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[RP] Une petite fête le jour de sa fête

Wylbur
Wylbur reçut le chaleureux accueil de Tine. Il observa la joue rosie de la reine de la fête, se disant qu'il aurait pu tenter de se raser d'un peu plus près avant de rejoindre la fête... à moins que ce ne soient les émotions de la soirée qui lui avaient rougis le teint..

Il choisit ensuite une chaise qu'il estima suffisamment robuste pour tenir sous son poids et après l'avoir escaladée, frappa dans ses grosses mains à trois reprises pour attirer l'attention des convives assemblés.


Ma chère Tine, et vous toutes et tous, chers Burgiennes et Burgiens...

Nous voici tous assemblés pour remercier notre chère amie à tous, notre dévouée Tine qui, durant tous ses mandats consécutifs, et au-delà encore, s'est dépensé sans compter pour notre communauté. Tine doit certainement être l'une de celles, si pas celle, qui connaît par son prénom chaque personne qui a franchi les portes de la taverne de la mairie...

A chacun d'entre-nous certainement, elle aura prêté une oreille attentive, rendu un service ou encore partagé une choppine.

Pour toutes ces raisons, mes chers concitoyens, il m'a été demandé de lui forger, en notre nom à toutes et tous,cet objet symbolique que j'ai l'honneur et le plaisir de lui remettre ce soir..


Wylbur plongea la main dans le fond de sa poche et en ressortit un objet soigneusement emballé dans une étoffe des plus fines. Il le tint devant lui pour le montrer à tous puis souriant à Tine, il poursuivit tout en déballant le paquet...

Très chère Tine, J'ai le plaisir de t'offrir ceci au nom de toutes les Burgiennes et les Burgiens...



Il lui tendit la clef de la ville avant de lever sa choppe pour porter un toast!

A la santé de Tine!

Puis il vida d'un trait sa choppine avant de descendre de la chaise.
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Ennis


Ennis n'arrêtait pas de courir depuis son retour à Bourg. Il avait bien reçu le message de sa Choco lui précisant la date, le lieu et l'heure de la petite fête organisée pour Tine, mais rien à faire. Même avec la meilleure des volontés, il avait fallu qu'il arrive en retard.

Confus, il passa le nez à la porte et repéra un petit endroit où il pourrait se faufiler sans être vu. Il glissa derrière la petite foule réunie, un sourire grimaçant lorsque quelques visages se tournèrent vers lui.

Ennis arrivait à point nommé. Wylbur venait de remettre les clefs de Bourg à son amie Tine. Il était fier de cet événement, elle le méritait vraiment, quand on connaissait son dévouement pour cette ville et ces concitoyens.

Mais le hasard fit bien les choses, son arrivée coïncidait avec le toast porté en l'honneur de la grande dame de St Sorlin. Il réussi à glaner une chope, puis la leva

"A TINEEEEE"

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Valentine_e


Tine vit son ami Wyl grimper sur un siège, elle ouvrit grand les yeux se demandant quelle misère cette pauvre chaise avait-elle pu faire à Wyl, un grand gaillard costaud comme lui allait la faire céder, elle grimaçait en y pensant mais l'écoutant de sa haute voix qui porte, sa voix d'homme viril, habituée à résonner dans les commandements de l'armée.

Tine, elle, ne savait plus si ses joues son cœur n'allaient prendre feu sous l'émotion, pourquoi tant d'honneur pour cette petite bonne femme qui ne faisait rien de plus que d'aimer sa ville et ses amis, bien d'autre en méritait autant.

Elle entendit les dernières paroles de Wyl et ne put pas plus retenir la rivière des ses yeux qui se déversa encore sur ses joues, un regard vers son homme ; tous les regards étaient tournés sur elle ; une situation qu'elle avait du mal à gérer, elle reniflait en regardant Wyl et tendit la main tremblante.





Ses yeux se rivèrent sur la clef et sa tête bougeait doucement, ébahie du travail fait, ébahie du symbole que cet objet représentait pour elle, Bourg sa ville, la clef de Bourg, elle ne s'en remettrait jamais.

Elle finit par prendre la parole, sa voix n'était pas celle de Tine qui criait souvent assourdissant ses amis en taverne, une voix à peine audible.


Je suis très très touchée, émue, vous êtes vraiment tout pour moi, je ne comprends pas trop pourquoi vous me récompenser autant mais merci merci je vous aime

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Kekione
KEKIONE s'approche de sa belle compagne.
La prend par la taille et l'embrasse.

Bravo ma Tine.
Tu mérites milles fois tous ces honneurs.


Le vieil homme lui sourit et l'embrasse une fois encore.
Chocolatines


Le moment était des plus intenses.
Il régnait dans la pièce, un chaleur parfumée à la cannelle. Les mots de Wyl flottaient harmonieusement dans la pièce.
la surprise en était même une aux regards de tous ici présents.
Les sourires étaient sur toutes les lèvres, les larmes aussi, émouvant cette soirée, et les larmes de joie de Tine étaient la plus grande des joies.
Choco leva son verre avec Ennis et cria:

A LA SANTE DE NOTRE TINE ET A BOURGGGGGGGGGGGG!


et que la fête commenceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee

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http://coeur.comtois.free.fr/royaume/Plan.htm
Cindouly


Cindou applaudit de toute ses forces.

YOUHOUUUUUUUUUUUUUUUU A TINOUUUUUUUUUUUUUUUUUU ET A BOURRRRRRRRRRRGGGGGGGGGGGGG QU'IL DURRRRRRRR TOUJOURRRRRRRRRRRRRRRRRRSSSSSSSSSSSS !!!

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--Ombre_invisible
Une ombre avait profité de l'imposante carrure de Wylbur pour se glisser dans la salle et se dissimuler derrière une tenture, sans aucune possibilité qu'on la voie .. L'ombre encapuchonnée de sombre ne le voulait pas, mais par contre, voulait assister au triomphe de Tine, dont une bonne âme l'avait avertie, dans son refuge.

L'ombre resta donc cachée, heureuse d'être hors de portée des regards de cette foule, au milieu de laquelle elle aurait été mal à l'aise, se sentant trop diminuée pour l'affronter, et apprécia l'organisation de la cérémonie, ne retenant pas quelques larmes de joie devant le bonheur de sa Tine et du reste de l'assemblée, où elle reconnaissait quelques amies et amis.

Elle murmura, de façon inaudible dans le concert de félicitations :


- Bravo ma Tine ! Félicitations pour cette récompense amplement méritée !

-
Petitekenny
Kenny qui avait confié ses enfants à la nourrice, se pressa dans les rues de Bourg. La fête avait déjà commencé certainement, elle était très en retard. Elle se glissa au travers de la porte, puis jetta un oeil. Tout le monde était encore là. Se faufilant dans la foule, saluant ici et là les personnes qu'elle connaissait et rejoignit Tine.

Bonne fête à toi Tine.

Tout en la bisouillant et la saluant, elle parti au côté de son cher et tendre.
Valentine_e


Tine se détache du groupe et se positionne au milieu de la salle, un peu tendue, elle avale sa salive, lève le bras faisant mine de commander aux musiciens de jouer.

Elle ferme les yeux comme pour capter la musique qu'elle entend et sur les premiers temps, elle se met à faire quelques pas. Elle porte une robe rouge coquelicot, un châle brodé de Maurienne en soie , ses pieds sont nus comme souvent elle s'était déchaussée aimant le contact de sa peau sur le froid du sol. Elle est radieuse ainsi. Elle tournoie légèrement, oscille, se balance, et puis il semble qu’elle sourit à quelqu’un. Elle regarde son homme.

Elle tend la main, saisit une main invisible. Cette main la fait tourner, la fait avancer, reculer, et ainsi guidée par ce corps indiscernable, elle commence à danser.

Elle, seule, faisant tourner sa robe légère, voler ses cheveux bruns, étendant ses jambes effilées, étirant ses bras gracieux, envahit l'espace, transpire l’amour, ses yeux se ferment et s'ouvre au grès de ses pas, fixant par moment ceux qui la regarde.

Ces pas résonnent différemment cette fois ci, il manque un son qui leur répondent. Elle l’entend aussi, ce bruit manquant, et tape plus fort sur le sol encore. Elle tourne plus vite, accélère, multiplie et exagère ses pas et ses mouvements.

En la regardant se mouvoir seule, ils les voient tous les deux. On devine son homme qui l’entraîne, l'imaginaire emplit la salle et on pourrait voir Kio dans ses bras tellement elle le regarde avec amour à chaque fois qu'elle tourne son regard vers lui.

Elle a des gestes précis qui laissent imaginer parfaitement la place, le mouvement, la position du partenaire de danse. Elle lui sourit.

Elle connaît tous ses gestes, elle connaît son corps, sa taille, sa corpulence et sa force, elle connaît toutes ses attitudes. À tel point que même en la regardant danser seule on croit voir un couple.

Sa chorégraphie est mystérieusement éblouissante et troublante, énigmatique, mais elle semble en transe, sourit, elle s'approche de son homme, tend alors sa main,

« Veux-tu danser avec moi ? »,

sans attendre réponse prend la sienne, le fait lever et l'enlace pour finir sa danse d'un pas lent et amoureux quelques instants, l'embrasse passionnément et se retourne vers ses amis, joues rougies par l'effort et l'émotion et salue d'une révérence.

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Phileo
Phil leva sa choppe.

A Tine, santeeee.

Il s'approcha de Tine toujours avec son petit valentin contre lui et sa petite Lisa à ses cotés tenant la boite en bois.

Tient, ma Tine un petit quelque chose pour toi...Enfin c'est pour ton moulin.

La petite Lisa tendit la boite à Tine.

http://www.casimages.com/img.php?i=100216122226970457.jpg
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Kekione
KEKIONE fut surpris par la danse de sa belle.
Puis se laissa emmener "virtuellement" par ses mouvements graciles.
Il l'admirait avec amour.
A chaque fois, cette femme arrivait à le surprendre.
Il soupira d'aise de savoir qu'elle dansait pour lui.
Il en rougit.

Lorsque sa magnifique compagne lui prit la main... il se laissa faire sans protester malgré son aversion pour la danse.
Il se dit qu'il devrait peut-être si mettre pour pouvoir accompagner sa magnifique maitresse dans ces rondes sensuelles.

A peine le temps de quelques tours lents et sa belle s'arrêta pour l'embrasser puis pour saluer l'assemblée.
Le vieil homme se sentit bien bête et pataud à côté de sa gracieuse danseuse.

Il se pencha vers son oreille pour lui murmurer : C'était très beau ma douce... et maintenant que je suis tout excité... on fait quoi ?

Le gribouilleur se redressa et sourit à Valentine.
Il l'attira contre lui pour l'embrasser tendrement.
Il jeta un rapide coup d'œil à Melisse qui adorait les effusions en public.

Il chuchota à sa belle : tu me referas cette danse ce soir, mon amour ?

Mais déjà, les amis de Valentine la reprenaient pour eux.
Le vieil homme lâcha la main de sa Tine pour laisser ses amis lui dire combien ils l'appréciaient.
Iruga


Lorsque Tine fit son entrée dans la salle de réception, élégamment vêtu d’une robe carmin dont l’éclat, que seul l’alizarine avait pu lui conférer, Iruga s’était joint aux convives pour crier à pleins poumons SURPRRRIIIIISSSSEEEEE !!!, l’applaudir et lever son verre à sa santé.

Puis, après la présentation de la cuvée et la remise des clés de la ville, d’invisibles musiciens s’étaient mis à jouer une étrange sonate, ode en cœur majeur résonnant au sein de l’âme de deux amants. Iruga resta sans voix et quelque peu subjugué par le spectacle que Tine offrit à son Aimé et dont il était l’un des témoins privilégiés. A tel point que lorsque Kekione, la quitta et qu’en se retournant le regard de Tine tomba sur lui. Il en oublia tout ce qu’il avait prévu de dire, bredouilla quelque chose de vaguement compréhensible… Puis il lui sourit, s’arrêta un instant…

- …euh… je… voilà, je voulais simplement te dire Merci pour tout ce que tu fais et pour tout ce que tu es.
Jetant un regard vers Kekione, et je suis vraiment ravi que le Destin vous ai réuni… A toi, à vous. Iruga leva son verre en leur honneur.

Puis, d’autres vinrent profiter de la reine de la soirée. Iruga se remémora alors un soir où au cœur de la nuit, il avait croisé Tine dans les couloirs de la mairie, Aël endormi sous le bras. Il avait insisté pour la raccompagner chez elle s’assurant ainsi qu’elle irait prendre quelque repos. Malgré tout l’amour qu’elle éprouvait pour Bourg, elle lui avait paru quelque peu lasse, désireuse de retrouver un peu d’elle-même. Iruga en cette nuit avait souhaité de tout son cœur que le Très-Haut conduise sur sa route celui qui saurait illuminer sa vie. Quelques jours plus tard, ce fut chose faite, au détour d’un couloir du château, elle tomba sur un vieux gribouilleur, amoureux des arts et des femmes. Iruga sourit à l’idée que ces prières et étaient pour quelque chose… Mais après tout, les caprices de la vie ou les hasards du destin ne sont telles pas les formes élégantes que revêt le Très-Haut pour influer invisible sur nos destins…

Iruga, un peu à l’écart, et tout à ces pensés, caressait du regard quelque monde invisible, il adressait un message silencieux au Très-Haut pour qu’il veille sur Bourg et ces habitants. Mais, d’un œil extérieur, il semblait simplement fixer les moulures de plâtre du plafond, comme hypnotisé…


- Hé Iruga tu es tombé en extase sur le plafond !! Je crois qu’il est grand temps que tu te mettes à la tisane !

Cette phrase ponctués de rires, le ramena en la salle de réception et sourire aux lèvres se rapprocha de ce petit groupe d’êtres moqueurs…
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