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[RP]Jusqu'à ce que...

--Couple_de_paysans




Le couple s'arrête devant le groupe. Le jeune garçon les regarde, étrangement attiré par la charrette, ils lui sourient des quelques dents qu'il leur reste.

L'un des hommes du groupe salue Gassan. Et tandis qu'il tente de l'approcher, le gamin avance d'un pas décidé vers lui et sa femme, sort une plaque d'agent de guet et leur ordonne de montrer le contenu de la charrette.


Dites donc Messer , avant tout moi j'veux voir dessous le drap , Montre moi ! C'est un ordre !

Linon sursaute face à cet élan enfantin et approche de son époux pour s'accrocher à son bras.

Bah, c'ty pas que j'veuille pas vous montrer bonhomme répond le vieil homme en montrant ses mains toutes ridées mais ajoute-t-il presque solennellement c'qu'on doit d'bord passer un m'ssage à m'sser de Castel Vilar, et j'pensais qu'on l'trouverait près du château...

Le couple a une promesse à tenir, et il ne pourra montrer ce qu'il y a sous le drap tant qu'il n'aura pas dit ce qu'il a à dire à cet homme que sa femme et lui sont venus chercher, en espérant pouvoir le trouver icelieu.
Riwenn


Comment connaissaient-ils son nom ? qui estaient-ils vraiment ? Que lui voulaient-ils ? Riwenn n'en savait rien, mais il n'allait pas tarder à le savoir. Il s'avança donc vers le vieux couple qui estait venu pour le trouver. Pourquoi ? La response lui viendrait sous peu.

Il se baissa au niveau du jeune Angel, un petit sourire au coin des lèvres.


Pourrais-je, jeune homme, m'entretenir avec ces vieillards, avant de savoir ce que cache cette charrette ? lui demanda-t-il gentiment. Nous pourrons voir ce qu'ils nous cachent par la suite, je vous laisse le soin de surveiller la cargaison dissimulée en attendant la fin de la discussion.

Il savait les enfants curieux, il avait une fillette toute jeune et aussi curieuse, il espérait que le fils de Kassie accepterait le compromis. Il fallait dire qu'il avait du mal à retenir sa fille face à son envie indivisible de savoir quelque chose. La curiosité est un vilain défaut, que lui disait sa tendre mère - paix à son asme, lorsqu'il avait l'asge de sa petite dernière. Et il imaginait bien ce défaut se faufiler dans chaque membre du garçon et lui saisir chaque sens afin de le faire plier à ce que le voile se lève, dans le sens littéraire comme figuré. Cependant, le petit n'avait point l'air aussi capricieux que sa Maëlya, il gardait donc bon espoir.

Qu'en dictes-vous ?


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En deuil...
Angel_wittelsbach


Citation:

Pourrais-je, jeune homme, m'entretenir avec ces vieillards, avant de savoir ce que cache cette charrette ? lui demanda-t-il gentiment. Nous pourrons voir ce qu'ils nous cachent par la suite, je vous laisse le soin de surveiller la cargaison dissimulée en attendant la fin de la discussion.


Angel acquiesça tout en gardant un oeil attentif aux couples de manants , sans oublier de zyeuter à chaque clignement d'yeux la fameuse cargaison.

Que cela pouvait bien etre ? Qui étaient ces deux paysans ? Comment connaissaient ils le nom du Messire Riwenn ? Tous cela restait une énigme pour le jeune Von Wittelsbach.

Tenté ? Omnibulé par cet objet qui attirait l'oeil et les esprits , Angel commis l'irréparable , tenté par la tentation tentaculaire , hypnotisé par ce blanc couleur d'Ange . Il ne put s'empeché de poser sa main sur ce drap blanc d'en tater les formes , et de le retirer d'un fil ; malheur , stupeur , horreur , ce qui se cachait dessous fut bien un Ange , il put deviner dans ce bref isntant , la couleur pale d'une femme à la peau claire .

Angel ravala sa salive , confronté pour la première fois à un tel spectacle , il interpella le conseil des "sages" réunis autour du sieur Riwenn montrant du doigt l'objet de curiosité, telle une danse macabre réunis en farandole jusqu'a ce que les masques tombent....

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--Couple_de_paysans




L'homme avance, alors voilà à quoi ressemble le Castel Vilar. Gassan et sa femme le regardent avancer, ayant pris autorisation auprès du petit sergent pour les rejoindre. Une fois que l'homme arrive à leur niveau, ils ne savent pas du tout comment lui annoncer la chose.

Les choses alors se déroulent à une rapidité que personne n'aurait sue. Bien trop vite. Aucun des deux vieillards n'a le temps d'ouvrir la bouche que déjà le jeune homme leur a filé sous le nez et a atteint la charrette au pas de course. Gassan se retourne mais il est déjà trop tard : le "mal" est fait...

Lui et sa femme se taisent - de toute façon, ils ne savent pas quoi dire.
Riwenn


Riwenn approcha du couple. Le petit lui avait donné d'un signe de teste autorisation de leur parler avant de lever le voile sur la mystérieuse cargaison. Il attendait que l'une des deux vieilles personnes lui parlent mais cela ne semblait point advenir. Qu'avaient-elles de si important à lui confier, sachant qu'il ne les connoissaient aucunement ? La response à cette question advint bien plus rapidement qu'il n'eût pu s'y attendre. Et non par la parole. Mais par la vue.

En effet, il sentit le jeune Von Wittelsbach lui passer dans le dos comme un souffle de vent à l'assaut de la charrette. Le vieillard se retourna, sans doute pour arrester le garçon. Riw n'y voyait rien, le couple lui obstruait la vue. Il savait simplement que derrière eux se trouvait la charrette. Les deux vieillards firent alors un pas en arrière et l'homme eut alors une vision d'horreur.

Une peau bien plus blanche qu'à l'accoutumée. Un léger sourire au coin des lèvres. Sa chevelure brune mal coiffée au travers de laquelle les quelques rayons de soleil se faufilaient. Des yeux toujours aussi beaux, cependant plus rien ne s'y reflétait.

Reine. Son épouse.

Il resta là, quelques secondes, sans bouger, immobilisé par cette vision, son léger sourire ayant totalement disparu. Puis il regarda chacune des personnes présentes, comme pour avoir confirmation de l'un d'entre eux que tout cela n'estait qu'un songe, qu'il allait se réveiller. Mais les visages décomposés de chacun d'eux ne laissaient place à aucune illusion à ce propos. Il avait bien devant lui le cadavre de son épouse !

Tout le monde s'estait tu, mesme le garçon qui montrait du doigt la mystérieuse cargaison qui n'en estait plus une. Mais Riw n'y presta guère attention. Il finit par accourir auprès de Reine et passa son bras derrière son cou pour poser quelques baisers sur son front, sans avoir bien remarqué que les larmes coulaient abondamment sur ses joues. Une colère l'envahit rapidement, colère pour lui-mesme en faict, il l'avait laissée partir seule, il l'avait délaissée. Bien entendu il savait qu'il n'avait pas le choix, il ne pouvait quitter le duché vues ses charges au sein de celui-ci, mais il culpabilisait malgré tout. Il lança un regard noir au couple, bien qu'au fond, il devait savoir que ces gens n'y estaient pour rien dans la mort de sa douce.


Que ... lui avez-vous faict ??? hurla-t-il, tourmenté par le chagrin qui l'envahissait.

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En deuil...
--Couple_de_paysans




Gassan serre la main de son épouse. Il pourrait balbutier mais il sait qu'il n'a rien à se reprocher, au contraire, il a ramené la jeune femme décédée jusqu'à son époux. Comme promis. Promesse tenue.

Il se tourne vers Riwenn et le regarde droit dans les yeux.


J'comprends vot'chagrin, ç'doit pas êt' facile de perd' sa femme. Mais faut qu'j'vous avoue que'qu'chose. J'lui ai promis d'vous la ram'ner, j'l'ai fait.

Linon voit le regard douteux et incompréhensif de l'homme face à son mari, elle prend donc la parole à son tour.

Vot'femme, l'est morte en couche, l'a eu deux beaux bébés, mais après l'petit, y a eu complications, trop d'sang coulait. J'l'ai aidé à accoucher, mais chuis pas médicastre, ni mon vieux Gassan, alors on n'a rien pu faire. N'a juste pu sauver les jumeaux.

Et le vieil homme de reprendre.

Nous, on voyageait, on l'a rencontrée sur not'route. Elle rev'nait à Lo Moun si j'ai bien compris. Avant d'rend' l'âme, elle a d'mandé après son époux, elle n's a d'mandé de ram'ner son corps vers lui, le conseiller Castel Vilar qu'elle disait. Alors on s'est dit qu'on trouv'rait c't homme au chateau, et on v's a trouvé. Voilà toute l'histoire.
Riwenn


Le vieil homme ne se laissa pas démonter par le cri de Riwenn. Il lui expliqua ce pourquoi lui et sa femme estaient là en cet instant, et ce pourquoi il avait le cadavre de son épouse avec lui. La vieille dame donna les explications du décès, et Riw put voir alors que la robe que portait Reine semblait salie d'une large tache de sang. Elle estait morte en mettant deux enfants au monde.

Pourquoi lui avait-elle caché sa grossesse ? Il estait vrai qu'elle pensait qu'il ne voulait plus d'enfants, cela venait peut-estre de là, mais au fond elle devait bien savoir que ç'eût esté un plaisir pour son époux que d'avoir d'autres descendances. Est-ce pour cela qu'elle avait accepté de partir pour le compte du Duché ? Afin de lui cacher leur progéniture ? Tant de questions parcouraient l'esprit de l'homme.

Reniflant, il desserra son estreinte et plongea son regard embué dans les yeux vides de sa douce.


Pourquoi ?

Puis il leva les yeux au ciel, comme pour parler avec le Très-Haut, comme si lui aurait la response que le cadavre ne lui donnerait jamais, comme si là-haut il pouvait trouver quelqu'un pour mettre fin à ses questionnements.

Pourquoi ? hurla-t-il Pourquoiiiiiii ?!!!!!

Son cri réveilla les deux enfants, endormis jusqu'alors dans deux paniers aux pieds du cadavre de Reine. Il entendit leurs pleurs mais ne s'en soucia guère, préférant demeurer en cet instant terrible auprès de son épouse. Ses sanglots signaient l'éclat de son cœur en mille et un morceaux. Ses larmes caressaient les cheveux de son aimée, tel un ultime geste de tendresse que personne ne pouvait percevoir. De sa main libre, il serra celle de son còr, durcie par l'appel de la mort, il la serra si fort qu'il sentit la bague de leur mariage lui effleurer les doigts, témoignage d'un amour éternel.

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En deuil...
Angel_wittelsbach


Le petit Angel Von Wittelsbach pétrifié de peur , à la vue de son premier cadavre , fut autant plus ému par la grande tristesse qui envahissait Riwenn.

Angel s'approcha du messire , et lui tendit sa main en guise de réconfort , espérant que cela en soit un. Puis tendant sa main vers les deux enfants qui pleuraient, il invita Riwenn à les prendre dans ses bras.

Silence , deuil , joie , peine ....tout cela etait si confus, tout cela paraissait irréel. Angel avait compris pourquoi dans les mariages , les époux disaient cette phrase:

Jusqu'à ce que la mort nous sépare !

Cela avait du sens désormais à ses yeux

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Noupi54
Noupi se rendait au chateau . Son cheval et elle chevauchaient tranquillement les routes, quand elle aperçut un groupe d'homme. De loin elle reconnu le lapin, Riw et un couple qu elle ne connaissait pas.

Citation:
Pourquoiiiiiii ?!!!!!


Noupi tressauta, elle avait reconnu la voix de Riw qui hurlait. Son coeur s'accelera.

quelque chose est arrivée, tempete accelere...

Elle arriva a la hauteur du groupe et vit Riw en pleure. son regard fut attiré par le drap blanc. tout ce mis a tourner quand elle reconnu la personne sur la charette. Se laissant glisser a terre noupi ne pu ouvrir la bouche. elle s'apporcha doucement de la charette ne voulant pas croire a ce qui se passait. Non c'etait pas possible, elle allait se reveiller, c'etait un cauchemard, pas sa meilleure amie, pas elle.

Dans un murmure elle l'appela .. reine, mon dieu non pas toi .

Elle releva la tete et dans un regard absent elle observa la foule puis retourna vers le visage paisible de reine. des larmes coulerent sur ses joues. se rememorant tout ce qu'elles avaient vecues, leur mariage, les naissances, la vie en gascogne. elles etaient amies depuis toujours. Noupi se laissa tomber a terre, elle prit son visage entre ses mains et laissa les sanglots l'emporter. Décidément il allait plus rien lui rester en Gascogne.
Riwenn


Des rais de lumière avaient beau caresser le visage à présent bien pasle et terni par les larmes de Riwenn, le soleil dans son cœur n'avait plus aucun éclat. Il avait bien du mal à y croire. Et pourtant, ce qu'il avait sous les yeux ne pouvait que le mettre devant le faict accompli, il ne pouvait en estre autrement : Reine soleil avait rendu son dernier souffle.

Primum vivere...

Vivre. Il allait devoir vivre sans elle. Il lui avait toujours dict qu'il ne réussirait jamais tel exploit. Mais là, il n'avait guère le choix. La vie s'imposait à lui. Le Très-Haut avait décidé de mettre un obstacle sur son chemin et cette fois-ci, il allait devoir le surmonter seul. Seul. Vivre.

Deinde philosophari...

Le jeune Von Wittelsbach - un peu timide, un peu inquiet, un peu surpis - l'invita à prendre ses deux nouveaux-nés. L'homme estait un peu ailleurs. Il tourna néanmoins le regard vers sa progéniture, ne quittant point son estreinte cadavérique pour autant. D'un costé, il pouvait se dire que la mort de son épouse estait de leur faute, qu'il estait la cause de tout cela. Cependant, d'un autre costé, il pouvait penser que ce demeurait là un miracle, que les jumeaux avaient survécus. Sans doute un cadeau de Deos. Une vie s'estait évanouie pour en laisser jaillir deux autres, encor jeunes et pures, indemnes de tout péché. Rien ne serait comme avant. Il allait devoir apprendre à vivre ainsi. À survivre ainsi. Survivre.

Perdus dans ses réflexions maudites, il put percevoir non loin de lui une silhouette, un murmure imperceptible, un chagrin supplémentaire, qu'il aurait pu reconnoistre si les circonstances avaient esté tout autres. Mais il n'en estait rien.

Un monde s'effondrait en cet instant.

Le cœur déchiré, il tenta de relever son aimée pour l'asseoir. Elle restait froide. Dure. Impossible à mouvoir d'une quelconque façon que ce soit.


Amòr...

Il se pencha à l'oreille de Reine, la gorge serrée.

Tu verrais nos enfants...ils sont...magnifiques...

Il soupira. Ses larmes séchèrent. Mais son anéantissement n'en demeurait pas moins grand.

Ah oui ! Un nom...il faut leur donner un nom...

Il renifla et se frotta la barbiche.

Que penses-tu de... Titan pour le garçon ?

Folie passagère ? peu lui importait, il n'en avait pas conscience à vrai dire. Aussi continua-t-il son monologue mortuaire.

Ah oui, cela... sonne mieux. Tu as raison.

Il sourit entre l'écume de ses larmes.

Et... pour elle ?

Il caressa la joue de la défuncte.

Liliane ? Hmmm...je trouve cela trop commun.

Délire amoureux qui le fit pencher son oreille près des lèvres immobiles. Avant de relever un visage joyeux tel celui d'un enfant devant un cadeau de Noël.

Formidable...je trouve... ce prénom parfaict.

Son sourire devint presque étincelant. Changement total de comportement.

Il se leva et alla prendre les enfants dans ses bras avant de les ramener auprès du cadavre.


Dis bonjorn... à Titoan et Lilòia-Reine !

Les bambins dans les bras de leur père, qui hurlaient jusque là, sans doute effrayés par les cris de ce dernier, se calmèrent en un bref instant, comme par magie.

Voilà ! Cela t'aura permis de...les rencontrer avant de nous quitter.

Il regarda l'un après l'autre ses petits. Voilà tout ce qui lui resterait dorénavant de sa dulcinée.

Regardez les enfants, c'est vostre mère...n'est-elle point...extraordinairement...belle ?

Il l'admira, telle une déesse, pendant de longues secondes qui purent paraistre une éternité. Cette danse entre le regard vide et les yeux malheureux serait la dernière, il le savait.

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En deuil...
Frogard


Frog assistait sans mot dire au spectacle désolant. On n'a beau dire, on a beau faire ce n'est jamais réjouissant de voir la souffrance d'un homme. Surtout que cette souffrance avait l'air de conduire le procurator à la folie. La grenouille jeta un regard a dame Kassie, interrogateur. Elle semblait elle aussi immobile que lui. Diantre!

Et voilà la mère noupi qui en rajoutait, où était la comédie, où était la sincérité, Frog ne put le dire et venant de la pécore anoblie, il s'en foutait pas mal. Ses yeux se redirigèrent vers sire Riwenn. Que pouvait-il lui dire pour le réconforter?

Pour une fois Frog choisi de fermer sa bouche, c'était pas si souvent qu'il choisissait cette solution, mais devant les événement, hein!

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Riwenn


Riwenn se tourna vers Noupi, les yeux encor gonflés de larmes, mais paraissant plus serein. Il lui tendit ses enfants, le sourire aux lèvres et lança un regard circulaire alentour, comme pour vérifier que personne d'autre ne pourrait les prendre. Ils demeuraient, avec Dam et Maë, la seule trace de la présence de sa dulcinée.

Puis-tu en prendre soin quelques instants ? question à laquelle il n'attendit point de response puisqu'il alla placer les bambins dans ses bras sans lui laisser le temps d'ouvrir la bouche.

Il revint ensuite près de son épouse et lui baisa le front, toujours aussi souriant.


Demeure en paix Amòr ! clama-t-il au cadavre d'une voix presque sensuelle, le regard tendre, avant de recouvrir le visage de son aimée de la couverture.

Il allait falloir penser aux funérailles, aux deux nouveaux enfants, il n'aurait pas la teste à s'en occuper, peut-estre Ellya voudrait-elle les garder quelques temps, il faudrait qu'il prenne contact avec elle à cette fin.

Tout une vie qui changeait.
Tout un monde qui se métamorphosait.
Tout un souffle qui s'évanouissait.
Toute une femme qui disparaissait.

Il allait devoir apprendre à vivre sans elle, sans sa présence, mais avec son seul souvenir. Ce bien précieux qu'il garderait à tout jamais gravé au plus profond de son cœur. Tous ces instants, tous ces moments, toute cette tendresse...tout un souvenir.

Lors de leur mariage, il avait promis de la chérir...

Jusqu'à ce que le temps fasse son office...
Jusqu'à ce qu'Aristote les emporte...
Jusqu'à ce que le Très-Haut les rappelle à lui...
Jusqu'à ce que la mort les sépare...





FIN
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En deuil...
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