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Information and comments (6)
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[RP] Allez veaux, vaches, cochons.

Cmyrille, incarné par Forth_with
Taratata, vous ne passerez pas !

La dernière fois qu'il avait entendu ça, c'était un vieux grincheux avec un bâton qui lui avait dit ça. Enfin pas exactement. Lui il l'avait pas appelé "Taratata", il l'avait appelé "Flamme-Doudoune". Ca claquait un peu plus. Même si Cmyrille n'avait pas la moindre idée de ce que ça voulait dire. Sans doute du jargon de tisserand... Pis cette fois là y'avait pas une cave en jeu alors il avait eu vite fait de rebrousser chemin pour s'éviter une de ces conversations interminables et inintéressantes comme seuls les vieux et les conseillers comtaux savent en tenir. Mais aujourd'hui c'était une autre affaire... La cave d'un château!! Non mais vous saisissez pas bien je crois, je vous parle de la cave d'un château!! Donc ne se départissant pas de sa prestance (qui a dit poil à la panse?), il continua d'avancer.

Allons allons Maraude! Sur un autre ton je te prierai!
Ton collègue me reconnait lui, alors fait un effort et laisse moi passer.

Tient, un détail important tout autant qu'inquiétant... Et il y avait pas fait gaffe avant de le dire. Le collègue le reconnaissait... C't'embêtant ça. Pourtant il avait foutu les pieds en Poitou en tout et pour tout deux fois dans sa vie. La première pour aller voir la mer et la deuxième, aujourd'hui, pour aller voir sa vache. Sa femme pardon. Du coup (qui a dit ducon?) coment le pinpin à l'entrée du château pouvait le reconnaitre?...

Et bien mon brave, évidemment que tu me reconnais, je suis l'espion personnel de sa Grandeur.

Meille dés!!! Meille dés!!! Ah voilà ce qui arrive quand on prépare pas son plan au fil près... Ca dérape. Pis là pour un dérapage, il était béton, enfin torchis. Mais en même temps sur un malentendu ça pourrait se révéler très intéressant au final... Pourquoi pas après tout...

Maintenant laissez passer je vous prie, j'ai à faire. Et avec des gens bien plus importants. Qui n'aime pas les retards de surcroît.

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"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même : il n'a pas fini de s'amuser!"
Joseph Folliet
Forth_with
Se grattant la tête pour réfléchir. Oui tout de même on est en public et le Nonce est d'un niveau tellement élevé, tout de même. Ce n'est pas n'importe qui. C'est le Nonce. Non pas le Nonce mais Le Nonce. Voilà, c'est lui, l'unique, le seul, le premier. Bon c'est aussi le Vicaire. Non Le Vicaire. Et puis aussi le Curé. Bon sang tu comprends pas toi c'est pas possible. Il faut te le dire comment. C'est Le Curé et pas le Curé. Quand même c'est quelqu'un.

Donc Le Nonce (voilà !) se grattait la tête et s'interrogea, où avait-il pût voir cet énergumène. En fait sa grande interrogation était plutôt comment il n'arrivait pas à savoir plus rapidement qui il était. Pourtant il était doté d'une intelligence extrême, en plus d'un charisme et d'une sensualité énorme, mais passons là-dessus. Donc il aurait dû trouver qui il était rapidement. Mais sans doute le savait-il déjà et cherchait-il à feindre qu'il ne savait pas, afin de semble humble, en retrait et surtout pas imbu de lui même. En tout cas dès que l'animal chercha à passer pour la énième fois, Forth ne pût s'empêcher de dire.


Mais non, vous je ne vous connais pas d'ici. Je viens d'arriver et je saurais qui j'ai déjà rencontré. Vous, je vous est connu ailleurs. En Périgord ?
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Cmyrille, incarné par Forth_with


[Situation Otement Savonneuse!!!!]

C'est qu'il insistait le bougre!! C'est pas faute de lui avoir dit qu'il avait mieux à faire que tailler la bavette avec le pégu du coin... La cave s'éloignait de plus en plus à chaque mot prononcé et son énervement enflait proportionnellement (même s'il ne savait pas ce que ce mot voulait dire).

Dites donc vous? Vous trouvez pas ça normal qu'un espion rencontre des gens ailleurs que devant la porte d'un château? Surtout quand il vient faire son rapport.

Bon déjà première étape, quitte à tomber bas, autant aller au fond des choses. Reste plus qu'à filer deux trois noms et "l'espion" sera démasqué. Ou alors directement passer à l'étape deux, foncer dans le tas avec un cri de bête...
Nan... Étape une d'abord.


En Périgord vous disiez hein? C'est possible, j'y étais pas plus tard que la dernière fois. J'y ai même vol, récolté!, quelques informations sur la santé du Comte. Parait qu'il a choppé la chtouille et que c'est le moment d'aller raser ce Comté pourri jusqu'au trognon... Enfin c'est ce qui se dit hein... La rumeur...

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"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même : il n'a pas fini de s'amuser!"
Joseph Folliet
Cathycat, incarné par Forth_with





[Quand un beau parleur essaie de vous embobiner ...]

Arquement de sourcil de la brune, en toisant le gus planté devant eux avec cet air supérieur qu'il se donnait, tant par son attitude que par le ton condescendant de son discours. *Non mais pour qui il se prend lui !* Elle prend un air légèrement agacé et écoute les deux hommes bavasser. La moutarde lui montant légèrement au nez, elle se décide à reprendre la parole et c'est sur un ton cinglant qu'elle s'adresse au malotru.

Si vous étiez vraiment ce que vous prétendez être ... C'est à dire l'espion personnel de sa Grandeur Cyphus ... Vous ne vous en vanteriez point, ne serait que par un minimum de jugeote qui se voudrait de garder votre anonymat vis à vis de cette fonction ... C'est pas le genre de chose qu'on crie sur les toits, sauf quand on veut se faire mousser et péter plus haut qu'on en a le sphincter !

Je suis conseillère Comtale pour votre gouverne, je suis tout de même bien placée pour savoir si vous êtes d'ici ou non. Vous n'êtes qu'un maraud sans aucune prétention, si ce n'est celle de vous approprier un rôle qui n'est pas le vôtre.

Maintenant déguerpissez avant que je n'appelle la garde ... Ou mieux ... Mon cher hanovrien qui est d'humeur "mordante" ce matin.


Elle rit, un léger sourire narquois et sadique au coin des lèvres.



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La vie est l'expression d'un constant désir : personne n'est jamais satisfait. (Charlie Chaplin)
Forth_with
Forth With la perfection au masculin.

Touchant son visage avec une allégresse rare, frôlant la perfection, le prêtre renvoya à l'instant ses cheveux en arrière et dans un mouvement quasi irréel sa tête tourna. On aurait pût presque entendre la musique de quelques troubadours chantant ses louanges et vantant ses mérites, fort, fort nombreux, dans cette terre et les autres, fort, fort à l'ouest.

Le clerc n'était pas né de la dernière pluie, oh ça non. Ainsi immédiatement, que dis-je avant même que l'homme eut prononcer le moindre mot.

En réalité il avait encore la tête qui chauffait terriblement mû par la réflexion qui grippait un peu, mais chut il ne fallait pas le dire trop fort.

Donc le clerc avait de suite compris que cet homme cachait quelque.

- Vache il est doué, on l'avait pas du tout remarqué.
- Ouais tu as vu il est puissant hein.
- Ah ça oui découvrir qu'un type en guenille, pas très alerte n'était pas tout à fait le type même de l'agent du Comte ! Moi je dis chapeau bas.
- Ouais bon poursuivons. On passera sur l'ironie.

Donc le dit clerc commençait sérieusement à douter de la couverture.

- Ben ça va à force que tu le répètes on l'avait compris, on sait que c'est la seul chose qu'il a découvert mais tout de même ce serait bien que l'on avance.
- J'y arrives, j'y arrives.

Et petit à petit, l'animal politique et de réflexion se rappela étrangement où il avait pût voir ce style totalement décontracté, sûr de soi et surtout bigrement à la ramasse. Cet homme lui rappelait un type, un cuistre, un jeanfoutre et un incapable de surcroît, qu'il avait connu à Angoulême. Ville de pochtron pas excellence, surtout qu'elle était cornaquée par tout de même des débiles profonds, c'est à dire les autres fous furieux de trucmachinchosistes.

Et donc l'autre glaiseux en face d'eux ressemblait de plus en plus dans l'esprit magnifique et brillant, que dis-je génial de Forth, à l'autre là, simili quelque chose, ou Cyrille quelque chose, un mélange des deux. Un truc inepte comme savent se nommer les bouseux, pas capable d'avoir des vrais et beaux noms.


Vous, je vous connais j'en suis sûr. Vous étiez d'Angoulême, la ville de crétins patentés qui m'a servi de tremplin, pour mon talent immense. Vous ne fricotiez pas avec les imbéciles de trucmachinchosistes ?
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