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[RP] Les loups aux portes de la ville...

Bilou2b


[aux abords de la ville]

Bilou qui suivait le groupe écouta la jeune femme que la Baronne de Tracy venait de secourir sur la route.

Mon mari...
Le diable l'a tué


Ces paroles la pétrifièrent et elle sentit la panique s'emparer d'elle.
Elle se signa et jeta un coup d'oeil à ses compagnons afin de voir si les cris de la jeune femme produisaient le même effet sur eux.

Elle ferma les yeux un bref instant afin de chasser les images monstrueuses qu'elle avait en tête et respira un grand coup pour tenter de reprendre ses esprits.

L'heure n'était plus à la peur. Il fallait réagir et vite.

Quelque chose rôdait et tuait ou plutôt massacrait toute personne suceptible de passer à sa portée.

Il n'y avait plus d'autre solution, il fallait commencer une battue rapidement.





Félicitations pour tes recherches et tes explications Colvert. Je constate que tu es toujours aussi méticuleux dans tout ce que tu fais. Bravo.

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Colvert


Ils avaient pris la direction indiquée par Wyky. Les remparts à peine derrière eux qu'ils aperçurent la Baronne de Tracy au loin en compagnie d'une jeune femme.

Arrivé sur place, la vue de la femme, ne le fit pas douter longtemps. Il s'était passé un drame. La peur avait saisi cette pauvrette et marqué ses traits.

Il fit un signe de la Tête à la baronne n'osant interrompre son questionnement. Cherva l'interrogea à son tour... Pas de réponse toujours cette pétrifiante attitude.

Son mari...

Colvert se tenait en retrait laissant les femmes et la médicastre prendre en charge la jeune femme. Son esprit était déjà ailleurs, semblant prendre conscience que ses craintes devenaient réalité. Il les avait m^me repoussée après la discussion avec Cherva comme revenant à des considération plus modérées.

le mot qui vint ensuite lui brisa toute illusion.

Le Diable l'a tué

Elle ne parlait pas de loups? Ni d'une bête? Qu'avait elle vu? Serait encore plus terrible que ce qu'il avait lui même croqué?

Mesdames l'heure est grave, je vous demande de prier avec moi pour cette âme en peine et qui a croisé le démon.
Baronne pourriez vous prendre en charge cette femme et lui donner les premiers soins? J'ai le sentiment que son âme souffre bien plus que son corps.
Cherva , BIlou et Wyky prenons montures et allons à l'endroit où tu as vu le corps cette nuit. J'ai bien peur qu'il s'agisse du défunt mari.


Dans un dernier soupçon qui le tenaillait, il sortit son croquis. Il s'approcha de la femme meurtrie.

Veuillez, je vous en prie me pardonnez un tel supplice.. Je crois avoir vu cela la nuit dernière...


Il lui montra le parchemin ce qu'il vit alors lui glaça le sang. La femme plongea son regard dans le sien, les yeux prit d'un frayeur indescriptible.

C'est le démon , c'est lui!

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Darkaprincesse


[ Aux abords de la ville ]


La Baronne de Tracy recula laissant Cherva s'occuper d'elle.
Elle vit arriver Colvert, Wyky et Bilou.
la pauvresse restait ébetée prononçant quelques bribes de mots. Elle les salua courtoisement d'un signe de la tête. L'atmosphère était pesante et le mot Diable venait d'être prononcé. D'un geste, elle toucha sa médaille de baptème accrochée autour de son cou, comme pour conjurer le sort.

Ecoutant son Maréchal, elle lui répondit.


Bien, Marechal, comme je dois me rendre à la Caserne, car l'heure tourne, je vais de ce pas à La Croix, prévenir Florentin. Il viendra la chercher en charrette et pendant ce temps là , Sidonie va lui préparer une chambre.
Cherva pourra passer la soigner, si besoin.

Elle sera au moins à l'abri et pourra retrouver un peu de calme et ses esprits.
Je vous laisse les amis, Florentin ne saura tarder, je repasserai ce soir à la Croix et si besoin de moi pour les gardes ou la battue, vous serez où me mandez. Vous êtes toutes et tous bienvenue chez moi.


Elle enfourcha sa jument et partit au galop vers la Croix Saint Leufroy.
















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--Florentin.


[La Croix saint Leufroy]

Florentin était entrain de panser les bêtes, quant il entendit le bruit de sabots dans la cour. Il vit arriver la Baronne et s'en étonna.
Il alla à sa rencontre et l'aida à descendre de cheval.



Madame la Baronne, je vous croyais parti pour la Caserne ! Vous êtes bien pâle, diantre !

Darkaprincesse reprit son souffle.

Mon bon Florentin, il faut que vous partiez vite avec la charrette en direction route de Troyes et de Conflans vers les abords de la ville.
Le maréchal Colvert et des troyens sont auprès d'une pauvre femme qui s'est faite attaquée par une bête.
Par Aristote, j'ai les sangs tout retournés.
J'ai pas le temps de vous narrer, prenez vite la route et allez la chercher.


Florentin acquiessa d'un signe de la tête.

Que Sidonie lui prépare une chambre et laissez passer qui voudra venir la voir. Le Maréchal vous donnera ls noms.

Elle mit le pied à l'étrier et enfourcha Barish.

Je file à la Caserne, je suis très en retard. Faites au plus vite.
A ce soir


La belle journée Dame la Baronne, comptez sur moi, j'attelle la charrette et je m'y rends de ce pas.

[Aux abords de la ville]


Florentin menait la charrete grand train en direction de Troyes. Il arriva sur le lieu que la Baronne lui avait indiqué et vit un attroupement.
Il tira sur les renes et descendit de la charrette.Reconnaissant des visages familiers, il s'approcha et salua.Il vit la femme pâle comme une morte et tremblant de tout son être.

Il s'approcha de Colvert et lui chuchotta Maréchal, que se passe t'il ? Non de non !



Bilou2b
Bilou vit arriver Florentin en charette.

Aidée de Wyky et Cherva elle aida la jeune femme, pâle comme la mort, à s'installer sur la charette.

Mon bon Florentin, prenez bien soin de cette jeune femme. Elle est très choquée. Elle vient d'assister à un drame terrible dont le démon à l'air d'être à l'origine. Son époux a été la victime de ce monstre pour avoir voulu la protégér.
C'est à vous qu'il revient de prendre la relève maintenant.
Porter la vite chez la baronne !
Nous vous remercions tous pour votre aide.


Puis elle enfourcha une monture déterminée et dis à ses compagnons :

Je suis prête, allons y !
Et qu'Aristote nous protège car nous allons avoir à faire à une forte partie.
Wyky, es tu sure de vouloir nous suivre ?
Tu viens d'avoir un si joli bébé !

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Wyky
[Sur le chemin entre Troyes et langres ]


Mesdames l'heure est grave, je vous demande de prier avec moi pour cette âme en peine et qui a croisé le démon.
Baronne pourriez vous prendre en charge cette femme et lui donner les premiers soins? J'ai le sentiment que son âme souffre bien plus que son corps.


Cherva , BIlou et Wyky prenons montures et allons à l'endroit où tu as vu le corps cette nuit. J'ai bien peur qu'il s'agisse du défunt mari.


[b]Oui! Bilou .. justement ...pour David, afin que rien de fâcheux lui arrive ,pour nous tous .. pour Troyes et ses enfants.. Et comment trouveriez- vous l'endroit ?

Et ta petite Clémence? Bilou , elle doit être grande maintenant ? et Grocol doit être content aussi, j'ai vu l’annonce, je suis heureuse que vous allez vous unir par les liens du mariage ... c'est pas trop le moment de parler de cela ...


Il fallait bien faire un brin de causette aussi.

Wyky frissonnait à l'idée de ne plus les revoir, chassait ses pensées de sa tête ...


Qu'Aristote nous protège, qu'il nous vienne en aide ,

Colvert chuchotait des mots à Florentin que lui seul pouvait entendre..

Les cavaliers sur leurs montures attendaient sur le point de départ tenant les rennes en main , wyky , regardait Bilou , le chemin entre Troyes et Langres..

[Désolée d'avoir poster trop tôt voila j'ai modifier de façon qu'il y est plus de cohérence des faits]

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--Florentin.


[Aux abords de la ville]



Florentin venait de terminer de chuchotter au creux de l'oreille du maréchal ...
Aidé par Cherva et Bilou, la pauvre femme monta dans la charrette.
Le régisseur écouta attentivement Bilou, mais comprenait toujours pas ce qu'il s'était passé. Le Maréchal le mettrait sûrement au fait.
Pour l'heure, il fallait ramener cette pauvresse au Domaine de la Croix Saint Leufroy.


Bien, Dame Bilou, ne vous inquiétez pas, on va prendre soin d'elle.

La pauvre femme était dans la charrette, le regard dans la vague et un rictus d'effroi sur mon minois. Elle ne disait mots.

Maréchal, à vos ordres, si vous avez besoin.

Il attendit la réponse et les ordres de Colvert avant de reprendre route vers la Croix.





Colvert
n'allez pas trop vite, il faut attendre que les réponses soient faites, on a le temps...




Bilou, Cherva Wyky, Colvert aidèrent Florentin.
Il semblait ne pas être au fait des événements, il faut dire que les choses se précipitaient. Ce qui restait pour l'instant une vision nocturne, prenait malheureusement l'allure d'un faits divers dramatique.

On hissa péniblement la pauvrette, qui restait dans un mutisme profond lié au choc certainement.

Florentin, nous sommes vraisemblablement l'objet d'une attaque de loups. Il semble qu'une bête au dimension particulière n'hésite pas à s'en prendre aux hommes. C'est chose rare et il faut prendre des mesures.
Le mari de cette femme en a été victime. Pour en être sur et mesurer l'étendue des dégâts , nous allons aller sur place.
Peux tu chercher des volontaires comme le sergent maréchal Juliendef, Cyrius, notre maire Ereon et d'autres pour mener une battue qui devrait se faire dans les jours qui viennent. Bien sur tu en seras...

Allez mène cette femme au domaine de la Baronne qu'elle soit prise en charge et entourée. Encore merci à toi. Ah oui si tu vois Cyrius dit lui de mettre David à l'abri au domaine également. Pense à parler aux parents de mettre tous les enfants à l'abri et que les bucherons sortent en équipe!


Colvert regarda la charrette s'éloigner. Les montures prêtes, ils prirent la route de Langres au devant de ce qu'il redoutait être un immonde carnage.

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Cherva


Cherva aida les autres en faisant monter la pauvre femme dans la charette. Elle ne dit pas un mot. Un grand nombre de pensées se bousculèrent dans sa tête et elle pensa pendant un moment à suivre l'inconnue. Elle considérait en effet que son travail de médicastre consistait surtout à venir en aide aux vivants et non pas de s'occuper des morts. Mais en même temps, qui d'autre qu'elle aurait pu examiner les blessures infligées ante et post mortem à ce malheureux? Déjà que la panique commençait à s'emparer de ses compagnons, une mauvaise analyse faite à la hâte et par des personnes n'entendant rien ou très peu de choses à la médecine serait proprement catastrophique.

Elle prit la route, suivant Colvert, frissonnant car ayant prêté son manteau à l'indigente. Mais elle ne sentait pas le froid, trop absorbée par ses pensées. Certaines blessures étaient difficiles à cerner, elle le savait bien. Et il était parfois peu aisé d'en définir la cause. Sans compter que les résultats de l'examen du cadavre risquait de faire dégénérer cette attaque de loups en une chasse ouverte aux loup-garous, et alors, Troyes seraient le théâtre des pires horreurs...

Ils surent tout de suite qu'ils étaient arrivés au bon endroit. Un homme gisait dans le fossé, face contre terre, la neige rougie à l'endroit où il était tombé. De multiples traces l'entouraient, recouvertes en partie par les empreintes laissées par la charrette de Cyrius et Wyky. Elle frissonna de nouveau, mais pas de froid cette fois-ci. Elle songeait que le jeune couple et son bébé aurait tout aussi bien pu subir le même sort que cette pauvre victime. Elle qui n'était pourtant pas sensible à ce genre de spectacle se signa.

Elle mit alors pied à terre sans s'avancer davantage et regarda autour d'elle. Rien ne bougeait, mais on n'était jamais trop prudent. Elle fit signe aux autres de s'arrêter pour qu'on puisse examiner les traces dans la neige.

[img]http://img535.imageshack.us/i/empreinteloup.jpg/[/img]

Aucun doute ne pouvait être exprimé: il s'agissait bien de la forme caractéristique des empreintes de loup. Ce qui frappa la jeune femme, c'était la taille sur dimensionnée d'un jeu d'empreintes. Elle les désigna à Colvert, à Wyky et à Bilou.

Regardez. Ce sont bien des empreintes de loup mais elles sont grandes par rapport à celles que l'on peut observer par ailleurs.

Elle se pencha pour examiner plus avant ce jeu d'empreintes.

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Cyriusblack


Depuis son retour à Troyes, Cyrius était resté à la chaumière a s'occuper de son fils David, il en profita aussi pour remettre un peu d'ordre dans sa boucherie, faire les poussière et surveiller le vieillissement des saucisson et autre viande fumée. Wyky était sorti en ville depuis quelques temps déjà, sans doute pour se rendre sur les remparts et surveillez les entrées.

Le jour se leva, Cyrius se réveilla au pleure du bébé, Wyky n'était pas rentrée et le petit réclamait son lait. Il décida d'aller en ville à sa recherche. Cyrius mit David au chaud dans une couverture, sa hache accrochée à la ceinture, il sortit avec son fils.

Cyrius se rendit directement à La croix, son épouse était peut être tout simplement aller voir la baronne de Tracy. Il passa les grilles et frappa à la porte.


Darka, C'est moi Cyrius, je suis à la porte avec David. Ouvre nous vite, il fait froid.

David recommença a pleurer, Cyrius le berça en attendant.

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--Florentin.


[Aux abords de la ville]

Bien, Maréchal, si je vous trouve des volontaires, je vous les envoie.

Voyant le Médicastre, avant de quitter les lieux, il la regarda et dit.

Cherva, vous êtes la bienvenue à la Croix. La pauvresse aura besoin sûrement de vos services.

Hue cocotte !
cria t'il en donnant un petit coup sur la croupe du cheval. La femme ne disait toujours mot et Florentin avait hâte de rentrer à la Croix pour que Sidonie prenne soin d'elle.


[A la Croix Saint Leufroy]


la herse était levée et la charrette traversa la cour et stoppa net. Florentin vit le Grand intendant de Tracy attendre devant la porte.
Il prit soin d'inviter la femme à descendre et lui donnant sa main.


Allez petite dame, nous voici rendu, n'ayez crainte et suivez moi.

Bien le Bonjour, Messire Cyrius, personne ne vous ouvert, sacré non de non ! Le maréchal Colvert m'a prévenu pour qu'on garde votre p'tiot.


Il ouvrit la porte et fit porter sa voix forte.

Sidonieee ...

Il fait signe à Cyrius et à la femme d'entrer dans la grande salle à manger.

Ah, Sidonie, tu rêves, ou quoi ma fille, tu n'as pas entendu qu'on frappait à la porte. Tsss, Cyrius doit repartir rejoindre le groupe et il nous confie son petit.

Dame la Baronne est là ?


Sidonie regarda confuse le régisseur et salua Cyrius et la dame.

La Baronne est dans le salon avec le Sieur Demetrio. Tu peux aller la prévenir, Florentin.
Confiez moi, David, Messire Cyrius, on va bien s'occuper de lui.
Dame, approchez vous de la cheminée, vous semblez transi de froid.
Je vous ai préparé une chambre, je vous y conduirai.


Sidonie prit dans ses bras le nourrisson qui dormait.


Darkaprincesse


[Dans la salle à manger à la Croix Saint Leufroy]

La baronne de Tracy était en grande conversation avec Démetrio, quand Florentin l'interrompit.

Madame, La baronne, sieur Demetrio, je vous prie de m'excuser de vous déranger mais votre Grand intendant Messire Cyrius est dans la grand salle à manger avec son fils. Je viens de ramener la pauvre femme.
Sidonie va s'occuper d'elle et de David.


Darkaprincesse s'excusa une nouvelle fois auprès de Demetrio.
Arrivant dans la salle à manger, elle adressa un large sourire à Cyriusblack.


Le Bonjour Cyrius. Quelle sombre histoire.
Sidonie et Agleberthe vont s'occuper de David. Ne t"inquiète pas et rassure Wyky. Il est dans de bonnes mains.

Je vais rester un peu à la Croix avant de vous rejoindre. Florentin, si tu veux pars avec Cyrius, ils vous faudra trouver des hommes. Faites attention et que le très Haut vous garde !


Elle s'approcha de la cheminée et se pencha doucement sur la femme.

Comment vous nommer vous ? Je suis la Baronne de Tracy et vous êtes ici dans mon domaine. Etes vous blessée ? Pouvez- vous nous raconter ce qui c'est passé.

Darkaprincesse fit signe à Sidonie d'aller chercher un remontant et d'aller coucher David.
Elle prit la main de la femme pour la rassurez et la mettre en confiance.

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Colvert


[entre Troyes et Langres]


Les cavaliers avaient pris la direction, indiquée par Wyky. Colvert songeait et anticipait la scène de crime comme étant surement un des moments les plus durs de sa vie.

Le visage de la femme reflétait la dureté de ce qui avait fiat basculer se vie en une soirée.

Arriver sur place un rapide tour d'horizon montrait l'isolement du lieu.Un endroit propice au piège. Il laissait Cherva regarder les indices et vint vers elle avec les autres à sa demande.


Regardez. Ce sont bien des empreintes de loup mais elles sont grandes par rapport à celles que l'on peut observer par ailleurs.


Colvert examinait les traces sur le sol comme pour comprendre les mouvements réalisés par les loups, leur nombre, leur taille...
Une paressait bien plus importante que les autres.

Oui des loups Cherva ...


Il fallait maintenant comprendre les raisons qui avaient poussées les loups à tuer et de quelles manières... Il n'avait de toute évidence pas cherché à dévorer l'homme encore intact gisant là.

Colvert manipula le corps raidi, pour examiner les blessures terribles qui lui avait été affligées. Un coup en particulier semblait taillader le visage de l'homme.

Qu'en penses tu Cherva?

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Wyky
[routes la route de langres et Troyes ]

Ainsi c’est au pas lents de leurs équidés, qu’ils avancèrent sur les lieux où wyky avait vu une personne à terre .
Soudain dans le ciel, des corbeaux survolèrent faisaient les tournoiements en croissant au dessus d’un bosquet à la conjoncture d’un croisement.

Ils ne sentaient plus le froid, une seule obsession, retrouver la personne peut être le mari de la dame.

Sans un mot, sans un bruit, seuls les équidés, leur sabots claquèrent au sol ,quand soudain à 20 lieux environ dans le fourré gisait une personne.


Là! regarde !Colvert, c’est cette personne couché à plat ventre, regarde il semblerait qu’il y a une lutte, que je n’ai pas vu cette nuit,

Non loin de là se trouve une dague ensanglanté, Wyky se mit la main sur la bouche , le spectacle le plus horrible qu’elle est pu voir ; même sur un champ de bataille , d’un coup se souviens du vicomte Amory qu’elle était revenu sur « fleche » le sauver d’une mort certaine qu’une armée avait laisse sur place en plein été , sortant une couverture , lui avait donner à boire , ses lèvres desséchées par une déshydratation. [/i]

Devant eux, du sang de partout, pire qu’une boucherie, la personne que Wyky avait cru voir morte, est déchiquetée comme un patin c'est horrible .


D’habitude ,Wyky si forte, là... une envie de vomir, ainsi Les loups s’attaquent généralement aux moutons et au bétail, mais rarement à l’homme – ou alors seulement au cœur de l’hiver quand la faim les rend féroces . saignant la personne de ses profondes blessures, l’animal prend la fuite par la suite , dans le jour les loups se cachent, juqu'à leur prochaine victime , les guettant au loin sans qu 'on les voit , eux , nous observent ..

Regardant Colvert comment est possible ? Pourquoi ? On peut se défendre contre une autre personne, mais là le diable ? . La bête serai bien le diable et crois tu que l’homme puisse se changeait en créature infernale est ce vrai ? Colvert ? Sommes-nous tous en danger de cette créature.

Wyky regardait autour d’elle le carnage sans pouvoir trouver le pourquoi ..Elle savait David en sécurité avec Cyrius , surement le portera t'il au domaine , elle sait qu'il viendra à la battue.

Elle regardait, quand Colvert se baisser sur le cadavre , jamais vu chose aussi affreuse .. autour d’elle , quand elle entendait du bruit dans un fourré .est ce une bête apeuré ? par les bruits des chevaux , possible

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--Vieux_vagadon



[aux bord de la ville de Troyes ]




Le vieux voyageur parcourait le royaume de France, le teint bruni par le temps, débarquant un matin, son balluchon sur l’épaule, où l’automne laisse l’hiver s’installer, arrivé par un navire d’un pays lointain au port de Marseille, le commerce fluvial commençait à se développer.

Des jours, des semaines, le long des chemins, il en avait rencontré des gens, de toutes sortes, des voyageurs, des amoureux, des armées entières surtout dans le sud.

Il avait traversé toutes les montagnes, toutes les plaines, les monts et vallées.
Cette année là, l’hiver fût la plus rude, la neige tourbillonnait, le vent glacial vous perce les os.

Un jour alors qu’il était en compagnie de son chien, dans les monts d’auvergne, il y avait eu des rumeurs,… non il avait vu , il avait assister aux massacres des enfants .

Des enfants gardaient leurs troupeaux dans les prés, les pères à leurs occupations, souvent on pouvait voir des enfants entre sept et douze garder les animaux..

Une bête, non un monstre sorti de nulle part, jamais notre bonhomme avait vu chose aussi horrible, ce n’était ni un humain, ni un loup, la peur l’avait fait tressaillir, chassant la bête avec les enfants , hélas la bête en avait emporter un ,un môme déchiqueté de cinq ou six ans acéraient de morsures profondes , des griffes qu’aucune bête ne pouvait faire, le visage à moitié mangé , le bras arrachés, ilétait mort , la bête s’était enfui dans les bois , mais notre homme reverra toujours cette image terrible du monstre.

l’animal responsable de ces atrocités ressemble à un loup, mais en beaucoup plus gros et nettement plus effrayant. On le décrit grand, avec une grosse tête, une queue touffue, des flancs rouges et une raie noire sur le dos. Mi-loup, mi- ours, il ne ressemble à aucun animal familier


Tout en remontant vers le nord, voulant voir de vieux amis, il empruntait la route de Champagne, traverser le bourgogne, Troyes, c’est là qu’il se rendait, il avait eu vent qu’un port allait être en construction, faisant halte.

[aux abords du village ]

Des cavaliers, une charrette, des hommes et des femmes discutaient, écoutant en les saluant poliment..Soulevant son chapeau avec délicatesse.

Pardon ! m’sieur dame, j’ai écoute v’ote discutions, c’est la bête qu’vous parlez, j’vois x’avez une image j’peux voir ?

Non ma petit dame c’est pas les pattes d’un loup, mais de la bête..La même que j’ai vu la bête est revenuuuuuuuue ……… priez …. Priez …. Gardez vos enfants avec vous … ne les laissez pas … tout seul … même pour garder les bêtes dans les champs ….. Gardez vos femmes et enfants …

L’homme au visage bruni regardait les gens autour de lui, leur propose son aide .examine les empruntes laissé par le monstre …. La bête, les mêmes pas qu’il avait vu dans les monts d’auvergne il y a quelque temps ; inquiet pour les villageois, il se proposait à les aider..
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