans, salle d’allégeance]

Ambiance assez bizarre à l’extérieur de la salle des allégeances… Une petite foule s’était amassée devant la porte… Regard interloqué sur ces derniers alors qu’il reconnaît certaines personnes… Il se fraye un chemin jusqu’à la porte, et trouve celle-ci fermée… Encore une lubie du Comte ? Ou celle d’un garde trop méfiant envers les gens qui pourrait pénétrer à l’intérieur de la salle… Allez savoir… Le Comte pousse un profond soupire d’agacement… Décidément les derniers événements de sa vie devenaient de plus en plus odieux… Tenter d’ouvrir la porte avec le loquet ? Peuh… Pas le temps de vérifier si elle est fermée à clef… Il observe simplement la serrure de loin… Pas si massive que cela… Elle devrait assez facilement céder… Il écarte la foule… Recule légèrement, puis donne un violent coup de pied dans la porte dont le verrou finit par céder… La porte s’ouvre dans un bruit de bois qui rompt, sur une salle à moitié remplie de diverses personnes…

Il traverse l’encablure… Jette un regard sur la foule qui semble bien étonner de la situation qui venait de se produire…Il époussette ses vêtements…Replace son épée et son mantel, avant d’apercevoir dans la masse, celle qu’il tenais le plus à voir… Léger sourire tandis qu’il s’avance vers le trône ou siège le Comte… Hochement de tête au passage pour le héraut, dont il avait eu des nouvelles par missive…Il devait d’ailleurs lui manquer pour qu’il lui écrive autant pour une simple allégeance… Il finit par poser un genoux à terre, baissant la tête, avant d’entamer d’un ton monocorde, signe qu’il commençait à se lasser de répéter sans cesse les mêmes phrases tous les deux mois…


Nous, Guilhem de Vergy, Comte de Beaumont-sur-Sarthe, Baron de Saint-vérain, Seigneur d’Auriac, renouvelons notre serment d'allégeance au Comte du Maine, Sa Grandeur Jef_lebeug …Lui jurons donc fidélité, aide et conseil…

Il tourne légèrement la tête afin d’observer la porte qu’il venait de défoncer… Grimace…Puis soupire… Il fouille l’intérieur de son mantel, en sortant une petite bourse de cuir, en soupesant celle-ci avant de la tendre au Comte…

Pour les dégâts occasionnés… Je pense qu’il y en a plus qu’il ne vous en faut pour améliorer le système de fermeture de cette porte qui semblait assez… défectueuse…

Il se relève, souriant au Comte, et n’attendant pas que ce dernier lui réponde, il fait volte-face, se dirigeant vers la foule… Ayant déjà repérer son point de chute… Une brune… Sa brune… Le pas s’accélère au fur et à mesure qu’il se rapproche… Ecartant des bras ceux qui s’évertuait à rester sur son chemin…. Puis il stop net, à quelques pieds d’elle… Un léger murmure sort de ses lèvres…

Rheanne…

Il finit par franchir la distance qui les séparait, pour venir l’enlacer, et coller ses lèvres aux siennes… Nouveau baiser pour eux… Le premier pour ceux qui les connaissait… Celui qui annonçait officiellement qu’elle était chasse gardée… Les lèvres se décollent… Il ouvre les yeux, apercevant sa brune aux joues empourprées… Sa bouche s’approche de son oreille…

Qu’une seule personne ose dire du mal de toi après cela… Et je m’occuperais personnellement de son cas… Personne ne doit te manquer de respect, même si tu es mon ombre…
_________________
L0velune
Marylune arriva enfin à la salle d'allégeances, convenablement vêtue et coiffée. Oui, vous avez deviné, elle avait prit son temps avant de s'y présenter, voulant être à son avantage le plus possible. La première chose qu'elle vit la laissa sceptique. au départ, elle avait pensé rejoindre Guilhem pour le questionner indéfiniment quand elle le vit enfoncer la porte...

Les questions allaient attendre... Elle marcha sur la porte défoncée, levant le bas de sa jupe pour regarder où elle mettait les pieds, puis, repéra SA brune. Elle haussa un sourcil en voyant le regard de Guilhem qui croisa celui de Rheanne. S'il osait faire du mal à son amie, le Comte de Beaumont s'en rappellerait jusque dans sa tombe.

Oubliant quelques instants la rencontre des deux tourtereaux, elle s'avança vers Jef, toute souriante.


Moi, Marylune De la Mirandole, Conseillère extraordinaire du Conseil Comtal, Intendante de l'Ost Mainoise et Officier de l'Ordre du Mérite Mainois, jure fidélité, aide et conseil au Comte du Maine. Par la même occasion, je renouvelle mon serment fait au Roy Levan III.


Marylune se releva, regardant derrière elle. Ses yeux croisèrent un baiser qui la laissèrent muette. Alors là, s'il osait faire du mal à son amie, Guilhem allait s'en rappeler au-delà de la mort!!! Décidément, elle avait besoin d'une petite conversation en privé avec ce Comte là...
_________________
Jason
Jeannicolas a écrit:
Messire Jason,

Pardonnez-moi pour le retard, voici ma lettre d'allégeance.

Au plaisir,
Jeannicolas de Trazegnies


Jeannicolas de Trazegnies a écrit:
Au Comte du Maine,

Par la présente, moi, Jeannicolas de Trazegnies, Officier de l’Ordre du Mérite mainois, renouvelle mon allégeance au Comté du Maine et à son Comte élu, Jef_lebeug.

Fait à Clermont en ce vingt-sixième jour du mois de Janvier de l'an de grâce MCCCCLVIII
Jeannicolas de Trazegnies, Officier de l’ordre du Mérite mainois.


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