Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>

{RP}Il est où le cap'? Bah il prend son pied! ATTENDEZ!!

Sofio
Prés du feu

Un géant surgissant de nul part, azou et sa couverture, un way nonchalant, certes la soirée était arrosée , mais elle nageait en plein cauchemars la, et son chéri qui lui chuchotait comme si le fait d'être nue a la lune, devait être susurrée, elle le regarde d'un air encore embué d'alcool et de lumières, répondant a son attaque de baiser foudroyante.


Une autre silhouette se prononce dans obscurité naissante , il ne marche pas vraiment droit et parle fort

Le feu rend son âme, quand l'inconnu titubant se rapproche, a peine le temps d'apercevoir son visage, qu'il chancelle a ses pieds, cet homme elle en est certaine de l'avoir vu déjà, ses traits ce visage....

Elle enferme sa couverture d'une main autour d'elle et regarde l'homme , il a manifestement trop bue , elle se souvient soudain l'avoir appercue lors des premiers combats en Provence, il faisait partie des défenseurs, elle en est certaine a présent, a tâtons elle cherche la main de azoura, la serrant fort. Une soirée mémorable, dont ils entendraient parler encore longtemps, pourtant il subsiste encore quelque chose pas très loin, elle le ressent, menace ou inconnue, le moment n'est plus le même avec l'homme qu'elle aime a ses cotés.


Elle se retourne vers l'inconnu qui n'en est pas vraiment un, le détaillant de la tête au pieds.

Bonsoir, pas un peu dangereux de se balader seul par ici?

_________________
Alexandrosse
Alexandrosse ne savait pas si il devait répondre.
Il jeta alors un regard a la femme a demi nue et sont homme.

Il ne reconnu pas tout de suite la Française mais surtout sa chevelure.

Il pensa alors rouge comme du feu la demoiselle. Mais mais c'est la rousse qui les avait attaqués sur les murailles d'Aix.


Oulala oups j'ai encore parlé trop fort pensa alors je jeune homme.

Il sortit alors sont épée maladroitement car malgré sont Etat d'ébriété il savait que les Français n'était pas des amis.

C'est alors que tout a coup il ressenti une autre présence quelque chose de sournois de dangereux une bééééte.


Bonour madame ze pense ze pense eu..... ze pense que nous de devrions pas nous faire la guerre cette nuit pazque ya un truc pas normal qui rode dans le coin. Une béééééte.
Mettez vous en zercle sortez vos sépées si vous en avez.


L'homme tenait sont épée maladroitement d'une main faible il essaya de se reprendre mais sont État dut aux résultat de la fête pour la naissance de ces jumeaux n'arrangeait rien.

Vous zavez c quoi la Bête qui rode au fait je m'appel Alexandrosse zoldat de Provence.
--Dahut
Dahut ne trouva que le vide de ses mains. Emporté par son élan, il perdit l’équilibre et s’écrasa le museau sur le sol, il mordit le sable à pleines dents, enfin celles qui avaient été épargnées par la vermine. Il resta un moment étalé sur le ventre, crachant, bavant, ruminant, soufflant, éternuant, reniflant, geignant, gémissant, bref il passa en revue tout son mode d’expression, très limité comme on le voit, pour ébruiter la situation du moment.
Où était-elle passée ? Que s’était-il passé ? Qui donc avait osé lui enlever sa chaire promise ? Un rire. Une voix railleuse. Un souffle de démon. Trahi par son allié de toujours. Il s’écouta à l’intérieur, demanda pourquoi il lui refusait ce cadeau des enfers, pourquoi il lui interdisait encore cette fois de toucher du doigt, pour le dire gentiment, les exubérances féminines ! Oui, qu’avait-il fait au diable pour mériter ça, lui son si dévoué serviteur ?
Alors, il s’arque bouta sur ses bras pour se redresser et s’assit sur le sol sableux. Il regarda ses mains déformées par une vie misérable, qu’il ne vit pas bien entendu dans l’encre qui coulait dans ses mauvais yeux. Alors, il les mordit, il mordit chaque doigt, jusqu’au sang, jusqu’à l’os, il voulait punir ses mains, ses doigts inutiles.
Il apprécia la douleur. Il la laissa monter en lui, il s’y vautra, moitié rire minable, moitié pleurs, lamentations. Il resta comme ça un long moment en pleine crise de cannibalisme et de contradictions, oubliant la lueur, oubliant le feu, oubliant les femmes.
Le feu. C’est lui qui siffla la fin de la récréation en même temps que se ravivaient les flammes. Heureusement, il n’avait plus rien à se mettre sous la dent. Alors, épris de douleur, épris de haine, il poussa sur ses moignons pour se mettre debout et fonça sur les silhouettes vacillantes autour du brasier, sur ces mâles qui recouvraient pudiquement leurs femelles dénudées et effarouchées, sur ce monstre surtout, ce gros animal qui lui avait chipé, il venait de le comprendre maintenant, son trésor de la nuit. Enfin, il fonçait, à l’allure d’un Dahut, se traînant lamentablement de sa démarche si particulière, ignorant le sang qui pissait sur ses poils, mais d’une sourde résolution, oubliant cette peur viscérale qui le rongeait d’habitude. La peur effacée par la haine, la haine de ces hommes si prévenants, si gaillards, si chanceux.
Alexandrosse
Alexandrosse vit alors le monstre.
Il approchait doucement les mains pleine de sang, la vermine recouvrait sont corps.


C'est donc cela que l'on appel un monstre pour faire peur Aux enfants.
AUUUXXXX AAARRRMMESSSS


Il cria ces mots plus par réflexe que pour faire tirer les armes à ses compagnons d'infortune dont la femme qu'il était sur d’avoir déjà croisée autre part que sur le champ de bataille

Cette apparition le fit dessouler d'un coup, il reprit alors l'épée face a l'adversaire, resserra sa poigne sur son arme, regarda les couples derrière lui : une femme frigorifiée et un homme qui l'embrassait un géant et une femme avec un autre couple



Désolée, je voudrais pas déranger, même si c'est le cas… mais il y a un démon des enfers juste devant ou quelque chose qui s'en approche. On fait quoi ? On lui donne la femme ou on doit affronter cette chose.


Il n'avait aucune envie de combattre la chose mais si il voulait que ces enfants soient fiers de lui un jour, il devait le vaincre.

L'homme se mit en garde et chargea l'affreuse bête
Gorborenne
[La lampe a papillons, recette d'un attrape nigauds.......]

Prenez un bord de Camargue, la journée, y'a de l'eau du soleil et des jolis paysages ou terre et mer se confondent. Des étendues à vous emporter le cœur par delà un horizon chargé de grâce et de rêves infinis.....

La nuit, y'a des sales bêtes...... Et quand on allume un feu, ben, ça les attire, et très rapidement, les alentours se mettent à vrombir de toute part du battement d'aile des coléoptères, entrecoupés du sifflement des moustiques prompt à vous sucer les sangs...... Seule l'araignée à la présence d'esprit de ne pas trop s'approcher, au risque de se brûler dans les flammes....... Ou de se faire bouffer par une chauve-souris, gobée tout rond par un caméléon, où d'avoir les entrailles dissoutes par le tord boyau du scorpion.......

Bref, ayez la mauvaise idée d'allumer un feu et de le laisser garni de jolies lucioles, et bien vite, la nuit ne sera plus aussi silencieuse et sereine que si vous étiez restés bien sagement chez vous, mais la vie est une question de choix, n'est-ce pas? et en bons insectes ayant dépassé le statut larvaire, ben, faut assumer ses choix, épicétou......


[Le Bon, la Brute, et le Truand]


Jusqu'ici, l'odeur de charogne émanant de la chose couvre tout de ses fragrances brutales et malsaines, le Géant la sent qui s'agite dans l'ombre, il entend ses râles gutturaux, comme une tentative d'expression. Petit frisson réprimé..... Il glisse Isa dans son dos, amenant discrètement une des mains de sa Douce sur un des ses couteaux fouraillés à son ceinturon, lui murmurant "prend en une" tout bas, avant de se retourner vers la nuit où d'autres bruits semblaient déjà se faire entendre.......

Le coléoptère est une cigale on dirait, en tout cas, l'est tout bonnement bruyant à beugler dans la nuit comme un ivrogne, déjà que l'autre masquait les odeurs, voilà-t-y pas que celui-ci vient couvrir les bruits..... Le Chauve n'aime pas ça, la nuit cache toujours un sourire truand bien plus dangereux que les deux autres, et Orion qui le sent distinctement peser sur eux n'arrive à dire d'où il émane......


-HO!

Il est des timbres de voix comme celui-ci, qui portent sans assourdir, et qui ne souffrent d'être contredits, sans pour autant paraître tyranniques...... On appelle ça l'autorité.....

- Toi, le Provençal, reste où tu es! Si tu tiens à ta peau, joue pas aux héros et range ton cure-dent. À faire le mariole tu risques de prendre une perte tri-syllabique......

Regard qui s'acère et menace soudain, tranchant plus que la lame ou la griffe, perçant vers le soldat cigalesque autant que vers la chose plus loin dans la nuit, comme s'il s'adressait aux deux en même temps, timbre qui se fait légèrement plus rocailleux, venant de plus loin.....


- Si tu veux un jour retrouver ton chez toi, te conseille d'y retourner dès maintenant........

Sourire qui se fait des plus machiavéliques......

- Et puis, t'y connais quoi en bête des enfers?

_________________
Alexandrosse
Il vit alors en pleine course la Bête que les français appelait Dahut. Enfin il vit une ombre difforme extrêmement effrayante.

Le Provençal bien que Grand et Fort recula de quelques pat pour buter dans le Géants qui gueulait d'une voix fortes des ordres ou des conseils qu'il ne prit pas la peine d'écouter.

Eu vous avez surement Raison sir mais la comme sa dans la nuit je me vois mal rentrer chez moi.

Je risquerai de pas retrouver dans mon État déjà que je sais même pas ou je suis et deuxièmement la chose qui vient pas des Enfer mais surement de plus bas elle a pas l'air accueillante alors tirons nos épées et oublions nos conflits actuel ou passée.

Au fait je m'appelle Alexandrosse Papa de deux petits de trois jours alors je vais rester avec vous le temps que le jour se lève.


Il fit Alors sont plus grand sourire aux géants qui avait finalement un air sympathique sous ces airs Machiavélique.

Il se mit alors Entre Sofio et le Géant en se dégageant une petite place dans le groupe l'épée a la main et la banane sur le visage
Waylander..
J'étais occupé a raviver le feu. Gorbo n'ayant pas répondu, j'ai donc haussé les épaules. Après tout ça n'avait pas la moindre importance. Je n'étais plus tellement d'humeur a boire de toute manières. Le feu commençait a reprendre, ainsi qu'a répandre une douce chaleur dans le cercle de lumière qu'il avait crée. J'entendis de vagues mots prononcés par un ivrogne qui s'approchait de nous. Je me fichais totalement de ce qu'il pouvait bien dire. Jusqu'a ce qu'il me marche dessus et éteigne le feu que je tentais de ranimer:

- Pauvre et sombre abruti... Tu fous quoi ici toi?

Je m'éloignais rapidement des mouvements désordonnés de l'ivrogne, agacé. Encore sur mes genoux, je le regardai ensuite. Il semblait qu'il s'était pris une belle murge cet imbécile. Les yeux pleins de mépris, je jurai. Ma colère réveilla une autre partie endormie de moi. Celle là aussi n'avait plus été mis en branle... Depuis moins longtemps cependant. Cela devait dater de l'époque où je vivais encore en Lorraine. J'haussai a nouveau les épaules, regardant l'étranger se lever et déblatérer ses conneries. Mon esprit était comme le feu qu'il avait éteint. Tranquille, pas tellement incandescent, mais une chaleur s'y trouvait, prête a être rallumée, et dans mes yeux devaient se refléter de semblables braises a celles des cendres. Mon ours personnel semblait prêt a sortir de son hibernation de deux ans.

Son pitoyable appel aux armes ne fit que m'énerver un peu plus. Plus je le regardais, plus des pulsions meurtrières m'envahissait. Envie de ressortir mon savoir-faire en matière de torture. Son sang couler... Ma vue se brouilla de manière fugitive. Lorsqu'il parla d'enfants, je sentit mon visage se radoucir quelque peu malgré tout. Il devait pas être méchant, juste complétement con.

C'est alors que j'aperçus, en périphérie de mon champ de vision, la bête dont il parlait. Je le regardai charger, puis rebrousser chemin. Je ne put m'empêcher de rire:


- Tu fais quoi là? Un 100m?

Je décidai finalement de me relever, et de prêter plus attention a la "Bête". Une forme humanoïde, pas encore assez proche de nous pour la distinguer clairement. Elle semblait clopiner. Je supposai qu'il s'agissait de ce que j'avais vu précédemment.

Je pris mon couteau en main... Mais hésitais. Mon regard passa du provençal a la créature. Mon instinct me commandait de frapper le provençal... Un coup rapide, simple, entre les côtes, pile dans les poumons... C'est la nuit, on était ivre... Dommage collatérale... Mais ma raison resta plus forte, plus dominante. Ma bête intérieure se rétracta provisoirement dans sa grotte. Planté fermement sur mes pieds, je regardais la créature qui avançait:


-Tu ferais mieux de te casser...

Je supposai que la bête ne renoncerait pas, par conséquent je me préparai mentalement a l'affrontement. Ma bête intérieure rugissait dans sa grotte, museau sorti.
Azoura
Azoura n'en revenait pas,qu'est ce que cette demi portion provençal venait se frotter contre sa Sofi...
L'inconcient,il ne devait pas savoir que le géant beau gosse etait aussi surnommé la "brute" et que sous ses airs angelins sommeille en lui une force phénoménale qu'il vaut mieu ne pas réveiller...

De plus , ce proven'sale' avait tendance à chercher du regard les formes de sa compagne ,ce qui n'avait pas échappé à l'azou,homme si jaloux...

Lui donnant un coup de pied franc et fort en son séan,il envoya baldingué l'homme qui trébucha sur un rondin mesurant ainsi la plage....


HOOOOOOO....SOFIO..... C'EST CHASSE GARDEE!!!!
hurla t il

hééé pour ta santé t'arrête de la reluquer ou je t'ARRACHE les yeux!!!!

T'as bien compris" l'alex sans cloches"...

BARRES-TOI de ma PROMISE....!!


Tout en vociférant ses paroles,son arme était déja encrée en sa main pointant dangereusement vers cette inconnu de la région...

Sofi était juste derrière lui, derrière son dos servant de rempart,accollée ,en sureté...
L'azou veille sur sa charmante et nul ne touchera à son trésor...même si sa princesse est vêtue d'une longue couverture en attendant de récupérer ses vêtements.
C'est en chevalier protecteur qu'il attendait de pied ferme soit le crabe cul à terre ou cette chose informe sortie d'on ne sais ou et s'avançant en furie vers Gorbo...
_________________
Alexandrosse
Alexandrosse se faisais maltraiter par deux des hommes et insulté par le Géant il décida que sa allait pas se passer comme sa.

Il mis alors un coup du plat de sont Armes dans la Tête du beau goss qui se faisais appelé Azou et qui parlas d'une certaine Sofio ce qui lui rappela des nuits moins froide.

Enfin il décida d'écouter les conseils de celui qui lui avait parlé en deuxième et Détala en lui mettant un grand coup d'épaule bien appliqué dans a proximité de ce qu'un de ces amis Bouch... Médecin avait appelé Sternum.

Étant sure que l'Homme ne se relèverait pas avant quelques minutes voire une petite il détala vers ce qui semblait dégagé de la Lumière vers l'intérieur des terres surement Arles ou Marseille.

Histoire d'énerver un peu plus l'homme du haut de sont propres mètre 90 il fit un clin d'oeil appuyé a la belle Sofio

Puis il couru de toute ces forces et de toute sa peur pendant de longues Minutes . il arriva enfin a un post de garde côte non loin.
Il y appercu sont ami Nora


Noooooooooraaaaaaaaaaaa vient vite y a des français totalement fou ou aussi bourré que moi qui font les cons sur le plage.

Il vit alors que Nora était en compagnie d'une compagnie d'archer vêtu de noir.

La soirée s'annonçait amusante
_ninon
Alors qu’elle tremble encore comme une feuille, son breton émerge de la nuit et ravive le feu en jetant une brassée de bois avant de se diriger vers elle et lui tendre son mantel accompagné d’un sourire. Alors, il était là aussi…
Quelque peu rassurée par la présence des trois hommes, elle tend le bras et n’a pas le temps de le remercier qu’il s’est déjà détourné pour s’occuper de la flambée.

L’irruption d’un poivrot détourne leur attention à tous, six paires d’yeux incrédules se dirigent dans un bel ensemble vers cet inconscient qui s’annonce comme provençal en plus !

Bin en a du monde, ce soir sur cette plage, se dit la brune, toujours le mantel à la main, la tête un peu dans l’cul, se demandant que faire… Grand succès ce bain de minuit, faudra qu’on recommence ! Un drôle de bruit ailleurs… Tiens, encore un invité surprise on dirait… Et le fou rire la reprend, silencieux, la secouant des pieds à la tête, devant l’incongruité de la situation, l’invraisemblable succession d’apparitions à cette soirée où elles n’auraient du être que trois. Ses yeux font le tour du petit groupe qui grandi, grandi, et, plus elle regarde, plus elle rit, les larmes lui coulant le long des joues sans qu’un son ne s’échappe de ses lèvres entrouvertes.

Plus peur… Plus du tout… Juste une hilarité qui lui donne des crampes au ventre, alors que la tension, la nervosité et l’agressivité sont palpables alentours. Elle se sent comme détachée, ailleurs… Seule au milieu de ces gens… Et toujours nue sous une couverture, le vêtement de Way à la main… mouarffff ! Et si je m’habillais ? Ses prunelles sondent les noirceurs teintées d’orangé, repèrent un tas informe à quelques pas. Aaaahhh, bah valaaaa….

Sans plus s’occuper de personne, danger ou pas, sont bien assez pour régler le problème, Ninon entreprend de se vêtir en frissonnant, se marrant toujours comme un idiote, sans trop savoir pourquoi. Les bribes de conversations lui parviennent à travers un brouillard auditif, une vraie purée de pois. Pas compliqué, a rien qui arrive à son cerveau.

Boire, c’est mal ! La bibine, ca vous grille les neurones que z’avez rien vu venir, croyant que ça vous cramerait que le gosier et les entrailles. C’est traître la gnôle.

Enfin vêtue de pieds en cape, l’arme au fourreau, le mantel et la couverture sur le bras, c’est avec un grand sourire aux lèvres qu’elle se retourne…


Suis prête ! On rentre ?

_________________
Isa.
Tout va trop vite décidémment ... et dire que ce n'est pas une nuit de pleine lune. Isa se demande si la prochaine fois, parce que là c'est sûr, y'aura une prochaine fois, faudra pas mettre un chapeau et délimiter des zones 'spectateurs" autour du feu. Et refaire le spectacle à la pleine lune. Sûr qu'elles attireraient encore plus de monde. Ca rapporterait peut-être autant voir plus qu'un pillage. Joli statagème à proposer au cap'tain, tiens . Quoique ... s'il se prend pour la vedette du spectacle et se mêle de prendre son rôle - improvisé mais prévisible - à coeur ... Non. Pas bonne cette idée. Pas bonne du tout ! A ces pensées, elle sourit, la noiraude, alors que son géant à elle, le plus beau et le plus grand des deux, la fait glisser dans son dos et dirige sa main vers une de ses griffes. Sans hésitation, elle s'en saisit et attend la suite, priant tout bas que personne ne prenne ses vêtements. Oh d'un côté, elle s'en débarasserait bien de ses braies roses... Gorbo n'adore pas et question discrétion ... peut mieux faire.

Un rampant provençal -pas au courant de la sauce lui ? - s'est approché entretemps de Sofio, après avoir toisé son géant du regard et même osé répondre à ses conseils de prudence. Il ne sait pas à quoi il risque de se trouver confronté lui alors ! Trois hommes arrivent au secours de leurs douces et l'idiot les nargue . D'ailleurs la réaction ne se fait pas attendre, mais l'attention d'Isa est attirée à nouveau vers la noirceur et le rocher où elle était encore quelques secondes plus tôt. Cette présence ... elle l'avait bien sentie et elle a vu le regard de Surt ... alors où est passé cet indésirable ? Lentement, Cédalia glisse un bras autour de la taille d'Orion,
le rejoignant en pensée, elle ferme les yeux et scrute les environs, tous les sens en éveil ...


On rentre ?

Ninon, encore sous le coup des excès de la nuit, ne semble pas percevoir la situation de la même façon. Sans ouvrir les yeux, Isa tend une main vers elle et murmure calmement.

Pas encore ... il y d'autres choses ....


_________________
Azoura
Son regard se tourna vers le ptit crabe qui arriva à se relever non sans quelques maux.
Il du sauter pour venir tapoter la tête d'azou avec ce qui doit être une épée...
La brute n'avait pas encore vu de cure dents de cette grandeur,surement spécialité provençale...,de plus,le pauvre était d'un maladroit,confondre le plat avec le coté effilé...Le beau gosse haussa les épaules...

Mais le moucheron en voulait encore plus...il vint s'écraser sur le ventre du beau gosse en pensant surement le faire tomber....comment peut on être aussi stupide..

Le géant de 2m10 l'entendit marmonner quelque chose...mais avais pas tout compris ....juste froid...ou plutôt surement foie...oui c'est ça ....le poivrot devais avoir les foies car le voila changé en lièvre, détalant à toute vitesse
azou s'esclaffa...

HEEEEEEEE...REGARDEZ CA....SONT QUAND MËME DES COUARDS CES MANGEUR D'OLIVES!!!!!!!

OU ALORS IL DOIT AVOIR LA COULANTE !!!!


La brute aux traits d'ange se mis à rire de la situation, oubliant la masse informe...
Il se tourna vers l'amour de sa vie,toujours sourire aux lèvres,se rapprocha d'elle,glissant ses mains sous la couverture, tâtant son ventre, ses flancs puis fini son oscultation corporelle en lui saisissant à pleine pogne ses fesses bien rondes...

Alors ma chérie....je suis là, tu as plus de craintes à avoir.....

Azou la senti trembloter...

rhoooo ..tu as froid ou c'est mes mains qui te fond frissonner^^


Son amoureux les mains pleines lui fit un sourire ravageur,embrassa voluptueusement son cou offert et dénudé...
_________________
Gorborenne
Frustration! Le Démon ronge son frein en voyant la cigale détaler comme un lapin...... Pour une fois qu'ils en avaient une sous la main....... Surt fait demi tour et se tourne face à Cédalia, grande inspiration, et dans le regard du Chauve, le Démon claque violemment la porte pour laisser la place à Orion, un peu gêné, souriant malgré lui.......

Petite main d'Isa qui vient se glisser contre lui, sourire qui s'élargit..... Le calme revient en même temps que s'en va le hachis en sursis, mais le danger plane encore....... Orion peut toujours sentir sa pesante lourdeur lui coller à la peau comme une atmosphère trop moite....... Et puis, surtout, cette odeur de charogne, il pouvait presque dire où se trouvait la chose difforme rien qu'à l'odeur...... Pas loin...... Et l'autre présence qui titille au coin de son instinct...... Petit baiser à Cédalia, et il s'approche de So de quelques pas, lui murmurant quelques trucs incompréhensibles à l'oreille, avant d'emporter Isa avec lui et de sortir du halo de lumière du feu......

- Vient on va récupérer la bouteille du Breton et tes vêtements....... et garde la griffe au poing.....

Pas loin, à peine quelques toises, Tenant Isa par la main pour ne pas la perdre dans la pénombre...... Il retrouve rapidement le tailli où il était dissimulé avec Way, et s'accroupit pour chercher à tâtons la bouteille dans le sable autour de lui.......

Instinct qui titille à nouveau au fond de son crâne...... Quelque chose se rapproche........

Doigts qui se resserrent soudain sur ceux d'Isa alors que leurs homologues vont chercher le deuxième coutelas de chasse au ceinturon...... Inutile d'user de mots pour lui faire comprendre de rester tapie et silencieuse, prête à ...... Juste prête, et invisible......

_________________
Nora
Nora était en Taverne avec ses compagnons d’Armes.

Cette guerre la déprimait, elle se retrouvait éloignée de ses enfants bien plus longtemps qu’elle n’était capable de supporter.

Ce pourquoi, elle passait son temps de libre en Taverne, tentant de se changer un peu les Idées, ce qui lui ferait du bien.

Comme à son habitude, elle quitta son poste le soir. Comme à son habitude, elle se rendit en Taverne. Comme à son habitude, elle s’installa et commanda sa choppe habituelle. Cependant, ce soir ne fut pas comme à son habitude. Elle n’allait pas passer des heures à somnoler en Taverne et à boire quelques choppes par-ci, par-là.

Elle vit arriver Alexandrosse dans un drôle d’état et ne manqua pas de le questionner sur ses aventures. La brunette apprit donc qu'il avait été malmené par des gens planqués derrière une dune, un peu en dehors du Duché.

Et la proposition qu'on lui fit, l'amusa assez. C'est ainsi que, guidé par Alexandrosse, un petit groupe de soldat tous vêtus de noir s'avançait sur les chemins, armés d'arcs et d'épées.

Rendu non loin de la dite dune, l'on pouvait voir le petit groupe camouflé s'avançant à pas de loup. Arcs près à emploi. Personne n'avait le droit de s'attaquer à un Provençal. La chose serait prouvée ce soir ! Les soldats étaient installés dans les buissons, silencieux.

Et d’un coup, au signal donné, chaque archer se redressa, armés des arcs et tirèrent leurs flèches qui allèrent se ficher autour des « cibles » sans en toucher aucune, le but n’étant pas de les blesser.

Chaque archer…ou presque…Nora se leva également, armée de l’une de ses meilleures armes et s’apprêtait à tirer lorsqu’elle reconnut certains visages. La brune s’arrêta net. Qu’est-ce qu’ils pouvaient bien foutre là ?
Elle confia son arc à l’un de ses collègues puis sortit doucement de sa cachette, gardant épée et dagues bien sur elle.


Hé bien ! Qu’est-ce qu’une bande d’Auvergnats peut bien faire en Provence ? Vous seriez-vous perdus ?

Sa voix avait une intonation amusée. Cependant, tout en s’approchant du « campement », elle abaissait légèrement sa capuche, quelque peu perplexe. Elle avait reconnu ces personnes qu’elle avait pu voir et croiser au mariage de sa sœur cadette, Jiao...Il n’y a pas si longtemps que cela d’ailleurs...
Alexandrosse
Alexandrosse revint donc avec Nora sa fidèle amie de tous les coups pour rire ou pour donner une leçon.

Il lui avait donc raconter sont affaire, après mure délibération ils emmenèrent des soldats de la garnison une bonne dizaine séparé en deux groupes.

Alexandrosse arrivé sur la plage laissa Nora donner des ordres a sont groupe derrière une dune.

Dans sa course il les vit les archers tiré autour du petit groupe.

Le sien fit le tour en passant contre le vent pour éviter d'être repérer par la bête qu'il avait voulu charger plutôt ou par les géant et l'homme de l'ombre.

Sont groupe se place aussi derrière une dune ou des buissons poussait pèle mêle.
Il chuchota alors de faire passer a sont voisin de gauche personne ne tire sans avoir reçu d"ordre.

Ils s'allongèrent tous sans faire de bruits le feu mourant éclairait les 6 personnes et faisait danser les ombres de la Bête.

Il demanda alors a sont meilleur archer d'aller ce poster plus derrière eux avec un de ces camarades pour guetter un danger par le revers.

Sa vengeance ce m'était en place tout allait bien se passer.

Alexandrosse se frotta les mains banda sont arc et sourit.
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 7, 8, 9, 10   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)