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[RP]Memento Mori à la Croque Cigale

Sofio
Quand d'un seul coup son regard n'est plus pur

L’un deux s’appelait Lelmax…il était mon filleul !

Il se nommait lel, il était toute sa vie, il fut toute sa perte, il se nommait lel, elle aurait donné sa vie pour lui, il a brisé la sienne.


Quelques pensées d'un capi en survolte, un regard long et appuyé, un nom qui a fusé pour lui arracher le cœur déjà en torture, le grand vide, est en elle, un profond désarroi qui la prend, comme le gouffre d'un puits elle tombe, une chute n'allant plus finir, pour ne laisser place au sol qu'a son autre moi.

Une autre..... finie les sourires de connivences, finie la dentelle et le charme ce soir ce sera, la lueur des flammes et du fer, pour lui..malgré que tout son corps le réclame, ses poings se serrent de ne pas l'avoir tué elle même.

Quand certains réclament le sang comme la louve ses petits, elle ne désire que le vide, aller retrouver un instant ses amis de la route en leur taverne de fortune.

De dehors déjà quelques bruits de godets et de rires joyeux, les hommes trinquent ce soir c'est la soirée de l'ivresse.[/i]

Bastonnnnnnnnnnnnnn


Nouveau cri de guerre, il tonne fort , il pète et il est facile a retenir quand l'esprit est embué, elle entre et pousse son cri a elle, Restez groupiiiirr

Quelques godets, quelques plans nocturnes déjà plus rien a boire, il faut qu'elle alimente la taverne, mais avec la garce de mairesse rien a faire, alors elle tripote dans sa poche le cailloux de lel depuis tout a l'heure, il est la seule chose qu'il lui reste de lui, son unique héritage, il ne le quittait jamais, en lui donnant il lui avait dit il prendra soin de toi, elle hésite, mais se dit que faut être fou pour acheter un cailloux 40 écus, cela alimentera sa taverne le temps de la transaction, puis elle le récupèrera bien vite, le temps juste d'acheter quelques bieres, vla le cailloux est mis et la............

NON NON NON pas ca.........

Son cri est déchirant, elle en tremble a envie de s'écrouler d'un coup plus rien maintenant plus rien de lui, son odeur sa peau ce cailloux était lui encore un peu.


Citation:
11-02-2010 19:10 : Vous avez vendu à Vivivivi 1 caillou pour 40,00 écus.
11-02-2010 19:10 : Vous n'avez pas réussi à acheter 1 cailloux pour 40,00 écus .


La rage, la peine, que on rase, que on brule ce village qu'importe que pour eux la vie s'arrête, soif elle a spadasse ce soir elle est une autre.....

_________________
Natale
[Arles, la boucle est bouclée]
La trop fière citée qu’il avait défendu naguère en passant derrière les lignes ennemies, aujourd’hui il devait la prendre et, comble des combles avec certains de ses anciens ennemis.
Oui il faudrait qu’il passe dire le bonjorn au camp languedocien tantôt.
Arles, c’est d’abord et avant tout sa bibine ! Il faisait grand soif en effet. Malheureusement il ne s’était point aventuré du côté de « La Gniole’ » il devrait en parler d’abord à qui de droit…
Arles c’est également quelques pièces de viande que l’ancien bouché, par inadvertance, à réussi à sauver du massacre.
Arles c’est toujours sa bière, mais également des retrouvailles et des rencontres. Sasto !
Et cette dragonne… fichtre la revoilà !


Heu… Heu, bhé. Le vicomte toulousain rouge comme une pivoine se met à nouveau à bredouiller parbleu. Alors prit au dépourvu il ne parle que dans la langue de ses ancêtres, ça les fait toujours craquer de toute façon.
Si ! Si signorina*. [*Oui ! oui mademoiselle]
*Ensorceleuse va !*
_________________
Qui est guidé par une étoile ne regarde jamais en arrière ! | Chi è guidato da una stella non guarda mai indietro!
[url=*http://i60.servimg.com/u/f60/11/40/58/67/vc_rab10.png]blason en réfection
Cathycat


[Aux abords d'Arles, un nouveau tournant ...]

Elle était en Provence depuis deux jours, seule, ne sachant trop où aller ni que faire. La Provence était vaste, où et comment allait-elle le retrouver ?
Elle se risqua en ville, sachant le climat tendu, elle évitait d'y rester trop longtemps préférant, le calme à l'extérieur de la ville, quelques balades sur le port pour profiter de la mer. Doucement, la pression accumulée les jours derniers s'estompait, les soucis de ses responsabilités étaient derrière elle. Peu à peu, la fleur étiolée qu'elle était, reprenait vigueur.
Elle avait établi son camp de fortune à l'extérieur de la ville, ayant trouvé refuge dans une vieille bergerie à quelques lieues.

Au petit matin du 11 février, elle fut réveillée par le bruits des sabots, le cliquetis des armes, signe d'artillerie lourde, les cris des hommes. Doucement elle sort la tête et regarde le cortège passer, une armée. Une armée battant pavillon du Limousin. Un fin sourire étire les lèvres de la belle, IL était là parmi tous ses hommes et ses femmes. Elle suivit du regard le long convoi, elle irait les rejoindre plus tard, une fois le camp dressé.

C'est ce qu'elle fit en cours de matinée, une fois ses propres affaires réunies, son cheval sellé, elle arriva près de campement, juchée sur son cheval, les azurs pétillants de voir toute cette vie devant elle, ces hommes, ces femmes, tout ce monde grouillant et plein de vie dans la joie et la bonne humeur.
S'approchant un peu plus, elle héla un soldat.

B'jour sieur,

Dites moi je cherche le Baron d'Arquian, vous pourriez me dire où je peux le trouver ?


Par ici ma p'tite dame. Voyez l'étendard là-bas avec le dragon ? Bah vous le trouverez là.

Elle le remercia et le salua d'un signe de tête, pressant les flancs de son alezan pour rejoindre les tentes indiquées. Un peu stressée, la brunette arriva devant la tente la plus grande de ce coin du campement. Droite comme un i sur son hongre, elle resta un moment à balayer les lieux du regard à la recherche du visage familier.
Fl0rentin
[Une soirée, non non ! LA soirée]

La nuit venait de tomber, à travers les nuages clairsemés on pouvait apercevoir les étoiles ainsi que la lune ce qui donnait une légère teinte pâle au campement. Le jeune homme était là prés du feu. Il était seul et avait les yeux rivé sur les flammes.
Alors que l’espoir de pouvoir la voir se soir s’amenuisé, un léger froissement d’air le tira de sa rêverie. Il leva la tête vers la personne qui venait d’arriver et un sourire se de
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